Sur le marché des compactes, la Hyundai i30 n'est clairement pas la voiture la plus représentée. Elle survit tout de même, dans l'ombre des Volkswagen Golf et Peugeot 308. Pourtant, son tarif d'accès de 28.500 euros est inférieur à ceux de ses concurrentes. Paierait-elle finalement un certain manque d'image ? Il faut tout d'abord reconnaître qu'il n'y a de moins en moins de place sur le marché des compactes. Non pas que le segment soit saturé, loin de là. Certains modèles ont même disparu, remplacés par des SUV. Cependant, certaines des représentantes restantes trustent la majeure partie des ventes. La Volkswagen Golf et la Peugeot 308, pour ne citer qu'elles, jouissent d'une image de marque solide. La Hyundai i30 fait donc office d'outsider. Ce qui ne signifie pas qu'elle est dénuée d'intérêt… Comme pour la 308, Hyundai fait déjà un effort sur la présentation extérieure. La i30 est habillée de série d'une teinte Engine Red, bien plus flatteuse que le Gris Urano de la Volkswagen Golf d'entrée de gamme. La Coréenne repose sur des jantes en alliage de 17 pouces et adopte de série les projecteurs à LED et les vitres arrière surteintées.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Hyundai Inster : un gabarit XXS, mais un esprit malin !

Porsche vient de dégainer deux nouvelles versions de sa grande berline de luxe, la Panamera. Celle-ci se décline désormais en versions GTS et Turbo S E-Hybrid, avec des puissances respectives de 500 et 782 chevaux. Bonne nouvelle, la plus puissante des deux échappe au malus écologique de 60.000 euros ! Quelques jours après avoir ajouté deux nouvelles variantes à la gamme de son Macan 100% électrique, Porsche s'occupe maintenant de sa grande berline, la Panamera. Celle-ci était jusqu'à maintenant disponible en versions normale, 4, 4 E-Hybrid, 4S E-Hybrid et Turbo E-Hybrid. Le catalogue s'enrichit donc aujourd'hui de deux nouvelles variantes, GTS et Turbo S E-Hybrid. L'une et l'autre embarquent un V8, avec toutefois deux approches bien distinctes. La Panamera GTS est conçue pour la performance et, contrairement à la Turbo S E-Hybrid, celle-ci est 100% thermique. Son V8 4.0 biturbo développe 500 chevaux, soit 20 équidés de plus que la précédente mouture. Elle revendique une vitesse de pointe de 302 km/h et peut abattre le 0 à 100 km/h en 3,8 secondes. Cette version est dotée du système d'échappement sport, de la suspension pneumatique PASM et du Porsche Torque Vectoring Plus. Côté esthétique, elle se distingue des autres versions grâce à son bouclier avant unique et son pack Sport Design de série. Le pack Sport Chrono est également inclus.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Macan : les nouvelles versions propulsion et 4S rejoignent le catalogue !

Bentley poursuit l'électrification de sa gamme et annonce l'arrivée imminente d'une nouvelle version de sa Flyng Spur. La grande berline de luxe anglaise aura droit à la fameuse motorisation Ultra Performance Hybrid, comme sa petite sœur la Continental GT. Cette déclinaison électrifiée sera la plus puissante de l'histoire de la Flying Spur. La transition électrique est en marche, chez Bentley. Après avoir présenté sa nouvelle Continental GT Speed il y a quelques semaines, la marque britannique s'apprête à remettre le couvert, cette fois avec la grande Flying Spur. La grande berline de luxe se déclinait jusqu'à présent en différentes versions, équipées de V8, de W12 ou de V6 électrifié. La gamme va donc bientôt s'élargir, avec l'ajout d'une nouvelle motorisation. Cette motorisation, on la connaît déjà depuis quelques semaines. C'est en effet celle-ci qui se trouve sous le capot de la récente Continental GT Speed. Bentley l'appelle Ultra Performance Hybrid. Elle se compose d'un V8 4.0 biturbo et d'un moteur électrique. La fiche technique détaillée n'a pas encore été communiquée. Cependant, la marque annonce une puissance cumulée de 782 chevaux et 1.000 Nm de couple, soit 150 chevaux de plus que la plus puissante des Flying Spur de la gamme actuelle !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Bentley Continental GT Speed : pour les nobles décoincés !

Le mois dernier, Alpine dévoilait enfin sa nouvelle A290. La citadine dieppoise, alter-ego sportif de la Renault 5 E-Tech, était en effet extrêmement attendue. Maintenant qu'elle est là, l'heure est venue de jouer au jeu des 7 différences. Car si elle est effectivement plus puissante que sa sœur frappée du losange, qu'a-t-elle réellement de plus à offrir ? Pourquoi choisir une Alpine A290 plutôt qu'une Renault 5 E-Tech ? Voilà une bonne question, qui peut d'ailleurs être posée dans l'autre sens. Depuis la première annonce de la marque dieppoise, on savait que les deux modèles seraient extrêmement proches, tout au moins sur le plan du design. Et c'est tant mieux, d'ailleurs, puisque la R5 E-Tech est une franche réussite, objectivement et (presque) sans aucun chauvinisme. On est alors tenté de répondre, bêtement : pour les chevaux ! Et c'est vrai que, côté motorisation, l'A290 prend l'avantage avec une puissance allant de 180 à 220 chevaux, selon la version choisie. De son côté, la R5 E-Tech doit se contenter de « seulement » 150 chevaux. Ce qui est finalement amplement suffisant pour ce qu'on lui demande, à savoir être une bonne citadine. La Renault prend néanmoins sa revanche au rayon de l'autonomie, annoncée à 412 kilomètres en cycle WLTP, contre 380 kilomètres environ pour l'Alpine.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alpine A290 : la R5 énervée est enfin là, jusqu'à 220 chevaux !

Cette semaine, à l'occasion du 40ème anniversaire de sa branche espagnole, Porsche a dévoilé une série spéciale de sa 911, sobrement baptisée Cuaranta Edition. Cette version est malheureusement réservée au marché espagnol. Vous êtes jaloux ? On comprend... Pour cette série spéciale, Porsche a mis les petits plats dans les grands. La 911 Cuaranta Edition est habillée d'une teinte spécifique Quercusverde, issue du catalogue Paint To Sample Plus. La marque précise que cette couleur évoque le chêne, un arbre que l'on retrouve justement sur le badge "911 Cuaranta", apposé sur la grille d'aération du moteur. La voiture repose sur des jantes RS Spyder Design peintes en noir satiné. Le clou du spectacle se trouve à l'intérieur. La planche de bord et les contreportes sont recouvertes de cuir marron Truffe et marron Cohiba. Les sièges reprennent ces deux teintes, avec en plus de tissu tartan. L'ambiance est délicieusement vintage à bord. Cette série spéciale anniversaire se base sur la 911 Type 992.2 GTS. Le flat-6 3.6 est associé à un turbo, dans lequel se situe un petit moteur électrique. Un autre électro-moteur est logé dans la boîte PDK. L'ensemble développe 541 chevaux et permet d'accélérer de 0 à 100 km/h en 3 secondes, et d'atteindre 312 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Porsche Iberica ne produira que 40 exemplaires de cette 911 Cuaranta Edition. Chaque voiture peut être personnalisée selon les souhaits des clients. Les tarifs sont fixés à 284.439 euros.

Porsche vient de dévoiler une série spéciale de sa 911, baptisée Cuaranta Edition. Celle-ci a été créée pour célébrer les 40 ans de la branche espagnole de la marque, Porsche Iberica. Seules 40 unités seront produites. Vous la trouvez belle ? On vous comprend, il faudrait être difficile pour dire le contraire. Mauvaise nouvelle, elle est réservée à nos voisins espagnols. La tuile… Pour fêter dignement ses 40 ans de présence sur le marché espagnol, Porsche vient de lever le voile sur la 911 Cuaranta Edition. Cette série spéciale se dote de tout un tas d'équipements issus du catalogue Exclusive Manufaktur ainsi que de certains éléments spécifiques, aussi bien à l'extérieur que dans l'habitacle. Elle se base sur la nouvelle 911 GTS, dotée de sa motorisation hybride. Les réjouissances commencent à l'extérieur. La 911 Cuaranta Edition se pare d'une teinte Quercusverde, conçue spécialement pour cette série spéciale. Ce coloris a d'ailleurs été introduit dans le catalogue Paint To Sample Plus. La marque précise que cette couleur évoque les feuilles de chêne, un arbre qui pousse énormément en Espagne. Des logos spéciaux ont également été ajoutés, sur la grille d'aération du moteur ainsi que sur le profil. La voiture repose sur des jantes RS Spyder Design, finies en noir satiné.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Macan : les nouvelles versions propulsion et 4S rejoignent le catalogue !

En 2011, Alfa Romeo et Zagato présentent un concept-car pour célébrer près de 100 ans de collaboration entre la marque italienne et le célèbre carrossier. Baptisée TZ3 Stradale, cette réalisation fait suite à la TZ3 Corsa, dévoilée un an plus tôt. Mais contrairement à sa devancière, la Stradale a un cœur bien Américain. Elle embarque en effet un énorme V10 8.4 repris à une très méchante Dodge Viper ! Les concepts sont souvent des objets bien particuliers. Dans 99% des cas, on sait très bien que les chances de les voir entrer en production sont infimes, notamment à cause du fait qu'ils ne sont absolument pas prévus pour ça. Leur développement coûterait bien trop d'argent, surtout dans le contexte actuel où les constructeurs comptent le moindre centime pour optimiser leur rentabilité. Ça a toujours été valable, mais ça l'est encore plus de nos jours. Mais en remontant ne serait-ce qu'une décennie en arrière, les choses étaient différentes. Les concept-cars n'étaient pas systématiquement remisés dans les musées après leur présentation. Prenons par exemple le cas de l'Alfa Romeo TZ3 Stradale, un concept dévoilé en 2011, qui a justement eu droit à une production en petite série. 9 exemplaires ont en effet vu le jour.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo 164 Procar : on nous a privé de cette pépite et de son V10

On a souhaité se faire notre propre avis sur le nouveau Porsche Macan 100% électrique. Certes, le V6 de l'ancienne génération laisse un gros vide, mais le nouveau cru doit bien avoir quelques qualités, après tout ! Pour le découvrir, nous avons configuré notre propre exemplaire, avec pour but d'en faire un SUV capable de sortir des rubans d'asphalte. Il y a quelques semaines, nous avions configuré l'un des derniers Porsche Macan de l'ancien monde, en version GTS. En toute bonne foi, nous avions affirmé qu'il était forcément mieux que la nouvelle génération, qui est passée au 100% électrique. Butés que nous étions… Alors, pour confirmer nos dires (ou pas d'ailleurs), nous avons décidé d'aller faire mumuse avec le configurateur du nouveau modèle. Porsche vient d'ailleurs d'étoffer la gamme de son nouveau Macan, en ajoutant des versions propulsion et 4S. Mais peu importe, nous avons choisi la plus puissante du catalogue, la Turbo. Celle-ci est dotée de 2 moteurs électriques (1 à l'avant, 1 à l'arrière) qui envoient jusqu'à 639 chevaux aux 4 roues. Porsche annonce un 0 à 100 km/h abattu en 3,3 secondes et une vitesse de pointe de 260 km/h. Côté autonomie, la batterie de 100 kWh (capacité brute) autorise une autonomie de 554 kilomètres en cycle WLTP. Le Macan Turbo s'affiche à partir de 118.910 euros et, contrairement à son prédécesseur, celui-ci n'écope d'aucun malus CO2 ! Tiens, ne serait-ce pas un premier bon point pour la nouvelle génération ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Macan : les nouvelles versions propulsion et 4S rejoignent le catalogue !

Il y a quelques mois, on apprenait que Jaguar arrêtait la production de sa sportive, la F-Type. D'après de récentes annonces de la marque, pas moins de 4 modèles seraient également en passe d'être retirés du catalogue ! Un constat que l'on a pu vérifier en allant faire un tour sur le configurateur en ligne. Seul le Jaguar F-Pace va être conservé. Depuis une grosse dizaine d'années, Jaguar avait revu sa stratégie et avait tout fait pour se positionner en face des constructeurs premiums allemands, notamment BMW et Mercedes. Une tactique qui pouvait sembler bonne sur le papier, mais qui n'a malheureusement pas porté ses fruits, comme l'a récemment reconnu le PDG de Jaguar - Land-Rover à nos confrères d'Automotive News. Ce dernier a déclaré que la marque allait arrêter la production des modèles qui ne génèrent pas assez de bénéfices. Outre les revenus générés par les voitures concernées, force est de reconnaître que les volumes de ventes de Jaguar sont en berne depuis maintenant plusieurs années. Une décision qui intervient alors que la plupart des modèles du catalogue sont en fin de cycle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jaguar F-Type : la fin d'une ère, le début d'une autre

Présenté en début d'année, le nouveau Porsche Macan 100% électrique a d'abord été lancé avec deux versions. L'entrée de gamme était assurée par le Macan 4, tandis que la version Turbo chapeautait le tout. Aujourd'hui, la marque allemande ouvre les carnets de commandes pour deux nouvelles variantes. La première vient se positionner sous le Macan 4, avec un seul moteur à l'arrière. La seconde, baptisée 4S, profite de la transmission intégrale avec 448 chevaux. Le moment est venu pour Porsche d'élargir la gamme de son premier SUV 100% électrique, le Macan. D'abord commercialisé en versions 4 et Turbo, celui-ci ajoute deux nouvelles cordes à son arc, avec les déclinaisons Macan et 4S. De quoi élargir l'offre et satisfaire les besoins d'une clientèle plus large, tout en abaissant le tarif d'accès, jusque-là fixé à 86.439 euros.  La version Macan vient se positionner en entrée de gamme, avec son unique moteur électrique de 340 chevaux et 563 Nm de couple, envoyant sa puissance aux roues arrière. Le launch control permet même d'activer un boost de 20 chevaux supplémentaires, disponibles pendant quelques secondes. Porsche annonce un 0 à 100 km/h abattu en 5,7 secondes. Néanmoins, ce que le Macan perd en efficacité, il le compense avec une meilleure efficience grâce à son poids réduit de 110 kg par rapport à la version 4. Ainsi, la batterie de 100 kWh (capacité brute) autorise un rayon d'action de 641 kilomètres en cycle mixte WLTP.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Taycan Turbo GT : plus de 1.100 chevaux pour s'offrir la tête de la Tesla Model S plaid

Depuis son lancement en début d'année dernière, la Peugeot 408 est restée plutôt confidentielle sur le marché. C'était à prévoir, avec un style aussi clivant, à mi-chemin entre une berline et un SUV. Mais il faut bien dire aussi que la 408 n'est pas franchement donnée, avec son tarif de base de 37.000 euros. Ce qui la place tout de même juste en dessous du nouveau Peugeot 3008. En début d'année dernière, Peugeot a absolument tenu à répondre à une question que personne ne se posait : que faire lorsque l'on hésite entre une berline coupée et un SUV ? Cette problématique existentielle a donc trouvé une réponse finalement évidente, la 408. Un véritable ovni sur le marché automobile, cousine technique de l'encore plus confidentielle Citroën C5 X, qui ne va d'ailleurs avoir droit à aucune descendance faute de ventes.  La lionne va donc bientôt avoir le champ totalement libre, sur un segment inventé l'année dernière et sur lequel elle sera la seule représentante. Sur le papier, elle a donc toutes les cartes en mains pour être un carton commercial. À l'exception de son tarif, peut-être, puisqu'elle s'affiche tout de même à partir de 37.000 euros. Un prix relativement élevé, d'autant qu'on ne parle ici que de l'entrée de gamme Allure. Mais est-elle bien équipée, au moins ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Des nouveaux Peugeot 3008 déjà bradés sur le marché de l'occasion !

Audi vient de présenter la troisième génération de son A5. Le modèle fait sa révolution, en se déclinant pour la première fois de son histoire en version break Avant. En effet, c'est à elle que revient la responsabilité de combler le vide que laissera prochainement l'A4. Cette dernière ne va pas tarder à être retirée pour passer à l'électrique. Rarement un nouveau modèle n'a suscité autant d'interrogations chez Audi. On entend parler de la nouvelle A5 depuis plusieurs mois, et on savait qu'elle se déclinerait en break. Car cette nouvelle génération est aussi bien la suite de la précédente A5 que la descendante de l'actuelle A4. Prendre la relève de deux modèles, ça implique forcément de ne pas se rater… Pour ce faire, ce nouveau cru inaugure une nouvelle plateforme, baptisée PPC. Celle-ci est conçue pour recevoir des motorisations électrifiées (et pas 100% électriques). Visuellement, le style évolue assez nettement. La nouvelle A5 affiche des lignes fluides. Le bouclier avant reprend la calandre Single Frame, celle-ci ayant été particulièrement affinée. De nouvelles prises d'air viennent se loger sous les optiques. Le capot est nervuré, même sur les versions les plus sages. De profil, on remarque des ailes arrière très marquées, un constat encore plus net sur la version Avant. À l'arrière, le dessin de la poupe est inédit, avec des feux reliés par un bandeau de LED. La voiture peut être équipée de jantes allant de 17 à 20 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi RS Q8 Performance : le V8 fait de la résistance avec 640 chevaux !

Audi vient de présenter la nouvelle génération de son A5, accompagnée de sa version sportive la S5. Pour cette troisième génération, le modèle opère une véritable révolution, en se déclinant pour la première fois en break. Voilà qui risque de demander un temps d'adaptation. Dorénavant, dans la gamme d'Audi, les chiffres pairs seront réservés aux modèles électriques, tandis que les impairs seront attribués aux voitures dotées de moteurs à combustion. L'A5 et la S5 ne sont donc pas directement concernées par ce changement, mais elles inaugurent tout de même une nouveauté de taille : une version Avant, break donc. Pourquoi ? Pour occuper le créneau qui va être laissé vide après la disparition de l'A4 thermique. Visuellement, la nouvelle S5 Avant adopte un nouveau style, avec des traits affinés. Elle se distingue de l'A5 Avant grâce à son bouclier plus agressif, son capot nervuré et ses deux doubles sorties d'échappement. Elle repose de série sur des jantes de 19 pouces. Le volume de coffre est logiquement en hausse, avec 476 litres en configuration normale et jusqu'à 1.424 litres une fois la banquette rabattue.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'Audi S5 Avant est équipée d'un V6 3.0 TFSI développant 367 chevaux, associé à une technologie mild-hybrid 48V. Le système offre un boost de puissance de 24 chevaux à l'accélération et permet de rouler en 100% électrique à basse vitesse, ou lors des manoeuvres. La voiture est dotée de série de la transmission intégrale quattro. Le lancement de cette nouvelle S5 Avant est prévu pour novembre 2024.

Voici la toute nouvelle Audi A5 et, non, vous ne rêvez pas : elle se décline désormais en version break Avant ! La raison est simple, l'A4 va bientôt passer à l'électrique. La nouvelle A5 a donc la responsabilité de reprendre le créneau du break familial. La nouvelle nomenclature d'Audi va demander un temps d'adaptation. Les chiffres pairs seront maintenant réservés aux modèles électriques, tandis que les thermiques auront droit aux chiffres impairs. L'A5 de troisième génération adopte un nouveau design, plus fin. La calandre Single Frame a été redessinée et est maintenant moins imposante.  Le dessin de la poupe est complètement nouveau, avec un large bandeau de LED qui relie les optiques. L'habitacle fait lui-aussi peau neuve, avec une planche de bord bardée d'écrans. L'instrumentation numérique de 11,9 pouces est accolée à l'infodivertissement de 14,5 pouces. Une troisième dalle numérique optionnelle de 10,9 pouces trône face au passager. Mais la principale nouveauté se situe à l'arrière, puisque cette inédite version Avant a droit à un grand coffre de 476 litres, voire 1.424 une fois la banquette arrière rabattue.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La gamme se compose de 2 motorisations essence et d'un Diesel. La nouvelle A5 a donc droit à deux blocs 2.0 TFSI de 150 ou 204 chevaux, ainsi qu'à un 2.0 TDI de 204 chevaux. Au sommet de la gamme, on retrouve la S5 avec son V6 3.0 TFSI de 367 chevaux. L'ensemble de ces motorisations est associé à une technologie mild-hybrid 48V qui, en plus d'autoriser quelques phases de roulage en 100% électrique, permet en plus de profiter d'un boost de puissance de 24 chevaux. La nouvelle Audi A5 Avant arrivera dans les concessions en novembre 2024. Les commandes doivent ouvrir plus tôt, dès ce mois-ci.

Audi vient de présenter la troisième génération de son A5, accompagnée directement de sa déclinaison sportive, la S5. Pour ce nouveau cru, le modèle opère une petite révolution en étant décliné pour la première fois en version break Avant, pour combler le vide que va prochainement laisser l'A4 au moment de son passage à l'électrique. La nouvelle Audi A5 profite d'un design complètement revu, avec des traits plus fins. À l'avant, le bouclier intègre la traditionnelle calandre Single Frame, qui a été affinée pour l'occasion. Le capot est nervuré, tandis que de nouvelles prises d'air viennent se greffer sous les optiques. À l'arrière, le toit retombe façon fastback jusqu'au bandeau de LED qui traverse le hayon et qui relie les feux. L'habitacle de la nouvelle A5 est résolument plus moderne, avec sa planche de bord ornée d'un grand écran incurvé. Celui-ci regroupe le Virtual Cockpit de 11,9 pouces et l'infodivertissement de 14,5 pouces. En option, les clients pourront ajouter un troisième écran de 10,9 pouces, face au passager.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Au lancement, la gamme offrira le choix entre deux blocs essence de 150 et 204 chevaux et un Diesel de 204 chevaux. Au sommet, la S5 embarquera un V6 3.0 TFSI de 367 chevaux. L'intégralité de la gamme passe à la micro-hybridation 48V. Le système offre un gain de puissance temporaire de 24 chevaux et autorise quelques phases de roulage en 100% électrique. L'arrivée en concessions est prévue pour le mois de novembre, tandis que les commandes ouvriront d'ici la fin du mois de juillet. Les tarifs doivent débuter à 45.000 euros, pour la version essence de 150 chevaux.

Renouvelé il y a peu, le Nissan Qashqai a toujours autant d'arguments pour séduire. La nouvelle génération adopte une plastique plus avantageuse que jamais et, surtout, bénéficie d'un positionnement tarifaire intéressant avec une entrée de gamme fixée à 34.700 euros. À l'autre bout du catalogue, on trouve la finition Tekna+, équipée du bloc e-Power de 190 chevaux. Alors, pour 48.300 euros, en a-t-on pour notre argent ? La nouvelle génération du Nissan Qashqai a tout ce qu'il faut pour connaître le même succès commercial que les précédentes. Design sympathique, dotation en équipement honnête, tarifs intéressants… Mais ces critères ne suffisent parfois pas, notamment sur le marché ultra concurrentiel des SUV. Il faut dire que le segment n'est plus très loin de la saturation, avec des modèles qui se sont multipliés depuis une dizaine d'années. Et parmi ces nombreux SUV, on trouve des mastodontes comme les récemment renouvelés Peugeot 3008 et Volkswagen Tiguan, ou encore le Renault Austral. Et justement, le Qashqai peut-il convaincre les acheteurs les plus exigeants, qui se tournent plus instinctivement vers les finitions hautes ? En d'autres termes, le Japonais peut-il aller jouer sur le segment du premium ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI - Nissan Qashqai (2024) : I've got the e-power !

La Dino a une histoire bien particulière chez Ferrari. Le petit coupé sport a toujours été à part dans la gamme du cheval cabré, au point d'avoir carrément droit à son propre logo. Sa caractéristique ? Jusqu'à l'arrivée de la 296 GTB, il y a 3 ans, la Dino était le seul et unique modèle à embarquer un V6. Une motorisation qui n'a pas convaincu David Lee, célèbre collectionneur de Ferrari. Ce dernier a décidé de remédier à cela en remplaçant le 6 cylindres par un V8, repris à une F40… David Lee est certainement le collectionneur ultime de Ferrari. Déjà parce qu'il en a beaucoup, mais aussi parce qu'il possède les indispensables : 288 GTO, F40, F50, Enzo, LaFerrari… Un noble érudit ! Et dans son garage de rêve, on trouve une Dino 246 GTS. Une très belle voiture, dont la « petite » motorisation dénote tout de même, à côté des V8 et des V12 légendaires. Mais ce n'était pas un problème pour David Lee, qui a trouvé la parade parfaite. Le collectionneur a fait appel aux services de Mototechnique, préparateur anglais de renom, pour réaliser quelques travaux sur la Dino 246 GTS. On abordera la partie mécanique plus tard… Côté esthétique, la voiture conserve les lignes de la Dino originelle. Toutefois, la Dino Monza 3.6 Evo se pare de jantes plus grandes de 17 pouces, qui reprennent le design d'origine. À l'arrière, le moteur est laissé visible, sous une plaque de plexiglas.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari 355 by Evoluto : on adore quand Ian Callum fait des infidélités à Aston Martin !

Depuis le début de l'année, Toyota a vendu presque autant de Yaris Cross que de Yaris classiques en France. Une statistique qui montre une nouvelle fois l'engouement des acheteurs pour les SUV et autres véhicules surélevés. La Yaris Cross voit ses tarifs débuter à 25.700 euros. Mais l'entrée de gamme est-elle si attractive ? Les chiffres de ventes le confirment, du moins chez nous : Toyota a eu le nez creux en déclinant sa citadine star, la Yaris, en version surélevée. Depuis début janvier, la marque japonaise a livré plus de 15.000 exemplaires de sa Yaris Cross. Pour remettre les choses en perspective, la Yaris, le best-seller absolu de la marque, ne s'est écoulée qu'à environ 2.000 exemplaires de plus sur les 6 premiers mois de l'année. Toutefois vous vous en doutez, les quelques centimètres gagnés en hauteur impliquent également quelques euros à ajouter au moment de signer le bon de commande. La Yaris Cross s'affiche à partir de 25.700 euros, contre 21.200 euros pour la Yaris standard. Alors, ces 4.500 euros de différence sont-ils justifiés ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Toyota Yaris Cross (2024) : il y a du neuf, ça ne se voit pas mais ça s'entend

Emmanuel Macron vient de remplacer son traditionnel DS 7 présidentiel par un nouveau modèle, un Renault Rafale. Le Chef de l'État a d'ailleurs effectué son premier trajet à son bord hier, à l'occasion de la fête nationale. Après plus de 7 ans passés à bord de Peugeot 5008 et de DS 7, Emmanuel Macron vient de présenter sa nouvelle voiture de fonction : le Renault Rafale. Cet exemplaire bien spécifique a reçu quelques modifications techniques visant à répondre aux "exigences de la fonction présidentielle". On peut donc imaginer des panneaux de carrosserie et des vitres renforcées. Visuellement, ce Rafale a droit à une calandre reprenant le drapeau français en dégradé, des porte-fanions amovibles et des jantes spécifiques de 20 pouces. Il est habillé d'une teinte Bleu Nocturne. Si Renault était plutôt absent à l'Élysée ces dernières années, le Rafale n'est pourtant pas le premier modèle de la marque à transporter un Président de la République. On se souvient notamment du Renault Espace de François Hollande, ou encore de la Vel Satis de Nicolas Sarkozy. Pour rappel, la première Renault présidentielle date de 1920. Il s'agissait d'une Renault 40CV, utilisée par Paul Deschanel.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

À l'occasion du défilé du 14 juillet, de nombreux véhicules ont été mis à l'honneur. Si les engins militaires étaient bien évidemment les plus nombreux, une voiture pour le moins ordinaire a beaucoup fait parler. Le Président de la République a en effet choisi la fête nationale pour changer sa voiture de fonction. Le DS 7 a été remplacé par un Renault Rafale, un joli coup de la marque au losange ! Il semble qu'Emmanuel Macron ait envie de changement, en ce moment. Après avoir procédé à pas mal de modifications au niveau de la masse salariale de l'Assemblée nationale, le Président de la République change également de voiture de fonction ! Depuis le début de son premier mandat, en 2017, on ne l'avait vu qu'avec un Peugeot 5008 et, surtout, un Citroën DS 7. De quoi faire une bonne publicité pour les deux marques du groupe Stellantis. Mais cette année, le DS 7 passe le flambeau à un autre SUV. Un concurrent, même, puisque le Président a dévoilé son tout nouveau Renault Rafale hier, à l'occasion de la fête nationale ! Pour trouver une autre Renault dans le garage de l'Élysée, il faut remonter en 2016. À cette époque, François Hollande se déplaçait en Renault Espace.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Renault Rafale (2024) : voici la Safrane des années 2020