L’exode chez xAI s’intensifie. Après le départ du cofondateur Igor Babuschkin en août, le directeur financier Mike Liberatore a quitté ses fonctions fin juillet, quelques semaines seulement après son arrivée. En parallèle, l’équipe juridique se vide avec les départs de Robert Keele et de Raghu Rao. Ces mouvements interrogent la stabilité du challenger d’Elon Musk face à OpenAI et consorts.
Ce qui s’est passé cet été
Fin juillet : Mike Liberatore (CFO) s’en va après trois mois. Il avait piloté une levée de 5 Md$ de dette et contribué à une opération equity de 5 Md$ destinée, entre autres, au datacenter et à Grok.
Début août : Robert Keele (Head of Legal) démissionne, évoquant un équilibre vie pro/vie perso et des divergences de vues.
Mi-août : Igor Babuschkin (cofondateur) annonce son départ pour lancer un fonds dédié à la sécurité de l’IA.
Fin été : Raghu Rao (senior legal) quitte également l’entreprise.
Début septembre : xAI obtient une injonction préliminaire contre un ex-ingénieur parti chez OpenAI dans une affaire de secrets industriels.
Pourquoi ces départs comptent
D’abord, ils touchent des fonctions structurelles : finance, juridique et fondateurs. Ensuite, ils surviennent en pleine course à l’infrastructure (datacenters, compute, énergie) et alors que Grok doit continuer de progresser. Enfin, la guerre des talents s’intensifie : OpenAI, Google et Anthropic recrutent agressivement, ce qui renchérit le coût d’opportunité de rester chez un acteur encore en construction.
Les causes possibles, sans spéculer
Les déclarations publiques évoquent surtout la pression du rythme, l’équilibre personnel et, parfois, des écarts de vision avec la direction. Ce sont des motifs fréquents dans les scale-ups deeptech. Néanmoins, leur concentration temporelle alimente l’idée d’un exode chez xAI plus large que la “rotation normale” des talents.
Impact sur la feuille de route
À court terme, l’exécution peut ralentir : remplacement du CFO, sécurisation juridique, priorisation produit. Toutefois, la trésorerie semble solide après les levées évoquées, ce qui limite le risque opérationnel immédiat. À surveiller maintenant :
la capacité de xAI à remplacer vite ces profils clés ;
l’avancée du datacenter et de Grok ;
l’issue du contentieux autour des secrets industriels, révélateur des tensions du marché.
Depuis plus de dix ans, UGREEN s’impose comme une référence en matière d’accessoires technologiques. Aujourd’hui, la marque revient avec une innovation majeure : la série MagFlow, parmi les toutes premières solutions de recharge magnétique Qi2 certifiées 25W.
Le lancement officiel de toute la gamme MagFlow a eu lieu le 5 septembre à 10h à l’occasion de l’IFA 2025
Mais concrètement, qu’est-ce que ça change pour vous ? Pourquoi ces nouveaux produits pourraient transformer vos habitudes de recharge, que ce soit en voyage, au bureau ou à la maison ? Prenons le temps de plonger dans les usages et de voir ce que ces trois nouveautés peuvent vous apporter au quotidien.
MagFlow : quand magnétique rime avec simplicité
Commençons par le concept même de MagFlow. Le nom combine Magnetic et Flow, l’idée d’une énergie fluide, sans contrainte, qui s’adapte à vos gestes. Plus besoin de tâtonner pour bien poser le smartphone sur un pad : le magnétisme prend le relais, garantissant un alignement parfait. Résultat : la recharge est plus rapide, plus stable, et surtout… sans effort.
Ce choix n’est pas anodin : Apple a introduit le magnétisme MagSafe dès l’iPhone 12. Aujourd’hui, avec la norme Qi2, cette approche devient un standard reconnu par l’industrie. Concrètement, cela signifie que les iPhone 12 à 16 se fixent naturellement sur les chargeurs MagFlow, exactement comme ils le feraient avec un chargeur Apple MagSafe, mais en bénéficiant d’une puissance plus élevée (jusqu’à 25 W).
Avec Qi2 25 W, on passe un cap. Là où le Qi standard plafonnait souvent à 7,5 ou 15 W, cette nouvelle génération apporte une puissance bien supérieure. Concrètement, un iPhone 16 Pro Max atteint 50 % en environ 30 minutes. Vous posez, ça se clipse magnétiquement, et la batterie grimpe sans que vous ayez à réfléchir.
Côté Android, la recharge Qi reste parfaitement supportée, mais le magnétisme ne fonctionne pas toujours nativement : il faut, dans ce cas, utiliser une coque ou un anneau magnétique compatible. Ainsi, un Galaxy ou un Pixel se rechargera bien en Qi, mais sans la fixation magnétique d’un iPhone.
Maintenant, voyons comment UGREEN a décliné cette technologie en trois produits pensés pour vos différents moments de vie.
En voyage ou en déplacement : La batterie externe magnétique MagFlow 10 000 mAh
Imaginez-vous à l’aéroport, en train ou en plein déplacement professionnel. Votre iPhone clignote à 15 %. Habituellement, vous cherchez un câble, vous vous battez avec un chargeur USB bancal, et vous devez rester planté à côté d’une prise murale. Avec la batterie externe magnétique MagFlow 10 000 mAh, c’est une autre histoire.
Capacité de 10 000 mAh : assez pour recharger complètement votre iPhone 16 Pro Max et encore garder de la réserve.
Recharge sans fil magnétique 25 W : votre smartphone se fixe solidement avec une force magnétique de 9N. Pas besoin de câble, pas de mauvaise surprise, ça tient même si vous utilisez le téléphone en marchant.
Câble USB-C intégré (30 W) : il sert à la fois de sangle de transport et de câble de recharge rapide. En deux heures, la powerbank se recharge entièrement.
Compatibilité universelle : que vous soyez Apple ou Android, la batterie gère aussi bien le PD que le Qi. Vous pouvez même charger jusqu’à trois appareils simultanément (sans fil + USB-C).
Écran digital intégré : pour voir en un clin d’œil le niveau de batterie restant.
Dans la vraie vie
Vous êtes en déplacement et vous devez participer à une visioconférence Zoom. Pas de panique : fixez la batterie MagFlow derrière votre iPhone et continuez à discuter en toute fluidité. Elle est compacte (110 × 70 mm) et légère (254 g), ce qui la rend parfaite pour un sac de voyage.
Au bureau : le chargeur magnétique MagFlow 2-en-1
Arrivé au bureau, vous enchaînez les mails, les réunions Teams et la gestion de votre agenda. Votre iPhone trône sur le bureau, mais vous devez le garder accessible pour consulter vos notifications. C’est exactement pour ce scénario que le chargeur sans fil magnétique MagFlow 2-en-1 a été conçu.
Recharge rapide 25 W pour iPhone 16, et jusqu’à 15 W pour les modèles 12 à 15.
AirPods à 5 W + USB-C 5 W pour Apple Watch : vous rechargez simultanément deux accessoires en plus de l’iPhone.
Design pliable et portable : il se replie en un petit cube de 6 cm, parfait pour le glisser dans un sac.
Support multi-angle : 360° horizontal, 70° vertical. Vous pouvez garder l’iPhone en mode portrait pour lire vos mails, ou en paysage pour une visio.
StandBy mode Apple : compatible avec iOS 17 et 18, l’iPhone devient une horloge, une station météo ou un cadre photo intelligent quand il est posé en charge.
Dans la vraie vie
Vous êtes en open space, casque sur les oreilles, en train de coder ou de rédiger un rapport. Votre iPhone est posé sur le dock, légèrement incliné. Vous recevez un appel FaceTime : inutile de le décrocher de son support, il est déjà bien orienté pour discuter. Pendant ce temps, vos AirPods reprennent de l’énergie sur la base. Tout est à sa place, sans câble qui traîne sur le bureau.
À la maison : la station de charge magnétique MagFlow 3-en-1
Le soir, vous rentrez chez vous. Votre iPhone est encore à 30 %, vos AirPods sont quasiment à plat, et votre Apple Watch vous signale une recharge nécessaire. Plutôt que de multiplier les câbles et les chargeurs dispersés, la station MagFlow 3-en-1 prend tout en charge sur une seule base.
Trois appareils à la fois : iPhone (jusqu’à 25 W), AirPods (5 W), Apple Watch (5 W).
Support rotatif multi-angle : idéal pour regarder une série en streaming tout en rechargeant.
Design pliable et compact : malgré ses trois modules, la station reste discrète et se range facilement.
Structure renforcée : matériaux ignifugés et base lestée pour éviter qu’elle ne glisse sur la table de chevet.
Thermal Guard : gestion intelligente de la température, avec arrêt automatique en cas de surchauffe.
Dans la vraie vie
Placez la station sur votre table de nuit. Avant de dormir, posez simplement vos trois appareils dessus. Au réveil, tout est rechargé et prêt à démarrer la journée. Si vous aimez regarder TikTok ou YouTube au lit, l’inclinaison réglable de l’iPhone vous permet de le faire tout en rechargeant. Et avec la compatibilité StandBy, l’iPhone devient un réveil intelligent.
UGREEN : un gage de fiabilité
Depuis 2012, UGREEN accompagne plus de 200 millions d’utilisateurs dans leur quotidien technologique. Du chargeur rapide aux solutions de stockage, la marque s’est toujours distinguée par sa fiabilité et son souci d’intégrer les meilleures normes.
Avec MagFlow, elle franchit une nouvelle étape en démocratisant le Qi2 25 W, une technologie qui devrait devenir la référence des prochaines années. L’ambition est claire : vous libérer des câbles, des chargeurs multiples et des frustrations liées à des recharges lentes ou instables.
Pourquoi MagFlow peut vraiment vous séduire
Un seul écosystème pour tous vos appareils Apple (et une large compatibilité Android).
Des usages pensés pour chaque moment : voyage, bureau, maison.
Une recharge rapide et fiable grâce au Qi2 25 W et au magnétisme précis.
Un design portable et élégant, adapté à la mobilité comme à l’organisation de votre espace.
En d’autres termes, que vous soyez en déplacement, en train de travailler ou simplement à la maison, il existe un produit MagFlow qui s’intègre parfaitement à votre rythme de vie.
Découvrez la série MagFlow
Curieux de voir à quoi ressemblent ces nouveaux produits ? Consultez dès maintenant les pages officielles UGREEN pour plus d’informations et visuels :
Suite à une tragique affaire de suicide impliquant un adolescent et l’IA, OpenAI a annoncé une mesure radicale. En effet OpenAI va instaurer le déploiement d’un contrôle parental ChatGPT. Cette décision fait suite à un procès intenté par les parents de l’adolescent. Ces derniers accusent l’assistant conversationnel d’avoir encouragé le passage à l’acte. Plus qu’une simple option de sécurité, cette initiative pose de profondes questions sur le rôle de l’IA dans la vie des jeunes et l’équilibre délicat entre protection et vie privée.
Une réaction directe à un drame familial
L’affaire, qui a secoué la communauté technologique et parentale, met en lumière les dangers potentiels des interactions non supervisées avec les intelligences artificielles. Les parents de la victime allèguent que les conversations avec ChatGPT ont pu contribuer à l’état de détresse de leur fils, le poussant à prendre une décision irréversible. Face à cette accusation, OpenAI a choisi de réagir rapidement en développant de nouvelles fonctionnalités. L’objectif est de prévenir de futurs drames en offrant des outils pour encadrer l’utilisation de l’IA par les mineurs. Le contrôle parental ChatGPT est donc la réponse de l’entreprise à une crise éthique et légale sans précédent.
Comment fonctionne ce nouveau mode de supervision ?
OpenAI a annoncé plusieurs fonctionnalités clés pour ce mode parental. La principale innovation est la possibilité pour les parents de lier leur propre compte à celui de leur enfant. Ainsi, ils pourront surveiller les interactions de leur enfant avec l’IA. De plus, un système d’alerte automatique sera mis en place. Si l’IA détecte des conversations sur des sujets jugés sensibles ou des signaux de détresse psychologique, une notification pourra être envoyée aux parents.
L’entreprise promet également d’intégrer des fonctionnalités permettant de mieux rediriger les conversations vers des modèles plus sécurisés. Voire de proposer des ressources d’aide professionnelles. Il est aussi question de la possibilité de désactiver l’historique des conversations pour des raisons de confidentialité. Bien que cela puisse réduire la capacité de supervision parentale… Ces outils visent à créer un environnement numérique plus sûr pour les jeunes utilisateurs.
Le dilemme de l’ingérence et de la vie privée
Bien que le mode de contrôle parental ChatGPT soit perçu comme une étape nécessaire pour la sécurité des enfants, il soulève des préoccupations éthiques. Le principal débat se concentre sur l’ingérence potentielle dans la communication personnelle. Jusqu’où peut-on laisser une IA et, par extension, les parents, scruter les pensées et les conversations les plus intimes d’un adolescent ?
Les défenseurs de la vie privée arguent que la surveillance des discussions pourrait compromettre la relation de confiance entre les parents et leurs enfants. D’un autre côté, les partisans de la mesure estiment que la protection de la vie est une priorité absolue qui justifie ces nouvelles fonctionnalités. Cette décision d’OpenAI pourrait ainsi ouvrir la voie à une nouvelle ère de régulation des IA, où la sécurité des utilisateurs les plus vulnérables prendra le pas sur la confidentialité totale des échanges. Il faudra attendre de voir comment l’entreprise parviendra à équilibrer ces deux impératifs.
C’est le bon moment pour changer de TV ou passer au vidéoprojecteur. Boulanger lance une offre directe et simple : 70 € de remise dès 700 € d’achats sur une large sélection TV et vidéoprojecteurs. Pas d’ODR, pas de paperasse, la réduction tombe au panier. On fait le point sur les conditions à connaître et on vous partage une liste de modèles à surveiller.
Les conditions de l’offre
Remise : –70 € appliqués automatiquement dès 700 € d’achats.
Catégories : TV et vidéoprojecteurs éligibles à l’opération (hors accessoires et autres exclusions listées plus bas).
Période : jusqu’au lundi 8 septembre (fin de journée).
Exclusions : accessoires, produits en exclusivité internet, marketplace, reconditionnés, extensions de garantie.
Cumul : la remise s’applique sur la sélection concernée. En cas de cumul avec d’autres promos, c’est la page panier qui fait foi.
Disponibilité : prix et stocks peuvent varier selon le magasin et le moment.
OLED : contraste infini et noirs parfaits, idéal films/séries. Très bon aussi en jeu si vous visez 120 Hz + HDMI 2.1.
QLED / Mini LED : plus lumineux pour pièces claires et sport. Les Mini LED gèrent mieux la haloisation grâce à un dimming plus fin.
LED classique : souvent moins chère, mais moins punchy en HDR et angles de vision plus étroits.
Diagonale & recul : vise juste
En 4K, on peut s’asseoir plus près sans voir de pixels. En pratique :
55″ : recul ~2 m à 2,5 m
65″ : ~2,5 m à 3 m
75″ : ~3 m à 3,5 m
Si vous hésitez entre deux tailles, prenez la plus grande que votre meuble/mur accepte. On s’y habitue très vite.
Pour jouer (PS5, Xbox Series X, PC)
Cherchez HDMI 2.1, 120 Hz, VRR, ALLM et un input lag < 15 ms.
Les OLED gardent un avantage sur la réactivité, les Mini LED sur la lisibilité dans un salon lumineux.
Vidéoprojecteurs : 3 points qui changent tout
Luminosité (lm) : 2 000–3 000 lumens utiles pour pièce de vie ; moins si vous êtes dans le noir quasi total.
Focale : UST (ultra-courte) si vous manquez de recul ; classique si vous avez > 1–1,5 m.
Système : Android TV / Google TV simplifie l’accès à Netflix, Prime Video, YouTube sans boîtier externe.
Questions pratiques (pour éviter les déceptions)
Comment vérifier qu’un produit est éligible ?
Regarder la fiche : catégorie TV ou vidéoprojecteur, vendeur = Boulanger.
Éviter : accessoires, marketplace, exclus web, reconditionné, extensions de garantie.
Si le doute persiste, mettez le produit au panier : la remise s’affiche si tout est OK.
Et si j’ajoute une barre de son pour atteindre 700 € ?
Mauvaise idée : les accessoires sont exclus. Mieux vaut choisir une TV ou un vidéoprojecteur un cran au-dessus pour passer le seuil.
Puis-je cumuler avec d’autres promos ?
Ça dépend des opérations en cours. Le plus simple est de tester au panier. La remise –70 € reste prioritaire si le produit est dans la sélection.
Conseils rapides pour profiter de l’offre
Atteignez 700 € avec un produit éligible pour déclencher la remise.
Évitez les accessoires dans le panier si vous jouez le seuil.
Vérifiez le vendeur (Boulanger) et la catégorie (TV/vidéoprojecteur).
Capturez l’écran du panier si vous commandez un peu tard le dernier jour, au cas où.
Retrait magasin : utile pour sécuriser le stock juste avant la fin de la promo.
FAQ
Jusqu’à quand est valable l’offre ? Jusqu’au lundi 8 septembre. Passée cette date, la remise peut disparaître ou être remplacée par une autre opération.
Quels produits sont exclus ? Les accessoires, les produits en exclusivité internet, ceux vendus via la marketplace, les produits reconditionnés et les extensions de garantie.
Faut-il un code promo ? Non. La remise est immédiate sur la sélection éligible une fois les 700 € atteints.
La remise marche en magasin ? Oui si le produit fait partie de l’opération en cours. Demandez au conseiller et vérifiez le prix en caisse si besoin.
Puis-je retourner un produit acheté avec la remise ? Oui, selon les conditions habituelles de retour de Boulanger. La remise est recalculée si vous ne gardez qu’une partie de la commande.
Y-a T’il d’autres bons plans sur SysKB ? Oui, en consultant la page dédiées au bons plans vous pouvez découvrir pleins d’autres bons plans comme ceux d’Amazon, de UGREEN, d’Ultenic, de Narwal, de Synology, de Garmin, …
Mentions légales & transparence
Offre valable jusqu’au lundi 8 septembre, sur une sélection de TV et vidéoprojecteurs.
Exclusions : accessoires, exclus web, marketplace, reconditionnés, extensions de garantie.
Prix et disponibilités susceptibles d’évoluer. Vérifiez au panier avant d’acheter.
Les jeux d’argent en ligne subissent une transformation radicale. Alors que les préoccupations concernant la confidentialité des données et la surveillance augmentent, une nouvelle vague de casinos alimentés par la blockchain propose une expérience totalement différente, sans vérification d’identité traditionnelle. Ces plateformes séduisent de plus en plus d’utilisateurs férus de technologie, en quête à la fois d’anonymat et d’innovation.
Pourquoi Les Joueurs Choisissent des Plateformes Sans Vérification d’Identité
L’attrait est évident : rapidité, simplicité, et surtout, confidentialité. Pour les utilisateurs vivant dans des juridictions restrictives ou craignant les violations de données, l’idée d’un casino sans carte d’identité constitue une alternative séduisante. Ces plateformes sont conçues pour garantir que les utilisateurs conservent un contrôle total sur leurs informations tout en profitant de jeux classiques comme le poker, les machines à sous ou la roulette.
Les Outils Technologiques Qui Favorisent le Jeu Privé
Pour beaucoup d’utilisateurs, les avantages l’emportent sur les risques. L’utilisation de contrats intelligents assure la transparence des résultats de jeu, tandis que les registres blockchain permettent d’auditer les transactions sans divulguer d’informations personnelles. Ces fonctionnalités contribuent à instaurer la confiance dans des systèmes qui pourraient autrement sembler opaques.
Fait intéressant, l’essor des plateformes de jeu anonymes a également stimulé l’adoption d’outils renforçant la confidentialité. Les VPN, portefeuilles non dépositaires et navigateurs bloquant le pistage sont désormais des outils standards pour ceux qui explorent le web anonyme.
Comment la Blockchain Permet de Jouer Sans Identité
Au cœur de cette évolution se trouve la technologie blockchain. Grâce auxréseaux décentralisés et aux cryptomonnaies, ces casinos peuvent fonctionner sans collecter de données personnelles ni exiger de procédures KYC (Know Your Customer). Au lieu de télécharger des documents ou de vérifier leur identité, les joueurs n’ont qu’à connecter un portefeuille crypto pour commencer à jouer.
Les Compromis de l’Anonymat dans les Jeux d’Argent
Si les plateformes sans vérification d’identité offrent une plus grande confidentialité, elles modifient aussi la nature de la responsabilité utilisateur. En l’absence de processus KYC, les joueurs doivent faire preuve de discernement dans le choix de leur plateforme. Beaucoup s’appuient sur des avis tiers, la transparence de la blockchain et les audits de contrats intelligents pour évaluer la légitimité. Même si la régulation reste minimale, la surveillance communautaire et les mécanismes de confiance sur la chaîne deviennent des substituts importants. Plutôt que d’être exposés à des risques non maîtrisés, les joueurs informés apprennent à naviguer sur ces plateformes anonymes avec prudence et autonomie.
Perspectives : Régulation ou Liberté
Alors que les gouvernements du monde entier continuent de durcir la réglementation sur les jeux d’argent en ligne, la popularité des plateformes sans vérification d’identité est appelée à croître. Elles offrent un aperçu d’un avenir où les utilisateurs, et non les entreprises ou les gouvernements, contrôlent leur identité numérique. Pour l’instant, ces casinos blockchain restent un segment de niche, mais en pleine expansion, du paysage des jeux d’argent.
Qu’ils mènent à une plus grande liberté ou introduisent de nouveaux risques dépendra en grande partie de leur évolution, et de la manière dont les utilisateurs choisissent d’interagir avec eux.
L’Éducation nationale franchit une étape importante dans l’intégration de l’intelligence artificielle. À partir de la rentrée 2026-2027, les enseignants français disposeront d’un assistant numérique souverain pour les accompagner dans la préparation des cours et l’évaluation des élèves. Un investissement de 20 millions d’euros, inscrit dans France 2030, doit permettre de libérer du temps pédagogique et de mieux cibler l’accompagnement des élèves.
Un assistant numérique pour épauler les enseignants
Présenté par la ministre de l’Éducation nationale Élisabeth Borne, ce projet vise à offrir aux professeurs un véritable “cerveau auxiliaire”. L’IA ne remplacera pas l’enseignant, mais viendra en soutien sur certaines tâches répétitives. Concrètement, l’outil aidera à structurer des cours, identifier ce qui a été compris ou non par les élèves, et proposer des pistes d’amélioration.
L’ambition affichée est claire : réduire la charge administrative et libérer du temps pour le cœur du métier, à savoir la transmission des savoirs et l’accompagnement personnalisé.
Un investissement stratégique de 20 millions d’euros
Pour concrétiser cette innovation, un appel à projets de 20 M€ sera lancé à l’été 2025. L’objectif est de développer une IA souveraine, ouverte et évolutive. Elle devra être respectueuse des principes éthiques et de la protection des données.
Ce financement s’inscrit dans le cadre de France 2030, un programme d’investissement qui vise à accélérer les transformations technologiques dans des secteurs stratégiques.
Un cadre d’usage strict pour l’IA en éducation
Le ministère a publié en juin 2025 un cadre d’usage de l’IA en milieu scolaire. Celui-ci définit des règles claires :
les élèves ne pourront utiliser l’IA qu’à partir de la 4ᵉ,
tout usage non autorisé dans le cadre d’un devoir sera considéré comme une fraude,
des micro-formations via la plateforme Pix seront mises en place dès la rentrée 2025 pour les collégiens de 4ᵉ et les lycéens de 2de.
Les enseignants bénéficieront également de formations spécifiques pour intégrer ces outils dans leur pratique pédagogique.
Des syndicats vigilants face à l’arrivée de l’IA
Si le gouvernement met en avant les bénéfices attendus, certains syndicats de professeurs expriment des réserves. Le SNES-FSU craint une remise en cause de la liberté pédagogique, tandis que le SNALC interroge la pertinence d’un tel investissement au regard des difficultés budgétaires de l’école.
Ces réactions montrent que l’IA à l’école, loin d’être une simple innovation technologique, soulève des enjeux politiques, éthiques et pédagogiques.
Pouvoir accéder à son réseau domestique de n’importe où est un vrai confort. Que ce soit pour récupérer un fichier sur ton NAS, surveiller ta domotique ou simplement sécuriser ta connexion depuis un Wi-Fi public, la Freebox permet de mettre en place ton propre serveur VPN. Pas besoin d’un abonnement externe : la Freebox embarque cette fonction nativement, et il suffit de l’activer.
Dans ce guide, on va voir à quoi sert un serveur VPN sur Freebox, quels protocoles sont disponibles, lequel utiliser de préférence, et surtout comment le configurer pas à pas. On terminera par la partie pratique : se connecter au serveur VPN Freebox depuis un PC ou un smartphone.
Pourquoi activer un serveur VPN sur sa Freebox ?
Un serveur VPN sur ta Freebox te permet de créer un tunnel sécurisé entre ton appareil (ordinateur, smartphone, tablette) et ta box Internet, où que tu sois.
Les avantages sont nombreux :
Accès à distance à ton réseau local Retrouve ton disque dur Freebox, ton NAS, ou ton imprimante comme si tu étais connecté en Wi-Fi à la maison.
Connexion sécurisée depuis l’extérieur Dans un hôtel ou un café, ton trafic est chiffré et passe par ta Freebox, évitant toute interception.
Adresse IP française depuis l’étranger En vacances, ton trafic sort avec l’adresse IP de ta Freebox. Pratique pour accéder à certains services disponibles uniquement en France comme des services de streaming et même certaines banques.
Contrôle total et confidentialité Contrairement à un VPN commercial, tu restes maître de ton serveur et de tes données. Dans les faits j’utilise le VPN de ma Freebox pour accéder à mes ressources, et le VPN commercial pour contourner la censure omniprésente sur le Web.
Les protocoles VPN disponibles sur Freebox
Ta Freebox te propose plusieurs protocoles pour mettre en place un serveur VPN. Voici un comparatif clair :
Protocole
Avantages
Inconvénients
PPTP
Très simple à configurer, compatible anciens systèmes
Obsolète, vulnérable, à éviter absolument
OpenVPN Routé
Bon niveau de sécurité, largement compatible
Moins rapide que WireGuard
OpenVPN Bridgé
Permet d’être sur le même réseau local que chez toi
Plus lourd, configuration plus complexe
IPsec IKEv2
Rapide, support natif sur iOS/Windows
Compatibilité variable sur Android/Linux
WireGuard
Ultra rapide, moderne, simple à configurer, léger
Moins d’options avancées, protocole encore jeune
Notre recommandation : WireGuard.
C’est le protocole le plus moderne et le plus performant aujourd’hui. Il est supporté par la majorité des systèmes (Windows, macOS, Linux, iOS, Android), et il se configure facilement grâce à des fichiers de configuration ou QR codes générés par Freebox OS.
Tutoriel : Activer le serveur VPN WireGuard sur Freebox
Connecte-toi avec ton mot de passe administrateur.
Étape 2 : activer le serveur VPN
Dans Freebox OS, va dans Paramètres de la Freebox → Mode avancé.
Clique sur Serveur VPN.
Choisis et active WireGuard, tu peux laisser les paramètres par défaut.
Étape 3 : créer un profil utilisateur
Clique sur Utilisateurs et Ajouter un utilisateur.
Tu nommes ensuite ton utilisateur et sélectionne le protocole WireGuard, Freebox OS génère automatiquement une paire de clés (publique/privée) et une configuration. Pas besoin de définir un mot de passe.
Sélectionne l’adresse IP attribuée au client parmi celle proposée dans la liste.
Étape 4 : récupérer la configuration
Tu peux télécharger le fichier de configuration .conf pour l’importer sur ton PC.
Tu peux aussi afficher un QR Code pour connecter rapidement un smartphone via l’appli WireGuard.
Étape 5 : ouvrir le port si nécessaire
Dernière vérification, si tu veux te connecter depuis l’extérieur, vérifie que le port choisi (par défaut 1494 sur la Freebox) est ouvert sur ta Freebox en te rendant dans Gestion des ports. Normalement ce port est déjà activé, mais évitons tout dysfonctionnement.
Se connecter au serveur VPN Freebox
Depuis un smartphone (iOS ou Android)
Télécharge l’appli WireGuard depuis l’App Store ou le Play Store.
Scanne le QR Code fourni par ta Freebox ou importe le fichier .conf.
Active la connexion → ton smartphone utilise désormais le réseau Freebox.
Active la connexion → tu es relié à ton réseau domestique.
Maintenant que tout est configuré tu peux profiter de ton accès sécurisé selon tes besoins :
Situation
Sans VPN (connexion directe via 4G/5G)
Avec VPN Freebox (connexion encapsulée)
Accès à ton réseau local
Impossible : pas d’accès direct à ton NAS, PC ou caméras
Possible : ton smartphone est “comme à la maison”
Sécurité sur Wi-Fi publics
Connexion exposée, risque d’interception
Connexion chiffrée → tunnel sécurisé vers la Freebox
Adresse IP utilisée
IP de ton opérateur mobile (variable, parfois étrangère si roaming)
IP fixe de ta Freebox (IP française si tu es à l’étranger)
Streaming et services en ligne
Certains services bloqués à l’étranger (ex. MyCanal, banques)
Accessible car tu sors avec ton IP Freebox en France
Filtres / DNS / Contrôle parental
Dépend uniquement de l’opérateur mobile
Tu utilises les règles et DNS de ta Freebox (ex. Pi-hole)
Domotique / surveillance
Inaccessible sauf exposition de ports (risqué)
Accessible directement via le VPN, sans ouvrir de ports
Expérience utilisateur
Tu es “hors de chez toi”
Tu es “virtuellement dans ton salon”
Foire aux questions (FAQ)
Est-ce que le serveur VPN Freebox est gratuit ?
Oui, c’est une fonction intégrée aux Freebox compatibles, sans surcoût.
Quelle Freebox permet d’activer un serveur VPN ?
Les Freebox Révolution, Delta et Pop disposent du serveur VPN.
Quel est le meilleur protocole VPN sur Freebox ?
Aujourd’hui, WireGuard est le plus rapide et le plus simple à utiliser. OpenVPN reste une alternative en cas de compatibilité spécifique.
Est-ce que je peux me connecter à ma Freebox VPN depuis l’étranger ?
Oui, c’est là l’intérêt de la solution, à condition que ton port VPN soit accessible et que ta Freebox ait une IP publique. Tu pourras alors accéder depuis l’étranger à des contenus autorisé uniquement en France, comme les WebTV.
Le VPN Freebox remplace-t-il un VPN commercial ?
Non. Le VPN Freebox est fait pour accéder à ton réseau privé. Si ton objectif est de masquer ton identité en ligne ou contourner des restrictions de streaming, un VPN commercial est plus adapté et je te recommande ma sélection des meilleurs VPN.
Mistral AI, la pépite française de l’intelligence artificielle, vient de lancer Mistral Medium 3.1, un nouveau modèle pensé pour les entreprises. Alliant performance, confidentialité et flexibilité, il peut être déployé en local sur des serveurs internes ou dans un cloud privé. Une approche qui le distingue des grands acteurs américains.
Un modèle pensé pour la souveraineté numérique
Avec Medium 3.1, Mistral AI poursuit sa stratégie de proposer des solutions d’IA adaptées aux besoins des entreprises européennes. Contrairement à la majorité des modèles disponibles uniquement dans le cloud public, Medium 3.1 offre la possibilité d’être hébergé en interne, garantissant ainsi une meilleure maîtrise des données. Cette approche répond à une préoccupation croissante : la souveraineté numérique.
Des performances comparables aux géants de l’IA
Medium 3.1 se positionne comme un modèle de classe frontier, capable de rivaliser avec les références du marché. Selon les benchmarks publiés, il excelle en raisonnement logique, multimodalité et génération de code.
Face à des concurrents comme Claude Sonnet 3.7 ou Llama 4 Maverick, le modèle de Mistral s’impose par sa précision et son coût compétitif : environ 0,40 $ par million de tokens en entrée et 2 $ en sortie, soit jusqu’à 8 fois moins cher que certains modèles américains.
Une flexibilité inédite pour les entreprises
La grande force de Mistral Medium 3.1 réside dans sa flexibilité de déploiement. Les entreprises peuvent choisir de l’intégrer :
en mode on-premise pour un contrôle total,
dans un cloud privé ou hybride,
ou via des environnements VPC pour plus de sécurité.
Ce positionnement unique fait de Mistral AI un acteur à part, répondant aux besoins des organisations qui recherchent à la fois confidentialité, personnalisation et performance.
Tester Mistral Medium 3.1 en local : les prérequis
Avant de déployer Mistral Medium 3.1 dans une infrastructure d’entreprise, il est possible de tester le modèle sur un poste de travail. Cela permet d’évaluer ses capacités et sa pertinence avant une intégration à grande échelle. Voici les prérequis essentiels :
Système d’exploitation : Linux (Ubuntu recommandé) ou macOS. Windows est possible via WSL2.
Matériel :
GPU NVIDIA récent (série RTX 30xx ou supérieur) avec au moins 16 Go de VRAM,
CPU multicœurs (8 cœurs recommandés),
32 Go de RAM système minimum.
Stockage : prévoir au moins 50 Go d’espace libre pour le modèle et les dépendances.
Pilotes et frameworks :
CUDA 12 ou supérieur,
PyTorch compatible GPU,
Installation de vLLM ou Ollama pour exécuter le modèle.
Connexion internet : nécessaire pour télécharger le modèle depuis Hugging Face ou le portail de Mistral AI.
Une fois ces prérequis installés vous pouvez lancer une simple commande (via ollama run mistral-medium) ou un script Python basé sur transformers pour commencer à interagir avec le modèle en local.
Une alternative européenne crédible
Avec ce lancement, Mistral AI confirme son ambition : offrir une alternative souveraine aux solutions proposées par OpenAI, Anthropic ou Meta. Medium 3.1 ne se limite pas à la performance technique, il propose également un cadre d’utilisation plus respectueux des contraintes réglementaires européennes. Dans un contexte où la maîtrise des données devient stratégique, ce modèle pourrait séduire de nombreux secteurs sensibles comme la santé, la finance ou l’industrie.
Le télétravail et la mobilité d’une manière générale prennent une place de plus en plus importante. Avoir une connexion Internet sécurisée et stable n’est plus un luxe, c’est une nécessité. Le GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600) se présente comme un routeur Wi-Fi 7 compact et puissant, pensé pour les voyageurs, les nomades digitaux, les petites équipes en déplacement et aussi les familles lorsqu’elles partent en vacances. Mais que vaut-il vraiment et dans quels cas s’avère-t-il indispensable ?
Présentation du GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600)
Un routeur de voyage Wi-Fi 7 compact et puissant
Le Slate 7 est le premier routeur de voyage Wi-Fi 7 (802.11be) proposé par GL.iNet. Il offre des débits allant jusqu’à 3600 Mbps combinés (688 Mbps sur 2,4 GHz et 2882 Mbps sur 5 GHz), avec des fonctionnalités avancées comme l’OFDMA, le Multi-Link Operation (MLO) et le 4K QAM, garantissant une connexion rapide et stable, même avec plusieurs appareils connectés.
OpenWrt et personnalisation avancée
Basé sur OpenWrt 23.05, le Slate 7 est entièrement personnalisable : VPN, filtrage DNS, bloqueurs de publicité, pare-feu avancés… L’utilisateur peut installer des paquets supplémentaires et adapter le routeur à ses besoins spécifiques.
Spécifications techniques principales
Caractéristiques
Détails
CPU
Qualcomm Quad‑core @ 1.1 GHz
Mémoire vive
1 Go DDR4
Stockage
512 Mo NAND Flash
Wi-Fi
Wi-Fi 7 bi-bande (2,4 GHz + 5 GHz)
Ports Ethernet
1 × 2,5 Gb WAN + 1 × 2,5 Gb LAN
USB
1 × USB 3.0 Type‑A
Alimentation
USB‑C Power Delivery (5V/3A, 9V/3A, 12V/2,5A)
Consommation
< 18 W (sans périphérique USB)
Dimensions / Poids
130 × 91 × 34 mm / 295 g
Cas d’usage concrets du Slate 7
Sécuriser sa connexion sur les réseaux publics (hôtels, cafés, aéroports)
Les Wi-Fi publics sont souvent vulnérables. Connecter vos appareils dessus sans mettre en place de la sécurité est un véritable risque. Alors l’idée est simple, commencez par connecter le Slate 7 au réseau Wi-Fi public. Ensuite vous établissez une connexion VPN, via votre abonnement VPN habituel (NordVPN, ExpressVPN, Surfshark VPN, PIA, …) ou tout simplement avec le serveur VPN intégré nativement sur votre Freebox. le VPN permettra ainsi d’établir une connexion chiffrée de bout en bout et personne ne pourra intercepter votre trafic. Enfin, vous connectez vos appareils au Wi-Fi du Slate 7. Ces derniers se retrouvent non seulement interconnectés, mais ils accèdent à Internet en tout sécurité, cachés derrière le Slate 7. Expliquez comme cela on peut penser qu’il y a pleins d’étape mais en réalité toutes ses configurations seront mémorisés donc lors de vos nouveaux déplacement il suffira juste de connecter le Slate 7 au nouveau réseau Wi-Fi Public et le reste se fera automatiquement.
VPN centralisé pour tous ses appareils
Inutile d’installer un VPN sur chaque appareil : le Slate 7 se connecte au VPN et protège donc automatiquement tous les terminaux qui y sont reliés. Vous y gagnez donc en simplicité puisque vous n’avez qu’un seul tunnel VPN à monter. C’est d’autant plus utile si vous voyagez en avion car beaucoup de compagnie facture la connexion selon le nombre d’appareil ! Vous avez compris l’astuce, vous déclarer uniquement la connexion du Slate 7, vos autres appareils seront connectés au Wi-Fi du Slate 7.
Télétravail et nomadisme digital
En déplacement, il assure une connexion fiable via Ethernet, Wi-Fi ou tethering 4G/5G. Couplé à un VPN, il garantit une IP fixe pour accéder aux services professionnels sans coupure.
Partage de connexion 4G/5G stable pour plusieurs appareils
Branché à un smartphone en USB, le Slate 7 redistribue la connexion en Wi-Fi 7 stable pour plusieurs appareils simultanément, bien plus efficacement qu’un simple partage mobile. C’est cette solution que je privilégie lorsque je suis en vacances et que je n’ai pas de Wi-Fi car tout ma famille se connecte à mon GL.iNet (J’ai le GL.iNet GL-MT3000 en Wi-Fi 6) et profite de mon forfait Data illimité. Ca évite les mauvaises surprises de dépassement de forfait sur les appareils de vos enfants …
Réseau d’équipe en mobilité (salons, chantiers, événements)
Avec ses ports 2,5 GbE et son support de stockage USB, il peut alimenter une petite équipe avec un réseau local rapide et sécurisé.
Streaming et divertissement en déplacement
Certaines TV connectées ou consoles refusent les portails captifs des hôtels. Le Slate 7 se connecte une fois et recrée un réseau privé, permettant d’utiliser facilement ses appareils de streaming.
Routeur secondaire ou répéteur Wi-Fi à domicile
Il peut aussi servir de routeur VPN permanent chez soi, de répéteur Wi-Fi 7 pour améliorer la couverture, ou encore de réseau invité isolé. Evidemment si votre domicile est grand vous pouvez plutôt investr dans un modèle plus costaud parmis ceux que je propose dans mon comparateur des meilleurs routeurs Wi-Fi compatibles OpenWrt.
Bien comprendre l’utilisation du VPN avec le Slate 7
Le GL.iNet Slate 7 peut faire à la fois client VPN et serveur VPN. Et même les 2 simulannément en cas de besoin. OpenVPN et WireGuard son préinstallés ce qui le rend compatible avec plus de 30 fournisseurs de services VPN. Connectez-vous simplement à votre compte VPN existant et le Slate 7 crypte automatiquement tout le trafic réseau au sein du réseau connecté. Cela offre de nombreux cas d’usages comme par exemple :
Cas n°1 : Utiliser un abonnement VPN commercial
Si vous avez un abonnement chez NordVPN, ExpressVPN, Surfshark VPN, PIA, Mullvad VPN, ou tout autre fournisseur, vous importez simplement la configuration WireGuard/OpenVPN du fournisseur dans le Slate 7 et magie tous les appareils connectés sont alors automatiquement protégés lorsqu’ils accéderont à Internet. Cela vous permettra par exemple de télécharger du contenu en toute sécurité (P2P / Torrent) et de contourner les règles de géorestrictions si vos êtes à l’étranger.
Cas n°2 : Se connecter à son propre serveur VPN
Vous pouvez configurer un serveur VPN à votre domicile (sur un routeur maison ou un VPS que vous auriez dans le Cloud). Le Slate 7 peut alors s’y connecter pour accéder à votre réseau privé à distance.
Cas n°3 : Utiliser le Slate 7 comme serveur VPN portable
Le routeur peut également jouer le rôle de serveur VPN. Depuis l’extérieur (4G, 5G, autre Wi-Fi), vous pouvez vous y connecter et sécuriser votre trafic tout en accédant aux appareils connectés au Slate 7, comme un NAS, une imprimantes ou d’autres appareils. C’est très pratique en nomadisme pour se créer un petit réseau sécurisé en toute simplicité. Vous êtes par exemple photographe, votre GL.iNet Slate 7 est configuré en mode serveur VPN, vous branchez dessus un petit NAS nomade comme un Synology BeeStation. Vous sortez faire vos sessions photos à l’extérieur et vous pouvez établir une connexion VPN entre votre smartphone et votre routeur GL.iNet Slate 7 pour transférer tout au long de la journée les photos réalisées vers votre NAS situé à l’hôtel.
Pourquoi le VPN intégré ne veut pas dire “VPN inclus”
Le Slate 7 est prêt à l’emploi pour le VPN, mais il faut soit un abonnement VPN, soit un serveur VPN personnel. Le routeur ne fournit pas de VPN “gratuit” par défaut
L’écran tactile intégré : un vrai plus pour l’usage quotidien
Connexion simplifiée par QR Code
Il suffit de scanner un QR Code affiché sur l’écran pour connecter rapidement un appareil.
Suivi en temps réel (vitesse, mode, VPN)
L’écran tactile affiche la vitesse, le statut VPN et les modes réseau actifs (Ethernet, Repeater, Tethering, Cellular).
Gestion du VPN directement depuis l’écran
On peut activer/désactiver le VPN, changer de fournisseur ou surveiller la consommation sans passer par l’interface web.
Performances réseau et connectique
Wi-Fi 7 : rapidité et efficacité
Grâce à l’OFDMA, au MLO et au 4K QAM, le Slate 7 offre des performances optimales même dans des environnements saturés.
Débits Ethernet et port USB 3.0
Les deux ports 2,5 GbE assurent une connectivité filaire rapide, et le port USB permet de transformer le Slate 7 en mini NAS ou en serveur multimédia.
Alimentation pratique en USB-C
Compatible Power Delivery, il peut être alimenté avec un chargeur compact de smartphone ou de PC, ce qui le rend très pratique en voyage.
À qui s’adresse le GL.iNet Slate 7 ?
Voyageurs réguliers souhaitant sécuriser leurs connexions
Freelances et télétravailleurs nomades
Petites équipes en mission (salons, chantiers, événements)
Utilisateurs avancés cherchant un routeur VPN flexible et portable
Conclusion
Le GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600) est bien plus qu’un simple routeur de voyage. Compact, puissant et basé sur OpenWrt, il combine la sécurité du VPN, la rapidité du Wi-Fi 7 et la flexibilité d’une plateforme ouverte. Que vous soyez un particulier soucieux de sécurité, un nomade digital ou une petite équipe en déplacement, il représente une solution fiable et moderne.
FAQ
Le GL.iNet Slate 7 inclut-il un abonnement VPN ? Non. Il est compatible avec de nombreux services VPN mais nécessite un abonnement ou un serveur personnel.
Peut-on l’utiliser comme routeur principal à la maison ? Oui, même si ce n’est pas sa vocation principale. Il peut servir de routeur secondaire, de répéteur ou de routeur invité.
Est-il compatible avec la 4G/5G ? Oui, via le mode tethering USB avec un smartphone ou avec un modem USB externe.
Peut-on connecter un disque dur au port USB ? Oui, pour partager des fichiers ou l’utiliser comme mini NAS.
Le Slate 7 est-il facile à configurer ? Oui, grâce à son interface simplifiée, son écran tactile et son support OpenWrt, il reste accessible même aux non-experts.
Synology a créé la surprise en annonçant que ses nouveaux modèles de la gamme NAS Synology 2025 Plus ne fonctionneront pleinement qu’avec des disques certifiés par la marque. Un choix qui marque un tournant dans la stratégie du constructeur, jusqu’ici réputé pour la flexibilité de son écosystème. Entre argument technique et intérêt commercial, cette décision soulève de nombreuses interrogations.
Une décision qui surprend la communauté
Jusqu’à présent, les NAS Synology étaient appréciés pour leur compatibilité large avec les disques durs et SSD du marché. Les utilisateurs pouvaient choisir librement leurs disques, en fonction de leurs besoins et de leur budget.
À partir de la génération NAS Synology 2025 Plus, la donne change. Seuls les disques Synology ou certifiés par l’entreprise permettront de profiter de toutes les fonctionnalités avancées :
mise en pool de stockage,
suivi de l’état de santé du disque,
analyse de durée de vie,
alertes proactives en cas de défaillance.
Les modèles antérieurs à 2025, ainsi que les séries J et Value, ne sont pas concernés par cette restriction.
Les arguments avancés par Synology
Officiellement, Synology justifie cette décision par des raisons techniques et de fiabilité. Selon la marque, les disques tiers posent parfois des problèmes de compatibilité avec DSM (DiskStation Manager), ce qui entraîne :
une gestion incomplète des alertes SMART,
des risques de panne non détectée,
un support plus complexe en cas d’incident.
En imposant ses propres disques, Synology affirme garantir un écosystème plus stable, plus sécurisé et mieux optimisé. Cette démarche s’inscrit dans une volonté de rapprocher ses NAS du modèle d’intégration vertical qu’on retrouve dans d’autres industries technologiques.
Une stratégie commerciale déguisée ?
Si les arguments techniques paraissent recevables, beaucoup d’observateurs et d’utilisateurs y voient surtout une manœuvre commerciale. Les disques Synology sont en moyenne plus chers que ceux des fabricants traditionnels (Seagate, WD, Toshiba).
En limitant artificiellement la compatibilité, Synology s’assure de capter une marge supplémentaire sur la vente des supports de stockage. Une stratégie qui n’est pas sans rappeler celle d’Apple, qui verrouille progressivement son écosystème pour fidéliser – ou contraindre – ses utilisateurs.
Les forums spécialisés bruissent déjà de réactions mitigées : certains saluent une logique de qualité et de support, d’autres dénoncent une perte de liberté et une hausse forcée du coût total d’un NAS Synology.
Quel impact pour les utilisateurs ?
Pour les particuliers et PME habitués à assembler leurs NAS avec des disques du marché, cette décision pourrait être un véritable frein. Les coûts risquent d’augmenter sensiblement, et le choix se restreint.
En revanche, pour les entreprises qui recherchent avant tout fiabilité, support centralisé et cohérence matérielle, cette évolution pourrait être perçue comme un gage de sécurité.
La vraie question reste de savoir si cette nouvelle politique renforcera l’attractivité de Synology sur le segment professionnel, ou si elle incitera une partie de la communauté à se tourner vers des concurrents plus ouverts comme QNAP, Asustor ou TrueNAS.
Je ne m’attendais pas à grand-chose en sortant les Technics EAH-AZ100 de leur boîte. Encore une paire d’écouteurs sans fil premium, me suis-je dit. Mais dès les premières secondes d’écoute, j’ai compris que j’étais tombé sur quelque chose de vraiment spécial. La sensation est difficile à décrire : c’est comme si mes morceaux préférés, que j’ai écoutés des centaines de fois, avaient soudainement gagné en profondeur, en relief. Et je ne parle pas de fichiers lossless sur un DAC audiophile, mais bien de simples titres compressés sur Spotify.
Ces écouteurs, proposés à moins de 300 €, ne sont clairement pas destinés à tous les budgets. Mais croyez-moi, ils valent chaque centime pour qui aime la musique et veut la redécouvrir.
Une qualité sonore qui change la donne
Ce qui frappe en premier, c’est le niveau de détail sonore. Les EAH-AZ100 utilisent de nouveaux transducteurs de 10 mm avec fluide magnétique, une technologie héritée du monde de la hi-fi qui limite la distorsion et élargit la scène sonore. Résultat : les graves sont profonds mais jamais envahissants, les médiums sont clairs et les aigus précis sans agressivité.
En pratique, cela veut dire que vous pouvez entendre des nuances souvent écrasées par des écouteurs plus grand public : la respiration d’un chanteur, une réverbération discrète de guitare, ou encore la subtilité d’un mixage. C’est ce qui fait que l’on se surprend à redécouvrir des morceaux qu’on croyait connaître par cœur.
Un ANC efficace, mais surtout intelligent
Les EAH-AZ100 ne se contentent pas d’une réduction de bruit active classique. Ici, l’ANC est adaptatif : il s’ajuste en fonction de votre environnement et même de la forme de vos oreilles. Dans un bus ou dans un avion, les bruits de moteurs s’effacent, laissant place à la musique sans forcer sur le volume.
Alors oui, si l’on compare directement avec Bose, la référence historique en ANC, Technics n’a pas encore totalement détrôné le roi. Mais l’isolement est déjà excellent et, surtout, le son reste naturel, ce qui est parfois le défaut des ANC trop agressifs.
Un confort surprenant malgré un design robuste
Les écouteurs sont un peu plus imposants que certains concurrents, mais une fois en place, ils tiennent parfaitement et se font vite oublier. Technics a manifestement travaillé l’ergonomie : même après plusieurs heures d’écoute, aucune gêne particulière à signaler.
Le design inspire confiance, avec un boîtier solide et élégant, disponible en plusieurs coloris (noir, argent, champagne). Clairement, on est dans le premium assumé.
Une autonomie qui enterre la concurrence
C’est l’autre grosse surprise. Avec 10 heures d’écoute avec ANC activé et jusqu’à 28 heures avec le boîtier, ces écouteurs surpassent nombre de modèles concurrents dans cette gamme de prix. Ils se rechargent en USB-C et supportent la recharge sans fil Qi, ce qui est toujours appréciable.
Pour un usage quotidien (trajets, travail, sport, détente), c’est largement suffisant pour tenir plusieurs jours sans passer par la case recharge.
Des fonctionnalités vraiment pratiques
Bluetooth multipoint (3 appareils) : un vrai game changer. Plus besoin de déconnecter son PC pour prendre un appel sur le smartphone.
Compatibilité Dolby Atmos et suivi de tête : immersion renforcée dans les films et séries compatibles.
Codec LC3 avec LE Audio : future-proof et plus stable que le SBC/AAC classique.
Application Technics Audio Connect : pour ajuster l’égaliseur, gérer l’ANC, personnaliser les contrôles tactiles.
On sent que Technics a pensé aux détails, et ça fait la différence au quotidien.
Tableau récapitulatif des Technics EAH-AZ100
Caractéristiques
Détails
Prix
299 € (env.)
Autonomie
10 h (ANC activé) + 28 h avec boîtier
Charge
USB-C + recharge sans fil Qi
Réduction de bruit
ANC adaptatif
Haut-parleurs
Transducteurs 10 mm à fluide magnétique
Codecs pris en charge
SBC, AAC, LDAC, LC3 (LE Audio)
Fonctions spéciales
Multipoint (3 appareils), Dolby Atmos, suivi de tête
Résistance
IPX4 (résistant à la transpiration et aux éclaboussures)
Couleurs
Noir, argent, champagne
Ce que j’ai adoré (et un peu moins)
Points forts :
Une qualité sonore bluffante, digne de la hi-fi.
Une autonomie qui bat la concurrence.
Un confort bien pensé malgré la taille.
Des fonctionnalités modernes (multipoint, Atmos, LE Audio).
Points faibles :
L’ANC reste très bon, mais pas au niveau des Bose QC Ultra.
Un design un peu massif pour les petites oreilles.
Le prix, qui peut rebuter, même si la qualité le justifie.
Verdict : pour qui sont faits ces écouteurs ?
Si vous cherchez des écouteurs sans fil pour la vie de tous les jours et que vous n’êtes pas spécialement audiophile, les AZ-100 peuvent sembler chers. Mais si vous aimez vraiment la musique et que vous voulez en profiter avec un niveau de détail et une fidélité rarement atteints sur des true wireless, alors ils sont faits pour vous.
Les Technics EAH-AZ100 ne sont pas seulement de bons écouteurs. Ce sont des écouteurs qui vous rappellent pourquoi vous aimez la musique. Et ça, honnêtement, c’est rare.
Vous pouvez trouver les Technics EAH-AZ100 en Noir ou en Silver chez différents commerçants et notamment :
Les Technics EAH-AZ100 sont-ils résistants à l’eau ? Oui, ils disposent de la certification IPX4, ce qui les protège contre la transpiration et les éclaboussures.
Peut-on les connecter à plusieurs appareils en même temps ? Oui, le multipoint permet de connecter jusqu’à 3 appareils simultanément.
Sont-ils compatibles avec les iPhone ? Oui, ils fonctionnent parfaitement avec iOS (en AAC) mais tirent tout leur potentiel avec Android (LDAC, LC3).
Le Dolby Atmos marche-t-il partout ? Il fonctionne sur les appareils et applications compatibles, comme certaines plateformes de streaming et smartphones récents.
Le prix est-il justifié ? Oui, si vous cherchez une expérience sonore haut de gamme. Non, si vous voulez simplement des écouteurs corrects pour le quotidien.
Les fournisseurs de VPN multiplient depuis quelques mois les annonces : certains proposent désormais des forfaits eSIM en complément de leur abonnement VPN. Mais pourquoi un VPN se mettrait-il à vendre une carte SIM virtuelle ? Et surtout, qu’est-ce que ça change pour l’utilisateur lambda ? On fait le point.
Quand les VPN se transforment en opérateurs virtuels
Traditionnellement, un VPN permet de sécuriser sa connexion et de masquer son adresse IP. Mais certains acteurs du secteur, comme les excellents ExpressVPN ou encore IPVanish, dans le top de mon classement des meilleurs VPN, cherchent à aller plus loin. En proposant une eSIM internationale, ils offrent à leurs abonnés une solution complète : se connecter à Internet à l’étranger sans exploser son forfait mobile, tout en profitant de la protection du VPN.
Concrètement, au lieu d’acheter une carte SIM locale en arrivant dans un pays, il suffit d’activer une eSIM depuis l’application du VPN. On obtient immédiatement une connexion data, sans avoir besoin de chercher une boutique ou de jongler avec plusieurs cartes.
Voyager connecté et protégé, sans se ruiner
L’intérêt principal de ces offres, c’est le voyage. Pour le grand public, cela répond à trois besoins :
Éviter le roaming : les frais d’itinérance peuvent vite grimper hors Europe. Avec une eSIM intégrée au VPN, on active un forfait data local ou international à prix fixe.
Rester anonyme et sécurisé : même sur le réseau mobile étranger, le VPN protège la navigation et chiffre les données.
Simplicité : plus besoin d’acheter une SIM sur place ou de bidouiller son smartphone, l’activation est quasi immédiate.
Un atout marketing pour les VPN
Soyons honnêtes : tout le monde n’a pas besoin d’une eSIM couplée à un VPN. Mais pour un utilisateur qui voyage une ou deux fois par an, la promesse est séduisante. Du point de vue des fournisseurs, c’est aussi un moyen de se différencier sur un marché saturé, en offrant une expérience “tout-en-un” qui combine connectivité et cybersécurité.
Une tendance qui pourrait s’imposer
Si cette tendance est encore récente, elle pourrait rapidement se démocratiser. Les utilisateurs cherchent de plus en plus des solutions simples pour rester connectés partout, sans sacrifier la sécurité. L’alliance eSIM + VPN coche ces cases, et pourrait devenir un argument de vente majeur dans les prochaines années.
L’Europe aime brandir ses grands textes réglementaires pour rappeler aux GAFAM qu’ils ne sont pas en terrain conquis. Mais cette fois, c’est la Federal Trade Commission (FTC) américaine qui hausse le ton. Son président, Andrew Ferguson, a averti les géants de la tech. Se plier aux régulations européennes et britanniques, comme le Digital Services Act (DSA) ou l’Online Safety Act, ne doit pas se faire au détriment de la protection des données des citoyens américains.
Derrière cette posture, un message limpide. Les États-Unis ne laisseront pas Bruxelles dicter la manière dont leurs entreprises traitent les données de leurs concitoyens.
La FTC sonne l’alarme face aux lois européennes
Le 21 août 2025, Andrew Ferguson a convoqué Apple, Google, Amazon, Meta, Microsoft et consorts. Le but était de leur rappeler que la Section 5 du FTC Act proscrit toute pratique déloyale ou trompeuse. Traduction : si, pour respecter les lois européennes, les plateformes affaiblissent les standards de protection des données côté américain, elles s’exposent à des sanctions.
La FTC ne s’oppose pas aux régulations étrangères en soi. Mais elle refuse que les GAFAM adoptent une politique unique qui « tirerait vers le bas » la protection des utilisateurs américains. Ferguson a invité les dirigeants de la tech à venir s’expliquer directement devant ses services.
Une Europe ambitieuse… mais impuissante ?
Du côté européen, on se félicite de faire trembler la Silicon Valley avec des acronymes ronflants — DSA, DMA, IA Act, et compagnie. Mais soyons honnêtes : Bruxelles souffle bien fort dans sa trompette, sans jamais vraiment contrôler la partition. Les amendes pleuvent, certes, mais elles sont absorbées comme une taxe supplémentaire par des entreprises qui pèsent parfois plus que des États entiers.
Et quand Washington tape du poing sur la table, l’Europe baisse vite la tête. On l’a encore vu récemment avec le Royaume-Uni, sommé par les Américains de retirer sa demande de « backdoor » dans iCloud. Résultat : Londres a plié. Pas de surprise, donc, si l’UE finit par suivre la même voie.
Le retour de Trump, l’épouvantail européen
L’histoire pourrait vite se corser : sous la présidence de Donald Trump, inutile de rêver à une belle coopération transatlantique sur le numérique. Le ton musclé de la FTC n’est sans doute qu’un avant-goût. On peut déjà imaginer le président menacer de représailles commerciales pour faire plier Bruxelles.
En clair, dans ce bras de fer, l’Europe a beau multiplier les règlements et les postures, elle n’a ni l’arsenal économique, ni la puissance diplomatique pour rivaliser avec Washington. Et les géants de la tech, eux, savent très bien de quel côté leur pain est beurré.
Boston Dynamics et Toyota Research Institute viennent de franchir une étape décisive dans la robotique humanoïde. Leur robot Atlas est désormais contrôlé par un Large Behavior Model (LBM), une approche unifiée qui permet de gérer la locomotion, la manipulation et la perception sans séparation entre les sous-systèmes. Résultat : le robot s’adapte en temps réel aux imprévus et enchaîne des tâches logistiques avec une fluidité inédite.
Un défi majeur : coordonner un corps entier
Jusqu’ici, la robotique humanoïde fonctionnait par modules : un système pour les jambes, un autre pour les bras, un troisième pour l’équilibre. Cette architecture entraînait rigidité et lenteur d’adaptation.
Atlas, propulsé par un Large Behavior Model, casse cette logique. Désormais, tout le corps — bras, jambes, tronc, tête — est contrôlé par une seule politique neuronale, capable de gérer simultanément équilibre, mouvement et manipulation.
Les Large Behavior Models expliqués
Des données riches et variées
Le modèle est nourri par des milliers de démonstrations :
téléopération humaine,
simulation robotique,
manipulation réelle sur Atlas.
Chaque démonstration alimente une gigantesque base de données d’exemples, permettant d’entraîner le robot à réagir dans des situations très diverses.
Un réseau unique et multimodal
Le LBM est un transformeur de 450 millions de paramètres, intégrant trois sources d’information :
la vision (caméras d’Atlas),
la proprioception (capteurs internes du robot),
les instructions en langage naturel.
Ce réseau unifié génère ensuite des actions cohérentes pour l’ensemble du corps, avec une fréquence de 30 Hz, garantissant fluidité et réactivité.
Une boucle d’apprentissage continue
Après entraînement, le robot est testé sur de nouvelles tâches. Les erreurs et ajustements sont réinjectés dans le système, améliorant la robustesse et la capacité de généralisation. Cette approche rappelle celle des Large Language Models (LLM), mais appliquée à la motricité.
Une réactivité jamais vue
Dans la démonstration, Atlas manipule des boîtes, ouvre et ferme des couvercles, tout en s’adaptant aux perturbations volontaires d’un opérateur. Si la boîte est déplacée ou si un couvercle est refermé, le robot analyse la situation et corrige son geste sans intervention humaine.
Cette plasticité comportementale est une rupture avec les robots programmés à l’avance. Atlas n’exécute plus seulement des scripts : il comprend la tâche et ajuste son comportement en conséquence.
Un game-changer pour la robotique industrielle
Cette avancée transforme la robotique humanoïde en solution concrète dès aujourd’hui. Les applications sont nombreuses :
logistique et entrepôts automatisés,
manutention dans des environnements imprévus,
assistance en zones de secours ou milieux dangereux.
Atlas propulsé par Large Behavior Models démontre que les robots généralistes ne sont plus une promesse lointaine : ils arrivent dès demain dans l’industrie.
Les VPN gratuits séduisent par leur accessibilité, mais une enquête menée par Comparitech et relayée par TechRadar montre qu’ils peuvent représenter un risque majeur. Pas moins de 18 applications VPN gratuites disponibles sur Android et iOS présentent des liens techniques avec la Russie et la Chine, mettant en péril la confidentialité des données de millions d’utilisateurs.
18 VPN gratuits pointés du doigt
Ces apps, téléchargées des millions de fois, communiqueraient avec des domaines associés à Baidu, Yandex, Mail.ru ou encore Alibaba. Certaines intègrent même des kits de développement provenant directement de ces pays.
L’analyse de 24 applications VPN gratuites a révélé :
12 apps communiquent avec des adresses IP russes :
QuarkVPN
VPNify
Signal Secure VPN
Turbo VPN
VPN Proxy Master
Snap VPN
VPN Free
Proxy Master
NowVPN (iOS)
WireVPN (iOS)
FastVPN Super (iOS)
VPN – Fast VPN Super (iOS)
6 apps communiquent avec des domaines chinois :
Signal Secure VPN (Android)
Turbo VPN (Android)
VPN Proxy Master (Android)
Snap VPN (Android)
NowVPN (iOS)
Ostrich VPN (iOS)
5 apps (dont Turbo VPN, VPN Proxy Master, Snap VPN, Signal Secure VPN et Thunder VPN) auraient des liens avec une entreprise basée à Shanghai soupçonnée d’être proche de l’armée chinoise.
Au total, plusieurs VPN se retrouvent dans les deux catégories, confirmant des connexions doubles vers la Russie et la Chine.
Un VPN en lien avec la Russie ou la Chine ne peut garantir une politique « no-logs », car les lois locales imposent la surveillance et la conservation des données. Cela signifie qu’une partie du trafic pourrait être exploitée ou surveillée sans que l’utilisateur en ait conscience.
Quand c’est gratuit, c’est vous le produit
Cette affaire illustre une vérité que les experts en cybersécurité répètent depuis longtemps : « quand c’est gratuit, c’est vous le produit ». Un service gratuit doit trouver un modèle économique, et trop souvent, cela passe par la revente de données personnelles, l’insertion de publicités intrusives ou pire encore, l’exposition volontaire aux autorités de certains pays.
J’ai déjà évoqué ce sujet dans mon article sur les VPN gratuits fiables, où je distingue les rares services qui offrent une version gratuite limitée certes mais sécurisée (ProtonVPN, Windscribe, PrivadoVPN, …) de ceux qui manipulent leurs utilisateurs pour générer du revenu.
Faut-il abandonner totalement les VPN gratuits ?
La méfiance doit être de mise. Si certains services réputés offrent une version gratuite limitée et sécurisée, il est largement recommandé de choisir un VPN payant de confiance. Un abonnement à un acteur sérieux garantit une infrastructure robuste, une véritable politique de confidentialité et surtout, l’absence de motivation à monétiser les données des utilisateurs. Quand au prix un VPN payant ne vous coutera guère plus de 3€ par mois, ce qui au regards de ce que ça vous apporte est dérisoire.
Conclusion
L’enquête sur ces 18 VPN gratuits liés à la Russie et à la Chine rappelle une règle essentielle : un service gratuit n’est jamais vraiment gratuit, ce sont souvent vos données qui en paient le prix. Pour protéger votre vie privée, la vigilance et le choix d’outils fiables sont indispensables.
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Google frappe un grand coup dans l’apprentissage des langues. Avec le mode « Practice », Google Translate devient un véritable Google Translate coach linguistique et ne se limite plus à traduire du texte. La concurrence est directe pour Duolingo.
De la traduction à l’apprentissage : Google Translate coach linguistique
Jusqu’ici, Google Translate servait surtout aux traductions de textes, d’images et de conversations. Désormais, l’application propose un parcours d’apprentissage avec écoute, répétition, repérage de mots et scénarios de conversation. Le tout s’adapte à votre niveau, suit vos progrès et encourage une pratique quotidienne.
Pour l’instant, Google cible principalement :
Les anglophones apprenant l’espagnol ou le français.
Les hispanophones, francophones et lusophones apprenant l’anglais.
Ainsi, Translate devient une alternative crédible aux applis d’apprentissage tout en restant intégré à l’écosystème Google.
Pourquoi le coach linguistique de Google bouscule Duolingo
Duolingo domine depuis des années. Cependant, Google part avec un atout majeur : Translate est préinstallé sur des centaines de millions d’appareils Android. De plus, l’intégration dans une app déjà utilisée au quotidien réduit les frictions. Résultat : l’essai est simple, et l’adoption peut être massive.
Côté pédagogie, le mode « Practice » mise sur la conversation guidée et l’oral. C’est exactement ce que recherchent les voyageurs, les étudiants et les pros. Par conséquent, Duolingo pourrait voir une partie de ses usages occasionnels migrer vers Translate, au moins pour la pratique rapide.
Coach linguistique : disponibilité, France et astuce VPN
Le déploiement est progressif. Le Google Translate coach linguistique arrive d’abord aux États-Unis, en Inde et au Mexique. En revanche, la France n’est pas encore servie au moment de publier cet article.
Vous voulez tester la nouveauté tout de suite ? Utilisez un VPN et connectez-vous à un serveur situé aux États-Unis. L’app proposera alors les nouveautés côté US. Pour choisir l’outil adapté, consultez mon guide : Les meilleurs VPN pour contourner les restrictions géographiques.
Live Translate et IA : un duo qui renforce l’apprentissage
En parallèle, Google améliore la conversation bidirectionnelle en temps réel (Live Translate). Plus de 70 langues sont prises en charge. L’IA gère mieux les accents, le bruit et les interruptions. Deux personnes peuvent donc échanger presque sans barrière, ce qui complète parfaitement la pratique scénarisée.
Quelles limites et quelles suites ?
La bêta reste ciblée sur quelques paires de langues. Le contenu didactique est prometteur mais encore jeune. Néanmoins, l’IA de Google progresse vite. À court terme, on peut anticiper davantage de langues, des objectifs personnalisés et des intégrations avec d’autres services Google.
La Garmin Instinct 3 vient de remporter le prix de la meilleure smartwatch 2025 lors des Tom’s Guide Awards. Avec son autonomie record, sa robustesse certifiée militaire et ses fonctionnalités pensées pour l’aventure, cette montre connectée s’impose comme une référence pour les sportifs et les amoureux du plein air.
Une montre conçue pour durer
La Garmin Instinct 3 s’inscrit dans la lignée des montres outdoor de la marque, mais franchit un nouveau cap en termes d’endurance. Deux modèles sont proposés :
une version AMOLED, avec une autonomie pouvant atteindre 24 jours ;
une version Solar équipée d’un écran MIP qui, exposé régulièrement au soleil, peut offrir une autonomie quasi illimitée.
Cette prouesse technique s’accompagne d’un boîtier robuste certifié MIL‑STD‑810 et d’une étanchéité jusqu’à 100 mètres. Ajoutez à cela une torche LED intégrée et vous obtenez une montre prête à affronter les conditions les plus extrêmes, que ce soit en montagne, en trail ou en expédition.
Des fonctionnalités sport et aventure complètes
Pensée pour les sportifs exigeants, l’Instinct 3 propose un suivi avancé grâce à son GPS multi‑bande, son altimètre, baromètre et compas intégrés (capteurs ABC). Les coureurs, randonneurs et triathlètes trouveront des métriques précises et des suggestions d’entraînement personnalisées.
Côté santé, la montre intègre les classiques de Garmin . Suivi du sommeil, fréquence cardiaque, variabilité de la fréquence cardiaque (HRV), niveau de stress et oxymètre de pouls. Une combinaison idéale pour qui veut analyser ses performances mais aussi mieux gérer la récupération.
Une polyvalence signée Garmin
Garmin a su construire un écosystème solide autour de ses produits. La marque est déjà incontournable pour les sportifs outdoor, mais aussi pour les cyclistes. Si l’Instinct 3 reste une montre, elle s’inscrit parfaitement dans cette logique de polyvalence. Pour les amateurs de deux‑roues, Garmin propose également une gamme de GPS vélo réputés pour leur fiabilité et leur précision. J’ai d’ailleurs rédigé un guide détaillé sur les 5 meilleurs GPS vélo. Le but est de vous aider à choisir le modèle le plus adapté à votre besoin.
Les limites à connaître
Tout n’est pas parfait. Contrairement aux modèles haut de gamme comme la Fenix 7 ou l’Epix Pro, la Garmin Instinct 3 ne propose ni cartographie offline, ni stockage de musique. Deux absences qui pourront frustrer certains aventuriers souhaitant partir sans smartphone. Néanmoins, ces manques s’expliquent par la volonté de Garmin de maintenir un prix plus contenu et une autonomie hors norme.
Une reconnaissance méritée
En récompensant la Garmin Instinct 3, les Tom’s Guide Awards 2025 mettent en avant une philosophie : une montre connectée n’a pas besoin d’être luxueuse pour être indispensable. Avec son design robuste, son autonomie hors pair et ses outils taillés pour l’aventure, l’Instinct 3 s’impose comme la compagne idéale des sportifs en quête de liberté et de fiabilité.
La Pixel War 2025 fait son grand retour. Non plus sur Reddit mais sur une nouvelle plateforme baptisée Wplace. Lancée en juillet 2025 par le Brésilien Murilo Matsubara, cette arène numérique transforme la carte du monde en toile collective où chaque pixel devient une arme, un symbole ou une revendication. Après le succès fulgurant de Reddit r/place en 2017, 2022 et 2023, c’est désormais une nouvelle bataille artistique et communautaire qui s’annonce. Mais la France, jadis championne incontestée de la Pixel War, reprendra-t-elle le combat ?
Wplace : un héritier ambitieux de Reddit Place
Contrairement au canevas blanc de Reddit, Wplace adopte une carte du monde comme support. Chaque utilisateur commence avec 30 pixels à placer et en récupère un toutes les 30 secondes. Plus il est actif, plus il gagne de ressources pour agrandir ou défendre ses créations.
Dès son lancement, le succès est phénoménal : en seulement quatre jours, plus d’un million d’utilisateurs se sont connectés. Les réseaux sociaux – TikTok, Reddit, X (Twitter) – se sont rapidement enflammés. Entre fan-art vidéoludique, messages politiques, en passant par des drapeaux nationaux ou régionaux.
Un classement des pays renforce l’aspect compétitif. Le Brésil domine largement depuis le 7 août 2025 avec plus de 500 millions de pixels placés. Ce positionnement n’est pas un hasard : la communauté brésilienne, déjà très mobilisée sur Reddit Place, retrouve ici un nouveau terrain de jeu.
Quand l’art rencontre la géopolitique
La Pixel War 2025 n’est pas seulement une bataille graphique : elle devient aussi un espace d’expression artistique et militante.
Des slogans en soutien à Gaza apparaissent, ainsi que des messages pour les droits LGBTQ+.
Des mouvements régionaux d’Amérique latine (Colombie, Pérou) utilisent l’espace pour afficher leur identité culturelle et politique.
Des références pop et vidéoludiques, véritables « easter eggs » numériques, viennent compléter le tableau.
Cette dimension hybride – entre art collaboratif et revendication politique – rappelle la force virale de Reddit Place. Mais la dépasse en donnant une dimension cartographique et nationale à chaque geste.
La France fera-t-elle son retour ?
En 2022, la France avait marqué l’histoire de Reddit Place. Sous l’impulsion de streameurs comme Kameto, Squeezie, ZeratoR et Inoxtag, des centaines de milliers d’internautes français avaient peint une vaste fresque : Tour Eiffel, Drapeau tricolore, références à Astérix et aux mangas. Cette mobilisation massive avait été surnommée « Garde du pixel » et avait tenu tête aux communautés espagnoles, américaines et aux fans de K-pop.
Aujourd’hui, une question se pose : la France va-t-elle rallumer la flamme de la Pixel War 2025 sur Wplace ? Pour l’heure, les grands créateurs français n’ont pas encore annoncé de mobilisation. Mais l’exemple brésilien prouve qu’une nation, portée par ses influenceurs, peut de nouveau dominer l’espace numérique.
Perspectives : un nouveau rendez-vous mondial
La Pixel War 2025 illustre une tendance de fond : la gamification des espaces numériques collectifs. Ces « guerres » ne sont pas destructrices, mais créatives et fédératrices. Elles mettent en avant l’importance des communautés en ligne et leur capacité à s’organiser autour d’un objectif commun, qu’il soit artistique, identitaire ou militant.
Reste à voir si la France – et d’autres nations comme l’Espagne, les États-Unis ou la Corée du Sud – entreront dans la danse pour rééditer les affrontements mémorables de 2022. Une chose est sûre : Wplace vient d’ouvrir un nouveau chapitre de la Pixel War, et la bataille ne fait que commencer.
Elon Musk poursuit sa stratégie d’ouverture dans le domaine de l’intelligence artificielle. Dans un post publié sur X le 24 août 2025, il a annoncé que le modèle Grok 2.5 est désormais disponible en open source sur Hugging Face.
Par ailleurs, Musk a précisé que Grok 3, déjà largement utilisé par les utilisateurs de la plateforme X, sera rendu open source dans environ six mois. Une annonce qui confirme l’ambition de xAI de s’imposer dans la course mondiale à l’IA générative en misant sur la transparence et la collaboration.
The @xAI Grok 2.5 model, which was our best model last year, is now open source.
Le modèle Grok 2.5 était considéré comme la meilleure version de xAI en 2024. Son ouverture en open source signifie que chercheurs, développeurs et entreprises peuvent désormais télécharger librement le modèle. IL pourront ainsi l’expérimenter, l’adapter à leurs cas d’usage ou même contribuer à son amélioration.
Cette disponibilité sur la plateforme d’hébergement de modèles IA Hugging Face, rend Grok 2.5 facilement accessible à la communauté mondiale. Cela place xAI dans la continuité d’autres acteurs ayant ouvert leurs modèles, comme Meta avec LLaMA ou Mistral AI.
Grok 3 bientôt en Open Source ?
Grok 3 est actuellement le LLM par défaut sur X (ex-Twitter). Il est utilisé quotidiennement par des millions d’utilisateurs pour générer du texte et répondre à des questions.
Musk précise dans son Tweet que cette version sera rendue open source dans six mois environ.
Cette démarche stratégique permet à xAI de conserver un avantage compétitif tout en préparant une ouverture pour renforcer son adoption.
Ainsi, la gamme Grok se déploie sur plusieurs niveaux :
Grok 2.5 → désormais open source
Grok 3 → déjà disponible sur X, mais open source prévu dans 6 mois
Grok 4 → accessible uniquement via abonnement payant
Une stratégie offensive de xAI
En rendant progressivement ses modèles open source, Elon Musk adopte une stratégie offensive dans un marché de l’IA dominé par des géants comme OpenAI, Google DeepMind et Anthropic.
Cette démarche répond à deux objectifs :
Technologique : stimuler l’innovation en donnant à la communauté scientifique et aux startups les moyens de tester, d’améliorer et de réutiliser Grok.
Stratégique : renforcer la notoriété et l’adoption de xAI dans un environnement où l’ouverture devient un atout compétitif.
L’annonce de l’open source de Grok 2.5 et, bientôt, de Grok 3, est donc autant un choix technique qu’un signal politique : Musk souhaite incarner le contrepoids face à des modèles fermés et propriétaires.
Quelles perspectives pour l’avenir ?
Si l’ouverture de Grok 2.5 constitue une étape majeure, la véritable attente porte désormais sur Grok 3 en open source. Son accessibilité devrait multiplier les cas d’usage dans l’éducation, la recherche et l’industrie.
Quant à Grok 4, il illustre la dualité de la stratégie de Musk : proposer une version premium pour générer des revenus, tout en consolidant son image de défenseur d’une IA plus ouverte.
Dans un secteur où les annonces se succèdent à un rythme effréné, la mise en open source progressive des modèles Grok pourrait bien repositionner xAI comme un acteur incontournable de l’écosystème mondial de l’intelligence artificielle.
Envie de tester ce modèle ?
Si vous souhaitez expérimenter Grok 2.5, le modèle est disponible au format Transformers sur Hugging Face. L’installation nécessite un environnement Python 3.10+, ainsi que les bibliothèques transformers, torch (ou jax/accelerate selon la configuration), et éventuellement bitsandbytes pour l’inférence quantifiée.
Compte tenu de la taille du modèle, il est recommandé de disposer d’un GPU avec au moins 24 Go de VRAM (type NVIDIA RTX 3090, A6000 ou supérieur), ou d’exécuter le modèle en mode distribué via DeepSpeed ou Accelerate.
Pour un usage plus léger, Hugging Face propose aussi une intégration via Text Generation Inference (TGI) ou un déploiement rapide sur des services cloud compatibles comme AWS, GCP ou Azure.
Pour récupérer et exécuter Grok 2.5 depuis Hugging Face, voici les étapes minimales à suivre :
# 1. Créer un environnement virtuel (optionnel mais recommandé) python -m venv venv source venv/bin/activate # Linux / macOS venv\Scripts\activate # Windows PowerShell
# 3. Installer Git LFS (si non déjà présent) # Linux sudo apt-get install git-lfs # macOS (brew) brew install git-lfs # Initialiser git lfs install
# 4. Cloner le modèle Grok 2.5 git clone https://huggingface.co/xai-org/grok-2 cd grok-2
Vous pouvez ensuite lancer le modèle en quelques lignes de code Python :
from transformers import AutoModelForCausalLM, AutoTokenizer
model_name = "xai-org/grok-2" tokenizer = AutoTokenizer.from_pretrained(model_name) model = AutoModelForCausalLM.from_pretrained(model_name, device_map="auto")
prompt = "Explique-moi la différence entre Grok 2.5 et Grok 3." inputs = tokenizer(prompt, return_tensors="pt").to(model.device) outputs = model.generate(**inputs, max_new_tokens=200) print(tokenizer.decode(outputs[0], skip_special_tokens=True))
Ce code permet de générer une première réponse avec Grok 2.5 en local. Les plus avancés pourront explorer le fine-tuning avec LoRA/PEFT, ou l’intégrer dans des pipelines applicatifs via l’API Transformers et LangChain.
L’intelligence artificielle continue sa course effrénée. Quelques mois seulement après le lancement de GPT-5, OpenAI confirme déjà travailler sur ChatGPT 6. Cette nouvelle version sera plus puissante, plus personnalisée et surtout dotée d’une mémoire avancée. Alors que les utilisateurs se familiarisent à peine avec GPT-5, que peut-on réellement attendre de cette prochaine génération ?
OpenAI confirme ChatGPT 6
Lors de récentes interventions publiques, Sam Altman, le PDG d’OpenAI, a confirmé que ChatGPT 6 est déjà en cours de développement. L’entreprise promet une sortie plus rapide que pour GPT-5, dont le cycle avait été plus long et parfois critiqué pour un manque de nouveautés tangibles.
Altman assure que GPT-6 ne sera pas une simple mise à jour incrémentale. Mais une évolution majeure, pensée pour corriger certaines limites actuelles et proposer une expérience plus cohérente aux utilisateurs.
Une mémoire à long terme pour des échanges plus naturels
L’une des grandes révolutions attendues avec ChatGPT 6 est sa mémoire intégrée. Contrairement aux versions précédentes GPT-6 devrait être capable de se souvenir des préférences et du contexte des utilisateurs sur la durée.
Cela signifie qu’un utilisateur n’aura plus besoin de répéter ses instructions à chaque échange. L’IA pourra par exemple se souvenir d’un style rédactionnel préféré, d’un projet en cours ou encore d’une configuration technique utilisée régulièrement.
Cette avancée ouvre la voie à une relation plus fluide et plus « humaine » avec l’IA. Mais cela soulève aussi des enjeux majeurs autour de la confidentialité et du contrôle des données. OpenAI devra rassurer sur la manière dont cette mémoire sera stockée, gérée et effaçable par l’utilisateur.
Une personnalisation poussée de l’expérience
Outre la mémoire, GPT-6 promet une personnalisation accrue. Nick Turley, responsable de ChatGPT chez OpenAI, explique que l’objectif est de rendre l’IA plus adaptable aux besoins spécifiques de chacun.
On peut imaginer des assistants spécialisés selon les contextes : un mode professionnel pour rédiger rapports et présentations, un mode créatif pour générer des scénarios ou encore un mode éducatif pour l’apprentissage. Cette modularité pourrait transformer l’usage quotidien de ChatGPT et renforcer son adoption dans des secteurs variés comme l’éducation, la recherche ou les services clients.
Quelles différences avec GPT-5 ?
Bien que GPT-5 ait marqué une étape importante, de nombreux utilisateurs ont jugé que l’écart avec GPT-4 restait limité. GPT-6, au contraire, serait pensé pour marquer une rupture plus nette :
Amélioration de la cohérence des réponses, avec moins de contradictions.
Mémoire persistante permettant un suivi des conversations.
Personnalisation contextuelle, pour adapter le ton et le style aux besoins.
Capacités multimodales renforcées, avec une meilleure intégration du texte, de l’image et potentiellement de la vidéo.
Altman insiste : GPT-6 ne sera pas seulement « plus fort » que GPT-5, il sera différent.
Quand attendre ChatGPT 6 ?
Aucune date précise n’a été communiquée, mais les déclarations des responsables d’OpenAI laissent entendre que le lancement pourrait intervenir dans les six prochains mois. Nick Turley rappelle que la feuille de route technologique d’OpenAI est souvent calée sur des cycles semestriels, ce qui laisse supposer un déploiement rapide.
Cependant, comme pour chaque version majeure, OpenAI pourrait procéder par phases de tests restreints avant un déploiement global. Les abonnés à ChatGPT Plus et aux offres professionnelles pourraient ainsi découvrir GPT-6 en avant-première.
Une attente fébrile dans l’écosystème IA
L’annonce de ChatGPT 6 intervient alors que la concurrence s’intensifie : Google pousse ses modèles Gemini, Anthropic continue d’évoluer avec Claude, et Mistral AI s’impose en Europe. Dans ce contexte, OpenAI doit maintenir son avance technologique tout en répondant aux préoccupations croissantes liées à l’usage de l’IA.
Si ChatGPT 6 tient ses promesses, il pourrait redéfinir la manière dont nous interagissons avec les machines et renforcer encore la place centrale d’OpenAI dans l’écosystème mondial de l’IA.