La désinformation russe et chinoise en roue libre aux États-Unis

Le gouvernement Trump ferme discrètement le dernier bureau chargé de surveiller la propagande d'État venue de l’étranger. Un choix salué par les conservateurs américains, mais critiqué par des élus et des anciens responsables qui redoutent que les Russes, les Chinois ou les Iraniens profitent du vide.