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Faites la collection des voitures de course iconiques de leur génération ! Elles coûtent moins de 25 euros et profitent de promotions chez Amazon. Commandez les voitures LEGO Ferrari à prix réduit et faites une bonne affaire. Les fans de voitures apprécieront ces modèles réduits inspirés de l'écurie Ferrari, une référence en matière de voitures de course et de Formule 1. Amazon vous propose deux coffrets LEGO Speed Champions, tous deux en promotion pour une durée limitée. La première offre concerne la voiture LEGO Ferrari F40 qui coûte 24,99 euros chez Amazon. Elle prend la forme d'une maquette à construire grâce à un manuel d'utilisation fourni dans le pack. Vous recevez également une mini figurine de pilote. Ce coffret convient aussi bien aux enfants fans de voiture qu'aux adultes qui veulent démarrer une collection de voitures à exposer dans la chambre ou sur le bureau. Les détails emblématiques de la voiture Ferrari F40 sont fidèlement retranscrits comme le levier de vitesse et les sièges rouges. Découvrez également de nombreux accessoires comme un casque et une clé à molette. Collectionnez la voiture iconique Ferrari 512 M en LEGO Le modèle réduit de la voiture de course emblématique des années 1970 est disponible en LEGO. Amazon vous propose la voiture LEGO Ferrari 512 M à 21,99 euros. Les coffrets Speed Champions mettent à l'honneur des véhicules de course populaires. Ils sont parfaitement imités avec des détails réalistes et subtils. Ce modèle de voiture Ferrari 512 M à construire et à collectionner est parfait pour l'exposition. Il comprend un pilote en tenue de course. Vous pouvez réaliser la maquette à partir du manuel d'utilisation fourni dans votre commande Amazon, ou bien en utilisant l'application LEGO qui vous permet de zoomer sur les détails et de bénéficier d'une image claire pour observer la voiture sous tous les angles.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Le Renault Arkana a été un joli succès pour la marque française qui ne sera pas remplacé. Côté occasion, les petites annonces pullulent, ce qui baisse mécaniquement les prix. Le SUV coupé devient ainsi moins cher que la Clio en neuf ! Alors qu'il n'était initialement pas prévu sur notre marché, Renault a finalement décidé de commercialiser l'Arkana en France en 2021. Le losange a eu le nez creux puisque le SUV coupé a connu une carrière très respectable avec des ventes assez soutenues sur ses premiers mois. Il faut dire que ses prix plutôt maîtrisés et son style aguicheur étaient les principaux ingrédients de sa réussite.  L'histoire pourrait se répéter en occasion avec des modèles affichés à des tarifs très serrés. Tellement serrés d'ailleurs que l'Arkana se paie le luxe d'être moins cher qu'une Clio neuve ! L'exemplaire le plus accessible sur La Centrale est ainsi proposé à 17.890 euros. Et il ne s'agit aucunement d'un modèle en fin de course puisqu'il n'affiche que 24.900 km au compteur. Son état est ainsi proche du neuf au vu des photos.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Arkana : ses ventes explosent en avril !

Nismo, le département sportif de Nissan, fête cette année ses 40 ans d'existence. De nombreux modèles devenus iconiques ont été frappés du badge nippon. Retour sur quatre décennies du premier blason légendaire de l'automobile japonaise. Pour évoquer l'histoire de Nismo, il suffit de lancer la conversation avec un fan de voitures japonaises. Les plus jeunes parleront de Skyline, 370Z et autres GT-R. Les plus calés reviendront avec nostalgie sur les prototypes du Mans R89C et R92C, ou encore les Nismo 270R et 400R. Grâce à une communication savamment dosée avec le temps, le département sportif de Nissan a su faire le lien entre toutes les générations. L'occasion est belle de ressortir les plus belles réalisations de la branche sportive la plus connue du Japon.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nissan R390 GT1 « Road Car » : Du Mans à la route, en passant par Yokohama

Le carnet de commandes de la Cupra Leon restylée est ouvert ! La compacte espagnole débute à 39.760 euros en berline et à 42.010 euros en break ST. L'équipement est complet d'entrée de jeu. Cupra ouvre le carnet de commandes de la Leon restylée. L'espagnole est disponible à partir de 39.760 euros en berline. Pour profiter du volume de chargement du break ST, il faudra prévoir systématiquement une rallonge de 2.250 euros. La compacte propose un très large choix de motorisations allant de 150 à 300 ch. Le break ST n'a en revanche pas droit à la version de 300 ch. La gamme débute ainsi avec la Leon V équipée d'un 1.5 eTSI développant 150 ch et associé à la boîte automatique DSG7. Le diesel répond toujours présent avec le 2.0 TDI de 150 ch lui aussi couplé à une transmission automatique. C'est sans oublier l'hybride rechargeable eHybrid marié à la boîte DSG6 et développant en cumulé 204 ch. En milieu de gamme se trouve la Leon VZ accessible à partir de 47.425 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG - Cupra Leon VZ : et si on changeait un peu de la Volkswagen Golf R ?

Le circuit des 24 Heures du Mans vient d'être élu « Monument préféré des Français », dans le cadre de l'émission du même nom. La grande finale opposait 14 monuments répartis sur l'ensemble de l'Hexagone. Le circuit sarthois succède donc au château-fort de Sedan, qui avait été élu l'an dernier. Contrairement à ce que l'on essaie bien souvent de nous faire avaler, la passion de l'automobile n'est pas morte ! La preuve, le légendaire circuit des 24 Heures du Mans, l'un des tracés les plus mythiques au monde, vient d'être élu « Monument préféré des Français ». Chaque année, Stéphane Bern s'applique à promouvoir le patrimoine français, qu'il s'agisse de villages ou encore de châteaux ou de musées. Il présente d'ailleurs une émission télévisée, diffusée sur France 3, dans le cadre de laquelle les Français peuvent voter pour leur monument favori. Cette année, 28 monuments avaient été sélectionnés pour concourir. À l'issue du vote, c'est le circuit des 24 Heures du Mans qui a remporté les suffrages !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : 24 Heures du Mans : 6 anecdotes que vous ne connaissiez peut-être pas !

Goodwood c'est l'histoire folle d'un Lord anglais passionné de voiture et de compétition automobile qui réunit en 1993 quelques amis aussi passionnés que lui dans le parc de son château à 1h de Londres… 31 ans plus tard le Festival of Speed est devenu la fête de l'automobile ultime : on y vient du monde entier, les constructeurs, les pilotes les plus mythiques s'y retrouvent chaque année. De la première voiture de l'histoire jusqu'aux Formule 1, en passant par les prototypes de futurs modèles, tout ce qui roule sur deux ou quatre roues fait le show à Goodwood ! Que ce soit sur la Hillclimb, la piste que Lord March a tracé devant son château, ou dans la partie Display devenue au fil du temps un véritable salon de l'auto avec des premières mondiales… Plongeons ensemble dans cette édition 2024 qui nous a encore régalé !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Chez Renault, on aime beaucoup les SUV. Et comme les 6 modèles déjà présents au catalogue ne suffisaient pas, place au dernier venu, le Symbioz ! Eh oui, les SUV, c'est ce qui se vend le plus donc autant y aller à fond. Et si à la base, il devait être un SUV coupé, le Symbioz est tout ce qu'il y a de plus traditionnel, voire même de familial. Et pour cause, par rapport au Captur, le Symbioz s'étire de 18 centimètres à l'arrière, et se rapproche du Scénic E-Tech en matière de style, avec des nouveaux blocs optiques effilés sur le hayon et une poupe verticale qui promet une belle capacité d'accueil. Pas besoin de s'attarder longtemps sur la planche de bord, la même que sur le Captur. Ni même sur la motorisation, l'hybride de 145 chevaux déjà vue chez Renault. Une mécanique constituée d'un moteur essence de 94 chevaux associée à un moteur électrique de 49 chevaux, alimenté par une batterie de 1,2 kWh. Le tout optimisé pour toujours plus d'efficience.  Une consommation contenue grâce aussi à son poids, 1.420 kilos sur la balance. Pas mal à l'heure où toutes les voitures électrifiées ont tendance à prendre de l'embonpoint très facilement. Vous l'aurez compris, le Renault Symbioz est le vrai descendant de l'ancien Scénic. Un SUV efficient, accueillant et rassurant pour la famille avec ses 29 aides à la conduite disponibles. La contrepartie c'est qu'il n'est pas forcément donné puisqu'il débute à 35.000 euros !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

GranCabrio Folgore, Folgore comme la foudre ! Une métaphore évidente pour un modèle 100% électrique. Eh oui, le sculptural cabriolet italien n'est pas uniquement disponible avec le V6 Nettuno, mais bien dans une version à batteries, la première du genre dans le segment. De quoi étonner ! Pour la distinguer de la version thermique, une grille de calandre différente, le lettrage en cuivre et bien évidemment, de l'autre côté, l'absence de sorties d'échappement ! À l'intérieur, en revanche, tout est identique ! Et franchement, difficile de ne pas tomber sous le charme de ce savant mélange entre luxe et modernité. Avec toujours l'opportunité d'accueillir, un peu à l'étroit certes, deux passagers à l'arrière et quelques bagages dans le coffre.  Niveau performances, la GranCabrio Folgore n'a vraiment rien, mais rien, à envier à personne. Ouvrez les oreilles : 761 chevaux qui peuvent monter jusqu'à 829 avec le boost. On continue, 2,7 secondes pour foudroyer le 0 à 100 km/h, 9,1 secondes pour les 200 km/h et 290 km/h de vitesse de pointe. Avec sa batterie de 83 kWh, la belle italienne revendique une autonomie de 441 km. Mais à bon rythme, il faudra plutôt compter sur 300 km.  Le tout rechargeable de 20 à 80% en 18 minutes grâce à son architecture 800V.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La Maserati GranCabrio Folgore a tout du modèle réussi : exception faite de sa bande son, cette belle GT, performante et invitant au voyage respecte l'ADN maison, avec une petite touche supplémentaire de technologies. Une première dans le segment qui se paye cher, à partir de 209.000 euros.

Le Ford Ranger s'électrifie en gagnant une version hybride rechargeable. Avec une puissance cumulée de 279 ch et un couple camionesque de 690 Nm, le pick-up affiche des capacités de remorquage toujours aussi impressionnantes. Le Ford Ranger prend du galon avec une inédite version hybride rechargeable. L'américain marie ainsi un quatre-cylindres de 2.3 l à un électromoteur de 102 ch pour une puissance cumulée de 279 ch et un couple de 690 Nm. Sa batterie de 11,8 kWh autorise pour sa part une autonomie de 45 km en mode électrique. Aussi, ce Ranger peut toujours embarquer une charge utile d'une tonne et tracter jusqu'à 3,5 tonnes. Côté présentation, la série de lancement Stormtrak embarque un équipement riche comprenant notamment des jantes de 18 pouces, une calandre en nid d'abeille, des feux Matrix LED, une caméra à 360°, une peinture grise exclusive et une sonorisation B&O à 10 haut-parleurs. De plus, le Ranger hybride rechargeable peut alimenter des appareils externes en délivrant une puissance allant jusqu'à 6,9 kW. Les premières livraisons sont prévues au printemps 2025.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ineos Grenadier Quartermaster Chassis Cab : l'alternative aux Volkswagen Amarok et Ford Ranger ?

Audi ouvre le carnet de commandes du nouveau Q5. Le SUV aux anneaux démarre à partir de 57.550 euros en finition de base Design. La gamme est chapeautée par la version sportive SQ5 disponible à 98.930 euros. Il ne semble pas si différent du modèle actuel. Pourtant, la nouvelle génération de l'Audi Q5 fait sensiblement grimper ses prix en démarrant désormais à 57.550 euros en version de base Design avec le 2.0 TFSI de 204 ch associé à la boîte automatique S Tronic. La transmission intégrale Quattro est disponible pour sa part à partir de 60.050 euros. Le Diesel TDI reste au programme avec ses 204 ch en Quattro. Il s'échange au minimum contre 61.470 euros. La variante sportive SQ5 est aussi au goût du jour avec son V6 TFSI de 367 ch. Elle débute à 98.930 euros. Côté gamme, le nouveau Q5 organise son catalogue en trois finitions. Le ticket d'entrée Design embarque notamment l'écran panoramique OLED incurvé, les sièges avant chauffants, le hayon motorisé, le chargeur à induction, les feux à LED, les jantes de 18 pouces et le régulateur de vitesse standard.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi Q5 : le SUV se renouvelle et calque sa copie sur l'A5

En 1995, BMW présentait un étonnant concept de roadster sur échasses, baptisé Z18. Cet objet étrange n'a jamais passé le stade de la production en série, toutefois il disposait de spécificités originales, qui ne manquaient pas de charme… Dans les années 90, les designers avaient l'esprit pour le moins fertile. Les marques profitaient de chaque salon pour dévoiler des concept-cars, tous plus originaux et décalés les uns que les autres. En 1995, BMW lève justement le voile sur le Z18, un étonnant concept de roadster surélevé, aux allures étranges de bateau sous certains angles… Le principe était simple : offrir la possibilité de partir en escapade en dehors des sentiers battus, cheveux au vent, sans toutefois espérer faire du pur franchissement. Le Z18 pourrait finalement être considéré comme le véritable ancêtre des Volkswagen T-Roc Cabriolet et Range Rover Evoque Cabriolet. La marque bavaroise aurait-elle été trop en avance sur son temps ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW Z1 : le cabriolet parfait pour se démarquer pendant l'été !

KALMAR Automotive étoffe la gamme de sa 7-97, un restomod basé sur la Porsche 911 classique. La 7-97 E-Volt est une version 100% électrique du coupé allemand.  Les boucliers avant et arrière sont intégralement peints couleur carrosserie. Les panneaux de carrosserie sont fabriqués en un matériau composite en fibre de lin recyclable. Cela permet de lutter au maximum contre l'ennemi n°1 du véhicule électrique : le poids. Les optiques avant à LED sont en céramique et à fond noir. De profil, les jantes Fuchs noir mat de 17 pouces remplissent des ailes élargies pour l'occasion. Le capot reçoit un aileron « bec de canard » semblable à la Carrera 2.7 RS de 1973.  Lire aussi : KALMAR 7-97 E-Volt : Sacrilège à la danoise A bord, les sièges baquets Recaro sont recouverts de cuir Elmosoft, plus respectueux de l'environnement. La climatisation automatique, un système d'infodivertissement compatible Apple CarPlay et un système hi-fi haut de gamme ont été installés. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} La 7-97 E-volt emprunte son groupe motopropulseur à la Tesla Model S. Il développe 414 ch et 600 Nm de couple maxi. Sa batterie de 63 kWh permet d'afficher une autonomie d'environ 290 km. KALMAR indique que la conversion électrique coûte à partir de 450.000 euros, véhicule non compris. Seuls 12 exemplaires par an seront fabriqués dans leurs ateliers.

KALMAR Automotive a dévoilé son dernier restomod, basé sur la Porsche 911 classique : la 7-97 E-Volt. Les Porschistes risquent de se fâcher très fort : la 7-97 E-Volt est 100% électrique.  Dans le monde du restomod, tout est fait pour préserver l'héritage historique des plus grands constructeurs du monde. Partie technique modernisée, finitions de très haute qualité, éditions spéciales sur-mesure, tout est fait pour contenter le client fortuné et conserver une trace du glorieux passé de son constructeur favori.  Mais quand la partie technique, « l'âme » du modèle concerné, est troquée contre un moteur électrique et des batteries, cela a de quoi scandaliser les puristes. KALMAR Automotive fait fi de ce type de mauvais retours et propose un restomod électrifié de la Porsche 911 : voici le KALMAR 7-97 E-Volt. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : KALMAR 9x9 : La Porsche 959 venue du Danemark

La Lamborghini Revuelto peut-elle tirer partie de ses 1.015 chevaux pour faire une réelle différence avec la McLaren 750S ? Prenons plutôt la question à l'envers. Les 750 chevaux de l'Anglaise seront-ils suffisants pour rivaliser avec l'Italienne ? Dans un contexte d'électrification forcée, les constructeurs n'ont plus vraiment le choix. Chez Lamborghini, on a choisi de satisfaire les hautes instances européennes en remplaçant l'Aventador par la Revuelto. De son côté, McLaren a préféré faire la sourde oreille et a remplacé sa 720S par une 750S tout aussi thermique, mais plus puissante. Mais alors, quel choix était le plus judicieux, sur le plan de l'efficacité et de la performance ? Commençons par la Revuelto. Difficile de succéder à la supercar la plus brutale de son temps. Pourtant, la petite nouvelle de Sant'Agata s'en sort plutôt bien. Elle reprend le V12 6.5 atmosphérique de sa devancière, mais y ajoute 3 moteurs électriques qui portent la puissance combinée à 1.015 chevaux et 1.062 Nm de couple. Tout ça arrive pèle-mêle sur les 4 roues, via une boîte automatique à 8 rapports. Toutefois, l'électrification alourdit également la voiture, qui accuse 1.772 kg tout de même.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Lamborghini Revuelto contre Aventador SVJ : le présent n'est pas si mal, après tout

La Peugeot 208 caracole en tête des ventes de voitures particulières neuves en France ? Sa variante électrique e-208 remet le couvert en jouant des coudes avec le Tesla Model Y ! Et à l'instar du modèle thermique, la version voltée fait le ménage dans sa gamme. Peugeot renverse la table en 2019 en offrant une refonte totale à sa 208. Avec son style tranchant et son habitacle spectaculaire, le lion avait tapé dans le mille puisque la citadine est parvenue à chiper à plusieurs reprises la couronne des ventes à son ennemie jurée, la Renault Clio. L'histoire se répète pour la version électrique e-208 qui s'empare des places de tête dans sa catégorie. Tenté par le modèle volté ? Suivez le guide ! Motorisations : deux fois plus de choix Cela peut paraître exagéré et pourtant, la e-208 offre désormais le choix entre deux versions électriques. Le modèle de 136 ch présent depuis le lancement reste ainsi au catalogue pour assurer l'entrée de gamme. Sa batterie de 50 kWh autorise une autonomie de 362 km. Fraîchement arrivé dans les rangs, le bloc de 156 ch se marie pour sa part à un accumulateur de 51 kWh pour un rayon d'action maximal de 409 km.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot E-208 : les 4.000 euros de surcoût de la finition GT sont-ils justifiés ?

À la fin des années 2000, Lamborghini surprenait tout le monde en présentant un concept-car baptisé Estoque. Celui-ci prenait la forme d'une grande berline 4 portes et devait initialement reprendre le V10 de la Gallardo. D'abord repoussée, son entrée en production n'a finalement jamais eu lieu, la marque préférant se concentrer sur le segment des sportives et des supercars. Mais 14 ans plus tard, l'Estoque pourrait-elle encore faire sens dans la gamme de Lamborghini ? Historiquement, Lamborghini, c'est avant tout des voitures de sport au design anguleux et agressif. La marque italienne a bien tenté de se lancer sur le segment des GT, plus confortables, notamment dans les années 70. Mais ces modèles, comme l'Espada, n'ont pas rencontré un franc succès. À Sant'Agata, on s'est donc concentré sur ce que les clients réclamaient, à savoir des voitures de sport sans compromis. La Countach a lancé les hostilités, suivie de la Diablo dans les années 90. Puis la marque a été rachetée par le groupe Volkswagen, qui a alors étiré la gamme par le bas. La remplaçante de la Diablo, la Murcielago, a eu droit à une petite sœur baptisée Gallardo. À la fin des années 2000, Lamborghini avait même imaginé une grande berline qui devait reprendre le V10 5.2 de 560 chevaux de la « baby Lambo ». Le concept, baptisé Estoque, est présenté en 2008 et fait sensation.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lamborghini Temerario : 920 chevaux électrifiés pour mettre la Ferrari 296 GTB dans le rétro !

Un exemplaire de la Ferrari 365 GT4 BB s'est récemment échangé contre la bagatelle de 359.000 dollars, lors d'une vente aux enchères. Rien de particulièrement choquant à première vue, toutefois ce modèle est l'un des plus rares de l'histoire de la marque italienne. Et l'un des plus originaux… Acheter une Ferrari aux enchères ? Rien de plus facile, tant que le budget suit… Les modèles de la firme de Maranello sont légion, lors des ventes organisées et même sur les plateformes en ligne. Certains modèles spécifiques sont en revanche bien plus rares, et donc plus difficiles à dénicher. Sans compter que lorsque l'un d'eux fait surface, il déchaîne rapidement les enchères. C'est le cas de cette Ferrari 365 GT4 BB de 1974, totalisant seulement 44.000 kilomètres, qui s'est échangée contre la coquette somme de 359.000 dollars, soit un peu plus de 322.000 euros ! La 365 GT4 BB est une vraie bizarrerie signée Pininfarina, produite à seulement 387 exemplaires. Oubliez tout ce que vous croyez savoir. Les Ferrari ont 4 feux ronds à l'arrière ? Perdu, celle-ci en a 6, répartis en 2 paires ! Les Ferrari ont 4 sorties d'échappement ? Raté, la 365 GT4 BB en compte 6, là encore réparties entre les deux côtés du bouclier arrière. Cet exemplaire est habillé de la teinte Rosso Dino sur la partie supérieure de sa carrosserie, tandis que les parties basses sont finies en noir. L'ensemble repose sur des jantes en alliage de 15 pouces à verrouillage central.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Touring Superleggera Veloce12 : la Ferrari 550 Maranello de 2024 !

Croiser des Ferrari à vendre sur les sites d'enchères n'est plus vraiment un événement. De nombreux exemplaires de la marque au cheval cabré changent régulièrement de mains par le biais de plateformes en ligne, mais certains modèles en particulier sont tout de même plus rares. C'est le cas de cette Ferrari 365 GT4 BB, qui a récemment trouvé preneur contre la modique somme de 359.000 dollars. La Ferrari 365 GT4 BB n'est pas une licorne automobile en soi, toutefois elle n'a été produite qu'à 387 exemplaires dans les années 70. Celui-ci date de 1974 et totalise seulement 44.000 kilomètres. Voilà sans doute pourquoi il n'a eu aucun mal à se vendre pour la bagatelle de 359.000 dollars, soit un peu plus de 322.000 euros. La 365 GT4 BB profite d'un design typique des années 70, imaginé par nul autre que Pininfarina. Toutefois, ce modèle avait la particularité d'être habillé d'une livrée bicolore. Cet exemplaire est recouvert de la teinte Rosso Dino sur la partie supérieure de la carrosserie, tandis que les parties basses sont finies en noir. L'intégralité de la peinture a été restaurée en 2022, comme le précise l'annonce sur Bring a Trailer. Notons qu'il s'agit également de l'une des seules Ferrari de l'histoire à être dotée de 6 feux ronds à l'arrière, au lieu de 4. Plus bas, toujours à l'arrière, le bouclier laisse apparaître 6 sorties d'échappement ! À bord, les sièges sont recouverts d'une sellerie Daytona en cuir Crema beige.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À l'arrière, en position centrale, la voiture embarque un 12 cylindres à plat de 4,4 litres de cylindrée, qui développe 380 chevaux et 432 Nm de couple, envoyés aux roues arrière via une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports. La 365 GT4 BB revendiquait de solides performances, avec un 0 à 100 km/h abattu en seulement 6,2 secondes et une vitesse de pointe de 275 km/h ! Le pédigrée mécanique et le style "maranellien" ont un prix : 322.000 euros...

Pagani a cherché par tous les moyens à écouler les derniers exemplaires de sa Zonda. La marque italienne a multiplié les séries spéciales, toutes plus exclusives les unes que les autres. Illustration avec la Zonda « Diamante Verde », unique au monde.  Sortie en 2000, la Pagani Zonda est un véritable best-seller, pour le petit constructeur italien. Design singulier, finitions de très haute qualité et moteur V12 hurlant, la Zonda s'est bâti une solide réputation de supercar exclusive.  25 ans plus tard, les ultimes exemplaires de la Zonda sont toutes des séries spéciales, fabriquées à moins de cinq exemplaires. Certaines éditions limitées sont même uniques au monde, à l'image de cette ultime « Diamante Verde ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Pagani Zonda Arrivederci marque en éclat la fin d'une ère