Vue lecture

Sommet "Choose France" : derrière la victoire médiatique, une réalité bien différente

"20 milliards" d'investissement étrangers annoncés. Un sommet "record", "historique". Voilà les informations principales que les médias ont retenues du sommet "Choose France", le rendez-vous annuel donné par Emmanuel Macron aux patrons étrangers pour les inciter à investir. Plusieurs indicateurs ternissent pourtant largement le tableau. Peu de rédactions ont décidé de les mettre en avant. Bilan : une victoire de com' à bien des égards pour le président.

  •  

Procès Le Scouarnec : où sont passés les médias ?

Les premiers jours du procès le Scouarnec, 467 accréditations presse avaient été demandées. Deux mois plus tard, la salle de presse est fermée, tant les journalistes ont déserté le tribunal. Depuis fin mars, on ne compte ainsi que très peu de sujets sur le procès. Triste démonstration de l'indifférence collective face aux récits des victimes et notamment, de la parole des enfants.

  •  

Le dilemme des médias de gauche face à "La Meute"

"La Meute", livre-enquête qui entend révéler les rouages du "système Mélenchon" a fait l'objet, ces derniers jours, d'une couverture médiatique XXL, largement à charge contre La France Insoumise. Qu'en est-il des médias de gauche ? Ont-ils réussi à traiter le sujet sans rentrer dans "la meute médiatique" ?

  •  

"Ne pas laisser passer" : injurié, un journaliste porte plainte contre Hubert Falco

Si les journalistes ont parfois l'habitude de mots peu amènes à leur égard, parfois en public, de la part de certain·es élu·es de la République, ils ne portent jamais plainte. Journaliste au "Monde Diplomatique" et à "Mediapart", Simon Fontvieille, confronté à une "escalade" d'actes et propos menaçants d'Hubert Falco, ex-maire LR de Toulon et sujet de ses enquêtes, a choisi de dire stop. Récit.

  •  

"On n'est pas d'accord !" sur M6 : l'humiliation en guise de show télé

Ils en ont de la chance "Antoine", "Frédéric", "Daniel", "Corentin" et "Sabrina". Julien Courbet a décidé de les aider. Dans "On n'est pas d'accord!", l'animateur de M6 joue le rôle de médiateur pour résoudre des conflits de voisinage, des problèmes de clôture, des litiges avec des professionnels peu scrupuleux. Du très classique, Courbet fait ça depuis trente ans. Sauf que cette fois-ci, il a trouvé un dispositif télé encore plus pervers que d'habitude : une "arène" avec du public qui commente les échanges et dézingue les candidats sans aucun filtre. Oui, il est comme ça Courbet : il veut bien aider des personnes en détresse, à condition qu'elles se plient à une mécanique un peu dégradante. Haut les coeurs !

  •