Non, ils ne préfigurent pas des modèles à venir. Les trois concept-cars dévoilés par Nissan ce jour ont été réalisés par des étudiants. Présentation en images.
Cadeau de Noël en avance et belle reconnaissance pour les étudiants du Nissan Automobile Technical College qui verront leurs trois créations présentées au prochain Tokyo Auto Salon qui ouvrira ses portes en janvier.
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Un travail de carrossage
Non, nous ne parlons pas d'étudiants travaillant dans les bureaux de style mais ayant un apprentissage technique sur la maintenance automobile. En l'occurrence, ici, ce sont des apprenants ayant suivi le programme axé sur les sports mécaniques qui ont produit ces trois véhicules.
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Relancé en 2019, le constructeur italien De Tomaso termine actuellement la production du tout premier exemplaire de sa nouvelle supercar P72 dévoilée il y a donc un peu plus de cinq ans de cela. Place aux images !
Il sera dévoilé dans son intégralité en l'année prochaine, De Tomaso nous a d'ores et déjà donné rendez-vous. Mais déjà, on peut voir que les lignes de cette P72 seront exactement les mêmes que celles du modèle vu en 2019.
Une italienne à n'en pas douter
La structure nue permet de découvrir l'utilisation massive du carbone. Lignes étirées, courbes généreuses, feux ronds au design rétro à l'arrière, cette P72 fait dans le classique pour une italienne. Et ce ne sont pas les clients qui devraient s'en plaindre. L'intérieur n'est pas en reste avec des sièges baquets à l'ancienne drapés d'un cuir crème chaleureux. Pas d'écran tactile, on ne trouve que des compteurs ronds en aluminium avec une finition en cuivre et un sens du détail qui évoque l'art de la joaillerie.
72 exemplaires
La P72 sera animée par un V8 5.0 de 700 ch et 825 Nm de couple signé Rouse qui sera associé à une transmission manuelle à 6 rapports. Seules 72 unités (comme son nom) seront assemblées. Prix minimum : 750 000 €.
L'année 2024 touche à sa fin et les festivités de fin d'année battent leur plein. Entre deux repas, quoi de mieux que de faire le point en images sur les grandes nouveautés automobiles tricolores de l'année à venir. En avant !
Au rang des nouveautés, toutes les marques françaises grands publics sont servis. Chez Renault, nous aurons la sortie de la Renault 4 électrique accompagnée par le Renault 5 électrique à moins de 25 000€ qui portera le nom de Five. Chez Citroën, nous serons servis aussi avec la sortie du duo C4 - C4 X restylée, la présentation de la version de série de la C5 Aircross ainsi qu'une version à moins de 20 000€ de la C3 électrique. Ce sera plus calme chez Peugeot avec le restylage de la 308. Il y aura également du nouveau chez Alpine avec le SUV - coupé électrique A390 dont un concept a été dévoilé en octobre dernier lors du Mondial de l'Auto. Enfin, chez DS, ce sera la sortie de la DS N°8. On ne peut pas non plus exclure une présentation de la DS N°7.
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Un 3e pilote français sera sur la grille de départ en F1 en 2025. Il s'appelle Isack Hadjar et conduire une Racing Bulls à partir du mois de mars. Et si vous vous demandez ce que gagne un pilote de Formule 1 pour sa première année, en voici une idée.
C'est le média spécialisé Sportune qui livre cette information. Selon lui, Isack Hadjar, 20 ans, va toucher 800 000€ pour sa première année de contrat avec Racing Bulls. À en croire le site, il s'agit d'un contrat standard pour un pilote de l'académie Red Bull qui débute dans la catégorie reine des sports mécaniques. À cela il faut sans doute ajouter un certain nombre de primes liés aux résultats que le vice-champion du monde de F2 pourra décrocher. Notamment les places dans le Top 10 et les performances en qualifications.
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Contrat d'un an renouvelable
Autre information qui a son importance, Isack Hadjar a signé un contrat d'un an mais avec des options pour un renouvellement automatique. Parmi elles, il y aurait une prolongation d'un an supplémentaire en fonction du nombre de points inscrits par rapport à son équipier, Yuki Tsunoda. Si Isack Hadjar marque 70% des points de son partenaire Racing Bulls d'ici au Grand Prix de Hongrie, il aura l'assurance de conduire la même monoplace en 2026. De quoi lui mettre une grosse pression d'entrée de jeu. Un classique toutefois au sein de la filière Red Bull.
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Une place à prendre chez Red Bull en 2026
Et sait-on jamais, en fonction de ses performances dans l'écurie sœur de Red Bull l'année prochaine, il se pourrait qu'une place se libère en 2026 aux côtés de Max Verstappen. On se souvient que Pierre Gasly avait décroché sa place chez Red Bull en 2019 après une très bonne saison 2018 chez ToroRosso. Il avait été cependant rétrogradé dans cette même écurie à l'intersaison 2019 pour des résultats jugés insuffisants.
Précurseur sur l'électrique pendant longtemps, Nissan a besoin de sang neuf pour se relancer. Ça tombe bien, la marque nippone prévoit de lancer plusieurs nouveautés dans le courant de l'année 2025. On fait le point sur ce qui est attendu dans les prochains mois.
Nissan est en grande difficulté. Le constructeur est contraint de se séparer de 9000 personnes dans le monde. Elle vient également d'entrer en négociation avec Honda pour créer une alliance. Celle-ci pourrait voir le jour au début de l'été prochain.
Sur le plan produit, on s'attend à une offensive de Nissan. En particulier sur l'électrique avec le retour de la Nissan Micra dans une version électrique. Un renouvellement de la Nissan Leaf, qui pourrait changer de nom, et un équivalent de la Juke en électrique.
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Toujours vendu en Russie, le 4x4 pur et dur enfile sa tenue de sport et reçoit un moteur bien plus puissant.
Vous en connaissez beaucoup, vous, des voitures produites sans interruption depuis près de 50 ans ? C'est pourtant le cas du Lada Niva lancé en 1977 et toujours commercialisé dans son pays d'origine. Eh oui ! En guise de cadeau de Noël, le groupe Avtovaz vient même de lancer la production d'une variante énervée du baroudeur baptisée sobrement “Sport”.
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122 pur-sang
Et il ne fait pas que semblant puisque son moteur 16 soupapes d'une cylindrée non précisée développe, tenez-vous bien, la puissance phénoménale de 122 chevaux ! Cela n'a l'air de rien mais c'est une nette progression par rapport au 1.7 de 83 ch que nous avons connu fut un temps. Le couple n'est pas en reste avec 151 Nm, 22 Nm de mieux. Et il faudra pour les amateurs aller les chercher dans les tours puisque ce couple maximal est atteint au régime de 5 000 tr/min.
Ces premières caractéristiques vous ont mis l'eau à la bouche ? Sachez, pour ne rien gâcher, que la transmission manuelle à 5 rapports a été renforcée pour encaisser cette débauche de puissance. Et pas d'inquiétude, il y a toujours une boîte courte pour évoluer sur les terrains les plus difficiles.
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Sébastien Loeb vise la victoire pour cette édition 2025 du Dakar qui se tiendra à partir du 3 janvier en Arabie saoudite. Il affiche une nouvelle fois son ambition sur les réseaux sociaux au travers d'une petite vidéo.
Sébastien Loeb disputera à partir du 3 janvier en Arabie saoudite sa 9e participation au Dakar. Et plus que jamais cette année, le nonuple champion du monde des rallyes WRC vise la victoire et a les moyens de ses ambitions au volant du Dacia Sandrider. Dans cette vidéo publiée sur Instagram en fin de journée lundi, on y voit Sébastien Loeb faire le compte de ses participations au rallye-raid depuis 2016 puis tout effacer et remplacer par un tag du Dakar 2025.
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Les vacances de cette conductrice ont tourné court. Elle a été flashée sur l'autoroute en grand excès de vitesse. Ce qui la prive de son permis de conduire et de sa voiture pendant un long moment.
Samedi dernier, les feux étaient au vert sur les routes selon Bison futé. Mais les forces de l'ordre veillaient au grain. Notamment sur l'autoroute A77 dans les environs de Préfontaines dans le département du Loiret. C'est en réalisant des contrôles de vitesse qu'ils sont tombés sur une conductrice flashé à 177 km/h. Un excès de vitesse qui a entraîné une interception de la chauffard au volant d'une Peugeot.
Le permis probatoire abaisse la vitesse
Au moment de contrôler l'identité de l'automobiliste, les gendarmes s'aperçoivent que celle-ci possède bien le permis de conduire. Mais il n'est que probatoire. Autrement dit, pour elle, la vitesse sur autoroute est de 110 km. Vous aurez fait vous même le calcul mais l'écart entre la vitesse relevée et la vitesse autorisée est supérieur à 50 km/h. Et même en abaissant la vitesse retenue à 168 km/h, les comptes n'y sont pas.
Les rumeurs disaient vrai au sujet d'une potentielle fusion entre Nissan et Honda. Cela a été confirmé ce jour dans un communiqué par la première des deux marques citées.
Nous avons eu l'occasion de l'évoquer ces dernières semaines, Nissan est mal en point. Tellement mal en point que le constructeur japonais va devoir tailler dans sa masse salariale. Et si le chiffre est moins impressionnant que le groupe Volkswagen, qui a annoncé la suppression de 35 000 emplois, les 9 000 suppressions de postes prévues par Nissan sont loin d'être négligeables.
Il fallait agir. Or, depuis quelques jours, il se murmurait que le salut pourrait venir d'une probable alliance avec Honda. C'est juste, Nissan a confirmé cette rumeur en ce début de semaine.
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Une fusion pour devenir le n°3 mondial de l'automobile
Les négociations sont ouvertes de manière officielle, rien n'est encore acté. Un calendrier précis a pourtant été partagé. Objectif principal : parvenir à une fusion en juin 2025. Cela ferait de Honda-Nissan le numéro trois mondial après Toyota et Volkswagen et devant Stellantis. Mitsubishi devrait les rejoindre un peu plus tard. L'entité créée serait introduite en Bourse l'année suivante.
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Carlos Ghosn sort du silence
On ne s'attendait pas nécessairement à entendre parler de lui mais l'ex-patron de l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi Carlos Ghosn - toujours au Liban après sa fuite rocambolesque - a tenu à faire connaître sa position sur ce sujet. Il a fait savoir à la télévision américaine avant même l'annonce officielle qu'il s'agissait selon lui d'un “geste désespéré”. Il estime que cette fusion ne servirait à rien puisque Nissan et Honda sont sur les mêmes marchés et leur offre produits est trop similaire. Reste à voir comment les investisseurs vont réagir, eux, tout en sachant que ces derniers jours, les rumeurs d'une potentielle fusion ont profité à la cotation en Bourse de Renault.
Crédit photo : Nissan.
Audi aura des choses à nous montrer en 2025 après une année 2024 plutôt riche. La rédaction vous propose un tour d'horizon de ce que le constructeur pourrait annoncer / lancer en Europe, et donc en France, dans les 12 prochains mois.
Après quelques années de calme, le constructeur allemand a lancé une première vague de nouveautés en 2024. Celle-ci va se prolonger en 2025 avec plusieurs modèles dans les cartons. Principalement thermiques avec les Audi A7, Q3, Q5 voire Q7 et pourquoi pas quelques nouveautés sportives de sa gamme RS.
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Remodelé en mai dernier, le SUV ultra-luxueux profite aujourd'hui d'une préparation signée Mansory… qui ne devrait pas être du goût de tout le monde. À vous d'en juger avec les photos.
Pour son restylage de mi-carrière, Rolls Royce n'a pas fait les choses à moitié pour son SUV avec des modifications bien visibles, surtout à l'avant, avec notamment une signature lumineuse démarrant toujours au-dessus des phares mais descendant désormais amplement sur le bouclier avant. Des évolutions qui, sans le métamorphoser pour autant, modifient assez radicalement son regard. Mais puisqu'on parle de métamorphose, comment ne pas évoquer les nouvelles préparations réalisées par le spécialiste allemand Mansory ?
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Deux Cullinan pour le prix d'u… euh… de quatre
Ce sont en effet deux exemplaires que Mansory affiche fièrement dans son dernier communiqué. Une livrée gris clair avec des éléments bleutés (au niveau de la calandre, du Spirit of Ecstasy ou encore du fin trait latéral) et une autre presque entièrement noire mais avec des éléments contrastés façon marbre.
Ils ont néanmoins quelques points en commun. À l'image du motif en lamelle de la calandre repris sur les entrées d'air latérales et inférieures lui donnant un air carrément féroce ou encore le fait qu'ils sont équipés d'une double sortie d'échappement plus suggestive. Deux sorties hexagonales placées sur le diffuseur sur le modèle gris et deux doubles sorties en forme de parallélogrammes placées sur les côtés.
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Des performances plus que “suffisantes”
Sur le plan technique, ces Cullinan reprennent naturellement le V12 6.0 ¾ de 600 ch et 900 Nm mais dans une version portée 720 ch et 1 050 Nm. Les accélérations sont donc rapides, y compris pour une Rolls Royce, avec un 0 à 100 km/h pouvant être abattu en 4,8 secondes. La vitesse de pointe est limitée électroniquement à 250 km/h. Le prix n'a pas été partagé mais on imagine qu'il faudra a minima doubler la mise…
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Pierre Gasly fait parti des 10 pilotes les mieux payés en 2024 par leur écurie selon les informations du magazine Forbes. Mais combien a-t-il touché au total lors de l'année écoulée ? Réponse dans la suite de cet article.
En 2024, Pierre Gasly a touché au total 12 millions de dollars. Cela comprend son salaire fixe, 10 millions de dollars, et ses primes, 2 millions de dollars. S'il occupe la 10e position des salaires, il est très des sommes versées à Carlos Sainz, 9e de ce classement ou encore Sergio Perez chez Red Bull ou Oscar Piastri chez McLaren. La Scuderia Ferrari a versé 19 millions de dollars au pilote espagnol quand l'écurie autrichienne a versé 19,5M$ à son désormais ancien pilote et 22 M$ pour le pilote australien.
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Quel sera son salaire en 2025 ?
Pierre Gasly ayant prolongé son contrat jusqu'en 2026 au moins, on peut imaginer que son salaire fixe a augmenté et que ses primes seront plus élevées en 2025. En effet, les performances de son Alpine était en nette amélioration en fin de saison. Au point de décrocher une 3e place au Brésil, une 3e place sur la grille de départ à Las Vegas et une 5e place en course à Abu Dhabi lors du dernier Grand Prix du championnat. D'ailleurs, Flavio Briatore, le nouvel homme fort d'Alpine F1 depuis l'été, a confirmé que les améliorations de la monoplace fin 2024 servaient à préparer 2025 :
“On n'a pas simplement corrigé les erreurs pour 2024, on a déjà développé la monoplace pour 2025. On a amélioré la voiture d'une demi-seconde par tour quasiment”.
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Les louanges de Flavio Briatore
D'ailleurs, l'ancien patron de Benetton et Renault a loué les qualités et les progrès de Pierre Gasly pendant la saison :
"Pierre a fait un travail extraordinaire. Il m'a surpris énormément cette année. C'est vraiment NOTRE pilote. Je le remercie vraiment. Il a changé complètement d'attitude cette saison. Il n'a jamais eu d'accident. Si on réussit à être 6e c'est grâce à lui. Je suis sûr que Pierre continuera son super travail".
2e lors de l'édition 2024, le pilote belge Guillaume de Mevius affiche ses ambitions pour cette édition du Dakar 2025 en Arabie saoudite. Il envisage de faire aussi bien alors que la concurrence s'annonce rude.
Le Dakar 2025 s'approche à grands pas. Il débutera dans une dizaine de jours en Arabie saoudite. Au rang des favoris de cette édition, on trouve Sébastien Loeb bien sûr mais aussi Carlos Sainz, le tenant du titre, Nasser Al-Attiyah mais également Guillaume de Mevius. Dauphin du pilote espagnol au début de l'année 2024, le pilote belge au volant d'une Toyota va tenter de briller autant que lors de sa 3e participation. Il ne s'en est d'ailleurs pas caché dans une interview sur le site de Red Bull publié ce lundi 23 décembre :
“Mon ambition est claire : j'ai terminé deuxième, donc la prochaine étape logique est de gagner. Mais il faut rester réaliste. Le Dakar est une course où l'expérience joue un rôle clé, et je suis encore jeune. Si je finis à nouveau sur le podium cette année, ce sera déjà un excellent résultat”.
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Gommer ses points faibles pour gagner
Dans cette même interview, il aborde les points sur lesquels il peut progresser. Notamment la compensation de son manque d'expérience en profitant de celle de son co-pilote :
“Il y a certaines situations où je manque encore d'expérience. Mon nouveau copilote m'aidera certainement à prendre rapidement les bonnes décisions. Et comme tout le monde, je peux toujours apprendre à aller encore plus vite. Dans les dunes, par exemple, il faut parfois une technique de conduite très spécifique, et je peux encore m'améliorer là-dessus”.
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Un des favoris selon Luc Alphand
Le nom de Guillaume de Mévius comme vainqueur possible a été cité par un ancien vainqueur du rallye-raid, Luc Alphand :
“J'aime bien Guillaume de Mévius parce que j'ai couru avec son père, il finit quand même 2e du Dakar l'année dernière. Ce n'est pas n'importe qui. C'est quelqu'un qui peut aller très vite, qui a récupéré un bon co-pilote avec Mathieu Bommel. C'est un équipage qui peut surprendre avec une voiture qu'on connait très bien, la Toyota, qui est peut-être moins évoluée que les autres mais qui a déjà gagné le Dakar”.
Et s'il venait à remporter l'épreuve, ce serait le premier belge à le faire depuis 1983 et un certain Jacky Ickx. Forcément une donnée que le pilote a en tête ? Pas sûr :
“Pas encore vraiment, mais je vais tout faire pour suivre son exemple ! Je n'ai pas encore totalement intégré que c'est réellement possible, mais je vais donner le maximum pour décrocher cette victoire”.
Crédit photo - A.S.O./Julien Delfosse/DPPI
On n'arrête plus les constructeurs venus de Chine. En 2025, de nouveaux entrants vont faire leur arrivée en Europe. Polestar ou encore Firefly, nouvelle et troisième marque du groupe Nio, lequel est déjà présent chez certains de nos pays européens et pourrait justement faire son entrée dans l'Hexagone à cette même période. La Firefly pourrait-elle débarquer un peu avant. Chez nous aussi ?
Des atouts pour l'Europe et la France
Que le Vieux Continent soit considéré de très près par le premier modèle de Firefly qui porte le même nom que la marque, cela se comprend. Avec ses dimensions réduites (non précisées, mais elles se situeraient quelque part entre une Mini et le SUV Smart #1), son look sympathique à mi-chemin entre la Mini Cooper électrique (qui serait clairement sa concurrente principale) et la Honda e dessiné en Europe par un ancien de chez BMW et ses motorisations électriques, elle a de sérieux atouts pour s'imposer.
Petite mais pratique, elle dispose - chose unique dans la catégorie - d'un petit coffre sous le capot avant (un frunk, pour les connaisseurs) d'un beau volume : 92 litres. On connaît également la valeur du coffre avec les sièges repliés : 1 250 litres (c'est mieux que le Smart #1 et ses 986 litres).
Hélas, c'est tout ce que nous savons à son sujet. Puissance des moteurs, architecture de traction ou de propulsion, nombre de batteries proposées (une ou plusieurs, capacité), rien n'a été été précisé à ce stade.
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Un prix plus agressif
Si, une chose tout de même, le prix de base annoncé à 148 800 yuans (environ 19 600 €), un peu plus bas qu'une Mini Cooper électrique de base (189 800 ¥, autour de 25 000 €). Comme toujours, il est agressif.
Elle sera lancée dès le mois d'avril en Chine et sa venue en Europe - on l'a dit - est déjà actée. Reste à savoir si la France sera concernée. Une production en Chine serait un frein entre des droits de douane trop élevés au niveau européen et la quasi-certitude qu'elle ne soit pas éligible au bonus dans l'Hexagone.
La stratégie de renouveau d'Alfa Romeo n'a pas encore porté ses fruits sur le plan commercial. Il n'empêche que le constructeur italien a quelques atouts dans sa manche pour faire parler d'elle l'année prochaine.
Comme beaucoup de constructeurs, l'année 2024 est difficile pour Alfa Romeo. Ses ventes sont en recul. De l'ordre de 13% à l'échelle européenne. Le Tonale et le nouveau Junior n'ont pas encore permis au constructeur de retrouver sa gloire d'antan. Toutefois, ce sont deux modèles sur lesquels elle compte en 2025 pour retrouver des couleurs. Et pas seulement. On fait le point sur ce qu'Alfa Romeo pourrait / devrait annoncer l'année prochaine.
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Le SUV compact électrique va changer de nom au Canada. Se peut-il que ce soit le cas ailleurs ? Nos pronostics.
Si Toyota est le maître incontesté de la technologie hybride auto-rechargeable, le constructeur japonais brille moins sur les autres formes d'électrification. Des véhicules hybrides rechargeables et électriques, il y en a bien quelques-uns mais peu.
La gamme zéro émission ne comprend ainsi que des véhicules utilitaires conçus en partenariat avec Stellantis et un modèle 100 % Toyota… qui peine à se faire un nom dans la catégorie des SUV compacts électriques. Depuis le début de l'année, 22 559 exemplaires ont été immatriculés… en Europe. Le Tesla Model Y, bien qu'en petite forme, peut dormir sur ses deux oreilles avec 180 682 unités écoulées sur la même période.
Un manque de succès qui fait qu'on s'interroge en interne. Parmi les possibles raisons expliquant son manque de succès, il y aurait son appellation complexe.
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Beyond zero
Une appellation qui nécessite - il est vrai - un décryptage pour la comprendre. “bZ” est la contraction de “beyond Zero” car ce modèle est zéro émission. “4” car il s'agit d'un véhicule de taille moyenne. Plus on descend en gamme et plus on s'approche du zéro et inversement. Enfin, il peut y avoir une lettre supplémentaire comme ici un “X” signifiant qu'il est un crossover. Mais on peut également trouver un “C” pour coupé.
Selon nos confrères québécois de Motor Illustrated, cette complexité aurait convaincu Toyota de revoir sa copie. Le responsable Toyota de la zone Québec et Canada Atlantique a ainsi annoncé qu'il va bientôt changer de nom.
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Pas avant 2026 sans doute
Ce ne serait pas exactement pour tout de suite. Sachant que le millésime 2025 a déjà été lancé, les paris sont lancés sur le modèle 2026. Il n'est pas dit que ce changement se fasse partout dans le monde. Pourtant, nous avons des raisons d'y croire.
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Le cas de l'Urban Cruiser
Récemment, Toyota a levé le voile sur son tout nouveau véhicule 100 % électrique. Tout le monde imaginait qu'il allait prendre l'appellation bZ2X. Et pourtant, la marque nippone a préféré ressortir une vieille appellation du placard, Urban Cruiser. Un nom qui avait été porté par un SUV urbain vers la fin des années 1990 et qui n'avait pas rencontré le succès escompté.
Dans ces conditions, et sachant que le bZ4X devrait justement être restylé dans le courant de l'année à venir, on verrait bien Toyota en profiter pour modifier le nom de son SUV zéro émission.
Source.
Isack Hadjar sera le nouveau visage de la France en Formule 1 mais également de Red Bull. Il dispose d'un contrat d'un an pour faire ses preuves et poursuivre son engagement avec l'écurie Racing Bulls. Et il existe des conditions très précises pour qu'il poursuive son aventure dans la discipline. Les voici.
On le sait, Red Bull est impitoyable avec ses pilotes. Une filière d'excellence qui peut parfois faire de gros dégâts dans ses rangs mais produire également de très grands champions. Max Verstappen en est le meilleur exemple. En 2025, un nouveau pilote de la filière Red Bull fera ses débuts en F1. Il s'agit d'Isack Hadjar. Le jeune homme de 20 ans vient d'être titularisé par Racing Bulls, sous la protection de Helmut Marko. Mais si piloter en F1 est une chance pour le talentueux jeune homme, elle est également synonyme d'une énorme pression. Isack Hadjar n'aura que quelques courses pour convaincre les patrons de Red Bull de le conserver en 2026.
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Un contrat d'un an avec une seconde en option
Ainsi, selon les informations de Sportune, Isack Hadjar ne disposerait que d'un contrat d'un an avec une seconde année en option. Et celle-ci serait conditionnée à un certain nombre de points à inscrire par rapport à son équipier, Yuki Tsunoda.
Concrètement, Isack Hadjar devra inscrire 70% des points de son coéquipier avant la trêve 2025, soit le 14e Grand Prix de la saison en Hongrie. S'il y parvient, son contrat sera automatiquement prolongé d'un an. Dans les faits, si Yuki Tsunoda marque 10 points d'ici au Grand Prix de Hongrie, Isack Hadjar devra en avoir inscrit 7.
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Un salaire annuel de moins d'un million d'euros
Sportune livre également des informations sur le salaire du jeune pilote Racing Bulls pour 2025. Selon le média, Isack Hadjar touchera 800 000€ pour cette première année de contrat. À cela s'ajoutent sans doute des primes en fonction des résultats. Si son contrat est prolongé en 2026, cette rémunération augmentera sans doute.
Crédit photo : Dutch Photo Agency / Red Bull Pool Content
Comme dans toutes les grandes villes de France, la ZFE lyonnaise évolue au 1er janvier prochain. Principale conséquence, des dizaines de milliers de voitures ne pourront plus y circuler à partir de 2025. On fait le point sur ces interdictions.
À partir du 1er janvier prochain, les voitures Crit'Air 3 ne sont plus autorisées à rouler dans la ZFE du Grand Lyon. Concrètement, ce sont les voitures Diesel immatriculées avant le 1er janvier 2011 et avant le 1er janvier pour les véhicules essence. Cela exclut 60 000 nouvelles voitures selon l'Insee. Ce qui porte le total à plus de 305 000.
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Existent-ils des dérogations ?
Oui. La métropole du Grand Lyon met en place deux dérogations pour les automobilistes qui n'ont théoriquement plus le droit de rouler dans la ZFE. La première porte le nom de “petit rouleur”. Elle donne le droit à s'introduire dans cet espace “protégé” 52 fois dans l'année. Soit une fois par semaine en moyenne. Elle est éligible pour les particuliers et les professionnels.
La seconde vient d'être annoncée. Elle concerne les personnes qui travaillent en horaires décalés et possèdent un véhicule Crit'Air 3. Une attestation qui doit être fournie par l'employeur. Elle est valable un an et renouvelable une seule fois.
Le périmètre de la ZFE du Grand Lyon
La ZFE du Grand Lyon regroupe plusieurs communes et plusieurs axes routiers. Elle est active 24h/24 et 7j/7 contrairement à la ZFE du Grand Paris par exemple qui se veut plus souple.
Les communes concernées par la ZFE
Lyon
Caluire-et-cuire
Villeurbanne
Bron
Vennissieux
Les voies concernées par la ZFE
M6
M7
Boulevard périphérique Nord Lyon
Boulevard périphérique Laurent Bonnevay
Quelles amendes en cas de non-respect ?
Sur le papier, le fait de ne pas respecter les restrictions de la ZFE est passible d'une amende de 68 euros pour les deux roues, les voitures particulières et les utilitaires légers (VUL). Elle grimpe à 135 euros pour les poids lourds, cars et autocars.
4e marque la plus vendue sur notre territoire, Toyota est en pleine forme. L'année prochaine, elle pourra compter sur de nombreuses nouveautés, dont deux très importantes.
Sur un marché en baisse de presque 24 % depuis le début de l'année, Toyota fait mieux que se défendre avec des ventes en progression de près de 22 %. Son secret ? Toujours le même, l'hybridation. Alors que les modèles électriques stagnent sur le plan commercial, freinés par une conjoncture non favorable et de nombreuses incertitudes quant à leur avenir (tous les constructeurs reviennent en arrière sur leur stratégie d'électrification), les Français font néanmoins attention à leurs rejets de CO2 et l'hybride gagne toujours plus de terrain avec 41,8 % de part de marché pour toutes les formes cumulées (légère, full hybrid et hybride rechargeable).
La marque nippone en profite clairement avec ses Yaris et Yaris Cross qui se vendent toujours aussi bien, le dernier venu ne cannibalisant pas les ventes de l'autre - ce qui est assez rare pour être souligné. Le nouveau C-HR pullule déjà sur nos routes. Quant à la Corolla, elle continue à progresser malgré son grand âge (elle a été lancée en 2018).
En résumé, l'avenir est plutôt radieux. Et, de toute façon, elle pourra compter sur une ribambelle de nouveautés en 2025 pour conforter ce beau succès.
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Lancé en même temps que la mini-citadine T03 a fait son retour, le SUV compact n'était jusque-là disponible qu'en électrique. Une nouvelle variante avec prolongateur d'autonomie sera lancée au Salon de l'automobile de Bruxelles.
Même si l'on avait appris aux essais presse des T03 et C10 que Leapmotor - la nouvelle acquisition d'origine chinoise du géant automobile - pourrait lancer des voitures électriques avec prolongateur d'autonomie, nous ignorions que le SUV familial C10 serait le premier à profiter de cette solution. Ce sera le cas et il sera exposé au Salon de l'automobile de Bruxelles en janvier.
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Le Leapmotor C10, c'est quoi déjà ?
Pour rappel, le C10 est un SUV de grande taille (4,74 m) ayant dans son viseur des modèles comme le Peugeot e-5008 (4,79 m) ou le Tesla Model Y (4,75 m). Par ses prix, il évolue plutôt néanmoins deux catégories en dessous avec un ticket d'entrée inférieur, à peine au-dessus des 36 000 €. C'est moins qu'un Peugeot e-2008 (39 250 €) pourtant 44 cm plus courts. Ultra-concurrentiel.
Une autonomie limitée
En contrepartie, il fallait se contenter d'une batterie assez juste pour la catégorie (69,9 kWh) et donc d'un rayon d'action limitée (420 km au mieux selon la marque). De quoi freiner les familles en quête d'un véhicule polyvalent.
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