Ultra-fin, élégant et facile à transporter, l’écran Espresso Display 15 est conçu pour les professionnels nomades. Derrière son design épuré se cache un moniteur portable performant, idéal pour booster votre productivité en déplacement.
Dans la famille des accessoires qui boostent la productivité sans alourdir le sac, l’Espresso Display 15 coche presque toutes les cases. Un écran de 15,6 pouces Full HD, à peine plus épais qu’un iPad, conçu pour fonctionner partout avec un simple câble USB-C. Le tout dans un châssis en aluminium et livré avec un support magnétique ajustable.
Nous l’avons testé en conditions réelles, entre télétravail et déplacements, pour voir s’il tenait la route. Voici ce qu’on en a pensé.
Espresso Display 15 : le second écran des digital workers pressés
À première vue, on dirait un iPad. Mais ce n’en est pas un. L’Espresso Display 15 est un écran portable ultra-fin conçu pour les pros qui bossent partout. On l’a testé pendant plusieurs jours, connecté à un MacBook, un PC Windows, une Switch et même un smartphone. Verdict : malgré quelques détails à améliorer, cet écran a clairement été pensé pour la vraie vie mobile. Et il risque bien de séduire bien au-delà des digital nomads.
Un écran pensé pour les déplacements
Avec 5,3 mm d’épaisseur et un châssis en aluminium brossé, l’Espresso Display 15 donne d’emblée une impression de sérieux. Ce n’est pas un gadget, c’est un outil de travail. Son format 15,6 pouces en Full HD (1920 x 1080 px) s’accompagne d’une colorimétrie calibrée en usine (99 % sRGB), d’un taux de rafraîchissement de 60 Hz et de deux ports USB-C. Le tout sans alimentation externe : une seule prise USB-C suffit pour le faire fonctionner.
Tout dans la sobriété sauf pour le câble… violet.
Le résultat, c’est un setup plug-and-play aussi simple qu’élégant. On branche, ça marche. Et visuellement, il s’intègre parfaitement à un MacBook ou un ultrabook Windows, avec son look gris sidéral et ses bordures fines sur trois côtés.
Un écran à 299 € : trop cher pour un second écran ?
À 299,99 €, l’Espresso Display 15 se place clairement dans la catégorie haut de gamme des écrans portables. C’est bien au-dessus de certains modèles concurrents en Full HD, vendus à partir de 150 €. Mais ici, on paie autant pour le produit que pour l’expérience. Aluminium brossé, finesse extrême, design épuré, support magnétique inclus, compatibilité multiplateforme… Ce n’est pas seulement un écran d’appoint, c’est un outil pensé pour durer, accompagner les pros dans tous leurs déplacements et s’intégrer visuellement à un setup de qualité.
Il manque des haut-parleurs, le tactile, voire une housse incluse. Pourtant, si on compare à d’autres marques premium (comme Mobile Pixels ou ViewSonic), le tarif reste cohérent — surtout avec le Stand+ offert dans le bundle.
Le Stand+ : le détail qui change tout
Le support magnétique fourni (Stand+) mérite clairement une mention spéciale. Grâce à lui, on peut positionner l’écran au-dessus, à côté ou en mode portrait, sans le moindre outil. L’aimantation est solide, les réglages d’angle sont fluides, et le design est parfaitement aligné avec celui de l’écran.
Positionné au-dessus.Positionné à la verticale, sur le côté.
À noter : le Stand+ est compatible avec les autres modèles d’Espresso (13 et 17 pouces), ce qui permet de changer de setup sans changer d’accessoires.
Un confort d’affichage globalement réussi
La dalle IPS affiche des couleurs vives et une belle netteté, aussi bien pour du travail de bureautique que pour des visios ou de la navigation web. En revanche, la luminosité plafonne à 300 nits, ce qui reste correct… sauf si vous bossez souvent à l’extérieur. Le traitement brillant, lui, est plus gênant en plein soleil.
Autre point : pas de haut-parleur intégré, pas de tactile, pas de menu OSD. Toutes les options de réglage (luminosité, contraste, rotation auto…) passent par l’appli espresso Flow, dispo sur Mac et Windows. Ce n’est pas contraignant, mais il faut le savoir.
Des accessoires bien pensés (mais en option)
L’écosystème Espresso va au-delà de l’écran seul :
Stand+ (inclus dans le bundle à 299,99 €).
Support VESA (pour accrocher l’écran sur un bras articulé).
Charge, une batterie magnétique pour alimenter l’écran sans puiser sur le PC.
Case, une housse rigide qui se transforme en support d’appoint.
Protect, un film de protection effet papier (pour les créatifs).
Le stand+ disponible à l’achat de l’écran.On a du mal à croire qu’on puisse le ranger ainsi dans un sac…
Petit bémol : à ce prix, on aurait aimé que la housse de protection (ou un film de protection), quasiment obligatoire pour ne pas abimer son écran, soit incluse de base.
Mais pourquoi un câble de recharge violet ?
Oui, c’est surprenant (mais pas choquant non plus, ça lui donne un charme). Le câble USB-C fourni est… violet. Espresso assume : il s’agit d’un câble capable de transmettre données, alimentation et vidéo (USB 3.1), et le coloris permet de le retrouver facilement. N’importe quel câble USB-C de qualité équivalente fonctionne, mais celui-ci est livré avec. Et vous ne risquez pas de le confondre.
Un bon choix pour qui ?
Si vous cherchez un deuxième écran mobile, solide, élégant et simple à utiliser, l’Espresso Display 15 est un excellent candidat. Il conviendra parfaitement :
aux travailleurs hybrides (télétravail + déplacements).
aux freelances ou étudiants nomades.
aux créateurs de contenus en quête d’un setup flexible.
à tous ceux qui veulent éviter le double écran basique en HDMI.
En revanche, les amateurs de retouche photo ou les pros de la vidéo auront vite besoin de plus : définition 4K, HDR, tactile… auquel cas il vaut mieux viser leEspresso 17 Pro.
Le verdict de la rédaction
L’Espresso Display 15 est un bel écran, bien construit, agréable à utiliser, et vraiment pensé pour le travail nomade. Son principal point fort : son écosystème magnétique, qui permet de l’adapter à toutes les situations. Ses points faibles ? L’absence de haut-parleurs, une luminosité un peu juste, et le prix élevé dès qu’on ajoute quelques accessoires.
Mais si on le prend comme un outil pro, conçu pour durer, il tient largement ses promesses.
Profitez des vidéos et de la musique que vous aimez, mettez en ligne des contenus originaux, et partagez-les avec vos amis, vos proches et le monde entier.
L’entretien des piscines, c’est un peu casse-tête, surtout quand la météo vient régulièrement jeter dans votre bassin autant de sable que de végétaux. Rebrancher et programmer le robot à chaque fois peut devenir pénible. Aujourd’hui, nous testons la formule simplicité que propose Aiper à travers son robot-piscine baptisé Scuba X1 !
Dans la famille des robots-piscines sans fil, nous appelons le cousin Scuba X1. Son fabricant, Aiper, l’a conçu comme une solution 3-en-1 (fond, parois et ligne d’eau) avec une filtration extrêmement fine et une autonomie confortable. Aspiration puissante, navigation intelligente et simplicité d’utilisation sont à l’affiche de notre test du jour.
Nous allons donc le confronter à des conditions particulièrement exigeantes : une piscine qui se salit rapidement et dont la structure est assez retorse (marches, margelles et rambardes absolument partout !). Caractéristiques, ergonomie, autonomie, navigation et performance, enfin comment s’en servir au mieux : tout est dans notre test du Scuba X1 !
Caractéristique Techniques
Dimensions
48,7 × 42 × 24,5 cm (L × l × H)
Poids
11 kg à sec
Panier / Filtration
5 L / 180 µm + MicroMesh ultra‑fin 3 µm
Puissance / Débit d’aspiration
environ 6600 GPH (≈ 25 200 L/h)
Batterie
7800 mAh
Durée d’utilisation
180 min max (valeur annoncée) / 171 min (valeur mesurée)
La fiche produit du Scuba X1 d’Aiper inspire globalement confiance. Avec sa grande capacité de filtration (jusqu’à 3 µm), son autonomie annoncée de 3 heures et sa navigation assistée par de multiples capteurs, il revendique sa place au rang du haut de gamme. On remarquera cependant que sa vitesse de déplacement n’est mentionnée nulle part, et que ses 11 kg à sec risquent de peser un peu lourd à la manipulation, surtout au moment de sortir de l’eau… Nous y reviendrons en temps voulu.
Nota Bene : un débit d’aspiration de 6600 Gallons Per Hour (soit 25 200 Litres/heure) représente plus de 400 litres aspirés par minute, contre 250 à 300 L/min pour la plupart de ses concurrents. Sur le papier, il est donc au moins 30 % à 65% plus puissant que la moyenne située entre 4000 et 5000 GpH.
Unboxing du Scuba X1 d’Aiper
Dès l’ouverture du carton, le message d’Aiper est clair : efficacité doit rimer avec simplicité !
Robot Aiper Scuba X1
Station de charge par induction (charging dock)
Câble d’alimentation DC (chargeur) de 2m50
Filtre ultra‑fin MicroMesh 3 µm (en supplément)
Crochet de récupération
Manuel d’utilisation / guide rapide
La philosophie Plug and Play sous vos yeux littéralement éblouis !
Il n’y aura guère que la station de charge à monter de nos mains afin de bénéficier de la charge par induction. On apprécie l’ajout d’un filtre ultra-fin de rechange – on verra plus tard à quel point cette initiative de la marque est appréciable.
Design & conception
On l’a déjà un peu évoqué : le Scuba X1 mise davantage sur la robustesse que sur la compacité. Sa coque en plastique ABS renforcé lui assure une excellente résistance face aux produits chimiques et au sel contenu dans l’eau de notre bassin. Deux grandes poignées moulées facilitent sa manipulation, ce qui vaut mieux, vu le poids affiché. Côté style, on retrouve les codes visuels d’Aiper : un gris métallisé automobile rehaussé de discrètes touches bleues et dorées, en plus d’un très léger effet pailleté à la lumière du soleil. On note la présence d’une bande lumineuse qui passera du vert au bleu et du bleu au rouge en fonction de l’état de la batterie. Une petite icône “connexion” vous aidera à vérifier s’il est bien appairé à votre smartphone, en passant du rouge au blanc.
Un design mi-tank, mi-voiture de course. Voyez comme cette carrosserie est clinquante !
Le robot repose sur deux larges chenilles texturées, conçues pour adhérer même sur des parois lisses. En dessous, il embarque des brosses actives et un double système de propulsion par jets, permettant d’aspirer l’eau tout en assurant sa traction sur les parois et la ligne d’eau. Son système de fermeture supérieur donne accès à un panier filtrant XL (5 litres), équipé de deux couches : un filtre standard de 180 μm et un micro-filtre de type « MicroMesh » capable de capturer des impuretés jusqu’à 3 μm.
Nota Bene : le MicroMesh est installé par défaut sur l’appareil, mais il est conçu pour éclaircir l’eau en capturant les particules les plus fines. Il convient donc de le retirer au début, lorsque l’on remet en état une piscine très sale.
La poignée est un peu large, surtout pour le crochet, mais la maniabilité reste correcte.
Côté capteurs, le Scuba X1 fait appel à une technologie maison baptisée OmniSense™, intégrant un ensemble de 14 capteurs répartis tout autour du robot. Ces derniers doivent permettre au robot de s’adapter à la forme du bassin, de détecter les obstacles et de réajuster sa trajectoire en temps réel.
Enfin côté commandes, on trouve un bouton marche/arrêt qui permet également de passer d’un mode de nettoyage à l’autre. Une pression longue : le robot s’arrête. Une pression courte : il passe au mode suivant.
Application mobile Aiper : sommaire mais efficace
Comme pour un robot-aspirateur, vous téléchargez l’application, disponible sur iOS et sur Android. Vous activez le Bluetooth sur votre téléphone, et vous vous connectez à la Wi-Fi de la maison dont vous allez récupérer les codes. L’application vous guidera pour le reste.
L’application est relativement sommaire, mais la prise en main en est d’autant plus rapide.
Une fois le Scuba X1 relié à la Wi-Fi, vous pourrez interagir avec lui via l’application dès qu’il est allumé, mais seulement lorsqu’il est en dehors de l’eau. À cet égard, l’application servira à :
lancer/arrêter un cycle
choisir le mode (fond, parois, ligne d’eau, bassin entier ou cycle programmé)
choisir entre navigation en “S” ou intelligente
consulter l’historique des nettoyages (quel cycle, combien de temps, etc.)
surveiller à distance l’état de la batterie (uniquement lorsqu’il est en charge sans le Aiper HydroComm Pure)
recevoir les notifications d’alerte nécessitant une intervention (panier à déchets non installé par exemple)
un rappel au niveau de la ligne d’eau (avec l’HydroComm Pure) ;
recevoir les mises à jour OTA (Over-The-Air) pour corriger le firmware via le Wi-Fi et optimiser les algorithmes de navigation
Nota Bene : pour vous configurer un petit écosystème domotique, Aiper propose un dispositif de communication sous-marine (Aiper HydroComm Pure) à 249 €.
Dans l’ensemble, l’application est simple et facile à utiliser, même si certaines fonctionnalités se cachent derrière des manipulations pas très intuitives, comme défilement sur le côté pour les modes de nettoyage.
À gauche, swipez pour trouver les autres modes de nettoyage !
Quoi qu’il en soit, il est toujours préférable que l’appareil puisse fonctionner sans l’aide de la connectique. C’est le cas ici, et la gestion manuelle donne accès aux quatre types de cycles non personnalisés.
Performances de nettoyage dans un bassin compliqué
Elle a l’air assez inoffensive comme ça…
Pour rappel : notre bassin de test mesure 30 m2 et est doté d’un revêtement en polyester ; une surface particulièrement lisse et glissante. En outre, la forme de la coque comporte trois marches d’escaliers, plusieurs margelles arrondies qui font le tour du bassin et une rambarde de chaque côté. En somme, on n’y trouve aucun angle droit entre le sol et les parois, ce qui a déjà tendance à limiter le champ d’action du robot habituel, un Zodiac Alpha Ra 6500 iQ.
… l’enfer subaquatique de tous les robots-piscine !
Enfin, la météo étant assez tumultueuse actuellement en Occitanie, la piscine s’encrasse vite et nécessite un entretien très soutenu pour être vraiment propre. On y trouve régulièrement du sable, des feuilles, parfois un petit morceau de branche, et du dépôt dans des endroits particulièrement difficiles d’accès. Dans ces conditions, nous ne manquerons pas de tempérer notre verdict avec une pointe d’indulgence.
Un système de navigation qui promet beaucoup…
Normalement, un utilisateur du Scuba X1 doit pouvoir compter sur plusieurs mécaniques de navigation bien rôdés, tels que :
le WavePath™ 3.0 : un algorithme de parcours adaptatif conçu pour couvrir efficacement les formes complexes de piscine comme la nôtre
le système OmniSense™ (ultrasonique) : 14 capteurs qui détectent les obstacles et préviennent les collisions, ajustent la vitesse etc.
WaveLine™ 2.0 : qui permet au robot de stagner au niveau de la ligne d’eau afin de bien frotter les bords de la piscine où, généralement, du dépôt s’accumule
En outre, l’appareil profite d’un ajustement adaptatif qui doit lui permettre de combiner des chemins prédéfinis avec la capacité de modifier sa trajectoire en temps réel selon les conditions rencontrées. Là vous vous dites : outillé comme cela, il n’en fera qu’une bouchée de leur bassin difficile à nettoyer. Ne vendez pas la peau du cachalot trop vite…
Cycle complet : on le garde pour l’entretien de routine
Vous avez un bassin bien sale ? Premier réflexe : vous lancez un cycle complet qui doit faire passer le robot partout. Eh bien avec un Scuba X1, ce n’est pas la meilleure idée. Le bolide doit tenir un maximum de 180 minutes sous l’eau. Mais avec un revêtement vraiment sale, c’est très compliqué d’économiser la batterie. Donc déjà, on se retrouve avec un appareil qui tient entre 156 (2h36) et 171 minutes (2h51) maximum.
Nota Bene : la première valeur a été mesurée sur un seul cycle et la seconde est la somme de plusieurs cycles interrompus (3) sans phase de charge intermédiaire.
A-t-il le temps de passer partout quand même ? Pas vraiment, et ce pour au moins trois raisons :
il est lent : environ 5 mètres/minute (4 mètres/minute avec le MicroMesh) selon nos observations et calculs, soit 2 (ou 2,5) fois moins rapide que le Wybot Solar S2 et ses 10 m/minute ;
il s’attarde sur les lignes d’eau plusieurs dizaines de secondes (il est programmé pour ça, ce n’est donc pas un défaut en soi) ;
sa trajectoire est loin d’être optimale.
Et c’est le dernier point le plus embêtant. En effet, quel que soit le mode de navigation choisi (un petit peu moins en motif de “S”, mais quand même !), on se retrouve avec un robot qui change de direction arbitrairement, qui hésite, se positionne mal devant certaines margelles et se retrouve de biais, ne pouvant, dès lors, plus aspirer grand chose, ou repasse aux mêmes endroits avant d’avoir parcouru tout le bassin. Ce comportement erratique ne l’empêche certes pas de clarifier l’eau grâce à son filtre ultra fin, mais il perd du temps et de l’énergie de façon assez frustrante.
Des feuilles, du sable fin, du dépôt à gogo !
Pourtant, il en attrape des débris ! Preuve d’un potentiel à peut-être mieux diriger… Nous avons donc opté pour un nettoyage plus localisé, afin qu’il se montre un peu moins confus dans ses prises de décision digne d’un trouble de l’attention.
Cycle du fond : pour le gros du nettoyage
Vous voulez optimiser au maximum la puissance du Scuba X1 ? Lancez un nettoyage du fond de la piscine et utilisez une brosse pour déplacer le dépôt des parties inaccessibles (nous, on en a beaucoup, entre les coins à côté des escaliers ou les angles arrondis de l’autre côté de la piscine).
Quand il n’est pas perdu, le Scuba X1 est tout à fait efficace !
Côté navigation, ça va un petit peu mieux, même si nous l’avons vu quelques fois repasser aux mêmes endroits trois fois d’affilée. D’autre part, dès qu’il s’approche de la paroi de biais, sa chenille le soulève et il rate les saletés du bord. La pente progressive des margelles l’a déjà fait se retrouver au milieu d’une paroi alors qu’il est censé nettoyer le fond.
Nota Bene : le mode sélectionné est visible depuis la surface, ce permet de vérifier le cycle actif si l’on n’est pas équipé du dispositif de communication sous-marine Aiper HydroComm Pure.
Lorsqu’il est équipé du filtre MicroMesh ou que le bac est rempli, il arrive au robot de se dresser sur ses roues arrière sans raison apparente. Il n’aspire donc plus le revêtement, même s’ilil continue de filtrer les impuretés de l’eau. Si ce comportement devient trop fréquent, c’est souvent signe qu’il faut vider et rincer le panier !
Il se fait souvent piéger par les angles improbables du bassin…
Quoi qu’il en soit, le robot a fini par tout ramasser, excepté dans les endroits où son gabarit ne lui permet pas d’aller.
Nota Bene : le mode “cycle programmé” n’est pas une personnalisation de nettoyage. Il consiste simplement à nettoyer le fond pendant 50 minutes puis à se mettre en veille pendant 48 heures avant de répéter ce même cycle. Vu l’autonomie observée, cela revient à réaliser 3 cycles et de s’arrêter complètement au bout de 97,6 heures maximum.
Enfin, on notera une petite incompréhension… Nous avons répandu un peu de sable dans le bassin (environ 500 g) et les performances du Scuba X1 ont été assez inégales. Nous l’avons vu, certaines fois, passer sur un petit amas sans en récupérer alors que le bac venait d’être vidé.
Alleeez Scuba, alleeez Scuba !
Un peu plus tard, il en a ramassé plusieurs pelletées sans broncher dans des conditions similaires. Si nous nous en référons à la seconde performance, le test est validé.
Ça y est, il a enfin activé le mode “pelleteuse” !
Quoi qu’il en soit, les frottements de la brosse retirent efficacement les dépôts naturels.
Paroi et ligne d’eau : la spécialité du Scuba X1
Le Scuba X1, sa vocation ratée, c’est clairement Spider-robot. Il adore la paroi, il y passe plus de temps qu’Adam Ondra lorsqu’on le met en mode “nettoyage complet”. Pour le coup, ni les marches, ni les margelles, ni même les rambardes ne l’arrêtent. Au point qu’il finit par nettoyer la ligne d’eau même quand ce n’est pas sa mission principale. Il est capable de rester frotter au même endroit plusieurs dizaines de secondes.
Il finira même par s’entraîner à la course de haie par-dessus la rambarde !
Nota Bene : comme tous les robots-piscines du marché, son corps est trop gros pour nettoyer les marches.
En revanche, la navigation est encore erratique. Au début, il fait la moitié de la longueur du bassin en se décalant de 20 cm avant chaque remontée, puis décide arbitrairement de partir sur la largeur, avant de continuer sur un troisième côté sans avoir fini le précédent. Bien sûr, ce comportement l’amène à revenir à des endroits déjà propres et à dépenser la batterie de manière non-optimale.
Nota Bene : il semblerait que la géométrie de notre bassin lui donne du fil à retordre ; il ne semble pas aussi perdu dans les tests de nos confrères.
Rien ne l’arrête à la verticale !
Heureusement, il ne reste jamais coincé dans une boucle infinie, mais il est probable qu’il manque des endroits avant d’arriver au bout de la batterie. Sur une piscine déjà assez propre, cela ne se verra pas. Nous, on aura recours à la brosse ou bien à un cycle ultérieur.
Autonomie & gestion de la batterie : un bon point
Si l’on passe sa lenteur et ses trajectoires en mode TDA, l’autonomie reste un point de satisfaction pour le Scuba X1. Il tient facilement 150 minutes d’une traite à travailler d’arrache-pied. Nous ignorons comment prolonger son autonomie d’une demi-heure pour atteindre les 180 annoncés, car il n’embarque pas de mode éco. Seule une succession de cycles courts mis bout à bout nous a permis de dépasser les 170 min sans recharge. Certes, il n’est pas impossible que la difficulté rencontrée avec notre bassin lui fasse dépenser davantage d’énergie, entre les margelles, les pentes et les coins arrondis…
Si vous n’êtes pas équipé du Aiper HydroComm Pure, vous pouvez suivre le niveau de batterie via la ligne de leds. Ce n’est pas une jauge à proprement parler, puisqu’elle ne se désemplit pas, mais elle permet de se figurer au premier coup d’œil si le cycle est prêt de se terminer. En effet, la ligne lumineuse passe de verte à bleue une fois les 50% dépassé, et à rouge quand le niveau est faible. À ce moment-là, il lui reste une petite douzaine de minutes avant de s’immobiliser.
Aiper communique sur la fonction “stationnement intelligent” du Scuba X1, qui consiste à le positionner au niveau de la ligne d’eau pour que vous puissiez l’attraper sans l’aide d’une perche, mais nous n’avons pas pu en faire la démonstration, car il nous manque le Aiper HydroComm Pure. En conséquence, le robot s’arrête au fond de l’eau en fin de cycle.
À cet égard, la marque fournit un crochet bleu pour le récupérer facilement à la perche : nous avons été assez déçus de voir que l’accessoire se désolidarisait très facilement du manche, là où celui du Wybot S2 Solar tenait très bien.
Recharge du Scuba X1 : simple et efficace
Le robot Scuba X1 profite d’un double système de recharge. Le premier est filaire, mais vous oblige à dévisser/revisser l’embout de protection pour éviter que l’eau s’infiltre le système électrique. Le socle de recharge à induction, à brancher par derrière, permet d’éviter cette manipulation. Il est facile à monter et permet d’y déposer le robot assez facilement, dans le sens de la poignée.
Vert clair, bleu foncé, rouge vif : des couleurs faciles à voir à travers l’eau.
Sur le temps de charge, nous avons été très agréablement surpris, car au lieu des 4 heures annoncées, le robot était prêt en 165 minutes (2h45), et ce à plusieurs reprises ! Pour ce genre d’appareil, c’est une donnée qui peut faire la différence, car s’il est possible d’enchaîner trois cycles au lieu de deux seulement dans la même journée, on ne va clairement pas s’en priver (par exemple : 8h-10h30, 13h15-15h45, 18h30-21h).
Entretien & maintenance
Le système de filtration ultra-fin du Scuba X1 fait (très) bien son travail. Au point que sur piscine vraiment sale (avec beaucoup de gros débris), il convient de le vider et le rincer toutes les 20 à 30 minutes. Au début, nous avons commis l’erreur de laisser le filtre MicroMesh dans le robot pour le nettoyage des gros débris. Bien mal nous en a pris : le filtre souple ultra-fin s’en est trouvé tellement encrassé que nous avons eu un peu de mal à le récupérer au jet d’eau haute pression. Faites donc bien attention à ça !
Ne le posez pas sur la pelouse ou vous risquez de l’encrasser encore plus…
Si vous ne commettez pas la même erreur, l’opération devient beaucoup plus simple : vous soulevez le capot, vous videz, puis rincez le filtre rigide et, après deux minutes chrono, l’appareil pourra retourner dans l’eau ou à sa charge.
Nota Bene : pendant l’opération, ne faites pas tomber le filtre MicroMesh dans l’herbe, sous peine que la terre et les feuilles mortes ne s’y cramponnent !
Dernier point à noter : une fois gorgé d’eau, le robot pèse 14,6 kg, ce qui peut surprendre au moment de le sortir du bassin. Heureusement, les poignées sont bien conçues et le mouvement reste faisable sans être haltérophile, à condition d’avoir un peu de poigne.
Accessoires, pièces détachées & SAV
Le Scuba X1 est livré avec l’essentiel pour fonctionner immédiatement : station de charge à induction, câble d’alimentation, filtre de rechange et crochet de récupération. En revanche, du côté des accessoires optionnels ou des pièces détachées, l’offre reste encore limitée. À ce jour, le filtre ultra-fin, le panier ou la station de charge sont disponibles à l’unité sur l’e-boutique Aiper.com. Il existe bien le module de communication sous-marine vendu séparément (l’Aiper HydroComm Pure, à 249 € au lieu de 279 €, en ce moment), mais cela reste un ajout assez spécifique. Il existe également un chariot compatible avec ce modèle, mais il vaut 299 €… C’est vraiment si la piscine est loin du point de recharge !
Des prix plutôt corrects dans l’ensemble pour prolonger la durée de vie de votre robot.
Côté service après-vente, Aiper dispose d’un support en ligne réactif, avec une section FAQ, un chat et un formulaire de contact. Le SAV est géré depuis la France pour les produits vendus sur le site officiel ou Amazon, ce qui est un vrai bon point. À noter : la garantie est de2 ans, dans la moyenne du secteur, mais sans extension possible à ce jour.
Comparaison avec la concurrence
Dans sa gamme de prix (environ 1 099 €), le Scuba X1 d’Aiper se positionne en concurrent direct de modèles comme le Wybot S2 Pro, le Dolphin Liberty 200 ou encore certains robots Zodiac d’entrée de gamme sans fil. Il les dépasse largement en capacité de filtration (5 L contre souvent 2 à 3 L), mais reste en retrait sur la vitesse de déplacement.
En revanche, la qualité de finition, l’autonomie réelle et la montée sur parois le placent dans le haut du panier. Là où d’autres robots hésitent à grimper ou redescendent trop vite, le Scuba X1 s’attarde, notamment sur la ligne d’eau, et sait vraiment brosser en profondeur.
Face au Beatbot AquaSense 2, un (ou deux) cran(s) au-dessus en termes d’intelligence embarquée et de rapidité, le Scuba X1 marque des points sur la simplicité d’usage et la fiabilité de son système de recharge à induction. Moins agile, certes, mais plus robuste, et bien plus accessible côté entretien.
Pour qui est fait ce robot ?
Le Scuba X1 s’adresse clairement aux propriétaires de piscines privées qui recherchent un robot fiable, autonome et facile à utiliser, sans devoir passer par des paramétrages complexes ou un câblage encombrant. Il conviendra particulièrement aux bassins de taille moyenne à grande, de forme simple ou légèrement irrégulière, avec des parois franchissables et peu d’obstacles internes.
Son système de filtration très fin et sa capacité de 5 L en font un bon allié pour les piscines exposées aux débris végétaux, au sable ou à une forte fréquentation estivale. En revanche, son gabarit imposant et ses quelques limites en navigation le rendent moins à l’aise dans les piscines très sinueuses avec des recoins étroits.
C’est un robot qui plaira à celles et ceux qui veulent un nettoyage complet du fond, des parois et de la ligne d’eau sans trop se soucier de la technologie embarquée, mais qui accepteront aussi de garder un œil sur lui quand la piscine est vraiment sale.
Vous êtes bien installés sur la terrasse à l’apéro, et voilà que les moustiques débarquent. Face à cette situation irritante, un ventilateur sur pied, même un petit modèle USB peut vous sortir de ce mauvais pas. Il balaie ces insectes importuns et non conviés. Un allié de poids pour des soirées et des nuits sereines.
Ventilateurs protégeant des moustiques, (image générée par IA).
Pourquoi le ventilateur est un rempart aux moustiques ?
Les moustiques aiment les humains mais n’aiment pas le vent. Sur ce point là, le ventilateur peut devenir un bon allier. Les moustiques volent à une vitesse de 1,6 à 2,4 km/h (certaines sources mentionnent jusqu’à 3 km/h). Un flux d’air de 10 km/h à 20 km/h suffit à les désorienter et les empêcher de piquer. Mais ce n’est pas tout. Un ventilateur dissipe le CO₂ que vous expirez, ce qui constitue le principal repère des moustiques pour vous localiser. Le ventilateur refroidit votre peau, ce qui rend votre chaleur corporelle moins repérable.
🌬️🦟 Un chinois a inventé un dispositif anti-moustique en attachant un simple filet à un ventilateur et en plaçant une lumière UV derrière lui.
Les moustiques sont attirés par la lumière et sont ensuite aspiré et pièges dans le filet.
Le ventilateur perturbe le vol des moustiques, rendant leur approche bien plus difficiles. Le débit d’air d’un ventilateur se situe généralement entre 6 000 et 15 000 m³/h, et en général entre 7 à 18km/h de vitesse de souffle, c’est à dire bien plus que le vitesse du moustique. Le débit d’air varie en fonction de la taille et du type de ventilateur (pied, table…). Les ventilateurs oscillant sont les plus efficaces, puisqu’ils permettent de contourner les mouvements en zigzag du moustique. D’après une étude de la National Library Médecine publiée en 2003, la nuisance des moustiques est fortement réduite en présence d’un ventilateur, car ce dernier disperse les signaux humains (CO₂, chaleur et odeur corporelle).
En clair plus il y a de ventilateurs, plus les risques de piqures se réduisent. À la rédaction, nous avons testé cette solution en utilisant quatre ventilateurs répartis sur une terrasse. Nous avons constaté une baisse nette du nombre de moustiques pendant la soirée. Si vous aussi vous souhaitez utiliser cette astuce adaptez le nombre de ventilateurs au nombre de personnes présentes afin que le CO₂ soit dispersé plus facilement.
Le ventilateur par certains aspect peut se montrer bien plus intéressant que les autres équipements de lutte contre les moustiques. Contrairement aux spirales, à labougie (un peu toxique) ou au spray répulsif (très toxique), le ventilateur n’est absolument pas nocif pour la santé et son efficacité bien meilleure en comparaison à celle de la bougie à la citronnelle dont l’efficacité est contestée. Alors un équipement peut encore rivaliser dans ce domaine avec le ventilateur, il s’agit du piège à moustiques fonctionnement au CO₂. Mais le ventilateur possède une double fonction qui peut séduire puisqu’en plus d’éloigner le moustique, il rafraichit.
Si le ventilateur est un bon allié pour vous protéger des moustiques il ne garantit pas une efficacité totale, notamment en cas d’une invasion de moustiques, où son pouvoir peut baisser. De plus il ne fait pas disparaître le problème mais ne fait que l’éloigner. En conclusion, on pourrait dire que la meilleure parade est peut-être d’utiliser plusieurs barrières de protection à la fois. Cet article vous a apporté des éclaircissements ? N’hésitez pas à partager vos commentaires, expériences ou interrogations ci-dessous. Si vous avez repéré une erreur ou souhaitez proposer des améliorations, nous serions ravis de vous lire.
Quand les nuits d’été deviennent étouffantes, une astuce fait le buzz sur TikTok : pointer son ventilateur vers la fenêtre, à l’envers. L’objectif ? Évacuer l’air chaud intérieur pour le remplacer par de l’air plus frais venant de l’extérieur. Mais est-ce vraiment efficace ? Voici ce qu’en disent la physique, les experts, et… votre ressenti.
Placer un ventilateur en direction de l’extérieur plutôt que vers soi peut avoir de quoi surprendre. Pourtant, cette manière de faire qui ressurgit lors des périodes de fortes chaleurs n’est pas nouvelle. Et cette méthode doit être prise au sérieux.
Image ventilateur face à la fenêtre, image Tiktok.
L’idée repose sur un principe simple : en chassant l’air chaud à l’extérieur à l’aide d’un ventilateur, on favorise l’entrée d’air plus frais par une autre ouverture (fenêtre, porte, couloir). C’est ce qu’on appelle la ventilation croisée. Un concept que l’expert en Bionic Les Roberts a expliqué au média britannique Mail Online :
« L’ouverture de fenêtres ou de portes opposées permet à l’air de circuler. Pour une meilleure circulation de l’air, vous pouvez placer un deuxième ventilateur orienté vers l’intérieur au niveau de l’ouverture opposée pour aspirer l’air plus frais dans la pièce, créant ainsi une forte brise transversale. ».
Néanmoins cette technique ne fonctionne que dans certaines conditions bien précises. La réussite de cette astuce dépend aussi du climat externe. Il est donc nécéssaire de le faire uniquement lorsque la température extérieure est plus fraîche que la température intérieure. À noter que ce concept de ventilation croisée est également appuyé par deux lois de la physique que sont le gradient de température1 et la convection naturelle2.
Quels résultats peut-on attendre ?
En procédant ainsi, vous vous offrez une meilleure résistance à la chaleur grâce à des températures respirables. Économiquement, le changement peut également être un aspect bénéfique de cette astuce. Un ventilateur standard (45 à 75 W) consomme en moyenne 10 à 20 fois moins d’électricité qu’un climatiseur mobile (1 000 à 2 500 W), tout en assurant un meilleur confort thermique à moindre coût énergétique. Tout cela à condition que la méthode soit bien utilisée.
Pour résumer voici un petit mode d’emploi de ce qu’il faut retenir sur ce principe de la ventilation croisée :
Placez un ventilateur face à la fenêtre, tourné vers l’extérieur,
Ouvrez une autre fenêtre ou porte opposée,
Ajoutez un second ventilateur à l’intérieur si possible.
Astuce bonus : placez une serviette humide ou une bouteille gelée devant le flux d’air pour un effet fraîcheur. Fermer les volets est également une bonne idée, car cela protège des rayons du soleil et ne fait pas entrer la chaleur.
En période de canicule (≥37 °C), le ventilateur peut brasser de l’air trop chaud,
Si l’air extérieur est pollué (ozone, fumées), mieux vaut ne pas ouvrir,
Attendre le bon moment pour le faire, à savoir entre la fin de soirée et le petit matin où la température baisse et l’air devient donc plus respirable.
Cette astuce simple ne remplace pas une climatisation mais elle permet d’améliorer le confortthermique de manière économique et écologique, surtout la nuit. Bien utilisée, elle peut transformer une nuit moite en un sommeil confortable. Cet article vous a été utile ? Partagez vos réflexions, expériences ou questions en laissant un commentaire ci-dessous. Si vous avez relevé une inexactitude ou souhaitez suggérer des améliorations, faites-le-nous savoir.
Le gradient de température : il désigne la différence de température entre deux zones (par exemple entre l’intérieur et l’extérieur d’une pièce). Lorsque l’air extérieur est plus frais que l’air intérieur, il tend naturellement à entrer si une ouverture lui permet de le faire. Ce différentiel de température est ce qui rend la ventilation croisée efficace. Plus la différence est marquée (par exemple, intérieur à 30 °C, extérieur à 20 °C), plus l’échange d’air est rapide et bénéfique. ↩︎
La convection naturelle : c’est le fait que l’air chaud monte naturellement, tandis que l’air frais reste en bas. Pourquoi ? Parce que l’air chaud est plus léger (moins dense). Il s’élève, et laisse sa place à de l’air plus frais, qui descend. Ce mouvement crée un courant d’air naturel, qui aide à renouveler l’air dans une pièce. ↩︎
Pas besoin d’attendre le 8 juillet : l’aspirateur balai Ultenic U20 passe dès maintenant à 151,19 € grâce à un code promo exclusif.
L’Amazon Prime Day 2025 (du 8 au 11 juillet) n’a pas encore commencé que certains deals font déjà surface. Et celui-ci mérite le détour. L’Ultenic U20, un aspirateur balai sans fil apprécié pour sa légèreté et sa puissance, tombe à 151,19 € au lieu de 179,99 €. Pour en profiter, il suffit d’utiliser le code U20PRIMEDAY lors de la commande. L’avantage ? Le prix de l’U20 pendant le Prime Day (du 8 au 11 juillet) sera de 159,99€. Le prix early bird (du 1er juillet au 7 juillet) est donc plus avantageux que celui qui sera proposé pendant les 4 jours de Prime Day.
Prime Day en avance : une promo déjà active sur l’Ultenic U20
C’est l’un des premiers bons plans électroménager qui s’invite avant même le lancement officiel du Prime Day 2025. L’aspirateur balai sans fil Ultenic U20 passe à 151,19 € sur Amazon, au lieu de 179,99 €. Et ce sans attendre les 8, 9, 10 et 11 juillet, ni même être membre Amazon Prime.
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Sorti à la fin de l’année 2023, l’Ultenic U20 s’est rapidement imposé comme l’un des meilleurs rapports qualité/prix du marché pour les aspirateurs sans fil à moins de 200 €. Il combine une bonne puissance d’aspiration, des accessoires bien pensés et quelques fonctionnalités intelligentes, tout en restant accessible.
Puissance et efficacité sur tous les sols
Avec ses 30 000 Pa de puissance, le U20 tient tête à bien des modèles plus chers. Il est capable d’aspirer efficacement la poussière, les miettes, les cheveux et même les poils d’animaux sur sols durs, moquettes et tapis. Sa brosse motorisée TangleTame™ limite les enroulements de cheveux, ce qui évite d’avoir à la nettoyer trop souvent.
Selon les retours de Maniaques.fr, il assure de très bonnes performances sur les particules fines comme les plus grosses, même si son mode Max peut être un peu bruyant.
Un design bien pensé pour un usage quotidien
Le U20 est léger (environ 2,4 kg avec accessoires) et se manie facilement dans les escaliers ou sous les meubles. Son tube télescopique pliable permet d’aspirer sous un lit ou un canapé sans avoir à se pencher.
L’écran LED indique le mode sélectionné, l’autonomie restante et les éventuels blocages. Un vrai plus pour suivre l’état de l’appareil sans devoir deviner. La gâchette peut aussi rester enclenchée automatiquement, évitant la fatigue lors de longues sessions.
Côté autonomie, comptez jusqu’à 40 minutes en mode standard, et environ 20 minutes en mode Max. C’est suffisant pour faire le tour d’un appartement ou d’une petite maison.
Accessoires fournis
Le U20 est livré avec un ensemble complet pour tout aspirer :
une brosse principale motorisée,
une mini brosse motorisée (idéale pour les coussins ou sièges de voiture),
un suceur long pour les coins,
un support mural pour le ranger facilement.
Un bras qui se courbe pour atteindre les recoins les plus difficiles à atteindre.
Le tout se recharge en 4 à 5 heures via secteur, et le réservoir se vide en un seul geste sans contact avec la poussière.
Une promo qui vaut vraiment le coup ?
À 151,19 € avec le code promo « U20PRIMEDAY« , l’Ultenic U20 rivalise avec des aspirateurs vendus bien plus cher. Il se place en alternative sérieuse aux Dreame T10 ou Xiaomi G9, tout en coûtant 30 à 50 € de moins.
Le prix affiché est identique à celui prévu pour le Prime Day, mais sans obligation d’attendre ou d’être abonné Prime. L’appareil coche toutes les cases pour un usage quotidien, avec un bon compromis entre puissance, autonomie et maniabilité.
Et vous ? Vous avez testé l’Ultenic U20 ou un autre modèle de la marque ? Dites-nous ce que vous en pensez en commentaire.
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Prix cassé, design Apple, livraison rapide… mais qu’en est-il vraiment ? Acheter un Mac reconditionné peut sembler évident, sauf quand on découvre les pièges trop tard.
Le reconditionné a le vent en poupe, surtout dans l’univers Apple. MacBook Air, MacBook Pro ou iMac s’arrachent à prix réduits, présentés comme “comme neufs” ou “testés sur 50 points de contrôle”. Mais dans la réalité, tous les vendeurs ne se valent pas, et certains labels sont un peu trop arrangeants. Voici ce qu’il faut vraiment vérifier avant d’acheter en 2025.
Les pièges à éviter quand on achète un Mac reconditionné
Premier réflexe : ne jamais se fier uniquement au prix. Si une annonce affiche un MacBook Pro 2021 à moitié prix, avec une garantie floue et une mention “état correct” sans autre détail, méfiance.
Autre point flou : les grades esthétiques. “Très bon état”, “parfait état”, “comme neuf”… Chaque plateforme a sa propre échelle, et un même terme peut recouvrir des réalités très différentes. Un “parfait état” peut ainsi inclure une rayure profonde sur le capot si l’écran est intact.
Le plus sournois reste l’état de la batterie. C’est rarement mis en avant, alors que c’est un critère clé sur un MacBook. Or, une batterie en dessous de 80 % de capacité maximale nécessitera un remplacement sous 6 à 12 mois… à vos frais.
Enfin, la provenance est rarement mentionnée. Certains appareils viennent de lots professionnels ou d’autres pays. Ce n’est pas un problème en soi, sauf si cela rend la garantie inopérante ou rend plus complexe un échange.
Pourquoi le Mac reconditionné reste malgré tout un bon plan
Une fois les bons réflexes adoptés, le Mac reconditionné reste une solution futée. Les performances sont souvent identiques à celles d’un modèle neuf, surtout depuis les puces M1 et M2 qui tiennent largement la route.
Le tout pour un prix bien plus accessible : un MacBook Air M1 256 Go peut se trouver autour de 700 €, contre 1199 € sur le site Apple. En reconditionné, l’économie peut dépasser 400 €, sans sacrifier la fiabilité.
Et à l’heure où Apple allonge la durée de vie de ses appareils via les mises à jour logicielles, même un modèle de 3 ou 4 ans reste un excellent investissement.
Pourquoi choisir Certideal pour son Mac reconditionné ?
Certideal est une plateforme française spécialisée dans les produits reconditionnés. Tous les Mac y sont testés sur plus de 30 points de contrôle, avec une vérification poussée de la batterie, de l’écran, du clavier et des ports. Contrairement à d’autres vendeurs, Certideal réalise l’ensemble du reconditionnement en France, dans ses propres ateliers.
Plus de 400€ de différence sur les nouveaux modèles c’est pas négligeable pour du parfait état.
Les fiches produits affichent clairement l’état esthétique, la capacité de batterie et la date de mise en circulation. Autre point rassurant : une garantie de 12 à 24 mois est incluse, avec une politique de retour simple. Sur les gammes Mac, on trouve des MacBook Air, Pro et iMac récents, compatibles avec les dernières versions de macOS et disponibles avec différentes configurations de mémoire et de stockage.
En résumé : pas de surprise à la réception, et un service client basé en France en cas de besoin.
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Les premières vagues de chaleurs annonçant le début de l’été ont fait leur apparition et la question du meilleur équipement contre les fortes températures se posent à nouveau. À cette occasion Rowenta enseigne phare sur le marché des ventilateurs lance des promotions sur de nombreux produits.
Néanmoins, il n’est pas toujours simple de s’y retrouver parmi l’ensemble de la gamme dont les noms et les références des produits peuvent parfois prêter à confusion. C’est pour cela, que nous nous sommes plongé dans les promotions actuellement mises en place par Rowenta, afin de pouvoir vous éclairer et vous guider dans votre choix. Voici donc une sélection des ventilateurs silencieux en promotion (par ordre de prix décroissant) proposés par la marque en ce moment !
Rowenta Eclipse 3-en-1 Connect : le plus complet
Si vous recherchez une solution polyvalente pour purifier l’air, vous réchauffer ou vous rafraîchir selon les saisons, le Rowenta Eclipse 3‑in‑1 Connect est une occasion à saisir. Avec seulement 32 dB en mode ventilateur, c’est l’un des modèles les plus silencieux de sa catégorie. Comme ses concurrents, il propose une oscillation multi‑angles (0°, 30°, 60° et 90°) pour couvrir efficacement toute la pièce.
Sa diffusion est musclée : avec une vitesse d’air de 2,4 m/s et un débit de 358 L/s (soit environ 1 290 m³/h), son souffle peut atteindre jusqu’à 8 m de portée, idéal pour rafraîchir un salon ou un grand bureau. Ce Rowenta propose un vrai confort connecté : application Pure Air, mode nuit, chauffage céramique, oscillation réglable… bref, un trois‑en‑un malin et efficace toute l’année. Disponible en ce moment à seulement 349,99 € au lieu de 499,99 €, c’est une bonne affaire.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Niveau sonore
32 dB (mode ventilateur)
Dimension & poids
25,5 × 85,1 × 25,5 cm – Poids : 7,24 kg
Consommation d’énergie
40 Watts
Débit d’air
1290 m³/heure
Rowenta Turbo Swift Silence : le ventilateur silencieux
Si vous rêvez d’une nuit au calme, le ventilateur Turbo Swift Silence, alors la promotion de ce produit est une bonne occasion à saisir. Avec seulement 20 dB, il est le ventilateur le moins bruyant de tous les ventilateurs silencieux. Comme ses concurrents, il bénéficie d’une oscillation jusqu’à 120 degrés permettant de rafraichir l’ensemble de la pièce. Petit bémol de ce produit, sa puissance. Avec un débit d’air de 30 m³/min soit 1800 m³/heure, il est principalement destiné aux petits espaces comme les bureaux ou les chambres. Le produit est disponible à partir de 99,99€ sur certains sites marchands au lieu de 119,99 €.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Niveau sonore
20 dB
Dimension & poids
14,5 cm L x 72 cm H x 14,5 cm – Poids : 4,6 kg
Consommation d’énergie
36 Watts (environ 1,90 € par mois pour 8 heures d’utilisation par jour)
Débit d’air
30 m³/min soit 1800 m³/heure
Rowenta Turbo Silence : le ventilateur économique
Avec douze vitesses de ventilation, ce ventilateur offre un large choix de ventilation à ses utilisateurs selon les besoins de chacun. Il peut apporter une légère brise comme un courant d’air puissant. Doté d’un mode nuit à 35 dB grâce à la technologie de moteur Effitech, le Turbo Silence assure un rafraîchissement intense et discret. Il se distingue aussi par sa faible consommation d’énergie qui ne dépasse pas les 32 Watts. Comme plusieurs produits de la marque Rowenta, il peut être réparé facilement à un prix abordable, grâce à un réseau de 6200 réparateurs à travers le monde. Ce produit est disponible à partir de 99,99 €.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Niveau sonore
35 dB
Dimension & poids
60 L x 140 H x 50 P cm – Poids : 5,83 kg
Débit d’air
Non renseigné
Consommation énergétique
32 Watts (environ 1,5€ par mois pour 8 heures d’utilisation par jour)
Rowenta Turbo Silence Extrême (VU5640F0) : le ventilateur puissant
Ce produit conviendra parfaitement aux utilisateurs en quête d’une puissance d’aération optimale. Le Silence Extrême propose une intensité d’aération pouvant garantir jusqu’à 72 m3/min en vitesse maximum. Il permet un rafraîchissement sur mesure, grâce à son mode Silent Night et Turbo Boost. Il offre également un flux d’air adaptable grâce à une oscillation de 120 degrés. Sa taille est modulable. Sa hauteur varie de 1m30 à 1m40. En contrepartie de sa puissance élevée, ce ventilateur bien que silencieux est légèrement plus bruyant que ses concurrents et sa consommation d’énergie est également plus importante. Pour les clients désirant un ventilateur avec une puissance d’air optimale, ce ventilateur est en vente à partir de 79,99 € au lieu de 99,99 €.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Niveau sonore
45 dB
Dimension & poids
45 P, x 43 L, x 132 H cm – Poids : 8,85 kg
Débit d’air
72 m³/min soit 4 320 m³/heure.
Consommation énergétique
70 Watts (environ 3,70€/mois, pour 8 heures d’utilisation par jour)
Rowenta Turbo Silence Extrême : la meilleure promo ?
Le Rowenta Turbo Silence Extrême (VU5690F0) est un bon compromis entre les différents ventilateurs silencieux proposés par la marque. Il possède à la fois un niveau sonore assez faible avec 32 dB et la troisième meilleure puissance de cette sélection. Comme l’ensemble des modèles, il possède une oscillation à 120 degrés. Sa hauteur est ajustable, ce qui n’est pas le cas de tous les produits de la marque. Sur Amazon, ce produit est actuellement disponible pour le prix de 99,99 € au lieu de 130,00 € initialement.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Niveau sonore
32 dB
Dimension & poids
60 cm L x 140 cm H x 50 cm P – Poids : 8,8 kg
Débit d’air
66,5 m³/min = 3 990 m³/h
Consommation énergétique
32 Watts (environ 1,50€ par mois pour 8 heures par jour)
Une alternative à ce produit existe avec le Turbo Silence Extrême (VU5670F2). Comme son prédécesseur, il possède un débit d’air de 72m³/min soit 4 320 m³/heure. Il possède cependant l’avantage d’être plus discret de son concurrent puisqu’il possède un niveau sonore de 35 dB. Il dispose également de 5 vitesses dont Turbo Booster et Silent Night qui assure un sommeil calme et rafraîchissant. Il est actuellement vendu par la marque au prix de 99,99 €.
Chez Meilleure-Innovation, on a passé plusieurs jours a chercher et essayer des anti-moustiques efficaces. Si on vous disait qu’il existe une solution high-tech, inspirée directement de la façon dont nous respirons ? Les pièges à moustiques au CO₂ reproduisent le souffle humain pour attirer ces indésirables avant de les capturer. On a passé en revue les modèles les plus populaires du moment : on espère que ce comparatif vous plaira et qu’il vous sera utile !
“L’homme est un loup pour l’homme”, disait Hobbes. Eh bien à ce compte-là, le moustique n’est-il pas un tigre pour l’homme ?
Avec environ 800 000 morts par an dans le monde, le moustique est l’animal le plus meurtrier, à cause des maladies qu’il transmet par sa piqûre. Bien qu’en France métropolitaine, nous soyons épargnés par le Chikungunya, la fièvre jaune ou encore le virus Zika, on a pu récemment enregistrer une hausse des cas de dengue, autre affliction pouvant (rarement) se révéler mortelle. Si le risque de contamination demeure très faible aujourd’hui, le sujet reste sérieux, outre les désagréments habituels causés par la trompe de ces faméliques et invasifs vampires de jardin.
Dans une étude du CNRS publiée en 2024, des scientifiques estiment que le moustique tigre a causé plus de 95 milliards de dollars de dépenses à l’échelle mondiale entre 1975 à 2020 !
Aux grands maux, les grands remèdes : lâchez les produits gadgets comme les spirales, les lumières bleues ou les sprays… À la place, nous vous présentons des solutions vraiment efficaces pour réduire significativement le nombre de ces petits prédateurs d’hémoglobine humaine. On ne vous cache pas qu’elles sont relativement onéreuses, mais durables et particulièrement mosquitocidaires !
Voici 5 pièges (ou ‘bornes’) anti-moustiques (dont un bonus & naturel défiant toute concurrence) qui feront sans doute la différence lors de vos apéros en terrasse. N’oubliez pas de lire nos précieux conseils avant l’achat d’une borne, en fin d’article.
1. Biogents : la solution évolutive la plus accessible !
À l’origine, le piège fabriqué par la marque allemande Biogents se résume en un drôle de récipient à hauteur de tibia, qui diffuse par les interstices de son couvercle blanc une odeur proche de celle d’un corps humain. Attirés, les moustiques se présentent à l’embouchure d’un tuyau central, tombent dans un filet et empruntent le chemin de l’enfer par déshydratation.
Pour employer ce caveau d’insectes à bon escient, il vous faut :
le brancher à une prise électrique via une rallonge, afin de ventiler l’attractif et d’aspirer les moustiques ;
le positionner à l’ombre, si possible près de la végétation et à l’abri du vent (utilisable à partir de 15°C). Biogents recommande de le positionner à plus de 5m de votre terrasse ;
installer une recharge BG-Sweetscent (durabilité : 2 mois) ;
laisser tourner 24h/7j à 5 Watts (l’appareil est relativement silencieux) pendant quelques jours/semaines pour constater des résultats.
Nota Bene : vous pouvez vous procurer 6 mois de recharge pour 52,90 €.
Vous souhaitez décupler l’efficacité de ce produit ? Biogents vous propose un kit CO2 (indispensable de notre point de vue) qui permet de multiplier par 5 les captures de moustiques tigre, mais aussi attirer toutes les espèces de moustiques dont le moustique commun qui nous pique principalement en fin de journée et la nuit. Avec une bouteille de 10 kg (non incluse), vous boostez votre piège pendant une vingtaine de jours. À ce titre, pour optimiser la consommation de gaz, l’accessoire ‘timer’ (pile de 9V non incluse) vous permettra de programmer les horaires de diffusion de CO2 pour optimiser la consommation de votre bouteille (et faire de sacrées économies).
Testé et approuvé par de nombreux utilisateurs qui ont l’habitude de se faire dévorer dès qu’ils ont le malheur d’arpenter leur potager, ce piège Biogents est recommandé par l’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire), notamment dans leur rapport de 2021. Si bien que même les autorités publiques de plusieurs pays ont adopté ce système pour protéger la population.
Ce piège représente clairement le meilleur rapport qualité/prix du marché. Il est aussi efficace que d’autres pièges bien plus chers et ne consomme quasiment rien en énergie. Le clapet qui se ferme automatiquement quand on coupe l’électricité, ainsi que la longueur du câble électrique et du câble à CO2 sont des atouts par rapport à d’autres pièges. Cependant, on aimerait une version ‘premium’ plus design permettant de cacher la bouteille de CO2 et d’intégrer le timer, voir de rendre le produit connecté pour le contrôler facilement à distance et recevoir des rappels pour les recharges.
Efficacité : 4,5/5. Nous avons attrapé environ 40 moustiques par jour lors de nos tests, la moyenne communiquée par la marque est de 30.
Design : 2/5. C’est le seul axe d’amélioration du produit. Vous pouvez néanmoins le camoufler dans la végétation de votre jardin (« c’est aussi là où il est le plus efficace » d’après le fabricant) ou cacher la bouteille assez facilement (abris, caisson, housse, …).
Consommation électrique : 5/5. Moins de 1€ par mois, c’est le moins énergivore du marché.
Prix : 4,5/5. C’est le meilleur rapport qualité / prix / efficacité du marché.
Attractifs : 5/5. C’est le meilleur prix du marché par rapport à la durée de vie des attractants (environ 50€ pour 6 mois). Ils sont aussi performants (si ce n’est plus) que les autres d’après nos tests lors de l’été 2024.
Bruit : 4/5. Nous avons calculé 45 décibels à moins de 1m et 39 décibels à 3 mètres. On vous conseille donc de la positionner à plus de 3m minimum pour ne pas être gêné. Biogents conseille 5m minimum.
Connectivité / Programmation : 3,5/5. Il n’y a malheureusement pas de connexion à distance (bluetooth ou wifi) mais l’accessoire TIMER répond à la plupart des besoins.
Dimensions de la borne : 37cm de diamètre par environ 40cm de haut
2. Borne Willo de Wiliv : anti-moustique mais pas anti-esthétique !
À présent, on passe dans le milieu de gamme. Vous aviez remarqué que le design du piège précédent laisse un peu à désirer. Pour pallier ce problème, il existe un produit d’une marque française : la borne Willo de Wiliv commercialisée depuis l’été 2024 et made in France. Elle fonctionne exactement sur le même principe de biomimétisme que le piège de Biogents, mais l’objet est nettement plus décoratif. Avec sa lumière intégrée, on dirait une sorte de veilleuse, si bien qu’on pourrait presque regretter de la laisser à 5 ou 10 mètres de la maison !
Pour y voir plus clair, voici quelques avantages intéressants qui justifient les 849 € de la borne achetée seule(999 € avec la bouteille de CO2 de 5 kg et un attractif olfactif pour 1,5 mois) :
une application mobile Wiliv qui fonctionne via Bluetooth, afin d’estimer et de programmer sa consommation de CO2, mais également de profiter d’un accompagnement sur les gestes de prévention, le placement du piège et l’identification des types de moustiques à chasser ;
en plus d’être robuste, grâce à un habillage en métal époxy pour une durabilité accrue, et de résister aux intempéries, la borne est assez légère (11 kg) et compacte (74,7 x 39,7 x 22,7 cm), et fonctionne avec des bouteilles de 5 kg, à recharger toutes les 2 à 4 semaines ;
Les consignes de placement de la borne sont les mêmes que les autres pièges : à l’ombre, à proximité de la végétation, et protégée des vents trop forts. Pour garantir une efficacité à son meilleur potentiel, n’oubliez pas de nettoyer régulièrement le filet et le cône d’aspiration du piège.
Dimensions de la borne : H : 74,7 cm x L : 39,7 cm x l : 22,7 cm
Le récap et l’avis de la rédaction
Ce piège possède le meilleur design du marché. Il fait partie des plus efficaces et consomme très peu d’énergie. Cette borne compacte et connectée ne peut malheureusement que contenir des bouteilles de 5kg seulement (vérifiez que vous avez un fournisseur de CO2 proche : nos conseils et liens à ce sujet à la fin de l’article).
Efficacité : 4,5/5. Tout comme la première borne de ce classement, nous avons attrapé environ 40 moustiques par jour lors de nos tests, la moyenne communiquée par la marque est de 30.
Design : 4/5. La borne est vraiment design et se fond dans le décor. Nous regrettons néanmoins la longueur du câble électrique bien trop court (la marque conseille de faire le branchement à l’intérieur avec une rallonge / prolongateur de 1,5mm² max), l’absence de clapet pour le filet de captures en cas de coupure électrique, et l’absence d’une version compatible avec des bouteilles à CO2 de 10 kilos. Le remplacement plus régulier du CO2 sur cette borne peut devenir contraignant et plus couteux : le rechargement des bouteilles coûte bien plus cher par kilo de CO2 sur les 5kg vs les 10kg. Enfin, pour le prix, on aimerait qu’une bâche de protection soit disponible et offerte (la marque nous indique que cela sera le cas en 2025).
Précisions de la marque concernant son choix d’un format de 5kg : ‘Nous avons porté une attention particulière à l’ergonomie et au poids du piège ainsi qu’au poids de la bouteille de CO2. En effet, nous avons fait le choix du 5 kg (14 kg quand la bouteille est pleine) compte tenu de nombreux retours clients sur la difficulté de porter/manipuler des bouteilles de 10 kg pleines de gaz (26 kg quand elles sont pleines). Willo se veut pratique et très facile à installer, porter, déplacer, … peu importe l’âge et la « force » du client.‘
Consommation électrique : 4,5/5. Environ 1,5€ par mois.
Prix : 4/5. Cette borne reste assez chère mais elle est fabriquée en France et dispose d’atouts uniques, un bon rapport qualité/prix se situerait aux alentours de 700€ selon nous.
Attractifs : 4/5. La marque propose des attractants qualitatifs mais plus cher et moins durables (30€ – durée : 1,5 mois) que ceux de Biogents, qui fonctionnent aussi très bien sur cette borne.
Bruit : 4/5. Nous avons calculé 45 décibels à moins de 1m et 39 décibels à 3 mètres. On vous conseille donc de la positionner à plus de 3m minimum pour ne pas être gêné.
Connectivité / Programmation : 4/5. L’application est simple, ergonomique et intuitive. On regrette l’absence d’option pour une connexion à distance (wifi + cloud) et le peu d’options de configuration de la lumière.
3. Qista BAM VISIO+ : la borne anti-moustiques française connectée !
Très populaire aussi bien sur le terrain B2B que B2C, la marque française Qista, lancée en 2014, a été remarquée par la revue scientifique Animals dans le cadre d’un article sur la lutte internationale contre les moustiques et les dangers qu’ils représentent pour l’homme. Elle compte près de 13 000 bornes installées dans plus d’une centaine de collectivités et villes dans 36 territoires en France et à travers le monde.
Dimensions de la borne : Hauteur : 82,5 cm, Profondeur : 52 cm, Largeur : 32,3 cm.
Qista BAM VISIO+ est la borne connectée la plus puissante que nous avons testée. Le procédé est le même : du CO2 pour imiter la respiration humaine, et un leurre olfactif (fabriqué par Qista) imitant l’appétissante odeur de notre peau de primate ! Seules les femelles moustiques seront attirées façon pub Axe, puis aspirées dans un funeste filet. Comme pour les autres pièges de ce comparatif, les autres insectes utiles à l’écosystème resteront en mode OSEF.
Selon Qista, les atouts de la borne sont nombreux :
vous pouvez facilement suivre l’évolution des performances de votre machine grâce à un capteur optique et un algorithme capables de vous dresser un rapport de captures sur une période donnée,
vous pouvez paramétrer et contrôler la borne sans être chez vous grâce à sa connexion Wifi,
vous pouvez utiliser une bouteille de CO2 de 10 kilos,
la borne dispose d’un clapet pour bloquer les moustiques en cas de coupures électriques,
vous pouvez paramétrer des ‘groupes de bornes’, ce qui est très pratique quand on en a plusieurs (principalement pour les entreprises ou les grands domaines comme Karine Le Marchand et son domaine des Belles âmes.).
vous pouvez prendre une option d’entretien annuel (nettoyage de la borne, changement des attractants & du CO2) qui peut s’avérer également pratique.
vous bénéficiez d’un support/SAV et de techniciens réactifs et présents partout en France.
Pour l’installer au meilleur endroit, vous pouvez procéder à une étude d’implantation avec votre conseiller ou directement sur l’application Qista (prochainement). En effet, l’idée est de trouver un endroit stratégique, proche des nids de moustiques, avec un minimum d’obstacles pour la diffusion du gaz. Si vous vous débrouillez bien, vous pouvez espérer une réduction de piqûres à hauteur de 88%, mais seulement après 3 ou 4 semaines d’après la société. En effet, les oeufs de moustiques de votre jardin peuvent mettre du temps à éclore, et vous allez avoir quelques nouvelles salves même après installation de votre nouveau matériel.
Nota Bene : il est possible d’équiper les bornes d’un panneau solaire afin de les rendre autonomes.
Concernant les coûts, cette borne Qista est proposée à partir de 1449€ (sans consommables : CO2 & attractants). C’est relativement cher, mais les services et les fonctionnalités du produit peuvent répondre à certains besoins.
Où acheter la borne à moustiques QISTA au meilleur prix ?
Qista semble proposer une borne et des services très attractifs. Néanmoins malgré ses atouts et sa connectivité, son efficacité, son bruit ainsi que par son module unique de comptabilisation des moustiques en font une solution moins efficace que les précédentes. Elle nous semble par ailleurs moins adaptée pour les particuliers ayant besoin d’une seule borne ou disposant d’un espace extérieur restreint.
Efficacité : 2,5/5. Malgré plusieurs essais dans les mêmes conditions1 que les autres bornes, nous n’avons attrapé qu’en moyenne 10 moustiques par jour. Précisons que la moyenne communiquée par la marque est de 30.
Design : 3/5. La borne est sobre et qualitative d’un point de vue de l’esthétique. Elle peine néanmoins à se fondre totalement dans le décor en raison de ses parties blanches et de son gros boitier diffuseur d’attractants. On apprécie en revanche la taille compatible avec des bouteilles de 10kg ainsi que le verrou avec un jeu de clés pour sécuriser l’accès à la bouteille et au filet.
Consommation électrique : 4/5. Environ 2€ par mois, c’est la borne avec le ventilateur le plus puissant mais aussi celle qui consomme le plus (22W environ quand elle est active, et 5W environ le reste du temps).
Prix : 3/5. Cette borne est relativement chère mais dispose d’atouts et de services uniques. Et son prix est similaire à son concurrent direct ‘Ma Boite à Moustique’. Nous ne la recommandons pas pour les particuliers ayant besoin d’une seule borne ou avec un espace extérieur restreint.
Attractifs : 3/5. La marque propose des attractants qualitatifs mais ce sont les plus chers et les moins durables du marché (27,5€ – durée : 1 mois).
Bruit : 2,5/5. Nous avons calculé 55 décibels à moins de 1m et 45 décibels à 3 mètres (de son côté la marque indique 55db à 6 mètres et 45db à 10 mètres). Cette borne est la plus bruyante parmi celles que nous avons testée. De plus, elle comprend 2 ventilateurs (1 pour la capture et 1 pour la diffusion) avec une fréquence différente, ce qui rend le bruit encore plus important. Il est donc conseillé de la positionner à plus de 10m minimum pour ne pas être gêné.
Connectivité / Programmation : 4,5/5. L’application avec une connexion WIFI est simple, ergonomique et intuitive. Le seul bémol : l’obligation de sélection de plages horaires de 10h minimum par jour (6-8h nous aurait mieux convenu) ainsi que le manque d’intelligence de la borne (pas d’arrêt automatique en cas de pluie ou de vents forts).
Comptabilisation par capteur optique : 1/5. L’idée du « monitoring est géré par capteur optique piloté par un algorithme avancé pour un suivi encore plus précis » est bonne et ingénieuse. La possibilité d’avoir un graphique pour suivre la tendance de ses captures par jour, semaine, mois ou encore d’une année à l’autre peut-être très intéressante et pertinente. Toutefois, nous avons relevé un taux d’erreur de comptabilisation de 99% dans le cadre de notre essai. La marque que nous avons contactée à cet égard, n’a pas su régler le problème mais a indiqué que le taux d’erreur moyen était de 15-20% habituellement.
4. Ma boîte à moustique : la solution la plus sophistiquée ?
Tout comme la borne Willo, on apprécie le travail de design apporté à Ma Boite à Moustique, qui permet même d’ajouter une plante sur le dessus pour encore plus la fondre dans le petit écosystème de votre jardin. À la manière de Qista, vous pouvez compter sur un professionnel pour étudier la zone et vous donner des recommandations afin d’exploiter tout le potentiel de ce piège biomimétique.
100% made in France selon les standards de qualité obligatoires, elle fonctionne avec des bouteilles consignées de CO2 biosourcées (5 ou 10 kg), rechargeables auprès d’un distributeur local implanté à plus de 140 emplacements en France. Quant à l’attractif qui imite l’odeur de la peau humaine, il s’agit du même que Biogents, le fameux “Mozzibait”.
Mais là où Ma Boîte à Moustique semble vraiment intéressante, c’est sur la consommation de CO2, avec :
une application (non-obligatoire) à connecter en Bluetooth pour surveiller la consommation de CO2 et programmer à des créneaux horaires une diffusion entre 0,2 et 0,4 litres/min ;
un brevet de machine intelligente, avec un algorithme capable de s’appuyer sur des données locales (hygrométrie, pluie, température, etc.) pour cibler les moments où les moustiques sont les plus présents ;
plusieurs modes : automatique, qui répartit les valeurs sur trois plages horaires (06h00-08h00, 16h00-20h00 et 20h00-22h00), forcé (CO2 à fond de de 06h00 à 23h00) manuel, ou pluie (qui réduit la consommation de CO2 dès qu’il pleut).
Autrement dit, vous avez toutes les cartes en main pour optimiser votre consommation de CO2 juste avec votre smartphone. En somme, une solution tout à fait intéressante pour protéger les cours ou grands jardins, quitte à diviser les coûts (1260 €) entre copropriétaires ou voisins… De notre point de vue cette borne s’adresse principalement aux entreprises et collectivités.
Où acheter la « Boite à Moustique’ au meilleur prix ?
Une solution écologique et effroyablement stylée pour attraper les moustique et en faire de la bat-pâtée !
Nos 4 conseils avant d’acheter votre borne à moustiques
Ne pas laisser d’eau stagnante proche de chez vous. Vérifiez bien à au moins 100 mètres autour de votre maison et réglez les problèmes d’eaux stagnantes (coupelle, regards, baches mal tendues, ..).
N’oubliez pas de prendre en compte le coût des attractants (à partir de 50€ pour 6 mois en fonction des marques) et des recharges de CO2 (à partir d’environ 20/25€ par mois + le prix de la consigne).
Vérifiez que vous avez un fournisseur de CO2 proche de chez vous.
Vérifiez que vous pouvez installer votre piège à une distance d’au moins 3 mètres de votre terrasse pour ne pas être dérangé par le bruit.
Nos 4 conseils pour optimiser l’usage de votre borne à moustiques
Utilisez la borne dès le mois de Mai pour limiter la reproduction des moustiques et gagner en efficacité pour le reste de l’été ! Une seule femelle moustique tigre capturée, c’est jusqu’à 1000 oeufs de moustiques tigres en moins.
Placez votre borne au meilleur endroit : demandez conseils à votre vendeur ou faites des tests à plusieurs endroits. Cela peut tout changer en terme d’efficacité !
Utilisez la fonction C02 de la borne à minima 6h par jour aux heures du passage des moustiques (souvent tôt le matin et en fin de journée). Une utilisation adaptée aux meilleurs horaires permet de prolonger la durée de vie de la bouteille de CO2.
Désactivez votre borne en cas de vents forts ou de pluie. N’oubliez pas de la réactiver une fois que les intempéries sont passées, car un temps humide offre des conditions idéales pour les captures.
Questions Fréquentes
Quel est le meilleur moyen de lutter contre les moustiques ?
Supprimer les points d’eau stagnants (ou les recouvrir) et installer un nichoir à chauves-souris. Il existe également une dizaine d’écogestes pertinents que l’on vous conseille de découvrir sur qista.com/fr/10-ecogestes-antimoustiques/ et bordeaux-metropole.fr/a-votre-service/services-aux-particuliers/environnement-sante/comment-supprimer-moustique-tigre. Si cela ne suffit pas, l’achat d’une borne anti-moustiques peut être utile.
A quelle distance un moustique peut-il nous voir ?
La plupart des sources scientifiques indiquent une perception du CO2 grâce à l’odorat jusqu’à 30m en moyenne. Entre 1 et 10 mètres de distance, le moustique se sert ensuite de sa vue pour identifier la source de la respiration. Enfin, à moins de 1 mètre, le moustique détecte la signature thermique et l’humidité de sa proie. Sources : francetvinfo.fr, ncbi.nlm.nih.gov, orkin.com, radiofrance.fr.
A quelle distance de son lieu de naissance peut aller un moustique ?
D’après les scientifiques, la plupart des moustiques se déplacent de 1 à 15 kilomètres, mais certaines espèces peuvent aller jusqu’à 65 kilomètres. Source : vdci.net/mosquito-biology-101-life-cycle/.
Quelle est la durée de vie moyenne d’un moustique ?
Cela dépend des espèces et de l’environnement mais les scientifiques s’accordent à donner une moyenne de 2 à 3 semaines pour les moustiques mâles. Les femelles peuvent par contre vivre en moyenne 6 semaines, mais certaines jusqu’à plusieurs mois. Pour plus d’infos sur ce sujet : cmmcp.org/mosquito-information/faq/how-long-do-mosquitoes-live.
Où acheter une bouteilles de CO2 en France ?
Voici quelques liens pour trouver un fournisseur proche de chez vous : wiliv.com/carte-points-vente/, eho-energies.fr/vos-energies-pres-de-chez-vous/ et graines-caillard.com/CO2. A noter que les distributeurs de boissons / bières proposent en général ce service (exemple : la chaine nationale ‘V and B’). Enfin, certains e-commerçants proposent l’échange à domicile (exemple : achatnature.com).
À quels moments de la journée les moustiques sont-ils les plus actifs ?
Le moustique tigre est principalement diurne, c’est-à-dire qu’il est actif pendant toute la journée. Il a des pics d’activité surtout à l’aube et au crépuscule. En revanche, le moustique commun est nocturne. Il est actif du crépuscule à l’aube, piquant surtout pendant la nuit.
Quels sont les mois pendant lesquels les moustiques sont actifs en France ?
Concernant les moustiques tigres : de mai à fin novembre avec un pic entre juin et septembre. Concernant les moustiques communs, entre avril et novembre avec un pic d’activité entre juin et août.
Que penser des lâcher de coccinelles pour lutter contre les moustiques ?
C’est une légende, il n’y a pas de lâcher de coccinelles C’est un phénomène qui se produit lorsque deux conditions sont réunies : une migration des coccinelles due au manque de nourriture et la présence de la tramontane pendant cette migration. Incapables de lutter contre la force de ce vent, elles sont repoussées vers la mer, notamment dans le sud-est de la France. Ne pouvant pas nager, elles se posent dès qu’elles aperçoivent l’océan, ce qui explique leur prolifération occasionnelle sur les plages.
Comment supprimer les points d’eau stagnants pour les moustiques, notamment les moustiques tigres ?
Le moustique tigre agit dans un rayon de 150 mètres autour de son point de ponte. Pour pondre (environ 200 oeufs), la femelle a besoin d’un point d’eau stagnant pendant environ 5 jours, la plupart du temps dans les récupérateurs d’eau, les regards de gouttière ou encore sous les terrasses. Voici quelques tutoriels pratiques réalisés par la Mairie de Bordeaux :
Installer une moustiquaire sur un regard de descente d’eau pluviale.
Supprimer les larves de moustiques sous une terrasse sur plots
Installer une moustiquaire sur un récupérateur d’eau de pluie
Note de transparence : ce comparatif a été réalisé par notre rédaction dans des conditions non-laboratoires, avec une volonté de tester et comparer les produits de manière aussi juste et objective que possible. Bien que les tests aient eu lieu au même emplacement dans des conditions de températures et de périodes similaires, il n’a pas été techniquement possible de les effectuer le même jour pour chaque produit. Ce n’est d’ailleurs pas recommandé par les fabricants. Les résultats rapportés sont donc ceux observés dans ces conditions spécifiques et peuvent différer des performances moyennes communiquées par les fabricants.↩︎
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Les aspirateurs-balais ont séduit le public par leur grande praticité : maniables, généralement sans fil et souvent 2-en-1, ils permettent de gagner de la place dans un studio et de servir d’appareil d’appoint pour l’étage des grandes maisons. Bien sûr, un grand nombre de marque sont entré dans l’arène après Dyson : Eureka, Dreame, Shark, Rowenta, etc.
Mais comment s’y retrouver dans cette jungle de modèles aux promesses souvent trop brillantes ? Voici un guide clair pour choisir le bon appareil, selon vos véritables besoins.
Pourquoi choisir un aspirateur balai ?
L’aspirateur balai, c’est un peu le couteau suisse du ménage moderne. Sans fil, léger, souvent convertible en aspirateur à main, il séduit par sa grande flexibilité. Il permet de s’émanciper du gros traîneau que l’on doit brancher, rebrancher, traîner à bout de bras en se coltinant un tintamarre à plus de 80 dB. En 2025, il existe même des balais capables de rivaliser avec des traîneaux haut de gamme, du moins en termes de puissance. Certains… Mais pas tous !
Les 9 principaux critères à examiner lors de votre achat.
1. L’autonomie : combien de temps pouvez-vous nettoyer sans recharger ?
C’est l’un des points faibles généralement relevés sur les aspirateurs-balais. Certes, les meilleurs modèles offrent entre 45 et 70 minutes d’autonomie en mode éco, comme le Rowenta X-Force Flex 14.60.
L’articulation inversée est encore clairement sous-côté…
Cependant, en mode boost, cette durée peut chuter à 10-15 minutes. Pour les grandes maisons, le mieux reste d’opter pour une batterie amovible et de s’offrir une seconde batterie pour doubler l’autonomie, comme pour le Dyson V7 . Cela vous coûtera entre 30 et 50 €.
Astuce : vérifiez le temps de recharge, généralement entre 3 et 5 heures selon les modèles.
2. La puissance d’aspiration : l’élément central
Exprimée en Air Watts (AW), la puissance traduit la capacité à décoller les saletés, surtout dans les tapis. En dessous de 120 AW, l’aspiration sera limitée. À partir de 175 AW, on parle de modèles très performants, comme le Tineco Pure One A50S ou le Dreame T30. Pensez aussi au bruit : autour de 70 dB, c’est confortable. Au-dessus, ça devient vite agaçant.
Bonus 2025 : de plus en plus de modèles adaptent automatiquement la puissance selon la saleté détectée.
3. L’ergonomie : votre poignet vous dira merci
Un bon aspirateur balai, c’est un appareil bien équilibré, facile à manier, avec une tête pivotante et inclinable à 180°, parfois un tube flexible pour passer sous les meubles sans avoir à se plier en deux. Certaines marques comme Dyson et Rowenta proposent une articulation en accessoire supplémentaire pour augmenter votre portée sous les meubles sans vous baisser.
Même des aspirateurs-balais tout simples peuvent se doter de LED.
Astuce : privilégiez les modèles avec éclairage LED ou laser à l’avant, ce qui permet de visualiser la poussière, même dans les coins sombres.
4. Le poids : le nerf de la guerre pour les escaliers et les séniors
Comptez entre 1,5 kg pour les ultra-légers et supérieur à 4 kg pour les plus costauds. Les modèles les plus puissants sont souvent plus lourds. Si vous avez une grande maison avec des escaliers ou des soucis de mobilité, visez moins de 3,5 kg (Shark IZ140C, Dyson Detect Absolute). Au-delà de 5 kg, attention à la tendinite, surtout si vous avez beaucoup de surface à aspirer !
5. La filtration : indispensable pour les allergiques
Le standard en 2025, c’est le filtre HEPA 13 ou 14, capable de bloquer 99,95 % à 99,995 % des particules fines. Idéal pour les foyers avec animaux ou enfants en bas âge. Les meilleurs modèles intègrent des systèmes totalement étanches, évitant les rejets de poussières fines dans l’air.
Privilégiez les filtres lavables, qui limitent les coûts d’entretien tout en assurant une efficacité durable. Pensez aussi à vérifier si le système de filtration est facilement accessible pour un nettoyage régulier sans perte de performance.
6. L’entretien : comment vider le bac et à quelle fréquence ?
L’autre défaut majeur des aspirateurs-balais, ce sont leurs collecteurs assez réduits, pouvant contenir de 0,3 à 1,2 L seulement. Le Dyson V15 à 0,76 L, le Rowenta X-Force Flex 15.60 à 0,9 L et l’Ultenic U16 à 1,2 L figurent parmi les plus intéressants du marché sur ce point. À titre de comparaison, les aspirateurs traîneaux sans sac ont une capacité de 1 à 2 L. Ceux avec sac s’équipent de réservoirs allant de 3 à 5 L.
Au-delà de la taille, regardez la facilité de vidange. On pense déjà au fameux dispositif « Point and Shoot » présent sur la plupart des modèles Dyson. Certaines marques proposent même une station d’accueil avec vidange automatique, comme le Samsung Bespoke Jet Plus. Plus besoin d’ouvrir le bac : l’appareil se vide tout seul dans un sac scellé. Ultra hygiénique, mais souvent réservé aux modèles premium.
7. Niveau sonore : attention aux oreilles sensibles
Le bruit émis par un aspirateur balai varie généralement entre 60 et 80 décibels (dB) :
60 à 70 dB : modèles relativement silencieux, adaptés à une utilisation prolongée.
70 à 80 dB : niveau sonore standard, comparable à une conversation animée.
Il est important de noter que le niveau sonore peut augmenter en mode turbo ou avec certaines brosses motorisées
8. Les accessoires : le vrai bonus pour gagner en polyvalence
Les aspirateurs balais sont souvent livrés avec une gamme d’accessoires pour s’adapter à différents besoins :
Suceur plat : pour les recoins et plinthes .
Brosse douce : pour les meubles et surfaces délicates.
Tube flexible : pour atteindre les zones difficiles d’accès.
Un modèle 2-en-1 qui se transforme en aspirateur à main est presque devenu un standard. Certains aspirateurs-balais haut de gamme proposent également des stations de charge avec rangement intégré pour les accessoires !
9. Connectivité et fonctions intelligentes : gadgets ou vraie valeur ajoutée ?
Écran LCD avec niveau de batterie, détection automatique de poussière, suivi via appli mobile, compatibilité domotique… Tout cela existe. C’est plaisant pour les technophiles, certes, mais clairement secondaire si vous cherchez surtout efficacité et simplicité d’usage.
Nota Bene : on apprécie néanmoins le suivi d’usure des brosses et des filtres lorsqu’il est indiqué sur l’écran ou l’application (Samsung Bespoke AI Jet Ultra, Dreame Z20 Station, Dyson V12 Detect Slim).
Prix : quelle gamme pour quel budget ?
En 2025, les aspirateurs balais couvrent une large gamme de prix :
Entrée de gamme (100 à 200 €) : modèles simples, adaptés aux petites surfaces et à un usage occasionnel.
Milieu de gamme (200 à 500 €) : meilleur équilibre entre puissance, autonomie et accessoires.
Haut de gamme (500 € et plus) : performances optimales, fonctionnalités avancées et accessoires complets.
Quel modèle selon votre profil ?
En appartement : privilégiez un modèle compact, maniable, silencieux. L’autonomie de 30 min suffit souvent.
Grande maison : misez sur la puissance, l’autonomie longue durée et les accessoires pour les escaliers. Sans être indispensable, une station de vidange automatique est recommandée.
Avec animaux : brosse spéciale poils, filtre HEPA, vidange facile, collecteur de 0,55 L minimum. Vous allez aspirer souvent !
Personnes âgées : priorité à la légèreté, à la simplicité (pas de gâchette à maintenir), et à un entretien minimaliste.
Famille avec enfants : puissance, endurance, niveau sonore réduit, et accessoires variés pour traquer les miettes sur toutes les surfaces !
Jeune actif pressé : format compact, recharge rapide, un peu de tech (écran LCD, appli connectée) pour le petit goût de luxe.
Les nouvelles fonctionnalités à considérer en 2025
Détection intelligente de la saleté : certains modèles haut de gamme, comme le Dyson Gen5 Detect, sont équipés de capteurs piézoélectriques qui ajustent automatiquement la puissance d’aspiration en fonction de la quantité de poussière détectée. C’est amusant, mais ça ne va pas révolutionner votre manière de faire le ménage.
Éclairage laser pour une visibilité accrue : la brosse Optic Fluffy de Dyson utilise un laser vert pour rendre visibles les particules de poussière invisibles à l’œil nu sur les sols durs.
Stations d’accueil multifonctions : le Tineco PURE ONE Station 5, présenté au CES 2025, dispose d’une station 3-en-1 permettant l’auto-nettoyage, la recharge et le rangement simplifié de l’aspirateur.
Conclusion : il n’y a pas de modèle parfait, mais il y a un modèle parfait pour vous.
Choisir un aspirateur balai en 2025, c’est faire le tri entre besoins concrets et promesses marketing. Posez-vous une seule question : de quoi ai-je besoin pour nettoyer sans galérer ? Ensuite, appuyez-vous sur les critères essentiels : puissance, autonomie, poids, filtration, ergonomie. L’intelligence artificielle, c’est bien. Un sol propre sans effort, c’est mieux !
On l’adore, mais on le laisse souvent se débrouiller tout seul. Mauvaise idée. Quelques réglages et habitudes suffisent à transformer votre aspirateur robot en allié vraiment efficace au quotidien.
Il se met en marche, fait un tour dans le salon, cogne un meuble, aspire une miette, puis retourne à sa base. Voilà à quoi se résume le quotidien de nombreux aspirateurs robots, laissés à eux-mêmes sans grande stratégie. Pourtant, ces appareils sont capables de bien plus… à condition d’être bien utilisés.
Dans cet article, on vous partage 7 conseils simples et concrets pour éviter les erreurs les plus courantes et vraiment profiter des capacités de votre aspirateur robot. Pas de phrases creuses ni d’astuces gadgets : que du pratique, testé et approuvé.
1. Préparez le terrain avant chaque cycle de nettoyage
Un aspirateur robot n’est pas un magicien. Si le sol est semé de câbles, de chaussettes ou de jouets oubliés, il va s’emmêler les pinceaux, se bloquer ou simplement contourner les obstacles. Résultat : des zones non nettoyées, des roues bloquées, et parfois même une session interrompue au bout de cinq minutes.
Avant chaque lancement, prenez une minute pour libérer l’espace au sol. On remonte les chaises, on enroule les câbles qui traînent, on évite les rideaux trop longs. Ce petit effort permet au robot de couvrir toute la surface, sans interruption ni galère.
À savoir : certains modèles haut de gamme détectent les objets (chaussettes, excréments d’animaux, etc.), mais ils restent l’exception. Mieux vaut ne pas leur faire une confiance aveugle.
C’est l’un des pires ennemis de votre aspirateur robot : le tapis à poils longs. Même s’il donne un côté cosy à votre salon, il complique sérieusement la tâche du robot. Les brosses s’emmêlent, les roues patinent, et il finit souvent par rester bloqué en appelant à l’aide.
Pas de tapis, pas de problème.
Si votre intérieur en compte plusieurs, deux options s’offrent à vous :
Retirer les tapis avant de lancer le nettoyage.
Investir dans un modèle capable de franchir jusqu’à 18 mm, conçu pour gérer les surfaces épaisses ou irrégulières.
Évitez aussi les tapis à franges : le robot ne les contourne pas toujours correctement et peut finir par les avaler.
Bon à savoir : certains robots détectent les tapis et adaptent automatiquement la puissance d’aspiration. Si c’est le cas du vôtre, pensez à activer cette fonction dans les réglages de l’appli.
3. Laissez la lumière allumée si votre robot en a besoin
Tous les aspirateurs robots ne fonctionnent pas de la même façon. Certains se repèrent avec des lasers ou des capteurs, d’autres utilisent une caméra pour cartographier l’espace. Dans ce cas, un environnement sombre peut sérieusement nuire à leur efficacité : ils ratent des zones, tournent en rond ou évitent des obstacles qui n’existent pas.
Si vous programmez un cycle pendant votre absence, laissez une lumière allumée ou misez sur des ampoules connectées que vous pouvez piloter à distance. Cela permet au robot de voir clairement et d’optimiser sa trajectoire.
Petit rappel : cette astuce ne concerne que les modèles à navigation visuelle (type caméra). Si votre robot fonctionne au lidar ou à l’aide de capteurs infra-rouges, ce conseil ne s’applique pas.
4. Entretenez-le régulièrement pour éviter les mauvaises surprises
Un aspirateur robot, ça s’use. Et un modèle mal entretenu, c’est un robot qui devient bruyant, qui perd en puissance… voire qui tombe en panne bien plus vite que prévu.
Voici les gestes à adopter, sans y passer des heures :
Le bac à poussière : à vider après chaque cycle (oui, chaque fois).
Les filtres : à dépoussiérer une fois par semaine, à remplacer tous les 3 à 6 mois.
Les brosses : à débarrasser des cheveux ou poils enroulés dès qu’ils apparaissent.
Les capteurs et les roues : à nettoyer avec un chiffon doux, une fois par semaine.
Et si vous avez des animaux ? Double dose d’entretien. Les poils s’accumulent plus vite qu’on ne le pense, surtout autour des brosses latérales.
Astuce : certains robots envoient des rappels d’entretien via l’appli. Activez-les, c’est pratique et ça prolonge la durée de vie de l’appareil.
5. Utilisez les zones virtuelles pour mieux le guider
Votre aspirateur robot peut se débrouiller seul, mais il est bien plus efficace quand on lui donne un cadre clair. Grâce à l’application mobile, vous pouvez définir :
des zones interdites : gamelles, câbles, tapis fragiles, coins trop étroits…
des zones prioritaires : la cuisine après les repas, l’entrée quand il pleut, etc.
Ces réglages évitent les blocages inutiles et permettent d’optimiser chaque cycle selon vos habitudes. Vous pouvez aussi programmer des plages horaires pour que le robot passe quand vous n’êtes pas là ou juste après votre départ.
Petit plus : certains modèles permettent même de définir une intensité de nettoyage différente selon les pièces.
6. Évitez les mauvaises odeurs si votre robot lave aussi le sol
Si votre aspirateur robot est équipé d’une fonction lavage, vous avez peut-être déjà remarqué une odeur désagréable émanant du bac à eau après quelques jours. Rien d’anormal : l’eau stagnante combinée à la chaleur ambiante crée un terrain idéal pour les bactéries.
Nettoyer, balayer, astiquer.
Heureusement, il existe un remède très simple :
Ajoutez quelques gouttes de bain de bouche dans le réservoir d’eau claire, ou
Une pincée de bicarbonate de soude (mais pas les deux en même temps).
C’est sans danger pour le robot, ça évite les moisissures et ça laisse une légère odeur fraîche après le nettoyage.
Important : n’utilisez jamais de produit d’entretien classique (nettoyant sols, vinaigre, etc.) dans le bac. Cela abîme les joints et les pompes à long terme.
7. Vérifiez les mises à jour pour rester performant
Comme les smartphones ou les ordinateurs, les aspirateurs robots évoluent avec le temps. Les fabricants déploient régulièrement des mises à jour logicielles pour corriger des bugs, améliorer la navigation ou ajouter de nouvelles fonctionnalités.
Pour en profiter, ouvrez l’application dédiée à votre robot et vérifiez une fois par mois s’il existe une mise à jour disponible. L’opération ne prend que quelques minutes et peut vraiment faire la différence sur le long terme.
À retenir : un robot bien à jour, c’est un robot plus précis, plus fluide, et parfois même plus autonome.
Et vous, vous appliquez déjà ces astuces ? Dites-nous en commentaire celle qui a vraiment changé la donne pour vous ou ce que votre aspirateur robot refuse obstinément de faire chez vous !
Nouveau modèle inédit de la marque savoyarde, l’Öklo Simplix est un vélo électrique aux roues de 20 pouces, acceptant 65 kg de charge ou 2 enfants dans un format compact.
Spécialiste du vélo électrique augmenté avec le Famileö, Öklo est une marque française fondée en 2018. La marque savoyarde a étendu ensuite son catalogue à l’Evö, un vrai vélo longtail, et revient à l’actu en 2025 avec un modèle inédit, le Simplix.
Format mini, charge élevée
Le format du vélo de ville électrique est aux roues de 20 pouces, entre lesquelles l’empattement est légèrement allongé. Le cadre acier de l’Öklo Simplix comporte certes un tube supérieur, mais sa hauteur de 55 cm reste à la portée de la grande majorité des cyclistes côté enjambement. La marque indique une fourchette de 1,45 à 1,90 m, le VAE adaptant la selle et la potence pour une position de conduite idéale.
Semi-cargo ou petit longtail, appelez-le comme vous voulez, le Simplix accepte une charge jusqu’à 65 kg (50 kg arrière ou un enfant, 15 kg avant). De plus, il pousse la fonctionnalité via le format de fixation Klickfix, permettant de poser un panier ou un siège enfant en un clic.
Assistance électrique français pour VAE français
Disponible en version mécanique, l’Öklo Simplix propose deux versions électriques, utilisant le kit d’électrification vélo Virvolt 750. Fonctionnant avec un moteur arrière de couple 36 Nm et pesant à peine 2 kg, il est assemblé à Villeurbanne – comme le vélo – et bientôt fabriqué en majorité en France.
La variante Simplix Eco attache une batterie amovible en format bidon de capacité 250 Wh – pour 30 km d’autonomie – contre 380 Wh pour le haut de gamme Simplix Plus (50 km). Attention, le premier limite le poids total roulant à 120 kg, tandis que le second grimpe à 140 kg. Pas de quoi rivaliser avec les meilleurs vélos cargo électriques, mais c’est beaucoup dans un format de 1,66 m de long.
Les deux VAE intègrent une suspension avant, mais l’Eco se contente de freins à patins, le Plus invitant les freins hydrauliques à disques. L’équipement est lui classique, avec des garde-boues, une béquille centrale double, et un éclairage intégré. Pas de mot sur la transmission, or nous observons sur les images un dérailleur autour de 7 vitesses.
Un vélo électrique Öklo au prix abordable
L’Öklo Simplix est disponible depuis ce mois de juin 2025en précommande, avec un acompte de 100 euros – remboursable – et un tarif de lancement jusqu’au 30 juin. La gamme de prix est celle-ci :
La firme française livre à partir de septembre ou octobre, date où le client devra confirmer la commande et ajouter de potentielles options. À noter, les frais de livraisons sont de 80 euros en France, tandis qu’il est possible de commander chez en Outre-mer, Suisse et Belgique.
Tineco tente un sacré coup de poker en lançant le Tineco Floor One S7 Switch. Deux aspirateurs (dont un laveur), et une seule batteriepour un prix concurrentiel pour du haut-de-gamme.
Les aspirateurs-laveurs ont le vent en poupe. Ces appareils-nettoyeurs se font de plus en plus puissants, de plus en plus compact tout en demeurant abordables.Depuis les tests Bissel Crosswave, Kobold VB100 de Vorwerk et X100 Cordless de Uwant, d’autres marques se sont positionnées sur le marché : il est temps de se mettre à la page ! Quoi de mieux pour cela qu’un nouveau test ? Aujourd’hui, on s’attaque à un modèle hybride, représentant de la marque Tineco : le Floor One S7 Switch !
Cet aspirateur-laveur est livré avec un aspi-balai d’appoint, avec lequel il partage sa batterie. Une idée originale pour proposer des fonctionnalités supplémentaires tout en limitant les coûts. Autrement dit, le Tineco Floor One S7 Switch veut qu’on ait le beurre et l’argent du beurre. Argument marketing ou véritable duo de choc ? Nous allons très rapidement le savoir ! Performances, ergonomie, autonomie, fonctionnalités embarquées : notre avis complet vous attend dans les lignes qui suivent !
Caractéristique Techniques
Dimensions
31 x 32,5 x 112 cm
Poids
5,3 kg (6,15 kg avec eau propre) et 3,1 kg (aspi-balai)
Autonomie
40 min (nettoyeur), 65 min (balai)
Temps de recharge
Environ 4,5 heures
Niveau sonore
70 dB
Réservoir d’eau propre
850 ml
Réservoir d’eau sale
720 ml
Filtration
Système à 5 niveaux + filtre HEPA 13 et 8 multi-cyclone
Écran
LED
Nettoyage des bords
des deux côtés
Fonction aspirateur à main
oui
Puissance du moteur
230 W
Puissance d’aspiration
230 Air Watts
Indice de réparabilité
8,6/10
Garantie
2 ans
Unboxing Tineco Floor One Switch
Tout est soigneusement emballé et séparé. La livraison est absolument sans risque. On retrouve tout de même beaucoup de plastique et d’autocollants pour protéger certains éléments, là où du papier cartonné aurait probablement suffit. Mais passons.
Une solution lavante est fournie avec le produit, oublié pour la photo…
Le contenu de la boîte est très complet en termes d’accessoires. Ainsi, nous voilà équipé de ce qui suit :
le corps de l’aspi-laveur avec batterie
la station de charge ;
le corps du balai-aspirateur, avec une batterie factice ;
un embout 2-en-1 (mini-brosse et suceur plat) pour plinthes et recoins ;
un mini-plumeau pour le nettoyage des orifices ;
une mini-brosse motorisée pour tapis et tissus d’ameublement ;
un fond en plastique de protection ;
un filtre de rechange ;
un rouleau de rechange ;
le manche de l’aspirateur-laveur ;
le tube de d’aspi-balai ;
le manuel d’utilisation ;
la brosse de l’aspi-balai ;
l’extension de la station de charge ;
la solution lavante fournie (oubliée pour la photo).
Pour nous, il ne manque rien. Seule la présence de la batterie factice nous étonne un petit peu. S’agit-il d’une protection de batterie vide ? On ne peut pas l’ouvrir, donc la réponse est sans doute négative. Est-ce pour protéger les composants électroniques dépassant des appareils lorsque la véritable batterie a été ôtée ? Ou bien est-ce un accessoire purement cosmétique ? Mystère ! Le manuel n’indique rien à ce sujet…
Design : sobriété et praticité en première intention
Esthétiquement, Tineco ne prend pas de risques avec des coloris blancs, gris et noirs. Question robustesse, on observe un taux de plastique acceptable en guise de carrosserie. Tineco ne communique pas sur les matériaux utilisés, mais l’impression qui s’en dégage à la manipulation est que les deux appareils sont solides.
Côté ergonomie, voici quelques bons points à distribuer avant de nous engager dans la partie critique :
des roues motrices qui rendent l’aspirateur-laveur plus léger pendant le nettoyage ;
un aspi-balai très léger, très agréable à prendre en main, avec une gâchette bloquante ;
un écran LED qui indique l’état de la batterie, le mode de nettoyage enclenché et autres icônes pour vous informer d’éventuelles problématiques (obstruction du rouleau brosse, bouchage du conduit d’aspiration, etc.) ;
un support d’aspi-balai qui se fixe avec la station, mais peut également être placé en autonomie ailleurs (tous les fabricants d’aspis-balais devraient proposer ça en fait, quitte à utiliser du plastique…) ;
l’assistant vocal dont on peut modifier la langue et le volume, ou simplement éteindre pour celles et ceux qui trouveraient cela crispant.
À présent, passons aux points d’amélioration !
En premier lieu, quelques mots sur la station de charge. D’abord, il faut soulever l’appareil de plus de cinq kilos pour l’y installer. Nous, on aime bien soulever des poids, mais ce n’est pas forcément le cas pour tout le monde. À titre d’exemple, le Mova X4 Pro fait mieux à ce sujet… Ensuite, nous avons éprouvé quelques difficultés à y placer le socle de protection en plastique. Il faut vraiment forcer un peu pour le mettre bien en place, et tourner la petite languette à la verticale. Sinon, la tête de l’aspirateur-laveur l’embarque avec elle dès qu’on veut le récupérer, ce qui est fort désagréable.
La batterie factice fait-elle office de protection ? Difficile à dire…
Concernant la batterie factice, on est rapidement tenté de la remballer dans le carton, car cela rajoute une manipulation à chaque fois que l’on veut déplacer l’alimentation des aspirateurs… Cela occasionne même la frustration de vouloir utiliser un des deux appareils sans qu’il ne réponde.
Des boutons sur chaque face du manche : cela vous oblige à tâtonner un peu
À ce titre, les commandes de l’aspirateur-nettoyeur ne sont pas très claires et nous obligent à tâtonner. Cas typique : on active l’auto-nettoyage alors que l’on voulait changer le mode d’aspiration. À noter que l’appareil s’éteint dès qu’il est en position “parking”. Pour l’allumer, il faut baisser le manche en maintenant la brosse avec le pied. Ce point précis n’est pas un défaut en soi, mais participe de ce que certains utilisateurs s’emmêlent un peu les pinceaux.
Application Tineco : elle est bien, mais…
Sans surprise, l’application (disponible uniquement sur Android) est totalement gadget. L’interface est très bien, la connexion plutôt rapide, mais son utilité est franchement limitée. Bien sûr, on peut modifier des paramètres de la même manière qu’avec les touches manuelles (donc on n’utilise pas le téléphone pour ça), consulter l’historique de nettoyage, et se faire une idée de l’état des composants remplaçables.
L’application est très cool… Dommage qu’elle ne soit pas très utile.
Seul le dernier point peut nous inciter à connecter l’appareil, mais à ce stade, autant vérifier de visu l’usure du rouleau et du filtre, en les comparant avec ceux qui ont été fournis dans la boîte.
Performances : c’est du sérieux
Toute la stratégie de ce produit repose sur le 5-en-1, à savoir :
un aspi-balai ;
une fonction aspi-main ;
le lavage ;
l’auto-nettoyage ;
l’auto-séchage.
Dans l’ensemble, nous avons sincèrement apprécié l’expérience. Voici comment nous avons procédé…
Aspirateur-balai avec aspiration seule : simple et efficace
L’aspi-balai profite du même écran LED intallé sur la batterie et embarque deux niveaux d’aspirations : éco et max. Tineco annonce une puissance d’aspiration de 230 AW (AirWatts) maximum sans marquer de différence entre les deux appareils à ce sujet. Sur le papier, cette valeur approche le Dyson en mode Boost, là où un aspirateur-balai classique embarque un minimum de 100 AW.
Nous l’avons donc essayé sur tapis et sur carrelage, en lui donnant à manger 50 g de riz et 50g de grains de café à chaque essai.
En 15 secondes tout a été englouti !
En deux passages, le tout a été prestement englouti. Passons ensuite aux tapis. Le premier est à poils courts :
Les grains de riz sont plus réfractaires, mais en 5 ou 6 passages, on s’en sort avec 100% de réussite.
Cette fois-ci, nous avons eu besoin de 37 secondes pour tout récupérer. Et ci-dessous, le test ultime :
Cette fois, il a fallu passer à la puissance d’aspiration maximum !
Au bout d’une minute et d’une bonne douzaine de passages, il restait environ 2 à 3 % des grains, logés en profondeur dans le tapis. En outre, voici quelques points à noter :
l’appareil est léger et agréable à manier ;
les petites LEDs blanches à l’avant sont toujours très appréciables ;
sur carrelage, il fait un sans faute ;
sur tapis, le mode max nous permet de récupérer un peu de poussière incrustée, sans pour autant faire du 100% ;
sa brosse anti-enchevêtrement est au niveau de ce que l’on peut espérer en 2025 ;
la fonction aspi-main avec la mini-brosse motorisée fait le job sur canapé comme sur les banquettes de voiture.
En résumé, vous bénéficiez d’un balai-aspirateur d’appoint de bonne facture qui rivalisera sans souci avec un Xiaomi Vacuum Cleaner G20.
Surface
Temps (secondes)
Nombre de passages
Taux de réussite
Carrelage
15 secondes
2 passages
100 %
Tapis à poils courts
37 secondes
5 passages
100 %
Tapis à poils longs
Plus d’une minute (>60s)
10 passages
98 %
La pression d’aspiration est notable, on le voit à la traînée bien nette laissée sur le tissu du canapé.
C’est plus que correct, sans faire d’étincelles non plus.
Aspirateur-laveur : on s’y attache assez vite…
C’est sur cette partie du test que le Tineco Floor S7 Switch doit marquer des points, et il y parvient avec une aisance assez déconcertante. Le réservoir de solution lavante de 850 ml est facile à remplir. Pour éprouver les performances de la fonction serpillère, nous avons procédé à plusieurs tests.
Lui aussi il aime bien le café, on dirait…
D’abord nous avons versé sur le carrelage de la cuisine une énorme tache de marc de café des plus visqueux agrémenté de sirop d’érable bien collant. Le Tineco l’a totalement oblitérée sans forcer, en à peine deux passages en mode max. Suite à cet exploit, le carrelage collait à peine, signe d’un faible taux de sucre résiduel.
Nota Bene : le Capteur iLoop™ ajuste le débit d’eau en fonction de la saleté.
Coup de théâtre ! Un colocataire de la rédaction a échappé une bouteille entière de jus de citron. Le Tineco a de nouveau fait le nécessaire, mais cette fois, la quantité élevée de fructose répandu sur le sol a laissé une membrane collante, fort heureusement éradiquée après trois passages. Peut-être qu’une eau chauffée pour le nettoyage en lui-même – et pas seulement pour rincer le rouleau brosse – obtiendrait des résultats encore meilleurs ;
Nota Bene : le Tineco a l’avantage de très peu baver. Attention cependant à ne pas l’incliner au-delà de 148° pour éviter de trop pencher le bac des eaux usées (on espère que vous avez le compas dans l’œil !)
Pour notre dernier test, nous avons mis le Tineco en situation réelle, la cuisine ayant fait l’objet de travaux. Après avoir carrelé le mur, nous avons passé l’appareil sur de la poussière de céramique bien tassée au sol. Ce nouveau challenge a donné du fil à retordre à l’appareil, lequel n’a pas réussi à laver les taches les plus incrustées. À sa double décharge, il nous a fallu gratter manuellement sur ces zones très précises, et il est clair que le nettoyage nous aurait pris deux fois plus de temps avec une serpillère traditionnelle.
Type de saleté
Temps (secondes)
Nombre de passages
Taux de réussite
Marc de café + sirop d’érable
21 secondes
3 passages
100 %
Jus de citron (250 ml)
35 secondes
2 passages
98 %
Poussière de chantier
Plus d’une minute (>60s)
Plus de 5 passages
95 %
On vous a refait un petit test express pour vous montrer les bords…
Nota Bene : le passage au bord des plinthes est parfait grâce au design aplati sur les flancs de la brosse principale.
Mais qu’en est-il des cheveux ? En fait, cela se fait en deux temps. Comme vous pouvez les voir ci-dessous, les restes de tignasses récupérées sur notre brosse à cheveux se sont fait happer avant même que nous ayons eu le temps d’approcher la tête de l’aspirateur.
Nous avons tout de suite remarqué que le rouleau s’était enroulé dans les cheveux, sans pour autant cesser de fonctionner. Mais nul besoin de le retirer pour le dégager de ce piège capillaire. Cinq minutes en mode auto-nettoyage, et les cheveux se font aspirer dans le réservoir à déchets solides ! Enfin, on soulignera que les sols mettent entre une et deux minutes à sécher, la pellicule d’eau laissée au sol étant relativement mince. On adore !
Autonomie : un compromis qui peut coûter cher…
Tineco annonce 40 minutes maximum avec l’aspirateur-laveur. Après chronométrage, nous avons obtenu une autonomie de 37min 33. Cela s’explique par le fait que le mode auto augmente l’aspiration à la détection d’un sol plus sale, ce qui est arrivé plusieurs fois durant notre passage. Un résultat plutôt conforme à ce qui a été annoncé, en somme.
Nota Bene : toujours charger la batterie au maximum avant la première utilisation !
La batterie se vide assez vite en mode auto-nettoyage…
Néanmoins, une seule batterie pour deux appareils, c’est un excellent compromis en termes de coût d’achat, mais également un pari risqué. Et ce notamment pour les raisons suivantes :
dans un 80 -100 m2, utiliser les deux appareils à la suite vous oblige à rusher votre ménage ;
si on oublie la batterie dans l’aspi-balai, elle ne se rechargera pas ;
la fonction auto-nettoyante est très énergivore et ne se lancera pas au-dessous des 15% de batterie ;
le temps de charge est de plus de 4 heures, là où 2 heures eussent été appréciables.
En somme, c’est à l’utilisateur qu’il revient de prêter une attention particulière à l’autonomie, bien que nous n’ayons clairement pas franchi le seuil de l’inconfort. Un peu dommage quand on sait que le Tineco Floor One S5 présentait déjà la même limite.
Volume sonore : rien à signaler
Avec un volume sonore ne dépassant pas les 68 dB (entre 63 et 65 en mode éco), ni l’aspi-balai, ni l’aspirateur-laveur, ni la station auto-nettoyante n’émettent un bruit assez puissant pour dégrader l’expérience de nettoyage ou déranger la maisonnée plus que de raison. Pour le respect des voisins, on évitera tout de même les séances de ménage nocturnes.
Nota Bene : l’assistant vocal peut s’avérer crispant à la longue. Heureusement, il est possible de baisser son volume sonore, ou d’éteindre complètement cette option, ce qui aura le mérite d’économiser un tout petit peu de batterie.
Entretien : vigilance requise
Nous avons mentionné la fonction autonettoyante à plusieurs reprises. Pour s’en servir, on place l’appareil sur sa station, préalablement équipée du support en plastique fourni, et l’on appuie sur le bouton situé en haut du manche, avec une icône en forme de goutte d’eau.
Le rouleau serpillère va baigner cinq minutes dans un reste d’eau claire chauffée à 70°C, tout en tournant à grande vitesse et en aspirant un maximum de liquide essoré par la force centrifuge. Ensuite un système de séchage à air chaud (toujours 70°C) permet d’éviter les mauvaises odeurs.
La brosse est facile à retirer pour un entretien manuel.
Toutefois, cet aspect autonome ne nous dispense pas d’effectuer quelques gestes d’entretien, à savoir :
utilisez toujours le produit fourni par Tineco, sans quoi vous ne pourrez pas faire jouer la garantie en cas de besoin ;
ne pas l’utiliser en extérieur ou sur de la moquette ;
vider le réservoir d’eau sale à chaque utilisation et le rincer abondamment, car il est très vite encrassé et cafi de poils et de cheveux (notamment dans le petit bac de déchets solides) ;
nettoyer manuellement les filtres et rouleaux de temps en temps ;
bien consulter le manuel fourni pour prendre connaissance des conditions d’usage (ex : ne pas passer l’aspi-balai sur un dégât des eaux trop important) ;
remplacer certains composants après plusieurs mois d’usage.
À cet égard, le Tineco Floor One S7 Switch vous fait partir avec un rouleau et un filtre d’avance. Vous pourrez en commander d’autres directement sur le site de la marque. En revanche, si, au lieu de passer par l’application, nous avions à disposition l’estimation de l’usure des composants directement à travers l’écran LED, notre satisfaction en aurait été nettement augmentée.
Nota Bene : la technologie 8 multi-cyclones permet de mieux séparer en amont l’air et la poussière et d’encrasser moins rapidement le filtre.
Accessoires supplémentaires et consommables
Contrairement à ce que l’on peut trouver chez Dyson, Tineco ne propose rien pour customiser vos deux appareils. En revanche, sont disponibles sur le site :
la solution lavante obligatoire pour l’utilisation de l’aspirateur-laveur ;
des filtres HEPA de rechange ;
des rouleaux brosse de rechange…
… mais pas de batterie vendue séparément, ce qui aurait pu intéresser certaines personne, quand bien même cela irait un peu à l’encontre du concept initial.
Face à la concurrence
Nous situons sans difficulté le Tineco Floor One S7 Switch dans la tranche haute des aspirateurs-laveurs. Bien sûr, l’idée de proposer un package tout-en-un qui tient la route a le mérite d’être original. Le rapport qualité/prix en est amélioré, mais cela implique une autonomie limitée en contrepartie.
Concernant les performances pures, il ne se laisse distancer par aucun acteur connu à ce jour. Cela étant, il fait face à une concurrence assez relevée, dans laquelle figurent des modèles comme :
le Mova X4 et sa projection d’eau chaude à 80°C pour décaper les taches ;
le Roborock Dyad Air avec ses deux rouleaux et ses 50 min d’autonomie max ;
le Dreame H14 pro avec sa distribution intelligente de détergent et son inclinaison à 180°.
En revanche, il ne pâlira pas devant un solide Bissel Crosswave Pet Pro, puisqu’il offre une efficacité équivalente à 15 dB de moins (3 dB = volume sonore doublé !).
Le Mijia Floor Scrubber 4 Max, lancé en Chine, aligne puissance d’aspiration, eau à 100 °C et brosse intelligente. Un modèle haut de gamme impressionnant… mais toujours introuvable chez nous.
Sur le marché très concurrentiel des aspirateurs-laveurs, Xiaomi fait rarement dans la demi-mesure. Et avec le Floor Scrubber 4 Max, la marque chinoise veut frapper fort. Aspiration de 23 000 Pa, lavage à 100 °C, bras motorisé pour les plinthes, et système auto-nettoyant complet… tout y est.
Mais voilà : ce modèle est pour l’instant réservé au marché chinois. En attendant une potentielle sortie européenne, on fait le point sur ses caractéristiques.
Un concentré de technologies
Le Floor Scrubber 4 Max cumule les innovations techniques :
Aspiration puissante : jusqu’à 21 000 Pa, pour un lavage simultané sans trace.
Brosse rotative à 450 tours/minute : conçue pour les grandes surfaces (jusqu’à 400 m²).
Bras latéral motorisé : pulvérise de l’eau propre au ras des plinthes pour un nettoyage bord à bord.
Système auto-nettoyant : lavage à 100 °C, séchage à 90 °C, puis repassage à 120 °C du rouleau.
Double circuit d’eau : eau propre et eau sale ne se croisent jamais.
Brosse anti-enchevêtrement certifiée TÜV : Xiaomi promet zéro blocage, même avec une forte densité de cheveux.
Connectivité Mi Home : pour gérer les cycles d’entretien et les réglages.
Pensé pour le confort d’utilisation
Malgré sa fiche technique musclée, l’appareil reste maniable :
Il s’incline à 180° pour passer sous les meubles.
Son système de traction motorisée réduit les efforts.
Son centre de gravité bas améliore l’équilibre lors de l’utilisation.
Oui mais… il y a un hic
Le Floor Scrubber 4 Max n’est pas (encore) disponible en France. À ce jour, aucun lancement international n’a été annoncé, et son import reste la seule option.
Autres points à noter :
Prix élevé : environ 380 €, ce qui reste raisonnable face à Tineco ou Dreame, mais élevé pour un produit non distribué officiellement.
Interface Mi Home partiellement traduite : certains réglages avancés peuvent être difficiles d’accès.
Pour l’instant, seul le Xiaomi Truclean W20 est proposé sur le marché français. Moins puissant (15 000 Pa), plus compact, il vise un usage grand public. Le Floor Scrubber 4 Max s’inscrirait, lui, dans la gamme des Dreame H13 Pro ou Tineco Floor One S7 Pro, avec des ambitions bien plus haut de gamme.
Faut-il s’y intéresser ?
Clairement, oui. Le Floor Scrubber 4 Max coche toutes les cases d’un modèle premium abouti. Si Xiaomi décidait de le lancer en France, il deviendrait sans doute un sérieux concurrent pour les marques déjà établies. Mais tant qu’aucune sortie officielle n’est confirmée, mieux vaut rester prudent.
Et vous, vous tenteriez l’import d’un aspirateur-laveur aussi ambitieux ? Ou vous attendez une sortie officielle en France ? Venez en parler en commentaire.
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Que vaut le Aiper Scuba S1 sur le marché des robots de piscine ?
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Autonomie impressionnante : doté d’une batterie de 7800 mAh, le Scuba S1 peut fonctionner jusqu’à 3 heures sur une seule charge, ce qui est largement suffisant pour nettoyer une piscine de taille moyenne. Ce temps d’autonomie est supérieur à de nombreux modèles concurrents, permettant un nettoyage complet sans interruption.
Puissance d’aspiration : avec un débit de 265 LPM (litres par minute) et une puissance d’aspiration de 70 GPM (gallons par minute), ce robot ne laisse aucune saleté derrière lui. Ses deux brosses en silicone et ses chenilles en caoutchouc garantissent un nettoyage efficace. Bien que les brosses situées à l’avant ne dépassent pas les chenilles et peuvent de ce fait peut-être mal nettoyer les recoins de la piscine.
Mode de nettoyage personnalisé : contrairement à certains concurrents, le Scuba S1 permet de choisir entre un nettoyage ciblé du sol ou des parois de la piscine. Un must have pour adapter le nettoyage à vos besoins spécifiques. 4 modes de nettoyage : nettoyage du sol, nettoyage des parois, nettoyage combiné sol + parois, ou nettoyage périodique (mode éco).
Mode éco : le Scuba S1 dispose également d’un mode éco, un gros plus sur ce modèle. En l’utilisant, le robot peut nettoyer la piscine tout en optimisant l’utilisation de sa batterie, ce qui prolonge son autonomie (45 minutes toutes les 48h).
Pourquoi choisir l’Aiper Scuba S1 ?
Le robot de piscine Aiper Scuba S1 est sans aucun doute l’un des meilleurs choix disponibles sur le marché à un prix inférieur à 600€*. Il combine légèreté, puissance et autonomie, le tout à un prix très compétitif, surtout avec la promotion actuelle. Si vous cherchez un appareil fiable pour maintenir votre piscine propre sans vous ruiner, c’est le moment idéal pour passer à son achat sur Amazon.fr.
*La rédaction a testé le produit et confirme son excellent rapport qualité/prix. Concernant l’aspect technique, nous recommandons de se référer à l’excellent récap’ ci-dessous.
Les robots aspirateurs-laveurs se bousculent sur le marché. De nombreux acteurs tels que Dreame, Mova, Eureka, Roborock ou Ecovacs se tirent la bourre et peuvent sortir des modèles à plus de 1 200 euros. Narwal est venu jouer dans la cour du haut-de-gamme avec un prix contenu…
À peine un peu plus de 1 000 € pour un robot 2-en-1 qui embarque une station auto-nettoyante et auto-sèchante, avouez que ça fait envie ! En tout cas, nous on s’est laissé tenter pour essayer le Freo Z10 Ultra et le bousculer un petit peu, histoire de voir ce qu’il a dans le ventre. Aujourd’hui, la séance de test abordera la navigation, la force d’aspiration, la capacité de lavage et les modalités d’entretien de ce joli cylindre nettoyeur. Vous verrez ainsi plus clairement si vous êtes prêt à l’adopter dans votre chaleureux foyer !
Caractéristique Techniques
Dimensionset poids du robot
35,5 × 35 × 10,96 cm ; 4,5 kg
Dimensionset poids de la station
43,08 × 46,2 × 38,83 cm ; 12,2 kg
Batterie
Capacité ≥ 5000 mAh, 14,4 V
Autonomie
210 min
Temps de charge
Environ 5 h maximum
Aspiration
18 000 Pa max
Réservoir d’eau propre
4,5 L
Réservoir d’eau sale
4,05 L
Filtration
HEPA
Réservoir à poussière du robot
300 ml
Sac collecteur de la station
2,5 L*
Niveau sonore
entre 44 et 63 dB
Assistance Vocale
Amazon Alexa et Google Home
Indice de réparabilité
8,4/10
Garantie
2 ans
*avec compression intégrée pour 120 jours d’autonomie à raison de deux cycles semaine sur 50 m2.
Unboxing Narwal Freo Z10 Ultra
Quelques accessoires de rechange pour partir avec une longueur d’avance
le robot aspirateur-laveur
la station de charge auto-nettoyante
le câble d’alimentation
une petite rampe en plastique transparent
un filtre de rechange
un bac à poussière filtrant de rechange
un sac à poussière de rechange
une recharge de détergent (citron-basilic)
deux brossettes rotatives
le support d’auto-nettoyage
le guide d’utilisation
Par rapport à nos tests précédents, on remarque la rampe qui va aider le robot à rentrer plus facilement au bercail, mais également le support (en haut à droite) qui va permettre aux patins de s’ frotter tout en étant rincés à l’eau chaude afin de se débarrasser des saletés.
À gauche, les bacs d’eau propre et usée, un compartiment avec sac à poussière et celui réservé au bloc de détergent. À droite, le support d’auto-nettoyage à placer au fond de la station.
Un système de double brossette rotative a également été intégré, afin de récupérer un maximum de particules sur les côtés (on espère qu’elles ne seront pas, au contraire, projetées un peu partout, comme cela arrive assez souvent avec les aspirateurs-robots).
Design du Narwal Freo Z10 Ultra : quelle technologie embarquée ?
Le capot s’ouvre facilement, ce qui permet de manipuler le bac à poussière amovible
Affordance oblige, le Narwal Freo Z10 Ultra reprend les éléments couramment rencontrés sur les robots aspirateurs-laveur, dont un bac à détritus filtrant, un capot amovible, une commande d’allumage/reset et son dispositif de navigation.
N’oubliez pas de retirer le cache ! Nous, on a cru que notre robot était défectueux au début…
À ce titre, le Narwal Freo Z10 Ultra s’équipe de :
deux caméras RGB frontalesNarMind™ Pro (1 600 × 1 200 px, angle 136 °) associées à deux puces IA qui traitent les images en local ;
un capteur LiDAR ;
un compas numérique ;
un système d’éclairage pour les zones sombres ;
un capteur de saleté nommé DirtSense ;
les capteurs classiques (infrarouges, anti-chute, anti-collision, accéléromètre, gyroscope, reconnaissance des surfaces, etc.).
Nota Bene : le Freo Z10 standard n’embarque pas de caméras.
Tout cet attirail doit permettre à l’appareil de mapper, reconnaître les objets (il en connaît plus de 200), de planifier des trajectoires, d’adapter sa vitesse en fonction des obstacles, ajuster le nombre de passages et l’intensité de lavage selon le degré de saleté détecté.
Petit interlude récréatif avec un exercice de paréidolie offert par la maison !
Sous le robot, rien de très nouveau : on retrouve les serpillères rotatives, les roues crantées avec suspensions (12 mm de franchissement max), la petite roue folle de devant et une brosse anti-enchevêtrement en fibres de nylon et en caoutchouc.
La brosse est facile à retirer pour un entretien manuel.
L’ensemble paraît robuste, et les finitions sont nettes. Pour celles et ceux qui ne seraient pas emballés par le gris, il existe une version blanche qui correspondra peut-être mieux à vos standards.
Installation et connexion via l’application Narwal : RAS
Pour brancher votre station, le câble mesure un peu plus d’1m40, ce qui laisse une petite marge pour les prises un peu cachées. Placez-y le robot et allumez-le. Un assistant vocal vous donne des instruction en anglais dans un premier temps, mais vous pourrez changer la langue en français si besoin, une fois l’appareil connecté. De toute façon, le processus reste très classique avec :
Téléchargement d’application et création de compte client ;
Connexion Wi-Fi (2.4 GHz seulement) grâce à votre smartphone et votre mot de passe ;
Scan d’un QR Code depuis l’application.
En gros, c’est l’affaire d’une ou deux minutes. Ensuite, on passe à la cartographie ! Et c’est là qu’on se rappelle bien de retirer le cache des caméras, sinon le robot se lance dans une partie de colin-maillard solitaire et affiche « données indisponible » après avoir parcouru votre appartement à l’aveuglette…
À gauche, la cartographie qui a échoué. Au milieu et à droite, ça va déjà mieux.
Une fois le mappage terminé, vous pouvez bien évidemment diviser, fusionner et renommer les pièces. On remarquera les icônes placées spontanément par le robot qui détecte les obstacles, dont les fils, une rareté pour ce type d’appareils ! Il place même quelques meubles comme les canapés, mais il ne reconnaît pas tout le mobilier tout seul. Néanmoins, vous pouvez ajouter manuellement un lit, un bureau, une armoire, une table à manger, etc.. C’est à partir de ce moment que vous allez pouvoir configurer vos premiers cycles de nettoyage.
Nota Bene : le mappage multi-étage vous permet d’éditer jusqu’à 4 cartes pour le même appareil. Une version 3D est également disponible, mais sa plus value reste modeste.
Fonctionnalités du Narwal Freo Z10 Ultra : tout un programme !
Les possibilités se multiplient doucement mais sûrement sur les robots-aspirateur. Le Freo Z10Ultra en est un exemple flagrant, qui, outre ses quatre modes (aspiration seule, serpillère seule, aspiration puis serpillère ou les deux simultanément) vous donne accès à un paramétrage ultra-détaillé :
cycle personnalisé (choix du mode de nettoyage pour chaque pièce) ;
choix de l’ordre des pièces par lesquelles va passer le robot ;
agenda de nettoyage ou de ronde pour surveiller votre domicile grâce aux caméras embarquées ;
choix de la puissance d’aspiration, du degré d’humidification et du niveau de précision (intelligent ou fixe) ;
limite d’utilisation de la serpillère (1,2, 3 fois ou automatisé) ;
l’emploi intensif de détergent (à chaque fois, une fois par semaine ou tous les 14 jours)
la fréquence d’auto-nettoyage de la serpillère (tous les 8, 10 ou 12 m2) ;
; activation de l’aspiration intensive automatique pour déchets granulaires.
activation du nettoyage des bords.
Et ce n’est pas fini ! En effet, ces paramètres ne concernent que les modalités de nettoyage ! Nous verrons d’autres options dans les parties qui suivent.
Navigation du Freo Z10 Ultra : Narwal mise gros sur l’intelligence
La marque annonce une capacité à reconnaître plus de 200 types d’objets avec une précision de 5 mm–8 mm. Entre les caméras, le système LiDAR et les divers capteurs, c’est plausible. Nous l’avons vu tourner dans l’appartement ; il intègre les modifications à sa cartographie chaque fois qu’il détecte un changement, afin de se souvenir de la position de certains obstacles. Nous avions retiré tous les fauteuils et toutes les chaises pour sa cartographie : il a pu passer autour des pieds sans jamais se coincer. En outre, les petites margelles sont franchies sans aucun problème.
Une seule fois, le robot s’est arrêté en considérant qu’il était coincé, alors qu’il était simplement à cheval entre le tapis et du carrelage.
Le bouton de démarrage devient rouge quand le Freo Z10 Ultra considère qu’il est bloqué.
Le tapis s’est légèrement soulevé, ce qui a dû titiller la sensibilité de l’un des capteurs. Nous l’avons simplement réactivé sans prendre la peine de le déplacer. Il est reparti comme si de rien n’était.
Quoi qu’il en soit, la navigation peut être modulée via l’application, laquelle comprend, dans l’onglet “Généralités” :
un mode “sans escalier” (le robot ne cherche plus à reconnaître les escalier et franchit donc les margelles plus facilement sans avoir à ralentir) ;
un mode “ne pas déranger” pour éteindre la voix du robot aux horaire choisis ;
un mode “haute altitude”, qui intensifie l’aspiration. Elle est recommandée pour les chalets situés à 2 000 mètres et plus (le gain exact en puissance chiffrée n’est pas documenté) ;
un verrouillage enfant pour désactiver provisoirement les boutons de la station et du robot ;
un mode d’extinction automatique, qui met le robot hors tension quand il n’a pas servi depuis longtemps et que la station est débranchée.
Un code pin que vous définirez vous-même vous sera demandé pour avoir accès à la caméra à la première personne.
Mais le point le plus savoureux concernant la navigation reste la possibilité de consulter ce que voient les caméras en temps réel, de l’enregistrer et même de prendre le contrôle du robot à la première personne.
La commande semi-manuelle permet d’indiquer au robot l’emplacement exact où vous voulez qu’il se place (mauvais exemple ici car nous avons cliqué sur le canapé !)
Encore plus fort, on peut parler à travers l’aspirateur directement depuis l’application. Si quelqu’un nous entend, il peut répondre quasi normalement, comme avec un haut-parleur téléphonique. En somme, vous pouvez vraiment utiliser le Freo Z10 Ultra pour vadrouiller dans votre logement et surveiller ce qu’il s’y passe.
Nota Bene : l’appareil est sous protection certifiée TÜV. Le traitement des données par intelligence artificielle se fait exclusivement sur l’appareil, sans être transmises à l’extérieur sans consentement.
Nous avons pris le contrôle de l’appareil pour livrer un cookie à notre colocataire. Voici le tout début de son périple…
Le joystick nécessite néanmoins un petit temps de prise en main et la vitesse du robot est très limité, afin que vous ne risquiez pas de l’abîmer à travers une manipulation malencontreuse.
Test d’aspiration : un crack sur sols durs
Comme vu précédemment, le Narwal Freo Z10 Ultra est doté d’une brosse principales et de deux brosses latérales à rotation bidirectionnelle. Pour le mettre à l’épreuve, nous avons répandu un mélange de 50g de riz & 50g de grains de cafés sur carrelage et sur tapis à poils courts.
À la campagne, on élève des poules… Nous, on a un Narwal.
On en a profité pour tester le nettoyage de zone. Le robot sait précisément où il doit aspirer, c’est très pratique en cas de petit accident domestique.
Quelques grains éjectés par les brossettes latérales.
En 8 minutes, le Freo Z10 Ultra a donc réussi à engloutir 99,9% des grains dispersés sur un peu moins d’un m2, en partant de la station (la zone sélectionnée était plus grand pour être sûr de ne pas en rater). Sur tapis, nous avons utilisé la même quantité de grains. La première tentative a duré 12 minutes et le robot a collecté seulement 75% des particules. Un second passage expéditif de 51 secondes a permis de monter cette valeur à environ 85%. Nous récupérons le reste à la balayette.
Un résultat tout de suite plus mitigé sur tapis…
Deux passages plus une assistance manuelle rien que sur le tapis à poils courts, c’est plus que suffisant pour savoir que le Narwal Freo Z10 Ultra ne récurera pas vos textilesde sol. Aussi allons-nous lui épargner l’épreuve du tapis à poils longs, sur lequel il ne pourra que faire pire que « guère satisfaisant ».
Un phénomène qui ne devrait pas toucher les poils d’animaux, bien plus courts que notre abondante chevelure…
Enfin, concernant les cheveux, la longueur peut poser problème. En effet, si l’appareil ne passe pas directement dessus, ils peuvent allègrement s’enrouler autour des brossettes, comme on peut le voir ci-dessus.
Test de lavage : un ensemble de très bonne tenue
Le Freo Z10 Ultra est muni de pads triangulaires avec serpentins rotatifs à 180 tr/min exerçant une pression de 8 N (soit environ 800 g) vers le bas. C’est la station qui distribue la solution lavante destinée à imbiber les patins. Avec l’option « auto-nettoyage tous les 10 m2 », le robot revient au bercail environ toutes les six minutes pour recharger en détergent. Il ne laisse qu’un mince pellicule d’eau qui sèche en moins de cinq minutes, du moins dans un environnement à plus de 20 C°.
Le test se déroule en Juin.
Nous avons été agréablement surpris de constater son aisance sur des taches incrustées. La pression annoncée est donc suffisante pour un un cycle de ménage qui fait la différence visuellement. Autre point intéressant : les extensions des serpillières triangulairesEdgeReach™ qui déplacent les mops à l’extérieur de l’appareil pour nettoyer les bords et les coins un peu partout.
Non, votre robot aspirateur-laveur ne traîne pas la patte : il nettoie les bords et les coins !
Ensuite, nous sommes passés à la vitesse supérieure : 50 g de marc de café, de sauce aigre-douce et de sucre glace mélangés ont servi de petit déjeuner au Narwal. Un cocktail assez visqueux qui aura demandé au robot pas moins de quatre passages automatiques avant qu’il considère considérer que sa tâche était terminée.
C’est le marc de café humide qui a le plus de mal à partir…
On estime à à 65% son taux de réussite après un seul passage, et à 95% après 28 minutes à lutter contre notre œuvre d’art graphique éphémère.
Nota Bene : ce détergent basilic-citron sent exceptionnellement bon. Il est particulièrement doux, comparé aux relents assez agressifs de certains produits ménagers.
En haut, on voit que le marc de café a été râclé contre la plinthe avant que le robot n’atteigne sa station d’auto-nettoyage…
Cela signifie qu’il peut largement s’occuper de taches moyennes, même s’il est plutôt conçu pour un ménage de routine. Qui peut le plus peut le moins, c’est ce dont on peut se convaincre en consultant les images de cette partie du test.
Dernier test pour la route : notre colocataire a fait tomber une bouteille de 50 cl de jus de citron presque pleine. Nous avons passé le robot après avoir ramassé les bouts de verre. Le jus de citron a complètement disparu en moins de dix minutes, soit deux passages, mais la quantité de sucre était si importante que le sol a continué de coller. Il a fallu le relancer pour un troisième passage pour un résultat abouti.
Autonomie : une capacité confortable
Nous avons essayé les deux modes de nettoyage les plus longs : aspiration puis serpillère, et les deux simultanément.
Le premier cycle a duré 2h38 sur une surface totale de 74,6 m2. La batterie restante était de 28 %. La recharge complète a duré 3 heures et 22 minutes.
Le second a duré 1h21, sur une surface totale de 31,5 m2. La batterie restante était de 57%. La recharge complète a duré 2 heures et 10 minutes.
Nota Bene : la charge n’est pas linéaire. Elle est plus rapide entre 0 % et 50 %, ralentit un peu jusqu’à 80 % et devient relativement lente après 90 % pour préserver la batterie.
Quel est le niveau sonore du Freo Z10 Ultra ?
Le robot est vraiment silencieux. En mode normal, on l’entend à peine, du haut de ses 44 dB, au point de se demander s’il aspire vraiment (idem en mode éco). Ce n’est qu’en mode boost qu’il dépasse timidement les 60 dB. Au moment où la station récupère la poussière dans son sac, on atteint un pic de 63 dB. Autant dire qu’il ne ferait pas peur à une mouche.
L’entretien : le sens du détail made in Narwal
La station auto-nettoyante est l’un des piliers de la performance du Freo Z10 Ultra. Comme mentionné plus haut, elle distribue la solution lavante, récupère la poussière du collecteur, nettoie les patins à l’eau chaude (entre 45 et 75 °C selon la saleté détectée) et les sèche à l’air chaud (entre 55 et 80°C).
Sur l’application, elle détient son propre lot de paramètres, à savoir :
activer/désactiver l’ajout de détergent ;
un mode anti-bactérien automatique voué à sécher le bac à poussières du robot entre deux cycles d’aspiration ;
trois niveaux de séchage (silencieux, puissant ou intelligent – qui s’adapte aux horaires du mode “ne pas déranger) ;
le mode de nettoyage par défaut lorsque vous activez manuellement le robot via la commande rapide de la station ;
activer/désactiver le système de nettoyage intelligent à l’eau chaude qui contrôle la température en fonction de la saleté détectée sur les mops ;
activer/désactiver/choisir la fréquence de dépoussiérage automatique (systématique ou intelligent) ;
choisir le mode de dépoussiérage (silencieux ou puissant).
En pratique, le robot a tenu 55 minutes avant sa première phase de dépoussiérage sur sol modérément sale. En cas de problème, il s’arrête, indique à la voix le motif de son interruption et envoie en même temps une notification push sur l’application, au cas où vous seriez trop éloigné pour l’entendre. Par exemple, si son réservoir d’eau propre est vide et qu’il doit passer la serpillère ou terminer un cycle d’auto-nettoyage, vous en serez averti immédiatement.
Nota Bene : l’historique de nettoyage vous indique le nombre de cycles, le temps passé à nettoyer et la surface couverte par le robot. Il vous donne même le cumul par semaine, par mois et par an !
En somme, cette automatisation est parfaitement huilée pour votre ménage de routine. Cependant, même si l’auto-nettoyage des mops est assez impressionnant, il faudra procéder à un entretien manuel approfondi lorsque vous l’envoyez sur une surface hautement maculée.
Les serpillères ont bien résisté à la tache du test, mais le marc s’est incrusté un peu partout à cause de l’humidité.
En effet, entre les cheveux très longs qui peuvent s’enrouler sur les brossettes comme on l’a vu plus haut ou finir en boule derrière la brosse, ou encore le marc de café humide qui peut stagner dans les conduits, voire sur la grille de support de la station, il faudra mettre un peu les mains dans le cambouis si vous constatez que le robot commence à montrer des signes de faiblesse.
Chéri, c’est à ton tour de changer le petit !
Heureusement, la plupart des composants sont amovibles, ce qui facilite leur manipulation et leur nettoyage
Les accessoires du Freo Z10 Ultra : Narwal anticipe tout
Dans l’onglet marqué par l’icône représentant un dessin de la station, vous avez accès au niveau d’usure estimé des accessoires en fonction des données récoltées par l’appareil. Aussi peut-il vous fournir un compte à rebours avant remplacement du sac à poussière, du bac à insert situé dans le réservoir du robot, des mops et des brosses principale et latérales.
L’appli propose un suivi ultra complet des composants de l’appareil !
Vous trouverez également un mini-guide d’entretien dédié à chaque autre éléments listé dans l’application (capteur, roulette, filtre éponge, support de la station, etc.), avec une photo pour éviter d’éventuelles confusions.
Un pack onéreux mais qui vous enlève un peu de charge mentale.
La marque semble proposer une partie de ces accessoires séparément, sans indiquer s’ils sont bel et bien compatibles avec ce modèle en particulier. En conséquence, il nous paraît préférable d’ajouter directement à votre achat un pack complet pour être tranquille un bon moment, ce qui revient à 1248,99 € au total (du moins à l’heure actuelle).
Nota Bene : en usage normal (3–4 cycles/semaine), la bouteille de détergent fournie tient environ 5 à 6 mois. On peut donc estimer une consommation annuelle de 2 bouteilles, soit un coût d’environ 50 à 60 € par an. Ce chiffre peut varier selon la fréquence de lavage et le degré de saleté.
Que vaut le Freo Z10 Ultra sur le marché des robots aspirateurs-laveurs ?
Le Narwal Freo Z10 Ultra se revendique à juste titre comme un robot aspirateur-laveur premium. Sa station tout-en-un figure parmi les plus complètes du marché : vidange automatique, lavage à eau chaude, séchage à haute température et distribution de détergent.
Grâce à sa navigation IA NarMind™ Pro (caméras + LiDAR), il évite les obstacles avec une précision impressionnante. Son système de lavage est également remarquable, avec des pads triangulaires rotatifs capables d’atteindre les plinthes grâce à leurs extensions. Son autonomie fait également partie des meilleures du marché. L’application, bien que dense et pas toujours intuitive, propose un contrôle avancé du nettoyage et une gestion efficace de l’entretien.
On a bien remarqué, cependant, une brosse centrale un peu moins adaptée aux tapis très chargés, malgré une capacité d’aspiration étonnante. Le coût des accessoires (environ 80 €/an) dépasse celui du Roborock S8 MaxV Ultra mais reste inférieur à celui du Dreame X40 Ultra, qu’on estime à plus de 100 €/an.
Avec son tout nouveau robot piscine Dreame J1, le spécialiste du nettoyage entend bien concurrencer le modèle Aiper Surfer S1. Fonctionnement solaire, nettoyage intelligent et diffusion de chlore intégrée : de quoi redistribuer les cartes du haut de la piscine.
Lorsqu’on pense à Dreame, on imagine immédiatement ses aspirateurs (balais, laveurs ou robots). Mais depuis peu, la marque chinoise explore un nouveau terrain : celui de l’entretien des piscines. Après avoir lancé la série Z1 dédiée au nettoyage du fond et des parois, Dreame dévoile aujourd’hui un robot skimmer autonome, dédié à la ligne d’eau : le J1. Un modèle solaire, intelligent et ambitieux, qui n’a pas peur de se frotter au Surfer S1 d’Aiper.
Un robot 100 % solaire pensé pour la ligne d’eau
Le Dreame J1 ne nettoie ni le fond ni les parois de la piscine. Il se concentre uniquement sur la surface et la ligne d’eau, là où les débris flottants (feuilles, cheveux, insectes) s’accumulent en priorité. L’idée : proposer un appareil complémentaire aux robots classiques, capable de fonctionner en continu sans intervention humaine.
Son principal atout ? L’énergie solaire. Le Dreame J1 est équipé d’un panneau solaire intégré. Dreame évoque une technologie SolarSmart™, censée optimiser la recharge solaire en fonction de l’exposition, mais sans fournir de détails techniques sur son fonctionnement précis. Il reste à confirmer s’il s’agit d’un simple panneau ou d’un suivi actif du soleil. Il peut également être branché sur secteur via un adaptateur.
Une navigation intelligente et un nettoyage en continu
Doté de capteurs de haute précision, le Dreame J1 se déplace selon une trajectoire en S pour maximiser sa couverture. La technologie PoolSense™ permet au robot de ralentir à l’approche des parois, pour éviter les chocs. En parallèle, un système de détection des bords empêche le robot de rester coincé.
La brosse double rouleau du J1 assure un nettoyage efficace, même sur les saletés incrustées. Et contrairement au Surfer S1, il propose un compartiment pour insérer des pastilles de chlore, qui sont dissoutes progressivement lors du nettoyage. Ce système simplifie le traitement de l’eau, sans aller jusqu’à une diffusion totalement automatisée. Ce traitement simplifié permet de ralentir la prolifération des algues, tout en clarifiant l’eau.
Une appli pour tout contrôler… ou presque
Comme ses concurrents directs, le Dreame J1 est compatible avec une application mobile (Dreamehome). Elle permet de personnaliser les cycles, de surveiller le niveau de batterie et de déclencher un retour automatique à la station. En revanche, le Dreame J1 ne propose pas encore de connectivité Wi-Fi.
Prix, disponibilité… et comparaison avec Aiper
Le Dreame J1 est disponible dès maintenant à 599 €, avec un prix de lancement de 549 € pendant deux semaines. Un tarif équivalent à celui de l’Aiper Surfer S1, actuellement vendu à 549 €.
Caractéristiques
Dreame J1
Aiper Surfer S1
Prix
599 € (549 € lancement)
549 €
Alimentation
Solaire + secteur
Solaire + secteur
Type de nettoyage
Ligne d’eau + surface
Surface
Diffusion de chlore
Oui
Non
Navigation intelligente
Oui
Oui
Application mobile
Oui
Oui
Connectivité Wi-Fi
Non
Non
Le Dreame J1 se distingue clairement sur l’autonomie solaire et le traitement de l’eau. Un combo intéressant pour celles et ceux qui veulent en finir avec l’épuisette.
Le Dreame J1 peut-il vraiment rivaliser avec Aiper ?
Le pari est risqué, mais pas dénué de sens. Si l’expérience et la notoriété d’Aiper jouent en sa faveur, Dreame affiche ici une proposition originale et bien pensée. Reste à voir ce que donnera l’appareil dans les tests à long terme. En attendant, à tarif égal, difficile de trancher. À chacun de voir ses priorités.
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Tailler, entretenir, sculpter. STIGA enrichit sa gamme d’outils de jardinage sans fil avec la PR 100e, une scie d’élagage électrique compacte et maniable, parfaite pour les travaux de précision. Une nouveauté 2025 à combiner avec le sécateur SC 100e pour un duo redoutable.
Tailler les branches trop longues, entretenir les arbustes, accéder aux zones en hauteur… autant de petites missions de jardinage qui deviennent vite laborieuses sans l’outil adapté. C’est précisément sur ce terrain que STIGA entend se démarquer avec la PR 100e, une scie d’élagage sur batterie pensée pour les travaux de précision.
Léger, bien équilibré et compatible avec les batteries ePower 20V déjà utilisées sur l’excellent sécateur électrique SC 100e, ce nouvel outil s’inscrit dans une logique de complémentarité. Il s’adresse aux amateurs comme aux plus aguerris, à la recherche d’un appareil simple, rapide à manier et assez robuste pour l’entretien courant du jardin. Une nouveauté 2025 discrète mais maligne, qui mérite qu’on s’y attarde.
Une nouveauté pensée pour les travaux d’élagage légers
Avec la PR 100e, STIGA mise sur l’efficacité sans complexité. Cette scie d’élagage compacte fonctionne sur batterie 20V (2Ah), la même que celle du sécateur SC 100e. Légère, silencieuse, agréable à manier, elle répond parfaitement aux besoins du jardinage de précision : petites branches, tailles en hauteur, entretien courant.
Elle est livrée en kit avec batterie et chargeur, et un manche extensible peut être ajouté pour atteindre les zones plus élevées sans effort. Ce manche permet de travailler jusqu’à 1,80 m de haut, un vrai plus pour les haies et arbres d’ornement.
Une ergonomie bien pensée, dans la lignée du SC 100e
Comme pour le SC 100e, STIGA a soigné les détails. La PR 100e affiche un poids contenu et un équilibre appréciable en main, même après plusieurs minutes d’utilisation. Le mécanisme de coupe est fluide et le système de fixation rapide du manche permet d’ajuster la longueur en quelques secondes. La prise en main est immédiate, sans mode d’emploi à rallonge ni manipulations complexes.
Petite et pratique.
Compatibilité avec les batteries 20V STIGA : un vrai avantage
L’un des atouts de cette gamme, c’est sa batterie ePower 20V, que l’on peut interchanger entre plusieurs outils. Si vous avez déjà le SC 100e, vous pourrez utiliser sa batterie sur la PR 100e, et inversement. Cette compatibilité simplifie le quotidien et évite d’accumuler les chargeurs.
Un duo très efficace pour entretenir votre jardin
Le sécateur SC 100e reste une référence pour tailler rapidement des branches jusqu’à 3 cm de diamètre. La PR 100e prend naturellement le relais dès qu’il s’agit de couper plus long, plus haut ou dans des zones moins accessibles. Ensemble, ils couvrent tous les besoins d’un entretien régulier, efficace et confortable du jardin.
Prix et disponibilité
Disponible sur le site officiel STIGA et chez les revendeurs partenaires.
PR 100e avec batterie 20V 2Ah et chargeur : 149 €,
Accessoire Manche extensible PR 100e : 79 €,
SP 100e Kit (Sécateur et scie d’élagage sur batterie) : 249€.
Et vous, vous utilisez déjà des outils STIGA au jardin ? Vous êtes plutôt team sécateur ou scie d’élagage ? Partagez votre retour en commentaire.
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Ils promettent fraîcheur immédiate, pilotage intelligent et installation express. Mais tous les climatiseurs mobiles connectés ne se valent pas. Voici notre sélection, sans filtre, des modèles portables les plus efficaces pour garder la tête froide cet été.
Le scénario vous est peut-être familier : 2h37 du matin, 29 °C dans la chambre, le ventilateur qui brasse de l’air tiède, et cette foutue application météo qui annonce encore 38 °C pour demain. Vous repensez à ce collègue qui a « investi dans un climatiseur connecté, une vraie bénédiction »… Trop tard pour regretter, mais pas pour agir.
Du plus haut de gamme à l’entrée de prix sur le marché, on a passé en revue les meilleurs modèles du moment, à la fois puissants, connectés et adaptés à une utilisation domestique. Pas les machines de guerre pour open space, ni les jouets gadget, mais des climatiseurs mobiles vraiment utiles et assez discrets pour cohabiter avec vous tout l’été.
EcoFlow applique sa science de l’énergie portable à la clim, et le résultat est bluffant. Le Wave 3 est silencieux, il possède une autonomie de 8h avec batterie externe et connectable à la fois en Wi-Fi comme en Bluetooth. Il contient également une option chauffage et dispose d’une autonomie de 8h. De par sa petite taille et son refroidissement limité aux petits espaces, le Wave 3 s’adresse avant tout aux campeurs.
Caractéristiques techniques
Alimentation
Secteur, batterie, solaire
Option chauffage
Oui
Dimensions
51,9 P x 29,7 L x 33,6 H cm – Poids : 15,6 kg
Niveau sonore en puissance
44 à 58 dB
Puissance de refroidissement
6 100 BTU
Connectivité
Wi-Fi, Bluetooth
Klarstein Kraftwerk Smart 12K : le plus puissant
Ce modèle rappelle beaucoup le Blizzard de Duux qu’on avait testé récemment : compact mais aussi simple à utiliser. Il possède une puissance de 12 000 BTU, ainsi qu’une intensité de refroidissement ajustable (faible, moyen élevé). Son défaut ? Les grilles de ventilation sont fixes, ce qui oblige à bien placer l’appareil pour un flux d’air optimal. Il est prévu pour alimenter en air des pièces de 35 à 59 m2.
Caractéristiques techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Non
Dimensions
35,5 L x 38 P x 83 cm H- Poids : 27 kg
Puissance de refroidissement
12 000 BTU
Niveau sonore en puissance
50 dB à 65 dB
Connectivité
Wi-Fi
Klarstein Climatiseur 3-1 ou 5-1 : le plus design
Ce climatiseur fait parler polyvalence. Il ventile, humidifie, rafraîchit et purifie l’air. Sympa en appoint, surtout la nuit. Il possède une puissance de 11 500 BTU. Comme leKlarstein Kraftwerk Smart 12K il ne possède pas de ventilation orientable. Il est également bruyant mais ce niveau sonore est réductible lorsque le mode nuit est installé.
Caractéristiques techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Non
Dimensions
38Px 35l x 83H – Poids : 26 kg
Niveau sonore en puissance
65 dB (48 dB en mode nuit)
Puissance de refroidissement
11 500 BTU
Connectivité
Wi-Fi et compatible avec Alexa et Google
Cecotec ForceClima 9500 : le plus silencieux
Avec sa fonction chauffage intégrée, ce modèle joue sur deux tableaux. Son mode “Soundless” tient ses promesses : en mode nuit, il descend sous les 50dB. Ce climatiseur rafraîchit rapidement les pièces jusqu’à 25 m². Il est utilisable aussi bien en été qu’en hiver grâce à sa pompe à chaleur. Il comprend également un moteur à deux vitesses. Petite ombre au tableau, il possède peu de connectivité.
Caractéristiques techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Oui
Dimensions
33 cm P x 36 L x 86,5 cm H – Poids : 22,9 kg
Niveau sonore en puissance
65 dB
Puissance de refroidissement
9 000 BTU
Connectivité
Wi-Fi
Comfee Breezy Cool Pro 2.6, 3 en 1 : le moins cher
Le Breezy Cool Pro 2.6 combine bonne puissance (9 000 BTU), déshumidification efficace. Sa puissance de ventilation lui permet de refroidir des pièces mesurant jusqu’à 33 m2. Ce climatiseur possède 3 vitesses de ventilation. Avec ses roulettes et ces poignées il est facilement transportable, ce qui le rend idéal pour partir en vacances.
Caractéristiques techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Non
Dimensions
29,3 x 29,5 x 70,5 cm – Poids : 23,2 kg
Niveau sonore en puissance
64 dB
Puissance de refroidissement
9 000 BTU
Connectivité
Wi-Fi + compatible avec Alexa, Google Home etc…
Pourquoi choisir un climatiseur mobile connecté ?
Parce que votre confort mérite mieux que d’aller bidouiller un bouton à 3h du mat. Un climatiseur connecté, c’est :
Du contrôle à distance : via smartphone, même hors de chez vous.
Des scénarios intelligents : activation automatique selon la température, la météo, vos habitudes.
Une meilleure consommation énergétique : arrêt automatique, programmation à la minute.
Une vraie sérénité : vous ne vous demanderez plus si vous avez oublié d’éteindre la clim.
Comment choisir un bon climatiseur mobile connecté ?
Pour faire le bon choix, plusieurs critères techniques et pratiques sont à considérer :
1. La puissance (en BTU)
Adaptez toujours la puissance frigorifique à la taille de la pièce à rafraîchir. À titre indicatif, un, modèle de 9 000 BTU convient pour une pièce de 20 à 25 m². En revanche, un modèle de 12000 BTU est adapté pour 30 à 40 m². Une puissance sous-évaluée rend l’appareil inefficace, tandis qu’un excès entraîne une surconsommation.
2. Le niveau sonore
Le bruit est un critère souvent négligé. Pour un usage confortable, surtout la nuit, préférez un climatiseur qui descend sous les 50 dB en mode nuit. Au-delà, le souffle peut devenir gênant, notamment dans une chambre ou un bureau calme.
3. L’application mobile
Un climatiseur connecté doit être associé à une application mobile fiable et intuitive. Vérifiez la compatibilité avec iOS/Android, la stabilité des connexions Wi‑Fi, et la clarté de l’interface. Même un bon appareil peut devenir frustrant s’il est mal piloté.
4. Les fonctions “smart”
Tous les modèles connectés ne se valent pas. Certains proposent uniquement un contrôle basique (marche/arrêt), tandis que d’autres permettent de créer des scénarios intelligents, de programmer des plages horaires, ou de s’intégrer à un écosystème domotique comme Google Home, Alexa ou SmartThings.
5. La mobilité
Un climatiseur mobile doit réellement être mobile. Pensez au poids, à la présence de roulettes, et à l’encombrement. Cela fait la différence si vous devez le déplacer d’une pièce à l’autre dans un logement sans climatisation centralisée.
Un bon climatiseur mobile connecté, ce n’est pas qu’une boîte à froid avec une prise Wi-Fi. C’est un outil qui vous suit au quotidien, s’adapte à vos besoins et vous libère l’esprit. Que vous visiez la performance ultime (EcoFlow), la discrétion (ForceClima), ou le meilleur rapport qualité-prix (Comfee), il y a un modèle pour chaque usage.Cet article vous a été utile ? Vos impressions sont essentielles pour enrichir la discussion. Partagez vos retours, suggestions ou coups de cœur en commentaire. Et si vous avez relevé une erreur ou une imprécision, signalez-la : on vous lit, on corrige.
Tout-chemin premium, le vélo électrique Canyon Pathlite:ON SUV inclut selon la version les dernières évolutions Bosch dont la transmission auto TRP, l’ABS, et le moteur débridé à 100 Nm.
Marque haut de gamme fondée en 1996 sous le nom Radsport Arnold, Canyon tente de proposer des vélos électriques se démarquant de la concurrence. Après des VAE urbains stylés Precede:ON, le nouveau cousin trekking Pathlite:ON SUV rejoint les rangs avec tout l’éventail d’innovations Bosch.
Le meilleur de Bosch, en version haut de gamme
Le vélo Canyon Pathlite:ON SUV propose ainsi la dernière génération de moteur Bosch Performance Line CX. Aujourd’hui, elle affiche un couple maximal de 85 Nm et une puissance 600 W en pic. Encore mieux pour les performances, le moteur central reçoit une mise à jour qui débloque les valeurs à 100 Nm et 750 W au mois de juillet.
Nouveauté très récente conçue avec Bosch, le vélo électrique Canyon intègre la transmission automatique TRP (branche premium de Tektro) au dérailleur 12 vitesses, mais uniquement sur la plus chère des variantes. La batterie de base affiche une capacité de 600 Wh, mais une option à 800 Wh existe pour augmenter l’autonomie maximale à 170 km (mode éco). Cependant, l’écran de contrôle est identique pour tous, à savoir le Bosch Purion 200.
En tant que VTC électrique Canyon prêt à arpenter des terrains difficiles, le Pathlite:ON SUV s’appuie sur le cadre aluminium du sportif Grand Canyon:ON, mais au format 27,5 pouces plus accessible. Il chausse ici des roues Alexrims aux pneus Maxxis Crossmark II et des freins puissants 4 pistons Magura (parfois avec l’ABS Bosch).
Côté maîtrise et confort, ce modèle opte pour une fourche avant suspendue au débattement de 120 mm, ainsi qu’une tige de selle suspendue (voire télescopique sur certaines versions). La selle est une référence, la Selle Royale Essenza, gage de confort sur les longs trajets.
Polyvalent afin de contenter le vélotaffeur autant que l’amateur de randonnées, le Canyon Pathlite:ON propose un équipement complet :
potence ajustable en angle
garde-boues longs en métal
porte-bagages compatible MIK et QL3.1
éclairage lié à la batterie
béquille
Un vélo Canyon à différents prix pour différents budgets
Le vélo Canyon Pathlite:ON SUV débute sa carrière au mois de juin 2025. Il est accessible autant sur le site officiel que dans le réseau de nombreux revendeurs en France, avec 300 partenaires pour le SAV.
3 coloris sont au programme – beige, gris et noir – ainsi que 3 tailles M à XL et deux cadres fermé et ouvert “Step-Through”. La gamme du nouveau vélo électrique allemand inclut 3 versions dont le prix démarre à moins de 3 000 € :
Le retour de l’été annonce le retour des grandes chaleurs mais aussi l’heure de gloire des ventilateurs. À cette occasion Meilleure-Innovation a concocté pour vous une liste des meilleurs produits en 2025. Et parce que nous sommes des passionnés de produits high-tech, nous n’avons pas résisté à l’envie de vous faire un classement.
Vous rêvez d’une bonne nuit de sommeil ou de pouvoir travailler dans de bonnes conditions, mais tout cela est contrecarré par les grandes chaleurs estivales. Dès lors, chacun cherche les solutions pouvant permettre de se rafraîchir. Et pour cela il y a deux grandes écoles. Les partisans de la climatisation (cher et pas écologique) et ceux des ventilateurs (plus accessible). Aujourd’hui, nous avons voulu mettre l’accent sur le secteur des ventilateurs connectés en vogue ces dernières années. Voici une liste (par ordre de prix décroissant) des meilleurs produits :
1. Dyson Purifier Cool PC2 De-NOx TP12 : le plus haut de gamme
Dyson a mis le paquet pour vous assurer une ventilation de qualité. La marque reconnue pour ses produits haut de gamme propose un ventilateur purificateur qui capte 99,95 % des particules ultrafines, L’élimination de particules fines dépend du temps d’exposition et des conditions ambiantes. Au quotidien, il ajuste tout seul la purification et le débit d’air selon la qualité détectée, mesurée en temps réel via son écran ou l’application MyDyson. Ce ventilateur est idéal pour le salon ou la chambre. À noter que ce ventilateur offre une polyvalence entre air chaud et air froid qui le rend utilisable toute l’année. Pour obtenir ce ventilateur très haut de gamme, il vous faudra débourser 699€.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur.
Option chauffage
Non.
Dimensions
150 cm – Poids : 4,2 kg
Cartouche HEPA/K-Carbone
Oui : À remplacer tous les 12 mois environ.
Niveau sonore en puissance
61,5 dB
Connectivité
Bluetooth, My Dyson, Alexa, Google
2. Rowenta Eclipse 3‑in‑1 QU5072F0 Connect : le plus raffraichissant
Rowenta Eclipse 3‑in‑1 QU5072F0 Connect
Rowenta propose un duo qui mêle efficacité et design avec ventilation et purification. Sa puissance d’air brasse solidement de grandes pièces, tandis que le mode nuit le rend discret. C’est notamment le cas, lorsqu’il est réglé sur la fonctionnalité ventilateur. Pilotage via l’application et compatible avec assistants vocaux.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Oui
Dimensions (H, L, l)
25 cm x 85 cm x 25 cm, Poids : 7,24kg
Niveau sonore en puissance
32 dB (en mode ventilateur)
Connectivité
Bluetooth, Wi-Fi, application Pure Air
Consommation énergétique
40 W
3. Duux Whisper Flex 2 Smart : le plus silencieux
Le ventilateur Duux Whisper Flex 2 Smart vous correspondra parfaitement si vous êtes à la recherche d’un environnement calme. Avec un niveau sonore discret, on oublie qu’il fonctionne. Il dispose de 30 vitesses, de modes « vent naturel » et nuit. Ce ventilateur se démarque de ses concurrents par le fait d’être le seul à proposer une utilisation par batterie,en plus de l’alimentation filaire. Il s’oriente aussi bien horizontalement que verticalement. Modulable, il se transforme en ventilateur de table (54 cm) ou sur pied (92 cm), d’un simple clic..
Caractéristique Techniques
Alimentation
Batterie & Secteur
Option chauffage
Non
Dimensions (H, L, l)
92 cm x 34 cm x 34 cm – Poids : 4,2 kg
Niveau sonore en puissance
13 dB
Connectivité
Bluetooth, Wi-Fi, Alexa, Google
Consommation énergétique
2 à 21,5 W
4. CREATE WINDLARGE : le meilleur ventilateur plafond
Ce ventilateur de plafond se fond dans votre déco, sans pieds. Silencieux, six vitesses, mode hiver pour air vers le haut. Pilotage via Wi‑Fi et télécommande, stable pour grandes pièces. Idéal pour une pièce jusqu’à 35 m². Il est programmable pour une durée de 4h. Ce ventilateur offre un nouvel angle d’air et représente un gain d’espace non négligeable dans une pièce petite ou encombrée.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Oui
Dimensions (H, L, l)
152 cm – Poids : non renseigné
Niveau sonore en puissance
Environ 50 dB
Connectivité
Wi-Fi et application mobile Create
Consommation énergétique
40 W
5. Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2 : le meilleur ventilateur sur pied
Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2
Ne vous fiez pas à son apparence sobre. Ce modèle développé par Xiaomi à tout pour plaire. Il est notamment doté d’un moteur silencieux, une inclinaison verticale, contrôle vocal, application complète Très complet pour son tarif, ce modèle vous conviendra parfaitement si vous recherchez un ventilateur à un prix abordable.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Non
Dimensions (H, L, l)
34,3 cm x 33 cm x100 cm – Poids : 3 kg
Niveau sonore en puissance
30,2 – 55,8 dB selon la vitesse
Connectivité
Xiaomi home, wi-fi alexa, Google
Consommation énergétique
15 W
6. Xiaomi Smart Standing Tower Fan 2 : le meilleur ventilateur colonne
Avec sa forme fine, oscillation 150°, mode « vent naturel », vous croyez être dehors, même en pleine canicule. Ce produit possède un design minimaliste, parfait avec l’écosystème Xiaomi Home (Google, Alexa).
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Non
Dimensions (H, L, l)
111 cm x 31 cm diamètre x 31 cm profondeur Poids : 4,3 kg
Niveau sonore en puissance
28,7 dB à 55 dB
Connectivité
Xiaomi home, alexa, Google
Consommation énergétique
15 W
7. Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2 Lite : le meilleur moins cher
Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2 Lite
Moins équipé que son aîné, mais suffisant ce modèle de ventilateur à trois vitesses, une inclinaison à 90°, et un contrôle via application My Home. À noter qu’il ne supporte pas les assistants vocaux. Néanmoins compact et efficace, ce ventilateur saura satisfaire un bon nombre d’utilisateurs pour un prix défiant toute concurrence.
Caractéristique Techniques
Alimentation
Secteur
Option chauffage
Non
Dimensions (H, L, l)
100 x 34 × 33 cm – Poids : 3,5 kg
Niveau sonore en puissance
30 à 55,8 dB selon la vitesse
Connectivité
Xiaomi home, Wi-Fi, alexa, Google
Consommation énergétique
38 W maximum
Pourquoi acheter un ventilateur connecté ?
Contrairement à un ventilateur dit « classique » un ventilateur connecté peut être commander à la fois depuis un téléphone mais aussi vocalement via plusieurs supports comme Alexa, Google ou par le biais d’une application. Celle-ci permet d’avantages de fonctionnalités comme la programmation à une heure ou un moment précis. Rare sont les ventilateurs standard à pouvoir le faire.
Comment bien choisir son ventilateur ?
Plusieurs critères peuvent déterminer le choix du produit ou de la marque selon des points de vue très subjectifs. La question est donc importantes puisque tous les ventilateurs ne permettent de répondre aux attentes de tous les consommateurs :
La puissance
La première question qui se posera sera sûrement celle de la puissance. Pour cela, il est important de jauger l’utilisation que vous ferez de votre ventilateur, afin de vous orienter vers le produit correspondant le mieux à vos besoins et aux conditions dans lesquelles vous l’utiliserez.
Le bruit
Là encore il s’agit d’une question importante, qui comme pour la puissance dépendra du lieu dans lequel vous souhaitez installer. Si vous souhaitez passer la nuit au calme dans une pièce fraîche, votre choix s’orientera plus naturellement vers un ventilateur silencieux. S’il au contraire il s’agit d’un ventilateur qui sera utilisé dans un environnement ne nécessitant pas spécialement de discrétion, alors un ventilateur quelque peu bruyant pourrait faire l’affaire.
L’intensité
Le troisième point réside sur votre besoin de fraîcheur. Si vous apprécier particulièrement ressentir des coups de vent, alors vous vous orienterez naturellement vers un appareil proposant un flux puissant. À l’inverse, si cette question vous importe peu un ventilateur à faible intensité suffira à combler vos attentes.
La connectivité
Ce critère s’adressera à coup sur avant tout aux fans de technologie qui recherchent un ventilateur activable et dirigeable depuis leur smartphone. Un gain de temps qui permet de pouvoir régler son ventilateur entre deux SMS.
Quel est le meilleur ventilateur connecté en 2025 ?
Le meilleur ventilateur connecté est avant tout celui de votre choix et correspondant à vos besoins. À travers notre sélection des meilleurs produits ci-dessus selon différents critères, vous trouverez sans doute le modèle qui vous convient le mieux.
Vous l’aurez compris le choix d’un ventilateur dépend avant tout vos besoins. Besoin d’un souffle discret et mobile ? Duux. Envie de purification sérieuse ? Dyson ou Rowenta. Budget serré ? Xiaomi assure l’essentiel. Et vous, quel ventilateur adoptez-vous cet été ? Partagez vos impressions, vos propres tests ou questions ci-dessous – pour que la discussion ne soit pas juste… soufflée.