Petite curiosité du Brussels Motor Show, cet Actyon commercialisé par une marque coréenne qui ne vous dit peut-être pas grand-chose de prime abord mais que nous avons connu fut un temps sous le nom Ssangyong.
Ssangyong - ce constructeur coréen à qui l'on doit “des modèles plus ou moins connus (et pas forcément pour de bonnes raisons) comme le Rodius, le Musso ou le Korando - n'est plus… sous son ancienne forme. Il faut désormais l'appeler KGM. Il a d'ailleurs fait son retour dans plusieurs pays européens, mais pas le nôtre. C'est le cas en Belgique par exemple. La preuve, le Brussels Motor Show était l'occasion pour lui d'exposer son nouvel Actyon.
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Un SUV-coupé pas très coupé
L'Actyon est un des modèles que nous avons connus en France dès les années 2000. Mais avec ses lignes disons particulières et une image de marque pas folichonne, il n'a pas vraiment rencontré le succès. Pour cette nouvelle mouture, Ssangyong… KGM pardon a opté pour un style plus passe-partout. Par contre, la marque asiatique le qualifie de SUV-coupé. Nous avons eu beau faire le tour du véhicule, difficile de comprendre en quoi il en est un. Si la ligne de toit descend quelque peu, rien à voir avec l'Actyon originel qui donnait à voir avec un peu d'avance le BMW X6 considéré comme le père des SUV-coupés.
Il cache son nom
Modèle de milieu de gamme, il vient se placer avec ses 4,74 m de long entre les actuels Korando et Rexton. Tout comme les dernières productions de la marque, il se la joue baroudeur. De trois quarts arrière, il a même de furieux airs de Range Rover Velar. Sans doute parce qu'il a changé récemment et que les clients sont un peu perdus, le nom de la marque n'apparaît pas à l'extérieur. Il faut regarder le volant pour le retrouver.
Un volume de coffre généreux
Ses dimensions généreuses lui permettent d'afficher un volume de coffre qui ne l'est pas moins avec plus de 700 litres. La présentation intérieure est moderne et, si le niveau de qualité n'est pas encore tout à fait au niveau de la concurrence, KGM a fait de nets efforts.
Une version électrique à l'horizon
Pour sa commercialisation en ce début d'année 2025 en Belgique, cet Actyon n'est proposé qu'avec un unique moteur 4-cylindres 1.5 essence turbocompressé de 163 ch d'origine Hyundai-Kia. Pas la moindre trace d'électrification, on comprend pourquoi un tel modèle n'est pas proposé en France. Malgré des tarifs attractifs (46 990 € minimum en Belgique), il serait chez nous fortement pénalisé par le malus, surtout dans sa version transmission intégrale. Mais il sera bientôt décliné en une variante zéro émission.
C'est la fin pour le Dakar 2025 ce vendredi 17 janvier. Après deux semaines, le plus célèbre des rallyes-raids tire sa révérence avec une 12e et dernière étape autour de la ville de Shubaytah. Une étape, suivie du podium, que vous pouvez suivre en direct à la télévision et directement depuis cette page.
Cette dernière étape du Dakar 2025 fait 205 km mais la partie chronométrée est très courte. Elle fait seulement 61 km. Ce qui devrait permettre à Yazeed Al Rajhi de remporter l'épreuve ce vendredi matin devant Henk Lategan. Le pilote saoudien compte 6 min 11 d'avance sur son dauphin au classement général. Ce sera donc un doublé pour Toyota car Al Rajhi pilote pour l'équipe Overdrive Racing mais son véhicule est un Toyota. Henk Lategan est lui pilote officiel Toyota Gazoo Racing. C'est serré également pour la 3e place. Elle se joue entre Mattias Ekstrom et Nasser Al-Attiyah sur son Dacia Sandriders. Moins de cinq minutes séparent les deux pilotes.
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Où suivre la dernière étape et le podium du Dakar 2025 ?
Cette dernière étape et le podium qui suivra sont à suivre en direct sur la chaîne TNT L'Équipe à partir de 7h30 ce vendredi matin. Vous pouvez également regarder ce dernier direct via le player ci-dessous.
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Le classement général avant la dernière étape
Haas change tout en 2025. Du moins ses pilotes. Exit Kevin Magnussen et Nico Hulkenberg, l'écurie américaine mise sur Esteban Ocon et Oliver Bearman pour 2025 et 2026. Justement, intéressons au salaire que le jeune britannique percevra en 2025.
Si Oliver Bearman va disputer sa première saison complète en Formule 1, on ne peut pas vraiment le considérer comme un rookie. Le jeune pilote britannique issu de l'académie Ferrari a déjà disputé trois Grand Prix dans sa jeune carrière. Deux pour Haas (Azerbaïdjan et Brésil) et un pour la Scuderia Ferrari (Arabie saoudite). Mieux que de faire de la figuration, Bearman est entré deux fois dans les points. Il a fini 7e en Arabie saoudite alors qu'il a remplacé au pied levé Carlos Sainz victime d'une appendicite et a fini 10e en Azerbaïdjan. C'est donc logiquement que Haas lui a proposé un baquet pour 2025 et 2026.
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Quel est son salaire pour 2025 ?
La marque suédoise vient d'exprimer à nouveau sa volonté de vendre ses voitures sur notre sol. Ce sera dès 2025. Pour séduire, elle pourra compter sur un large choix de véhicules qui sera d'ici peu complété par un SUV compact produit en Europe. Pile-poil ce qu'il faut pour séduire le marché national.
Cela fait presque un an que nos confrères de Challenges ont annoncé que Polestar était sur le point d'arriver en France. Depuis, nous étions dans l'attente de nouvelles de l'ancien département sportif de Volvo devenu indépendant mais rattaché au groupe chinois Geely. Sachant que Polestar n'est pas au meilleur de sa forme, nous commencions tout simplement à douter de cette expansion.
Pourtant, dans un récent communiqué, le constructeur a confirmé son intention de s'installer en France dès cette année. En même temps, étant donné sa volonté de renouer avec les bénéfices, il eût été dommage d'ignorer notre pays plus longtemps puisque c'est l'un des marchés européens les plus importants pour les voitures électriques.
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Les Polestar 2, 3 et 4 au lancement
Nous ne manquerons pas de revenir vers vous lorsque nous en saurons davantage sur l'arrivée de Polestar. Attendue depuis longtemps, elle n'avait pas fait le déplacement chez nous du fait d'un conflit juridique qui l'opposait à Citroën et DS ayant pour raison son logo.
La gamme comprend déjà à date un total de 3 véhicules qui devraient tous - sauf énorme surprise - arriver en France. Le premier est le plus ancien, la Polestar 2. Une rivale directe de la Tesla Model 3 que vous avez peut-être déjà croisée sur nos routes car de nombreux exemplaires venant de Belgique ou des Pays-Bas y circulent. À cela s'ajoutent deux grands SUV, le Polestar 3 qui est étroitement dérivé du Volvo EX90 et le Polestar 4 qui est le pendant coupé du 3 et le plus proche concurrent du futur DS N°8.
Si la première a toutes ses chances sur notre sol avec des dimensions raisonnables et des prix calqués sur ceux de la Model 3, les deux autres ne feront pas de vagues avec leur encombrement et leurs tarifs.
Jusqu'au bout ce Dakar 2025 va nous tenir en haleine pour connaitre le vainqueur. Alors qu'il ne reste qu'une seule étape, Yazeed Al Rajhi a repris la tête du classement général devant Henk Lategan. Nasser Al-Attiyah (Dacia) ne peut désormais plus jouer la gagne mais uniquement le podium.
Au terme de la 11e étape, une boucle autour de Shubaytah avec 275 km de spéciale, c'est Yazeed Al Rajhi qui réalise la bonne opération. Le Saoudien du team Overdrive a terminé 3e de l'étape derrière Mattias Ekstrom et Nasser Al-Attiyah. Il a surtout profité des 10min23 cédées par Lategan sur la tête pour récupérer la première place. Al Rajhi n'ayant cédé qu'une minute 45. Au classement général, Al Rajhi compte 6 min 11 d'avance sur Lategan. Ce devrait être suffisant pour remporter ce Dakar 2025 vendredi, toujours à Shubaytah. En effet, la spéciale ne fait que 61 km. Il faudrait un sacré coup du sort pour que la victoire lui échappe. Mais on n'est pas à l'abri d'une crevaison ou un incident du genre.
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Nasser Al-Attiyah ne peut espérer mieux que la 3e place
Autre duel à suivre vendredi, celui pour la 3e place entre Mattias Ekstrom et Nasser Al-Attiyah. L'avantage revient à l'équipage du Ford Raptor. Il compte un peu plus de trois minutes d'avance sur celui du Dacia Sandriders. Et l'étape de vendredi est courte. En revanche, le duo Français Serradori - Minaudier ne pourra sans doute pas intégrer le Top 10. Il compte plus de 10 minutes de retard sur la 5e place. Mais cela tout de même un superbe résultat.
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Le classement général du Dakar 2025 après la 11e étape
L'Opel Corsa électrique ne connaît sans doute la carrière qu'elle espérait. En France en tout cas où la citadine électrique s'est vue largement distancée par ses rivales en 2024. Pour se rendre davantage visible aux yeux du grand public, le constructeur allemand lance une offre spéciale de Location avec Option d'Achat dont voici les détails.
Sur l'ensemble de l'année 2024, l'Opel Corsa électrique ne s'est vendue qu'à 5529 exemplaires. C'est peu en comparaison de ses rivales : la Peugeot e-208 s'est écoulée à 23 602 unités d'après les chiffres d'AAA Data, comptez plus de 15 000 exemplaires pour la Fiat 500 électriques. Même la Twingo électrique, pourtant en fin de carrière avant l'arrivée d'une toute nouvelle génération en 2026, s'est mieux vendue : 11 299 exemplaires.
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La Corsa électrique dépassée en trois mois par la Renault 5 électrique
Et les rivales arrivées plus tard dans l'année ont fait mieux. La Citroën ë-C3 a séduit 8252 acheteurs, presque 10 000 pour la Renault 5 électrique. Opel se devait donc de réagir. Et le constructeur choisit le milieu de ce mois de janvier pour communiquer autour d'une offre pour sa citadine électrique.
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La LOA passe à 149€ par mois
À l'inverse de beaucoup de ses concurrents, Opel ne fait pas de Location Longue Durée pour ses voitures électriques. Elle pratique la Location avec Option d'Achat. Le principe est quasiment le même. À savoir que vous louez la Corsa pendant une période de trois ans avec la possibilité au terme du bail d'acheter le véhicule. Jusqu'à présent, le loyer mensuel était fixé à 196,54€ par mois pendant 36 mois en échange de 10 000 km par an. À cela, il fallait ajouter un apport de 2996€. Le montant dépensé au terme de la location s'élevait à 13 671,44€.
Presque 3000€ d'écart
Jusqu'au 31 janvier prochain, Opel baisse le loyer de la Corsa électrique à 149€ par mois sur des modèles en stock. Le constructeur applique un bonus écologique de 4000€ pour tous ses clients. Y compris ceux ne pouvant pas prétendre au bonus maximum, dépendant des revenus. En revanche, le montant du premier apport passe à 5500€. Le montant total au terme de la location s'élève désormais à 10 864€. L'information n'est pas mentionnée dans le communiqué mais nous supposons que le nombre de kilomètres annuel reste identique, 10 000. Naturellement, ces montants ne prennent pas en compte le coût de l'assurance auto ni celui de la recharge.
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Avant-dernière étape de ce Dakar 2025. Chez les autos, c'est une Ford qui gagne devant le Dacia Sandriders de Nasser Al-Attiyah alors que Yazeed Al Rajhi a repris plusieurs minutes sur Henk Lategan pour la tête du classement général.
La 11e étape du Dakar 2025 emmenait les pilotes dans une boucle autour de la ville de Shubaytah. Ils avaient 232 km à faire pour 275 km de spéciale. Et au terme de celle-ci, c'est l'équipage Ford M-Sport Ekstrom - Bergkvist qui l'a emporté avec une courte avance sur Nasser Al-Attiyah et Édouard Boulanger (Dacia).
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Le leader perd de précieuses minutes
Le leader du classement général, Henk Lategan, a laissé quelques plumes dans cette étape. Il finit à 10 min 23. Sauf que son dauphin avant le départ de l'étape, Yazeed Al Rajhi, a fini à 1 min 45 du Ford Raptor. Ce qui lui permet de reprendre la tête du classement général à la veille du final de vendredi. Côté français, le duo Serradori - Minaudier réalise encore une très belle étape. Il finit 8e à 13 min 09 de la tête.
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Le classement de la 11e étape
Si la marque bavaroise s'en sort mieux que ses concurrents allemands, BMW n'avait finalement que peu de nouveautés à mettre en avant au salon automobile bruxellois. Une exception tout de même, le restylage de la Série 2 Gran Coupé. Portrait.
2024 aura été une année difficile pour les constructeurs premium allemands. Sur un marché difficile, BMW aura toutefois tiré son épingle du jeu. Si les ventes sont en recul de 2,3 % dans le monde, la marque à l'Hélice aura fait mieux qu'Audi et Mercedes. Et les résultats sont dans le vert en Europe et en France. Malgré un fort dynamisme dans cette zone, l'actualité est finalement assez calme. Cela s'est ressenti au Brussels Motor Show où la seule véritable nouveauté exposée était la Série 2 Gran Coupé restylée.
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De grands changements
Si ce modèle découvert en octobre dernier a boudé le Mondial de l'Auto de Paris, il a fait le déplacement chez nos amis belges. Et à l'instar de la Série 1, les changements sont suffisamment profonds pour qu'on puisse presque parler d'une toute nouvelle génération.
Plus encore que la partie avant entièrement revue pour un résultat évoquant selon de nombreuses personnes la concurrence coréenne (la Kia Ceed en tout premier lieu), le plus intéressant est la refonte de la poupe redessinée afin de séduire le plus grand nombre avec un dessin moins torturé.
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À l'intérieur, une planche de bord métamorphosée
On passe à l'intérieur où on découvre un environnement revu de A à Z s'inspirant des dernières productions de la marque (iX, Série 5, etc.). Exit les commandes physiques ou presque, la plupart des fonctions essentielles se commandent désormais depuis l'écran tactile central ne formant qu'un avec l'instrumentation numérique. Cette Série 2 Gran Coupé reprend le principe du double écran incurvé à présent largement répandu dans la gamme.
La marque allemande est sur le point de lancer un ID. Buzz plus accessible. Mais que sait-on à son sujet ?
Pas facile de se faire un nom quand on est un van 100 % électrique. Pour autant, sans être particulièrement répandu sur nos routes, le Volkswagen ID. Buzz ne démérite pas. La preuve, il s'en est vendu 738 exemplaires en 2024. Ce n'est pas énorme mais c'est déjà mieux que les plus petits et de fait plus accessibles Peugeot e-Rifter et Citroën ë-Berlingo (635 exemplaires pour le premier, 399 pour le second). Son look néo-rétro n'est sans doute pas étranger à ce petit succès. Pour continuer sur cette lancée, il pourra bientôt compter sur une variante d'entrée de gamme plus attractive en prix.
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Déjà éligible au bonus écologique
Proposé pour le moment à partir de 52â¯850 € en finition Pro avec un moteur de 286 ch et une batterie de 79 kWh pour 458 km d'autonomie, il n'est en effet pas franchement donné. Mais Volkswagen a promis en fin d'année dernière une variante sous les 47 000 €. Cette finition Pure apparaît déjà dans le dernier arrêté mettant à jour la liste des modèles éligibles au bonus écologique.
Cela signifie qu'il démarre effectivement sous les 47 000 €, une des conditions sine qua non pour bénéficier de cette aide de l'État allant de 2000 à 4000€, selon vos revenus.
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À quoi s'attendre pour cet ID. Buzz de base ?
Évidemment, il ne faut pas s'attendre à monts et merveilles pour cette nouvelle addition. Un petit détour sur le configurateur de nos amis allemands permet de savoir ce qu'il promet. C'est un moteur de 125 kW (environ 170 ch) qui anime les roues arrière. Les performances sont donc faibles. La vitesse de 145 km/h nous ramène au Combi originel. Le 0 à 100 km/h effectué en 10,7 s est déjà plus acceptable.
Puissance et autonomie
Surtout, la batterie fait un petit 59 kWh, acceptable sur un SUV urbain, moins sur un van de 4,71 m et pesant 2,4 tonnes. Cela donne ainsi 330 km d'autonomie en cycle mixte. Par contre, bonne nouvelle, la puissance de charge en DC reste tout à fait correcte avec 165 kW ce qui, avec une petite batterie, fait qu'on récupère de 10 % à 80 % en 24 minutes.
Et si on s'attend à un équipement plus léger et une présentation plutôt sobre, n'oublions pas qu'il est possible de dépasser le plafond de 47 000 € en optant pour quelques suppléments comme une livrée bicolore qui le met en valeur. Ceci tout en profitant toujours du bonus.
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Charles Leclerc a repris le chemin de l'entraînement après une indispensable période de repos en décembre. Le pilote monégasque a partagé des images de son entraînement sur ses réseaux sociaux.
L'année 2025 s'annonce décisive dans la carrière de Charles Leclerc au sein de la Scuderia Ferrari. C'est en effet cette année qu'il partagera la vedette avec Lewis Hamilton, septuple champion du monde. Ce transfert est d'ailleurs l'un voire le transfert le plus retentissant de l'histoire du sport. La Scuderia Ferrari est l'écurie la plus mythique et la plus populaire du monde tandis que Sir Lewis Hamilton est l'un voire le plus grand pilote de l'histoire. Le mariage idéal pour que les deux retrouvent le chemin d'un titre mondial. L'écurie italienne n'a plus rien gagné depuis 2008 alors que l'ancien pilote Mercedes attend de pouvoir lutter pour le titre mondial depuis 2021.
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Du fond et de la fonte
Kia entend - on l'imagine - faire mieux l'année prochaine qu'en 2024. Son programme de nouveautés devrait en cela l'aider.
À l'image de son cousin Hyundai, le constructeur coréen Kia a vu d'un mauvais œil les changements réglementaires concernant le bonus écologique. Avec ses véhicules électriques produits à l'autre bout du monde et n'étant pour cette raison (mais pas que) plus éligibles à ce coup de pouce, ses ventes en ont pris un coup. D'ailleurs, si Hyundai a pu compter sur ses modèles thermiques pour sauver son épingle du jeu avec +13,71 % en 2024, Kia non. Ses ventes ont baissé de 2,65 %.
Heureusement, entre le lancement tout récent du SUV électrique EV3 qui met en avant un excellent rapport prix/prestations et les nombreuses nouveautés à venir, les choses devraient évoluer favorablement en 2025. Panorama des véhicules qui débarqueront dans les prochains mois.
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Un restylage pour l'EV6…
Pas encore proposée chez nous, la Corvette électrifiée devrait être commercialisée sous peu. La preuve, elle a pris un bain de foule lors de la 101e édition du salon de Bruxelles.
Nous vous en avions parlé début 2023, la Corvette hybride - E-Ray de son doux nom - était théoriquement prévue pour 2024. Enfin oui, mais aux Etats-Unis seulement. Il aura fallu faire preuve de patience pour les habitants du continent européen. Alors, si aucune date n'est annoncée pour le moment, sa présence pour la toute première fois sur le Vieux Continent au Brussels Motor Show qui a ouvert ses portes la semaine dernière en Belgique montre que la commercialisation approche à grands pas en France.
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Double révolution pour cette Corvette
La C8 est définitivement une Corvette pas comme les autres. Non contente d'avoir décidé de placer son moteur en position centrale arrière, elle a également opté pour la première fois de son histoire pour une motorisation électrifiée. Et pour enfoncer le clou, elle fait passer la puissance de ses moteurs essence et électrique aux quatre roues. Là aussi, c'est inédit.
La partie thermique est toujours assurée par le V8 6.2 de la Corvette de base développant 502 chevaux et 637 Nm de couple et propulsant les roues arrière. À cela s'ajoute un moteur électrique de 162 chevaux et 170 Nm de couple placé sur l'essieu avant. Malgré une puissance cumulée inférieure à la Z06 (654 ch et pas 670 ch), elle fait un tout petit mieux sur l'exercice du 0 à 60 mph (96 km/h) : 2,5 s, 0,1 s de moins. La batterie d'une capacité faible de 1,9 kWh ne peut pas hélas faire de miracles, elle ne peut rouler en mode zéro émission que sur une distance de 3 à 4 miles (de 5 à 8 km) à une vitesse maximale de 45 mph (environ 72 km/h).
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Bien plus chère que la C8 “de base”
N'en déplaise aux puristes, cette C8 a tout d'une Corvette sur le plan du style avec une partie avant reconnaissable entre mille, et des lignes musculeuses à souhait, typiques de la sportive américaine. Dans sa définition affichée au salon bruxellois, elle se fait pourtant presque discrète avec une livrée noire intégrale (intérieur et extérieur) que seuls quelques détails jaune électrique (étriers de freins, surpiqûres et ceintures de sécurité) viennent pimenter quelque peu.
150 000€ en France, sans compter le malus écologique
Nous sommes toujours en attente des tarifs. Logiquement, elle sera bien plus chère que le modèle V8. Aux Etats-Unis, la différence s'élève à plus de 30 000 $. En France, la barre des 150 000 € pourrait être atteinte voire largement dépassée. Et avec cette hybridation relativement légère et de facto des émissions de CO2 élevées (289 g/km de CO2 selon la fiche technique belge), elle ne pourra pas échapper au supermalus de 60 000 €… plus si attractive que ça la Corvette avec le temps !
Aussi surprenant que cela puisse paraître, cela faisait une éternité que le Brésil n'avait pas eue de pilote titulaire en Formule 1. Cette anomalie sera réparée en 2025 avec l'arrivée de Gabriel Bortoleto chez Sauber. L'occasion de s'intéresser au salaire que va lui verser l'écurie germano-suisse cette saison.
Gabriel Bortoleto arrive avec en F1 avec une flatteuse réputation. En plus d'être champion du monde de Formule 2 en 2024, un titre acquis après une bataille face à Isack Hadjar, il est managé par Fernando Alonso au travers de son agence A14 fondée en 2022. Et puis Bortoleto est passé par l'académie McLaren. Sauf que l'écurie britannique n'avait pas de volant à proposer au Brésilien à court terme. Il faut dire qu'elle n'avait pas de raison de se séparer de ses pilotes. Lando Norris a bataillé pour le titre l'année dernière et Oscar Piastri a gagné ses premières courses lors de cette même saison. À eux deux, ils ont rapporté le titre constructeurs à l'écurie. Une première depuis 1998 !
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Un des salaires les plus faibles de la Formule 1 en 2025
Si Stéphane Peterhansel est absent du Dakar, une première depuis 1994, sa légende continue de résonner bien au-delà du bivouac. La maison Bonhams mettra en vente la voiture avec laquelle il a gagné son dernier Dakar. Ce sera lors d'une vente organisée pendant la tenue de l'édition 2025 de Rétromobile.
Bonhams a choisi un lieu prestigieux pour sa vente aux enchères parisiennes : le Grand Palais. Une vente qui aura lieu le 6 février prochain à partir de midi où 142 lots seront proposés. Et parmi ceux-ci, les amateurs de sports mécaniques auront l'occasion de s'offrir la dernière voiture avec laquelle Stéphane Peterhansel, alias Monsieur Dakar, a remporté l'épreuve. C'était en 2021 au volant d'un buggy Mini John Cooper Works. Un véhicule fabriqué en 2017 équipé d'un moteur BMW de 367 chevaux pour 800 Nm de couple.
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Trois participations, un podium, une victoire
La première participation du buggy remonte à 2018 avec Mirko Hirvonen comme pilote et une 19e place au classement général du Dakar. Il revient sur l'épreuve reine du rallye-raid en 2020 avec Stéphane Peterhansel comme pilote et Paulo Fiuza comme copilote. Le duo monte sur la 3e marche du podium. L'année suivante, Stéphane Peterhansel fait équipe avec Édouard Boulanger comme copilote. C'est cette année-là qu'il remporte son dernier Dakar devant Nasser Al-Attiyah et Carlos Sainz. Un succès avec la manière puisque le duo a mené le classement général dès la 2e étape.
Il peut encore rouler en rallye-raid
Ce buggy Mini est à vendre avec son passeport FIA. Ce qui signifie qu'il peut participer à des rallyes-raids. Il dispose également d'une carte grise allemande. Cette vente est surtout l'occasion pour un collectionneur d'acquérir un véhicule qui a participé à l'histoire du pilote le plus titré sur le Dakar avec 14 succès. Le prix du buggy est estimé entre 200 000 et 400 000€.
Crédits photos : A.S.O./A.Vincent/DPPI - Bonhams.
La nouvelle motorisation avec range extender du grand SUV Leapmotor sera bien lancée en France. La marque chinoise du groupe Stellantis s'est faite un peu plus bavarde à son sujet au Brussels Motor Show.
Leapmotor ne vous dit peut-être pas grand-chose mais cette marque venant de l'Empire du milieu rattachée récemment à Stellantis a de grandes ambitions. Pour séduire, elle peut compter sur un combo intéressant, à savoir allier des tarifs typiquement chinois (comprenez par là attractifs) à la force du réseau du géant automobile. Mine de rien, il existe déjà 110 points de vente à travers toute la France. Pas mal du tout pour un déploiement courant septembre 2024 !
Seul petit bémol, les choses ont plutôt mal démarré avec une non-éligibilité au bonus pour sa citadine T03 concurrente de la Dacia Spring. Et ce n'est pas le SUV familial C10 qui, malgré un tarif de base ultra-attractif de 34 900 € au lancement, allait pouvoir changer la donne avec une autonomie franchement trop juste (420 km) pour un si grand gabarit (4,74 m) amené à abattre des kilomètres.
Heureusement, et comme prévu, il dispose désormais d'une nouvelle variante électrique à prolongateur d'autonomie dont les détails ont été partagés au Brussels Motor Show.
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Charge rapide
Pour rappel, le C10 REEV - c'est son nom - peut compter sur un moteur électrique de 158 kW (215 ch) et 320 Nm de couple qui entraîne les roues et peut être alimenté au choix par une batterie d'une capacité de 28,4 kWh ou un moteur 1.5 essence dont l'unique fonction est de fournir de l'énergie au moteur électrique.
Les performances sont correctes avec un 0 à 100 km/h effectué en 7,5 s. Mais ce qu'il y a de plus rapide sur ce modèle hybride rechargeable, c'est la charge avec 65 kW en pic. Ce qui permet de récupérer de 30 % à 80 % de sa capacité en 18 min. En mode 100 % électrique, il est capable de rouler près de 150 km. En combiné, cela donne environ 950 km d'autonomie selon la marque. De quoi envisager les longs trajets sans le moindre problème.
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Un prix presque cadeau
Le plus intéressant dans cette histoire, ce sont ses tarifs. Car Leapmotor a annoncé un ticket d'entrée à 37 400 € en France. On suppose que c'est en version Style déjà très convenablement équipé avec clim' auto bizone, sièges avant électriques, caméra 360°, HiFi surround à 12 haut-parleurs, toit panoramique, jantes de 18” ou encore instrumentation numérique 10,25” et écran tactile central de 14,6”.
Sur le papier, ce C10 REEV a de quoi bousculer la catégorie. À titre de comparaison, un Citroën C5 Aircross pourtant connu pour ses tarifs attractifs et en toute fin de carrière démarre à 46 150 € avec une puissance assez similaire (225 ch) mais une autonomie de seulement 65 km en mode 100 % électrique. Très sincèrement, on ne voit qu'un seul véhicule capable de rivaliser avec le C10, le MG EHS disponible dès 37 990 € avec plus de puissance (272 ch) mais moins efficace en mode zéro émission (100 km d'autonomie en électrique). Un comparatif s'impose entre les deux !
Comme la DB12 lancée en 2023 qui est un profond recarrossage de la DB11, l'Aston Martin Vantage a bénéficié d'un restylage si profond en début d'année dernière qu'on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une toute nouvelle mouture. Bonne nouvelle pour les amateurs de conduite cheveux au vent, la Vantage Roadster débarque enfin !
Chez Aston Martin, le mot restylage semble être un gros mot. Pourtant, force est de constater que si les DB12 et Vantage commercialisées respectivement en 2023 et 2024 ne sont que de simples évolutions de leurs devancières, les modifications apportées par la firme de Gaydon montrent clairement que cette dernière ne s'est pas reposée sur ses lauriers. La preuve une fois de plus avec la Vantage Roadster cru 2025.
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On garde le meilleur
Le final de ce Dakar 2025 s'annonce plein de suspens alors qu'il ne reste plus que deux étapes. La victoire devrait se jouer entre Henk Lategan et Yazeed Al Rajhi alors que Nasser Al-Attiyah ne peut plus jouer que la 3e place au classement général. On fait le point sur le classement général au terme de la 10e étape.
Nasser Al-Attiyah a probablement gâché la seule occasion qu'il avait de reprendre du temps sur ses rivaux dans ce Dakar 2025. En raison d'une erreur de navigation de son copilote, Édouard Boulanger, le pilote Dacia a perdu beaucoup de temps dès le départ de la spéciale de cette étape reliant Haradh à Shubayah. Résultat, il finit 61e de l'étape à 21 minutes 29 du vainqueur du jour, Nani Roma. Mais surtout, il concède encore du temps sur Yazeed Al Rajhi, Henk Lategan et Mattias Ekström.
Voir aussi - le classement de la 10e étape du Dakar 2025
Nouveau changement de leader dans ce Dakar 2025
Au terme de cette journée, le leader du Dakar change encore une fois. Henk Lategan reprend sa 1ère place. Il devance Yazeed Al Rajhi de 2 min 27. Autant dire que l'écart est minime à deux étapes du terme. Mattias Ekström est 3e à 26 min 46 alors que Nasser Al-Attiyah est 4e à 30 min 21. Il faudrait que le quintuple vainqueur du Dakar sorte une énorme étape jeudi pour espérer gagner vendredi. Il paraît plus vraisemblable qu'il se contentera de la 3e place du général.
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Un équipage français peut viser le Top 5
Toujours au classement général, l'équipage français de Century Racing Serradori - Minaudier peut toujours viser un Top 5 vendredi. Ils sont actuellement 6e du classement général à 59 min 41 du leader. Mais il n'y a qu'un peu plus de cinq minutes sur les 5e du classement général, Guthrie - Walch.
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Le classement général du Dakar 2025 après la 10e étape
H.Lategan - B.Cummings | Toyota Gazoo Racing
Y.Al Rajhi - T.Gottschalk | Overdrive Racing +2min27
M.Ekström - E.Bergkvist | Ford M-Sport +26min46
N.Al-Attiyah - E.Boulanger | Dacia Sandriders +30min21
M.Guthrie - K.Walch | Ford M-Sport +54min05
M.Serradori - L.Minaudier | Century Racing Factory Team +59min41
J.Yacopini - D.Oliveiras | Overdrive Racing +1h33min30
S.Quintero - D.Zenz |Toyota Gazoo Racing +1h36min45
J.Ferreira - F.Palmeiro | X-Raid Mini JCW Team +2h08min35
B.Baragwanath - L.Cremer | Century Racing Factory Team +2h17min06
M.Prokop - V.Chytka | X-Raid Mini JCW Team +2h48min17
U.Männama - R.Lepik | Overdrive Racing +3h25min57
R.Baciuska - O.Mena | Overdrive Racing +3h32min37
N.Cavigliasso - V.Pertegarini | Team BBR +4h24min12
G.Guerreiro - C.sachs | Red Bull Off Road Jr Team +4h50min12
L.Moraes - A.Monleon | Toyota Gazoo Racing +4h56min19
M.Macik - F.Tomasek - D.Svanda | MM Technology +5h09min26
B.Heger - M.Eddy | Sébastien Loeb Racing +5h55min34
M.Gastaldi - A.Metge | Century Racing +5h55min41
P.Lachaume - C.Crespo | MD Rallye Sport +6h00min08
Crédit photo : A.S.O./A.Vincent/DPPI.
Cette 10e étape du Dakar 2025 nous a réservé pas mal de surprises chez les favoris. Aucun des quatre premiers n'a fini dans le Top 20. La victoire est revenu à l'Espagnol Nani Roma sur son Ford Raptor.
On attendait beaucoup de Nasser Al-Attiyah sur cette 10e étape du Dakar 2025 menant les pilotes de Haradh à Shubayah. Une étape où la partie chronométrée était extrêmement courte avec seulement 120 km. Une étape remportée par l'Espagnol Nani Roma pour le compte de Ford M-Sport devant Lucas Moraes et la pilote saoudienne Dania Akeel.
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Erreur de navigation pour Nasser Al-Attiyah
Les favoris sont très loin au classement de cette étape. Le leader Yazeed Al Rajhi finit 57e à 18 min 56, son dauphin, Henk Lategan, est 24e à 9 min 20. Une performance qui lui permet de reprendre la tête du classement général. Le 3e du classement général, Mattias Ekström, est 52e à 18 min 25. La déception du jour nous vient de Nasser Al-Attiyah. Le pilote Dacia a payé cher une erreur de navigation de son copilote, Édouard Boulanger en début de spéciale. Une erreur qui lui coûte cher. Ils finissent à la 61e place à 21 min 29 de la tête. Ils cèdent donc 3 minutes sur le 3e avant l'avant-dernière étape de jeudi.
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Le classement de la 10e étape du Dakar 2025
N.Roma - A.Haro | Ford M-Sport
L.Moraes - A.Monleon | Toyota Gazoo Racing +18 secondes
D.Akeel - S.Duple | Team BBR +1min40
B.Baragwanath - L.Cremer | Century Racing Factory Team +2min21
F.Lopez Contardo - J.Latrach |Can-Am Factory Team +4min11
J.Gonzalez Ferioli - P.Rinaldi |Can-Am Factory Team +4min36
P.Navarro - L.Sisterna Herrera - Team BBR +4min44
D.Schroder - H.Kohne | Team BBR +5min11
J.Yacopini - D.Oliveiras | Overdrive Racing +5min18
S.Price - S.Berriman | Can-Am Factory Team +5min36
B.Heger - M.Eddy | Sébastien Loeb Racing +5min37
X. De Soultrait - M.Bonnet | Sébastien Loeb Racing +5min37
C.Gutierrez - P.Moreno | Dacia Sandriders +5min45
F.Vayssade - N.Rey | Sébastien Loeb Racing +6 minutes
A.Pinto - B.Oliveira | Old Friends Rally Team +6min27
D.Krotov - K.Zhiltsov | Toyota Gazoo Racing +6min36
S.Quintero - D.Zenz | Toyota Gazoo Racing + 7min07
G.Guerreiro - C.Sachs | Red Bull Off-Road +7min28
O.Ral - X.Blanco | Buggy Master Team +7min29
C.Levearton - T.Perry | Red Bull Off-Road +7min45
Y.Al Rajhi - T.Gottschalk | Overdrive Racing 57e à 18min56
H.Lategan - B.Cummings | Toyota Gazoo Racing 24e à 9min20
M.Ekström - E.Bergkvist | Ford M-Sport 52e à 18min25
N.Al-Attiyah - E.Boulanger | Dacia Sandriders 61e à 21min29
Les infos de la 10e étape du Dakar 2025
L'étape de jeudi, l'avant-dernière de ce Dakar 2025, est une boucle autour de Shubaytah avec 275 km de spéciale pour 232 km de liaison. Vu le faible écart au classement général entre Henk Lategan et Yazeed Al-Rajhi, le suspens devrait durer jusqu'à vendredi pour la victoire finale.
Le Dacia Bigster est déjà annoncé comme un succès commercial pour le constructeur du groupe Renault. Et cela même s'il est le modèle le plus cher de la gamme Dacia en 2025 et que certaines de ces versions sont soumises au malus écologique.
Le Dacia Bigster est la grosse sortie de l'année pour le constructeur roumain. Bien qu'il soit disponible en version hybride, ses motorisations essence TCe sont soumises au malus écologique. Et il peut faire mal. Dans sa version maximale, celui-ci peut atteindre les 740€ ! Notez qu'actuellement les versions GPL ne sont pas disponibles sur le site du constructeur. On ne peut configurer que les versions essence à hybridation simple et hybridation légère. Ce sont d'ailleurs ces dernières qui sont concernées par le malus écologique. La bonne nouvelle, si on peut la considérer comme telle, c'est que pour 2025 c'est le barème 2024 qui s'applique suite à la censure du gouvernement Barnier en décembre dernier.
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Les détails du malus écologique sur le Dacia Bigster en 2025
En se basant sur les informations du configurateur, voici ce que les futurs acheteurs du Dacia Bigster devront payer en 2025.
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Sur la motorisation TCe 140 hybridation légère
122g de CO2 / km pour la finition Essentiel
150€ de malus écologique
123g de CO2 / km pour la finition Journey
170€ de malus écologique
124g de CO2 / km pour la finition Extrême
190€ de malus écologique
Sur la motorisation TCe 130 4x4 à hybridation légère
134g de CO2 / km pour la finition Expression
450€ de malus écologique
137g de CO2 / km pour la finition Extreme
740€ de malus écologique
Rappelons que le malus écologique doit être payé au moment de l'immatriculation, une seule fois.
La plus petite des GT Aston Martin est passée par la case restylage en début d'année dernière. Hélas, pour les amateurs de conduite cheveux au vent, il fallait toujours se contenter des caractéristiques de l'ancienne mouture pour la version cabriolet… jusqu'à aujourd'hui, ouf !
Il aura donc fallu près d'un an pour que l'Aston Martin Vantage Roadster, la variante découvrable du modèle le plus “raisonnable” de la gamme, profite des mêmes évolutions stylistiques et techniques que le coupé. Présentation en images du cru 2025.
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DB12 en réduction
Le coupé Vantage avait été revu en profondeur, la version Roadster en fait de même. Sa calandre s'agrandit nettement et les optiques suivent le même chemin. Le tout lui donnant de faux airs de DB12. Avec un capot plus nervuré que par le passé, elle se fait plus méchante.
Les évolutions sont un peu moins marquées de profil et à l'arrière où on retrouve le bandeau lumineux courant de part et d'autre du coffre au tracé non linéaire. Même le bouclier arrière est repris tel quel avec toujours deux doubles sorties d'échappement on ne peut plus suggestives. La personnalisation monte d'un cran avec trois nouvelles teintes, ce qui porte le total à 21. Et c'est sans compter sur les cinq couleurs de capote proposées par Aston Martin.
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Un intérieur repensé
Logiquement, à la manière de la DB12 et comme la Vantage “tout court” avant elle, cette Vantage Roadster revoit de fond en comble son habitacle et fait un bond en avant vers la modernité avec un écran tactile de 10,25” placé non plus en surplomb de la planche de bord mais au centre de la console centrale. Au-dessus, on trouve les aérateurs, et en dessous les multiples commandes depuis lesquelles on peut contrôler le véhicule. Aston Martin a conservé de nombreux boutons physiques au bénéfice de l'ergonomie et on ne va pas s'en plaindre.
Nous reviendrons dans un prochain article sur la partie technique, laquelle évolue en profondeur également sur cette Vantage Roadster 2025.
Jusqu'à sa disqualification mardi soir dernier, Sébastien Loeb était l'incontestable star de ce Dakar 2025 qui prend fin vendredi. Mais que les fans du nonuple champion du monde des rallyes WRC se rassurent, ils reverront le pilote français au volant du Dacia Sandriders cette année. Explications.
En effet, Sébastien Loeb est engagé avec Dacia pour disputer le championnat du monde des rallyes-raid W2RC pour cette saison 2025 mais également pour la saison 2026. Un championnat qui compte 5 étapes. En plus de la manche d'ouverture que constitue le Dakar en Arabie saoudite, il y a une étape à Abu Dhabi, une en Afrique du Sud, une au Portugal et la dernière au Maroc.
Le calendrier 2025 du championnat W2RC
Dakar 2025 - du 3 au 17 janvier 2025
Abu Dhabi Desert Challenge - du 21 au 27 février 2025
South Africa Safary Rally - du 18 au 24 mai 2025
Rallye-raid du Portugal - du 22 au 28 septembre 2025
Rallye du Maroc - du 10 au 17 octobre 2025
Rendez-vous est donc pris fin février prochain au Moyen Orient pour l'Abu Dhabi Desert Challenge. Un rallye créé en 1991 par l'actuel président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem. Cette manche est considérée comme la plus technique du championnat. À voir si Sébastien Loeb pourra performer afin de récupérer des points pour le championnat du monde qui est également un de ses objectifs de la saison.
Encore deux Dakar pour Sébastien Loeb avec Dacia
Si on ne sait pas pendant combien de temps Sébastien Loeb disputera le Dakar, nous savons qu'il disputera au moins les deux prochaines éditions. À savoir le Dakar 2026 et le Dakar 2027. Ce sera forcément avec Dacia puisqu'il est engagé avec le constructeur jusqu'en janvier 2027. Pour la suite, c'est évidemment encore trop tôt pour le dire. Mais nul doute que le pilote français aura des opportunités pour participer à l'épreuve autant qu'il le souhaite. Son aura est tel que c'est forcément une bonne affaire pour n'importe quel constructeur. Et puis, Sébastien Loeb est encore jeune (50 ans). Un pilote comme Carlos Sainz, quadruple vainqueur de l'épreuve, a plus de 60 ans et a remporté l'édition 2024. L'âge n'est donc pas un frein.
Crédit photo : Dacia.
Hyundai mène une opération commerciale en ce mois de janvier 2025 sur son nouveau petit SUV électrique 5 places, l'Inster. Une offre qui concerne la Location Longue Durée (LLD) dont voici les détails.
En déclinant en version 5 places son Hyundai Inster, le constructeur sud-coréen permet à son SUV électrique d'être éligible au bonus écologique. Pour rappel, celui-ci est de 2000€ minimum et peut grimper à 4000€ en fonction de vos revenus. En achat comptant, le prix de la voiture électrique est fixé à 25 000€, hors bonus. En LLD, les prix débutent à 129€ pour le loyer standard.
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Les détails de la LLD du Hyundai Inster
Jusqu'au 31 janvier, le Hyundai Inster est disponible en Location Longue Durée. La location en question s'étale sur 37 mois et 30 000 km. Si le kilométrage est dépassé, celui-ci vous est facturé en plus à la fin du bail. Comme le veut l'usage, le premier loyer est majoré. Il vous faudra débourser 7400€, hors bonus. Avec bonus, le premier loyer va de 3700€ à 5400€. Là encore, cela dépend de votre revenu fiscal de référence. Puis vous devrez verser 129€ par mois pendant 36 mois. La somme totale versée hors bonus écologique revient à 12 144€. 10 144€ en prenant en compte le bonus minimum de 2000€.
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1er loyer
Loyer pendant 36 mois
Total de la LLD
7400€
129€
12 144€
Le Hyundai Inster 5 places en LLD en finition Creative
Hyundai étend cette offre de LLD à la finition supérieure de l'Inster, Creative. Si le montant du premier loyer ne change pas (7400€ hors bonus), le prix des 36 autres loyers passe à 209€. Ce qui au final revient à 14 924€ sans le moindre bonus, 12 924€ en prenant en compte le bonus minimum de 2000€.
1er loyer
Loyer pendant 36 mois
Total de la LLD
7400€
209€
14 924€
Rappelons qu'il s'agit ici du prix de la voiture. Cela ne comprend pas le prix de la recharge ou celui de l'assurance.
C'est donc officiel, l'Atto 2 va débarquer chez nous. Cela a été confirmé au salon automobile bruxellois où le SUV a fait sa première apparition publique européenne.
Nous en parlions justement il y a quelques jours. Nous étions convaincus que le plus petit des modèles BYD allait faire son entrée sur le marché français, il n'y a désormais plus aucun doute. Découverte en images.
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Comme l'Atto 2 chinois
Par rapport au modèle chinois présenté l'année dernière, rien ne change sur cet Atto 2 européen qui devrait être produit en Hongrie et donc potentiellement éligible au bonus. Il a exactement les mêmes dimensions (4,31 m de long, 1,83 m de large et 1,68 m de haut). Ce qui fait de lui le deuxième plus petit modèle de la gamme BYD après la Dolphin qui peine à rencontrer le succès et un concurrent des Citroën ë-C3 Aircross, le Peugeot e-2008 ou le Toyota Urban Cruiser.
Peu original mais conforme à ce que l'on attend d'un SUV
Pourra-t-il faire mieux que la Dolphin ? Avec ses attributs de SUV, il a ses chances, même si ses lignes sont très sobres, dans la lignée du plus grand Atto 3. Comme seules traces d'originalité, on a des feux arrière dont la signature lumineuse évoque selon le constructeur l'anneau de Möbius ou des protections sur les flancs du véhicule pas entièrement en plastique.
La présentation intérieure est à l'image des lignes extérieures, sans fioritures. Pas d'excentricité comme sur un Atto 3. Seul élément sortant du lot, la commande de transmission imitant un cristal. Nous reviendrons dans un prochain article plus en détail sur les caractéristiques de cet Atto 2.
Le Dakar 2025 touche à sa fin. Il ne reste plus que trois étapes avant de connaitre l'identité du vainqueur de cette 47e édition. Et l'étape de ce mercredi, bien que très courte, est décisive en vue de la victoire finale. On vous dit tout pour pouvoir la suivre en direct à la télévision.
Cette 9e étape emmènera les pilotes de Haradh à Shubayah. Une étape de 638 km mais ne proposant que 120 km de spéciale, à savoir la partie chronométrée comptant pour le classement général. Et on nous promet une belle bataille entre le leader Yazeed Al Rajhi et Nasser Al-Attiyah au volant de son Dacia Sandriders.
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La 9e étape du Dakar 2025 à la télévision
Comme vous le savez, sur le Dakar il est impossible de suivre en direct toute la course. Cela demanderait des moyens humains et techniques colossaux. En revanche, depuis le début de cette édition 2025, la chaîne L'Équipe propose un dispositif intéressant qui permet chaque jour de suivre l'arrivée de l'étape et d'obtenir des interviews des pilotes quelques minutes après avoir franchi la lignée d'arrivée. Cela débute à 11h50. Plus tard dans la journée, à 18h10, la chaîne propose l'émission Le journal du Dakar puis le grand résumé de l'étape à 20h05. Sur Eurosport 2, un résumé de l'étape vous est proposé à partir de 21h.
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Crédit photo : A.S.O/C.Lopez.
Même si - comme son nom l'indique - le constructeur Microlino est spécialisé dans les petits véhicules, cela ne l'empêche de voir toujours plus grand. Avec le Spider Concept présenté en avant-première au salon de Bruxelles 2025 cette semaine, il entend carrément partir à l'assaut du continent américain.
Microlino, cette marque venue de Suisse connue pour avoir donné une descendance à l'Isetta (cette micro-voiture en forme d'œuf avec une porte frontale), ne manque aucun salon automobile. Elle était à Paris en octobre dernier en y dévoilant la version de plage Spiaggina. Elle est en ce moment à Bruxelles où a été présenté un concept de Spider. Présentation en images.
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Pour séduire Donald Trump et tous les amateurs de golf ?
S'il ne s'agit pour le moment que d'un showcar, le constructeur entend bien la commercialiser. D'abord en Europe puis pourquoi pas aux États-Unis où elle constituerait selon Microlino la voiture de golf idéale. La réglementation, bien que différente, l'autorise à emprunter les routes sur lesquelles il ne faut pas dépasser les 35 mph (environ 56 km/h), lesquelles représentent la moitié du réseau routier total d'après la marque. Les négociations sont en cours. Pour l'Europe, aucun souci pour un lancement futur.
La quatrième itération de la Microlino
Il s'agirait du quatrième modèle de la gamme après la Microlino originelle allant jusqu'à la vitesse de 90 km/h, la Lite limitée à 45 km/h et pouvant être conduite sans permis dès 14 ans ainsi que la Spiaggina évoquée plus haut.
Pas de toit ni de portes
Principale particularité par rapport à cette dernière, le Spider pousse le concept de la conduite cheveux au vent encore plus loin avec une absence totale de toit et de portes faisant d'elle la seule Microlino dans laquelle on ne rentre pas par l'avant. Pour se protéger du soleil, on pourra opter pour une toile optionnelle. Comme la Spiaggina, elle est dotée d'un arceau de sécurité venant protéger les occupants en cas de retournement du véhicule.
Chic, comme toutes les Microlino, elle fait grand usage du bois. Le volant est fait dans cette matière. On en trouve aussi à l'entrée du véhicule, au niveau des seuils de portes, ainsi que dans le coffre.
Le dernier-né de la marque italienne peut désormais compter sur une variante à quatre roues motrices. Une proposition encore rare sur le segment qui pourrait faire mouche auprès des populations montagnardes. C'est tout le mal qu'on lui souhaite.
Grande nouveauté Alfa Romeo de l'année 2024, le Junior est attendu comme le Messie. Son objectif : porter les ventes du constructeur milanais vers le haut. Pour y parvenir, il met les petits plats dans les grands. Avec plus particulièrement une offre de motorisations assez large qui comprend désormais - chose rare encore dans la catégorie des SUV urbains - une variante à transmission intégrale. Comme prévu, Alfa Romeo a profité du Brussels Motor Show pour lever le voile sur cette version dite Ibrida Q4.
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Comme le Jeep Avenger 4xe
Qu'on se le dise, les caractéristiques de ce Junior Ibrida Q4 ne surprennent pas. Et pour cause puisqu'il reprend à son compte le combo moteur 1.2 essence turbo de 136 chevaux et deux moteurs électriques de 21 kW chacun (57 chevaux) du Jeep Avenger 4xe, premier modèle du groupe Stellantis à avoir étrenné cet ensemble. Le premier moteur électrique est intégré à la transmission automatique à double embrayage à six vitesses, le second est placé sur l'essieu arrière et apporte un surcroît de couple aux roues arrière : jusqu'à 1 900 Nm tout de même.
Les performances à la hauteur
Malgré un poids qu'on imagine logiquement plus élevé, les performances n'en souffrent pas. Vitesse maximale et 0 à 100 km/h sont les mêmes que le modèle Ibrida à deux roues motrices avec 206 km/h en pointe et 8,9 s pour couvrir le second exercice. Consommations et émissions de CO2 sont également maîtrisées : 4,8 l/100 km en moyenne et 109 g/km de CO2, de quoi échapper au malus en France.
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Sans doute pas donné
Non encore officiellement commercialisé sur nos routes, il est attendu d'ici peu. Le modèle exposé en Belgique au salon automobile était vendu au tarif catalogue de 36 700 €, hors options. Un sacré bond par rapport au modèle deux roues motrices exigeant dans le pire des cas 31 200 € de l'autre côté de la frontière (31 500 € chez nous).
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Cette 9e étape du Dakar est synonyme de changement en tête de la course. Henk Lategan a lâché les commandes au profit de Yazeed Al Rajhi. Nasser Al-Attiyah est aux portes du podium avant d'entamer la dernière partie du rallye-raid.
Si Nasser Al-Attiyah et son copilote Édouard Boulanger ont remporté la 9e étape ce mardi reliant Riyadh à Haradh, ce n'est pas suffisant pour monter sur le podium. Du moins pas pour l'instant. Avant le départ de la 10e étape mercredi, l'équipage Dacia compte 25 min de retard sur Yazeed Al Rajhi. Ce dernier est le nouveau leader du Dakar 2025 dans la catégorie auto. Il a pris les commandes ce mardi au profit du duo Toyota Gazoo Racing Lategan - Cummings. Ce dernier concédant 13 minutes au nouveau leader et 16 minutes à Nasser Al-Attiyah.
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Le classement général à l'issue de la 9e étape
Y.Al Rajhi - T.Gottschalk | Overdrive Racing
H.Lategan - B.Cummings | Toyota Gazoo Racing +7min09
M.Ekström - E.Bergkvist | Ford M-Sport +24min50
N.Al-Attiyah - E.Boulanger | Dacia Sandriders +25min21
M.Guthrie - K.Walch | Ford M-Sport +56min28
M.Serradori - L.Minaudier | Century Racing Factory Team +1h06min52
J.Yacopini - D.Oliveiras | Overdrive Racing +1h44min41
S.Quintero - D.Zenz |Toyota Gazoo Racing +1h46min07
J.Ferreira - F.Palmeiro | X-Raid Mini JCW Team +2h11min02
B.Baragwanath - L.Cremer | Century Racing Factory Team +2h31min14
M.Prokop - V.Chytka | X-Raid Mini JCW Team +2h54min30
U.Männama - R.Lepik | Overdrive Racing +2h58min20
R.Baciuska - O.Mena | Overdrive Racing +3h34min01
N.Cavigliasso - V.Pertegarini | Team BBR +4h31min15
G.Guerreiro - C.sachs | Red Bull Off Road Jr Team +4h59min13
M.Macik - F.Tomasek - D.Svanda | MM Technology +5h07min25
L.Moraes - A.Monleon | Toyota Gazoo Racing +5h12min30
P.Spierings - J.Van der Stelt | Team Rebellion +5h35min10
M.Gastaldi - A.Metge | Century Racing +5h58min40
P.Lachaume - C.Crespo | MD Rallye Sport +6h00min13
Les infos de la 10e étape du Dakar 2025
Mercredi, les pilotes devront parcourir 638 km pour la 10e étape. Celle-ci relie Haradh à Shubayah. Sauf que la partie chronométrée, la spéciale, sera très courte avec ses 120 km. C'est dans cette partie que Nasser Al-Attiyah espère faire une partie de son retard et espérer décrocher la victoire vendredi lors de l'arrivée finale.
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Où voir la 10e étape du Dakar 2025 à la télévision ?
Comme depuis le début de cette édition 2025, c'est sur la chaîne L'Équipe que vous pouvez suivre au plus près l'épreuve. Notamment avec le live qui débute à 11h50 et qui permet d'avoir les premières informations, classements et interviews à l'arrivée de la spéciale. Plus tard dans la journée, à 18h10, vous pouvez retrouver le journal du Dakar.
Crédit photo : A.S.O./F.Gooden/DPPI.
Jack Doohan devrait disputer la saison 2025 de Formule 1 avec Alpine. Et pour les 24 Grand Prix inscrits au calendrier, nous savons ce que le pilote australien devrait toucher en salaire.
Pour le moment, Jack Doohan occupe toujours le poste de pilote titulaire au sein de l'écurie Alpine F1 pour la saison 2025. Pour le moment car l'écurie française a obtenu la signature pour 5 ans de Franco Colapinto moyennant la somme de 20 millions de dollars auprès de Williams. Quand on débourse une telle somme pour faire signer un pilote, ce n'est pas pour le laisser comme pilote d'essais ou réserviste… Jack Doohan aura donc une grosse pression dès les essais d'avant-saison, s'il parvient jusque-là et encore davantage pour le premier Grand Prix du championnat prévu mi-mars en Australie. S'il ne marque pas rapidement des points, Flavio Briatore n'hésitera pas à l'éjecter au profit du pilote argentin. Surtout que ce dernier vient avec de nombreux partenaires financiers.
Voir aussi : les salaires des pilotes de F1 en 2025
Un des salaires les plus faibles du paddock
Toujours est-il qu'au moment où nous rédigeons ces lignes, Jack Doohan est toujours le coéquipier de Pierre Gasly chez Alpine. Et le site Business Book GP dévoile la grille des salaires des pilotes de Formule 1 pour ce championnat 2025. Championnat que l'on annonce particulièrement ouvert. Sans surprise, ce classement est dominé par trois champions du monde : Lewis Hamilton, Max Verstappen et Fernando Alonso. Pour trouver le fils de la légende du MotoGP dans ce classement, il faut descendre tout en bas. En effet, Jack Doohan devrait gagner 1,2 million d'euros en 2025. Soit autant que deux autres débutants, le Français de Racing Bulls Isack Hadjar et le Brésilien de Sauber Gabriel Bortoleto.
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Un salaire presque 10 fois plus élevé pour Pierre Gasly
Le coéquipier de Jack Doohan chez Alpine, Pierre Gasly, devrait toucher quasiment 10 fois plus cette saison. Son salaire, hors prime, est estimé à 10 millions d'euros. Soit grosso modo la même chose qu'en 2024. Il pourra gonfler en fonction des résultats obtenus. En espérant qu'Alpine débute le championnat dans la même forme qu'elle l'avait conclu en décembre dernier à Abu Dhabi.
Il ne reste que trois étapes avant la fin du Dakar 2025. Et Nasser Al-Attiyah croit toujours à un sixième succès dans l'épreuve alors qu'il compte 25 minutes de retard sur le nouveau leader du classement général, Yazeed Al Rajhi.
Nasser Al-Attiyah a remporté ce mardi la 9e étape du Dakar 2025. Celle-ci reliait Riyadh à Haradh au travers d'une spéciale de 357 km et d'une liaison de 232 km. Le Qatari, accompagné de son copilote Édouard Boulanger, remporte sa première victoire cette année sur l'épreuve reine du rallye-raid. La 48e de sa carrière. Il n'est donc plus qu'à deux victoires d'étapes d'Ari Vatanan et Stéphane Peterhansel (50).
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4e au classement général
Le Dakar 2025 touche à sa fin. La 9e étape vient de s'achever sur la victoire de Nasser Al-Attiyah et Édouard Boulanger au volant de leur Dacia Sandriders. Ils devancent le Belge Guillaume De Mévius et Yazeed Al Rajhi.
Comme attendu, le spécialiste des dunes s'est imposé dans cette 9e étape reliant Riyadh à Haradh. Les pilotes devaient parcourir 357 km de spéciale en plus des 252 km de laison. Nasser Al-Attiyah et Édouard Boulanger se sont imposés en 2h52 et 59 secondes. Soit 2min47 sur Guillaume De Mévius et 3min12 sur Yazeed Al Rajhi. Leader avant le départ, le duo Lategan - Cummings finit 11e de l'étape à 16min02 du leader. L'équipage français le mieux positionné au classement, Serradori - Minaudier, se classe 13e à 17min21.
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Le classement de la 9e étape du Dakar 2025
N.Al-Attiyah - E.Boulanger | Dacia Sandriders
G.De Mévius - M.Baumel | X-Raid Mini +2min47
Y.Al-Rajhi - T.Gottschalk | Overdrive Racing +3min12
M.Ekström - E.Bergkvist | Ford M-Sport +4min48
R.Baciuska - O.Mena | Overdrive Racing +7min28
M.Guthrie - K.Walch | Ford M-Sport +9min42
S.Vitse - M.Delfino | MD Rallye Sport +11min32
C.Gutierrez - P.Moreno | Dacia Sandriders +14min26
J.Ferreira - F.Palmeiro | X-Raid Mini JCW Team +14min48
M.Gastaldi - A.Metge | Century Racing +15min07
H.Lategan - B.Cummings | Toyota Gazoo Racing +16min02
M.Prokop - V.Chytka | X-Raid Mini JCW Team +16min46
M.Serradori - L.Minaudier | Century Racing Factory Team +17min21
D.Krotov - K.Zhiltsov | X-Raid Mini +17min25
S.Quintero - D.Zenz |Toyota Gazoo Racing +18min06
V.Jurkevicius - A.Paliukenas | Overdrive Racing +20min06
J.Yacopini - D.Oliveiras | Overdrive Racing +21min23
U.Männama - R.Lepik | Overdrive Racing +21min48
I.Esteve - J.Villalobos | Repsol Toyota +22min27
S.Variawa - F.Cazalet | Toyota Gazoo Racing +22min50
La réaction de Nasser Al-Attiyah après cette 9e étape du Dakar 2025
“On a essayé de réduire l'écart, ça a été une très bonne étape. Il reste encore trois jours donc tout est encore à jouer. On va devoir donner notre meilleur. Il y a un long chemin jusqu'à la fin. Je pense que ce sera quelque chose d'énorme demain et après-demain”.
La réaction de Yazeed Al Rajhi après la 9e étape du Dakar 2025
“C'était une bonne journée car on n'a pas perdu de temps. On a juste eu une petite erreur de navigation. On a su être fort dans les moments les plus importants. Les dunes, c'est ma deuxième maison. Il va falloir que je prenne un petit peu plus de risques pour essayer de creuser l'écart mais c'est comme ça que je vais gagner le Dakar 2025”.
Selon la presse britannique, il n'est pas exclu que la marque roumaine diversifie sa gamme de motorisations électrifiées. Si le Duster dernière génération est déjà bien pourvu en la matière, il va encore compléter son offre. Et la Sandero pourrait succomber à son tour à la fée électricité.
Avec la sévérisation de la norme CAFE en 2025, de nombreux constructeurs n'ont d'autre choix que de mettre en avant leurs modèles 100 % électrique pour réduire au maximum leurs émissions globales de CO2 et éviter de lourdes amendes. Pour une marque comme Dacia qui ne dispose que d'une seule voiture électrique, la tâche est plus ardue. Et si la solution venait de l'hybride ?
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Bientôt un Dacia Duster 4x4 hybride GPL
Nous le disions plus haut, le Duster troisième du nom a eu le bon goût d'avoir vu large en matière de motorisations à l'occasion de son renouvellement. Outre la livrée GPL qui constitue toujours la proposition d'appel, le SUV roumain a électrifié le reste de sa gamme.
Au-dessus du modèle GPL de 100 ch, on trouve une variante mild hybrid ou à hybridation légère du TCe essence de 130 ch (en traction ou transmission intégrale) ainsi qu'une véritable variante hybride de 140 ch.
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Un prix autour des 30 000€
Mais selon nos confrères britanniques d'Autocar, un autre projet serait dans les tuyaux. Le patron de la marque Denis Le Vot a en effet été on ne peut plus clair à ce sujet annonçant qu'il allait “électrifier l'essieu arrière et placer un moteur électrique dessus”. Il y a mieux, cette variante 4x4 plus raisonnable serait également proposée en GPL. Le tout “à un prix abordable”, sans doute autour des 30 000 €. Arrivée prévue avant la fin de l'année.
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Et une Dacia Sandero hybride ?
Mais plus encore que ce Duster 4x4 hybride GPL, la surprise serait la possible introduction d'une Sandero hybride. Une surprise vraiment ? Non puisque le Jogger est étroitement dérivé de la citadine et qu'il est bien décliné en une telle variante. C'est pourquoi, interrogé par le magazine britannique Auto Express sur l'éventualité d'une Sandero hybride, Denis Le Vot a répondu qu'elle allait arriver. Mieux, il a laissé entendre qu'il ne serait pas nécessaire d'attendre la prochaine génération attendue pour 2027.
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Rester dans le coup face à la concurrence
En même temps, la concurrence se renforce. MG propose depuis l'année dernière une citadine full hybrid sous les 20 000 €. Il serait dommage de ne pas investir ce créneau, pour des questions de part de marché mais aussi donc pour réduire sa moyenne de CO2.
La question qui se pose désormais : si Dacia venait à commercialiser effectivement une Sandero hybride reprenant le bloc de 140 ch du Jogger, pourrait-elle être affichée sous les 20 000 € comme la MG 3 ? Pas si simple.
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L'épineuse question du prix
Sur le crossover, la différence de prix entre le modèle TCe essence de 110 ch et l'hybride s'élève à 4 400 €. Sachant qu'une Sandero Stepway coûte un minimum de 19 200 €, cela nous entraînerait bien au-delà des 20 000 € et finalement pas très loin des 24 200 € minimum exigés par la Clio hybride de 145 ch. Pour abaisser les tarifs, il va falloir viser des finitions inférieures et la carrosserie classique, pas le modèle surélevé Stepway. À bon entendeur.
Les voitures radars privées débarquent dans de nouveaux territoires en 2025. Conçues pour rouler et flasher les automobilistes trop rapides, elles sont conduites par des chauffeurs qui doivent remplir un certain nombre de conditions pour rouler. On vous en dit plus.
Depuis 2018, les voitures radars privées sillonnent les routes de France. Elles arrivent en 2025 dans de nouvelles régions : l'Occitanie, l'Auvergne-Rhône-Alpes et la Provence-Alpes-Côtes-d'Azur. Pour faire simple, dans quelques semaines, ces voitures rouleront dans tout l'Hexagone. Les seules régions qui y échappent sont l'Île-de-France et la Corse. Elles seraient actuellement 400 sur nos routes. Au printemps, plus d'une centaine de nouvelles voitures débarqueront dans ces nouvelles régions. Et au volant, nous trouverons des chauffeurs employés par des entreprises privées.
Les conditions pour devenir chauffeur d'une voiture radar privée
Comme vous vous en doutez, il faut remplir un minimum de conditions pour devenir chauffeur d'une de ces voitures. La première est d'être titulaire du permis de conduire. Cela va même un peu plus loin puisqu'il faut posséder un minimum de 10 points. Autrement dit, un automobiliste titulaire du permis de conduire probatoire ne peut pas conduire une voiture radar privée. Autre condition : posséder un casier judiciaire vierge. En l'occurrence il faut que le bulletin 3 soit vierge. Cela concerne les condamnations pour crimes ou délits entraînant des peines de prison supérieures à deux ans par exemple.
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Plusieurs heures par jour sur la route pour un salaire peu élevé
La mission de ces chauffeurs est assez simple. Ils doivent sillonner des routes selon un itinéraire établi par la préfecture de police des départements concernés. Et cela plusieurs heures par jour. Le tout en échange d'un salaire fixé à 25 000€ par an. Notez que des annonces apparues sur le site de petites annonces Leboncoin mentionnent un temps de travail annualisé avec un volume horaire quotidien variable.
Crédit photo : Adobe Stock.
Comme celui de l'essence, le prix du litre de Diesel a fortement augmenté ces dernières semaines en France. Son prix moyen est de 1,73€ ce jeudi 16 janvier alors qu'il était aux alentours de 1,65€ le litre courant décembre.
Est ce la fin de la baisse des prix pour les carburants en France ? Difficile à dire. On peut seulement constater une hausse régulière depuis trois semaines pour le Diesel. Il est passé de 1,65€ le litre en moyenne en France le 21 décembre à 1,73€ le litre en ce jeudi 16 janvier. L'augmentation est donc conséquente : +8 centimes en trois semaines. Depuis le 1er janvier, la hausse est de 5 centimes ! Si la différence sur un plein reste faible, on sait que les automobilistes sont extrêmement sensibles à ces variations.
Jusqu'à 5 centimes de moins dans certaines stations
Ce prix de 1,73€ le litre est une moyenne relevée par le site Carbu.com pour la France. Il existe toutefois des enseignes, souvent des revendeurs, chez qui le prix du litre de gazole est en-dessous des 1,70€ le litre. En ce jeudi, on peut observer des écarts allant jusqu'à 6 centimes le litre comme c'est le cas dans les stations Casino. Nous parlons ici d'une moyenne à l'échelle nationale. Il se peut donc que les prix varient dans votre magasin.
Casino - 1,67€
Hyper U - 1,68€
E.Leclerc - 1,68€
E.Leclerc Express - 1,69€
Super U - 1,69€
Intermarché - 1,69€
Carrefour Contact - 1,71€
Carrefour Market - 1,71€
Carrefour - 1,71€
L'évolution du prix du diesel en 2025
L'évolution du prix du gazole depuis 2024
2024 aura été un cru difficile pour le constructeur transalpin. Mais l'année à venir pourrait être bien meilleure. Voici pourquoi.
Arrêt de la commercialisation de la 500 thermique vendue depuis 2007, interruptions régulières de la production de la 500 zéro émission du fait d'une moindre demande, lancement retardé de la Grande Panda, l'année 2024 aura été difficile pour Fiat. Le patron de la marque italienne Olivier François a reconnu lui-même en début de mois que la gamme était “dans une phase de transition difficile”, ce qui explique les résultats en berne (-18.8 % depuis le début de l'année). Pourtant, on peut espérer des jours meilleurs. La preuve dans ce qui suit.
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La Grande Panda arrive enfin
Si Max Verstappen est le pilote de Formule 1 qui a touché le plus d'argent de la part de son écurie en 2024, ce titre devrait de nouveau revenir à Lewis Hamilton en 2025. Le pilote britannique va profiter de son arrivée au sein de la Scuderia Ferrari pour retrouver cette première position. En espérant la décrocher à nouveau régulièrement en course.
Les chiffres ci-dessous nous viennent du site Business Book GP via le site Sportune. On y découvre que Sir Lewis Hamilton devrait être le pilote le mieux payé de la F1 en 2025 à raison d'un salaire annuel évalué à 80 millions d'euros. Max Verstappen suit de près avec une rémunération estimée à 72M€. Derrière les deux hommes (11 titres de champions du monde à eux deux), on trouve Fernando Alonso. Le doyen du paddock devrait toucher 30 millions d'euros en 2025. Une rémunération équivalente à celle de Lando Norris chez McLaren.
Voir aussi - le calendrier 2025 de la F1
Quel salaire pour les pilotes français en 2025 ?
Ils seront trois sur la grille de départ cette saison : Pierre Gasly chez Alpine, Esteban Ocon chez Haas et Isack Hadjar chez Racing Bulls. Gasly devrait toucher 10M€ au sein de l'écurie française. Soit grosso modo ce qu'il a touché en 2024, hors prime. Esteban Ocon a dû baisser son salaire pour rester en Formule 1. Chez Haas, il devrait toucher 6M€ pour l'année 2025. Mais on peut imaginer que son contrat comprend des primes de résultats. Et au regard des progrès de l'écurie en 2024, Ocon a de quoi gonfler sa rémunération. Enfin, le jeune Isack Hadjar devrait toucher 1,2M€. C'est plus que les premières estimations (800 000€). Il fait d'ailleurs parti des pilotes les moins bien payés du plateau avec Gabriel Bortoleto (Sauber, futur Audi) et Jack Doohan (Alpine).
Voir aussi - les pilotes qui composeront la grille de départ en 2025
La grille des salaires en F1 pour le championnat 2025
Lewis Hamilton - Scuderia Ferrari - 80M€
Max Verstappen - Red Bull - 72M€
Fernando Alonso - Aston Martin - 30M€
Lando Norris - McLaren - 30M€
Charles Leclerc - Scuderia Ferrari - 26M€
George Russell - Mercedes - 12M€
Carlos Sainz - Williams - 10M€
Pierre Gasly - Alpine - 10M€
Nico Hulkenberg - Sauber - 8M€
Alex Albon - Williams - 8M€
Lance Stroll - Aston Martin - 8M€
Liam Lawson - Red Bull - 6,5M€
Oscar Piastri - McLaren - 6M€
Esteban Ocon - Haas - 6M€
Yuki Tsunoda - Racing Bulls - 6M€
Andrea Kimi Antonelli - Mercedes - 3M€
Oliver Bearman - Haas - 3M€
Jack Doohan - Alpine - 1,2M€
Isack Hadjar - Racing Bulls - 1,2M€
Gabriel Bortoleto - Sauber - 1,2M€
C'était la surprise de ce salon de l'automobile bruxellois, la présence d'un prototype de Twingo nettement plus avancé que celui vu par exemple à Paris en octobre dernier et mettant en avant enfin son habitacle. Que nous dit-il sur le modèle de série ?
Avec la disparition du Geneva International Motor Show (le GIMS pour les intimes), le Brussels Motor Show pourrait devenir “the place to be” pour les grands groupes automobiles. La preuve, l'élection de la Voiture de l'année s'est tenue dans la capitale belge et devrait à n'en pas douter y faire son retour l'année prochaine. S'il manque encore peut-être de premières internationales et de concept cars d'envergure, on a tout de même eu le droit à quelques belles surprises. La plus marquante étant incontestablement la Renault Twingo qui a enfin daigné montrer son habitacle. De quoi montrer que le projet de la renaissance de la citadine emblématique avance.
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Des libertés par rapport à la grenouille originelle
Si la Renault 5 des temps modernes a vraiment essayé de singer son inspiratrice jusque dans l'habitacle avec ses sièges pétales ou le revêtement matelassé qu'on retrouve devant le passager ou au plafond, l'aménagement général de la Twingo du renouveau s'éloigne davantage de son ancêtre. Les rondeurs sont un peu moins présentes, mais pas absentes non plus.
Des écrans qui prennent beaucoup de place
Ce lundi se tenait la 8e étape du Dakar 2025. Et la victoire est loin d'être acquise pour le duo sud-africain Lategan - Cummings. Ils sont talonnés par l'équipage Al Rajhi - Gottschalk. Nasser Al-Attiyah est en embuscade avant d'attaquer l'épreuve des dunes mardi.
Au classement général de ce Dakar 2025, c'est toujours la Toyota de Henk Lategan qui est en tête. Le Sud-africain a repris un peu d'air sur son dauphin, Yazeed Al Rajhi. Il le devance désormais de 5 min 41. L'écart avec l'équipage Ford Raptor Ekstrom - Berggkvist est de 28 min 55 et il est de 34 min 14 sur la Dacia Sandriders de Nasser Al-Attiyah et Édouard Boulanger à l'issue de la 8e étape qui reliait Al Duwadimi à Riyadh ce lundi pour 487 km de spéciale.
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Les Français Serradori et Minaudier 6e du classement
Côté français, après l'abandon samedi de Guerlain Chicherit, il ne reste que Mathieu Serradori et Loic Minaudier dans le Top 10. Ils sont actuellement 6e du classement au volant de leur voiture Century Racing à 58 min 24 du leader. Une très belle performance pour ce duo qui réalise une belle édition 2025.
Nasser Al-Attiyah espère performer dans les dunes
Relégué à 34 min, le pilote qatari - quintuple vainqueur de l'épreuve - attend avec une certaine impatience l'étape de mardi, la 9e, qui se déroulera dans les dunes. Un exercice qu'il affectionne particulièrement et durant lequel il espère regagner du temps sur les leaders tout en profitant d'ennuis mécaniques probables.
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Le classement général du Dakar 2025 après la 8e étape
H.Lategan - B.Cummings | Toyota Gazoo Racing
Y.Al-Rajhi - T.Gottschalk | Overdrive Racing
M.Ekström - E.Bergkvist | Ford M-Sport
N.Al-Attiyah - E.Boulanger | Dacia Sandriders
M.Guthrie - K.Walch | Ford M-Sport
M.Serradori - L.Minaudier | Century Racing Factory Team
J.Yacopini - D.Oliveiras | Overdrive Racing
S.Quintero - D.Zenz |Toyota Gazoo Racing
J.Ferreira - F.Palmeiro | X-Raid Mini JCW Team
B.Baragwanath - L.Cremer | Century Racing Factory Team
U.Männama - R.Lepik | Overdrive Racing
M.Prokop - V.Chytka | X-Raid Mini JCW Team
R.Baciuska - O.Mena | Overdrive Racing
N.Cavigliasso - V.Pertegarini | Team BBR
G.Guerreiro - C.sachs | Red Bull Off Road Jr Team
P.Spierings - J.Van der Stelt | Team Rebellion
L.Moraes - A.Monleon | Toyota Gazoo Racing
M.Macik - F.Tomasek - D.Svanda | MM Technology
B.Heger - M.Eddy | Sébastien Loeb Racing
L.Baud - L.Baud | X-Raid Mini
Crédit photo : A.S.O./F.Gooden/DPPI.
Des modèles importants au salon de l'automobile de Bruxelles, il y en a bien quelques-uns. On peut naturellement considérer la 6e, remplaçante 100 % électrique de la berline 6, comme l'un d'entre eux. Présentation.
Nous pensions que la Mazda 6 n'aurait aucune descendance. La course à l'électrification et les alliances nouées par le constructeur japonais en Chine ont permis de la relancer. Tant mieux pour les amateurs de berline, genre automobile à l'abandon. Afin de compléter sa gamme 100 % électrique, la marque nippone est allée piocher dans la gamme de son partenaire chinois Chang'An Automobile et a recarrossé la Deepal SL03. Un modèle qui prend l'appellation EZ-6 en Chine et débarque enfin officiellement chez nous, quelques mois après sa présentation dans l'Empire du milieu. Son nom, très sobre au demeurant ? 6e.
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Esprit Mazda respecté
11e de la 8e étape du Dakar 2025, Nasser Al-Attiyah était content d'en finir ce lundi en arrivant à Riyadh. Car il sait que sa course va se jouer lors des trois prochains jours, notamment mardi dans les dunes lors de la 9e étape. Un exercice dans lequel il excelle.
Une étape compliquée. Voilà comment Nasser Al-Attiyah a résumé le 9e jour de course de ce Dakar 2025. Avec Édouard Boulanger, son copilote, ils finissent 11e de l'étape à 11 min 27 de Lategan, le vainqueur du jour :
"Ça a été une journée très difficile. Par moments, nous avons ouvert la route, ce qui n'était pas facile. Quand Yazeed [Al-Rajhi] est arrivé, il avait une bonne trajectoire et nous l'avons suivie. Jusqu'aux dunes, nous l'avions dépassé, mais c'était vraiment compliqué, donc je suis heureux d'avoir terminé cette journée. Il nous reste encore quatre jours, on verra bien. La navigation était très difficile aujourd'hui. Parfois, nous avons eu de la chance, parfois non, mais nous sommes là”.
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Les dunes, un exercice qu'affectionne le pilote Dacia
Au classement général, Nasser Al-Attiyah et Édouard Boulanger sont actuellement 4e à 34 min 14 de Lategan et Cummings. Mais il reste encore quatre étapes avant l'arrivée finale de ce Dakar 2025. Et notamment l'étape de mardi dans les dunes. Un parcours de 609 km dont 357 km où il peut se passer beaucoup de choses pour les concurrents alors que Nasser Al-Attiyah est très à l'aise dans les dunes. S'il veut encore espérer gagner avec son Dacia Sandriders, ou au moins monter sur le podium, il faudra se surpasser mardi. D'autant plus qu'avec son équipier, ils partiront 11e ou 12e. Une bonne chose car ils bénéficieront des traces des concurrents devant eux.
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Crédit photo : A.S.O./C.Lopez.
Début février prochain lors de sa vente parisienne en marge de Rétromobile, RM Sotheby's mettra aux enchères deux combinaisons portées par Michael Schumacher lors de son passage au sein de la Scuderia Ferrari. Des combinaisons dont le prix est estimé entre 30 000 et 50 000€.
Qu'on le veuille ou non, Michael Schumacher reste une légende de la Formule 1. Son nom résonne toujours auprès des fans de la discipline comme ceux de Fangio, Prost, Senna ou encore Lewis Hamilton, pour ne citer qu'eux. Et les fans du Baron rouge auront l'occasion les 4 et 5 février prochains à Paris de s'offrir un morceau de la légende. En effet, la maison RM Sotheby's met en vente deux combinaisons portées par Michael Schumacher lors de son long passage au sein de la Scuderia Ferrari (1996 - 2006).
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Une combinaison Scuderia Ferrari de la saison 2002