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PHOTOS - Notre essai du Mitsubishi ASX (2024) en images

Mitsubishi profite du restylage du Renault Captur pour renforcer la personnalité de son ASX mais aussi se conformer aux nouvelles normes GSR2 et accueillir une connectivité plus intuitive. Son visage s'harmonise ainsi davantage avec les autres modèles du catalogue, mais est-ce suffisant pour tirer son épingle du jeu face à la star française ? Pour cela, il compte non seulement sur l'excellent moteur hybride de 143 ch mais également sur quelques équipements spécifiques. Ajoutez à cela une garantie de 8 ans ou 160.000 km en France. Il devrait pouvoir séduire quelques clients, préférant la copie à l'original. A lire : ESSAI - Mitsubishi ASX (2024) : un restylage plus convaincant ?

ESSAI - Mitsubishi ASX (2024) : un restylage plus convaincant ?

Après seulement une petite année et demie de commercialisation, la dernière génération de Mitsubishi ASX passe déjà par la case restylage. Une obligation en fait, pour se conformer à la norme GSR2 définissant les règles liées aux systèmes d'aides à la conduite notamment. Le constructeur en a donc profité pour revoir quelque peu son design, afin de mieux le distinguer du Renault Captur donneur d'organe, et l'harmoniser avec les autres modèles de son catalogue. Les temps changent ! Après avoir fourni PSA durant plusieurs années, Mitsubishi récupère à son compte les synergies de groupe réalisables avec l'Alliance Renault-Nissan à laquelle elle appartient depuis 2016. C'est ainsi qu'en 2010, la première génération d'ASX a servi de base aux Peugeot 4008 et Citroën C4 Aircross. Et c'est selon le même principe que l'an dernier le constructeur japonais a renforcé sa gamme avec la deuxième génération d'ASX, cette fois-ci clone du Renault Captur. L'objectif était d'offrir à moindre coût une offre hybride afin de relancer la marque. Et les résultats ne se sont pas fait attendre : plus de 1.000 exemplaires vendus en France en année pleine et une ambition de croissance de l'ordre de +25% à l'horizon 2025. L'ASX devrait ainsi représenter près de 30% des ventes de la marque. Aujourd'hui le constructeur profite donc du récent restylage du Captur pour lancer son nouvel ASX phase 2. La toute première Mitsubishi entièrement connectée.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Essai, Audi RS6 GT, une dernière pour la route

C'est la fin d'une époque… de plus de 20 ans de break sportif… de V10 et de V8 aux sonorités envoutantes… La mythique Audi RS6 tirera sa révérence très bientôt, remplacée par une inévitable variante 100% électrique. De la première RS6 de 2002 à l'actuelle, 4 générations se sont écoulées. Avec toujours la même philosophie : de la polyvalence pour la famille, des performances dingues et un look très reconnaissable ! Et que dire des jantes blanches de 22 pouces, impressionnantes mais à garer très loin des trottoirs. Bref, à l'extérieur, la RS6 GT assume totalement son ADN de compétition. Pour l'habitacle, c'est une autre histoire. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Une série extrêmement limitée, déjà toute vendue à 230 000 € pièce et sur dossier de candidature. Heureusement, un de ses heureux propriétaires a bien voulu nous faire la gentillesse de nous la faire essayer. Direction Monaco pour retrouver un habitué de Turbo, l'influenceur automobile GMK. Avec ses 2 060 kg à vide, la RS6 GT reste un très gros bébé. Toujours poussé par le V8 4.0 biturbo de 630 chevaux et 850 Nm de couple, elle se permet d'être légèrement plus performante : 305 km/h de vitesse de pointe et 3 secondes 3 pour foudroyer le 0 à 100 km/h. Plus qu'un gentil break, une fusée !  Plus que jamais l'Audi RS6 GT respecte donc sa tradition de break familial sportif. Avec une petite touche d'exclusivité et de sport auto supplémentaire. Sans doute pour que la pilule de l'électrique soit plus facile à avaler pour tous ses fans.   {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Conso, aides à la conduite, ce qui va changer

Regardez bien une dernière fois cette Suzuki Ignis. Dans quelques jours, elle aura disparu des concessions, comme d'autres modèles sur le marché du neuf. La raison : l'évolution des normes de sécurité européennes, qui deviennent de plus en plus drastiques. Ça mérite quelques explications. On l'appelle GSR2. Derrière ce nom, se cache une nouvelle réglementation de sécurité qui entrera en vigueur dès le 7 juillet. Tous les véhicules neufs commercialisés sur le continent devront s'y soumettre, sous peine d'être interdits à la vente. Ces normes seront surveillées de près notamment par EuroNCAP. L'organisme indépendant et reconnu analyse la sécurité de nombreux modèles et leur attribue des étoiles. « Il y aura des mises à jour des exigences des crash-tests, mais aussi des dispositifs de sécurité active comme les systèmes de freinage autonomes en cas de détection de piétons ou cyclistes. Ils deviendront bientôt obligatoires pour que les voitures puissent être vendues en Europe, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. »{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Objectif visé par l'Europe : diviser par deux la mortalité sur les routes d'ici 2030. Et si depuis deux ans, le système de maintien dans la voie et le freinage automatisé d'urgence sont devenus la norme, la nouvelle réglementation va plus loin, avec 8 équipements obligatoires. Exemple avec ce nouveau Dacia Duster. La reconnaissance des panneaux s'ajoute à la liste des nouvelles technologies embarquées par le Duster, mais aussi la Spring et le Stepway. À l'arrière, l'aide au parking passe par plusieurs caméras de recul. À l'intérieur, ont été ajoutés un QR-code à flasher avec des consignes de sécurité à suivre en cas d'accident ; un précâblage pour installer un éthylotest antidémarrage ; mais aussi un système similaire à la boîte noire d'un avion qui enregistre les données de conduite.  Intégrées pour vous guider et renforcer la sécurité, ces aides à la conduite peuvent aussi être désactivées, par un simple appui sur ce bouton, ou en les personnalisant via la tablette. Dacia, spécialiste du low cost, gagne ici en standing et n'a pas tellement fait grimper ses prix.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Mais tous les constructeurs n'ont pas fait ce choix de mettre à jour leur modèle. Bye bye donc à la Twingo, également à la Renault Zoé, remplacée par la R5 E-Tech à l'automne. Chez Alpine, on a choisi de baisser la production de l'A110 à 1500 exemplaires par an pour en être exempté. Au revoir aussi à des sportives, la Porsche Macan thermique et la Toyota GR86. Chez Suzuki, l'Ignis ne sera bientôt plus en règle. Même s'il restait confidentiel en France, ce SUV ultra compact était l'un des plus abordables du marché. Car oui, ces quelques véhicules bénéficieront d'une tolérance. Certains exemplaires pourront être vendus après le 7 juillet, dans la limite de 10% des ventes enregistrées sur les 12 derniers mois. Ce vendeur l'assure, de petites promotions seront ainsi proposées dans les prochains jours. De quoi sauter sur l'occasion du neuf à prix réduit, sans pour autant disposer des mêmes équipements de sécurité dont la nouvelle version de la Swift, elle, est équipée. Dans deux ans, trois normes de sécurité supplémentaires seront imposées, dont l'avertisseur avancé de distraction du conducteur, ainsi qu'une protection de tête étendue en cas de choc avec un piéton. Un rapport d'évaluation est prévu au plus tard le 7 juillet 2027 afin de s'assurer que ces mesures ont été efficaces et bien acceptées.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Nouveauté Tourbillon, vent de changement chez Bugatti

Une longue attende qui suscite forcément beaucoup d'impatience et d'interrogations… à la mesure en somme de la rareté sportive que nous allons pouvoir découvrir. C'est un évènement, à l'image de Bugatti. Nous retrouvons Christophe Piochon, le président de Bugatti Automobiles, qui nous mène à la découverte du Graal…  Salle obscure, peu de personne avec nous, seul en fait est présent le nouveau designer en chef, Franck Heyl : Rapide présentation de l'histoire de la marque et de ses sources d'inspirations, avec en prime la découverte du châssis nu du tout nouveau venu. L'instant est presque historique, le rideau se lève enfin sur la Bugatti, bien nommée, TOURBILLON.  Osmose parfaite entre ingénieurs et designers pour concevoir châssis et robe de Tourbillon… Chaque détail esthétique sert à chaque fois la performance. « Comment pouvons nous encore améliorer les performances de notre voiture ? Et qu'avons nous besoin pour avoir de la vitesse ? C'est bien sûr la puissance moteur mais également l'aéro-dynamisme. Par exemple, on peut évoquer ici le dessin des optiques constituées de modules dont la hauteur n'est que de 12 millimètres. Ces modules sont si fins qu'ils nous ont permis d'intégrer en dessous une entrée d'air et ainsi permettre à l'air d'être dirigée vers le moteur pour le refroidir. »{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Oui l'habitacle parait fou… Un volant à moyeu fixe, pas d'écran ou d'information numériques mais de l'analogique de luxe pour que cette Bugatti perdure davantage dans la durée… Le numérique étant plus éphémère parce qu'il évolue sans cesse. Une Bugatti doit rester éternel.  Bugatti a débuté l'énorme travail d'orfèvrerie en 2021 avec la création d'un tout nouveau moteur : ce gigantesque V16 8,3 litres implanté dans une cellule monocoque en carbone. Un coeur hors norme de plus d'un mètre de long et qui développe à lui seul, tenez vous bien, 1001 chevaux. Et si l'ancien W16 était associé à 4 turbos, le nouveau V16 lui est atmosphérique. Pour Bugatti, le but étant de gagner du poids, le V16 pèse 200 kg de moins que le W16 qui culminait à 450 kg. La raison est simple Tourbillon est hybride et s'offre du courant pour compléter sa puissance.  Le matin on tente la Vmax à 445 km/h… vitesse souhaitée pour Tourbillon, et on pourra se rendre à l'Opéra avec l'usage des seuls moteurs électriques : 60 km d'autonomie… Bon, il faudra avant  avoir bien sûr signé à la démesure de Bugatti un chèque de 3,8 millions d'euros. Et il faudra même se dépêcher puisque Tourbillon ne sera produite qu'à 250 exemplaires avec possession des premiers modèles en 2026. Rien n'est trop rien n'est trop cher, l'adage d'Ettore Bugatti est respecté.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Essai Nissan Qashqai, un restylage qui se voit

Si d'habitude les facelift sont assez léger chez les constructeur, cette fois Nissan en profite pour changer radicalement le visage du Qashqai, comme viennent de le faire aussi Renault avec le Captur ou CUPRA avec le Formentor et la LEON…. A croire que c'est une nouvelle mode ! Et cela s'accompagne de petite évolutions qui vont moderniser le best-seller de Nissan et qui a été, on l'oublie, le premier Cross-Over de l'histoire ! Alors direction la région de Faro au Portugal pour découvrir ce Qashqai version 3.5. Et contre toute attente, le Qashqai n'emprunte pas la nouvelle identité stylistique de Nissan inaugurée sur l'Ariya, son grand frère électrique, apparemment Nissan souhaite donner au Qashqai son identité propre… Problème, si le Qashqai se démarque du reste de la gamme, on pourrait maintenant le confondre avec la concurrence ! La face avant, les feu arrière, les jantes, des finitions supplémentaires… Mit bout à bout cela fait quand même beaucoup de nouveautés pour ce qui n'est je le rappelle qu'une mise à jour. En fait, il n'y a que sous le capot qu'il n'y a pas de changement ! Alors l'E-Power c'est quoi ? c'est un système hybride très particulier car le moteur essence n'est jamais en contact avec les roues, ce n'est pas le moteur à essence qui propulse la voiture et qui est secondé par un moteur électrique comme dans les autres hybrides…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et même quand il se met en marche, il n'a pas besoin de monter très haut en régime comme dans une Prius par exemple… Rajoutez à cela que le châssis est très bien réglé, c'est-à-dire qu'en même temps il est assez confortable et en même il est très stable, il ne prend pas énormément de roulis… Pas étonnant que le Qashqai E-Power soit un tel succès ! Qui ne devrais pas se démentir car il a été mis à jour à l'extérieur, mais aussi dans l'habitacle ! Moderne dans sa technologie, efficace sur la route, et polyvalent comme ici en tout chemin dans le magnifique arrière-pays de l'Algarve, le Qashqai est reparti pour un tour ! Surtout qu'à 39 600 € pour cette version E-Power de 190 ch, il est plutôt bien placé en tarif et n'augmente quasiment pas. Si son nouveau look vous plaît, Il a tout pour vous séduire….  

ESSAI - Nissan Qashqai (2024) : I’ve got the e-power !

Un peu plus de trois ans après son lancement, le Nissan Qashqai profite du traditionnel restylage de mi-carrière pour moderniser son look et faire le plein en équipements. Le pionnier de la catégorie peut ainsi repartir de plus belle à l'attaque de ses concurrents directs récemment renouvelés. Et à l'heure du 100% électrique, pas vraiment idéal pour tous, ce Qashqai plus pimpant que jamais pourrait bien tirer son épingle du jeu avec son étonnante motorisation E-Power combinant les avantages de l'électrique et du thermique. Nissan n'aime pas faire comme tout le monde en matière de motorisations. Et avec plus de 360.000 unités vendus en Europe, force est de constater que le pari s'avère payant. En effet, cela fait près de dix-sept ans que le crossover japonais s'impose en tête de ventes de la catégorie, devant les Renault Scénic et Peugeot 3008. Le dernier argument inauguré en 2022 avec la troisième génération a clairement fait mouche auprès de la clientèle. C'est son étonnante motorisation hybride E-Power basée sur un moteur électrique alimenté par un moteur thermique. Mais nous y reviendrons ! Cette année, Nissan a principalement pris soin de lui refaire une petite beauté et de mettre à jour la dotation en équipements livrés de série. Au programme, un visage modernisé au travers d'une calandre élargie. On assiste également à l'arrivée de deux nouveaux niveaux de finition à l'esprit un peu plus sportif. Certains défauts pointés par des retours clients ont aussi été pris en compte et soigneusement améliorés voire corrigés. En revanche, rien de neuf côté mécanique. Nous avons donc pris le volant de l'incontournable version E-Power représentant 90% des ventes du modèle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

PHOTOS - Notre essai du Nissan Qashqai E-Power (2024) en images

C'est l'heure du restylage de mi-carrière pour la troisième génération de Nissan Qashqai, qui consolide ses acquis avec une petite mise à jour stylistique lui permettant de retrouver un design dans l'air du temps. Le crossover japonais en profite surtout pour faire le plein d'équipements technologiques. C'est l'une de ses forces depuis toujours. D'ailleurs, il reconduit évidement aussi son excellente motorisation hybride E-Power faisant la part belle à l'électrique au travers du thermique. Si vous ne connaissez pas le principe, nous vous invitons à découvrir notre essai. A lire : ESSAI - Nissan Qashqai : I've got the e-power !
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