Carlos Sainz, le tenant du titre, a connu une 2e étape très compliquée sur ce Dakar 2025. Notamment parce qu'il est parti en tonneau dimanche dans la première partie de l'étape 48h chrono. Un accident qui lui a coûté beaucoup de temps au classement général. Malgré tout, le pilote espagnol de l'équipe Ford M-Sport veut poursuivre la course. 35e à l'arrivée de l'épreuve 48h chrono, Carlos Sainz est relégué à 1h30 du leader de la course, Lategan. Si la victoire finale est probablement compromise, le quadruple vainqueur de l'épreuve veut poursuivre son Dakar. Pour cela il faudra avant tout que son équipe technique inspecte sa voiture. Il faudra également réparer les nombreux dégâts survenus suite à son tonneau dans les dunes. Il y a notamment laissé un pare-brise ! Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb À l'arrivée de l'étape à Bisha, Carlos Sainz s'est confié au micro de la chaîne L'Équipe : “Après deux journées prometteuses, j'ai fait un tonneau qui nous a fait perdre beaucoup de temps. J'ai essayé de trouver la solution pour remonter mais on avait des problèmes techniques de plus en plus importants. C'était impossible de faire mieux que ce qu'on a fait là. On sait que tout peut arriver sur le Dakar mais ce n'est pas la façon dont on voulait avancer… On va continuer d'attaquer et on va voir ce qu'il est possible de faire. Les mécaniciens doivent regarder la voiture mais pour moi nous sommes en mesure de continuer”. Voir aussi - le classement final de la 2e étape 48h chrono

Sébastien Loeb peut s'estimer chanceux au terme de la 2e étape de ce Dakar 2025. Le pilote français de Dacia a expliqué à l'arrivée de l'étape 48h chrono que ses problèmes de ventilateurs connus dimanche avaient failli lui coûter sa place cette année. Le pilote Dacia Sandriders finit cette 2e étape 48h chrono à la 7e place du classement. Au classement général, Sébastien Loeb et Fabian Lurquin sont 6e à 18 min 56 secondes du leader. S'il en est là, Sébastien Loeb a expliqué que c'est grâce à l'intervention de son équipière chez Dacia, Cristina Gutierrez et son copilote Pablo Moreno. Ce dernier a cédé un des ventilateurs de sa voiture pour dépanner Sébastien Loeb. Sans cette aide, le nonuple champion du monde a évité l'abandon comme il l'a confié au micro de la chaîne L'Équipe ce lundi midi : Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb "Ça a été compliqué pour nous. Elle a bien commencé. Ensuite on a eu des problèmes de ventilateurs qui font que le moteur a chauffé. On s'est retrouvé en panne. Ça roulait 5 km, ça s'arrêtait… Au final on limite la casse. On reprend 14 minutes... La voiture est conçue pour marcher avec des ventilateurs. On en a trois. Si on en perd un, on roule avec une puissance dégradée, si on en perd deux, ça n'avance plus du tout et il faut s'arrêter. Il faut trouver la solution c'est sûr... Quand on s'est traîné jusqu'au premier refueling c'était pour abandonner là-bas. Ça faisait 50 km qu'on s'arrêtait sur chaque dune pour essayer de prendre de l'élan pour monter la dune d'après. Et comme c'est de l'électronique, on ne peut rien faire. Grâce à Pablo (Moreno) et à la chance, ça a remarché". Voir aussi - le classement final de la 2e étape 48h chrono

Enfin, après des mois d'attente, nous saurons quel véhicule va remporter l'élection de ce trophée européen toujours très attendu dans seulement quelques jours. Et encore, nous n'aurons pas à attendre aussi longtemps que d'habitude. Explications. Quoi de plus logique après tout ? Puisque le salon automobile de Genève n'est plus (le GIMS pour les intimes, pour Geneva International Motor Show), il semblait tout naturel que l'élection de la Voiture de l'année allait se tenir désormais à Bruxelles compte tenu de son retour. La confirmation est enfin venue. Voir aussi - Voiture de l'année 2025 : la liste des 7 finalistes Un nouveau timing De fait, alors que le GIMS se tenait en général aux alentours du mois de mars, il va falloir s'habituer à ce que l'élection ait lieu plus tôt dorénavant, vers le mois de janvier. La disparition du salon genevois est une aubaine pour la capitale belge qui pourrait faire de son événement le nouveau temps fort de l'industrie automobile en terrain neutre. La cérémonie se tiendra ce vendredi 10 janvier à 11h, lors des journées presse. Nous ne manquerons pas de vous informer en temps voulu qui de l'Alfa Romeo Junior, de la Citroën C3, du Cupra Terramar, du Dacia Duster, du Hyundai Inster, du Kia EV3 ou de la Renault 5 (et de son pendant sportif, l'Alpine A290) succèdera au Renault Scenic, élu Voiture de l'année 2024. La victoire de la Renault 5, une évidence ? Parce qu'elle est en quelque sorte le symbole de la descente en gamme de l'électrique, et que les modèles zéro émission remportent systématiquement la victoire depuis trois ans, la Renault 5 pourrait bien remporter cette victoire. Mais attention, elle a face à elle une concurrence particulièrement affûtée. À commencer par la Citroën C3 - non uniquement électrique - affichée à des tarifs particulièrement attractifs. Les membres du jury pourraient être tentés de louer cet argument non négligeable auprès des acheteurs européens par les temps qui courent (la preuve, la Dacia Sandero était la meilleure vente sur le Vieux Continent en 2024). Notons que les Hyundai Inster et Kia EV3 font également valoir un excellent rapport prix/prestations pour des modèles 100 % électrique. De toute façon, nous le saurons très bientôt. À vendredi ! Rappel des modèles en lice Alfa Romeo Junior Citroën C3 Cupra Terramar Dacia Duster Hyundai Inster Kia EV3 Renault 5 - Alpine A290

C'en est fini pour l'épreuve 48h chrono de ce Dakar 2025. L'étape reine en quelque sorte de cette édition 2025. Et Sébastien Loeb finit dans le Top 10 du classement et reste dans le coup au classement général. Après une journée de dimanche très compliqué, Sébastien Loeb s'en est mieux sorti aux côtés de son copilote Fabian Lurquin. Il finit à la 7e place, à près de 15 minutes de l'équipage Overdrive Al Rajhi - Gottschalk mais reprend du temps au classement général et reste dans le coup au classement général. Son coéquipier chez Dacia, Nasser Al-Attiyah et son copilote Edouard Boulanger finissent cette 2e étape à la 3e place. Pour Carlos Sainz, cette étape 48h chrono s'est apparentée à un chemin de croix. Accidenté dimanche, le pilote espagnol a perdu énormément de temps. Il pointe à 1h28 du leader de ce Dakar 2025, le Sud-africain Henk Lategan. Il finit cette 2e étape en 32e position à 1h35 du vainqueur. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Le classement provisoire de l'étape 2 48h chrono Al-Rajhi/Gottschalk | Overdrive Racing Lategan/Cummings |Toyota Gazoo Racing Al-Attiyah/Boulanger | Dacia Sandriders J.Yacopini - D.Oliveiras | Overdrive Racing R.Baciuska - O.Mena | Century Racing Factory Team M.Serradori - L.Minaudier | Century Racing Factory Team S.Loeb - Lurquin | Dacia Sandriders M.Ekström - E.Bergkvist | Ford M-Sport T.Price - S.Sunderland | Overdrive Racing B.Vanagas - S.Gospodarczyk |Toyota Gazoo Racing M.Guthrie - K.Walch | Ford M-Sport L.Moraes - A.Monleon |Toyota Gazoo Racing M.Prokop - V.Chytka | Orlen Jipocar Team J.Ferreira - F.Palmeiro | X-Raid Mini JCW Team U.Männama - R.Lepik | Overdrive Racing S.Quintero - D.Zenz |Toyota Gazoo Racing B.Baragwanath - L.Cremer | Century Racing Factory Team G.Zhang - Y.Wang | Hi-Tiger Racing Team B.Heger - M.Eddy | Sébastien Loeb Racing R.Spierings - J.Van Der Stelt | Team Rebellion & Spierings N.Cavigliasso - V.Petergarini | Team BBR G.Chicherit - A.Winocq | X-Raid Mini JCW Team C.Leaverton - T.Perry | Red Bull Off Road S.Vitse - M.Delfino | MD Rallye Sport P.Navarro - L.Sisterna Herrera - Team BBR G.Guerreiro - C.Sachs | Red Bull Off Road X. De Soultrait - M.Bonnet | Sébastien Loeb Racing D.Akeel - S.Duple | Team BBR M.Macik - F.Tomasek - D.Svanda | MM Technology W.Han - L.Ma | Hanwei Motorsport Team A.Lopras - D.Kripal - D.Rodewald | Instatrade Loprais Team P.Lachaume - C.Crespo | MD Rallye Sport P.Thomasse - A.Brucy | MD Rallye Sport V.Zala - P.Fiuza - M.Van Grol |Skuba Team de Rooy FPT C.Sainz - L.Cruz | Ford M-Sport A.Pinto - B.Oliveira | Old Friends Rally Team F.Vayssade - N.Rey | Sébastien Loeb Racing L.Portela Morais - D.Megre | G Rally Team J.Ceccaldi - D.Delfino| JLC Racing F.Jubany - M.Sola | MD Rallye Sport M.Andujar - B.Graue |South Racing Can-Am L.Baud - L.Baud | X-Raid Mini JCW Team A.Al-Kuwari - N.Al-Kuwari | Nasser Racing A.Koloc - S.Delaunay | Buggyra ZM Racing K.Treny - V.Pritzl | X-Force ACCR Czech Team G.De Villiers - D.Von Zitzewitz | Toyota Gazoo Racing G.Farres - T.Vingut | Pedrega Team C.Lavieille - V.Sarreaud | MD Rallye Sport P.Klaassen - C.Moore | G Rally Team M.Moraes - M.Justo | Overdrive Racing T.Coronel - T.Coronel |Coronel Dakar Team J.Favre - A.Lecourbe | MMP G..Petrus - D.Leskauskas | Petrus Racing Team R.Van Loon - E.Lemmen | Qase Motorsport G.De Mevius - M.Baumel | X-Raid Mini JCW Team H.Moilet - O.Imschoot | Off Road Concept J.Bergounhe - P.Larroque | MD Rallye Sport R.Zi - H.Pan | Mintimes Yunxiang Rally Team G.Botterill - D.Murphy | Toyota Gazoo Racing M.Gastaldi - A.Metge | Century Racing L.Gherardi - L.Costes | MD Rallye Sport D.Schroder - H.Kohne | Team BBR D.Krotov - K.Zhiltsov | X-Raid Mini JCW Team La réaction des pilotes à l'arrivée Sébastien Loeb - 7e de l'étape "Ça a été compliqué pour nous. Elle a bien commencé. Ensuite on a eu des problèmes de ventilateurs qui font que le moteur a chauffé. On s'est retrouvé en panne. Ça roulait 5 km, ça s'arrêtait… Au final on limite la casse. On reprend 14 minutes... La voiture est conçue pour marcher avec des ventilateurs. On en a trois. Si on en perd un, on roule avec une puissance dégradée, si on en perd deux, ça n'avance plus du tout et il faut s'arrêter. Il faut trouver la solution c'est sûr... Quand on s'est traîné jusqu'au premier refueling c'était pour abandonner là-bas. Ça faisait 50 km qu'on s'arrêtait sur chaque dune pour essayer de prendre de l'élan pour monter la dune d'après. Et comme c'est de l'électronique, on ne peut rien faire. Grâce à Pablo (Moreno) et à la chance, ça a remarché".

Début février prochain à Paris, la maison RM Sotheby's mettra aux enchères plus d'une centaine de lots. Notamment la combinaison portée par Ayrton Senna lors de la saison 1988 de Formule 1, l'une des plus disputée de l'histoire de la discipline. 1988 résonne pour les fans de Formule 1 comme une saison à part. Le premier acte du fantastique duel que ce sont livrés Alain Prost et Ayrton Senna. À l'époque, le pilote brésilien vient de rejoindre McLaren avec Alain Prost comme coéquipier. Le Français est alors double champion du monde et une référence dans le milieu. En 1988, McLaren va dominer comme rarement le championnat en remportant 15 des 16 Grand Prix du calendrier. Un peu comme ce que Red Bull a fait en 2023 en remportant 21 des 22 Grand Prix. Sauf qu'en 1988, Alain Prost et Ayrton Senna se livrent une bataille acharnée pour la conquête du titre. C'est ce qui en fait une saison à part. Voir aussi - notre page dédiée au salon Rétromobile 2025 Acheté par un collectionneur à un ancien ingénieur Cette combinaison est donc un morceau de la légende du pilote brésilien. Il a porté cette tenue pendant toute la saison. Elle avait été acquise par un ancien ingénieur de la Scuderia Ferrari, Nigel Stepney, avant de changer de main et d'être proposée aux enchères les 4 et 5 février prochains par RM Sotheby's. Son prix est estimé entre 40 000 et 60 000€. Cette combinaison d'Ayrton Senna n'est pas la seule à être proposée aux enchères. Deux combinaisons de Michael Schumacher de son époque Scuderia Ferrari sont au catalogue : celle de 2002 (entre 30 000 et 50 000€) et celle de 2003 (estimée entre 30 000 et 50 000€). Toujours concernant le monde de la Formule 1, RM Sotheby's proposera la Williams pilotée par Jacques Villeneuve lors de la saison 1998 ainsi que la Lotus de 2013 pilotée par Kimi Raikkonen et le Français Romain Grosjean. La première est estimée entre 200 000 et 300 000€. Comptez entre 350 000 et 450 000€ pour la seconde. Crédit photo : Paolo Carlini - RM Sotheby's.

Après une année 2024 festive (Golf restylée, nouveau Tiguan, ID.7, etc.) le cru 2025 sera riche en nouveautés… et pas n'importe lesquelles ! Revue de détail. La marque de Wolfsburg souffle le chaud et le froid en ce moment. Côté positif, il y a le fait que ses modèles thermiques se vendent toujours aussi bien en Europe. La Golf a retrouvé des couleurs, la carrière du nouveau Tiguan démarre sur les chapeaux de roues et le T-Roc marche toujours aussi bien. Résultat, le constructeur allemand a atteint une part marché de 27,6 %, le meilleur score depuis trois ans. Côté négatif, il y a le fait que les modèles 100 % électrique peinent toujours à rencontrer le succès et vont pousser Volkswagen à “réduire ses coûts sur ses sites allemands”, pour reprendre les mots d'une porte-parole citée par Bloomberg. De nombreux emplois seraient en jeu. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Volkswagen Lancement commercial du Tayron

Près d'une voiture neuve sur deux était un modèle zéro émission l'année dernière dans le royaume nordique. Une exception qui a le don de toujours étonner année après année. Le bilan est tombé. Et comme on s'en doutait, les ventes de voitures électriques ont encore battu des records l'année dernière en Norvège. La preuve. 88,9 % des voitures neuves sont électriques C'est simple, 88,9 % des voitures neuves immatriculées l'année dernière étaient des modèles zéro émission. En 2023, cette part s'élevait déjà à un plus que raisonnable 82,4 %. À titre de comparaison, elle ne s'élevait qu'à 13,4 % de janvier à novembre dans toute l'Union Européenne. Et même en Suède, leader sur la voiture électrique dans l'UE, cette part est à la fois bien plus faible (34,4 %) et en forte régression (-16,9 %). Incomparable. Quasiment aucunes voitures Diesel et essence vendues neuves On parle bien de véhicules 100 % électrique. Les hybrides n'ont représenté que 5,3 % des ventes totales et les hybrides rechargeables 2,7 %. Quant à la part des modèles purement thermiques (essence et diesel), elle a atteint un ridicule 3,1 %. En France, on était encore à 36,8 % l'année dernière… Le top 10 des ventes est toujours aussi étonnant à contempler avec des modèles qui rencontrent là-bas un succès totalement inespéré chez nous comme le Volkswagen ID.4, le Toyota bZ4X ou le Nissan Ariya. Seule anomalie au sein de ce classement, la présence de la Yaris en 9e place. Lire aussi - 2025, l'année des voitures électriques pas chères Les derniers kilomètres sont les plus difficiles Alors oui, rendons à César ce qui est à César. Déjà, il est plus facile de réaliser un tel score dans un pays où le nombre d'immatriculations totales ne dépasse que de peu la barre des 100 000 exemplaires. En France, même si le cru 2024 a été mauvais, il s'est vendu 13 fois plus de véhicules. En outre, même si les aides se sont réduites dans ce pays scandinave ces dernières années, elles ont été nombreuses et ont facilité l'ascension de cette énergie. Toutefois, il n'est pas encore certain que l'objectif du pays qui est de tourner le dos au thermique dès 2025 sera respecté. Selon l'organisme qui partage les données d'immatriculations, l'OFV, il est atteignable si le gouvernement met la main à la poche. Rendez-vous dans un an pour connaître la réponse. Lire aussi - Les ventes de voitures neuves ont encore baissé en 2024, “fini de rigoler” ! Top 10 des voitures les plus vendues en Norvège en 2024 Tesla Model Y : 16 858 exemplaires Tesla Model 3 : 7 264 exemplaires Volvo EX30 : 7 229 exemplaires Volkswagen ID.4 : 7 222 exemplaires Toyota bZ4X : 6 007 exemplaires Skoda Enyaq : 4 610 exemplaires Nissan Ariya : 3 772 exemplaires Volkswagen ID.3 : 3 634 exemplaires Toyota Yaris : 3 523 exemplaires Audi Q4 e-tron : 3 449 exemplaires Crédit photo : Unsplash.

Yazeed Al-Rajhi (Toyota) est le leader provisoire du Dakar, alors qu'il reste 300 kilomètres à parcourir pour arriver au bout de l'étape 2 du Dakar. Sébastien Loeb est virtuellement à 33 minutes. 33'33''. Il faut espérer que le 3 soit le chiffre porte-bonheur de Sébastien Loeb, car le Français aura besoin d'un coup de pouce du ciel pour renverser une situation bien mal embarquée. Au soir de la première journée de l'étape 48h chrono, le Français est très loin de Yazeed Al-Rajhi (Toyota), qui prend provisoirement la tête du classement général. Le Saoudien succèdera à son coéquipier Seth Quintero en tête de la feuille des temps, s'il parvient à contenir les assauts de l'inoxydable Nasser Al-Attiyah. Le triple champion du monde de rallye-raid ne pointe qu'à 1:19 du local de l'étape et peut évidemment prétendre à la victoire sur une spéciale où il avait perdu toute chance de succès final l'an dernier. Les vainqueurs d'hier sont les perdants d'aujourd'hui Henk Lategan (Toyota), vainqueur du prologue, est virtuellement 3ème, à 2:12, tandis que Mattias Ekström est la meilleure cartouche de l'armada Ford (4ème, +3:44s). Son coéquipier Nani Roma est aussi dans le top 10 (7ème), juste derrière un duo qui continue d'étonner. Alors qu'ils étaient tous les deux engagés en moto l'an dernier, Toby Price et Sam Sunderland ont uni leurs forces pour découvrir la catégorie auto, avec un certain succès pour le moment ! Le vainqueur en titre, Carlos Sainz, est lui plus en difficulté après son tonneau du matin, qui le relègue pour le moment à 39 minutes. Les pilotes performants lors de la première étape ont eux aussi beaucoup reculé, à cause de leurs positions d'ouvreurs ce matin. Guerlain Chicherit (Mini) et Seth Quintero (Toyota) sont respectivement à 29 et 24 minutes, tandis que l'addition est encore plus lourde pour Saood Variawa. Le benjamin de la catégorie Ultimate (19 ans), troisième hier, a déjà perdu plus d'une heure. L'apprentissage à la dure ! Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Le classement général provisoire au soir de la 2e étape Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : 6h52min31s Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +1:19s Lategan/Cummings (Toyota) : +2:12s Ekström/Bergkvist (Ford) : +3:44s Botterill/Murphy (Toyota) : +8:07s Price/Sunderland (Overdrive) : +9:05s Roma/Naro (Ford) : +14:29s De Mevius/Panseri (Overdrive) : +17:40s De Villiers/Von Zitzewitz (Toyota) : +17:45s Baragwanath/Cremer (Century) : +20:45s Moraes/Monleon (Toyota) : +22:17s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +22:24s Guthrie/Walch (Ford) : +23:08s Yacopini/Oliveiras (Overdrive) : +25:39s Chicherit/Winocq (Mini) : +28:23s Prokop/Chytka (Orlen Jipocar) : +29:22s Serradori/Minaudier (Century) : +29:34s  Loeb/Lurquin (Dacia)  : +33:33s Quintero/Zenz (Toyota) : +34:27s Gastaldi/Metge (Century) : +35:30s Vanagas/Gospodarczyk (Toyota) : +42:33s  Sainz/Cruz (Ford) : +49:33s Männama/Lepik (Overdrive) : +50:56s Zhang/Wang (Hi-Tiger) : +59:17s Variawa/Cazalet (Overdrive) : +1.04:12s Voir aussi - le classement et les réactions après la 2e étape du Dakar 2025 Le classement provisoire de la 2e étape Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : 6h52min31s Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +1:08s Ekström/Bergkvist (Ford) : +9:04s Yacopini/Oliveiras (Overdrive) : +9:41s Baciuska/Mena (Overdrive) : +10:23s Lategan/Cummings (Toyota) : +11:01s Roma/Naro (Ford) : +13:25s Botterill/Murphy (Toyota) : +13:58s Price/Sunderland (Overdrive) : +16:15s De Villiers/Von Zitzewitz (Toyota) : +18:33s Serradori/Minaudier (Century) : +20:58s  Baragwanath/Cremer (Century) : +23:39s De Mevius/Panseri (Overdrive) : +25:18s Vanagas/Gospodarczyk (Toyota) : +27:18s  Guthrie/Walch (Ford) : +30:15s Moraes/Monleon (Toyota) : +31:53s Loeb/Lurquin (Dacia)  : +32:42s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +32:49s Männama/Lepik (Overdrive) : +37:36s Zhang/Wang (Hi-Tiger) : +38:50s Chicherit/Winocq (Mini) : +40:37s Prokop/Chytka (Orlen Jipocar) : +40:48s Quintero/Zenz (Toyota) : +42:08s Gastaldi/Metge (Century) : +47:23s Sainz/Cruz (Ford) : +55:38s Où se situe Sébastien Loeb au classement après la 2e étape ? Sébastien Loeb passera la nuit à la 18ème position virtuelle du classement général après avoir perdu beaucoup de temps ce dimanche. Il lui reste 300 km lundi matin pour tenter de reprendre du temps avant l'arrivée à Bisha, où le classement général sera validé.  Lire aussi - Dakar 2025 : sur quelle chaîne regarder le rallye-raid ? Crédit photo : ASO/F.Le Floc'h/DPPI.

Le Français a vécu une journée noire à cause d'un problème électronique sur ses ventilateurs qui lui a coûté une trentaine de minutes. Ses chances de victoire s'amenuisent. Le chat noir qui suit Sébastien Loeb a quitté son Hunter de Prodrive, pour monter dans son tout nouveau Dacia Sandrider. Le Français joue une nouvelle fois de malchance en cé début de Dakar avec un ennui sur son auto qui a gâché sa journée. Parti en bonne position après avoir volontairement lâché du temps samedi, Loeb a bien débuté l'étape 48h chrono en passant les premiers pointages dans les premières positions. Mais après plus de 300 km, le sort s'est acharné : le Français a dû s'immobiliser de longues minutes. Aidé par sa coéquipière Cristina Gutierrez, Loeb a pu repartir, mais en continuant à perdre du temps dans les kilomètres suivants. Le nonuple champion du monde des rallyes a été frappé par un problème électronique, comme il l'a expliqué à son passage au ravitaillement, confirmant une information communiquée par sa directrice d'équipe, Tiphanie Isnard, quelques minutes plus tôt. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb “Normalement nous avons trois ventilateurs, mais on a perdu le premier à un moment donné. Ça a commencé à chauffer et la puissance s'est dégradée. On a réussi à se traîner comme ça, puis nous avons perdu un deuxième ventilateur. Là, ça commençait à vraiment chauffer. Un des deux s'est finalement remis à marcher alors on a pu se traîner jusqu'ici (au ravitaillement) en s'arrêtant sur chaque dune, où il fallait attendre que la voiture refroidisse avant de prendre de l'élan pour monter sur la suivante. C'est un gros bug électronique.”

Alors que les pilotes se sont arrêtés pour la nuit, la première partie de la redoutable étape 48h chrono a fait des dégâts chez les favoris. Sébastien Loeb et Carlos Sainz ont perdu beaucoup de temps sur les leaders Yazeed Al-Rajhi et Nasser Al-Attiyah. C'est fou comme les choses peuvent changer en un an. En 2024, la spéciale 48h chrono, étape reine du Dakar, avait joué un rôle majeur sur le résultat final. Yazeed Al-Rajhi (Toyota) avait dû abandonner après un accident et Nasser Al-Attiyah (Dacia, Prodrive à l'époque) avait lui perdu 2h45 sur des ennuis mécaniques et abandonné ses espoirs de victoire finale. Leur malchance avait profité à Sébastien Loeb et Carlos Sainz, 1er et 2ème de l'étape et tous les deux sur le podium final quelques jours plus tard avec la victoire de l'Espagnol devant Guillaume de Mévius et le Français. Mais un an plus tard, voilà que la situation s'est totalement inversée : Yazeed Al-Rajhi mène la course, au soir de la première journée, d'un souffle devant Nasser Al-Attiyah (+1:08s). Pour Carlos Sainz et Sébastien Loeb, la victoire d'étape est déjà oubliée et pour le succès final, les probabilités se sont sacrément amincies. Le vainqueur sortant, qui défend les couleurs de Ford après l'arrêt du programme Dakar d'Audi, s'est offert un tonneau avec son Raptor. Plus de peur que de mal, mais l'auto du duo Sainz - Cruz est restée de longues minutes sur le toit avant d'être retournée avec l'aide de Mitch Guthrie et Kellon Walch, leurs coéquipiers chez Ford.   Loeb et Sainz déjà hors du coup pour la victoire finale ? Carlos Sainz a pu repartir mais accuse un retard considérable de 55 minutes après 618 des 967 kilomètres d'épreuve. Pour Sébastien Loeb, l'addition est conséquente, mais un peu moins salée. L'Alsacien est à 32 minutes d'Al-Rajhi après avoir été victime d'un problème électronique qui l'a contraint à s'arrêter par deux fois. Aidé par sa coéquipière dévouée Cristina Gutierrez, il a pu repartir avant de perdre trop de temps, mais le voilà déjà pointé virtuellement à 33:45s au classement général. Pour le reste, la logique a été respectée : les gagnants d'hier sont les perdants d'aujourd'hui. Obligés de s'élancer les premiers sans trace à suivre devant eux, Seth Quintero (Toyota), Guerlain Chicherit (Mini), Saood Variawa (Toyota) et Martin Prokop (Orlen Jipocar), les quatre premiers de la première spéciale, sont tous à plus de 40 minutes des leaders. En revanche, le vainqueur du prologue, Henk Lategan (Toyota) est lui 6ème et se replace au général virtuel après sa lourde pénalité de 10 minutes reçue samedi pour un excès de vitesse dans une zone réglementée.  Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Le classement de la 2ème étape du Dakar 2025 (mi-parcours) Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : 6h52min31s Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +1:08s Ekström/Bergkvist (Ford) : +9:04s Yacopini/Oliveiras (Overdrive) : +9:41s Baciuska/Mena (Overdrive) : +10:23s Lategan/Cummings (Toyota) : +11:01s Roma/Naro (Ford) : +13:25s Botterill/Murphy (Toyota) : +13:58s Price/Sunderland (Overdrive) : +16:15s De Villiers/Von Zitzewitz (Toyota) : +18:33s Serradori/Minaudier (Century) : +20:58s  Baragwanath/Cremer (Century) : +23:39s De Mevius/Panseri (Overdrive) : +25:18s Vanagas/Gospodarczyk (Toyota) : +27:18s  Guthrie/Walch (Ford) : +30:15s Moraes/Monleon (Toyota) : +31:53s Loeb/Lurquin (Dacia)  : +32:42s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +32:49s Männama/Lepik (Overdrive) : +37:36s Zhang/Wang (Hi-Tiger) : +38:50s Chicherit/Winocq (Mini) : +40:37s Prokop/Chytka (Orlen Jipocar) : +40:48s Quintero/Zenz (Toyota) : +42:08s Gastaldi/Metge (Century) : +47:23s Sainz/Cruz (Ford) : +55:38s Lire aussi - Dakar 2025 : sur quelle chaîne regarder le rallye-raid ? Quel résultat pour Sébastien Loeb lors de la 2ème étape ?  Sébastien Loeb est pour le moment pointé au 17ème rang, à 32 minutes de la tête.  Un problème électronique l'a contraint à s'arrêter. L'Alscacien a expliqué avoir subi une panne de ses ventilateurs qui l'obligeait à s'arrêter au sommet des duner pour refroidir le moteur avant de redescendre, ce qui lui a coûté beaucoup de temps.  La réaction des pilotes à l'arrivée À venir Crédit photo : ASO/F.Le Floc'h/DPPI.

L'Alsacien est resté immobilisé pendant de longues minutes lors de la première partie de l'étape 48h chrono. Assisté par sa coéquipière Cristina Gutierrez, il a pu repartir avec 30 minutes de retard sur le leader Yazeed Al-Rajhi Coup de théâtre sur le Dakar ! Après le tonneau de Carlos Sainz (Ford), qui a concédé une quarantaine de minutes aux leaders, un autre favori a mordu la poussière dans les dunes d'Arabie saoudite. Sébastien Loeb est resté de longues minutes immobilisé à quelques kilomètres du PK 414. Il a fallu le soutien de sa coéquipière Cristina Gutierrez pour repartir, mais le mal est fait : le Français possède une grosse trentaine de minutes de retard sur les leaders Yazeed Al-Rajhi (Toyota) et Nasser Al-Attiyah (Dacia), qui se tient la bourre en tête depuis le départ de Bisha ce matin. Un souci électronique en cause Contactée par La Chaîne L'Equipe, Tiphanie Isnard, la directrice d'équipe de Dacia, a expliqué que son pilote a été victime d'un souci électronique, dont ni la cause ni les conséquences ne peuvent être identifiées à distance. “On attend avec impatience d'avoir plus d'informations, mais on sait qu'on a eu un problème électronique, on a réussi à l'identifier. En revanche, il y a très peu de réseau, la communication avec eux est très hachurée. Sébastien (Loeb) est reparti. L'essentiel, c'est qu'il est toujours en course." “Quand c'est un problème électronique c'est toujours sérieux car on ne peut pas changer la pièce. Il faut effectuer tout un diagnostic et on ne peut de toute façon pas envoyer nos ingénieurs car nous sommes dans l'étape 48h chrono.“

L'Espagnol est parti à la faute dans la première partie de l'étape 48h chrono. Son Ford Raptor est bien abîmé, mais il a pu repartir.  Voilà déjà un premier tournant dans ce Dakar ! Carlos Sainz, un des favoris à la victoire finale, est parti en tonneaux dans les dunes saoudiennes lors de la première partie de l'étape 48h chrono. Après 324 kilomètres d'épreuve, le vainqueur en titre a commis une erreur, mais ni lui, ni son copilote Lucas Cruz n'ont été blessés. Les Espagnols ont pu compter sur le soutien de Mitch Guthrie, leur coéquipier chez Ford, qui s'est arrêté pour leur porter assistance. Carlos Sainz et Lucas Cruz ont pu repartir finalement après plusieurs dizaines de minutes d'arrêt et dans un Ford Raptor visuellement sacrément endommagé. Aucune assistance ce soir pour réparer la voiture Pour rappel, aucune assistance extérieure ne sera possible ce soir à l'arrivée au campement, où les concurrents dorment seuls, coupés du monde extérieur, sans la moindre information sur leur classement.  A 17 heures, chaque pilote doit rejoindre le campement le plus proche de sa position parmi les sept disposés sur plus de 200 km. En attendant, Carlos Sainz a passé le pointage chronométrique du km 373 avec 43:14s de retard sur Yazeed Al-Rajhi (Toyota), qui mène les opérations devant Nasser Al-Attiyah (Dacia, +2:14s). Le Qatarien a longtemps mené devant Sébastien Loeb (Dacia), mais les deux hommes ont dû commettre une erreur de navigation car ils ont perdu quelques minutes. L'Alsacien était pointé en 9ème position à 11:58s de Al-Rajhi.  Les images de l'accident de Carlos Sainz 

Les trois favoris du Dakar 2025 ont reçu une pénalité après la première étape, après avoir roulé trop vite dans une zone réglementée. La plus grosse sanction revient à Henk Lategan, le vainqueur du prologue. Cette première étape n'aura finalement pas été aussi calme que l'espéraient les favoris. Si aucun grand nom n'a connu de problème majeur, la journée a été marquée par une panne globale du GPS, qui a obligé les copilotes à redoubler de prudence dans la navigation et aux pilotes de faire très attention en doublant les motards, faut de système sentinel pour les prévenir de leur arrivée.  Finalement, les favoris ont lâché volontairement du temps en route afin de se garantir une meilleure position de départ pour la redoutée 48H chrono, qui a débuté ce dimanche matin. Dans le sillage de Seth Quintero, vainqueur samedi pour la première fois en Ultimate, Sébastien Loeb et Nasser Al-Attiyah ont laissé échapper plus de 10 minutes, tandis que Carlos Sainz a lui lâché 3 minutes sur les 413 km de spéciale. Des pénalités de 10 secondes à ... 10 minutes Mais les trois hommes ont, malgré leur volonté de perdre du temps en routé, roulé trop vite dans des zones à allure réglementée, situées notamment aux alentours des ravitaillements. Comme sur les routes françaises, plus l'excès de vitesse est important, plus la sanction est sévère. Pour respectivement 4 et 5 km/h au-dessus des 50 km/h autorisés, Guerlain Chicherit (Mini), 2ème samedi, et Carlos Sainz (Ford) ont été pénalisés de 10 petites secondes. La sanction est en revanche plus dure pour le duo de Dacia, Nasser Al-Attiyah et Sébastien Loeb, dont les chronos ont été alourdis de deux minutes pour un excès de vitesse de 10 km/h. Le même tarif a été appliqué aux temps du Saoudien Yazeed Al-Rajhi et de l'ex motard Toby Price. La plus lourde sanction revient à Henk Lategan (Toyota), pénalisé de 10 minutes pour avoir roulé 27km/h trop vite ! Un vrai coup dur pour le vainqueur du prologue, mais comme pour les autres, rien n'est rédhibitoire alors que l'étape 48h chrono promet de faire des dégâts. La Ford de Carlos Sainz a déjà passé une partie de la matinée sur le toit …  Le classement général du Dakar 2025 après la première étape Quintero/Zenz (Toyota) : 4h35m08s Chicherit/Winocq (Mini) : +0:55s Variawa/Cazalet (Toyota) : +1:48s Prokop/Chytka (Orlen Jipocar) : +1:49s Gutierrez/Moreno (Dacia) : +2:13s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +2:38s Moraes/Monleon (Toyota) : +3:18s Sainz/Cruz (Ford) : +3:27s De Mevius/Panseri (Overdrive) : +5:37s Gastaldi/Metge (Century) : +5:43s Guthrie/Walch (Ford) : +5:57s Price/Sunderland (Overdrive) : +5:58s Schröder/Köhne (PS Laser) : +6:47s Botterill/Murphy (Toyota) : +7:16s Ekström/Bergkvist (Ford) : +8:02s Baragwanath/Cremer (Century) : +8:07s Roma/Naro (Ford) : +9:29s De Villiers/Von Zitzewitz (Toyota) : +10:26s Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +13:13s Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : +13:13s Vitse/Delfino (MD) : +13:42s Lategan/Cummings (Toyota) : +14:12s Loeb/Lurquin (Dacia)  : +14:16s Crédit photo - Red Bull Content Pool.

Cette 2e étape du Dakar 2025 est l'épreuve reine de la course. Il s'agit d'une étape de 48h de plus de 1000 km répartie en deux jours. Placée en tout début de course, elle pourrait bien être décisive pour la victoire finale. Un peu comme une épreuve de montagne dans le Tour de France, l'épreuve 48h chrono de ce Dakar 2025 est la star de cette édition. Les équipages devront parcourir 1048 km en deux jours, dont 967 km de spéciale. Cette 2e étape se dispute dans le nord de la ville de Bisha. Dimanche, à 17h, tous les participants seront obligés de s'arrêter et de rejoindre un des six campements montés par l'organisation. Munis d'une ration, les participants ne bénéficient pas de l'aide de leur équipe technique pour réparer d'éventuels dégâts. Il faudra donc ménager la mécanique pour repartir à l'aube lundi matin et rejoindre l'arrivée. Et c'est lors de cette étape que les autos et les motos seront séparées car les participants n'emprunteront le même parcours. L'aperçu de la 2e étape du Dakar 2025 en vidéo

Seth Quintero (Toyota) est le premier leader du classement général du Dakar 2025 devant le Français Guerlain Chicherit (Mini). En remportant la première étape, Seth Quintero a de facto pris également la tête du classement général. Une première pour l'Américain de 22 ans, qui dispute seulement son deuxième Dakar en catégorie Ultimate.  Après trois éditions disputées en T3/Challenger, avec 19 victoires à la clé, Quintero est une des meilleures cartes de Toyota pour la victoire finale en compagnie de Lucas Moraes et Yazeed Al-Rajhi, le local de l'étape, jusqu'ici incapable de briller à domicile.  Mais avant même d'imaginer prétendre à un succès sur le Dakar, Seth Quintero devra survivre à l'étape 48 heures chrono, disputée dimanche et lundi et durant laquelle l'ouvreur perd beaucoup de temps.  Quintero leader, Loeb loin  L'an dernier, Nasser Al-Attiyah en avait payé le prix fort après avoir remporté l'étape précédente et cette année, le Qatarien a décidé de laisser filer le temps lors de la spéciale inaugurale afin de s'élancer derrière de nombreux concurrents.  Cette technique a également été adoptée par d'autres favoris notamment Sébastien Loeb et Yazeed Al-Rajhi. Les deux premiers du classement l'an passé, Carlos Sainz et Guillaume de Mévius, ont eux été un peu plus prudents. L'Espagnol pointe au 7ème rang et le Belge au 11ème.  A noter la belle 5ème place de Cristina Gutierrez. La coéquipière de Loeb et Al-Attiyah chez Dacia est la femme la mieux placée au général. Dans le top 10 figurent également Toby Price et Sam Sunderland, un duo qui disputait le Dakar l'an dernier... à moto !  Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Le classement de la 1ère étape Quintero/Zenz (Toyota) : 4h35m08s Chicherit/Winocq (Mini) : +0:45s Variawa/Cazalet (Toyota) : +1:48s Prokop/Chytka (Orlen Jipocar) : +1:49s Gutierrez/Moreno (Dacia) : +2:13s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +1:18s Sainz/Cruz (Ford) : +3:17s Moraes/Monleon (Toyota) : +3:18s Price/Sunderland (Overdrive) : +3:58s Lategan/Cummings (Toyota) : +4:12s De Mevius/Panseri (Overdrive) : +5:37s Gastaldi/Metge (Century) : +5:43s Guthrie/Walch (Ford) : +5:57s Schröder/Köhne (PS Laser) : +6:47s Botterill/Murphy (Toyota) : +7:16s Ekström/Bergkvist (Ford) : +8:02s Baragwanath/Cremer (Century) : +8:07s Roma/Naro (Ford) : +9:29s De Villiers/Von Zitzewitz (Toyota) : +10:26s Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +11:13s Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : +11:13s Cavigliasso/Pertegarini (BBR)  : +12:04s Guerreiro/Sachs (Road Jr Team USA by BFG) : +12:08s Loeb/Lurquin (Dacia)  : +12:16s Voir aussi - le classement et les réactions après la 1ère étape du Dakar 2025

Le Belge avait la lourde tâche d'ouvrir la piste sur la première étape du Dakar 2025. Malgré un très bon rythme, il concède quelques minutes après avoir dû s'arrêter deux fois et avoir roulé sans une tablette. C'est une position qui n'est pas enviable, mais Guillaume de Mévius n'avait pas vraiment son mot à dire. Après son prologue manqué à cause d'une crevaison, le Belge a été contraint de s'élancer le premier sur la spéciale n°1. Le nouveau pilote Mini s'attendait avant même lé départ à perdre du temps, mais les éléments ne l'ont en plus pas franchement aidé. Une des tablettes de son copilote Mathieu Baumel, quadruple vainqueur de l'épreuve avec Nasser Al-Attiyah, est tombée en panne, impactant la navigation du duo, qui a ensuite dû s'arrêter à deux reprises pour dégager le radiateur, obstrué par la végétation. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb “Pas mal de choses se sont passées. On a eu quelques petits problèmes de navigation car la tablette est tombée en panne, donc je n'avais plus de cap.” explique le Belge à l'arrivée au micro de la chaîne L'Equipe. “C'est une bonne spéciale, on s'est amusé. Ce n'était pas facile et on a un peu abîmé la voiture sur des buissons. On a dû s'arrêter deux fois à cause de problèmes de surchauffe moteur. Il y a beaucoup de buissons sur cette spéciale, beaucoup de brindilles sont venues se coincer dans le radiateur et nous avons dû nous arrêter à deux reprises pour le dégager. C'était une bonne mise en jambes, mais ce n'était vraiment pas facile. Il y avait de la navigation et c'était assez technique.”

Le Français Guerlain Chicherit (Mini), annoncé vainqueur de la première étape du Dakar 2025, a finalement perdu son succès au profit de l'Américain Seth Quintero (Toyota), dont une partie du chrono a été retirée après qu'il soit venu en aide à un autre concurrent.  Perdre une victoire sur tapis vert n'est jamais agréable, sauf peut-être pour Guerlain Chicherit ce samedi. Le Français était étonné de son succès sur la première étape du Dakar et sans doute furieux d'être ainsi contraint d'ouvrir la piste lors de l'étape 48h chrono disputée dimanche  et lundi. Mais le Français n'aura finalement pas à s'encombrer de fendre le sable immaculé d'Arabie saoudite, car Seth Quintero l'aura fait avant lui.  L'Américain de Toyota, auteur du deuxième chrono, a finalement été reclassé vainqueur quelques heures après l'arrivée de la première étape : ses données GPS ont révélé qu'il s'était arrêté pendant 95 secondes pour porter assistance à Laia Sainz (Century), victime d'un accident. Or, le temps passé à aider un autre pilote est retiré du total.  Seth Quintero remporte ainsi son premier succès en catégorie reine à 22 ans, après avoir signé 19 victoires en trois participations dans la catégorie Challenger/T3. Le nouveau classement fait reculer Nasser Al-Attiyah à 11:13 et Sébastien Loeb à 12:16 de Seth Quintero.  Le classement corrigé de la première étape  Quintero/Zenz (Toyota) : 4h35m08s Chicherit/Winocq (Mini) : +0:45s Variawa/Cazalet (Toyota) : +1:48s Prokop/Chytka (Orlen Jipocar) : +1:49s Gutierrez/Moreno (Dacia) : +2:13s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +1:18s Sainz/Cruz (Ford) : +3:17s Moraes/Monleon (Toyota) : +3:18s Price/Sunderland (Overdrive) : +3:58s Lategan/Cummings (Toyota) : +4:12s De Mevius/Panseri (Overdrive) : +5:37s Gastaldi/Metge (Century) : +5:43s Guthrie/Walch (Ford) : +5:57s Schröder/Köhne (PS Laser) : +6:47s Botterill/Murphy (Toyota) : +7:16s Ekström/Bergkvist (Ford) : +8:02s Baragwanath/Cremer (Century) : +8:07s Roma/Naro (Ford) : +9:29s De Villiers/Von Zitzewitz (Toyota) : +10:26s Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +11:13s Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : +11:13s Cavigliasso/Pertegarini (BBR)  : +12:04s Guerreiro/Sachs (Road Jr Team USA by BFG) : +12:08s Loeb/Lurquin (Dacia)  : +12:16s  Crédit photo - Red Bull Content Pool.

Le quintuple vainqueur du Dakar a terminé la première étape à plus de dix minutes de la tête, pas par manque de rythme, mais en prévision de la plus longue spéciale de l'édition 2025, dont il ne voulait pas s'élancer en tête.  Il s'est fait avoir une fois, hors de question que cela se reproduise. Nasser Al-Attiyah (Dacia) s'est élancé ce matin au départ de la première étape avec l'esprit déjà tourné vers la journée de dimanche, où débutera l'étape 48h chrono. La spéciale la plus longue du rallye  avait l'an dernier, pour sa première sur le Dakar, fait des dégâts en coûtant toute chance de victoire finale à Nasser Al-Attiyah.  Le quintuple vainqueur de l'épreuve s'était élancé en premier après sa victoire sur l'étape 5, ce qui lui avait fait perdre un temps fou avant de s'arrêter après un problème mécanique lors de la matinée du deuxième jour. Le Qatarien n'a pas digéré cet échec, malgré un nouveau titre de champion du monde de rallye-raid sécurisé en fin de saison dernière.  Al-Attiyah - Loeb, à celui qui perdait le plus de temps Alors cette année, pas question d'ouvrir le bal lors de l'étape marathon, quitte à perdre volontairement du temps la veille, une technique qui avait porté chance à Sébastien Loeb l'an passé. L'Alsacien avait pris volontairement une pénalité de 15 minutes la veille de plus longue spéciale, pour s'imposer le lendemain et refaire largement son retard sur de nombreux concurrents. Al-Attiyah tentera d'imiter le pari de son coéquipier cette année après avoir bouclé la première étape à 10 minutes de Guerlain Chicherit, le vainqueur de la spéciale que personne ne voulait gagner.  Le médaillé olympique de tir est de son côté plutôt serein avant une "48h chrono" à laquelle il compte bien survivre cette année. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb "La spéciale était bonne, je suis content d'être arrivé à la fin. Nous avons cassé la tablette de navigation après 100 km (c'était en réalité une panne qui a touché de nombreux pilotes, ndlr). Nous avons fait les 300 derniers kilomètres en suivant des motos et d'autres pilotes. Edouard (Boulanger, son copilote) a fait un super boulot avec l'autre tablette, je suis désolé pour les motos, car nous avons dû les dépasser sans Sentinel (le système qui envoie une impulsion au motard pour le prévenir qu'une auto plus rapide va le dépasser, ndlr), ce n'est pas sympa pour eux." "Je suis content de finir car sur les 10 derniers kilomètres, nous avons eu une crevaison. Nous avons décidé de nous arrêter pour changer la roue  et on a encore perdu du temps mais je pense que nous aurons une bonne position sur la route pour demain. Je tire les leçons de la 48 heures de l'an dernier, car je sais à quel point c'est difficile. Demain on ne voulait pas ouvrir car l'an dernier j'ai perdu beaucoup de temps en partant en premier. Alors cette année il faut qu'on soit malin si on veut terminer la 48 heures chrono sans problème et arriver à la journée de repos et ensuite décider de ce qu'on fait." Lire aussi : Le classement et les réactions après la 1ère étape du Dakar 2025 Le classement général après la 1ère étape Dakar 2025 : sur quelle chaîne regarder le rallye-raid ? Crédit photo : ASO/A.Vincent/DPPI.

Le Français a terminé la première étape du Dakar à plus de onze minutes du vainqueur Guerlain Chicherit. Un choix volontaire afin de partir derrière lors de l'étape 48h chrono. Le Dakar est peut-être la seule discipline de course automobile où des pilotes font exprès de perdre du temps. Sébastien Loeb, en tout cas, a parfaitement compris comment aborder la première des douze étapes avec roublardise, en se laissant volontairement décrocher. Les onze minutes de débours que lui coûtent sa 24ème place sur la première étape seront vite récupérées, peut-être même dès dimanche. L'Alsacien s'est mis dans une situation idéale car il ne s'élancera parmi les premiers concurrents lors de l'étape 48h chrono, une position peu enviable car les motos empruntent un autre itinéraire et qu'il n'y a donc pas de traces à suivre pour les ouvreurs. Cela avait coûté plusieurs dizaines de minutes à Nasser Al-Attiyah l'an dernier, parti en éclaireur avant d'abandonner sur la seconde partie d'étape, un destin que ne voulait pas connaître Loeb. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb “On a pas pris de risque, on a roulé vraiment tranquillement.” explique le nonuple champion WRC à L'Équipe. “Le but était de ne pas faire un bon temps. On s'est même garé à la fin ! Vu qu'on a aucune information dans la voiture et qu'on ne voulait surtout pas finir devant, on a volontairement lâché du temps toute la journée. On va faire les comptes à la fin pour voir où on part demain sur l'étape 48h chrono, mais pour le moment on a pas de nouvelle des classements.” Depuis, la situation est revenue à la normale et Sébastien Loeb a pu constater qu'il n'a pas été le seul à lâcher quelques minutes. Son coéquipier Nasser Al-Attiyah est lui pointé à 10 minutes de Guerlain Chicherit. Si certains ont dû attendre autant avant de connaitre leur classement, c'est à cause d'une panne globale du système de GPS qui a handicapé les binômes. En dehors de la navigation, devenue plus complexe encore, la panne du système sentinel aurait pu créer des accidents. Ce dispositif permet d'alerter un autre pilote dans un rayon de 200 mètres afin de le prévenir qu'il s'apprête à se faire doubler, ce qui est utile notamment lorsqu'une auto dépasse une moto.   “Le GPS a lâché dès le début et je n'avais plus de répétiteur de cap. C'est difficile de suivre une piste quand je ne sais même pas sur quel cap je suis.” regrette Loeb.  “On n'avait pas de sentinel, donc j'ai essayé de faire très attention en doublant les motos. Certains ont été un peu surpris et se sont énervés, ce que je peux comprendre. C'est dommage, car c'était une étape où on ne voulait pas faire de temps, mais c'était impossible de doubler. J'ai passé la spéciale bloqué derrière Nani Roma. Il ne faut pas que ça se reproduise. Il y a eu un bug quelque part, il va falloir qu'ils le résolvent.” Heureusement, aucune collision entre autos et motos n'est à signaler, malgré la panne du système sentinel.  Lire aussi : Le classement et les réactions après la 1ère étape du Dakar 2025 Le classement général après la 1ère étape Dakar 2025 : sur quelle chaîne regarder le rallye-raid ? Crédit photo : Red Bull Content Pool.

Guerlain Chicherit (Mini) a remporté la première étape du Dakar, marquée par une panne de GPS qui a handicapé beaucoup de pilotes. Les favoris ont lâché volontairement du temps afin de ne pas s'élancer dans les premiers pilotes lors de la 48h chrono. MISE A JOUR : Seth Quintero, 2ème, a finalement été promu vainqueur après qu'une partie de son temps ait été retirée. Il s'est arrêté 95 secondes pour aider un concurrent.  Ce Dakar commence déjà fort ! La première étape n'a pas été aussi tranquille qu'espérée pour les favoris à la victoire finale, victimes d'une panne du système sentinel, qui  permet de prévenir le pilote devant qu'un véhicule s'apprête à le dépasser. Ce dispositif, mis en place notamment pour la sécurité des motards, a empêché certains pilotes de doubler. Sébastien Loeb (Dacia) s'est notamment retrouvé coincé derrière Nani Roma (Ford), qu'il n'a pas pu dépasser, faute de sentinel. Le Français n'était de toute façon pas pressé, puisqu'il ne visait pas la victoire d'étape, au contraire. L'Alsacien (+11:31) et les autres favoris ont volontairement lâché un peu de lest afin de ne pas s'élancer parmi les premiers lors de la redoutable étape 48h chrono disputée dimanche et lundi. L'an dernier, Nasser Al-Attiyah avait vécu l'enfer après avoir ouvert la piste. Le Qatarien n'aura pas ce problème cette année puisqu'il s'est classé à près de dix minutes du vainqueur Guerlain Chicherit (Mini). Arrivé avec une voiture dont la carrosserie était fortement endommagée (le capot est resté quelque part entre les buissons), le Français était déçu de lui… avant de connaître son temps. Il devance Seth Quintero (Toyota) et le surprenant Sud-Africain de 19 ans Saood Variawa (Toyota), qui dispute son deuxième Dakar avec son copilote français François Cazalet. A noter la présence dans le top 10 de Cristina Gutierrez, coéquipière de Loeb et Al-Attiyah chez Dacia et du duo d'ex motards Toby Price et Sam Sunderland.  Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Le classement de la 1ère étape du Dakar 2025  Quintero/Zenz (Toyota) : 4h35m08s Chicherit/Winocq (Mini) : +0:45s Variawa/Cazalet (Toyota) : +1:48s Prokop/Chytka (Orlen Jipocar) : +1:49s Gutierrez/Moreno (Dacia) : +2:13s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +1:18s Sainz/Cruz (Ford) : +3:17s Moraes/Monleon (Toyota) : +3:18s Price/Sunderland (Overdrive) : +3:58s Lategan/Cummings (Toyota) : +4:12s De Mevius/Panseri (Overdrive) : +5:37s Gastaldi/Metge (Century) : +5:43s Guthrie/Walch (Ford) : +5:57s Schröder/Köhne (PS Laser) : +6:47s Botterill/Murphy (Toyota) : +7:16s Ekström/Bergkvist (Ford) : +8:02s Baragwanath/Cremer (Century) : +8:07s Roma/Naro (Ford) : +9:29s De Villiers/Von Zitzewitz (Toyota) : +10:26s Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +11:13s Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : +11:13s Cavigliasso/Pertegarini (BBR)  : +12:04s Guerreiro/Sachs (Road Jr Team USA by BFG) : +12:08s Loeb/Lurquin (Dacia)  : +12:16s Lire aussi - Dakar 2025 : sur quelle chaîne regarder le rallye-raid ? Quel résultat pour Sébastien Loeb lors de la 1ère étape ?  Le Français se classe 24ème, à plus de 12 minutes du vainqueur. Il a volontairement roulé à un rythme assez tranquille pour s'assurer une bonne position de départ sur l'étape la plus longue de cette édition. Le résumé vidéo de la 1ère étape