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Dakar 2025 : “C’était un cauchemar”, Nasser Al-Attiyah a frisé la correctionnelle sur la 7ème étape

Le Qatarien a failli tout perdre sur la septième étape du Dakar, ralenti par une erreur dans le roadbook qui lui a coûté de précieuses minutes. Finalement sauvé par la direction de course, qui a neutralisé la section en cause, Nasser Al-Attiyah a fait une belle opération en reprenant plus de huit minutes à Henk Lategan. Malgré douze étapes longues chacune de plusieurs heures, le Dakar se joue souvent sur des détails et se gagne à coup de secondes. L'édition 2025 ne déroge pas à la règle : un petit manque de vigilance peut finir par des tonneaux et un abandon ou une navigation hasardeuse peut coûter de nombreuses minutes. Chez Dacia, la première situation avait déjà été douloureusement vécue avec le retrait de Sébastien Loeb de l'épreuve, puis l'erreur de navigation a bien failli assommer définitivement les espoirs de l'autre leader du constructeur roumain, Nasser Al-Attiyah, ce dimanche. Le Qatarien, relégué à une demi-heure de la Toyota de Henk Lategan avant le départ de la 7ème étape, n'a déjà plus vraiment le droit à l'erreur. Pourtant, son Dakar a failli être définitivement perdu après un peu plus de 100 kilomètres de spéciale, quand le quintuple vainqueur de l'épreuve s'est retrouvé à tourner en rond en plein désert, incapable de trouver le waypoint, le point de passage suivant. Accompagné dans son malheur par les autres voitures ouvreuses, Al-Attiyah a rapidement compris que l'erreur de navigation n'était pas de son fait, ni de celui de son copilote Edouard Boulanger, mais bien une mauvaise indication du roadbook. Lire aussi - Dakar 2025 : le classement de la 7e étape, le gros coup de Lucas Moraes L'ascenseur émotionnel pour Al-Attiyah La direction de course s'est rapidement rendu compte de sa boulette et a décidé de neutraliser une portion de plus 20 km après laquelle Al-Attiyah était virtuellement pointé à 20 minutes de Henk Lategan, soit un total de 50 minutes au général qui aurait ressemblé à un coup de grâce. Finalement, sauvé par la suppression de cette section, le Qatarien a fait la belle opération en reprenant 8 minutes au Sud-Africain, qui n'a plus que 21 minutes de marge sur le pilote Dacia. “C'était un cauchemar.” souffle le quintuple vainqueur de l'épreuve à AUTOhebdo. “À un endroit, nous avons rattrapé les deux de devant et nous avons essayé d'ouvrir, mais nous avons trouvé que quelque chose n'allait pas. Nous avons dû faire machine arrière pour vérifier, à trois reprises, et ensuite nous avons compris qu'il y avait un problème avec le roadbook. Ce n'était pas facile : nous avons essayé de gérer avec ça, et soudainement, par chance, on a retrouvé le bon cap, mais ce n'était pas inscrit dans le roadbook. Dans la voiture, on se disait que cette étape devait être annulée… et à l'arrivée, on nous indique que cette section a été neutralisée pour tout le monde.” Toujours quatrième du général, Nasser Al-Attiyah (Dacia) devra désormais s'attaquer aux Toyota de Henk Lategan et Yazeed Al-Rajhi et à la Ford de Mattias Ekström pour viser la victoire, mais aussi pour marquer de précieux points dans l'optique du championnat du monde de rallye-raid (W2RC), dont il est triple tenant du titre.  

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Dakar 2025 : le classement général après la 7ème étape, Al-Rajhi revient à 21 secondes de Lategan !

La septième étape du Dakar 2025 a permis à Yazeed Al-Rajhi (Overdrive) de refaire quasiment tout son retard sur Henk Lategan (Toyota). Mais attention : Mattias Ekström (Ford) et Nasser Al-Attiyah (Dacia) n'ont pas dit leur dernier mot … Sauf énorme surprise, un de ces quatre mousquetaires remportera le Dakar 2025. Pour trois d'entre eux, il s'agirait d'une première. Henk Lategan (Toyota), dispute le rallye-raid le plus célèbre du monde pour la quatrième fois seulement, tandis que Mattias Ekström (Ford) n'a jamais été en mesure de jouer le très haut de tableau lors de ses trois années avec Audi. Yazeed Al-Rajhi (Overdrive), réputé friable mentalement, rêve d'être le premier Saoudien à s'imposer sur le Dakar, a fortiori à domicile, dans son désert. Les trois hommes trônent sur le podium provisoire à cinq jours de l'arrivée à Shubaytah, mais la principale menace vient de l'arrière. Quatrième, Nasser Al-Attiyah (Dacia) est en embuscade pour briguer un sixième titre, après avoir perdu du temps lors de la première semaine. Une lutte à quatre pour la victoire finale En regardant le classement général, les quatre hommes ont leur chance, avec des forces et des faiblesses différentes et des courses aussi très différentes depuis le départ de Bisha. Henk Lategan mène le rallye depuis la deuxième étape, à la surprise générale, mais son avance a fondu comme neige au soleil ce dimanche. Dans une étape à la navigation périlleuse, le Sud-Africain a bu la tasse, mais a évité la noyade : il s'est accroché à sa position de leader pour 21 secondes seulement de moins que Yazeed Al-Rajhi. Le Saoudien, vainqueur de la terrible 48h chrono, où il avait perdu ses illusions en 2024, fait preuve d'une belle régularité depuis le début du Dakar, comme Mattias Ekström (Ford). Sans faire parler de lui, le Suédois est revenu à 10 minutes de Lategan en prenant la deuxième place de la septième étape, derrière le vainqueur du jour Lucas Moraes. Lire aussi - Dakar 2025 : le classement de la 7ème étape, le gros coup de Lucas Moraes Ford et Dacia, dans le mile du premier coup ?  Ford et Dacia sont lancés à l'assaut d'un défi colossal : remporter le Dakar dès leur première année avec leurs Raptor et Sandrider. Malgré l'abandon de son leader Carlos Sainz, Mattias Ekström porte haut les couleurs du constructeur américain, comme son coéquipier Mitch Guthrie, brillant 5ème pour sa première participation en Ultimate, à 28 ans. Chez Dacia, l'abandon de Sébastien Loeb a laissé les clés du camion - ou plutôt du 4x4 - à Nasser Al-Attiyah, coleader désigné. Le Qatarien est revenu à 21 minutes de Henk Lategan, sur qui il accusait 35 minutes de retard après la 5ème étape. Avec l'appui dévoué de l'autre Dacia de Cristina Gutierrez et les talents de mécanicien de son copilote Pablo Moreno, le quintuple vainqueur de l'épreuve peut prétendre à une nouvelle couronne et se rapprocher des huit sacres en auto de Stéphane Peterhansel, recordman de victoires. Dans le top 10, outre Edouard Boulanger, le coéquipier de Nasser Al-Attiyah, les seuls français sont Mathieu Serradori et Loïc Minaudier, auteurs d'un très beau début de rallye. Le duo français pointe à la 6ème place du classement au volant du CR7 4 roues motrices de Century Racing, étrenné pour la première fois sur ce Dakar.  Le classement général du Dakar 2025 après la 7ème étape  Lategan/Cummings (Toyota) : 37h13min08s Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : +0:21 Ekström/Bergkvist (Ford) : +10:25 Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +21:57 Guthrie/Walch (Ford) : +40:01 Serradori/Minaudier (Century) : +54:20  Yacopini/Oliveiras (Overdrive) : +1.13:05 Quintero/Zenz (Toyota) : +1.28:32 Ferreira/Palmeiro (Mini) : +1.58:25 Baragwanath/Cremer (Century) : +2.07:38 Crédit photo - Red Bull Content Pool. 

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Dakar 2025 : le classement de la 7e étape, le gros coup de Lucas Moraes

Au lendemain d'une journée gâchée par des ennuis mécaniques, le Brésilien a offert à Toyota sa sixième victoire d'étape sur ce Dakar en écrasant la septième spéciale autour d'Al Duwadimi, où une erreur dans le roadbook a perturbé la course des leaders. Lategan n'a plus que 21 secondes d'avance sur Al-Rajhi. Le verbe "jardiner" peut prendre plusieurs sens, surtout lorsqu'il est utilisé en sport automobile. Employé notamment en F1 pour qualifier la période de congés forcés d'un salarié passant d'une écurie à l'autre, le “jardinage” est aussi une expression qui revient lors du Dakar. Malgré les terres peu fertiles du désert saoudien, on dit des pilotes qu'ils "jardinent" lorsqu'ils se perdent et tournent en rond afin de retrouver leur chemin. Nasser Al-Attiyah (Dacia) et Yazeed Al-Rajhi (Overdrive) se sont découvert la main verte lors de la 7ème étape autour d'Al Duwadimi. Les deux hommes, respectivement 4ème et 2ème du général, se sont égarés à cause d'une erreur de roadbook, qui leur a coûté virtuellement près de 20 minutes sur Henk Lategan, le leader de l'épreuve. Une erreur de roadbook perturbe l'étape Le Sud-Africain n'a pourtant pas pu creuser son avance au général, car la direction de course a reconnu sa responsabilité dans la perte de temps des ouvreurs de l'étape et a décidé de supprimer les chronos sur une portion d'une vingtaine de kilomètres. “Une note de road-book erronée au km 158 de la spéciale autos a perdu plusieurs véhicules ouvrant la piste ce matin. Une portion d'une vingtaine de kilomètres environ, en amont et en aval de ce point, sera donc déterminée pour ne pas prendre en compte les temps enregistrés sur cette partie de la spéciale.” explique l'organisation. Si Nasser Al-Attiyah conserve ainsi ses chances de victoire finale, le Qatarien termine à 11 minutes du vainqueur de l'étape, Lucas Moraes (Toyota). Le Brésilien a écrasé la septième spéciale de l'épreuve, bien aidé par sa position de départ (26ème). Il s'agit du premier succès au Dakar de celui qui avait terminé 3ème du général pour ses débuts en 2023. Yazeed Al-Rajhi revient à 21 secondes de Henk Lategan L'Auriverde peut toutefois regretter sa journée de samedi, où ses espoirs de victoire finale se sont envolés. Cinquième du général au départ de Hail, Lucas Moraes a dû s'arrêter pendant 1h30 dès les premiers kilomètres de la 6ème étape, reculant à 3h34 de son coéquipier Henk Lategan. Victorieux de la 7ème spéciale, il devance Mattias Ekström (Ford, +7:41), qui se replace à 10 minutes de Henk Lategan. Le Sud-Africain a conservé la tête du général pour … 21 secondes ! Yazeed Al-Rajhi, 7ème du jour, s'est dangereusement rapproché, tout comme Nasser Al-Attiyah, pointé lui à 21 minutes. Ils sont six pilotes en moins d'une heure avec les belles performances de Mitch Guthrie, 3ème du jour et 5ème du général (+40:01) et du Français Mathieu Serradori (6ème, +54:20). Le classement de la 7ème étape du Dakar 2025 Moraes/Monleon (Toyota) : 4h01h49s Ekström/Bergkvist (Ford) : +7:41 Guthrie/Walch (Ford) : +9:28 Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +11:15 Quintero/Zenz (Toyota) : +11:38 Gutierrez/Moreno (Dacia) : +12:00 Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : +12:48 Variawa/Cazalet (Toyota) : +13:13 Krotov/Zhiltsov (Mini) : +14:24 Yacopini/Oliveiras (Overdrive) : +16:00  Crédit photo - Red Bull Content Pool. 

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Dakar 2025 - “Pas une étape facile” pour Nasser Al-Attiyah, qui grapille du temps au général

Troisième de la sixième étape du Dakar, le Qatarien a réussi son objectif : reprendre du temps à ses rivaux, sans avoir pour autant à ouvrir la route dimanche. Le voilà pointé à 30 minutes de Henk Lategan (Toyota) avec encore six étapes au programme. Nasser Al-Attiyah a perdu gros, au soir de la 4ème étape, lorsque ses déboires l'ont relégué à plus de 35 minutes de Henk Lategan, le leader du classement général. Piqué, le Qatarien pensait avoir remis les pendules à l'heure dès le lendemain en assommant la cinquième spéciale, avant de recevoir une pénalité conséquente. Les dix minutes ajoutées à son chrono pour avoir laissé une roue dans le désert lui ont coûté une 49ème victoire d'étape sur le Dakar, revenue à Seth Quintero (Toyota) pour … une seconde ! Surtout, la pénalité d'Al-Attiyah l'a fait rester à 35 minutes du leader du général, là où il avait l'occasion de se rapprocher à 25 minutes. Objectif : reprendre 30 minutes en six jours Malgré une journée d'attaque en vain, le quintuple vainqueur de l'épreuve croit toujours en ses chances de victoire finale. Il a commencé son opération “remontada” en reprenant cinq minutes à Henk Lategan sur la sixième étape, qu'il a bouclé à la troisième place, à deux minutes du vainqueur Guillaume de Mévius. “Ce n'était pas une étape facile.” concède le Qatarien au micro de nos confrères d'AUTOhebdo. “Nous avons essayé, au moins, de nous améliorer un peu sans faire de folie. Je suis heureux du rythme, nous avons ouvert la route tout au long de l'étape à partir du 25ème kilomètre. Nous avions la vitesse et nous avons essayé de la maintenir. Il nous reste six jours de compétition, ça va devenir de plus en plus dur mais nous sommes bien préparés et nous allons essayer de faire de notre mieux.” Le médaillé olympique de tir sera le troisième pilote à s'élancer lors de la septième étape dimanche, derrière les Mini de Guillaume de Mévius et João Ferreira, tandis que ses principaux rivaux Henk Lategan (Toyota), Yazeed Al-Rajhi (Overdrive) et Mattias Ekström (Ford) le suivront à la trace.   Crédit Photo - Red Bull Content Pool.

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Dakar 2025 - L’accident impressionnant du Français Guerlain Chicherit (Mini) en vidéo

Le pilote français et son copilote Alex Winocq ont eu un accident impressionnant dès les premiers kilomètres de la sixième étape du Dakar 2025. Héliportés à l'hôpital pour des douleurs au dos et aux cervicales, leur rallye s'arrête là. Miné dans son aventure immobilière par des problèmes financiers qui lui gâchent la vie, Guerlain Chicherit espérait utiliser le Dakar comme exutoire. Le Français n'aura finalement pu disputer que six petites étapes avant de rendre les armes. Après seulement seize kilomètres dans la 6ème étape, le pilote de l'équipe X-Raid a décollé sur une petite bosse au volant de sa Mini. La voiture s'est envolée sur quelques mètres avant de retomber violemment et de partir en tonneaux. Un 5ème abandon sur le Dakar  La voiture de Guerlain Chicherit et Alex Winocq s'est finalement immobilisée dans un état calamiteux, témoignant de la violence de l'impact. Le pilote tricolore, qui dispute son quatorzième Dakar, a ressenti des douleurs au dos et aux cervicales et a demandé une évacuation par hélicoptère à l'hôpital. Il pointait à la 10ème place du général avant le départ, à plus d'une heure de Henk Lategan (Toyota). L'accident de Guerlain Chicherit assombrit le tableau d'une journée autrement parfaite pour Mini, qui a signé un doublé sur la 6ème étape grâce à Guillaume de Mévius et João Ferreira.

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Dakar 2025 : le classement général après la 6ème étape, les écarts se réduisent

Henk Lategan (Toyota) a perdu un peu de son avance après la 6ème étape du Dakar 2025. Le Sud-Africain voit Yazeed Al-Rajhi (Overdrive) revenir à sept minutes. Ce Dakar aura déjà fait du dégât. A la mi-course, atteinte ce samedi, des noms parmi les plus ronflants du plateau ont déjà plié bagages. Sébastien Loeb (Dacia) et Carlos Sainz (Ford), les deux hommes forts de l'édition 2024, ont abandonné, tandis que Nasser Al-Attiyah (Dacia) a lui perdu 45 minutes sur des crevaisons. Lire aussi - Dakar 2025 : le classement de la 6ème étape, De Mévius met fin à la série de Toyota En ajoutant à cela les nombreux outsiders écartés de la lutte pour le podium final (Nani Roma, Guerlain Chicherit, Seth Quintero, Cristina Gutierrez…), le top 10 du général a un look inédit. Henk Lategan (Toyota) mène toujours les opérations depuis le soir de la deuxième étape et se montre plus solide qu'attendu. Après une journée où il a su faire mieux que limiter la casse (7ème), le Sud-Africain conserve sept minutes d'avance sur Yazeed Al-Rajhi, qui lui en a repris trois. Les deux pilotes ne sont pas coéquipiers, mais roulent tous les deux avec le Toyota Hilux, vainqueur de six des sept premières étapes en comptant le prologue. Al-Rajhi se rapproche de la tête, Al-Attiyah en embuscade Derrière eux, deux autres constructeurs prétendent à la victoire finale. Mattias Ekström (Ford) se fait discret, mais montre qu'il n'est pas qu'un champion du prologue (vainqueur de l'exercice en 2023 et 2024). Le Suédois (3ème), débarqué après trois Dakar avec Audi, pointe à 22 minutes et peut exploser son meilleur résultat sur l'épreuve (9ème en 2022). Le podium sera pour lui un objectif, même s'il lui faudra contenir le retour de Nasser Al-Attiyah (Dacia). Le quintuple vainqueur du Dakar vise toujours une sixième couronne, malgré sa demi-heure de retard sur Lategan. Son expérience - qu'il assurait être un facteur clé pour gagner avant le départ, ce qui n'a pas plu aux jeunes loups du bivouac - lui servira à dompter les dunes et les pierres durant les six jours restants jusqu'à l'arrivée à Shubaytah. Côté Français, l'abandon de Guerlain Chicherit ne laisse plus qu'un seul tricolore dans le top 10. Mathieu Serradori occupe la 6ème place au volant de son 4x4 de Century Racing, qu'il étrenne pour la première fois. Le bien nommé CR7, qui n'a rien à voir avec Cristiano Ronaldo, est doublement représenté dans le haut du classement général grâce à la dixième place de Brian Baragwanath.  Le classement général après l'étape 6 du Dakar 2025 Lategan/Cummings (Toyota) : 32h51min36s Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : +7:16 Ekström/Bergkvist (Ford) : +22:27 Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +30:25s Guthrie/Walch (Ford) : +50:16s Serradori/Minaudier (Century) : +56:28s  Yacopini/Oliveiras (Overdrive) : +1.14:18s Quintero/Zenz (Toyota) : +1.36:37s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +1.47:13s Baragwanath/Cremer (Century) : +2.05:30s Crédit photo - Red Bull Content Pool. 

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Dakar 2025 : Le soulagement de Guillaume de Mévius, enfin vainqueur : “On repart sur une meilleure spirale”

Le Belge a mis de côté une première semaine ratée sur le Dakar pour remporter sa première étape sur l'édition 2025, sa deuxième en carrière, qui lui permet de prendre des points importants pour le championnat.  Pour son deuxième Dakar en catégorie reine, Guillaume de Mévius était attendu. Le Belge a créé la surprise l'an dernier en terminant deuxième du général, derrière Carlos Sainz, pour ses premiers pas au volant du Toyota Hilux T1+ de l'équipe Overdrive. Parti du giron japonais pour rejoindre Mini, le fils de Grégoire de Mévius, qui a disputé huit Dakar, voulait faire encore mieux en 2025, mais son début de rallye a viré au cauchemar. Le Belge a perdu gros dès la deuxième étape et ses chances de victoire finale se sont envolées. Mais depuis, il a retrouvé du rythme (4ème de l'étape 3, 12ème de l'étape 5) sans jamais vraiment prétendre à une victoire d'étape… avant ce samedi. Lire aussi - Dakar 2025 : le classement de la 6ème étape, De Mévius met fin à la série de Toyota La renaissance de Guillaume de Mévius De Mévius est revenu comme une balle sur Guy Botterill (Toyota), longtemps leader de l'étape, pour aller chercher un succès finalement acquis devant l‘autre Mini de l'équipe X-Raid, pilotée par João Ferreira. “Pour l'instant on est premiers sur le tableau, on a fait une bonne étape, enfin !” s'est réjouit de Mévius à l'arrivée. “On voulait grapiller du temps et des points pour le championnat, donc on a tout donné. Ma voiture porte quelques stigmates de la semaine passée, aujourd'hui on a un peu volé mais on n'a rien touché. La journée de repos sert aussi à faire un reset, on repart sur une meilleure spirale après avoir connu de mauvaises choses en première semaine. Ce n'est pas spécialement mon terrain : sur le sable, j'arrive à bien rouler, mais je sais aussi que je dois encore m'améliorer.” Remonté à la 14ème place du général, à plus de 3 heures de Henk Lategan, Guillaume de Mévius a toutefois perdu un coéquipier en cours de route. Guerlain Chicherit a été contraint à l'abandon après un violent accident dès le 16ème kilomètre. Le Français a été transporté à l'hôpital, comme son copilote Alex Winocq, pour des douleurs au dos et aux cervicales.   Crédit photo - Red Bull Content Pool. 
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Dakar 2025 : le classement de la 6ème étape, De Mévius met fin à la série de Toyota

Victime d'un accident, Guerlain Chicherit (Mini) a abandonné alors qu'il était 10ème du général au départ de la 6ème étape, remportée par son coéquipier Guillaume de Mévius, qui met fin à l'hégémonie de Toyota. Ils avaient réalisé un sans-faute jusque-là. Les pilotes Toyota sont déchaînés depuis le départ de Bisha et cinq d'entre eux ont remporté au moins une étape. Après les succès de Seth Quintero (deux fois), Henk Lategan, Rokas Baciuska, Saood Variawa et Yazeed Al-Rajhi, Guy Botterill a bien failli devenir vainqueur d'étape lui aussi, pour la première fois de sa carrière. A 48 ans, le Sud-Africain dispute le Dakar pour la deuxième fois après une belle 6ème place - le meilleur résultat d'une Toyota - et un titre de meilleur rookie lors de sa première participation en 2024. Accompagné de son copilote Dennis Murphy, ancien navigateur de Giniel de Villiers, Guy Botterill a profité de sa position de départ (38ème) pour suivre les nombreuses traces devant lui. Toyota perd son invincibilité Le natif de Pietermaritzburg est passé en tête de tous les pointages chronométriques avant de craquer à moins de 100 km de l'arrivée. Il a cédé la tête du classement à Guillaume de Mevius (Mini), deuxième du Dakar l'an dernier. Le Belge devance finalement son coéquipier João Ferreira, concluant une journée mitigée pour Mini après l'abandon de Guerlain Chicherit. Le Français a eu un accident dans la première partie d'étape, qui lui a causé des douleurs aux cervicales. Il a demandé une évacuation par hélicoptère. Déjà relégué à plus d'une heure de Lategan, Chicherit quitte la route du Dakar pour la cinquième fois en quatorze participations. Seulement 7ème de l'étape, le Sud-Africain Henk Lategan, vainqueur du prologue, conserve les commandes du rallye, mais son avance sur Yazeed Al-Rajhi fond à vue d'œil. Le Saoudien, qui rêve de sacre à domicile après sa victoire sur le 48h chrono, accuse un retard de sept minutes à mi-parcours. Dominatrices depuis le départ, les Toyota sont bien représentées dans le top 10 du général avec quatre équipages, après les problèmes rencontrés par Lucas Moraes aujourd'hui. Pour le reste, les Ford de Mattias Ekström et Mitch Guthrie tentent de s'accrocher, comme la Century du Français Mathieu Serradori, 6ème, et celle de son coéquipier Brian Baragwanath, 10ème. Al-Attiyah grapille, mais reste loin Nasser Al-Attiyah, dernier espoir de Dacia, après l'abandon de Sébastien Loeb, a repris quelques minutes à Henk Lategan avec sa quatrième place de l'étape, mais reste à bonne distance (+30:25). Quatrième du général, le quintuple vainqueur de l'épreuve reste un des favoris sur un terrain qu'il connaît par cœur et où son expérience n'a pas d'égal. Côté français, la seule satisfaction vient de la nouvelle belle journée d'Adrien Van Beveren en moto. Deuxième de l'étape, le pilote Honda a repris cinq minutes au leader du général Daniel Sanders, dont il pointe à 19 minutes (3ème). Le classement de la 6ème étape du Dakar 2025 De Mevius/Baumel (Mini) : 4h34min49s Ferreira/Palmeiro (Mini) : +1:34s Al-Attiyah/Boulanger (Dacia)  : +2:01s Botterill/Murphy (Toyota) : +3:25s Al-Rajhi/Gottschalk (Overdrive) : +3:35s Baciuska/Mena (Overdrive : +5:31s Lategan/Cummings (Toyota) : +6:36s Ekström/Bergkvist (Ford) : +8:09s Prokop/Chytka (Orlen Jipocar) : +10:00s Roma/Naro (Ford) : +10:06s  Crédit photo - Red Bull Content Pool.

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PHOTOS - Nouveau Suzuki e Vitara : 1ère sortie pour le SUV électrique, nos photos au salon de Bruxelles

Il aura donc fallu la fin de l'année 2024 pour voir Suzuki présenter son premier modèle 100% électrique : le e Vitara. Et il s'offre un premier bain de foule en Europe à l'occasion de la 101e édition du salon de Bruxelles. Découvrez nos photos de ce SUV électrique réalisées dans la capitale belge. L'arrivée du Suzuki e Vitara s'est fait en deux temps. D'abord avec la présentation d'un concept baptisé eXV début 2023. Ensuite fin octobre dernier lors d'une présentation en Italie de cette version de série qui reprend un nom bien connu du grand public, le Vitara, auquel il faut ajouter un “e” pour marquer son arrivée dans l'univers des voitures électriques. Entre-temps, toujours en octobre dernier, Suzuki et Toyota ont annoncé une collaboration. L'un, Toyota, empruntant à l'autre, Suzuki, sa plateforme pour la création d'un petit SUV électrique, l'Urban Cruiser, lui aussi exposé au salon de Bruxelles cette année. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Suzuki Pas encore d'autonomie annoncée Sur le plan technique, ce Suzuki Vitara électrique se décline en deux configurations. Une première avec une batterie de 49 kWh et un moteur d'une puissance de 144 ch. La seconde version nous propose une batterie de plus capacité, 61 kWh, avec une puissance de 183 ch pour le moteur. Cependant, Suzuki n'a pas communiqué l'autonomie de son SUV électrique pour le moment. La production doit débuter au printemps prochain en Inde. Ce qui devrait le priver du bonus écologique. Voir aussi - notre page dédiée au Suzuki Vitara

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PHOTOS - Nouvelle Mazda6a (2025), nos images de la berline électrique au salon de Bruxelles

Le salon automobile de Bruxelles ouvre ses portes ce vendredi 10 janvier. Et parmi les nouveautés importantes annoncées et exposées pour cette 101e édition, il y a la berline électrique Mazda6a. Nous vous proposons de découvrir les premières photos du tout premier modèle électrique du constructeur japonais. À l'heure où la voiture électrique a du mal à convaincre les automobilistes, Mazda dévoile la Mazda6a. Il s'agit d'une berline électrique 5 portes proposant deux capacités pour la batterie : Une première de 68,8 kWh pour 479 km d'autonomie, maximum Une seconde de 80 kWh pour 552 km d'autonomie, maximum Côté recharge, le constructeur annonce une puissance de 200 kW permettant de passer de 10 à 80% de charge en 22 minutes. Autre chiffre avancé : 235 km en 15 minutes de charge. Toujours dans le cas où la borne développerait 200 kW. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Mazda Une puissance moteur de 258 ch Mazda donne également quelques chiffres pour la motorisation. On parle d'un moteur d'une puissance de 258 ch (soit 190 kW) pour un couple de 320 Nm. L'exercice du 0 à 100 km/h pouvant être rempli en moins de 8 secondes. La vitesse maximum de la berline électrique sera de 175 km/h. Un nouveau design inauguré Avec la Mazda6a, le constructeur inaugure un nouveau design baptisé Kodo. On notera notamment des portes sans cadre ou encore le fait que les poignées de porte sont intégrées à la carrosserie. À l'intérieur, Mazda nous promet quelque chose de raffiné avec des matériaux nobles. Les futurs clients auront le choix entre deux finitions : Takumi avec un intérieur cuir beige artificiel Takumi Plus, avec un intérieur cuir Nappa Tan et suédine À l'intérieur, le conducteur à l'honneur Toujours à bord, Mazda a soigné le confort du conducteur. On notera la présence d'un écran tactile personnalisable de 14,6 pouces au niveau du poste de conduite ainsi qu'un combiné d'instrumentation numérique de 10,2 pouces. L'affichage tête haute en réalité augmentée promet d'être confortable avec une taille de 50 pouces ! Dessus, le conducteur pourra retrouver des informations telles que la vitesse ou le GPS. Prix et date de sortie La berline électrique Mazda6a sera en prévente en France à partir de la fin du mois de mars 2025 pour une commercialisation en septembre. Les prix débuteront sous la barre des 45 000€ pour la plus petite batterie (68,8 kWh) dans la finition Takumi.

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PHOTOS - Le Hyundai Inster Cross se montre au salon de Bruxelles, nos images du baroudeur électrique

Après le Hyundai Inster dévoilé au milieu de l'année 2024, le constructeur sud-coréen a présenté à l'automne une version baroudeur avec le Inster Cross. Découvrez nos photos de cette voiture électrique exposée au salon de Bruxelles en ce mois de janvier 2025. Ce Hyundai Inster Cross a des airs de tout-terrain avec ses protections de roues en plastique ou ses projecteurs additionnels ronds. À cette impression stylistique, on peut ajouter les boucliers avant et arrière rectangulaires ainsi que la galerie de toit qui vient compléter le volume de coffre de 280 litres, 351 litres lorsque la banquette coulissante est avancée. Notez que cet Inster Cross arbore une couleur spécifique, du vert mat, ainsi que des jantes spécifiques de 17 pouces. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Hyundai 360 km d'autonomie Sur le plan technique, ce Hyundai Inster Cross est équipé d'un moteur électrique de 115 ch. La capacité de la batterie est de 49 kWh. Ce qui devrait lui donner un rayon d'action aux alentours de 360 - 370 km. Le hic de ce modèle devrait concerner le prix. La barre des 30 000€ sera probablement dépassée. Un problème face à une concurrence qui se positionne aux alentours des 20 000€ comme c'est le cas pour la Citroen ë-C3. L'absence de bonus écologique liée à une production en Corée du Sud ne devrait pas l'aider. Voir aussi - notre page dédiée au Hyundai Inster Bientôt un Hyundai Inster électrique 5 places Et l'année 2025 sera placée sous le signe de l'Inster chez Hyundai puisque la voiture électrique arrivera prochainement dans une version 5 places. L'intérêt pour le constructeur sud-coréen c'est que cette déclinaison devrait lui permettre d'être éligible au bonus écologique en France. Pour rappel, celui-ci est compris entre 2000 et 4000€ en fonction des revenus.

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PHOTOS - 1ère apparition pour le Skoda Enyaq, découvrez nos images du nouveau SUV électrique

Après une annonce en milieu de semaine, Skoda expose au salon de Bruxelles depuis ce vendredi le restylage du Skoda Enyaq, son SUV électrique vedette. L'occasion de l'approcher pour la première fois en vrai et de vous proposer des photos. Après une première partie de carrière réussie sur le plan commercial, Skoda nous propose un restylage pour son SUV électrique Enyaq. Rien de plus logique à mi-carrière. C'est surtout l'occasion pour le constructeur tchèque du groupe Volkswagen de le mettre en conformité avec les nouveaux codes stylistiques de la marque apparues en 2024 sur le Skoda Elroq. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Skoda Cela se voit particulièrement sur l'avant du véhicule avec une calandre et des phares amincis et la disparition du logo Skoda au profit d'une inscription en toute lettre. Toujours au rang des nouveautés stylistiques, notons que la calandre peut s'illuminer et qu'un nouveau coloris vert fait son apparition. Mais ces changements ont également pour but de faire baisser le coefficient de trainée, le Cx, afin de diminuer la résistance à l'air et donc d'augmenter l'autonomie. Celui-ci passe ainsi de 0,264 à 0,245 pour une autonomie annoncée à 590 km par le constructeur. On retrouve des évolutions similaires sur la version Coupé du SUV électrique, le Skoda Enyaq Coupé, qui est également exposée à Bruxelles et que vous pouvez découvrir dans notre série de photos ci-dessus. Voir aussi - notre page dédiée au Skoda Enyaq

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Voiture de l’année 2025 : double victoire pour le groupe Renault avec la R5 et l’Alpine A290 !

Pour la seconde année consécutive, la marque au Losange triomphe à l'élection tant attendue de la Voiture de l'année. Puisque le Salon de l'automobile de Genève n'est plus, il fallait bien trouver un autre événement au cours duquel partager les résultats de la Voiture de l'année. Désormais, c'est à Bruxelles que cela se passera. Voilà qui devrait aider ce salon qui fait son retour cette année à devenir un incontournable en Europe. L'élection se tenait dans la matinée de ce vendredi 10 janvier même, les résultats du jury sont désormais connus. Et c'est la Renault 5 E-Tech qui remporte la victoire, en duo avec sa cousine technique, l'Alpine A290. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Renault La Citroën C3 sur le podium C'est un sacré plébiscite pour la marque au Losange et le groupe dans son ensemble qui remporte le trophée de la Voiture de l'année pour la seconde année consécutive. Rappelons pour ceux qui auraient oublié que les R5 et A290 succèdent au Scenic. En outre, avec un total de 353 points, elles sont largement en tête devant les Kia EV3 et Citroën C3, 2e et 3e avec respectivement 291 points et 215 points. Elles sont arrivées en tête dans 10 pays sur 23. Si la France est sans trop de surprise l'un d'entre eux (41 points), elles doivent surtout leur réussite au Royaume-Uni (49 points). La Norvège, pays le plus électrifié en Europe, est également tombée sous le charme néo-rétro des R5 et A290. Voir aussi - notre page dédiée à la Renault 5 électrique Le Dacia Duster au pied du podium S'attendait-on à ce qu'elles finissent sur le podium ? Un peu, oui. Mais la compétition était féroce cette année avec deux autres véhicules au rapport prix-prestations très intéressant, les EV3 et C3 en l'occurrence. Mais également les Dacia Duster (4e, 172 points) et le Hyundai Inster (5e, 168 points). Les Cupra Terramar (165 points) et Alfa Romeo Junior (136 points). Le premier a sauvé les meubles dans son pays natal où il a obtenu 32 points. Quant aux jurés italiens, ils ont boudé leur production nationale et placé le duo R5/A290 en tête. Cocorico ! Voir aussi - notre page dédiée à l'Alpine A290 électrique
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PHOTOS - Le nouveau Ford Puma électrique exposé au salon de Bruxelles, nos images

Lors de la 101e édition du Salon de Bruxelles, Ford expose une de ses dernières nouveautés de l'année 2024 : le Ford Puma électrique. Découvrez nos photos du petit SUV électrique réalisées dans la capitale belge. Cette version électrique du Ford Puma se distingue un peu du restylage thermique commercialisé en début d'année 2024. Notamment la calandre pleine à l'avant et le dessin du bouclier. Si la planche de bord est calquée sur la version thermique, il se distingue toutefois avec une ambiance bicolore noir et gris clair. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Ford Un volume de coffre confortable Si la place à l'arrière est restreinte pour les passagers, le Ford Puma électrique nous propose un volume pour le coffre en hausse par rapport à la version thermique avec 523 litres. Ajoutons à cela, un petit coffre de 43 litres à l'avant pour ranger le câble de recharge. Ce qui porte le volume total à 566 litres. Voir aussi - notre page dédiée au Ford Puma Une autonomie moyenne Si la puissance du moteur électrique est correcte avec 168 ch pour 290 Nm de couple, on est un peu déçu par l'autonomie annoncée. Celle-ci est annoncée à 376 km grâce à la batterie d'une capacité de 43,6 kWh. La charge rapide de 100 kW permet de récupérer de 10 à 80% d'autonomie en 23 minutes. Son prix débute à 33 900€. Lire aussi - Nouveau Ford Puma Gen-E (2025) : le SUV urbain se met enfin à l'électrique !

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PHOTOS - Le nouveau Toyota Urban Cruiser électrique au salon de Bruxelles, nos images

Après une annonce en décembre dernier, Toyota expose en première mondiale son nouveau SUV électrique, l'Urban Cruiser au 101e salon de Bruxelles. Il s'agit du 2e véhicule électrique du constructeur japonais qui n'est autre qu'un cousin technique du Suzuki e Vitara. D'ailleurs, le design extérieur est également proche du SUV électrique du constructeur japonais. C'est également un design identique à bord. Côté technique, le SUV urbain électrique se décline en deux versions : Une première de 144 ch pour 189 Nm avec une batterie de 49 kWh La seconde nous propose une puissance de 174 ch avec une batterie plus importante (61 kWh)   Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Toyota Pas encore de prix ou de date de sortie Pour le moment, Toyota n'a pas donné de date de sortie pour son SUV urbain électrique, ni de prix. Sans prendre trop de risque, on peut miser sur une commercialisation dans le courant de cette année 2025. Voir aussi - notre page dédiée au Toyota Urban Cruiser

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PHOTOS - Future Twingo électrique : nos images de l’intérieur de la citadine

Renault profite du 101e salon automobile de Bruxelles pour dévoiler l'intérieur de sa future Twingo électrique. Nous vous proposons de le découvrir au travers de nos photos réalisées dans la capitale belge ce vendredi 10 janvier 2025. Après la Renault 5 électrique en 2024 - qui est déjà un succès commercial - puis la Renault 4 électrique en 2025, dont le prix de départ sera inférieur à 30 000€, Renault poursuit le revival de ses modèles les plus mythiques avec la Twingo. Après avoir exposé un prototype en octobre dernier lors du Mondial de l'Auto à Paris dont le design rappelait la première génération, le constructeur français profite du salon de Bruxelles pour dévoiler l'intérieur du prototype. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Renault Un intérieur moderne C'est un vrai coup de jeune que Renault nous propose pour l'intérieur de la Twingo par rapport à ce que l'on connaît. Le tableau de bord est numérique. Il mesure 7 pouces. À cela, on ajoute un écran multimédia au centre d'une diagonale de 10,1 pouces. En dessous de cet écran, on retrouve des boutons physiques pour la climatisation et le warning. Renault explique avoir optimisé les rangements de sa citadine électrique. On en trouve sous la planche de bord et entre les deux sièges avant et sous la planche de bord, côté passager. Voir aussi - notre page dédiée à la Twingo Une banquette rabattable à l'arrière À l'arrière du prototype de la future Twingo électrique, on découvre une banquette rabattable en deux parties 50 / 50. Cela permet notamment d'optimiser le volume du coffre. On notera aussi la présence d'un toit vitré pour profiter d'un maximum de luminosité. Prix et date de sortie Pour rappel, la citadine électrique reviendra en 2026 dans une version qui multiplie les clins d'œil et hommage à la première génération. Son prix est annoncé sous les 20 000€ par Renault, hors bonus écologique.

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F1 transfert : Franco Colapinto recruté par Alpine, grosse pression sur Jack Doohan

Alors que nous pensions la piste Franco Colapinto chez Alpine écartée pour 2025, nous avons appris jeudi soir que le jeune pilote argentin de 21 ans quittait Williams pour rejoindre l'écurie française. Il est désormais probable qu'il remplacera Jack Doohan dans quelques semaines. Les dés sont-ils déjà pipés pour Jack Doohan chez Alpine avant le début de la saison 2025 ? C'est plus que probable après l'annonce du recrutement de Franco Colapinto comme pilote d'essais et de réserve pour “un contrat pluriannuel” dixit le communiqué de presse d'Alpine. Le pilote argentin qui a fait forte sensation sur la seconde partie de saison chez Williams quitte donc l'écurie britannique pour Alpine. Et au regard de la somme qu'a du verser l'écurie française à son homologue, on voit mal Colapinto rester sur le côté bien longtemps. En attendant, celui-ci s'est déclaré très satisfait de rejoindre Alpine : “Je suis extrêmement heureux d'avoir l'occasion de rejoindre Alpine. Je tiens avant tout à remercier Williams pour tout leur soutien de mon arrivée dans l'Academy à la dernière course à Abu Dhabi. Ils ont fait de mes rêves de Formule 1 une réalité, et je leur en serai toujours reconnaissant. Il est désormais temps d'écrire un nouveau chapitre, et relever ce défi avec Alpine est un véritable honneur. Un immense merci à Luca [de Meo], Flavio [Briatore] et Oliver [Oakes] de croire en moi et de m'accueillir à bras ouverts dans l'équipe. J'ai hâte de commencer et de voir où cette aventure nous mènera. Je remercie aussi infiniment tous les sponsors et partenaires m'ayant soutenu dans mes défis lors de la saison 2024”. Même satisfaction du côté de Flavio Briatore, l'éminence grise de l'écurie française : “Nous sommes très heureux d'avoir conclu un accord avec Williams Racing pour signer Franco Colapinto. De toute évidence, Franco fait actuellement partie des meilleurs espoirs du sport automobile. Il est juste de dire qu'il a surpris beaucoup de monde, y compris moi, dès son apparition sur la grille de départ en Formule 1 l'an dernier. Ses performances ont été très impressionnantes pour un débutant. Nous avons un œil sur notre avenir et sa signature fait que nous disposons d'un excellent vivier de jeunes pilotes avec lesquels nous pouvons compter et travailler pour développer l'équipe en vue de futurs succès”. Voir aussi - le calendrier 2025 de la F1 Un recrutement surprise Sur des rumeurs sur une arrivée de Franco Colapinto avaient de nouveaux émergés ces derniers jours, son recrutement reste une surprise. En fin d'année, dans une interview au quotidien Le Parisien, Flavio Briatore avait expliqué que l'argent à mettre sur la table pour indemniser Williams, payer Franco Colapinto et indemniser Jack Doohan n'était pas dans les moyens d'Alpine. Raison pour laquelle Doohan commencerait la saison. Désormais on ne voit pas bien comment il pourrait tenir sa place sur l'ensemble de l'année 2025. S'il est au début du premier Grand Prix en mars prochain en Australie, cela tiendra déjà du miracle… “Dans ce sport, après une bonne course, on est vite porté aux nues. Ensuite, le prix monte et on parle soudain de 20 ou 30 millions de dollars pour un pilote... Nous avons des contrats avec Gasly, Doohan et notre pilote de réserve Paul Aron pour la saison prochaine. S'il y avait une possibilité de faire venir Colapinto pour 2026, c'est une chose à laquelle il faudrait réfléchir. Mais pour 2025 il ne semble plus y avoir de possibilité”. Voir aussi - le salaire des pilotes de F1 en 2024 Crédit photo : Williams Racing.

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Déjà de premières rumeurs au sujet de la future Toyota Corolla

Arrivant en fin de carrière, l'actuelle génération de la berline compacte sera naturellement - étant donné son succès - renouvelée pour une 13e génération d'ici peu. Nos confrères japonais généralement bien renseignés auraient appris des choses à son sujet. Inutile de présenter la Toyota Corolla, quoi de plus logique avec une longévité pareille (elle a été lancée en 1966) et plus de 50 millions d'exemplaires vendus à travers le monde. La dernière en date a particulièrement séduit les foules. Malgré son grand âge (l'actuelle a été commercialisée en 2018), elle continue à progresser. En 2024, ses ventes ont encore progressé de 2 % en Europe et de 11 % en France. Quelle que soit la réussite de cette 12e génération, il va falloir songer à la remplacer. Justement, et assez logiquement, ce serait pour bientôt. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Toyota Plus qu'un an à tenir

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Le futur Tesla Model Y restylé commence à se montrer, des surprises attendues

Des photos d'un exemplaire revu et corrigé du SUV électrique circule actuellement sur les réseaux sociaux. Les modifications seront profondes et il pourrait même y avoir quelques surprises. L'année 2024 n'aura pas été aussi bonne que la précédente pour le Model Y. De janvier à novembre (nous attendons encore les détails de l'année complète), ses ventes ont chuté de 20 %. La barre des 200 000 unités devrait être péniblement franchie en 2024. En 2023, il s'en était vendu plus de 250 000 exemplaires. Cela reste un très bon score dans l'absolu mais il a besoin d'un rafraîchissement pour repartir. Même si la marque s'est refusée à nous le confirmer jusqu'à présent, de nombreuses rumeurs laissaient penser qu'il profiterait d'une mise à jour en 2025. Les photos circulant actuellement sur le net font qu'on n'en doute plus une seule seconde. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Tesla
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Voitures d'occasion : notre sélection de citadines électriques à acheter, à partir de 5000€

Onéreuses neuves malgré les aides financières de l'état, les petites voitures électriques se dénichent d'occasion à des prix parfois très avantageux. Turbo.fr et Ma Voiture Idéale vous proposent trois citadines polyvalentes 100 % électrique. Quelques conseils d'achat pour ces voitures “propres” qui, il est toujours nécessaire de la rappeler, ne présentent qu'un réel intérêt si leur propriétaire a la possibilité de recharger sans trop de difficultés. Renault Zoé À partir de 5.000€ Notre essai Notre page dédiée à la citadine électrique
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