Budget : c’est money time !
Fini les procrastinations, le nouveau gouvernement est entré dans la dernière ligne droite de préparation du budget 2025 et il doit désormais conclure.
Fini les procrastinations, le nouveau gouvernement est entré dans la dernière ligne droite de préparation du budget 2025 et il doit désormais conclure.
Le journaliste David de Jong livre une enquête édifiante sur l’empire Kuehne+Nagel qui a bâti sa fortune sur l’aide logistique apportée à la Wehrmacht et le transport des biens volés aux Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.
[Présidentielle américaine 2024] Le pays que Kamala Harris ou Donald Trump présidera dans quelques mois n’est pas près d’abdiquer son rang, ni son magistère productif, financier, technologique et militaire sur le monde.
Selon le philosophe Michel Feher, la séduction du discours lepéniste s’explique par son « producérisme », qui oppose non le travail au capital, mais ceux qui travaillent à ceux qui profitent – privilégiés ou « assistés ».
Dans un nouveau rapport, l’ONG Oxfam propose un ensemble de réformes pour que les très riches paient une part plus juste d’impôts sur les successions.
Le rapport Draghi sur « Le futur de la compétitivité européenne » a de quoi donner le cafard. Parce qu’il porte un diagnostic sans concession sur l’état actuel du déclin de l’Europe.
[10 questions pour comprendre le budget] Malgré le dérapage récent des comptes publics, il n’y a pas (encore) le feu au lac. Pour ne pas tuer l’activité économique, le redressement des comptes devra être progressif.
Une étude montre que le choc économique produit par la fermeture massive des mines de charbon au Royaume-Uni a eu des effets de long terme sur la santé et le destin social des personnes concernées et de leurs enfants.
Apple doit 13 milliards d’impôts non payés au fisc irlandais. Un coup de semonce pour Dublin, qui lui avait accordé cette aide d’Etat illégale, et pour les multinationales qui recourent encore aux paradis fiscaux.
« La situation politique reste un facteur important d’incertitude », écrit l’Insee dans sa dernière note de conjoncture parue le 9 septembre.
La crise du Covid et la guerre en Ukraine n’expliquent pas à elles seules le dérapage des finances publiques. Les choix fiscaux du président et de son ministre de l’Economie pèsent lourdement dans la balance.
Le nouveau Premier ministre Michel Barnier prônait en 2021 des mesures drastiques sur le travail, les retraites et l'immigration. De quoi le rendre compatible avec Emmanuel Macron et Marine Le Pen.
Positivons ! Pendant que le président de la République s’englue dans ses petits calculs politiciens, le débat économique prend doucement une autre tournure et s’éloigne des dogmes imposés depuis 2017. La page Macron commence à être tournée.
La procrastination d’Emmanuel Macron quant à la nomination d’un nouveau gouvernement a conduit à la situation ubuesque d’un Premier ministre qui ne l’est plus envoyant des lettres de cadrage budgétaire pour 2025 à des ministres qui ne le sont plus !
Trois études viennent jeter de très sérieux doutes sur la qualité des travaux empiriques publiés par les économistes. Un problème pour la science, mais aussi pour la démocratie.
Remis en juin au G20, le rapport de l’économiste français Gabriel Zucman détaille les conditions de la mise en place d’une taxation minimale au niveau international pour les ultrariches.
Le président de la République nous l’a bien fait comprendre tout au long de l’été : la nomination d’une ou d’un Premier ministre, « c’est qui je veux, quand je veux ».