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QCM En Informatique GĂ©nĂ©rale – Partie 76

QCM en informatique gĂ©nĂ©rale avec la correction pour la prĂ©paration des concours, des tests, aux examens et aux certifications. Ces questions et rĂ©ponses sur l’informatique gĂ©nĂ©rale comprennent divers sujets. Et sont tirĂ©s d’un vrai concours Ă©crit et certaines parties sont tirĂ©s d’un entretien orale. Cette mĂ©thode d’apprentissage systĂ©matique prĂ©parera facilement toute personne pour rĂ©ussir son concours.
 
 

1. Dans le modĂšle SaaS (Software as a Service), qui est responsable de la gestion des mises Ă  jour et de la maintenance du logiciel ?

A L’utilisateur

B Le fournisseur de service cloud

C Le systùme d’exploitation

D L’administrateur rĂ©seau

B
Dans le modùle SaaS, le fournisseur de service cloud est responsable de la gestion, des mises à jour et de la maintenance du logiciel. L’utilisateur accùde simplement à l’application via Internet.

 

 
2. Quel type d’attaque consiste Ă  envoyer un grand nombre de requĂȘtes Ă  un serveur pour le rendre inaccessibile ?

A Phishing

B Malware

C Denial of Service (DoS)

D Man-in-the-middle

C
Une attaque par dĂ©ni de service (DoS) consiste Ă  envoyer un grand nombre de requĂȘtes ou de donnĂ©es Ă  un serveur afin de le surcharger et de le rendre inaccessibile aux utilisateurs lĂ©gitimes.

 

 
3. Dans un diagramme de Gantt, quelle information est gĂ©nĂ©ralement reprĂ©sentĂ©e sur l’axe vertical ?

A Les dates

B Les phases du projet

C Les ressources utilisées

D Les tĂąches Ă  accomplir

D
Dans un diagramme de Gantt, l’axe vertical reprĂ©sente gĂ©nĂ©ralement les tĂąches ou les activitĂ©s du projet, tandis que l’axe horizontal reprĂ©sente le temps.

 

 
 
4. Le modĂšle OSI comprend combien de couches ?

A 8

B 4

C 7

D 5

C
Le modÚle OSI (Open Systems Interconnection) est un modÚle de référence pour la communication réseau qui se compose de 7 couches: physique, liaison de données, réseau, transport, session, présentation et application.

 

 
5. Quelle est la fonction d’une contrainte d’intĂ©gritĂ© en SQL ?

A Optimiser les requĂȘtes pour amĂ©liorer les performances

B Garantir la validité des données insérées dans une base de données

C Déterminer les relations entre les différentes tables

D Créer des index sur les colonnes les plus utilisées

B
Les contraintes d’intĂ©gritĂ© en SQL sont utilisĂ©es pour garantir que les donnĂ©es respectent certaines rĂšgles et restrictions, comme les valeurs uniques, les clĂ©s Ă©trangĂšres ou les valeurs non nulles, afin de maintenir la qualitĂ© et la validitĂ© des donnĂ©es.

 

 
6. Quel est l’avantage principal des rĂ©seaux de neurones profonds (Deep Learning) par rapport aux rĂ©seaux de neurones classiques ?

A Ils sont plus rapides Ă  entraĂźner

B Ils peuvent traiter des données non structurées, comme les images et les vidéos

C Ils nĂ©cessitent moins de donnĂ©es pour l’entraĂźnement

D Ils utilisent des modĂšles plus simples

B
Les rĂ©seaux de neurones profonds (Deep Learning) sont capables de traiter des donnĂ©es complexes et non structurĂ©es comme les images, les vidĂ©os, et la parole, grĂące Ă  leurs multiples couches d’apprentissage.

 

 
 
7. Apache Spark est principalement utilisé pour :

A Le stockage de données dans des systÚmes distribués

B Le traitement rapide de grandes quantités de données en parallÚle

C La gestion des bases de données relationnelles

D La création de visualisations interactives de données

B
Apache Spark est un framework de traitement de donnĂ©es en parallĂšle qui permet d’effectuer des calculs rapides sur de trĂšs grandes quantitĂ©s de donnĂ©es. Il est souvent utilisĂ© pour des applications de Big Data, telles que l’analyse de donnĂ©es en temps rĂ©el.

 

 
8. Quel est l’objectif d’une transaction en SQL ?

A Augmenter la vitesse de traitement des requĂȘtes

B Garantir que les opĂ©rations d’une requĂȘte soient exĂ©cutĂ©es de maniĂšre complĂšte et cohĂ©rente

C Diviser les données entre différentes tables

D Créer des index pour améliorer les performances

B
Une transaction en SQL est un ensemble d’opĂ©rations qui sont traitĂ©es comme une unitĂ©. Elle garantit que toutes les modifications sont effectuĂ©es de maniĂšre cohĂ©rente, et si une erreur survient, toutes les modifications sont annulĂ©es (rollback).

 

 
9. Un registre dans un processeur est utilisé pour:

A Stocker de grandes quantités de données à long terme

B Conserver les instructions en cours d’exĂ©cution

C Conserver temporairement les données pendant le traitement

D GĂ©rer l’accĂšs au disque dur

C
Les registres sont des petites mĂ©moires de stockage rapide dans un processeur utilisĂ©es pour stocker temporairement des donnĂ©es lors de l’exĂ©cution des instructions, facilitant ainsi un traitement plus rapide.

 

 
 
10. L’algorithme de clustering est utilisĂ© pour:

A Classer les données en catégories prédéfinies

B Regrouper les données similaires sans avoir besoin de données étiquetées

C Prédire une variable continue

D Éliminer les doublons dans un jeu de donnĂ©es

B
Le clustering est un algorithme d’apprentissage non supervisĂ© qui regroupe les donnĂ©es en fonction de leur similaritĂ©, sans nĂ©cessiter d’étiquettes ou de classifications prĂ©existantes.

 

 

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QCM En Informatique GĂ©nĂ©rale – Partie 1

QCM en informatique gĂ©nĂ©rale avec la correction pour la prĂ©paration des concours, des tests, aux examens et aux certifications. Ces questions et rĂ©ponses sur l’informatique gĂ©nĂ©rale comprennent divers sujets. Et sont tirĂ©s d’un vrai concours Ă©crit et certaines parties sont tirĂ©s d’un entretien orale. Cette mĂ©thode d’apprentissage systĂ©matique prĂ©parera facilement toute personne pour rĂ©ussir son concours.
 
 

1. Quel est le rĂŽle principal du processeur dans un ordinateur ?

A Stocker les données

B Exécuter les instructions du programme

C Afficher les informations Ă  l’écran

D Connecter l’ordinateur à Internet

B
Le processeur, ou CPU (Central Processing Unit), est l’unitĂ© centrale de traitement qui exĂ©cute les instructions des programmes. Il effectue les calculs et prend les dĂ©cisions nĂ©cessaires pour faire fonctionner les applications.

 

2. Le cerveau de tout systĂšme informatique est _________?

A CPU

B MĂ©moire

C Unité de contrÎle

D UnitĂ© arithmĂ©tique et logique – ALU

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

A
Le cerveau de tout systĂšme informatique est le CPU(UnitĂ© centrale de traitement). Le processeur est une puce contenant des millions de transistors. Le travail du CPU consiste Ă  effectuer les calculs nĂ©cessaires au bon fonctionnement de l’ordinateur.

 

3. Quel est le rîle d’un systùme d’exploitation ?

A Exécuter les applications

B GĂ©rer le matĂ©riel et les ressources de l’ordinateur

C Créer des fichiers de données

D Gérer la sécurité du réseau

B
Le systĂšme d’exploitation est responsable de la gestion du matĂ©riel (comme la mĂ©moire, le disque dur, les pĂ©riphĂ©riques) et des ressources pour assurer que les programmes puissent s’exĂ©cuter correctement et de maniĂšre efficace.

 

4. Qu’est-ce qu’une adresse IP ?

A Une unité de mesure de la vitesse de connexion

B Un identifiant unique pour un appareil sur un réseau

C Un protocole de communication utilisé sur Internet

D Une méthode de sécurité pour les réseaux sans fil

B
Une adresse IP (Internet Protocol) est une suite de chiffres qui identifie de maniÚre unique un appareil sur un réseau. Elle permet aux appareils de se localiser et de communiquer entre eux sur Internet.

 

 
5. Quelle est la fonction de la mémoire vive (RAM) dans un ordinateur ?

A Stocker les fichiers Ă  long terme

B Exécuter les applications

C Stocker temporairement les données utilisées par le processeur

D Connecter l’ordinateur à Internet

C
La mĂ©moire vive (RAM) est utilisĂ©e pour stocker temporairement les donnĂ©es et instructions qui sont utilisĂ©es par le processeur pendant l’exĂ©cution des applications. Plus la RAM est grande, plus l’ordinateur peut gĂ©rer de donnĂ©es simultanĂ©ment.

 

6. Quelle est la principale fonction d’un pare-feu (firewall) ?

A Crypter les données sensibles

B Bloquer les logiciels malveillants

C Filtrer le trafic rĂ©seau pour empĂȘcher les connexions non autorisĂ©es

D GĂ©rer les mots de passe des utilisateurs

C
Un pare-feu est un dispositif de sĂ©curitĂ© rĂ©seau qui filtre et contrĂŽle le trafic entrant et sortant d’un rĂ©seau pour empĂȘcher les attaques, les intrusions et les connexions non autorisĂ©es.

 

7. Quel langage de programmation est principalement utilisé pour le développement web cÎté serveur ?

A Python

B JavaScript

C HTML

D PHP

D
PHP est un langage de programmation principalement utilisĂ© pour le dĂ©veloppement cĂŽtĂ© serveur des sites web. Il permet de gĂ©nĂ©rer dynamiquement des pages web et d’interagir avec les bases de donnĂ©es.

 

 
8. ASCII signifie _______?

A American standard code for information interchange

B All purpose scientific code for information interchange

C American security code for information interchange

D American Scientific code for information interchange

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

A
ASCII(American standard code for information interchange) est le format le plus courant pour les fichiers texte dans les ordinateurs et sur Internet. Dans un fichier ASCII, chaque caractÚre alphabétique, numérique ou spécial est représenté par un nombre binaire de 7 bits.

 

9. Quel est le type de mémoire le plus rapide ?

A MĂ©moire cache

B Disque dur (HDD)

C MĂ©moire flash (SSD)

D MĂ©moire RAM

A
La mémoire cache est la plus rapide car elle est directement connectée au processeur et utilisée pour stocker temporairement les données les plus fréquemment accédées, ce qui permet une exécution trÚs rapide des processus.

 

10. GUI signifie _______?

A Graph Use Interface

B Graphical Universal Interface

C Graphical User Interface

D Graphical Unique Interface

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

C
GUI(Graphical User Interface) est une interface graphique qui permet aux utilisateurs d’interagir avec des pĂ©riphĂ©riques via des Ă©lĂ©ments graphiques tels que des images et des animations, Ă  l’inverse de la console.

 

11. Quel est le rîle d’un logiciel antivirus ?

A Optimiser la performance de l’ordinateur

B ProtĂ©ger l’ordinateur contre les logiciels malveillants

C Organiser les fichiers sur l’ordinateur

D GĂ©rer la connexion Ă  Internet

B
Un logiciel antivirus est conçu pour dĂ©tecter, prĂ©venir et Ă©liminer les virus et autres types de logiciels malveillants afin de protĂ©ger les donnĂ©es et la sĂ©curitĂ© de l’ordinateur.

 

12. Qu’est-ce qu’une base de donnĂ©es relationnelle ?

A Une base de données sans structure

B Une base de données qui organise les données sous forme de tables interconnectées

C Un systÚme de stockage de fichiers non structurés

D Une base de données exclusivement utilisée pour les images

B
Une base de donnĂ©es relationnelle organise les donnĂ©es sous forme de tables, qui peuvent ĂȘtre reliĂ©es entre elles par des clĂ©s primaires et Ă©trangĂšres, permettant des relations entre les diffĂ©rentes donnĂ©es.

 

13. Quel est le rÎle de HTML dans le développement web ?

A Il gÚre les bases de données

B Il est utilisé pour les calculs mathématiques dans les pages web

C Il permet d’ajouter des animations aux pages web

D Il structure le contenu d’une page web

D
HTML (HyperText Markup Language) est utilisĂ© pour structurer le contenu d’une page web. Il dĂ©finit les Ă©lĂ©ments de la page (titres, paragraphes, images, liens, etc.), mais ne gĂšre pas la mise en forme, ce qui est rĂ©servĂ© Ă  CSS (Cascading Style Sheets).

 

14. Un chatbot est un exemple de ____________

A SystĂšme expert

B Intelligence artificielle

C Application mobile

D SystÚme de gestion de bases de données

B
Un chatbot est un programme qui utilise des techniques d’intelligence artificielle pour simuler une conversation avec un utilisateur. Ces systĂšmes peuvent comprendre des questions et rĂ©pondre de maniĂšre appropriĂ©e, souvent avec des algorithmes de traitement du langage naturel.

 

15. Qu’est-ce que le cloud computing ?

A Un logiciel antivirus

B Un type de virus informatique

C L’utilisation de serveurs distants pour stocker et gĂ©rer des donnĂ©es

D Un type de disque dur

C
Le cloud computing fait rĂ©fĂ©rence Ă  l’utilisation de serveurs distants (via Internet) pour stocker, gĂ©rer et traiter des donnĂ©es, au lieu de le faire localement sur un ordinateur personnel. Des exemples incluent Google Drive, Dropbox et iCloud.

 

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QCM En Informatique GĂ©nĂ©rale – Partie 2

QCM en informatique gĂ©nĂ©rale avec la correction pour la prĂ©paration des concours, des tests, aux examens et aux certifications. Ces questions et rĂ©ponses sur l’informatique gĂ©nĂ©rale comprennent divers sujets. Et sont tirĂ©s d’un vrai concours Ă©crit et certaines parties sont tirĂ©s d’un entretien orale. Cette mĂ©thode d’apprentissage systĂ©matique prĂ©parera facilement toute personne pour rĂ©ussir son concours.
 
 

1. Toute donnĂ©e ou instruction entrĂ©e dans la mĂ©moire d’un ordinateur est considĂ©rĂ©e comme _____?

A Stockage

B Sortie

C Entrée

D Information

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

C
Tout ce qui est envoyĂ© Ă  l’ordinateur, que ce soit une information que vous tapez sur un clavier, un fichier que vous ouvrez, ou mĂȘme une commande d’un programme, est appelĂ© « entrĂ©e Â». Ces entrĂ©es sont ensuite traitĂ©es par l’ordinateur pour donner des rĂ©sultats (sorties), comme l’affichage d’un message ou l’exĂ©cution d’une tĂąche.

 

2. Le temps pendant lequel une tĂąche est traitĂ©e par l’ordinateur est appelĂ© _______?

A Temps d’exĂ©cution

B Temporisation

C Temps réel

D Temps d’attente

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

A
Le temps d’exĂ©cution fait rĂ©fĂ©rence au temps total qu’un programme informatique met pour accomplir une tĂąche, depuis le moment oĂč il commence Ă  s’exĂ©cuter jusqu’à ce qu’il termine. Cela inclut toutes les Ă©tapes de traitement, comme le calcul, l’accĂšs aux donnĂ©es, et la gestion des ressources.

 

3. Lequel des circuits suivants est utilisĂ© comme « PĂ©riphĂ©riques de mĂ©moire Â» sur les ordinateurs?

A Bascules

B Comparator

C Attenuator

D Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

A
Les bascules sont utilisĂ©s comme Ă©lĂ©ments de stockage de donnĂ©es pour stocker un seul bit (chiffre binaire) de donnĂ©es; l’un de ses deux Ă©tats reprĂ©sente un « un Â» et l’autre un « zĂ©ro Â». Ce type de stockage de donnĂ©es peut ĂȘtre utilisĂ© pour le stockage d’un Ă©tat, et un tel circuit est dĂ©crit comme une logique sĂ©quentielle en Ă©lectronique.

 

4. Lequel des énoncés suivants est faux?

A Photoshop est un outil de conception graphique par Adobe

B Linux est un logiciel libre et open source

C Linux est vendu par Microsoft

D Windows XP est un systùme d’exploitation

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

C
Linux est un System gratuit et open source, il n’est pas vendu par Microsoft ni par aucune autre sociĂ©tĂ©.

 

 
5. Pour indiquer à Excel que nous voulons entré une formule dans une cellule, nous devons commencer par un opérateur tel que _______?

A $

B #

C =

D +

E @

C
Dans Excel, toutes les formules commencent par le signe Ă©gal (=). Ce signe indique Ă  Excel que ce qui suit est une formule ou une fonction Ă  calculer. Par exemple, pour additionner deux nombres, vous Ă©cririez =A1+B1.

 

6. Une erreur est aussi appelée _________?

A Bug

B Debug

C Curseur

D Icon

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

A
Une erreur dans un programme informatique est appelĂ©e « Bug Â» et le processus de correction des « Bugs Â» est appelĂ© « DĂ©bogage Â».

 

7. Lequel des Ă©lĂ©ments suivants n’est pas un package d’application?

A Open Office

B Adobe Pagemaker

C Microsoft Office

D Red Hat Linux

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

D
Red Hat Linux est un systĂšme d’exploitation, pas un package d’application. En revanche, Open Office, Adobe Pagemaker, et Microsoft Office sont des suites d’applications utilisĂ©es pour des tĂąches comme la bureautique, etc.

 

 
8. Microsoft Word est un exemple de _________?

A Systùme d’exploitation

B Dispositif de traitement

C Logiciel applicatif

D PĂ©riphĂ©rique d’entrĂ©e

E Logiciel systĂšme

C
Microsoft Word ou MS-WORD (souvent appelé Word) est un programme de traitement de texte graphique avec lequel les utilisateurs peuvent taper des textes. Il est fabriqué par la société informatique Microsoft. Son but est de permettre aux utilisateurs de taper et de sauvegarder des documents.

 

9. La taille du mĂ©moire des ordinateurs mainframe et de technologie avancĂ©e s’exprime en _________?

A Octets

B Kilo Octets

C Bits

D Mega Octets

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

D
Les ordinateurs mainframe et de technologie avancĂ©e ont gĂ©nĂ©ralement une grande capacitĂ© de mĂ©moire, et celle-ci est souvent mesurĂ©e en mĂ©gaoctets (Mo), gigaoctets (Go) ou mĂȘme tĂ©raoctets (To). Les mĂ©gaoctets sont une unitĂ© courante pour exprimer des tailles de mĂ©moire relativement importantes.

 

10. La communication offerte par TCP est _________?

A Full-duplex

B Half-duplex

C Semi-duplex

D Octet par octet

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

A
En effet, TCP (Transmission Control Protocol) permet une communication bidirectionnelle simultanĂ©e entre deux hĂŽtes, c’est-Ă -dire que les deux parties peuvent envoyer et recevoir des donnĂ©es en mĂȘme temps. C’est pourquoi on parle de communication full-duplex.

 

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QCM En Informatique GĂ©nĂ©rale – Partie 3

QCM en informatique gĂ©nĂ©rale avec la correction pour la prĂ©paration des concours, des tests, aux examens et aux certifications. Ces questions et rĂ©ponses sur l’informatique gĂ©nĂ©rale comprennent divers sujets. Et sont tirĂ©s d’un vrai concours Ă©crit et certaines parties sont tirĂ©s d’un entretien orale. Cette mĂ©thode d’apprentissage systĂ©matique prĂ©parera facilement toute personne pour rĂ©ussir son concours.
 
 

1. Quel est le rĂŽle du disque dur (HDD) dans un ordinateur ?

A Exécuter des programmes

B Stocker de maniÚre permanente les données et les programmes

C Augmenter la vitesse de traitement des données

D Gérer les périphériques externes

B
Le disque dur est utilisĂ© pour le stockage permanent des donnĂ©es. Contrairement Ă  la RAM, qui est volatile, les informations sur un disque dur sont conservĂ©es mĂȘme aprĂšs l’arrĂȘt de l’ordinateur.

 

2. Que signifie l’acronyme « HTTP Â» ?

A Hyper Text Transfer Protocol

B High Tech Transfer Program

C Hyper Type Transfer Protocol

D High Time Transfer Protocol

A
HTTP est le protocole de communication utilisé pour transférer des documents sur le Web. Il permet la récupération de pages web via des navigateurs.

 

3. Qu’est-ce qu’un « virus informatique Â» ?

A Un programme utile qui protùge l’ordinateur

B Un programme qui permet de naviguer sur Internet

C Un programme malveillant qui peut endommager un ordinateur

D Un périphérique externe

C
Un virus informatique est un programme malveillant conçu pour se propager d’un ordinateur à un autre et endommager les fichiers, les programmes ou le systùme de l’ordinateur.

 

4. Quel est l’outil utilisĂ© pour naviguer sur Internet ?

A Un antivirus

B Un navigateur web

C Un moteur de recherche

D Un serveur

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

B
Un navigateur web est un logiciel qui permet d’accĂ©der Ă  des sites Internet. Les navigateurs populaires incluent Google Chrome, Mozilla Firefox et Safari.

 

 
5. Qu’est-ce qu’un fichier « ZIP Â» ?

A Un programme de traitement de texte

B Un format de fichier compressé

C Un type de virus informatique

D Un périphérique de stockage

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

B
Un fichier ZIP est un format de compression qui permet de rĂ©duire la taille d’un ou plusieurs fichiers pour faciliter leur stockage ou leur transfert. Un logiciel de dĂ©compression est nĂ©cessaire pour l’ouvrir.

 

6. Quel est le rîle de la carte mùre d’un ordinateur ?

A GĂ©rer la mĂ©moire de l’ordinateur

B Exécuter les programmes

C Connecter et permettre la communication entre les composants matériels

E GĂ©rer l’affichage Ă  l’écran

C
La carte mĂšre est le composant central de l’ordinateur. Elle permet de relier entre eux tous les autres composants comme le processeur, la mĂ©moire RAM, le disque dur et les pĂ©riphĂ©riques.

 

7. Qu’est-ce que le BIOS dans un ordinateur ?

A Un type de systùme d’exploitation

B Un logiciel de gestion des fichiers

C Un programme qui permet de configurer les composants matĂ©riels avant le dĂ©marrage du systĂšme d’exploitation

D Un périphérique externe

E Aucune de ces rĂ©ponses n’est vraie.

C
Le BIOS (Basic Input/Output System) est un programme intĂ©grĂ© dans la carte mĂšre qui permet d’effectuer des tests matĂ©riels et de configurer certains paramĂštres avant le dĂ©marrage du systĂšme d’exploitation.

 

 
8. Que signifie l’acronyme « USB Â» ?

A Universal Serial Bus

B Unified System Base

C Universal Service Block

D Un System Bus

A
L’USB (Universal Serial Bus) est un standard de connexion permettant de connecter des pĂ©riphĂ©riques externes Ă  un ordinateur (clĂ©s USB, souris, imprimantes, etc.) via un port USB.

 

9. Quel est le rĂŽle d’un « routeur Â» dans un rĂ©seau informatique ?

A Convertir les signaux analogiques en numériques

B Connecter plusieurs ordinateurs à Internet via un réseau local

C ProtĂ©ger l’ordinateur des virus

D Stocker les données sur le réseau

B
Un routeur est un appareil qui permet de connecter un réseau local à Internet. Il permet aussi de gérer les connexions entre différents dispositifs sur le réseau local.

 

10. Qu’est-ce qu’un « logiciel open source Â» ?

A Un logiciel dont le code source est librement accessible et modifiable

B Un logiciel gratuit et sans licence

C Un logiciel payant avec des fonctionnalités avancées

D Un logiciel uniquement disponible en ligne

A
Un logiciel open source est un logiciel dont le code source est disponible publiquement, permettant Ă  n’importe qui de l’étudier, le modifier et le redistribuer selon ses besoins.

 

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QCM En Informatique GĂ©nĂ©rale – Partie 4

QCM en informatique gĂ©nĂ©rale avec la correction pour la prĂ©paration des concours, des tests, aux examens et aux certifications. Ces questions et rĂ©ponses sur l’informatique gĂ©nĂ©rale comprennent divers sujets. Et sont tirĂ©s d’un vrai concours Ă©crit et certaines parties sont tirĂ©s d’un entretien orale. Cette mĂ©thode d’apprentissage systĂ©matique prĂ©parera facilement toute personne pour rĂ©ussir son concours.
 
 

1. Qu’est-ce qu’un « systĂšme de fichiers Â» ?

A Un type de virus

B Un systĂšme permettant d’organiser, stocker et rĂ©cupĂ©rer des fichiers sur un disque

C Un programme de traitement de texte

D Un outil pour améliorer la sécurité des fichiers

B
Un systÚme de fichiers est la méthode utilisée pour organiser et gérer les fichiers et répertoires sur un support de stockage (comme un disque dur). Les systÚmes de fichiers courants incluent NTFS, FAT32 et ext4.

 

2. Quelle est la principale différence entre un disque dur (HDD) et un disque SSD ?

A Le disque SSD est plus lent que le disque HDD

B Le disque HDD est plus rapide que le disque SSD

C Le disque SSD utilise des puces mémoire pour stocker les données, tandis que le disque HDD utilise des disques magnétiques

D Le disque HDD est plus cher que le disque SSD

C
Les disques SSD (Solid State Drive) utilisent des puces mémoire pour stocker les données, ce qui les rend plus rapides, plus durables et plus silencieux que les disques durs HDD (Hard Disk Drive), qui utilisent des disques magnétiques rotatifs.

 

3. Qu’est-ce que le « phishing Â» ?

A Un type de programme antivirus

B Une technique de vol de données personnelles par des faux sites ou emails

C Un type de malware qui dĂ©grade les performances d’un ordinateur

D Un type de logiciel utilisé pour crypter les fichiers

B
Le phishing est une mĂ©thode utilisĂ©e par des cybercriminels pour tromper les utilisateurs en leur faisant croire qu’ils interagissent avec des entitĂ©s lĂ©gitimes (banques, entreprises) afin de voler leurs informations personnelles (mots de passe, numĂ©ros de carte bancaire).

 

4. Quel protocole est utilisé pour envoyer des emails ?

A FTP

B HTTP

C SMTP

D DNS

C
Le protocole SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) est utilisĂ© pour l’envoi d’emails. Il dĂ©finit les rĂšgles permettant de transfĂ©rer des messages entre serveurs de messagerie.

 

 
5. Qu’est-ce que Python ?

A Un logiciel antivirus

B Un langage de programmation utilisé pour écrire des programmes

C Un systùme d’exploitation

D Un outil de compression de fichiers

B
Python est un langage de programmation populaire, connu pour sa simplicitĂ© et sa lisibilitĂ©. Il est utilisĂ© dans de nombreux domaines, y compris le dĂ©veloppement web, l’analyse de donnĂ©es et l’intelligence artificielle.

 

6. Qu’est-ce qu’une « adresse MAC Â» ?

A Un identifiant unique attribué à un réseau sans fil

B Un identifiant unique attribuĂ© Ă  un pĂ©riphĂ©rique rĂ©seau, tel qu’une carte rĂ©seau

C Un type de malware

D Une adresse email

B
L’adresse MAC (Media Access Control) est un identifiant unique attribuĂ© Ă  chaque carte rĂ©seau (wifi ou Ethernet) d’un appareil. Elle permet de l’identifier sur un rĂ©seau local.

 

7. Qu’est-ce qu’une « extension de fichier Â» ?

A Un type de fichier compressé

B Une partie du nom de fichier qui indique son format ou son type

C Un programme utilisé pour modifier un fichier

D Un type de virus informatique

B
L’extension de fichier est la partie du nom d’un fichier qui suit le dernier point (ex : .txt, .jpg, .mp3). Elle indique le type de fichier et le programme qui peut l’ouvrir.

 

 
8. Que fait une « clĂ© USB Â» ?

A Permet d’afficher des documents sur un Ă©cran

B Permet de transférer et stocker des données

C Permet d’accĂ©lĂ©rer la connexion Internet

D Permet de protĂ©ger l’ordinateur contre les virus

B
Une clé USB (Universal Serial Bus) est un périphérique de stockage portable. Elle permet de transférer facilement des fichiers entre différents ordinateurs et de stocker des données de maniÚre temporaire ou permanente.

 

9. Qu’est-ce qu’un « logiciel de traitement de texte Â» ?

A Un programme permettant d’écrire, modifier et imprimer des documents

B Un logiciel permettant de créer des images

C Un programme de gestion de base de données

D Un logiciel de navigation Internet

A
Un logiciel de traitement de texte, comme Microsoft Word ou Google Docs, permet aux utilisateurs de créer, modifier et formater des documents texte.

 

10. Quel est le rĂŽle de « DNS Â» (Domain Name System) ?

A Stocker des fichiers Ă  distance

B Traduire les noms de domaine en adresses IP

C Créer des sites web

D Protéger les utilisateurs contre les malwares

B
Le DNS (Domain Name System) est un systĂšme qui traduit les noms de domaine (par exemple, www.exemple.com) en adresses IP (par exemple, 192.168.0.1) afin que les ordinateurs puissent se connecter entre eux sur Internet.

 

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QCM En Informatique GĂ©nĂ©rale – Partie 5

QCM en informatique gĂ©nĂ©rale avec la correction pour la prĂ©paration des concours, des tests, aux examens et aux certifications. Ces questions et rĂ©ponses sur l’informatique gĂ©nĂ©rale comprennent divers sujets. Et sont tirĂ©s d’un vrai concours Ă©crit et certaines parties sont tirĂ©s d’un entretien orale. Cette mĂ©thode d’apprentissage systĂ©matique prĂ©parera facilement toute personne pour rĂ©ussir son concours.
 
 

1. Qu’est-ce qu’un « moteur de recherche Â» ?

A Un logiciel qui protÚge les données des utilisateurs

B Un programme permettant de naviguer sur Internet

C Un site web permettant de rechercher des informations sur Internet

D Un type de connexion sans fil

C
Un moteur de recherche, comme Google, Bing ou Yahoo, est un site web qui permet aux utilisateurs de rechercher des informations, des images, des vidéos, et plus encore sur Internet.

 

 
2. Que signifie l’acronyme « URL Â» ?

A Uniform Resource Locator

B Universal Resource Library

C User Resource Locator

D Uniform Reading Locator

A
L’URL (Uniform Resource Locator) est l’adresse d’un site web ou d’une ressource sur Internet. Par exemple, « https://www.example.com Â» est une URL qui permet d’identifier de maniĂšre unique une page web.

 

 
 
3. Quel est l’objectif principal du « cloud computing Â» ?

A Fournir des services antivirus en ligne

B Offrir une connexion Internet rapide

C Permettre de stocker et de traiter des données sur des serveurs distants

D Créer des logiciels de traitement de texte

C
Le cloud computing permet de stocker et de traiter des données sur des serveurs distants via Internet, plutÎt que sur un appareil local. Cela permet un accÚs plus flexible et sécurisé aux données.

 

 
4. Quel est le rĂŽle principal d’un « serveur Â» dans un rĂ©seau informatique ?

A Permettre la communication entre deux ordinateurs

B GĂ©rer les connexions Wi-Fi

C Fournir des services, comme l’hĂ©bergement de sites web ou de fichiers

D Protéger les données contre les virus

C
Un serveur est un ordinateur ou un programme qui fournit des services Ă  d’autres ordinateurs (clients) dans un rĂ©seau. Par exemple, un serveur web hĂ©berge des sites web, et un serveur de fichiers stocke et partage des fichiers.

 

 
5. Qu’est-ce qu’un « rĂ©seau local Â» (LAN) ?

A Un rĂ©seau de tĂ©lĂ©communications Ă  l’échelle d’un pays

B Un réseau privé limité à un petit espace géographique, comme une maison ou un bureau

C Un réseau reliant plusieurs pays

D Un réseau qui utilise uniquement le Wi-Fi

B
Un réseau local (LAN, Local Area Network) est un réseau qui relie des ordinateurs et périphériques dans une zone géographique restreinte, comme une maison ou un bureau, permettant ainsi une communication rapide et sécurisée entre eux.

 

 
6. Qu’est-ce que « Wi-Fi Â» ?

A Un type de virus informatique

B Une technologie sans fil permettant la connexion Ă  Internet

C Un type de disque dur externe

D Un logiciel de gestion des réseaux

B
Le Wi-Fi est une technologie de communication sans fil qui permet aux appareils de se connecter à Internet ou à un réseau local sans utiliser de cùbles.

 

 
 
7. Qu’est-ce que le « Big Data Â» ?

A Un format de fichier compressé

B Des données trÚs volumineuses et complexes que les outils traditionnels ne peuvent pas traiter facilement

C Un type de mémoire de stockage

D Un protocole de communication

B
Le Big Data fait rĂ©fĂ©rence Ă  de grandes quantitĂ©s de donnĂ©es qui, en raison de leur volume, complexitĂ© ou rapiditĂ© d’arrivĂ©e, nĂ©cessitent des technologies et des outils spĂ©cialisĂ©s pour ĂȘtre traitĂ©es et analysĂ©es, comme Hadoop et Spark.

 

 
8. Qu’est-ce qu’un « cookie Â» sur Internet ?

A Un logiciel malveillant

B Un petit fichier stockĂ© sur l’ordinateur pour mĂ©moriser les prĂ©fĂ©rences des utilisateurs

C Un type de virus informatique

D Une adresse IP dynamique

B
Un cookie est un fichier texte qui est placĂ© sur un appareil par un site web. Il permet au site de mĂ©moriser les prĂ©fĂ©rences de l’utilisateur, les informations de connexion, ou encore le suivi des sessions de navigation.

 

 
 
9. Quel est le rĂŽle d’un « compresseur de fichiers Â» ?

A Protéger les fichiers contre les virus

B RĂ©duire la taille d’un fichier pour Ă©conomiser de l’espace de stockage

C Convertir les fichiers en un autre format

D Créer une copie de sécurité des fichiers

B
Un compresseur de fichiers, comme WinRAR ou 7-Zip, permet de rĂ©duire la taille d’un ou plusieurs fichiers afin de faciliter leur stockage ou leur transfert. Cela permet Ă©galement d’économiser de l’espace sur le disque dur.

 

 
10. Qu’est-ce que le « streaming Â» ?

A Un type de fichier compressé

B La diffusion en temps réel de contenus audio, vidéo ou autres

C Un systĂšme de stockage en ligne

D Une méthode de sécurité pour crypter les fichiers

B
Le streaming permet de diffuser des contenus (comme des vidéos ou de la musique) en temps réel via Internet sans avoir besoin de les télécharger complÚtement. Des exemples incluent YouTube, Netflix ou Spotify.

 

 

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QCM En Informatique GĂ©nĂ©rale – Partie 6

QCM en informatique gĂ©nĂ©rale avec la correction pour la prĂ©paration des concours, des tests, aux examens et aux certifications. Ces questions et rĂ©ponses sur l’informatique gĂ©nĂ©rale comprennent divers sujets. Et sont tirĂ©s d’un vrai concours Ă©crit et certaines parties sont tirĂ©s d’un entretien orale. Cette mĂ©thode d’apprentissage systĂ©matique prĂ©parera facilement toute personne pour rĂ©ussir son concours.
 
 

1. Quel est l’usage principal de « Linux Â» ?

A Un navigateur web

B Un systùme d’exploitation open source

C Un logiciel de traitement de texte

D Un programme de compression de fichiers

B
Linux est un systĂšme d’exploitation open source, ce qui signifie que son code source est librement accessible et peut ĂȘtre modifiĂ© par les utilisateurs. Il est utilisĂ© sur une variĂ©tĂ© de dispositifs, des serveurs aux ordinateurs de bureau.

 

 
2. Que signifie l’acronyme « RAM Â» ?

A Random Access Memory

B Rapid Application Management

C Read Access Memory

D Read Algorithmic Memory

A
La RAM (Random Access Memory) est la mĂ©moire vive d’un ordinateur. Elle permet de stocker temporairement les donnĂ©es et instructions des programmes en cours d’exĂ©cution pour un accĂšs rapide.

 

 
3. Qu’est-ce qu’un « API Â» ?

A Une application mobile

B Un logiciel pour coder des programmes

C Un ensemble de rĂšgles permettant Ă  des logiciels de communiquer entre eux

D Un périphérique de stockage

C
Une API (Application Programming Interface) est un ensemble de rĂšgles et d’outils qui permet Ă  diffĂ©rents logiciels de communiquer entre eux. Par exemple, une API permet Ă  une application d’obtenir des informations Ă  partir d’un autre service en ligne, comme les prĂ©visions mĂ©tĂ©o.

 

 
 
4. Qu’est-ce que le « cloud Â» (nuage) en informatique ?

A Un logiciel de protection contre les virus

B Une technologie permettant de stocker des donnĂ©es et d’utiliser des services via Internet

C Un systùme d’exploitation

D Un type de connexion réseau cùblée

B
Le « cloud Â» ou cloud computing dĂ©signe l’utilisation de serveurs distants pour stocker et traiter des donnĂ©es, plutĂŽt que de le faire localement sur un ordinateur personnel. Des services comme Google Drive et Dropbox en sont des exemples.

 

 
5. Qu’est-ce qu’un « malware Â» ?

A Un type de programme de sécurité

B Un programme malveillant conçu pour nuire à l’ordinateur ou voler des informations

C Un fichier compressé

D Un outil pour protéger les fichiers contre la corruption

B
Un malware (ou logiciel malveillant) est un programme conçu pour nuire à un systÚme informatique, voler des informations personnelles ou causer des dommages. Les virus, chevaux de Troie et ransomwares sont des types de malwares.

 

 
6. Que signifie l’acronyme « IP Â» dans une adresse IP ?

A Internet Protocol

B Internet Protection

C Internet Package

D Integrated Program

A
« IP Â» signifie « Internet Protocol Â». C’est un systĂšme qui permet d’identifier de maniĂšre unique chaque appareil connectĂ© Ă  Internet via une adresse numĂ©rique.

 

 
 
7. Que signifie « HTTP Â» dans une URL ?

A HyperText Transfer Protocol

B High Transmission Protocol

C Hyper Tool Technology Platform

D High Text Transfer Protocol

A
HTTP (HyperText Transfer Protocol) est le protocole utilisé pour transférer des fichiers sur le web. Il est utilisé pour accéder à des pages web via des navigateurs.

 

 
8. Qu’est-ce qu’un « firewall Â» (pare-feu) dans un rĂ©seau informatique ?

A Un outil permettant de crypter des données

B Un systÚme de sécurité qui bloque ou filtre les connexions non autorisées

C Un type de serveur web

D Un systùme d’exploitation

B
Un firewall (pare-feu) est une barriĂšre de sĂ©curitĂ© qui surveille et contrĂŽle les connexions rĂ©seau entrant et sortant d’un ordinateur ou d’un rĂ©seau. Il bloque les connexions non autorisĂ©es et protĂšge contre les attaques.

 

 
 
9. Quel est l’objectif principal d’un « algorithme Â» ?

A Identifier et corriger les erreurs dans le code

B Exécuter des programmes

C RĂ©soudre un problĂšme en suivant une sĂ©rie d’étapes prĂ©cises

D Stocker des données de maniÚre sécurisée

C
Un algorithme est une sĂ©rie d’instructions dĂ©finies permettant de rĂ©soudre un problĂšme spĂ©cifique ou d’accomplir une tĂąche, comme trier des donnĂ©es ou calculer une somme.

 

 
10. Qu’est-ce qu’un « systĂšme de gestion de base de donnĂ©es Â» (SGBD) ?

A Un systÚme permettant de manipuler et organiser des données

B Un programme de sécurité pour protéger les bases de données

C Un langage de programmation pour coder des bases de données

D Un fichier compressé pour les bases de données

A
Un SGBD (SystÚme de Gestion de Base de Données) est un logiciel utilisé pour créer, gérer et manipuler des bases de données. Des exemples de SGBD sont MySQL, PostgreSQL et Oracle.

 

 

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QCM sur Bootstrap – Partie 1

Vous souhaitez Ă©valuer vos compĂ©tences en Bootstrap, le framework CSS le plus utilisĂ© pour crĂ©er des sites web rĂ©actifs et modernes ? Dans cet article, nous vous proposons un QCM sur Bootstrap pour tester vos connaissances et vous perfectionner dans l’utilisation de ce puissant outil. Que vous soyez dĂ©butant ou dĂ©veloppeur expĂ©rimentĂ©, ce quiz vous aidera Ă  mieux comprendre les concepts clĂ©s de Bootstrap, de la grille responsive aux composants avancĂ©s. PrĂ©parez-vous Ă  amĂ©liorer vos compĂ©tences en dĂ©veloppement web et Ă  maĂźtriser Bootstrap grĂące Ă  ce QCM interactif !
 
 

1. Qu’est-ce que Bootstrap ?

A Un langage de programmation

B Une bibliothĂšque JavaScript

C Un outil de gestion de base de données

D Un framework CSS

D
Bootstrap est un framework CSS populaire qui permet de concevoir des sites web responsives (adaptables aux Ă©crans de diffĂ©rentes tailles). Il offre des styles et des composants prĂȘts Ă  l’emploi pour simplifier la crĂ©ation de sites web modernes.

 

 
2. Quel fichier est essentiel pour utiliser Bootstrap dans un projet ?

A bootstrap.css

B bootstrap.js

C bootstrap.min.css

D index.html

C
Le fichier bootstrap.min.css contient toutes les rÚgles CSS minimisées et est utilisé pour appliquer le style de Bootstrap à votre projet. Vous pouvez également utiliser la version non minimisée (bootstrap.css), mais la version minifiée est plus légÚre et donc plus rapide à charger.

 

 
3. Quel est l’objectif principal de Bootstrap ?

A Fournir une bibliothùque JavaScript pour l’animation

B Créer un design responsive et mobile-first pour les sites web

C Gérer les bases de données des sites web

D Ajouter des effets de transition CSS aux pages web

B
Bootstrap est un framework CSS populaire, utilisĂ© pour dĂ©velopper des sites web responsive. Il propose des outils et des composants pour crĂ©er des interfaces utilisateur adaptĂ©es Ă  diffĂ©rentes tailles d’écran.

 

 
 
4. Dans le systĂšme de grille de Bootstrap, quelle est la largeur d’une colonne « col-md-6 Â» ?

A 4 colonnes

B 6 colonnes

C 12 colonnes

D 50% de la largeur du conteneur

D
Le systÚme de grille de Bootstrap est basé sur 12 colonnes. La classe col-md-6 signifie que la colonne occupe 6 colonnes sur 12, soit 50% de la largeur du conteneur sur les écrans de taille moyenne et plus grande.
 

 

 
5. Comment créer une grille responsive avec Bootstrap ?

A En utilisant la classe .container

B En utilisant la classe .row et .col-*

C En utilisant la classe .grid

D En utilisant la classe .box

B
Bootstrap utilise un systĂšme de grille basĂ© sur des lignes (.row) et des colonnes (.col-*). Les colonnes peuvent ĂȘtre redimensionnĂ©es automatiquement en fonction de la taille de l’écran, ce qui rend le design responsive. Par exemple, .col-md-4 dĂ©finit une colonne qui prend 4 colonnes sur un Ă©cran moyen. Exemple:
<div class="container">
  <div class="row">
    <div class="col-md-4" style="background-color: lightblue; padding: 20px;">
      Colonne 1 (4 colonnes)
    </div>
    <div class="col-md-4" style="background-color: lightgreen; padding: 20px;">
      Colonne 2 (4 colonnes)
    </div>
    <div class="col-md-4" style="background-color: lightcoral; padding: 20px;">
      Colonne 3 (4 colonnes)
    </div>
  </div>
</div>

RĂ©sultat:

 

 
6. Quelle classe Bootstrap permet d’ajouter des boutons avec un style ?

A .btn

B .button

C .btn-style

D .btn-class

A
La classe .btn de Bootstrap permet de créer des boutons stylisés. Vous pouvez également ajouter des classes supplémentaires pour modifier la couleur ou le type du bouton, comme .btn-primary, .btn-success, etc. Exemple:
<button class="btn btn-primary">Bouton</button>

 

 
 
7. Quelle classe Bootstrap utilise-t-on pour ajouter une marge supérieure (top margin) de 3 unités ?

A mt-3

B ml-3

C m-3

D margin-top-3

A
Bootstrap utilise des classes utilitaires pour ajouter des espacements. La classe mt-3 est utilisĂ©e pour ajouter une marge supĂ©rieure de taille moyenne. Le prĂ©fixe m dĂ©signe la marge et t signifie « top Â».
 

 

 
8. Quelle classe Bootstrap permet de créer un bouton avec une couleur primaire ?


A btn-default

B btn-primary

C btn-success

D btn-info

B
La classe btn-primary permet de créer un bouton avec la couleur primaire définie par la palette de Bootstrap (généralement bleu).
 

 

 
9. Quel composant Bootstrap permet d’afficher un message de notification temporaire ?


A Alert

B Modal

C Tooltip

D Toast

D
Le composant Toast de Bootstrap permet d’afficher des notifications temporaires et non intrusives sur la page. Les « toasts Â» disparaissent aprĂšs un certain temps ou lorsque l’utilisateur interagit avec eux.
 

 

 
10. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour rendre un élément centré verticalement et horizontalement ?


A .align-center

B .text-center

C .d-flex et .justify-content-center

D .center

C
Pour centrer un élément à la fois verticalement et horizontalement avec Bootstrap, vous pouvez utiliser la classe .d-flex pour activer le mode flexbox, puis utiliser .justify-content-center pour centrer horizontalement et .align-items-center pour centrer verticalement. Exemple :
<div class="d-flex justify-content-center align-items-center">
    <p>Texte centré</p>
</div>

 

 
11. Quelle classe permet d’afficher un Ă©lĂ©ment seulement sur les Ă©crans moyens et plus grands ?

A .d-none

B .d-md-block

C .d-lg-none

D .d-md-none

B
La classe .d-md-block permet d’afficher un Ă©lĂ©ment seulement sur les Ă©crans moyens (≄ 768px) et plus grands. Les classes d-*-none et d-*-block sont utilisĂ©es pour contrĂŽler la visibilitĂ© en fonction de la taille de l’écran.

 

 
 
12. Quelle classe Bootstrap permet d’activer le modĂšle Flexbox pour un Ă©lĂ©ment ?

A d-flex

B flex-item

C flexbox

D display-flex

A
La classe d-flex de Bootstrap applique le modÚle Flexbox à un élément, permettant un agencement flexible de ses enfants.

 

 
13. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour rendre une barre de navigation (navbar) fixe en haut de la page ?

A navbar-fixed

B navbar-sticky-top

C navbar-fixed-top

D navbar-static-top

C
La classe navbar-fixed-top permet de rendre la barre de navigation fixe en haut de la page. Cela fait en sorte que la navbar reste visible mĂȘme lorsque l’utilisateur fait dĂ©filer la page.
 

 

 
14. Quelle classe est utilisée pour créer une carte dans Bootstrap ?

A card

B container-card

C box-card

D panel-card

A
La classe card de Bootstrap permet de crĂ©er des Ă©lĂ©ments de type « carte Â», qui peuvent contenir des images, des titres, du texte, et d’autres composants.
 

 

 
 
15. Quelle classe permet de rendre un texte en gras avec Bootstrap ?

A .font-weight-bold

B .text-bold

C .strong-text

D .bold

A
La classe .font-weight-bold est utilisĂ©e pour rendre le texte en gras. C’est une classe de Bootstrap qui modifie le poids de la police.

 

 

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QCM sur Bootstrap – Partie 2

Vous souhaitez Ă©valuer vos compĂ©tences en Bootstrap, le framework CSS le plus utilisĂ© pour crĂ©er des sites web rĂ©actifs et modernes ? Dans cet article, nous vous proposons un QCM sur Bootstrap pour tester vos connaissances et vous perfectionner dans l’utilisation de ce puissant outil. Que vous soyez dĂ©butant ou dĂ©veloppeur expĂ©rimentĂ©, ce quiz vous aidera Ă  mieux comprendre les concepts clĂ©s de Bootstrap, de la grille responsive aux composants avancĂ©s. PrĂ©parez-vous Ă  amĂ©liorer vos compĂ©tences en dĂ©veloppement web et Ă  maĂźtriser Bootstrap grĂące Ă  ce QCM interactif !
 
 

1. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour définir une couleur de fond ?

A .bg-primary

B .bg-color

C .background-color

D .color-bg

A
Dans Bootstrap, les classes de couleur de fond sont prĂ©fixĂ©es par .bg-. Par exemple, .bg-primary applique la couleur de fond primaire dĂ©finie dans le thĂšme Bootstrap. D’autres classes similaires existent pour d’autres couleurs, comme .bg-success ou .bg-danger.
 

 

 
2. Quelle classe Bootstrap est utilisĂ©e pour ajouter un espacement Ă  droite d’un Ă©lĂ©ment ?

A .mr-1

B .padding-right-1

C .space-right-1

D .pr-1

D
La classe .pr-1 applique un padding Ă  droite de l’élĂ©ment avec une taille correspondant Ă  la valeur 1 de l’échelle de Bootstrap. L’abrĂ©viation « pr Â» signifie « padding-right Â», et les valeurs de l’échelle vont de 0 Ă  5, en augmentant de 0.25 rem Ă  chaque fois.

 

 
3. Quelle est la classe Bootstrap utilisée pour aligner du texte au centre ?


A .text-align-center

B .text-center

C .center-text

D .align-text-center

B
La classe .text-center de Bootstrap est utilisĂ©e pour centrer le texte horizontalement Ă  l’intĂ©rieur de son conteneur. Cette classe fait partie des utilitaires de typographie fournis par Bootstrap pour la gestion de l’alignement du texte.

 

 
 
4. Quel composant de Bootstrap permet de créer des menus déroulants ?

A .nav-dropdown

B .dropdown

C .menu

D .list-dropdown

B
Le composant .dropdown est utilisĂ© pour crĂ©er un menu dĂ©roulant en Bootstrap. Il peut contenir des liens ou des boutons et s’affiche lorsque l’utilisateur interagit avec le composant (par exemple, en cliquant sur un bouton). Ce composant nĂ©cessite Ă©galement l’utilisation de JavaScript pour afficher correctement le menu lorsqu’il est activĂ©. Exemple:
<div class="dropdown">       
  <button class="btn btn-secondary dropdown-toggle" type="button" id="dropdownMenuButton" data-bs-toggle="dropdown" aria-expanded="false">         
    Dropdown bouton       
  </button>       
  <ul class="dropdown-menu" aria-labelledby="dropdownMenuButton">         
    <li><a class="dropdown-item" href="#">Action</a></li>         
    <li><a class="dropdown-item" href="#">Autre action</a></li>         
    <li><a class="dropdown-item" href="#">Quelque chose d'autre ici</a></li>       
  </ul>     
</div>

RĂ©sultat:

 

 
5. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour créer un bouton de taille petite ?

A .btn-lg

B .btn-xs

C .btn-sm

D .btn-small

C
La classe .btn-sm est utilisĂ©e pour appliquer une taille petite Ă  un bouton dans Bootstrap. Il existe Ă©galement d’autres classes pour dĂ©finir la taille des boutons, comme .btn-lg pour les boutons grands et .btn pour les boutons de taille par dĂ©faut.
 

 

 
6. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour cacher un élément uniquement sur les écrans de petite taille ?

A .d-none

B .d-sm-none

C .hidden-sm

D .display-none-sm

B
La classe .d-sm-none cache un Ă©lĂ©ment lorsque l’écran est de taille « small Â» (SM) ou infĂ©rieure (telles que les tablettes ou les tĂ©lĂ©phones mobiles). Les classes de visibilitĂ© en Bootstrap sont basĂ©es sur les tailles d’écran (par exemple, .d-md-none pour cacher un Ă©lĂ©ment Ă  partir de la taille « medium Â»).

 

 
 
7. Quelle classe Bootstrap permet de rendre un Ă©lĂ©ment responsive en adaptant sa taille Ă  l’écran ?

A .img-fluid

B .responsive-img

C .resize

D .img-responsive

A
La classe .img-fluid est utilisĂ©e pour rendre une image responsive, c’est-Ă -dire qu’elle s’ajuste automatiquement Ă  la largeur de son conteneur tout en maintenant ses proportions. Cela permet Ă  l’image de bien s’adapter aux diffĂ©rents types d’écrans.

 

 
8. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour créer une barre de navigation horizontale ?

A .navbar

B .nav-horizontal

C .nav-bar

D .navigation-bar

A
La classe .navbar est utilisĂ©e pour crĂ©er une barre de navigation. Pour en faire une barre de navigation horizontale, vous pouvez Ă©galement ajouter des classes supplĂ©mentaires comme .navbar-expand-lg pour qu’elle s’adapte Ă  la taille de l’écran, ou .navbar-light pour les couleurs de fond et du texte.
 

 

 
9. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour rendre une grille de colonnes ?

A .row

B .columns

C .grid

D .column

A
Dans le systÚme de grille de Bootstrap, la classe .row est utilisée pour définir une ligne de colonnes. Ensuite, vous pouvez utiliser des classes comme .col- pour définir la taille des colonnes dans cette ligneExemple:
<div class="container">
  <div class="row">
    <div class="col-md-4" style="background-color: lightblue; padding: 20px;">
      Colonne 1 (4 colonnes)
    </div>
    <div class="col-md-4" style="background-color: lightgreen; padding: 20px;">
      Colonne 2 (4 colonnes)
    </div>
    <div class="col-md-4" style="background-color: lightcoral; padding: 20px;">
      Colonne 3 (4 colonnes)
    </div>
  </div>
</div>

RĂ©sultat:

 

 
 
10. Quelle est la classe Bootstrap utilisée pour créer un tableau avec des bordures ?

A .table-bordered

B .table-border

C .table-bordered-style

D .table-border-all

A
La classe .table-bordered est utilisée pour ajouter des bordures à un tableau dans Bootstrap. Elle applique des bordures autour de chaque cellule du tableau, ce qui améliore la lisibilité et la présentation des données. Exemple:
<table class="table table-bordered">...</table>

RĂ©sultat:

 

 

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QCM sur Bootstrap – Partie 3

Vous souhaitez Ă©valuer vos compĂ©tences en Bootstrap, le framework CSS le plus utilisĂ© pour crĂ©er des sites web rĂ©actifs et modernes ? Dans cet article, nous vous proposons un QCM sur Bootstrap pour tester vos connaissances et vous perfectionner dans l’utilisation de ce puissant outil. Que vous soyez dĂ©butant ou dĂ©veloppeur expĂ©rimentĂ©, ce quiz vous aidera Ă  mieux comprendre les concepts clĂ©s de Bootstrap, de la grille responsive aux composants avancĂ©s. PrĂ©parez-vous Ă  amĂ©liorer vos compĂ©tences en dĂ©veloppement web et Ă  maĂźtriser Bootstrap grĂące Ă  ce QCM interactif !
 
 

1. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour centrer un élément verticalement ?


A .align-items-center

B .vertical-center

C .center-vertically

D .v-center

A
La classe .align-items-center fait partie du systĂšme de flexbox de Bootstrap. Elle permet de centrer verticalement les Ă©lĂ©ments dans un conteneur en utilisant la propriĂ©tĂ© align-items: center. Cela fonctionne sur les Ă©lĂ©ments enfants d’un conteneur avec la classe .d-flex.
 

 

 
2. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour masquer un élément uniquement sur les écrans larges ?

A .d-lg-none

B .d-xl-none

C .d-md-none

D .d-sm-none

A
La classe .d-lg-none permet de masquer un Ă©lĂ©ment sur les Ă©crans de taille large et au-delĂ  (large, extra large). Elle utilise le systĂšme de classes de visibilitĂ© de Bootstrap, oĂč vous pouvez masquer ou afficher un Ă©lĂ©ment en fonction de la taille de l’écran.

 

 
3. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour appliquer une bordure arrondie à un élément ?


A .round-border

B .border-radius

C .border-round

D .rounded

D
La classe .rounded de Bootstrap permet d’appliquer une bordure arrondie Ă  un Ă©lĂ©ment. Vous pouvez l’utiliser pour des Ă©lĂ©ments comme des images, des boutons ou des cartes. Il existe aussi des variantes comme .rounded-circle pour des bordures complĂštement circulaires ou .rounded-pill pour des bords trĂšs arrondis. Exemple:
<div class="container mt-5">  
  <div class="p-3 border rounded">    
    <h2>Exemple avec bordure arrondie</h2>    
    <p>Ceci est un exemple d'un élément avec une bordure arrondie appliquée à l'aide de la classe .rounded.</p>  
  </div>
</div>

RĂ©sultat:

 

 
 
4. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour rendre un élément invisible sans le retirer du flux de la page ?

A .invisible

B .hidden

C .d-none

D .visibility-hidden

A
La classe .invisible rend un Ă©lĂ©ment invisible, mais il reste dans le flux du document, ce qui signifie qu’il occupe toujours de l’espace. La classe .d-none (qui cache complĂštement l’élĂ©ment et le retire du flux) est diffĂ©rente de celle-ci.

 

 
5. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour définir une largeur de 100% sur un élément ?

A .full-width

B .w-100

C .width-100

D .width-full

B
La classe .w-100 permet de dĂ©finir la largeur d’un Ă©lĂ©ment Ă  100 % de la largeur de son conteneur parent. C’est une classe utilitaire trĂšs pratique pour crĂ©er des Ă©lĂ©ments rĂ©actifs.

 

 
6. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour ajouter une ombre portée à un élément ?


A .shadow-lg

B .box-shadow

C .shadow

D .drop-shadow

C
La classe .shadow est utilisĂ©e pour ajouter une ombre portĂ©e lĂ©gĂšre Ă  un Ă©lĂ©ment. Bootstrap offre Ă©galement d’autres variantes comme .shadow-sm (ombre plus petite) et .shadow-lg (ombre plus grande) pour personnaliser l’effet Exemple:
<div class="container mt-5">   
  <div class="p-5 bg-light border shadow">     
    <h2>Exemple avec une ombre portée</h2>     
    <p>Cette boßte a une ombre portée grùce à la classe .shadow de Bootstrap.</p>   
  </div> 
</div>

RĂ©sultat:

 

 
 
7. Quelle classe Bootstrap est utilisĂ©e pour crĂ©er un bouton qui change de couleur lorsque l’on survole ?


A .btn-hover

B .btn-outline-primary

C .btn-primary

D .btn-active

B
La classe .btn-outline-primary est un type de bouton qui n’a pas de fond par dĂ©faut. Lorsqu’on survole ce bouton, sa couleur de fond change en fonction du thĂšme de couleur primaire (gĂ©nĂ©ralement dĂ©fini dans le CSS de Bootstrap).

 

 
8. Quelle est la classe Bootstrap utilisĂ©e pour dĂ©finir la hauteur d’un Ă©lĂ©ment Ă  100vh (la hauteur de la fenĂȘtre) ?

A .h-100

B .vh-100

C .height-100

D .full-height

B
La classe .vh-100 dĂ©finit la hauteur d’un Ă©lĂ©ment Ă  100 % de la hauteur de la fenĂȘtre d’affichage (viewport). C’est une unitĂ© pratique pour rendre des Ă©lĂ©ments qui couvrent toute la hauteur de l’écran.

 

 
9. Quel composant de Bootstrap permet de crĂ©er un carrousel d’images ?


A .carousel

B .image-slider

C .image-carousel

D .slider

A
Le composant .carousel est utilisĂ© pour crĂ©er un carrousel d’images ou de contenu en Bootstrap. Il permet de faire dĂ©filer des Ă©lĂ©ments, gĂ©nĂ©ralement des images, automatiquement ou manuellement.

 

 
 
10. Quelle classe Bootstrap est utilisĂ©e pour appliquer un espacement Ă  gauche d’un Ă©lĂ©ment ?

A .ml-1

B .pl-1

C .space-left-1

D .ml-1px

A
La classe .ml-1 applique un margin Ă  gauche de l’élĂ©ment avec une valeur correspondant Ă  la premiĂšre unitĂ© de l’échelle de marges de Bootstrap. La classe .ml est l’abrĂ©viation de « margin-left Â». Il existe Ă©galement des variantes comme .ml-2, .ml-3, etc., pour ajuster l’espacement.

 

 

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  •  

QCM sur Bootstrap – Partie 4

Vous souhaitez Ă©valuer vos compĂ©tences en Bootstrap, le framework CSS le plus utilisĂ© pour crĂ©er des sites web rĂ©actifs et modernes ? Dans cet article, nous vous proposons un QCM sur Bootstrap pour tester vos connaissances et vous perfectionner dans l’utilisation de ce puissant outil. Que vous soyez dĂ©butant ou dĂ©veloppeur expĂ©rimentĂ©, ce quiz vous aidera Ă  mieux comprendre les concepts clĂ©s de Bootstrap, de la grille responsive aux composants avancĂ©s. PrĂ©parez-vous Ă  amĂ©liorer vos compĂ©tences en dĂ©veloppement web et Ă  maĂźtriser Bootstrap grĂące Ă  ce QCM interactif !
 
 

1. Quelle classe Bootstrap permet d’empĂȘcher un Ă©lĂ©ment de se redimensionner ?

A .resize-none

B .resize-off

C .no-resize

D .resize

A
La classe .resize-none est utilisĂ©e pour empĂȘcher un Ă©lĂ©ment de se redimensionner, notamment les Ă©lĂ©ments de type textarea. Cela dĂ©sactive la fonctionnalitĂ© de redimensionnement par l’utilisateur.
 

 

 
2. Quelle classe Bootstrap permet de définir une couleur de texte blanche ?

A .text-light

B .white-text

C .text-white

D .color-white

C
La classe .text-white est utilisée pour définir la couleur du texte en blanc. Bootstrap fournit de nombreuses classes utilitaires pour modifier la couleur du texte (par exemple, .text-primary, .text-success, etc.).
 

 

 
3. Quelle classe Bootstrap est utilisĂ©e pour appliquer un padding sur tous les cĂŽtĂ©s d’un Ă©lĂ©ment ?

A .p-3

B .padding-all-3

C .pad-3

D .padding-3

A
La classe .p-3 applique un padding de taille 3 sur tous les cĂŽtĂ©s de l’élĂ©ment (haut, droite, bas, gauche). Il existe des classes similaires pour dĂ©finir des padding spĂ©cifiques pour chaque cĂŽtĂ© (par exemple, .pt-3 pour le padding en haut(top)).

 

 
 
4. Quelle classe Bootstrap permet de faire un alignement horizontal de contenu ?


A .align-center

B .center-align

C .justify-content-center

D .horizontal-align

C
La classe .justify-content-center fait partie du systĂšme Flexbox de Bootstrap et permet de centrer horizontalement les Ă©lĂ©ments Ă  l’intĂ©rieur d’un conteneur. Elle est souvent utilisĂ©e avec la classe .d-flex pour activer le modĂšle de disposition Flexbox.

 

 
5. Quelle classe Bootstrap permet de définir un tableau avec des rangées alternées colorées ?


A .table-alternate

B .table-striped

C .table-hover

D .table-color

B
La classe .table-striped est utilisĂ©e pour ajouter des bandes de couleur alternĂ©es sur les lignes d’un tableau, ce qui amĂ©liore la lisibilitĂ©. Vous pouvez l’ajouter Ă  un tableau en utilisant class="table table-striped".

 

 
6. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour créer une barre de progression ?


A .progress-bar

B .progress

C .progress-bar-striped

D .bar-progress

B
La classe .progress est utilisée pour créer une barre de progression de base. Vous pouvez également ajouter des classes comme .progress-bar pour représenter la progression réelle et .progress-bar-striped pour ajouter des bandes animées à la barre.

 

 
 
7. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour créer une carte avec une bordure ?


A .card-bordered

B .card

C .card-border

D .border-card

B
La classe .card est utilisĂ©e pour crĂ©er des cartes en Bootstrap, qui sont des conteneurs avec une bordure, des ombres, et Ă©ventuellement un en-tĂȘte et un pied de page. La bordure est gĂ©nĂ©ralement incluse par dĂ©faut. Exemple:
<div class="card border-primary" style="width: 18rem;">
  <img src="https://via.placeholder.com/150" class="card-img-top">
  <div class="card-body">
    <h5 class="card-title">Titre de la carte</h5>
    <p class="card-text">Ceci est un exemple de carte avec une bordure. Vous pouvez ajouter du contenu personnalisé à l'intérieur.</p>
    <a href="#" class="btn btn-primary">Lire plus</a>
  </div>
</div>

 

 
8. Quelle classe Bootstrap permet d’agrandir une image tout en maintenant son ratio d’aspect ?

A .img-responsive

B .img-fluid

C .img-ratio

D .img-scale

B
La classe .img-fluid rend une image responsive, c’est-à-dire qu’elle s’ajuste automatiquement à la largeur de son conteneur tout en maintenant ses proportions d’origine.

 

 
9. Quelle classe Bootstrap permet de créer une grille de 12 colonnes ?

A .row-12

B .col-12

C .container-12

D .col-md-12

B
La classe .col-12 permet de créer une colonne qui prend toute la largeur du conteneur dans un systÚme de grille de 12 colonnes. Le systÚme de grille de Bootstrap est basé sur 12 colonnes, et .col-12 occupe toute la largeur de la ligne.
 

 

 
 
10. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour aligner un élément à droite ?


A .text-right

B .align-right

C .d-right

D .float-end

D
La classe .float-end aligne un élément à droite du conteneur. Elle est utilisée dans Bootstrap pour positionner un élément en utilisant la propriété float: right. Notez que .text-right était utilisé dans les anciennes versions de Bootstrap pour aligner le texte à droite.

 

 

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QCM sur Bootstrap – Partie 5

Vous souhaitez Ă©valuer vos compĂ©tences en Bootstrap, le framework CSS le plus utilisĂ© pour crĂ©er des sites web rĂ©actifs et modernes ? Dans cet article, nous vous proposons un QCM sur Bootstrap pour tester vos connaissances et vous perfectionner dans l’utilisation de ce puissant outil. Que vous soyez dĂ©butant ou dĂ©veloppeur expĂ©rimentĂ©, ce quiz vous aidera Ă  mieux comprendre les concepts clĂ©s de Bootstrap, de la grille responsive aux composants avancĂ©s. PrĂ©parez-vous Ă  amĂ©liorer vos compĂ©tences en dĂ©veloppement web et Ă  maĂźtriser Bootstrap grĂące Ă  ce QCM interactif !
 
 

1. Quelle classe Bootstrap permet de définir un fond de couleur rouge pour un élément ?


A .bg-danger

B .bg-red

C .background-danger

D .danger-bg

A
La classe .bg-danger dĂ©finit un fond rouge pour l’élĂ©ment, en utilisant la couleur associĂ©e Ă  l’état « danger Â» dans Bootstrap, souvent utilisĂ©e pour signaler des erreurs ou des avertissements.

 

 
2. Quelle classe Bootstrap permet de rendre une barre de navigation transparente ?


A .navbar-light

B .navbar-transparent

C .navbar

D .navbar-bg-transparent

B
La classe .navbar-transparent est utilisĂ©e pour rendre une barre de navigation transparente. Cela permet de personnaliser l’apparence de la barre de navigation en la rendant invisible ou en lui appliquant un fond transparent.

 

 
3. Quelle classe Bootstrap permet de masquer un Ă©lĂ©ment Ă  partir d’un certain point d’écran (par exemple, au-dessus de 768px) ?

A .d-none d-md-block

B .hidden-md

C .d-md-none

D .hidden-lg

A
La classe .d-none d-md-block cache un Ă©lĂ©ment sur les Ă©crans de petite taille et l’affiche Ă  partir de la taille « medium Â» (≄ 768px). Le systĂšme de classes de Bootstrap permet de contrĂŽler la visibilitĂ© des Ă©lĂ©ments en fonction des tailles d’écran.

 

 
 
4. Quelle classe Bootstrap permet de définir un fond de couleur verte pour un élément ?


A .background-success

B .bg-green

C .bg-vert

D .bg-success

D
La classe .bg-success est utilisée pour donner un fond de couleur verte à un élément, généralement pour signaler une action réussie, comme une confirmation ou une réussite.

 

 
5. Quelle classe Bootstrap permet de créer une zone de texte avec une bordure arrondie ?

A .input-rounded

B .form-control-rounded

C .rounded

D .form-control

B
La classe .form-control-rounded est utilisée pour donner une bordure arrondie à des éléments de formulaire comme les zones de texte ou les champs de saisie. Cette classe est une variante de la classe .form-control.
 

 

 
6. Quelle classe Bootstrap permet de crĂ©er un bouton de type « outline Â» (bordure) ?


A .btn-outline

B .btn-outline-primary

C .outline-btn

D .btn-border

B
La classe .btn-outline-primary crĂ©e un bouton avec une bordure de couleur primaire, mais sans fond. Lorsqu’on survole ce bouton, il prend la couleur de fond primaire dĂ©finie dans le thĂšme de Bootstrap. Il existe d’autres variantes pour diffĂ©rentes couleurs (par exemple, .btn-outline-danger).

 

 
 
7. Quelle classe Bootstrap permet d’afficher une image sous forme de cercle ?


A .rounded-circle

B .circle-img

C .img-circle

D .round-img

A
La classe .rounded-circle est utilisĂ©e pour rendre une image circulaire en appliquant une bordure arrondie Ă  l’image, de maniĂšre Ă  ce que ses bords soient complĂštement arrondis.

 

 
8. Quelle classe Bootstrap permet d’appliquer un fond de couleur bleu clair ?


A .bg-light

B .bg-primary

C .bg-info

D .bg-soft-blue

C
La classe .bg-info applique un fond de couleur bleu clair (souvent utilisé pour indiquer des informations générales ou des messages informatifs dans une interface utilisateur).

 

 
9. Quelle classe Bootstrap permet d’afficher un Ă©lĂ©ment sous forme de « badge Â» ?


A .badge

B .label

C .tag

D .badge-item

A
La classe .badge est utilisée pour créer des badges dans Bootstrap. Les badges sont souvent utilisés pour afficher des nombres ou des informations contextuelles dans une interface utilisateur.

 

 
 
10. Quelle classe Bootstrap permet de créer un tableau avec une barre de défilement horizontale si le contenu est trop large ?

A .table-responsive

B .table-scroll

C .scroll-table

D .table-overflow

A
La classe .table-responsive est utilisĂ©e pour rendre un tableau responsive. Elle ajoute une barre de dĂ©filement horizontale lorsque le contenu du tableau est trop large pour l’écran. Cela permet au tableau de s’adapter Ă  des tailles d’écran plus petites sans perdre en lisibilitĂ©.
 

 

 

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QCM sur Bootstrap – Partie 6

Vous souhaitez Ă©valuer vos compĂ©tences en Bootstrap, le framework CSS le plus utilisĂ© pour crĂ©er des sites web rĂ©actifs et modernes ? Dans cet article, nous vous proposons un QCM sur Bootstrap pour tester vos connaissances et vous perfectionner dans l’utilisation de ce puissant outil. Que vous soyez dĂ©butant ou dĂ©veloppeur expĂ©rimentĂ©, ce quiz vous aidera Ă  mieux comprendre les concepts clĂ©s de Bootstrap, de la grille responsive aux composants avancĂ©s. PrĂ©parez-vous Ă  amĂ©liorer vos compĂ©tences en dĂ©veloppement web et Ă  maĂźtriser Bootstrap grĂące Ă  ce QCM interactif !
 
 

1. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour créer un fond sombre avec une couleur de texte claire ?

A .bg-dark .text-light

B .bg-dark .text-white

C .dark-bg .light-text

D .dark-text .bg-light

B
La classe .bg-dark applique un fond sombre à un élément, et la classe .text-white applique une couleur de texte blanche. Ensemble, ces classes créent un contraste élevé, ce qui est utile pour la lisibilité.

 

 
2. Quelle classe Bootstrap permet de créer une icÎne de chargement animée ?

A .spinner

B .spinner-grow

C .loading-icon

D .icon-loading

B
La classe .spinner-grow est utilisĂ©e pour crĂ©er un indicateur de chargement animĂ© en forme de cercle qui grandit et rĂ©trĂ©cit. Il peut ĂȘtre utilisĂ© pour montrer qu’un processus de chargement est en cours.

 

 
3. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour définir une colonne qui occupe une largeur de 4/12 de la grille ?

A .col-4

B .col-md-4

C .col-lg-4

D .col-3

A
La classe .col-4 fait partie du systÚme de grille de Bootstrap et définit une colonne qui occupe 4 unités sur 12 dans une ligne, soit un tiers de la largeur totale. Bootstrap divise la largeur en 12 unités égales.

 

 
 
4. Quelle classe Bootstrap permet de crĂ©er un conteneur qui se redimensionne automatiquement selon la taille de l’écran ?

A .container-fluid

B .container-auto

C .responsive-container

D .container-expand

A
La classe .container-fluid crĂ©e un conteneur qui occupe toute la largeur de l’écran, peu importe la taille de l’écran. Contrairement Ă  .container, qui a une largeur fixe selon les points de rupture du responsive design, .container-fluid est toujours fluide.

 

 
5. Quelle classe Bootstrap permet de définir une police de texte en gras ?

A .font-bold

B .fw-bold

C .bold-text

D .text-bold

B
La classe .fw-bold permet de définir un texte en gras. Cela fait partie des utilitaires typographiques de Bootstrap, qui incluent des classes comme .fw-light pour un texte plus léger ou .fw-normal pour un poids de police normal.

 

 
6. Quelle classe Bootstrap permet d’empĂȘcher le dĂ©filement horizontal d’une page ?

A .overflow-hidden

B .no-scroll

C .scroll-x-none

D .overflow-auto

A
La classe .overflow-hidden empĂȘche l’affichage de la barre de dĂ©filement horizontale ou verticale lorsque le contenu dĂ©borde de l’élĂ©ment. C’est utile pour Ă©viter des barres de dĂ©filement non souhaitĂ©es dans certaines zones de la page.

 

 
 
7. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour ajouter un fond gris clair à un élément ?

A .bg-soft

B .bg-gray

C .bg-light

D .bg-muted

C
La classe .bg-light est utilisée pour appliquer un fond gris clair (clairement visible dans le thÚme Bootstrap) à un élément. Elle est couramment utilisée pour les éléments qui nécessitent un fond neutre mais visible.

 

 
8. Quelle classe Bootstrap permet de rendre un bouton plus large ?

A .btn-lg

B .btn-expand

C .btn-wide

D .btn-block

A
La classe .btn-lg est utilisée pour agrandir un bouton. Elle est souvent utilisée pour rendre un bouton plus visible et plus accessible sur les pages ou les formulaires. Il existe aussi .btn-sm pour un bouton plus petit.

 

 
9. Quelle classe Bootstrap permet de créer une liste de liens horizontaux ?

A .list-links

B .horizontal-list

C .inline-list

D .list-inline

D
La classe .list-inline permet d’afficher une liste d’élĂ©ments (comme des liens) horizontalement au lieu de la disposition verticale par dĂ©faut. Elle est trĂšs utile pour crĂ©er des menus de navigation simples.

 

 
 
10. Quelle classe Bootstrap permet de créer un formulaire avec un alignement en ligne ?

A .form-inline

B .form-horizontal

C .form-row

D .inline-form

A
La classe .form-inline permet de disposer les Ă©lĂ©ments d’un formulaire (comme les champs de saisie, les boutons, etc.) sur la mĂȘme ligne, plutĂŽt que sur plusieurs lignes. Elle est souvent utilisĂ©e pour crĂ©er des formulaires compacts.

 

 

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QCM sur Bootstrap – Partie 7

Vous souhaitez Ă©valuer vos compĂ©tences en Bootstrap, le framework CSS le plus utilisĂ© pour crĂ©er des sites web rĂ©actifs et modernes ? Dans cet article, nous vous proposons un QCM sur Bootstrap pour tester vos connaissances et vous perfectionner dans l’utilisation de ce puissant outil. Que vous soyez dĂ©butant ou dĂ©veloppeur expĂ©rimentĂ©, ce quiz vous aidera Ă  mieux comprendre les concepts clĂ©s de Bootstrap, de la grille responsive aux composants avancĂ©s. PrĂ©parez-vous Ă  amĂ©liorer vos compĂ©tences en dĂ©veloppement web et Ă  maĂźtriser Bootstrap grĂące Ă  ce QCM interactif !
 
 

1. Quelle classe Bootstrap permet de définir un tableau avec des lignes qui changent de couleur lors du survol ?

A .table-hover

B .table-active

C .table-striped

D .table-focus

A
La classe .table-hover est utilisĂ©e pour appliquer un effet de survol sur les lignes d’un tableau. Lorsque l’utilisateur passe la souris sur une ligne, celle-ci change de couleur, ce qui permet d’amĂ©liorer l’interactivitĂ© du tableau.

 

 
2. Quelle classe Bootstrap permet de cacher un élément uniquement sur les petits écrans ?

A .d-none d-sm-block

B .d-sm-none

C .hide-sm

D .hidden-small

B
La classe .d-sm-none permet de cacher un Ă©lĂ©ment uniquement sur les petits Ă©crans (infĂ©rieurs Ă  576px de large). Elle fait partie des classes de visibilitĂ© de Bootstrap qui permettent de contrĂŽler l’affichage en fonction des tailles d’écran.

 

 
3. Quelle classe Bootstrap permet de définir une couleur de texte rouge ?

A .text-danger

B .text-red

C .text-warning

D .text-error

A
La classe .text-danger est utilisée pour définir une couleur de texte rouge, souvent utilisée pour indiquer des erreurs, des avertissements ou des alertes dans une interface utilisateur.

 

 
 
4. Quelle classe Bootstrap permet de créer un élément avec une bordure visible et arrondie ?

A .border-radius-3

B .border-radius

C .rounded-border

D .border

D
La classe .border est utilisĂ©e pour ajouter une bordure autour d’un Ă©lĂ©ment. Pour avoir une bordure arrondie, vous pouvez combiner cette classe avec .rounded.

 

 
5. Quelle classe Bootstrap permet de dĂ©finir un espacement Ă  droite d’un Ă©lĂ©ment de taille 5 ?

A .mr-5

B .ml-5

C .pr-5

D .m-right-5

A
La classe .mr-5 applique un espacement Ă  droite (margin-right) de taille 5. Bootstrap propose un systĂšme de classes utilitaires qui permet de gĂ©rer facilement l’espacement autour des Ă©lĂ©ments.

 

 
6. Quelle classe Bootstrap permet de mettre en Ă©vidence un texte (comme pour les citations) ?

A .highlight

B .text-italic

C .text-emphasized

D .text-warning

D
La classe .text-warning est utilisĂ©e pour colorier un texte dans une teinte jaune/orange pour attirer l’attention, souvent utilisĂ©e pour les messages d’avertissement ou d’importance.

 

 
 
7. Quelle classe Bootstrap permet de rendre un élément invisible tout en conservant son espace dans le flux de la page ?

A .invisible

B .hidden

C .d-none

D .opacity-0

A
La classe .invisible permet de rendre un Ă©lĂ©ment invisible tout en conservant son espace dans le flux du document. À l’inverse, .d-none retire complĂštement l’élĂ©ment du flux et ne laisse pas d’espace.

 

 
8. Quelle classe Bootstrap permet de créer un menu déroulant avec un bouton ?

A .dropdown-button

B .dropdown-toggle

C .dropdown-list

D .dropdown-menu

B
La classe .dropdown-toggle est utilisĂ©e pour crĂ©er un bouton qui dĂ©clenche l’affichage du menu dĂ©roulant. Cette classe est combinĂ©e avec d’autres classes comme .dropdown-menu pour crĂ©er un menu complet.

 

 
9. Quelle classe Bootstrap est utilisée pour centrer un élément horizontalement dans un conteneur avec une largeur fixe ?

A .mx-auto

B .ml-auto

C .center-block

D .align-center

A
La classe .mx-auto est utilisée pour centrer un élément horizontalement avec des marges automatiques à gauche et à droite. Elle est souvent utilisée pour les éléments à largeur fixe dans un conteneur.

 

 
 
10. Quelle classe Bootstrap permet de dĂ©finir un padding uniquement en bas d’un Ă©lĂ©ment ?

A .pl-3

B .pt-3

C .pb-3

D .padding-bottom-3

C
La classe .pb-3 applique un padding (espacement interne) uniquement en bas de l’élĂ©ment. Il existe Ă©galement des classes similaires comme .pt-3 pour le padding en haut, .pl-3 pour le padding Ă  gauche, et .pr-3 pour le padding Ă  droite.

 

 

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  •  

Compter les cellules en fonction de la couleur d’arriùre-plan dans Google Sheets

Dans Google Sheets, il est souvent utile de pouvoir effectuer des calculs ou des analyses basĂ©es non seulement sur les valeurs des cellules, mais aussi sur leurs attributs visuels, comme la couleur d’arriĂšre-plan. Par exemple, vous pourriez vouloir compter le nombre de cellules qui ont une couleur d’arriĂšre-plan spĂ©cifique, que ce soit pour des raisons de catĂ©gorisation, d’organisation ou d’analyse visuelle. Cependant, contrairement Ă  Excel, Google Sheets ne propose pas directement une fonction pour compter les cellules selon leur couleur d’arriĂšre-plan. Heureusement, il existe plusieurs mĂ©thodes permettant de contourner cette limitation.

Cet article vous expliquera comment compter les cellules en fonction de leur couleur d’arriùre-plan dans Google Sheets, à l’aide de scripts Google Apps ou d’extensions tierces.

 

Utiliser une fonction personnalisée avec Google Apps Script

Google Apps Script est un environnement de script basĂ© sur JavaScript qui permet d’automatiser des tĂąches dans Google Sheets. Pour compter les cellules en fonction de leur couleur d’arriĂšre-plan, nous allons crĂ©er un petit script personnalisĂ©.

  • Ouvrez votre feuille Google Sheets.
  • Allez dans le menu Extensions > Apps Script.
  • Dans l’éditeur de script, collez le code suivant :
function compterCellulesColores(plage,ref) {
  var activeRange = SpreadsheetApp.getActiveRange();
  var activeSheet = activeRange.getSheet();
  var formula = activeRange.getFormula();
  
  var rangeA1Notation = formula.match(/\((.*)\;/).pop();
  rangeA1Notation = rangeA1Notation.replace(/\s/g, "");
  var range = activeSheet.getRange(rangeA1Notation);
  var bg = range.getBackgrounds();
  var values = range.getValues();
  
  var colorCellA1Notation = formula.match(/\;(.*)\)/).pop();
  colorCellA1Notation = colorCellA1Notation.replace(/\s/g, ""); 
  var colorCell = activeSheet.getRange(colorCellA1Notation);
  var color = colorCell.getBackground();
  
  var count = 0;
  
  for(var i=0;i < bg.length;i++)
    for(var j=0;j < bg[0].length;j++)
      if( bg[i][j] == color )
        count=count+1;
  return count;
};

Enregistrez le script avec un nom, puis fermez l'Ă©diteur.

Retournez Ă  votre feuille de calcul et dans une nouvelle cellule, utilisez la fonction comme suit :

=compterCellulesColores(A1:B10, A7)

Cela comptera le nombre de cellules dans la plage A1:B10 ayant l’arriùre-plan de couleur de la cellule A7. Vous pouvez adapter la plage et la couleur à vos besoins.

 

 

Conclusion

Bien que Google Sheets ne dispose pas d’une fonction native pour compter les cellules par couleur d’arriùre-plan, plusieurs solutions existent pour contourner cette limitation :

  • Utiliser Google Apps Script pour crĂ©er une fonction personnalisĂ©e qui compte les cellules colorĂ©es.
  • Installer une extension tierce, comme Power Tools, qui propose une fonction "Count by Color".
  • Explorer d'autres modules complĂ©mentaires qui offrent des fonctionnalitĂ©s similaires.

Que vous soyez un utilisateur novice ou un expert, ces méthodes vous permettront de gérer plus efficacement vos données en fonction de la couleur des cellules. N'hésitez pas à choisir la méthode qui vous convient le mieux en fonction de vos besoins spécifiques !

L’article Compter les cellules en fonction de la couleur d’arriùre-plan dans Google Sheets est apparu en premier sur WayToLearnX.

  •  

Comment extraire les URL des liens hypertexte dans Google Sheets ?

Lorsque vous travaillez avec des donnĂ©es dans Google Sheets, il peut arriver que vous ayez besoin d’extraire les URL des liens hypertexte prĂ©sents dans vos cellules. Cela peut ĂȘtre utile pour analyser des sources, vĂ©rifier des liens, ou encore pour automatiser certaines tĂąches de gestion de contenu. Heureusement, Google Sheets offre plusieurs mĂ©thodes pour y parvenir. Dans cet article, nous allons vous guider Ă©tape par Ă©tape pour extraire les URL des liens hypertexte dans vos feuilles de calcul.

 

Pourquoi extraire les URL des liens hypertexte dans Google Sheets ?

L’extraction des URL des liens hypertexte peut ĂȘtre utile dans plusieurs scĂ©narios, notamment :

  • Analyse de contenu: Identifier et extraire toutes les sources externes vers lesquelles un document fait rĂ©fĂ©rence.
  • VĂ©rification des liens: ContrĂŽler si les liens sont toujours valides.
  • Automatisation des tĂąches: RĂ©cupĂ©rer automatiquement les URL pour les intĂ©grer Ă  d’autres systĂšmes ou rapports.
  • Nettoyage de donnĂ©es: Extraire uniquement les URL pour Ă©liminer les parties superflues du texte.

 

Utiliser une fonction personnalisée avec Google Apps Script

La maniĂšre la plus puissante d’extraire les liens hypertexte dans Google Sheets est d’utiliser une fonction personnalisĂ©e Ă  l’aide de Google Apps Script. Voici comment procĂ©der :

  • Ouvrez votre feuille Google Sheets.
  • Allez dans le menu Extensions > Apps Script.
  • Dans l’éditeur de script, collez le code suivant :
function GetURL(input) {
  var myFormula = SpreadsheetApp.getActiveRange().getFormula();
  var myAddress = myFormula.replace(/=.*?\(/,'').replace(')','');
  var myRange = SpreadsheetApp.getActiveSheet().getRange(myAddress);
  
 var richTextValues = myRange.getRichTextValue().getRuns();
 var urls = [];

 for (var i = 0 ; i < richTextValues.length; i++) {
  var url = richTextValues[i].getLinkUrl();
  if (url) {
      urls.push(url);
  }
}

 return [urls];
 };

Enregistrez le script avec un nom, puis fermez l'Ă©diteur.

Retournez Ă  votre feuille de calcul et dans une nouvelle cellule, utilisez la fonction comme suit :

=GetURL(A1)

Cette fonction retournera l'URL présente dans la cellule A1, si celle-ci contient un lien hypertexte.

 

 

Conclusion

Extraire les URL des liens hypertexte dans Google Sheets peut ĂȘtre une tĂąche relativement simple ou complexe, en fonction de la mĂ©thode choisie. Les fonctions personnalisĂ©es Ă  l'aide de Google Apps Script offrent une solution puissante et flexible, tandis que les mĂ©thodes manuelles ou les add-ons peuvent s'avĂ©rer plus rapides si vous avez des besoins plus simples.

N'oubliez pas que l'extraction des URL peut ĂȘtre un premier pas vers une gestion de contenu plus efficace, un meilleur suivi de la qualitĂ© des liens, ou mĂȘme une automatisation de vos processus de travail. Choisissez la mĂ©thode qui correspond le mieux Ă  vos besoins et commencez Ă  optimiser vos donnĂ©es dĂšs aujourd'hui !

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Exercice CorrigĂ© Ordonnancement Des Processus – Partie 1

L‘ordonnancement du processus est Ă  la base des systĂšmes d’exploitation multiprogrammĂ©s. En rĂ©partissant l’unitĂ© centrale entre les processus, le systĂšme d’exploitation peut rendre l’ordinateur plus productif. Dans ce chapitre, nous prĂ©sentons des exercices corrigĂ©s sur les concepts de base de l’ordonnancement, l’idĂ©e d’allocation de ressources et discutons en dĂ©tail de l’ordonnancement de l’unitĂ© centrale. FCFS, SJF, Round-Robin, PrioritĂ© et les autres algorithmes d’ordonnancement devraient ĂȘtre familiers Ă  vous.

 

Exercice 1: StratĂ©gies d’ordonnancement

1.1) Expliquez pourquoi certains systùmes d’exploitation ont un ou plusieurs processus inactifs.

Les processus inactifs, souvent appelĂ©s « processus zombie Â» ou « processus idle Â», sont prĂ©sents dans de nombreux systĂšmes d’exploitation pour plusieurs raisons.

Si aucun processus n’est dans l’état « prĂȘt », le processus inactif du systĂšme se voit attribuer l’unitĂ© centrale. Le processus inactif du systĂšme est toujours actif mais avec la prioritĂ© la plus basse, permet au planificateur de garantir qu’il y a toujours un processus prĂȘt Ă  s’exĂ©cuter, mĂȘme lorsque aucun autre processus n’est disponible. Cela Ă©vite des situations oĂč l’unitĂ© centrale (UC) serait inoccupĂ©e. En crĂ©ant un processus inactif pour chaque cƓur de processeur, les systĂšmes d’exploitation modernes assurent une gestion efficace des ressources et optimisent l’utilisation de l’UC.

En rĂ©sumĂ©, les processus inactifs sont essentiels pour la performance, la rĂ©activitĂ© et l’efficacitĂ© des systĂšmes d’exploitation.

1.2) Expliquez la diffĂ©rence entre l’ordonnancement prĂ©emptif et l’ordonnancement non prĂ©emptif.

Ordonnancement prĂ©emptif: Permet Ă  un processus en cours d’exĂ©cution d’ĂȘtre interrompu pour donner la prioritĂ© Ă  un autre processus. UtilisĂ© dans les systĂšmes multitĂąches pour assurer une rĂ©activitĂ© Ă©levĂ©e. Par exemple, un processus avec une prioritĂ© plus Ă©levĂ©e peut prendre le contrĂŽle du CPU Ă  tout moment.

Ordonnancement non prĂ©emptif: Un processus en cours d’exĂ©cution doit se terminer ou libĂ©rer le CPU volontairement avant qu’un autre processus puisse ĂȘtre exĂ©cutĂ©. UtilisĂ© dans des systĂšmes oĂč la prĂ©visibilitĂ© est essentielle, comme certains systĂšmes embarquĂ©s.

En rĂ©sumĂ©, l’ordonnancement prĂ©emptif permet des interruptions pour un meilleur contrĂŽle, tandis que l’ordonnancement non prĂ©emptif laisse les processus terminer leur exĂ©cution sans interruption.

1.3) Citez un inconvĂ©nient de l’ordonnancement prĂ©emptif.

Un inconvĂ©nient de l’ordonnancement prĂ©emptif est l’augmentation de l’overhead du systĂšme. Les interruptions frĂ©quentes pour passer d’un processus Ă  un autre peuvent entraĂźner un coĂ»t en termes de temps de gestion et de ressources, ce qui peut nuire Ă  la performance globale, surtout si les processus sont courts et que le temps de commutation devient significatif par rapport Ă  leur temps d’exĂ©cution.

1.4) Citez un inconvĂ©nient de l’ordonnancement non prĂ©emptif.

Un inconvĂ©nient de l’ordonnancement non prĂ©emptif est le risque de starvation. Si un processus Ă  faible prioritĂ© est bloquĂ© par des processus Ă  prioritĂ© plus Ă©levĂ©e, il peut ne jamais obtenir l’accĂšs au CPU, entraĂźnant des dĂ©lais d’exĂ©cution imprĂ©vus et une mauvaise rĂ©activitĂ© du systĂšme.

1.5) Expliquer comment fonctionne l’ordonnancement par queues à plusieurs niveaux (Multilevel Queues).

Il fonctionne avec plusieurs files d’attente. Chaque file d’attente a une prioritĂ© diffĂ©rente ou un multiplex temporel. Chaque nouveau processus est insĂ©rĂ© dans la file d’attente supĂ©rieure, ce qui lui confĂšre la prioritĂ© la plus Ă©levĂ©e. Pour chaque file d’attente, le systĂšme Round Robin est utilisĂ©. Si un processus abandonne volontairement l’unitĂ© centrale, il est rĂ©insĂ©rĂ© dans la mĂȘme file d’attente. Si un processus a utilisĂ© toute sa tranche de temps, il est insĂ©rĂ© dans la file d’attente immĂ©diatement infĂ©rieure, avec une prioritĂ© plus faible.

1.6) DĂ©crivez ce que signifie « Partage Ă©quitable Â» (fair share).

Une mĂ©thode d’ordonnancement est Ă©quitable lorsque chaque processus se voit attribuer l’unitĂ© centrale Ă  un moment donnĂ©.

1.7) Laquelle des mĂ©thodes suivantes est la mĂ©thode d’ordonnancement Ă©quitable ?

A Ordonnancement en fonction des priorités

B Premier arrivé, premier servi (First Come First Served)

C Round Robin avec quantum de temps

D Ordonnancement EDF (Earliest Deadline First: ÉchĂ©ance la plus proche d’abord)

E Partage Ă©quitable

C, E

Les mĂ©thodes d’ordonnancement Ă©quitables sont les suivantes:

  • C. Round Robin avec quantum de temps: Cette mĂ©thode alloue des tranches de temps Ă©gales Ă  chaque tĂąche, ce qui favorise l’équitĂ©.
  • E. Partage Ă©quitable: Cette mĂ©thode vise Ă  garantir que tous les utilisateurs ou toutes les tĂąches reçoivent une part Ă©quitable des ressources.

 

1.8) Laquelle des mĂ©thodes suivantes est la mĂ©thode d’ordonnancement prĂ©emptif ?

A Premier arrivé, premier servi

B Round Robin avec quantum de temps

C Partage Ă©quitable

D Ordonnancement par queues Ă  plusieurs niveaux (Multilevel Queues)

B, D

Les mĂ©thodes d’ordonnancement prĂ©emptif sont les suivantes:

  • Round Robin avec quantum de temps: Cette mĂ©thode permet aux tĂąches d’ĂȘtre prĂ©emptĂ©es aprĂšs l’expiration de leur tranche de temps, ce qui garantit la rĂ©activitĂ©.
  • Multilevel Queues: Cette mĂ©thode peut Ă©galement prĂ©empter des tĂąches en fonction de leur prioritĂ© et de leur comportement, ce qui permet des ajustements dynamiques.

 

1.9) Laquelle des mĂ©thodes suivantes est la mĂ©thode d’ordonnancement non-prĂ©emptif ?

A Premier arrivé, premier servi

B Round Robin avec quantum de temps

C Partage Ă©quitable

D Ordonnancement par queues Ă  plusieurs niveaux (Multilevel Queues)

A, C

Les méthodes non préemptives sont les suivantes:

  • Premier arrivĂ©, premier servi: Une fois qu’une tĂąche commence Ă  s’exĂ©cuter, elle est exĂ©cutĂ©e jusqu’à son terme.
  • Partage Ă©quitable: Typiquement non prĂ©emptive, car elle se concentre sur la distribution des ressources sans interrompre les tĂąches en cours.

 

 
Exercice 2: Ordonnancement
+-----------+-----------+----------+
| Processus | Temps CPU | Priorité |
+-----------+-----------+----------+
|     A     |    5 ms   |    15    |
+-----------+-----------+----------+
|     B     |   10 ms   |     5    |
+-----------+-----------+----------+
|     C     |    3 ms   |     4    |
+-----------+-----------+----------+
|     D     |    9 ms   |    12    |
+-----------+-----------+----------+
|     E     |    8 ms   |     7    |
+-----------+-----------+----------+

Cinq processus doivent ĂȘtre traitĂ©s sur un seul systĂšme CPU/core. Tous les processus se trouvent au point temporel 0, dans l’état « prĂȘt ». Les prioritĂ©s Ă©levĂ©es sont caractĂ©risĂ©es par des valeurs Ă©levĂ©es.

2.1) Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour Round Robin (quantum de temps q = 1 ms), FCFS et l’ordonnancement par prioritĂ©s.

La colonne PrioritĂ© du tableau n’est pertinente que pour l’ordonnancement par prioritĂ©s (Priority-Driven Scheduling) et non pour Round Robin ou FCFS.

2.2) Calculez les durĂ©es d’exĂ©cution moyennes et les temps d’attente moyens des processus.

  • Round Robin (RR): Chaque processus reçoit un quantum de temps fixe (q = 1 ms). Si le processus n’a pas terminĂ© Ă  la fin de son quantum, il est prĂ©emptĂ© et remis Ă  la fin de la file d’attente. Ce cycle continue jusqu’à ce que tous les processus soient terminĂ©s.
  • First Come First Served (FCFS): Les processus sont exĂ©cutĂ©s dans l’ordre de leur arrivĂ©e. Le premier processus dans la file d’attente est servi jusqu’à sa terminaison, puis le suivant est exĂ©cutĂ©.
  • Priority-Driven Scheduling: Chaque processus se voit attribuer une prioritĂ©. Les processus avec une prioritĂ© plus Ă©levĂ©e sont exĂ©cutĂ©s avant ceux avec une prioritĂ© plus basse. Si un processus de prioritĂ© plus Ă©levĂ©e arrive, il peut prĂ©empter le processus en cours.

Le temps CPU est le temps dont le processus a besoin pour accéder au CPU afin de terminer son exécution.

DurĂ©e d’exĂ©cution = durĂ©e de vie = pĂ©riode de temps entre la crĂ©ation et la fin d’un processus = (temps CPU + temps d’attente).

+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
| Durée d'exécution                        |  A |  B |  C |  D |  E |
+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
| Round Robin                              | 20 | 32 | 13 | 25 | 30 |
+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
| FCFS(First Come First Served)            | 5  | 15 | 18 | 24 | 32 |
+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
| Ordonnancement par priorités             | 5  | 29 | 32 | 11 | 19 |
+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
RR   (20 + 32 + 13 + 25 + 30) / 5  = 24   ms
FCFS (5 + 15 + 18 + 24 + 32)  / 5  = 18,8 ms
PS   (5 + 29 + 32 + 11 + 19)  / 5  = 19,2 ms

Temps d’attente = temps pendant lequel un processus est dans l’état prĂȘt.

Temps d’attente = temps d’exĂ©cution – temps CPU.

+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
| Temps d'attente                          |  A |  B |  C |  D |  E |
+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
| Round Robin                              | 15 | 22 | 10 | 19 | 22 |
+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
| FCFS(First Come First Served)            | 0  | 5  | 15 | 18 | 24 |
+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
| Ordonnancement en fonction des priorités | 0  | 19 | 29 | 5  | 11 |
+------------------------------------------+----+----+----+----+----+
RR   (15 + 22 + 10 + 19 + 22) / 5 = 17,6 ms
FCFS (0 + 5 + 15 + 18 + 24)   / 5 = 12,4 ms
PS   (0 + 19 + 29 + 5 + 11)   / 5 = 12,8 ms
 

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Exercice CorrigĂ© Ordonnancement Des Processus – Partie 2

L‘ordonnancement du processus est Ă  la base des systĂšmes d’exploitation multiprogrammĂ©s. En rĂ©partissant l’unitĂ© centrale entre les processus, le systĂšme d’exploitation peut rendre l’ordinateur plus productif. Dans ce chapitre, nous prĂ©sentons des exercices corrigĂ©s sur les concepts de base de l’ordonnancement, l’idĂ©e d’allocation de ressources et discutons en dĂ©tail de l’ordonnancement de l’unitĂ© centrale. FCFS, SJF, Round-Robin, PrioritĂ© et les autres algorithmes d’ordonnancement devraient ĂȘtre familiers Ă  vous.

 

Exercice 1: First Come First Serve (FCFS)

Rappel: Dans l’ordonnancement FCFS

  • Le processus qui arrive en premier dans la file d’attente est le premier Ă  se voir attribuer l’unitĂ© centrale.
  • En cas d’égalitĂ©, le processus dont l’identifiant est le plus petit est exĂ©cutĂ© en premier.
  • L’ordonnancement est toujours non prĂ©emptif par nature.
  • Les jobs sont exĂ©cutĂ©s selon le principe du premier arrivĂ©, premier servi.
  • Il s’agit d’un algorithme d’ordonnancement prĂ©emptif et non prĂ©emptif.
  • Facile Ă  comprendre et Ă  implĂ©menter.
  • Son implantation est basĂ©e sur la file d’attente FIFO.
  • Peu performant car le temps d’attente moyen est Ă©levĂ©.

1.1) ConsidĂ©rons les processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour FCFS, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale/temps d'exécution du CPU |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P1              | 0               | 2                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P2              | 1               | 3                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P3              | 2               | 5                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P4              | 3               | 4                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P5              | 4               | 6                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale


 

Temps moyen de rotation = 2+4+8+11+16/5 = 41/5 = 8.2 
Temps moyen d'attente   = 0+1+3+7+10/5  = 21/5 = 4.2 

1.2) ConsidĂ©rons les processus suivants P1, P2, P3 arrive pour ĂȘtre exĂ©cutĂ© dans le mĂȘme ordre, avec un temps d’arrivĂ©e de 0 avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour FCFS, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 0               | 24              |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 0               | 3               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 0               | 5               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 0               | 24                |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 24              | 27                |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 27              | 30                |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps d'attente total = 0 + 24 + 27 = 51 ms
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = 51 / 3 
                      = 17 ms
					  
Temps de rotation total = 24 + 27 + 30 = 81 ms
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = 81 / 3 
                        = 27 ms
						
DĂ©bit = 3 jobs/30 sec = 0.1 jobs/sec

1.3) ConsidĂ©rons les processus suivants P1, P2, P3, P4 arrive pour ĂȘtre exĂ©cutĂ© dans le mĂȘme ordre, avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour FCFS, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 0               | 8               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 1               | 4               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 2               | 9               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P4              | 3               | 5               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 0               | 8 – 0 = 8         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 8 – 1 = 7       | 12 – 1 = 11       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 12 – 2 = 10     | 21 – 2 = 19       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 21 – 3 = 18     | 26 – 3 = 23       |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps d'attente total = 0 + 7 + 10 + 18 = 35 ms
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = 35 / 4
                      = 8.75 ms
					  
Temps de rotation total = 8 + 11 + 19 + 23 = 61 ms
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = 61 / 4
                        = 15.25 ms
						
DĂ©bit = 4 jobs/26 sec = 0.15385 jobs/sec
 
Exercice 2: Shortest Job First (SJF)

Rappel: Dans l’ordonnancement SJF

  • Les processus qui ont le temps d’exĂ©cution le plus court sont ordonnancĂ©s en premier.
  • Si deux processus ont le mĂȘme temps de rafale, l’algorithme FCFS est utilisĂ© pour les dĂ©partager.
  • Il s’agit d’un algorithme d’ordonnancement non prĂ©emptif et prĂ©emptif.
  • La meilleure approche pour minimiser le temps d’attente.
  • Facile Ă  mettre en Ɠuvre dans les systĂšmes de traitement par lots oĂč le temps CPU nĂ©cessaire est connu Ă  l’avance.
  • Impossible Ă  mettre en Ɠuvre dans les systĂšmes interactifs oĂč le temps CPU requis n’est pas connu.
  • Le processeur doit connaĂźtre Ă  l’avance la durĂ©e du processus.
  • Le mode prĂ©emptif de SJF est appelĂ© SRTF.

2.1) ConsidĂ©rons les processus suivants P1, P2, P3, P4, P5 arrive pour ĂȘtre exĂ©cutĂ©, avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour la politique d’ordonnancement SJF non prĂ©emptive, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 3               | 1               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 1               | 4               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 4               | 2               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P4              | 0               | 6               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P5              | 2               | 3               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 4 – 1 = 3       | 7 – 3 = 4         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 15 – 4 = 11     | 16 – 1 = 15       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 5 – 2 = 3       | 9 – 4 = 5         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 6 – 6 = 0       | 6 – 0 = 6         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P5        | 10 – 3 = 7      | 12 – 2 = 10       |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (3 + 11 + 3 + 0 + 7) / 5 
                      = 24 / 5
                      = 4.8 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (4 + 15 + 5 + 6 + 10) / 5 
                        = 40 / 5
                        = 8 unités

2.2) ConsidĂ©rons les processus suivants P1, P2, P3, P4, P5 arrive pour ĂȘtre exĂ©cutĂ©, avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour la politique d’ordonnancement SJF prĂ©emptive, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 3               | 1               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 1               | 4               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 4               | 2               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P4              | 0               | 6               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P5              | 2               | 3               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 1 – 1 = 0       | 4 – 3 = 1         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 5 – 4 = 1       | 6 – 1 = 5         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 4 – 2 = 2       | 8 – 4 = 4         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 16 – 6 = 10     | 16 – 0 = 16       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P5        | 9 – 3 = 6       | 11 – 2 = 9        |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (0 + 1 + 2 + 10 + 6) / 5 
                      = 19 / 5
                      = 3.8 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (1 + 5 + 4 + 16 + 9) / 5
                        = 35 / 5
                        = 7 unités

2.3) ConsidĂ©rons les processus suivants P1, P2, P3, P4, P5, P6 arrive pour ĂȘtre exĂ©cutĂ©, avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour la politique d’ordonnancement SRTF (Shortest Remaining Time First), et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 0               | 7               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 1               | 5               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 2               | 3               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P4              | 3               | 1               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P5              | 4               | 2               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P6              | 5               | 1               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 19 – 7 = 12     | 19 – 0 = 19       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 12 – 5 = 7      | 13 – 1 = 12       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 4 – 3 = 1       | 6 – 2 = 4         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 1 – 1 = 0       | 4 – 3 = 1         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P5        | 5 – 2 = 3       | 9 – 4 = 5         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P6        | 2 – 1 = 1       | 7 – 5 = 2         |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (12 + 7 + 1 + 0 + 3 + 1) / 6
                      = 24 / 6
                      = 4 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (19 + 12 + 4 + 1 + 5 + 2) / 6
                        = 43 / 6
                        = 7.17 unités

2.4) ConsidĂ©rons les processus suivants P1, P2, P3 arrive pour ĂȘtre exĂ©cutĂ©, avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour la politique d’ordonnancement SRTF (Shortest Remaining Time First), et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 0               | 9               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 1               | 4               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 2               | 9               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 13 – 9 = 4      | 13 – 0 = 13       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 4 – 4 = 0       | 5 – 1 = 4         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 20 – 9 = 11     | 22- 2 = 20        |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (4 + 0 + 11) / 3
                      = 15 / 3
                      = 5 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (13 + 4 + 20) / 3
                        = 37 / 3
                        = 12.33 unités

2.5) ConsidĂ©rons les processus suivants P1, P2, P3, P4 arrive pour ĂȘtre exĂ©cutĂ©, avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) pour la politique d’ordonnancement SRTF (Shortest Remaining Time First), et calculez le temps d’attente du processus P2.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 0               | 20              |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 15              | 25              |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 30              | 10              |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P4              | 45              | 15              |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

Donc:

Temps moyen d’attente du processus P2 = 55 – 15 = 40 unitĂ©s

Temps moyen de rotation du processus P2 = 40 – 25 = 15 unitĂ©s

 

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Exercice CorrigĂ© Ordonnancement Des Processus – Partie 3

L‘ordonnancement du processus est Ă  la base des systĂšmes d’exploitation multiprogrammĂ©s. En rĂ©partissant l’unitĂ© centrale entre les processus, le systĂšme d’exploitation peut rendre l’ordinateur plus productif. Dans ce chapitre, nous prĂ©sentons des exercices corrigĂ©s sur les concepts de base de l’ordonnancement, l’idĂ©e d’allocation de ressources et discutons en dĂ©tail de l’ordonnancement de l’unitĂ© centrale. FCFS, SJF, Round-Robin, PrioritĂ© et les autres algorithmes d’ordonnancement devraient ĂȘtre familiers Ă  vous.

 

Exercice 1: Ordonnancement Round Robin

Rappel: Dans l’ordonnancement Round Robin

  • L’unitĂ© centrale est attribuĂ©e au processus sur la base de la mĂ©thode FCFS pour une durĂ©e dĂ©terminĂ©e.
  • Cette durĂ©e fixe est appelĂ©e « time quantum » ou « time slice ».
  • À l’expiration du quantum de temps, le processus en cours est prĂ©emptĂ© et envoyĂ© dans la file d’attente des processus prĂȘts.
  • Le processeur est alors attribuĂ© au processus suivant.
  • Il s’agit toujours d’un processus prĂ©emptif par nature.

1.1) ConsidĂ©rons les 5 processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) en utilisant l’algorithme d’ordonnancement Round Robin avec un quantum de temps = 2 unitĂ©s, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale/temps d'exécution du CPU |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P1              | 0               | 5                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P2              | 1               | 3                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P3              | 2               | 1                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P4              | 3               | 2                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+
| P5              | 4               | 3                                        |
+-----------------+-----------------+------------------------------------------+

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 13 – 5 = 8      | 13 – 0 = 13       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 11 – 3 = 8      | 12 – 1 = 11       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 3 – 1 = 2       | 5 – 2 = 3         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 6 – 2 = 4       | 9 – 3 = 6         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P5        | 10 – 3 = 7      | 14 – 4 = 10       |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (8 + 8 + 2 + 4 + 7) / 5 
                      = 29 / 5
                      = 5.8 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (13 + 11 + 3 + 6 + 10) / 5 
                        = 43 / 5
                        = 8.6 unités

1.2) ConsidĂ©rons les 6 processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) en utilisant l’algorithme d’ordonnancement Round Robin avec un quantum de temps = 2 unitĂ©s, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 0               | 4               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 1               | 5               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 2               | 2               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P4              | 3               | 1               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P5              | 4               | 6               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P6              | 6               | 3               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 8 – 4 = 4       | 8 – 0 = 8         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 17 – 5 = 12     | 18 – 1 = 17       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 4 – 2 = 2       | 6 – 2 = 4         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 6 – 1 = 5       | 9 – 3 = 6         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P5        | 17 – 6 = 11     | 21 – 4 = 17       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P6        | 13 – 3 = 10     | 19 – 6 = 13       |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (4 + 12 + 2 + 5 + 11 + 10) / 6
                      = 44 / 6
                      = 7.33 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (8 + 17 + 4 + 6 + 17 + 13) / 6
                        = 65 / 6
                        = 10.84 unités

1.3) ConsidĂ©rons les 6 processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) en utilisant l’algorithme d’ordonnancement Round Robin avec un quantum de temps = 3 unitĂ©s, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 5               | 5               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 4               | 6               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 3               | 7               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P4              | 1               | 9               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P5              | 2               | 2               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P6              | 6               | 3               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 27 – 5 = 22     | 32 – 5 = 27       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 23 – 6 = 17     | 27 – 4 = 23       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 30 – 7 = 23     | 33 – 3 = 30       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 29 – 9 = 20     | 30 – 1 = 29       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P5        | 4 – 2 = 2       | 6 – 2 = 4         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P6        | 15 – 3 = 12     | 21 – 6 = 15       |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (22 + 17 + 23 + 20 + 2 + 12) / 6
                      = 96 / 6
                      = 16 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (27 + 23 + 30 + 29 + 4 + 15) / 6 
                        = 128 / 6
                        = 21.33 unités
 
Exercice 2: Ordonnancement par priorité (Priority Scheduling)

Rappel: Dans l’ordonnancement par prioritĂ©

  • Parmi tous les processus disponibles, l’unitĂ© centrale est attribuĂ©e au processus ayant la prioritĂ© la plus Ă©levĂ©e.
  • En cas d’égalitĂ©, le processus est dĂ©partagĂ© par l’ordonnancement FCFS.
  • L’ordonnancement par prioritĂ© peut ĂȘtre utilisĂ© en mode prĂ©emptif ou non prĂ©emptif.
  • Le temps d’attente pour le processus ayant la prioritĂ© la plus Ă©levĂ©e sera toujours nul en mode prĂ©emptif.
  • Le temps d’attente pour le processus ayant la prioritĂ© la plus Ă©levĂ©e peut ne pas ĂȘtre nul en mode non prĂ©emptif.

L’ordonnancement par prioritĂ© en mode prĂ©emptif et non prĂ©emptif se comporte exactement de la mĂȘme maniĂšre dans les conditions suivantes:

  • L’heure d’arrivĂ©e de tous les processus est la mĂȘme
  • Tous les processus deviennent disponibles

Avantages:

  • Il prend en compte la prioritĂ© des processus et permet aux processus importants de s’exĂ©cuter en premier.
  • L’ordonnancement par prioritĂ© en mode prĂ©emptif est le mieux adaptĂ© aux systĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el.

Inconvénients:

  • Les processus moins prioritaires risquent d’ĂȘtre affamĂ©s par l’unitĂ© centrale.
  • Il n’y a aucune idĂ©e du temps de rĂ©ponse et du temps d’attente.

2.1) ConsidĂ©rons les 5 processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) en utilisant l’algorithme d’ordonnancement par prioritĂ© non prĂ©emptive, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation. (Le chiffre le plus Ă©levĂ© correspond Ă  une prioritĂ© plus importante).

+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| Processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale | Priorité |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P1        | 0               | 4               | 2        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P2        | 1               | 3               | 3        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P3        | 2               | 1               | 4        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P4        | 3               | 5               | 5        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P5        | 4               | 2               | 5        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 4 – 4 = 0       | 4 – 0 = 4         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 14 – 3 = 11     | 15 – 1 = 14       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 10 – 1 = 9      | 12 – 2 = 10       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 6 – 5 = 1       | 9 – 3 = 6         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P5        | 7 – 2 = 5       | 11 – 4 = 7        |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (0 + 11 + 9 + 1 + 5) / 5
                      = 26 / 5
                      = 5.2 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (4 + 14 + 10 + 6 + 7) / 5
                        = 41 / 5
                        = 8.2 unités

2.2) ConsidĂ©rons les 5 processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution de l’unitĂ© centrale). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) en utilisant l’algorithme d’ordonnancement par prioritĂ© prĂ©emptive, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation. (Le chiffre le plus Ă©levĂ© correspond Ă  une prioritĂ© plus importante).

+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| Processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale | Priorité |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P1        | 0               | 4               | 2        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P2        | 1               | 3               | 3        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P3        | 2               | 1               | 4        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P4        | 3               | 5               | 5        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+
| P5        | 4               | 2               | 5        |
+-----------+-----------------+-----------------+----------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 15 – 4 = 11     | 15 – 0 = 15       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 11 – 3 = 8      | 12 – 1 = 11       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 1 – 1 = 0       | 3 – 2 = 1         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 5 – 5 = 0       | 8 – 3 = 5         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P5        | 6 – 2 = 4       | 10 – 4 = 6        |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (11 + 8 + 0 + 0 + 4) / 5
                      = 23 / 5
                      = 4.6 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (15 + 11 + 1 + 5 + 6) / 5
                        = 38 / 5
                        = 7.6 unités
 

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Exercice CorrigĂ© Ordonnancement Des Processus – Partie 4

L‘ordonnancement du processus est Ă  la base des systĂšmes d’exploitation multiprogrammĂ©s. En rĂ©partissant l’unitĂ© centrale entre les processus, le systĂšme d’exploitation peut rendre l’ordinateur plus productif. Dans ce chapitre, nous prĂ©sentons des exercices corrigĂ©s sur les concepts de base de l’ordonnancement, l’idĂ©e d’allocation de ressources et discutons en dĂ©tail de l’ordonnancement de l’unitĂ© centrale. FCFS, SJF, Round-Robin, PrioritĂ© et les autres algorithmes d’ordonnancement devraient ĂȘtre familiers Ă  vous.

 

Exercice 1: Pourcentage d’inactivitĂ© du CPU

ConsidĂ©rons trois processus, arrivant tous au temps zĂ©ro, avec un temps d’exĂ©cution total de 10, 20 et 30 unitĂ©s respectivement. Chaque processus passe les premiers 20 % de son temps d’exĂ©cution Ă  faire des E/S, les 70 % suivants Ă  faire des calculs et les derniers 10 % Ă  refaire des E/S. Le systĂšme d’exploitation utilise un algorithme d’ordonnancement basĂ© sur l’algorithme d’ordonnancement Shortest Remaining Time First (SRTF) et planifie un nouveau processus soit lorsque le processus en cours est bloquĂ© sur les E/S, soit lorsque le processus en cours termine sa rafale de calcul. Supposons que toutes les opĂ©rations d’E/S puissent se chevaucher autant que possible. Quel est le pourcentage d’inactivitĂ© de l’unitĂ© centrale (CPU) ?

A 0%

B 10.6%

C 30.0%

D 89.4%

B

D’aprùs la question, nous avons:

Rafale = Temps d’exĂ©cution

+--------------+------------------+------------+------------+------------+
|              | Totale du Rafale | Rafale E/S | Rafale CPU | Rafale E/S |
+--------------+------------------+------------+------------+------------+
| Processus P1 | 10               | 2          | 7          | 1          |
+--------------+------------------+------------+------------+------------+
| Processus P2 | 20               | 4          | 14         | 2          |
+--------------+------------------+------------+------------+------------+
| Processus P3 | 30               | 6          | 21         | 3          |
+--------------+------------------+------------+------------+------------+

L’algorithme d’ordonnancement utilisĂ© est celui du SRTF « plus court temps restant en premier ».


Pourcentage de temps d’inactivitĂ© de l’unitĂ© centrale (CPU)
= (5 / 47) x 100
= 10.638%
L’option correcte est donc (B).

 

 
Exercice 2: SRTF « plus court temps restant en premier »

ConsidĂ©rons les 4 processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) en utilisant l’algorithme d’ordonnancement SRTF « plus court temps restant en premier », et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation.

+-----------+-----------------+--------------------------------------+
| Processus | Temps d'arrivée |           Temps de rafale            |
|           |                 |------------+------------+------------+
|           |                 | Rafale E/S | Rafale CPU | Rafale E/S |
+-----------+-----------------+------------+------------+------------+
| P1        | 0               | 3          | 2          | 2          |
+-----------+-----------------+------------+------------+------------+
| P2        | 0               | 2          | 4          | 1          |
+-----------+-----------------+------------+------------+------------+
| P3        | 2               | 1          | 3          | 2          |
+-----------+-----------------+------------+------------+------------+
| P4        | 5               | 2          | 2          | 1          |
+-----------+-----------------+------------+------------+------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 11 – (3+2) = 6  | 11 – 0 = 11       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 7 – (2+1) = 4   | 7 – 0 = 7         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 7 – (1+2) = 4   | 9 – 2 = 7         |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P4        | 11 – (2+1) = 8  | 16 – 5 = 11       |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (6 + 4 + 4 + 8) / 4
                      = 22 / 4
                      = 5.5 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (11 + 7 + 7 + 11) / 4
                        = 36 / 4
                        = 9 unités
 
Exercice 3: Ordonnancement par priorité (Priority Scheduling)

ConsidĂ©rons les 3 processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle) en utilisant l’algorithme d’ordonnancement par prioritĂ©, et calculez le temps d’attente moyen et le temps moyen de rotation. (Un chiffre plus bas signifie une prioritĂ© plus Ă©levĂ©e).

+-----------+-----------+----------+--------------------------------------+
| Processus | Temps     | Priorité |            Temps de rafale           |
|           | d'arrivée |          |------------+------------+------------+
|           |           |          | Rafale E/S | Rafale CPU | Rafale E/S |
+-----------+-----------+----------+--------------------------------------+
| P1        | 0         | 2        | 1          | 5          | 3          |
+-----------+-----------+----------+--------------------------------------+
| P2        | 2         | 3        | 3          | 3          | 1          |
+-----------+-----------+----------+--------------------------------------+
| P3        | 3         | 1        | 2          | 3          | 1          |
+-----------+-----------+----------+------------+------------+------------+

Maintenant, on sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+-----------------+-------------------+
| Processus | Temps d'attente | Temps de rotation |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P1        | 10 – (1+3) = 6  | 10 – 0 = 10       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P2        | 13 – (3+1) = 9  | 15 – 2 = 13       |
+-----------+-----------------+-------------------+
| P3        | 6 – (2+1) = 3   | 9 – 3 = 6         |
+-----------+-----------------+-------------------+
Temps moyen d'attente = (Temps d'attente total) / (Nombre total de processus) 
                      = (6 + 9 + 3) / 3
                      = 18 / 3
                      = 6 unités
					  
Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus) 
                        = (10 + 13 + 6) / 3
                        = 29 / 3
                        = 9.67 unités
 
Exercice 4:

Un algorithme d’ordonnancement du CPU dĂ©termine l’ordre d’exĂ©cution des processus programmĂ©s. Étant donnĂ© que n processus doivent ĂȘtre ordonnancĂ©s sur un processeur, combien y a-t-il d’ordonnances diffĂ©rentes possibles ? Donnez une formule en fonction de n.

Pour n processus, le nombre d’ordonnances diffĂ©rentes possibles est donnĂ© par la formule:

n! (n factorial = n * n – 1 * n – 2 * 
 * 2 * 1)

Cela signifie que pour chaque processus, vous pouvez le placer dans une position de la file d’attente, et en rĂ©pĂ©tant cela pour tous les processus, vous obtenez toutes les permutations possibles.

 
Exercice 5:

ConsidĂ©rons les 6 processus suivants avec un temps de rafale (temps d’exĂ©cution). Dessinez l’ordre d’exĂ©cution des processus Ă  l’aide d’un diagramme de Gantt (ligne temporelle). Si la politique d’ordonnancement du CPU est First Come First Serve (FCFS) et qu’il y a une unitĂ© du temps d’attente pour le changement de contexte dans l’ordonnancement des processus, dĂ©terminez l’efficacitĂ© de l’algorithme.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 0               | 3               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 1               | 2               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 2               | 1               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P4              | 3               | 4               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P5              | 4               | 5               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P6              | 5               | 2               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

Ici, ÎŽ reprĂ©sente le temps d’attente pour le changement de contexte.

Maintenant,
Temps inutile / Temps perdu = 6 x Ύ = 6 x 1 = 6 unités
Temps total = 23 unités
Temps utile = 23 unitĂ©s – 6 unitĂ©s = 17 unitĂ©s

Efficacité (η)
= Temps utile / Total Total
= 17 unités / 23 unités
= 0.7391
= 73.91%

 

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Exercice CorrigĂ© Ordonnancement Des Processus – Partie 5

L‘ordonnancement du processus est Ă  la base des systĂšmes d’exploitation multiprogrammĂ©s. En rĂ©partissant l’unitĂ© centrale entre les processus, le systĂšme d’exploitation peut rendre l’ordinateur plus productif. Dans ce chapitre, nous prĂ©sentons des exercices corrigĂ©s sur les concepts de base de l’ordonnancement, l’idĂ©e d’allocation de ressources et discutons en dĂ©tail de l’ordonnancement de l’unitĂ© centrale. FCFS, SJF, Round-Robin, PrioritĂ© et les autres algorithmes d’ordonnancement devraient ĂȘtre familiers Ă  vous.

 

Exercice 1:

ConsidĂ©rons les processus suivants, la durĂ©e du temps d’utilisation du CPU (temps de rafale) Ă©tant exprimĂ©e en millisecondes:

+-----------+-----------------+----------+
| Processus | Temps de rafale | Priorité |
+-----------+-----------------+----------+
| P1        | 10              | 3        |
+-----------+-----------------+----------+
| P2        | 1               | 1        |
+-----------+-----------------+----------+
| P3        | 2               | 3        |
+-----------+-----------------+----------+
| P4        | 1               | 4        |
+-----------+-----------------+----------+
| P5        | 5               | 2        |
+-----------+-----------------+----------+

On suppose que les processus sont arrivĂ©s dans l’ordre P1, P2, P3, P4, P5, tous au temps 0.

A. Dessinez quatre diagrammes de Gantt illustrant l’exĂ©cution de ces processus en utilisant l’ordonnancement FCFS, SJF, par prioritĂ© non prĂ©emptive (un numĂ©ro de prioritĂ© plus petit implique une prioritĂ© plus Ă©levĂ©e), et RR – Round Robin (quantum = 1).

Les quatre diagrammes de Gantt sont:

B. Quel est le temps d’exĂ©cution (ou temps de rotation) de chaque processus pour chacun des algorithmes d’ordonnancement de la question A ?

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| Processus |  FCFS  |   RR   |   SJF   | Par priorité |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P1        | 10     | 19     | 19      | 16           |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P2        | 11     | 2      | 1       | 1            |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P3        | 13     | 7      | 4       | 18           |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P4        | 14     | 4      | 2       | 19           |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P5        | 19     | 14     | 9       |  6           |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+

C. Quel est le temps d’attente de chaque processus pour chacun des algorithmes d’ordonnancement de la question A ?

Temps d’attente = Temps de rotation – Temps de rafale

+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| Processus |  FCFS  |   RR   |   SJF   | Par priorité |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P1        | 0      | 9      | 9       | 6            |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P2        | 10     | 1      | 0       | 0            |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P3        | 11     | 5      | 2       | 16           |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P4        | 13     | 3      | 1       | 18           |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+
| P5        | 14     | 9      | 4       |  1           |
+-----------+--------+--------+---------+--------------+

D. Lequel des ordonnancements de la question A permet d’obtenir le temps d’attente moyen le plus court (sur l’ensemble des processus) ?

SJF (hortest Job First).
 
Exercice 2:

Supposons que les processus suivants arrivent pour ĂȘtre exĂ©cutĂ©s aux moments indiquĂ©s. Chaque processus s’exĂ©cutera pendant la durĂ©e indiquĂ©e. Pour rĂ©pondre aux questions, utilisez un ordonnancement non prĂ©emptif et basez toutes vos dĂ©cisions sur les informations dont vous disposez.

+-----------------+-----------------+-----------------+
| ID du processus | Temps d'arrivée | Temps de rafale |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P1              | 0.0             | 8               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P2              | 0.4             | 4               |
+-----------------+-----------------+-----------------+
| P3              | 1.0             | 1               |
+-----------------+-----------------+-----------------+

A. Quel est le dĂ©lai d’exĂ©cution moyen (ou temps moyen de rotation) de ces processus avec l’algorithme d’ordonnancement FCFS ?

On sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus)

Temps moyen de rotation = 10.53 unités

B. Quel est le dĂ©lai d’exĂ©cution moyen (ou temps moyen de rotation) de ces processus avec l’algorithme d’ordonnancement SJF ?

On sait que:

Temps de rotation = Temps fin d’exĂ©cution – Temps d’arrivĂ©e

Temps moyen de rotation = (Temps de rotation total) / (Nombre total de processus)

Temps moyen de rotation = 9.53 unités

C. L’algorithme SJF est censĂ© amĂ©liorer les performances, mais remarquez que nous avons choisi d’exĂ©cuter le processus P1 au temps 0 parce que nous ne savions pas que deux processus plus courts arriveraient bientĂŽt. Calculez le dĂ©lai d’exĂ©cution moyen (ou temps moyen de rotation) si l’unitĂ© centrale est laissĂ©e inactive pendant la premiĂšre unitĂ©, puis si l’ordonnancement SJF est utilisĂ©. N’oubliez pas que les processus P1 et P2 sont en attente pendant cette pĂ©riode d’inactivitĂ©, et que leur temps d’attente peut donc augmenter.

Temps moyen de rotation = 6.86 unités
 
Exercice 3:

ConsidĂ©rons l’algorithme d’ordonnancement par prioritĂ© prĂ©emptive suivant, basĂ© sur des prioritĂ©s changeant dynamiquement. Les numĂ©ros de prioritĂ© les plus grands impliquent une prioritĂ© plus Ă©levĂ©e. Lorsqu’un processus est en attente de l’unitĂ© centrale (dans la file d’attente des processus prĂȘts mais non en cours d’exĂ©cution), sa prioritĂ© change Ă  un taux α ; lorsqu’il est en cours d’exĂ©cution, sa prioritĂ© change Ă  un taux ÎČ. Tous les processus reçoivent une prioritĂ© de 0 lorsqu’ils entrent dans la file d’attente. Les paramĂštres α et ÎČ peuvent ĂȘtre dĂ©finis de maniĂšre Ă  obtenir de nombreux algorithmes d’ordonnancement diffĂ©rents.

A. Quel est l’algorithme qui rĂ©sulte de ÎČ > α > 0 ?

B. Quel est l’algorithme qui rĂ©sulte de α < ÎČ < 0 ?

A. Quand ÎČ > α > 0

Dans ce cas, la prioritĂ© d’un processus en cours d’exĂ©cution augmente plus rapidement (ÎČ) que celle d’un processus en attente (α). Étant donnĂ© que les processus en cours d’exĂ©cution gagnent de la prioritĂ© plus rapidement, ils tendent Ă  prĂ©empter les processus en attente qui n’ont pas Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©s. Par consĂ©quent, cette configuration favorise les processus qui utilisent activement le CPU, leur permettant de continuer Ă  s’exĂ©cuter sans ĂȘtre interrompus tant qu’ils sont en cours d’exĂ©cution. Cela conduit Ă  un comportement similaire Ă  l’Ordonnancement Premier ArrivĂ©, Premier Servi (First-Come, First-Served – FCFS), car une fois qu’un processus commence Ă  s’exĂ©cuter, il est moins susceptible d’ĂȘtre prĂ©emptĂ© par d’autres en attente dans la file d’attente.

B. Quand α < ÎČ < 0

Dans ce scĂ©nario, les deux taux sont nĂ©gatifs, ce qui signifie qu’au fil du temps, les prioritĂ©s des processus en attente et en cours d’exĂ©cution diminuent. Cependant, comme ÎČ (le taux pour les processus en cours d’exĂ©cution) est moins nĂ©gatif que α (le taux pour les processus en attente), les processus en cours d’exĂ©cution perdent de la prioritĂ© plus lentement que ceux en attente. En consĂ©quence, les processus en cours d’exĂ©cution sont susceptibles de conserver leur prioritĂ© plus Ă©levĂ©e pendant un certain temps, tandis que les processus en attente diminueront leur prioritĂ© plus rapidement. Ce comportement ressemble Ă  un ordonnancement Dernier EntrĂ©, Premier Sorti (Last-In, First-Out – LIFO), car les processus les plus rĂ©cents en attente seront priorisĂ©s par rapport aux processus plus anciens, ce qui conduit Ă  une situation oĂč les processus ajoutĂ©s le plus rĂ©cemment sont plus susceptibles d’ĂȘtre programmĂ©s ensuite.

Résumé

  • A. ÎČ > α > 0 → FCFS
  • B. α < ÎČ < 0 → LIFO
 
Exercice 4:

Supposons qu’un algorithme d’ordonnancement (au niveau de l’ordonnancement CPU Ă  court terme) favorise les processus qui ont utilisĂ© le moins de temps processeur rĂ©cemment. Pourquoi cet algorithme favorise-t-il les programmes liĂ©s aux E/S tout en ne laissant pas les programmes liĂ©s aux CPU dans un Ă©tat de starvation permanent ?

L’algorithme d’ordonnancement qui favorise les processus ayant utilisĂ© le moins de temps processeur rĂ©cemment va privilĂ©gier les programmes liĂ©s aux E/S pour plusieurs raisons, tout en Ă©vitant de rendre les programmes liĂ©s aux CPU dĂ©finitivement affamĂ©s.

Favoriser les programmes liés aux E/S

  • Courtes pĂ©riodes d’utilisation du CPU: Les programmes liĂ©s aux E/S nĂ©cessitent gĂ©nĂ©ralement moins de temps CPU et passent plus de temps en attente d’opĂ©rations d’entrĂ©e/sortie. Ils ont donc des pĂ©riodes d’utilisation du CPU relativement courtes, ce qui les rend plus susceptibles d’avoir moins de temps CPU accumulĂ©.
  • Utilisation rĂ©cente du CPU: L’algorithme favorise les processus ayant utilisĂ© le moins de temps CPU rĂ©cemment. Comme les programmes liĂ©s aux E/S utilisent le CPU pendant des pĂ©riodes plus courtes, ils auront souvent une prioritĂ© plus Ă©levĂ©e dans la file d’attente des processus.

Prévention de la starvation des programmes liés aux CPU

  • Changement de contexte frĂ©quent: Les programmes liĂ©s aux E/S libĂšrent rĂ©guliĂšrement le CPU pour effectuer leurs opĂ©rations d’E/S. Cela crĂ©e des occasions pour le planificateur d’allouer du temps CPU aux processus liĂ©s aux CPU.
  • MĂ©canismes d’équitĂ©: La plupart des algorithmes d’ordonnancement modernes intĂšgrent des mĂ©canismes pour garantir que tous les processus, y compris ceux liĂ©s aux CPU, reçoivent du temps CPU. MĂȘme s’ils consomment plus de temps CPU, ils ne seront pas dĂ©finitivement affamĂ©s, car les programmes liĂ©s aux E/S cĂšdent souvent le CPU.

Conclusion

En rĂ©sumĂ©, cet algorithme d’ordonnancement favorise les programmes liĂ©s aux E/S en raison de leur utilisation courte du CPU tout en s’assurant que les programmes liĂ©s aux CPU continuent de recevoir du temps CPU pĂ©riodiquement, Ă©vitant ainsi la starvation.

 
Exercice 5:

Expliquez les diffĂ©rences dans le degrĂ© de discrimination des algorithmes d’ordonnancement suivants en faveur des processus courts :

A. FCFS
B. RR
C. Queues multiples à rétroaction (Multilevel Feedback Queues)

Voici une explication des diffĂ©rences dans le degrĂ© de discrimination des algorithmes d’ordonnancement en faveur des processus courts:

A. FCFS (First-Come, First-Served)

  • Discrimination: FCFS dĂ©savantage les jobs courts.
  • Raison: Les jobs courts qui arrivent aprĂšs des jobs longs doivent attendre que ces derniers soient terminĂ©s, ce qui entraĂźne des temps d’attente plus longs pour les jobs courts.

B. RR (Round Robin)

  • Discrimination: RR traite tous les jobs de maniĂšre Ă©gale.
  • Raison: Chaque travail reçoit des tranches de temps CPU Ă©gales. Cependant, les jobs courts peuvent quitter le systĂšme plus rapidement, car ils sont susceptibles de terminer leur exĂ©cution pendant leur premiĂšre ou deuxiĂšme tranche de temps, surtout s’ils arrivent tĂŽt dans le cycle.

C. Multilevel Feedback Queues

  • Discrimination: Les files d’attente Ă  rĂ©troaction multiple favorisent Ă©galement les jobs courts.
  • Raison: Cet algorithme fonctionne de maniĂšre similaire Ă  RR, mais il utilise plusieurs niveaux de prioritĂ©. Les jobs qui utilisent moins de temps CPU peuvent ĂȘtre dĂ©placĂ©s vers des niveaux de prioritĂ© plus Ă©levĂ©s, leur permettant d’obtenir plus de temps CPU et de terminer plus rapidement.

Résumé:

  • FCFS: DĂ©savantage les jobs courts.
  • RR: Traite tous les jobs Ă©galement, mais permet aux jobs courts de partir plus rapidement.
  • Multilevel Feedback Queues: Favorise activement les jobs courts en leur donnant une meilleure prioritĂ©.
 
Exercice 6:

Les questions suivantes se rĂ©fĂšrent Ă  l’ordonnanceur Round Robin basĂ© sur Java.

A. S’il y a actuellement un thread T1 dans la file d’attente de l’ordonnanceur avec une prioritĂ© de 4 et un autre thread T2 avec une prioritĂ© de 2, est-il possible pour le thread T2 de s’exĂ©cuter pendant le quantum de temps de T1 ? Expliquez.

B. Expliquez ce qui se passe si la mĂ©thode stop() du thread en cours d’exĂ©cution est invoquĂ©e pendant son quantum de temps.

C. Expliquez ce qui se passe si l’ordonnanceur sĂ©lectionne un thread Ă  exĂ©cuter dont la mĂ©thode suspend() a Ă©tĂ© invoquĂ©e.

A. Est-il possible que le thread T2 s’exĂ©cute pendant le quantum de temps de T1 ? Expliquez.

Oui, si le thread T1 se bloque pour une raison quelconque (comme une opĂ©ration d’E/S), la JVM programmera un autre thread. Dans ce cas, ce serait le thread T2.

B. Que se passe-t-il si le thread actuellement en cours d’exĂ©cution a sa mĂ©thode stop() invoquĂ©e pendant son quantum de temps ?

Le reste de son quantum de temps sera partagĂ© par tous les autres threads dans la file d’attente en utilisant l’algorithme d’ordonnancement par dĂ©faut de la JVM.

C. Que se passe-t-il si le planificateur sélectionne un thread à exécuter qui a eu sa méthode suspend() invoquée ?

Le reste de son quantum de temps sera Ă©galement partagĂ© par tous les autres threads dans la file d’attente en utilisant l’algorithme d’ordonnancement par dĂ©faut de la JVM.

 
Exercice 7:

Le planificateur UNIX traditionnel impose une relation inverse entre les numéros de priorité et les priorités : plus le numéro est élevé, plus la priorité est faible. Le planificateur recalcule les priorités des processus une fois par seconde en utilisant la fonction suivante :

Priorité = (utilisation récente du CPU / 2) + base

oĂč base = 60 et l’utilisation rĂ©cente du CPU fait rĂ©fĂ©rence Ă  une valeur indiquant Ă  quelle frĂ©quence un processus a utilisĂ© le CPU depuis que les prioritĂ©s ont Ă©tĂ© recalculĂ©es. Supposons que l’utilisation rĂ©cente du CPU pour le processus P1 est de 40, pour le processus P2 est de 18, et pour le processus P3 est de 10.

A. Quelles seront les nouvelles priorités pour ces trois processus lorsque les priorités seront recalculées ?

B. Sur la base de ces informations, le planificateur UNIX traditionnel augmente-t-il ou abaisse-t-il la prioritĂ© relative d’un processus liĂ©s aux CPU ?

RĂ©ponse:
A. Les priorités assignées aux processus sont respectivement 80, 69 et 65.
B. Le planificateur abaisse la priorité relative des processus liés aux CPU.

Explication:
 
Calcul des Priorités:

 
Interprétation des Résultats:

Les valeurs des priorités calculées (80, 69, 65) signifient que P1 a la priorité la plus faible (80) et P3 la plus élevée (65).

Dans le contexte du planificateur UNIX, un numéro de priorité plus élevé indique une priorité plus faible. Ainsi, P1, qui est probablement un processus liés aux CPU avec une utilisation élevée, a une priorité plus basse.

Conclusion:

Le planificateur UNIX traditionnel abaisse donc la priorité relative des processus liés aux CPU, car une utilisation intensive du CPU (comme pour P1) conduit à une augmentation du numéro de priorité (donc une diminution de la priorité). Cela encourage le systÚme à donner plus de temps à des processus moins gourmands en CPU.

 

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Exercice CorrigĂ© SystĂšme d’Exploitation Linux – Partie 1

Les exercices pratiques sur les systĂšmes d’exploitation comportent des exercices thĂ©oriques et pratiques. Pour rĂ©soudre les exercices pratiques, vous avez besoin d’un shell UNIX. Un shell trĂšs populaire est Bash. Le terminal Apple Mac OS X est suffisant pour la plupart des exercices pratiques. L’invite de commande Windows et Windows PowerShell ne sont pas suffisants pour les exercices.

Pour vous prĂ©parer, l’idĂ©al est d’installer sur votre systĂšme le systĂšme d’exploitation Linux. Une installation dans une machine virtuelle est suffisante. Les distributions faciles Ă  utiliser sont, par exemple, Debian, Ubuntu et CentOS. VirtualBox est une solution de virtualisation gratuite.

Vous pouvez Ă©galement travailler avec un systĂšme vivant sur CD, DVD ou lecteur de mĂ©moire flash USB. Dans ce cas, aucune installation locale n’est nĂ©cessaire.

 
 

Exercice 1: Traitement par lots

1.1) DĂ©crivez l’objectif du traitement par lots.

Dans un systĂšme d’exploitation, le traitement par lots vise Ă  maximiser l’utilisation de l’unitĂ© centrale (CPU) en:

  • ExĂ©cutant des tĂąches en parallĂšle pour Ă©viter les temps d’inactivitĂ©.
  • Organisant les tĂąches dans des files d’attente pour une exĂ©cution optimisĂ©e.
  • Allocant dynamiquement les ressources selon les besoins des tĂąches.
  • Minimisant les changements de contexte pour rĂ©duire les interruptions.

Cela permet Ă  l’UC de rester occupĂ©e et d’amĂ©liorer l’efficacitĂ© globale.

1.2) DĂ©crivez pourquoi le traitement par lots provoque un eïŹ€et d’accĂ©lĂ©ration lorsque plusieurs tĂąches sont exĂ©cutĂ©es.

Le traitement par lots provoque un effet d’accĂ©lĂ©ration en:

  • RĂ©duisant les frais gĂ©nĂ©raux grĂące Ă  moins de transitions entre les tĂąches.
  • Optimisant les ressources par le partage de mĂ©moire entre tĂąches similaires.
  • Planifiant intelligemment pour maximiser l’utilisation du CPU.
  • Minimisant les temps d’inactivitĂ©, gardant le CPU active.
  • AmĂ©liorant l’efficacitĂ© du cache en traitant des donnĂ©es similaires ensemble.

Ces éléments contribuent à une exécution plus rapide des tùches.

1.3) Nommez les conditions prĂ©alables qui doivent ĂȘtre remplies pour le traitement par lots avant que l’exĂ©cution d’une tĂąche ne puisse commencer.

Pour que le traitement par lots commence, chaque programme doit ĂȘtre fourni complĂštement, incluant toutes les donnĂ©es d’entrĂ©e nĂ©cessaires. Cela garantit que toutes les informations requises sont disponibles pour une exĂ©cution fluide et efficace des tĂąches.

1.4) Citez des tùches pour lesquelles le traitement par lots est bien adapté.

Le traitement par lots est bien adaptĂ© Ă  l’exĂ©cution de tĂąches routiniĂšres, car il permet de gĂ©rer efficacement des opĂ©rations rĂ©pĂ©titives et prĂ©visibles, optimisant ainsi le temps et les ressources nĂ©cessaires. Exemple:

  • Sauvegarde de donnĂ©es: CrĂ©ation de sauvegardes rĂ©guliĂšres de systĂšmes ou de bases de donnĂ©es.
  • Traitement de donnĂ©es massives: Analyse de grandes quantitĂ©s de donnĂ©es, comme dans le big data.
  • Mise Ă  jour de bases de donnĂ©es: ExĂ©cution de mises Ă  jour rĂ©guliĂšres sur des ensembles de donnĂ©es.

1.5) Le traitement par lots est toujours ____________

A interactif

B non interactif

B
Le traitement par lots est gĂ©nĂ©ralement non interactif, ce qui signifie que les tĂąches sont exĂ©cutĂ©es sans intervention de l’utilisateur pendant le processus. Cela permet d’automatiser des opĂ©rations rĂ©pĂ©titives et de traiter des volumes importants de donnĂ©es sans nĂ©cessiter d’interaction en temps rĂ©el.

 

1.6) Citez une application du mode batch, qui est encore populaire aujourd’hui.

une application populaire du mode batch est l’utilisation de fichiers batch et de shell scripts pour automatiser des tĂąches dans les systĂšmes d’exploitation. Ces scripts permettent d’exĂ©cuter des commandes ou des programmes en sĂ©rie, facilitant ainsi la gestion des tĂąches rĂ©pĂ©titives, comme la sauvegarde de fichiers, la mise Ă  jour de logiciels ou le dĂ©ploiement d’applications.

1.7) DĂ©crire ce qu’est le spooling.

Le spooling (Simultaneous Peripheral Operations On-Line) est un processus qui gĂšre les opĂ©rations d’entrĂ©e/sortie en les dĂ©chargeant dans des fichiers temporaires ou des files d’attente. Cela permet au processeur de continuer Ă  travailler sur d’autres tĂąches sans attendre la fin de l’opĂ©ration I/O, optimisant ainsi l’utilisation des ressources. Un exemple courant est l’impression, oĂč les documents sont d’abord mis en file d’attente avant d’ĂȘtre imprimĂ©s.

 
Exercice 2: Temps partagé

2.1) DĂ©crire l’objectif du partage du temps (time sharing) dans les systĂšmes d’exploitation.

L’objectif du partage du temps dans les systĂšmes d’exploitation est de permettre Ă  plusieurs utilisateurs ou tĂąches de partager efficacement les ressources d’un ordinateur, en donnant Ă  chacun un accĂšs Ă©quitable et interactif au processeur.

2.2) Décrire comment le partage du temps répartit le temps de calcul entre les processus.

Le partage du temps répartit le temps de calcul entre les processus en utilisant plusieurs techniques:

  • Tranches de temps: Chaque processus se voit attribuer une pĂ©riode fixe, appelĂ©e tranche de temps, durant laquelle il peut s’exĂ©cuter. Une fois la tranche Ă©coulĂ©e, le systĂšme d’exploitation suspend le processus et passe au suivant.
  • Planification des processus: Un algorithme de planification dĂ©termine l’ordre d’exĂ©cution des processus, souvent en fonction de critĂšres tels que la prioritĂ© ou le temps d’attente.
  • Changement de contexte: Lorsque le systĂšme d’exploitation passe d’un processus Ă  un autre, il effectue un changement de contexte, sauvegardant l’état du processus en cours et chargeant l’état du prochain processus Ă  exĂ©cuter.
  • ÉquitĂ©: Les processus sont gĂ©nĂ©ralement traitĂ©s de maniĂšre Ă©quitable, permettant Ă  chacun d’accĂ©der au processeur sans ĂȘtre bloquĂ© indĂ©finiment.

GrĂące Ă  ces mĂ©canismes, le partage du temps permet une utilisation efficace du processeur et garantit que plusieurs processus peuvent s’exĂ©cuter de maniĂšre fluide et simultanĂ©e.

2.3) Donnez le nom du programme quasi-parallĂšle ou de l’exĂ©cution du processus.

MultitĂąche ou Multitasking. Cela dĂ©signe la capacitĂ© d’un systĂšme d’exploitation Ă  exĂ©cuter plusieurs processus simultanĂ©ment ou Ă  les faire passer rapidement d’un Ă©tat Ă  un autre, donnant l’illusion d’une exĂ©cution quasi-parallĂšle.

2.4) DĂ©crire l’objectif de l’exĂ©cution du programme ou du processus quasi-parallĂšle.

L’objectif de l’exĂ©cution quasi-parallĂšle (multitĂąche) est de maximiser l’utilisation des ressources systĂšme, amĂ©liorer la rĂ©activitĂ© et l’efficacitĂ©, et permettre aux utilisateurs d’interagir avec plusieurs applications simultanĂ©ment sans dĂ©lai. Cela facilite Ă©galement la gestion de tĂąches de fond sans interrompre les activitĂ©s en cours.

2.5) DĂ©crire ce qu’est l’ordonnancement (scheduling).

L’ordonnancement (scheduling) est le processus par lequel un systĂšme d’exploitation dĂ©termine l’ordre et la durĂ©e d’exĂ©cution des processus sur le processeur. Il optimise l’utilisation des ressources, gĂšre les prioritĂ©s, utilise diffĂ©rents algorithmes (comme FIFO et Round Robin) et vise Ă  assurer Ă©quitĂ© et rĂ©activitĂ© pour les tĂąches.

2.6) DĂ©crire ce qu’est le swapping.

Le swapping est un processus dans les systĂšmes d’exploitation oĂč des segments de mĂ©moire (processus ou pages) sont temporairement dĂ©placĂ©s entre la mĂ©moire principale et le stockage secondaire (comme un disque) pour libĂ©rer de l’espace mĂ©moire. Cela permet de gĂ©rer efficacement la mĂ©moire en exĂ©cutant plus de processus que ce que la RAM peut contenir simultanĂ©ment. Le swapping aide Ă  maintenir les performances du systĂšme lorsque la mĂ©moire est saturĂ©e.

2.7) Décrire comment fonctionne la protection de la mémoire.

La protection de la mĂ©moire empĂȘche les processus d’accĂ©der Ă  la mĂ©moire des autres ou du systĂšme d’exploitation. Elle fonctionne par:

  • Segmentation et pagination: Division de la mĂ©moire en segments ou pages pour chaque processus.
  • Table des pages: Mapping des adresses virtuelles aux adresses physiques.
  • Registres de protection: DĂ©finition des limites d’accĂšs en mĂ©moire pour chaque processus.
  • Gestion des exceptions: DĂ©clenchement d’une erreur si un accĂšs non autorisĂ© est tentĂ©.
  • Isolation des processus: Chaque processus fonctionne dans son propre espace mĂ©moire.

Cela assure la sécurité et la stabilité du systÚme.

2.8) Décrire le but de la protection de la mémoire.

Le but de la protection de la mĂ©moire est de garantir la sĂ©curitĂ© et la stabilitĂ© du systĂšme en empĂȘchant les processus d’accĂ©der Ă  la mĂ©moire d’autres processus ou du systĂšme d’exploitation. Cela protĂšge contre les erreurs et les comportements malveillants, assurant l’intĂ©gritĂ© des donnĂ©es et l’isolation des processus.

 
Exercice 3: Fichiers et répertoires

3.1) Créez un répertoire MyRep dans votre répertoire personnel.

$ mkdir ~/MyRep

La commande mkdir (make directory) est utilisĂ©e dans les systĂšmes d’exploitation de type Unix/Linux et Windows pour crĂ©er un nouveau rĂ©pertoire (dossier).

3.2) Naviguez jusqu’au rĂ©pertoire MyRep et crĂ©ez Ă  l’intĂ©rieur un fichier vide portant le nom File1.txt. N’utilisez pas d’éditeur pour crĂ©er le fichier, mais une ligne de commande.

$ cd ~/MyRep && touch File1.txt
  • cd ~/MyRep: Change le rĂ©pertoire courant vers « MyRep Â» dans le rĂ©pertoire personnel.
  • &&: ExĂ©cute la prochaine commande seulement si la premiĂšre rĂ©ussit.
  • touch File1.txt: CrĂ©e un fichier vide nommĂ© « File1.txt Â» dans « MyRep Â».

Si « MyRep Â» n’existe pas, le fichier ne sera pas crĂ©Ă©.

3.3) VĂ©rifiez la taille du fichier File1.txt.

$ ls -lh File1.txt
  • ls: Commande de base pour lister le contenu d’un rĂ©pertoire.
  • -l: Affiche les dĂ©tails en format long (permissions, propriĂ©taire, taille, date de modification, etc.).
  • -h: Rend la taille des fichiers lisible par l’homme (par exemple, 1K, 234M, 2G).

3.4) Modifiez l’heure de modiïŹcation du fichier File1.txt pour qu’elle corresponde Ă  votre date de naissance.

$ touch -t XXXXYYZZAABB File1.txt
  • XXXX spĂ©cifie l’annĂ©e.
  • YY spĂ©cifie le mois.
  • ZZ spĂ©cifie le jour du mois.
  • AA spĂ©cifie l’heure.
  • BB spĂ©cifie les minutes.

3.5) CrĂ©ez un nouveau fichier dans l’interprĂ©teur de commandes File2.txt et insĂ©rez dans le nouveau fichier un texte dont le contenu ne se limite pas Ă  une seule ligne. N’utilisez pas d’éditeur pour insĂ©rer le texte dans le fichier, mais une ligne de commande.

$ echo -e "Ligne1\nLigne2" > File2.txt
  • echo -e: Affiche une chaĂźne de texte et active l’interprĂ©tation des caractĂšres spĂ©ciaux grĂące Ă  -e.
  • \n: ReprĂ©sente un saut de ligne.
  • "Ligne1\nLigne2": La chaĂźne affichĂ©e contiendra « Ligne1 Â» sur une ligne et « Ligne2 Â» sur la ligne suivante.
  • >: Redirige la sortie de la commande vers un fichier.
  • File2.txt: Nom du fichier oĂč le texte sera enregistrĂ©. Si le fichier existe, il sera Ă©crasĂ©.

3.6) Affichez la premiĂšre ligne du fichier File2.txt dans l’interprĂ©teur de commandes.

$ head -n 1 File2.txt
  • head: Affiche les premiĂšres lignes d’un fichier.
  • -n 1: SpĂ©cifie que l’on veut afficher seulement la premiĂšre ligne.
  • File2.txt: Nom du fichier dont on souhaite afficher le contenu.

3.7) Ajoutez le contenu de File2.txt Ă  File1.txt. N’utilisez pas d’éditeur, mais une commande en ligne.

$ cat File2.txt >> File1.txt
  • cat File2.txt: Lit et affiche le contenu du fichier « File2.txt Â».
  • >>: Redirige la sortie vers un fichier, en ajoutant le contenu Ă  la fin de celui-ci, sans Ă©craser son contenu existant.
  • File1.txt: Nom du fichier cible oĂč le contenu sera ajoutĂ©.

3.8) Créez dans votre répertoire personnel un répertoire portant le nom cours_university.

$ mkdir ~/cours_university

La commande mkdir (make directory) est utilisĂ©e dans les systĂšmes d’exploitation de type Unix/Linux et Windows pour crĂ©er un nouveau rĂ©pertoire (dossier).

3.9) Copiez les fichiers File1.txt et File2.txt du répertoire MyRep dans le répertoire cours_university.

$ cp ~/MyRep/* ~/cours_university
  • cp: Commande utilisĂ©e pour copier des fichiers ou des rĂ©pertoires.
  • ~/MyRep/*: SĂ©lectionne tous les fichiers et rĂ©pertoires dans le rĂ©pertoire « MyRep Â» situĂ© dans le rĂ©pertoire personnel de l’utilisateur.
  • ~/cours_university: Destination oĂč les fichiers seront copiĂ©s, qui est le rĂ©pertoire « cours_university Â» dans le rĂ©pertoire personnel.

3.10) Effacer le répertoire MyRep.

$ rm -rf ~/MyRep
  • rm: Commande utilisĂ©e pour supprimer des fichiers ou des rĂ©pertoires.
  • -r: Indique une suppression rĂ©cursive, permettant de supprimer des rĂ©pertoires et leur contenu (fichiers et sous-rĂ©pertoires).
  • -f: Force la suppression sans demander de confirmation, mĂȘme si le fichier ou le rĂ©pertoire est protĂ©gĂ© en Ă©criture.
  • ~/MyRep: Chemin vers le rĂ©pertoire « MyRep Â» situĂ© dans le rĂ©pertoire personnel de l’utilisateur.
 

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Exercice CorrigĂ© SystĂšme d’Exploitation Linux – Partie 2

Les exercices pratiques sur les systĂšmes d’exploitation comportent des exercices thĂ©oriques et pratiques. Pour rĂ©soudre les exercices pratiques, vous avez besoin d’un shell UNIX. Un shell trĂšs populaire est Bash. Le terminal Apple Mac OS X est suffisant pour la plupart des exercices pratiques. L’invite de commande Windows et Windows PowerShell ne sont pas suffisants pour les exercices.

Pour vous prĂ©parer, l’idĂ©al est d’installer sur votre systĂšme le systĂšme d’exploitation Linux. Une installation dans une machine virtuelle est suffisante. Les distributions faciles Ă  utiliser sont, par exemple, Debian, Ubuntu et CentOS. VirtualBox est une solution de virtualisation gratuite.

Vous pouvez Ă©galement travailler avec un systĂšme vivant sur CD, DVD ou lecteur de mĂ©moire flash USB. Dans ce cas, aucune installation locale n’est nĂ©cessaire.

 
 

Exercice 1: ClassiïŹcations des systĂšmes d’exploitation

1.1) À chaque instant, un seul programme peut ĂȘtre exĂ©cutĂ©. Quel est le terme technique pour ce mode de fonctionnement ?

Le terme technique pour ce mode de fonctionnement est « singletasking« . Cela signifie qu’à chaque instant, un seul programme peut ĂȘtre exĂ©cutĂ©, contrairement au multitĂąche oĂč plusieurs programmes peuvent fonctionner simultanĂ©ment.

1.2) Quelle est la diffĂ©rence entre les systĂšmes d’exploitation 8 bits, 16 bits, 32 bits et 64 bits ?

Le numĂ©ro du bit indique la longueur de l’adresse mĂ©moire avec laquelle le systĂšme d’exploitation fonctionne en interne. La diffĂ©rence entre les systĂšmes d’exploitation 8 bits, 16 bits, 32 bits et 64 bits se rĂ©sume ainsi:

  • 8 bits: Peut adresser jusqu’à 256 octets. TrĂšs ancien (ex.: certains ordinateurs personnels).
  • 16 bits: Peut adresser jusqu’à 65 536 octets (64 Ko). Ex.: MS-DOS.
  • 32 bits: Peut adresser jusqu’à 4 Go de RAM. Ex.: Windows XP, certaines versions de Linux.
  • 64 bits: Peut adresser jusqu’à 16 exaoctets de RAM. Ex.: Windows 10, macOS modernes.

Plus le nombre de bits est élevé, plus le systÚme peut traiter de données et gérer de mémoire.

1.3) Quels sont les critĂšres essentiels des systĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el ?

Dans les systĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el, le temps de rĂ©ponse (ou latence courte) et le respect des dĂ©lais sont cruciaux. Cela signifie que le systĂšme doit:

  • RĂ©agir rapidement aux Ă©vĂ©nements, minimisant le temps entre la dĂ©tection d’un Ă©vĂ©nement et la rĂ©ponse.
  • Respecter les dĂ©lais fixĂ©s pour chaque tĂąche, garantissant que les opĂ©rations critiques soient exĂ©cutĂ©es dans un temps prĂ©dĂ©fini.

Ces caractĂ©ristiques sont essentielles pour garantir le bon fonctionnement d’applications oĂč la temporisation est vitale, comme dans les systĂšmes de contrĂŽle industriels ou les applications mĂ©dicales.

1.4) Citez les deux types de systĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el.

Les deux types de systĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el sont:

  • SystĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el dur: Ces systĂšmes garantissent que les dĂ©lais sont strictement respectĂ©s. Toute tĂąche doit ĂȘtre terminĂ©e dans un dĂ©lai prĂ©dĂ©fini, sinon le systĂšme peut Ă©chouer. Ils sont utilisĂ©s dans des applications critiques, comme le contrĂŽle de processus industriels ou les systĂšmes embarquĂ©s.
  • SystĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el souple: Ces systĂšmes offrent une certaine flexibilitĂ© dans le respect des dĂ©lais. Bien que le temps de rĂ©ponse soit important, un lĂ©ger dĂ©passement des dĂ©lais n’entraĂźne pas nĂ©cessairement une dĂ©faillance. Ils sont souvent utilisĂ©s dans des applications moins critiques, comme le traitement multimĂ©dia.

Ces distinctions permettent de choisir le type de systùme en fonction des exigences de l’application.

1.5) Citez quatre domaines d’application typiques des systĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el et classez chaque domaine d’application dans l’une des catĂ©gories de la rĂ©ponse ci-dessus.

Voici quatre domaines d’application typiques des systĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el, classĂ©s en fonction des catĂ©gories mentionnĂ©es:

1. SystĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el dur:

  • ContrĂŽle industriel: UtilisĂ© dans les systĂšmes de contrĂŽle de processus, comme les usines automatisĂ©es.
  • AĂ©rospatial: SystĂšmes de contrĂŽle de vol dans les avions ou les satellites, oĂč la sĂ©curitĂ© est critique.

2. SystĂšmes d’exploitation en temps rĂ©el souple:

  • Traitement multimĂ©dia: Applications de vidĂ©o et de son en temps rĂ©el, comme la diffusion en direct.
  • Jeux vidĂ©o: SystĂšmes de jeu interactifs qui nĂ©cessitent des rĂ©ponses rapides mais peuvent tolĂ©rer de lĂ©gers dĂ©lais.

Ces domaines illustrent comment les systÚmes en temps réel sont adaptés à des besoins spécifiques en fonction de la criticité des délais.

1.6) DĂ©crire la structure d’un nano-noyau (ou nanokernel).

Un nano-noyau (ou nanokernel) a une structure minimale et modulaire:

  • Noyau minimal: Contient uniquement les fonctions essentielles (gestion de la mĂ©moire, des interruptions).
  • ModularitĂ©: Les services supplĂ©mentaires (systĂšmes de fichiers, gestion des pĂ©riphĂ©riques) sont implĂ©mentĂ©s en tant que modules externes.
  • Communication inter-processus (IPC): Utilise des mĂ©canismes d’IPC pour permettre la communication entre modules et applications.
  • Gestion des ressources: Alloue et libĂšre les ressources de maniĂšre sĂ©curisĂ©e.

1.7) DĂ©crire la structure d’un noyau monolithique.

Un noyau monolithique est un type de noyau d’un systĂšme d’exploitation oĂč toutes les fonctionnalitĂ©s essentielles sont intĂ©grĂ©es dans un seul binaire. Un noyau monolithique a la structure suivante:

  • Code unique: Tout le code (gestion de la mĂ©moire, des processus, des pĂ©riphĂ©riques) est intĂ©grĂ© dans un seul binaire.
  • AccĂšs direct: Modules peuvent accĂ©der directement aux ressources matĂ©rielles, offrant de bonnes performances.
  • Gestion des processus et de la mĂ©moire: Inclut des fonctions pour la planification, la synchronisation et la gestion de la mĂ©moire.
  • Pilotes inclus: Les pilotes de pĂ©riphĂ©riques sont souvent intĂ©grĂ©s, augmentant la taille du noyau.

1.8) DĂ©crire la structure d’un micro-noyau.

Un micro-noyau a une structure minimaliste et modulaire:

  • FonctionnalitĂ©s essentielles: Ne contient que la gestion de la mĂ©moire, des processus et la communication inter-processus (IPC).
  • ModularitĂ©: Services supplĂ©mentaires (systĂšmes de fichiers, pilotes) fonctionnent en espace utilisateur.
  • IPC: Utilise des mĂ©canismes efficaces pour Ă©changer des messages entre le micro-noyau et les services externes.

1.9) DĂ©crire la structure d’un noyau hybride.

Un noyau hybride combine des éléments des noyaux monolithiques et des micro-noyaux. Voici ses principales caractéristiques:

  • Architecture mixte: IntĂšgre des fonctionnalitĂ©s essentielles dans le noyau (comme la gestion de la mĂ©moire et des processus), tout en permettant des modules externes pour d’autres services (comme les pilotes).
  • FlexibilitĂ©: Les composants critiques fonctionnent dans le noyau pour de meilleures performances, tandis que les services moins critiques peuvent ĂȘtre exĂ©cutĂ©s en espace utilisateur.
  • Communication: Utilise des mĂ©canismes d’IPC, mais peut Ă©galement permettre des appels directs pour les composants noyau.

1.10) Linux implémente un _______________.

A noyau monolithique

B micro-noyau

C noyau hybride

A

Linux implémente un noyau monolithique:

  • IntĂ©gration: Toutes les fonctions essentielles (gestion des processus, mĂ©moire, pilotes) sont dans un seul binaire.
  • AccĂšs direct: Les modules du noyau accĂšdent directement au matĂ©riel, offrant de bonnes performances.
  • ModularitĂ©: Permet le chargement dynamique de modules pour une certaine flexibilitĂ©.

 

1.11) MacOS X implémente un _______________.

A noyau monolithique

B micro-noyau

C noyau hybride

C

MacOS X implémente un noyau hybride, appelé XNU (X is Not Unix). Voici ses principales caractéristiques:

  • Architecture mixte: Combine des Ă©lĂ©ments d’un noyau monolithique et d’un micro-noyau, intĂ©grant des fonctionnalitĂ©s essentielles tout en permettant des modules externes.
  • Micro-noyau Mach: Utilise le micro-noyau Mach pour la gestion des processus et de la mĂ©moire, tandis que les services comme les pilotes de pĂ©riphĂ©riques sont intĂ©grĂ©s dans le noyau.
  • Performances optimisĂ©es: Les composants critiques fonctionnent dans le noyau pour des performances Ă©levĂ©es, tandis que d’autres services peuvent s’exĂ©cuter en espace utilisateur.

 

1.12) Windows NT4/Vista/XP/7/8/10 implémente un _______________.

A noyau monolithique

B micro-noyau

C noyau hybride

C

Les systĂšmes d’exploitation Windows NT (y compris NT4, XP, Vista, 7, 8 et 10) implĂ©mentent un noyau hybride. Voici ses principales caractĂ©ristiques:

  • Architecture mixte: Combine des Ă©lĂ©ments d’un noyau monolithique et d’un micro-noyau, intĂ©grant des fonctionnalitĂ©s essentielles tout en permettant l’exĂ©cution de certains services en espace utilisateur.
  • Noyau NT: Le noyau NT gĂšre les processus, la mĂ©moire, et les pilotes, tout en utilisant des modules pour des fonctionnalitĂ©s supplĂ©mentaires.
  • Performances et modularitĂ©: Les composants critiques fonctionnent dans le noyau pour des performances optimales, tandis que d’autres services peuvent ĂȘtre modulaires et s’exĂ©cuter en espace utilisateur.

 

1.13) Citez un avantage et un inconvénient des noyaux monolithiques.

Avantages:
  • Moins de changements de contexte ⇒ meilleures performances
  • StabilitĂ© accrue

Inconvénients:

  • Les composants bloquĂ©s ne peuvent pas ĂȘtre dĂ©marrĂ©s sĂ©parĂ©ment dans le noyau et peuvent entraĂźner le blocage de l’ensemble du systĂšme.
  • Les extensions du noyau entraĂźnent un eïŹ€ort de dĂ©veloppement important, car pour chaque compilation de l’extension, le noyau complet doit ĂȘtre recompilĂ©.

1.14) Citez un avantage et un inconvénient des micro-noyaux.

Avantages:
  • Les composants peuvent ĂȘtre Ă©changĂ©s facilement
  • Meilleure stabilitĂ© et sĂ©curitĂ© en thĂ©orie, car moins de fonctions s’exĂ©cutent en mode noyau.

Inconvénients:

  • Ralentissement en raison d’un plus grand nombre de changements de contexte
  • Le dĂ©veloppement d’un nouveau (micro)noyau est une tĂąche complexe.

1.15) Citez un avantage et un inconvénient des noyaux hybrides.

Avantages:
  • Meilleures performances qu’avec les micro-noyaux (parce qu’il y a moins de changements de contexte)
  • La stabilitĂ© est (thĂ©oriquement) meilleure qu’avec les noyaux monolithiques.

Inconvénients:

  • Le dĂ©veloppement d’un nouveau noyau (hybride) est une tĂąche complexe.
 
Exercice 2: Commandes de base de Linux/UNIX

2.1) Quelle commande permet de consulter les pages de manuel ?

man

2.2) Quelle commande permet d’afficher le rĂ©pertoire de travail actuel dans l’interprĂ©teur de commandes ?

pwd

2.3) Quelle commande permet de créer un nouveau répertoire ?

mkdir

2.4) Quelle commande permet de naviguer vers un répertoire ?

cd

2.5) Quelle commande permet d’afficher le contenu d’un rĂ©pertoire dans l’interprĂ©teur de commandes ?

ls

2.6) Quelle commande permet de créer un fichier vide ?

touch

2.7) Quelle commande permet de dĂ©terminer le contenu d’un fichier ?

file

2.8) Quelle commande permet de concatĂ©ner le contenu de fichiers avec d’autres fichiers et peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© pour afficher le contenu d’un fichier ?

cat

2.9) Quelle commande permet d’afficher des lignes Ă  partir de la fin d’un fichier dans l’interprĂ©teur de commandes ?

tail

2.10) Quelle commande permet d’afficher les lignes du dĂ©but d’un fichier dans l’interprĂ©teur de commandes ?

head

2.11) Quelle commande permet de copier des fichiers ou des répertoires à un autre endroit ?

cp

2.12) Quelle commande permet de déplacer des fichiers ou des répertoires vers un autre emplacement ?

mv

2.13) Quelle commande permet de supprimer des fichiers ou des répertoires ?

rm

2.14) Quelle commande permet de supprimer un répertoire vide ?

rmdir

2.15) Quelle commande permet d’introduire une chaüne dans le shell?

echo

2.16) Quelle commande permet de modifier les permissions du fichier ou du répertoire ?

chmod

2.17) Quelle commande permet de changer le mot de passe d’un utilisateur ?

passwd

2.18) Quelle commande permet de mettre fin Ă  une session (et donc au shell) et permet de spĂ©cifier la valeur de retour d’un script shell ?

exit

2.19) Quelle commande permet de redémarrer le systÚme ?

reboot OU shutdown -r now

2.20) Quelle commande permet d’arrĂȘter le systĂšme ?

halt OU shutdown

2.21) Quelle commande permet de créer un nouvel utilisateur ?

adduser

2.22) Quelle commande permet de supprimer un utilisateur ?

deluser

2.23) Quelle commande permet de modifier un utilisateur ?

usermod

2.24) Quelle commande permet d’afficher l’appartenance d’un utilisateur à un groupe ?

groups

2.25) Quelle commande permet de créer un nouveau groupe ?

groupadd

2.26) Quelle commande permet de supprimer un groupe ?

groupdel

2.27) Quelle commande permet de modifier un groupe ?

groupmod

2.28) Quelle commande permet de changer l’utilisateur (ownership) associĂ© Ă  un fichier ou Ă  un rĂ©pertoire ?

chown

2.29) Quelle commande permet de changer le groupe associé à un fichier ou à un répertoire ?

chgrp

2.30) Quelle commande permet de créer un lien ?

ln

2.31) Quelle commande permet de rechercher dans un fichier les lignes qui contiennent un motif de recherche ?

grep

2.32) Quelle commande permet d’afficher la liste des processus en cours dans l’interprĂ©teur de commandes ?

ps

2.33) Quelle commande permet de faire passer au premier-plan(foreground) un processus qui s’exĂ©cute dans l’arriĂšre-plan(backgrund) de l’interprĂ©teur de commandes ?

fg

2.34) Quelle commande permet de faire passer un processus en arriĂšre-plan de l’interprĂ©teur de commandes ?

bg

2.35) Quelle commande permet de tuer (terminer) un processus ?

kill

2.36) Quelle commande permet de tuer (terminer) un groupe de processus ?

killall

2.37) Quelle commande permet de spĂ©cifier la prioritĂ© d’un nouveau processus ?

nice

2.38) Quelle commande permet de modifier la prioritĂ© d’un processus existant ?

renice

2.39) Quelle commande permet d’afficher l’arbre des processus dans l’interprĂ©teur de commandes ?

pstree
 

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