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Les ventes de voitures neuves ont encore baissé en 2024, “fini de rigoler” !

Sans trop de surprises, le marché automobile français termine l'année 2025 dans le rouge. Plusieurs représentants du secteur tirent la sonnette d'alarme. 2023 aura-t-elle été “une parenthèse dans une normalité ancrée sous les 1,7M d'unités en moyenne depuis la crise du Covid” ? C'est la question que se posent avec justesse les experts d'AAA Data. C'est que, sans que l'on s'en étonne vraiment, l'année 2024 n'aura pas été meilleure que le précédent cru. Elle aura même été moins bonne avec des immatriculations en recul de 3,2 % par rapport à 2023. Pire, par rapport à 2019 (juste avant la pandémie), la baisse s'établit à -22,39 %. Selon le délégué général de Mobilians, Xavier Horent (organisation patronale qui représente le secteur de la distribution automobile), “2024 se place à la 7ème position des pires années sur un demi-siècle”. Et il y a même plus gênant encore dans cette histoire… Le leasing social n'aura pas servi à grand-chose C'est que 2024 avait démarré sur les chapeaux de roues. Une raison à cela, le dispositif gouvernemental permettant de s'offrir une voiture électrique pour 100 € par mois, parfois beaucoup moins, qui a connu beaucoup de succès avec environ 50 000 dossiers validés (on attend toujours les détails du gouvernement). S'il n'avait pas été mis en application, le marché serait donc sans doute sous les 1,7 million d'unités. Lire aussi - Leasing social en 2025 : nouvelles infos sur le retour de la voiture à 100€ par mois La voiture électrique stagne D'ailleurs, malgré ce coup de pouce, les ventes de voitures électriques ont stagné. Leur part de marché s'établit à 16,9 %, c'est seulement 0,1 % de plus qu'en 2023. Les volumes sont même en baisse de 2,5 % (291 143 immatriculations au total). C'est simple, c'est la première baisse depuis que les modèles zéro émission ont été mis en avant par les pouvoirs publics. Inquiétant alors que l'objectif de 2035 se rapproche et que les constructeurs vont devoir vendre environ 20 % à 25 % de véhicules électriques pour ne pas payer des amendes faramineuses avec le durcissement de la norme CAFE en 2025. La Renault 5 pour aider le marché en 2025 ? Ce qui pourrait aider malgré tout, l'arrivée en masse de modèles (un peu) plus accessibles. Une Renault 5 sous les 30 000 €, c'est toujours mieux qu'un Tesla Model Y au-dessus des 40 000 €, mais cela reste moins bien qu'une Renault Clio démarrant sous les 20 000 €. Les voitures hybrides gardent la tête hors de l'eau Parce que les Français n'adoptent pas en masse les voitures électriques, peut-on dire pour autant qu'ils ne prêtent pas attention à leur bilan carbone ? Pas tout à fait car les voitures purement thermiques se sont effondrées l'année dernière. Les modèles essence ont chuté de près de 21 % et les diesel de plus de 27 %. Une voiture neuve sur 5 vendues est hybride Les grandes gagnantes de 2024, ce sont les voitures hybrides avec, en premier lieu, les full hybrid ou hybrides auto-rechargeables (comme les Toyota Yaris et Renault Clio) dont la part a augmenté de presque 5 points pour atteindre 19,5 %. Les véhicules à hybridation légère ont également le vent en poupe avec 5,1 points de part de marché en plus. Enfin, les hybrides rechargeables sauvent les meubles avec 8,5 % de part de marché, une baisse de seulement 0,5 point. De sombres perspectives Qu'à cela ne tienne, ces petites victoires ne suffisent pas à rassurer les experts du secteur. Et ce n'est pas la légère progression au mois de décembre mettant fin à 7 mois de baisses consécutives qui va changer quoi que ce soit à leur position. En même temps, si le marché termine à +1,47 % en décembre, c'est parce qu'il y avait un jour ouvré en plus. En appliquant la correction, on se retrouve à -3,36 %, il n'y a pas de quoi pavaner. Pour Xavier Horent, “la crise automobile est le reflet de la crise politique française et des labyrinthes dogmatiques bruxellois”. Vincent Salimon, patron de BMW France (une marque qui s'en sort pourtant avec les honneurs avec +14,3 %), voit carrément rouge. Selon lui, “les politiques en place sont presque parfaites pour ne pas renouveler le parc, pour renchérir le marché du véhicule d'occasion, pour ralentir les ventes de véhicules 100% électriques”. “Fini de rigoler. Il est temps de sonner la fin de la récréation !”, ajoute-t-il. Des paroles qui seront entendues ? Crédit photo : Adobe Stock.

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Mercedes en 2025, un festival de nouveautés au programme

La marque à l'Étoile n'a pas que la nouvelle génération de CLA dans sa sacoche pour l'année prochaine. Non, bien au contraire, c'est sans nul doute le constructeur qui a le programme le plus chargé en 2025. Les derniers résultats de Mercedes ne sont pas bons. Au dernier trimestre, les bénéfices ont ainsi diminué de moitié. Des difficultés que la marque attribue surtout à une compétition féroce en Chine. Force est de constater que même en Europe, l'heure n'est pas à la fête. La plupart des best-sellers ont vu leurs ventes baisser depuis le début de l'année : la Classe A (-3 %), la Classe C (-29 %), les GLA et GLC (respectivement -18 % et -6 %). Le constructeur de Stuttgart serait bien contraint de revoir dans un avenir pas trop lointain sa stratégie qui consiste à monter en gamme puisque, sur les segments supérieurs, les ventes sont carrément franchement décevantes (la Classe S plonge de 32 % et le SL de 57 %). Qu'à cela ne tienne, avec une gamme toujours aussi riche, le programme de nouveautés permet à la marque de sauver les meubles et de faire preuve de dynamisme. En 2025, de nombreux modèles sont attendus. Voir aussi - Notre page dédiée aux essais et nouveautés Mercedes Lancement du Mercedes-Maybach SL
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PHOTOS - Rétromobile 2025 : une Renault 5 Turbo 2 à vendre, elle a peu de km au compteur

À l'heure où Renault s'apprête à relancer la Renault 5 Turbo dans une version électrique, la maison RM Sotheby's va proposer début février prochain une Turbo 2 aux enchères dans le cadre de sa vente organisée en parallèle du salon Rétromobile. La Renault 5 Turbo 2 a été produite entre 1983 et 1986 à 3200 exemplaires environ. Cet exemplaire en blanc perle est sorti des lignes de production des usines Renault le 30 janvier 1984 d'après les archives du constructeur français. Un modèle équipé d'un moteur quatre cylindres de 1,4 litre pour une puissance de 160 chevaux. Au rang des équipements, notons la présence des vitres électriques. Voir aussi - notre page dédiée aux nouveautés et essais Renault Plus de 30 ans au Japon Si nous ne connaissons pas grand-chose du début de sa vie, nous savons que la citadine sportive a pris la direction du Japon en octobre 1988. Elle y restera pendant 33 ans. Elle sera vendue à un Allemand en juillet 2021 qui la rapatriera en Grand-Bretagne. Ce dernier a décidé de la vendre aux enchères début février prochain par l'intermédiaire de la maison de vente aux enchères RM Sotheby's. Son prix est estimé entre 80 000 et 100 000 euros. Elle affiche un peu plus de 10 000 km au compteur. Voir aussi - notre page dédiée à la Renault 5 électrique Pas la voiture la plus chère de la vente Cette Renault 5 Turbo 2 n'est clairement pas le lot le plus cher de la vente qui aura lieu au Louvre les 4 et 5 février prochains. RM Sotheby's proposera des lots bien plus prestigieux comme une Ferrari 250 LM qui a remporté les 24h du Mans ou encore une Bugatti Centodieci. La première est estimée à 25 millions d'euros quand la supercar alsacienne devrait partir pour un prix compris entre 10 et 15 millions d'euros. Lire aussi - Nouvelle Renault 5 Turbo 3 électrique : du concept à la série, la citadine se lâche Crédit photo : Keno Zache - RM Sotheby's.

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Salaires en F1 : Lando Norris a quasiment triplé son salaire en 2024 grâce aux primes

En 2024, Lando Norris s'est révélé comme étant le plus sérieux rival de Max Verstappen pour le titre mondial. Le pilote McLaren s'est montré capable de gagner des Grand Prix et de rivaliser avec son ami sur la piste. Sa rémunération aussi a passé un cap en 2024. Selon les informations du magazine Forbes, Lando Norris a touché 35 millions de dollars sur l'exercice 2024 de Formule 1. Sa rémunération annuelle se découpe en deux parties. Il a d'abord touché 12 millions de dollars en salaire fixe auquel il faut ajouter 23 millions de dollars en prime de résultats. Il faut dire que le pilote britannique a fait fort en 2024 avec une saison très solide. Voir aussi - le calendrier 2025 de la F1 Premières victoires et un titre constructeurs à la clé En 2024, Lando Norris est parvenu à signer ses premières victoires en Grand Prix. Il en a remporté quatre au total : à Miami au printemps puis cet été aux Pays-Bas et à Singapour et Abu Dhabi cet automne. Il faut ajouter aux victoires, 9 podiums et 8 pole positions. La cerise sur le gâteau étant bien sûr le titre constructeurs obtenu pour McLaren. Le premier pour l'écurie britannique depuis 1998 ! Voir aussi - le salaire des pilotes de F1 en 2024 Le résumé vidéo du GP de Miami

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Dakar 2025 : l’ancien copilote de Sébastien Loeb ne donne pas de favori

Cette année, Daniel Elena, copilote de Sébastien Loeb pendant 23 ans, est consultant pour la chaîne L'Équipe sur ce Dakar 2025 en Arabie saoudite. Sur le site du quotidien sportif, il se refuse à donner un favori pour la catégorie auto. Daniel Elena connaît bien le Dakar. Il a disputé cinq éditions du plus célèbre des rallyes-raid et il est monté sur le podium à deux reprises avec Sébastien Loeb. Mais le Monégasque connaît également très bien les autres favoris à la victoire finale dans la catégorie auto. Il a été équipier de Carlos Sainz, le tenant du titre chez Ford. Idem pour Nani Roma. Et il a également travaillé avec le copilote de Guillaume de Mévius, dauphin de Carlos Sainz en 2024, chez Mini, Mathieu Baumel. Au moment de se prêter au jeu des pronostics, Daniel Elena a botté en touche : ““Je n'en ai pas. D'un côté, il y a des jeunes loups aux dents longues avec des voitures vues et revues, fiables, les Toyota et les Mini. De l'autre, des vieux renards et des anciens vainqueurs du Dakar avec des voitures neuves dont on ne connaît pas la fiabilité à 100 % sur quinze jours. C'est très ouvert”. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Que devient-il depuis sa séparation sportive avec Sébastien Loeb ? Depuis que le duo Loeb - Elena est séparé, ce dernier est devenu papa pour la seconde fois. Il a également monté son entreprise avec sa femme. Celle-ci est dédiée aux goodies et au textiles du sport automobile. Et s'il ne dit ferme pas la porte à un retour, ce ne sera pas à haut niveau : “On a notre boîte à faire tourner et notre fille à élever. On refera du sport auto quand elle sera un peu plus grande. Mais si je reprends, ce sera dans la peau d'un passionné, avec mon épouse, pour prendre du plaisir, m'amuser”. Lire aussi - Dakar 2025 : sur quelle chaîne regarder le rallye-raid ? Crédit photo : Flavien Duhamel / Red Bull Content Pool.

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ESSAI - Porsche Macan Propulsion (2024) : le plus authentique de la gamme ?

Le Macan passe à la propulsion ! Porsche crée une déclinaison inédite de son SUV à succès, dont la conception a tout pour répondre aux objectifs de l'allemand : proposer le véhicule le plus sportif, quel que soit le segment. De ses performances électriques à ses qualités dynamiques, en passant par son design et ses nombreux équipements, le Porsche Macan Electric en propulsion a de quoi voler la vedette au reste de la gamme. Le Porsche Macan, c'est une belle success-story pour le constructeur. Lancé en 2014, le SUV compact et polyvalent s'écoule à plus de 44 000 exemplaires dès sa première année. Sur les 10 dernières années, il représente 7 fois la meilleure vente pour la marque. Sans surprise, il est également le modèle le plus plébiscité sur le marché français, et le premier à opérer une transition totale vers l'électrique. C'est donc en toute logique que la marque propose une version « d'entrée », pour compléter les plus puissants Macan 4, Macan 4S et Macan Turbo. Et il faut bien l'avouer, après une virée sur les routes marocaines et quelques glisses dans le désert d'Agafay, c'est peut-être celui qu'on préfère ! Notre essai du Porsche Macan Propulsion. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Porsche Un Porsche Macan électrique flatteur Notre modèle du jour, c'est donc le Porsche Macan en transmission propulsion. Mais s'il est le plus accessible de la gamme, il n'en n'est pas moins flatteur. Le SUV 100% électrique reprend en effet et tout naturellement le langage esthétique des BEV de Stuttgart. On y retrouve ainsi les feux avant à 4 éléments LED, suivis d'un capot assez plongeant et entourés d'ailes galbées. Une face avant qui en impose tout en conservant une certaine compacité, puisqu'il n'y a plus de moteur à l'avant mais un frunk de 84 litres à la place. La silhouette du SUV affiche la Fly Line caractéristique des modèles du constructeur, cette ligne de toit fuyante, qui s'arrondit subtilement et se connecte aux feux arrière. Notons toutefois que le Porsche Macan électrique perd son petit becquet supérieur, ce qui « lisse » peut-être un peu trop l'allure du SUV compact. Porsche reste néanmoins attentif à l'aéro, avec l'aileron actif permettant de réduire la traînée.
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Le programme de DS en 2025 : quelles nouveautés pour le constructeur français ?

Après des années 2023 et 2024 plutôt calmes, le cru 2025 sera nettement plus attrayant avec au moins deux grandes nouveautés, et sans doute une supplémentaire. Depuis le restylage des DS 3 et DS 7 en 2022, il ne s'est pas passé grand-chose hélas chez DS Automobiles. En outre, les facelifts n'ont pas aidé les deux modèles suscités à se maintenir avec des ventes en baisse de respectivement 10 % et 25 %. Il était temps que le constructeur automobile premium français insuffle un vent de fraîcheur dans sa gamme. C'est prévu pour 2025 ! Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés DS DS 4 électrique
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Citroën, Renault, Skoda, Volkswagen, etc. Voici les 10 SUV qui vont compter en 2025

Parce qu'ils sont toujours autant appréciés des acheteurs, il nous semblait indispensable de réaliser un gros plan sur les SUV incontournables de la nouvelle année. C'est parti ! Ils ont beau être attaqués de toutes parts, il n'empêche que les SUV progressent encore et toujours. En 2024, leur part de marché est passée de 47 % à 49 %. Oui, près d'un modèle neuf vendu sur deux en est un. En d'autres termes, ils comptent pour vous. Aussi avons-nous pensé à vous : voici une sélection de modèles qui vont compter en 2025. Alpine A390 électrique Audi Q3 BMW iX3 Citroën C5 Aircross DS N°8 électrique Range Rover électrique Renault Austral Skoda Epiq Tesla Model Y Juniper Volkswagen T-Roc
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La nouvelle Dodge Charger disponible en Europe en 2025 !

Bonne nouvelle pour les amateurs de “muscle cars” américaines, la dernière génération de Charger pourrait poser ses roues en Europe dès l'année prochaine. Oui, la législation européenne est particulièrement contraignante, mais il n'empêche que les habitants du Vieux Continent sont en mal de voitures plaisir. Or, il semblerait que les constructeurs automobiles aient entendu leurs doléances puisqu'elles font peu à peu leur retour. Après la commercialisation de la MG Cyberster, l'annonce du retour de la Honda Prelude prévu pour 2026, voilà qu'une américaine pourrait débarquer sur nos routes l'année prochaine, la Dodge Charger. Voir aussi - notre page dédiée aux nouveautés Dodge Vers la fin 2025 “Elle sera disponible auprès des importateurs en Europe”, a annoncé un porte-parole du groupe à nos confrères de Carscoops. Il ne semble donc pas question de relancer la marque en Europe. Qui sait, si la sportive séduit le public européen, peut-être songera-t-on à revoir cette position ? Voir aussi - notre page dédiée à la Dodge Charger

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Bonus, ZFE, carte grise, etc. l’addition sera lourde pour les automobilistes en 2025 !

La nouvelle année approchant, faisons le point sur ce qui va évoluer pour les automobilistes dès le 1er janvier 2025 ou plus tard durant l'année. Et en l'occurrence, les mauvaises nouvelles vont globalement s'accumuler. La situation politique a beau être pour le moins complexe en France, le pays n'est pas en situation de blocage complet. Sur le plan de la réglementation automobile, de nombreuses évolutions sont attendues en 2025. Regardons cela de plus près. Bonus, prime à la conversion, leasing social… le point sur les aides à l'achat d'une voiture électrique Pour le coup, les nouvelles dispositions concernant les aides à l'achat sont en vigueur depuis le début du mois de décembre, mais une piqûre de rappel sera tout sauf inutile. Première chose, la prime à la conversion est purement et simplement supprimée. 4000€ de bonus écologique maximum en 2025 Le bonus est pour sa part raboté. Désormais, on peut espérer au mieux 4 000 € de déduction pour l'achat d'une voiture électrique coûtant moins de 47 000 € et pesant moins de 2,4 tonnes. C'est le cas pour les Français ayant un revenu fiscal de référence par part (RFR/part) inférieur ou égal à 16 300 euros. Il s'élève à 3 000 € pour ceux dont le RFR/part est supérieur à 16 300 euros et inférieur ou égal à 26 200 euros et à 2 000 € pour tous les autres. À noter que seuls les acheteurs particuliers peuvent encore profiter de ce coup de pouce de l'État, pas les entreprises. Jusqu'à 9000€ pour la prime rétrofit La prime rétrofit est maintenue. On peut toujours déduire de 500 € à 9 000 € en transformant son véhicule thermique en une voiture hybride rechargeable ou 100 % électrique selon que l'on soit un particulier ou une entreprise. Les détails sont listés ici. Le leasing social de retour mi-2025, normalement Reste la question épineuse du leasing social. Après le grand succès de ce dispositif en 2024, l'État envisageait de relancer cette opération durant la seconde partie de l'année 2025. Toutefois, le gouvernement Barnier a chuté depuis lors. Sa reconduction dépendra de la tenue de celui de François Bayrou. La carte grise toujours plus chère dans de nombreuses régions ! Le montant du cheval fiscal augmente le 1er janvier 2025 dans plusieurs régions. Il passera de 46 à 60 € en Normandie, de 55 à 60 € dans la région Centre-Val de Loire, de 51,20 à 59 € dans la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, de 45 à 53 € en Nouvelle Aquitaine et enfin de 48 € à 60 € dans le Grand Est. Hausse de 60% en Corse La Corse va également perdre sa couronne de région la moins chère de France puisque le prix du cheval va évoluer de 27 € à 43 €, ce qui représente une hausse non négligeable de 60 % ! Enfin, la Bretagne va également revoir le montant du cheval fiscal en 2025 mais seulement à partir du 1er février. Là aussi, le plafond de 60€ sera atteint. Petit lot de consolation, pour toute demande d'un certificat d'immatriculation, le document vous sera désormais envoyé par voie postale selon un arrêté datant du 13 décembre dernier. Les ZFE vont pousser comme des champignons Cela avait été décidé longtemps à l'avance, et même si l'État est quelque peu revenu sur certaines de ses décisions, les Zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) vont se multiplier dès le 1er janvier. Outre celles de Lyon et Paris qui vont devoir interdire les véhicules Crit'Air 3 et celles qui existaient déjà mais n'ont pas pour obligation d'aller plus loin en matière de restrictions (mais peuvent le faire et vont pour certaines se montrer plus sévères), de nombreuses nouvelles métropoles doivent interdire les modèles non classés (toutes les voitures datant d'avant 1997) dès le 1er janvier. Vu leur nombre, il y en a forcément une à côté de chez vous. Lire aussi - ZFE : plus de 2,7 millions de voitures bannies en 2025, êtes-vous concerné ? Fin de la circulation interfiles Elle avait été prolongée, la circulation interfiles sur les voies rapides et autoroutes prend fin au 31 décembre 2024. À compter de la nouvelle année, les deux-roues et trois-roues motorisés ne pourront plus circuler entre les voitures dans les périodes de forte affluence. Reste aux services de l'État de déterminer si cette expérimentation a été profitable et si elle peut être intégrée au Code de la route. En attendant, le fait de continuer à le faire vous expose à un retrait de 3 points sur le permis de conduire et à une amende forfaitaire de 135 €. Le contrôle technique moto étendu Depuis l'année dernière, le contrôle technique des deux-roues et trois-roues motorisés ainsi que des quadricycles légers (accessibles sans permis) et lourds (avec permis B1) est obligatoire. Toutefois, il avait été décrété qu'il serait mis en place progressivement. Après les modèles datant d'avant 2017, il s'étendra en 2025 aux deux-roues, trois-roues et quadricycles légers et lourds immatriculés entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019. Augmentation annuelle pour les péages Évidemment, qui dit nouvelle année dit augmentation du prix des péages. Impossible de ne pas y couper, hélas. Comme toujours, la hausse est prévue pour le 1er février 2025. Le ministère des Transports a promis que ce serait “la plus faible depuis 2021” et qu'elle serait “bien inférieure à l'inflation”. Elle devrait s'élever en l'occurrence en moyenne à +0,9 %. À titre de comparaison, on était à +3 % en moyenne au 1er février 2024 et +4,75 % un an plus tôt. Il y a du mieux, incontestablement.

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2025, l’année des voitures électriques accessibles ?

Même s'il est en danger, l'objectif d'interdire la vente de voitures thermiques neuves à l'horizon 2035 est pour le moment maintenu. L'arrivée de nombreux modèles de petite taille et donc moins chers pourrait enfin aider à démocratiser cette solution. Avec des ventes qui ont baissé de 5,4 % depuis le début de l'année dans l'Union européenne et une part de marché en régression de 0,8 point à un toujours très faible 13,4 %, la transition vers le tout électrique décidée par les Etats membres est en grande difficulté. D'ailleurs, la quasi-totalité des constructeurs font aujourd'hui machine arrière et ont décidé de poursuivre l'aventure du thermique pendant encore quelques années. Si l'année 2024 a été marquée par de nombreuses nouveautés électriques de petite taille plus adaptées aux besoins des Européens que les gros SUV et les grandes berlines proposées jusque-là, les deux prochaines seront décisives. D'une part, les véhicules lancés récemment prendront leur envol commercial. Nous regarderons de très près les performances de la Renault 5, du Hyundai Inster ou de la Citroën ë-C3. Enfin, les modèles “accessibles” vont se multiplier. Par “accessibles”, nous entendons les SUV urbains sous les 30 000 €, les citadines sous les 25 000 € ainsi que les mini-citadines sous les 20 000 € avant déduction du bonus écologique. Nous vous proposons de revenir en images sur les nouveautés électriques déjà lancées et celles qui arrivent. Et comme vous allez pouvoir en juger par vous-même, nous ne mentons pas quand nous disons qu'elles vont se multiplier ! Celles qui sont déjà là La Dacia Spring de retour au top niveau en 2025 ? Nous avons déjà évoqué certaines d'entre elles, sans doute les plus importantes. Quoique… Avec la baisse du coup de pouce de l'Etat, la Dacia Spring pourrait reprendre des couleurs dans les prochains mois. Renouvelée en profondeur avec brio en début d'année, la citadine roumaine prend ses distances avec la ë-C3 question tarifs. Dans le même temps, la Leapmotor T03 (du même groupe Stellantis) qui aurait pu lui mener la vie dure n'est toujours pas éligible au bonus. Et il se pourrait que le gouvernement revoit ses textes dans les prochains mois pour pénaliser les voitures comme elles qui sont produites en kit. Les ventes de la Spring ont progressé en fin d'année, ne reste plus qu'à voir s'il s'agit d'un simple phénomène passager provoqué notamment par l'arrivée en concessions des modèles restylés. Voir aussi - notre page dédiée à la Dacia Spring

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Dakar 2025 : sur quelle chaîne regarder le rallye-raid ?

J-2 avant le départ de l'édition 2025 du Dakar en Arabie saoudite. Avant que les choses sérieuses ne démarrent pour Sébastien Loeb et ses concurrents pour la victoire finale, voici un petit guide pour suivre l'épreuve au plus près. Vous vous en doutez, suivre une épreuve aussi longue que le Dakar en direct est quasiment impossible. Il faudrait des moyens humains et techniques conséquents, ne serait-ce que pour suivre les favoris à la victoire dans les catégories auto et moto. Pour suivre chaque jour les moments forts des étapes, il faut donc s'en remettre aux images du diffuseur. Cette année pour la France, c'est la chaîne L'Équipe qui possède les droits de retransmission. Chaque étape aura le droit à trois temps forts dans la journée. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Le Dakar 2025 à la télévision Sur la chaîne L'Équipe Premier rendez-vous dédié de la journée, ce sera à 11h50 en direct avec les journalistes Messaoud Benterki, France Pierron et Mylène Dorange en Arabie saoudite. Ils couvriront l'arrivée des spéciales et proposeront une multitude de réactions. Deuxième temps fort de la journée avec “Le journal du Dakar”. Ce sera à 18h10 avec un format court (cinq minutes) qui reviendra sur l'étape du jour et les enjeux des étapes à venir. Dernier rendez-vous de la journée : “Le grand résumé”. Il sera diffusé de 20h05 à 21h. Il reviendra sur toutes les images fortes de la journée pour chaque catégorie et proposera toutes les réactions. Une sorte de session de rattrapage. Sur Eurosport et Eurosport 2 Du 3 au 11 janvier, Eurosport proposera un résumé de 52 minutes des meilleurs moments de la journée à 21h Du 12 au 17 janvier, ce rendez-vous bascule sur Eurosport 2, toujours à 21h Sur France Télévisions Rendez-vous sur France 3 tous les soirs dans Tout le sport à 19h50 du lundi au samedi et dans l'émission Stade 2 le dimanche de 20h05 à 21h05. L'ancien co-pilote de Sébastien Loeb consultant

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PHOTOS - Les nouveautés 2025 de BMW en images

Découverte en avance et en photos des nouveautés qui marqueront l'année 2025 chez BMW. En pleine forme en 2024, BMW peut envisager l'avenir sereinement. Un futur qui sera toujours plus électrifié mais dans lequel les voitures de sport thermiques auront toujours parfaitement leur place. La preuve en images. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés BMW

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PHOTOS - Le programme des nouveautés 2025 de Fiat en images

Après une année 2024 difficile sur le plan commercial pour le constructeur transalpin, l'année 2025 pourrait être celle de la relance grâce aux nouveautés qu'il va lancer. On fait le point. L'exercice 2024 est à oublier pour Fiat. Le constructeur a dû faire face à de nombreuses difficultés. Notamment avec la 500 électrique qui ne rencontre pas le succès escompté. Pour se relancer en 2025, la marque espère pouvoir compter sur la Grande Panda électrique et sa déclinaison hybride mais également sur la Fiat 500 hybride qui viendra compléter l'offre électrique. Enfin, un SUV pourrait voir le jour et porter un nom mythique chez le constructeur : Multipla. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Fiat
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PHOTOS - Le programme des nouveautés Mercedes pour 2025 en images

Mercedes nous promet un programme riche en 2025. Probablement l'un des plus chargés des constructeurs européens. On fait le point en images sur ce qui nous attend. Alors que les ventes sont en baisses, y compris en Europe, Mercedes a un joli panel de nouveautés dans sa besace pour l'année à venir. En particulier sur l'électrique. On attend un concept de van électrique haut de gamme pour une version de série attendue en 2026, un SUV de 1000 chevaux conçu par la division AMG mais également le nouveau CLA qui sera disponible en tout électrique mais également en hybride. Voir aussi : notre page dédiée aux essais et nouveautés Mercedes
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Dakar 2025 : Sébastien Loeb et son équipe livrent les secrets du Dacia Sandrider

J-3 avant le départ du Dakar 2025. L'occasion pour Sébastien Loeb et ses équipiers Dacia de livrer les secrets de la voiture qui doivent leur permettre d'aller chercher la victoire cette année : le Dacia Sandrider. C'est vendredi que les concurrents du Dakar 2025 s'élancent pour disputer l'épreuve. Cela commencera doucement avec un prologue qui permettra de connaître l'ordre de départ de la 1ère étape de samedi. Cette année, l'équipe Dacia arrive en force. Elle compte dans son équipe un quintuple vainqueur de l'épreuve, Nasser Al-Attiyah, une pilote espagnole d'expérience, Cristina Gutierrez, et un nonuple champion du monde des rallyes WRC, Sébastien Loeb. Ce dernier est d'ailleurs la star du Dakar et un favori pour la victoire. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Les secrets du Dacia Sandrider en vidéo
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PHOTOS - Quelles nouveautés chez Cupra et Seat en 2025, on fait le point

Après une année agitée chez Cupra, c'est du côté de Seat que le plus des nouveautés est attendu en 2025. On fait le point sur ce que les deux constructeurs espagnols nous réservent. Chez Seat, nous attendons un second restylage pour l'Arona et l'Ibiza après celui de 2021. Nous attendons des nouvelles d'un quadricycle électrique qui pourrait porter le nom de Seat Minimo. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Seat Chez Cupra, la Cupra Born devrait avoir le droit à un restylage alors qu'une présentation officielle de la Cupra Raval, la voiture électrique à moins de 25 000€ pourrait avoir lieu en fin d'année. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Cupra
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Salaires en F1 : ce que la Scuderia Ferrari a versé à Charles Leclerc en 2024

Charles Leclerc a passé un cap en 2024 dans sa carrière en Formule 1. S'il n'a pas été en mesure de lutter pour le titre, il s'est montré très complet en remportant plusieurs courses. Mais qu'a-t-il touché en tant que pilote de la Scuderia Ferrari ? La réponse ci-dessous. Charles Leclerc a perçu 27 millions de dollars en cette saison 2024 de Formule 1. La Scuderia Ferrari lui a versé un salaire fixe de 15 millions de dollars selon le magazine Forbes. À cela, il faut ajouter 12M$ de primes. Des primes qui auraient pu être plus conséquentes si l'écurie italienne était parvenue à décrocher le titre mondial des constructeurs. Il est le 5e pilote le mieux payé de la grille. Voir aussi - le calendrier 2025 de la F1 Une saison 2024 pleine Sur le plan des résultats, Charles Leclerc a réalisé une très belle saison. Il a remporté trois Grand Prix (Monaco, Italie et États-Unis). À cela il faut ajouter trois pole positions et 10 podiums ! Il finit la saison à la 3e place du championnat pilotes derrière Max Verstappen et Lando Norris, avec 356 points. Voir aussi - les pilotes qui composeront la grille de départ en 2025 Le résumé du GP de Monaco de F1

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Dakar 2025 : le copilote de Sébastien Loeb confiant à 4 jours du départ

Depuis 3 ans, Fabian Lurquin est le coéquipier de Sebastien Loeb. Ensemble, ils vont disputer leur 4e Dakar avec l'ambition cette année d'enfin gagner cette mythique épreuve des sports mécaniques. Après une édition 2024 marquée par des problèmes mécaniques mais une 3e place au classement général, Fabian Lurquin vise la victoire dans ce Dakar 2025 au volant du Dacia Sandrider comme il l'a confié récemment dans les médias. Notamment parce que la fiabilité semble au rendez-vous : “Nous avons tous les deux un bon sentiment avec cette Dacia, que l'on trouve compétitive et fiable. L'objectif est toujours de gagner”. Toutefois, une course aussi longue que le Dakar n'est pas un long fleuve tranquille. Il peut se passer beaucoup de choses d'une étape à l'autre. Fabian Lurquin en est conscient et explique qu'avec Sébastien Loeb, ils seront potentiellement amenés à ajuster leurs objectifs en cours de route : “Parfois, il faut ajuster ses ambitions en cours de route. Le Dakar est une course d'endurance où il peut toujours se passer quelque chose. L'essentiel est de toujours donner le meilleur de soi-même et de tirer parti au maximum des circonstances, quelle que soit sa performance personnelle”. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Bien commencer dès le prologue Le premier rendez-vous de ce Dakar pour le duo Sébastien Loeb - Fabian Lurquin sera le prologue vendredi matin. Il s'agit d'une boucle de 79 km autour de Bisha dont 29 km de spécial. Pourquoi c'est important ? Car les 10 premiers pourront choisir l'ordre de départ le lendemain pour les 500 km de la première étape. Or, partir 1er n'est peut-être pas la bonne stratégie à adopter cette année. Du moins selon Fabian Lurquin : “À partir de cette édition, 45 % des étapes seront séparées entre motos et voitures, ce qui rend la stratégie encore plus importante. Celui qui part en premier doit tracer la route pour les concurrents, ce qui le désavantage. Sportivement, cela devient plus difficile car il y a plus de stratégie à prendre en compte et la navigation sera encore plus complexe”. Lire aussi - Dakar 2025 : 5 choses que vous ne saviez pas sur... Sébastien Loeb Crédit photo : A.S.O./F.Le Floc'h/DPPI.

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