Après avoir sensiblement baissé les prix de sa Mégane électrique en neuf, Renault brade désormais les modèles en stock. Toutes remises déduites, les exemplaires les moins chers s'affichent ainsi à 26.300 euros. Face à une concurrence chinoise de plus en plus virulente, les marques européennes font feu de tout bois pour redonner de l'intérêt à leurs modèles électriques. C'est aujourd'hui au tour de Renault de faire un geste commercial conséquent sur sa Mégane. Initialement affichée à 34.800 euros, la compacte voit son prix raboté à 26.300 euros, lui permettant ainsi de glisser sous la petite R5 démarrant pour le moment à 29.490 euros. Cette somme donne logiquement accès à la version de base Equilibre proposée à partir de 30.000 euros en neuf, bonus déduit. Bonne nouvelle, l'ensemble n'a rien d'un modèle au rabais puisque l'on dispose entre autres d'une climatisation automatique bizone, d'un régulateur de vitesse adaptatif, d'une caméra de recul et d'une instrumentation numérique accompagnée d'un écran tactile de 9 pouces avec les services connectés Google.   {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Megane E-Tech : peut-on se contenter de la version d'entrée de gamme ?

Si vous êtes à la recherche d'une petite voiture pour vous déplacer à moindre frais d'un point A à un point B, la Dacia Spring pourrait constituer la solution parfaite. En occasion, cette citadine électrique s'affiche à moins de 8.000 euros ! Fraîchement présentée, la Dacia Spring restylée a fait sa révolution avec une plastique revue de fond en comble. Si l'ensemble se modernise à vue d'œil, les prix ont aussi fortement augmenté depuis l'ablation du bonus CO2. Et cette hausse devrait se poursuivre avec la révision prochaine des taxes à l'importation à hauteur de 31 %. Bref, la Spring risque donc de perdre son avantage comparatif, à moins de se rabattre sur l'occasion… On se croirait parachuté sur une autre planète car la Spring la moins chère s'affiche ici à 7.690 euros contre 18.900 euros en neuf ! Pourtant, il n'y a réellement que la robe qui change entre l'ancienne et la nouvelle car les prestations techniques sont pour leur part strictement identiques. La petite batterie de 27,4 kWh autorise toujours une autonomie avoisinant les 220 km sur le cycle WLTP. Suffisant pour un usage quotidien.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Dacia Spring : encore sous les 20.000 euros, la meilleure option ?

La Citroën C4 est la compacte la moins chère du groupe Stellantis. Son prix d'entrée de gamme particulièrement serré impose-t-il des concessions en termes de présentation, d'équipement et de confort ? Commercialisée en 2020, la Citroën C4 de troisième génération s'apprête à recevoir prochainement un restylage. Intéressons-nous pour le moment au modèle actuel toujours présent dans les concessions et plus particulièrement à la version premier prix You. Affichée à 24.730 euros, cette variante permet de se procurer la compacte la plus accessible du groupe Stellantis. Vérifions sur le configurateur si un tel tarif constitue une affaire, ou pas… Première chose, la C4 You retient toujours un style très original, avec néanmoins quelques contreparties. On perd par exemple la signature lumineuse en « Y » ainsi que les entourages gris des antibrouillards… absents eux-aussi. Quant aux feux, ils sont à ampoules halogènes ! De profil, c'est le jonc chromé sous le vitrage qui a déguerpi alors que les jantes de 18 pouces sont remplacées par des enjoliveurs qui sont, à notre grande surprise, toujours en 18 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau coup de jus pour les Citroën C4 et C4 X !

Mais elle récupère aussi un nom assez improbable : 63 Pro 4Matic+. Cette nouvelle version de l'AMG GT Coupé muscle son jeu et gonfle son V8 biturbo à 612 ch. Elle retravaille également son aérodynamique et revoit son système de refroidissement. Mercedes parvient à enrichir la gamme de l'AMG GT Coupé de la manière la plus improbable qui soit. Attention, il faut suivre : comment se faire une place entre l'AMG GT 43, l'AMG GT 63 4Matic+ et l'AMG 63 S E-Performance ? Eh bien en glissant une inédite AMG GT 63 Pro 4Matic+ entre les deux dernières ! Ne vous fiez pas aux apparences : le mot « Pro » qui s'est discrètement greffé à l'appellation du modèle change la donne. Sans devenir transfigurée comme le serait une méchante Black Series, l'AMG GT 63 Pro 4Matic+ est tout de même davantage destinée au circuit que les autres versions. Cela se joue en premier lieu sur l'aérodynamisme, où des déflecteurs en fibre de carbone habillent les entrées d'air accompagnées d'une jupe adaptative canalisant les flux d'air. Il en résulte une portance aérodynamique réduite de plus de 30 kg sur l'essieu avant.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO – La nouvelle Mercedes AMG GT63 ne serait-elle qu'une farce de 2,1 tonnes ?

Le Dacia Duster termine une session de crash-tests Euro NCAP avec un résultat assez médiocre. Devez-vous donc vous détourner du SUV roumain en raison de ses trois petites étoiles ? Pas vraiment et voici pourquoi ! Trois étoiles sur cinq, cela équivaut à un 6 sur 10 ou bien encore à un petit 12 sur 20… Bref, cette note très passable est le résultat récolté par le nouveau Dacia Duster aux crash-tests Euro NCAP. On voit alors venir tous les réfractaires de la marque franco-roumaine : cette auto conçue à l'économie peinerait à protéger ses occupants en cas d'accident. Pourtant, la réalité est bien différente et montre que le Duster n'est pas forcément plus dangereux que la voiture que vous conduisez actuellement. La raison principale n'est pas à regarder du côté du véhicule mais plutôt du côté de l'Euro NCAP avec des critères de notation qui ont considérablement évolué ces dernières années. Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent encore, la rigidité de la caisse en cas de choc n'est plus le seul point évalué par l'organisme. La finesse des aides à la conduite régissant la sécurité active pèse aujourd'hui très lourdement dans le verdict final.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau Dacia Duster : voilà pourquoi il ne faut pas se précipiter sur l'occasion !

Fiat souffle sa 125ème bougie et dévoile une série spéciale de sa 500 électrique en collaboration avec le styliste Giorgio Armani. La citadine se pare de couleurs spécifiques et s'habille d'une sellerie inédite accompagnée d'inserts en bois véritable. Avec sa robe jaune pétante enrobant un style très cubique, tout le monde avait les yeux rivés sur la Grande Panda. Pourtant, pendant la conférence de presse des 125 ans de Fiat, la 500e avait aussi droit à un – tout – petit moment de gloire. Le pot de yaourt électrique a en effet reçu une série spéciale Giorgio Armani incarnant le chic à l'italienne. Au programme, deux teintes exclusives et un traitement de l'habitacle unique. De l'extérieur, le nuancier de la 500e Giorgio Armani se compose donc de deux couleurs spécifiques : un vert foncé métallisé assez sobre ainsi qu'une teinte nommée Céramique Greige inventée par Armani lui-même. Celle-ci mélange habilement le gris et le beige, d'où le nom de « Greige ». Petite originalité, les jantes forment le logo Giorgio Armani avec un effet anodisé bicolore et des rainures mettant le tout en valeur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Fiat dégaine une nouvelle série spéciale pour la 500e… que vous ne pourrez pas acheter

Fraîchement restylée, la Skoda Scala devrait poursuivre une carrière très discrète dans l'Hexagone. Nous nous sommes donc penchés sur la version de base de cette oubliée pour vérifier si ce désamour est justifié. La Skoda Scala est une cousine de la Volkswagen Golf. Enfin presque, car la tchèque repose en réalité sur la plateforme plus économique de la Polo afin de proposer des prix plus doux. Dans les faits, la méthode est probante, car la Scala démarre à 24 530 € quand la Golf la moins chère débute au minimum à 29 990 €. Seulement, cette solution technique se fait-elle aux dépens des prestations de l'auto ? Rendez-vous sur le configurateur pour avoir les idées claires ! En visuel, la Scala Active s'équipe de feux avant et arrière partiellement à LED. Elle délaisse le jonc chromé sous le vitrage des versions hautes et se contente d'un becquet de taille réduite. Aussi, la lunette arrière ne s'étend pas jusqu'au lettrage Skoda tandis que les enjoliveurs de 16 pouces ont un style vraiment trop simpliste singeant les produits vendus chez Norauto. Enfin, la teinte gratuite nommée « Bleu Energie » fait surtout penser au bleu EDF, ce qui est finalement raccord avec le terme « Energie ».{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Skoda Scala restylée (2024) : une compacte rationnelle, ça existe encore

Le Volkswagen ID. Buzz revoit sa grille tarifaire à la baisse avec une version de base plus accessible. La version longue de l'utilitaire électrique est également disponible à la commande, tandis que la GTX arrive en fin d'été. Malgré sa bouille craquante, le Volkswagen ID. Buzz se fait assez rare sur nos routes. Il faut dire que l'utilitaire familial électrique souffre d'un positionnement tarifaire assez élitiste. Un impair que la marque allemande corrige aujourd'hui partiellement avec la version Pro dont les prix chutent de 6 600 € pour s'établir désormais à 52 850 €. Si la baisse est tangible, elle demeure toutefois insuffisante pour espérer décrocher le bonus CO2. L'ID. Buzz est donc moins cher, mais il en offre plus : tous les modèles reçoivent un nouvel écran tactile de 12,9 pouces intégrant un infodivertissement inédit à l'interface optimisée, tandis que l'assistant vocal tourne désormais sous l'intelligence artificielle ChatGPT. Côté équipements, l'affichage tête haute et le stationnement automatisé à distance font leur apparition dans la liste des options.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le Volkswagen ID.Buzz California est-il mort ?

Skoda liquide son stock d'Enyaq 60 en proposant les derniers exemplaires à prix bradés. A moins de 30 000 € bonus déduit, c'est peu ou prou le tarif d'une 208 électrique d'entrée de gamme. Bref, vous ne trouverez pas meilleure offre avant longtemps ! Nouveau moteur, infodivertissement revu, batterie améliorée, équipements inédits… Dans la gamme du Skoda Enyaq, tout le monde n'a d'yeux que pour la version 85 remplaçant avantageusement la 80. Pour redonner de l'intérêt à l'Enyaq 60 et écouler les derniers exemplaires en stock, la marque tchèque fait donc un énorme geste commercial ramenant le prix final du SUV à 29 860 €. Le tout sans aucune condition ! Le pire dans l'histoire, c'est que le Skoda Enyaq n'est aucunement un modèle au rabais. Ce SUV familial de 4,65 m offre une excellente habitabilité gage d'un très bon confort. L'équipement est également très complet avec la climatisation automatique bizone, le rétroviseur intérieur jour/nuit automatique, les feux à LED, les jantes de 19 pouces, un écran tactile de 10 pouces avec une instrumentation numérique ou encore la caméra de recul.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Skoda Enyaq iV, retour de l'entrée de gamme à moins de 35.000 euros

Face à un malus CO2 de plus en plus lourd à porter, les compactes sportives font petit à petit leurs valises. Ce phénomène augmente naturellement les prix des modèles d'occasion. La Honda Civic Type-R fait-elle exception à la règle ? Née en 2001, la Honda Civic Type-R fait certainement partie des JDM les plus connues. Les quoi ? Les JDM, pour « Japanese domestic market », correspondent tout simplement aux autos homologuées et vendues au Japon. Derrière cette appellation se cache nombre de mythes automobiles comme la Type-R très appréciée des passionnés. Cet amour se répercute vivement en occasion où les prix peuvent grimper en flèche pour les modèles les plus récents. Située au-dessus de la Type-S déjà pas avare en performances, la Type-R offre un surplus de puissance non négligeable allant de 200 ch pour la Civic 7 Type-R à 329 ch pour la Civic 11 Type-R. Bref, l'auto a du muscle, et elle veut en plus le faire savoir puisqu'elle adopte un style des plus démonstratifs. Jantes exclusives et jupes spécifiques permettent ainsi de distinguer la Type-R de ses sœurs roturières. C'était sans oublier l'aileron pouvant servir d'étagère… Nous nous focaliserons sur les trois dernières générations de la Type-R qui sont les plus représentées sur La Centrale. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Honda Civic Type-R : la japonaise qui voulait la tête de la Volkswagen Golf GTI Une Civic 9 Type-R repérée à 23.000 euros

Il y aura une nouvelle fois du monde sur les routes du pays pour ce deuxième weekend des grandes vacances scolaires. Vendredi 12 et samedi 13 seront les journées les plus chargées dans le sens des départs. Le deuxième week-end des vacances d'été apportera une nouvelle fois son lot de difficultés sur les routes du pays. En cette veille de fête nationale, la circulation sera donc bien compliquée notamment dans le sens des départs avec un vendredi et un samedi qui seront particulièrement chargés. Les retours seront en revanche plus calmes. Vendredi 12 juillet, Bison Futé hisse le drapeau orange sur l'ensemble du territoire et même le drapeau ROUGE en Île-de-France, dans le Nord et le Grand-Ouest. Les premières difficultés apparaîtront dès la fin de matinée au niveau des barrières de péage de Saint-Arnoult sur l'autoroute A10 et Fleury-en-Bière sur l'autoroute A6. Ces complications s'étendront aux axes A62, A63, A7 et A50. En direction du nord, les autoroutes A13, A25 et A1 connaîtront aussi un trafic chargé.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Les tarifs des péages augmentent à partir d'aujourd'hui !

Valeur sûre dans le segment disputé des SUV, le Renault Austral est proposé à partir de 35 800 € dans sa version de base Equilibre. Pour parvenir à serrer autant les prix, le constructeur français a-t-il fait des économies sur le dos de ses clients ? Face à des prix en hausse constante, les constructeurs tentent tant bien que mal de contenir les tarifs de leurs modèles grâce à des entrées de gamme pas toujours attractives. Penchons-nous sur le cas du Renault Austral proposé à 35 800 €. La marque fait-elle des efforts de présentation sur son SUV premier prix ou bien se laisse-t-elle aller à de profondes économies quitte à dégrader le véhicule ? Au premier regard, l'Austral Equilibre se débrouille franchement très bien. Ses jantes de 17 pouces ne font clairement pas cheap, tout comme sa calandre qui conserve un minimum de prestance grâce à son motif en damier. Même la signature lumineuse des feux à LED en forme de « C » est complète, contrairement aux premiers modèles où seule la partie supérieure était éclairée. De profil, le jonc chromé surplombant le vitrage fait aussi partie du voyage, comme les passages de roues noir brillant.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Austral : quel est son prix avec toutes les options ?

Avec les beaux jours qui arrivent, pourquoi ne pas se faire plaisir et profiter du soleil pour rouler cheveux au vent en cabriolet ? De bonnes affaires sont possibles ! Notre sélection pour moins de 15 000 €. Après un mois de juin assez agité, l'été semble s'installer durablement en ce début de juillet avec un soleil généralisé accompagné de températures clémentes. Ajoutez à cela les grandes vacances estivales qui se profilent et voilà la période parfaite pour rouler sans arrière-pensées. Quoi de mieux qu'un cabriolet pour incarner ces envies de liberté ? Nous avons déniché pour vous quelques modèles très sympathiques pour vous faire plaisir à moins de 15 000 €. Bien sûr, ne vous attendez pas à trouver des cabriolets de prestige dans ces gammes de prix, cela coule de source. Trop anciens et trop kilométrés, ces modèles souffrent bien souvent d'une fiabilité douteuse risquant surtout de vous gâcher l'été. Nous nous concentrerons plutôt sur des véhicules plus récents aux cylindrées réduites dont le coût d'entretien reste maîtrisé. Direction le site La Centrale, notre terrain de chasse favori, pour repérer trois modèles répondant à trois besoins différents !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Aller simple pour le Japon avec notre Mazda MX-5 ! L'incontournable : Mazda MX-5

Fraîchement dévoilé, le nouveau Dacia Duster arrive lentement mais sûrement en occasion. Si cette troisième génération s'améliore sur tous les points par rapport au modèle précédent, il est en réalité urgent d'attendre ! Plus sexy, plus sûre, mieux équipée et toujours à prix Dacia : voilà comment on pourrait décrire en quelques mots la troisième génération du Dacia Duster. Les premiers exemplaires arrivant tout juste en occasion, il serait très tentant de repartir au volant du dernier SUV roumain à vil prix, n'est-ce pas ? Hélas, la réalité du marché risque bel et bien de freiner nombre d'ardeurs. Les nôtres en premier… Comme beaucoup de Dacia récentes, le Duster s'affiche plus cher en occasion qu'en neuf. Pardon, un SUV low cost plus cher en seconde main qu'en neuf ? Oui, car la marque roumaine est une nouvelle fois confrontée à une demande extrêmement forte dépassant largement ses capacités de production. Résultat, les délais s'allongent à vue d'œil et les modèles d'occasion, disponibles immédiatement, voient logiquement leurs tarifs flamber.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Dacia Duster : le nouveau pourra-t-il faire aussi bien que l'ancien ?