Alors qu’il a commencé à purger une peine de prison de quatre mois pour “outrage au Congrès”, l’ancien stratège en chef de Donald Trump s’est livré à plusieurs médias, saluant notamment les succès de l’extrême droite en Europe.
Les résultats du premier tour des législatives inquiètent les médias ukrainiens, qui redoutent que le futur gouvernement ne paralyse l’aide militaire française, cruciale pour le pays.
La percée du Rassemblement national et ses alliés au premier tour de l’élection législative en France surprend et inquiète de nombreux journalistes à l’étranger. Nombreux s’interrogent sur les conséquences sociales, économiques, mais surtout diplomatiques d’une cohabitation entre le chef d’État français et le parti d’extrême droite. Retour en vidéo.
Jordan Bardella, président du parti d’extrême droite Rassemblement national (RN) et Marine Le Pen, présidente du groupe parlementaire du RN, à Paris, France, le 9 juin 2024.
Les résultats du premier tour des législatives françaises sont analysés par la presse russe à travers le prisme de la relation des partis avec Moscou dans le contexte de la guerre en Ukraine. Et, dans le cas où le parti de Marine Le Pen accéderait au pouvoir, les commentateurs estiment qu’il “se rapprochera insensiblement du centre”.
La majorité conservatrice de la Cour suprême des États-Unis a rendu une décision qui risque de repousser au-delà de la présidentielle du 5 novembre un éventuel procès du candidat républicain, Donald Trump, pour son rôle dans l’invasion du Capitole le 6 janvier 2021.
Des manifestants devant la Cour suprême, à Washington, avec une banderole où l’on lit : “Trump n’est pas au-dessus de la loi”, le 1ᵉʳ juillet 2024. La plus haute juridiction des États-Unis a reconnu une immunité à l’ancien président.
Embarrassé par une succession d’incidents et de défaillances sur ses appareils depuis plusieurs mois, l’avionneur américain a annoncé, lundi 1ᵉʳ juillet, avoir trouvé un accord pour racheter Spirit AeroSystems pour une somme comprise entre 4,7 et 8,3 milliards de dollars.
Le logo de Spirit AeroSystems sur la carlingue d’un Boeing 737, dans l’usine de l’avionneur américain, à Renton (État de Washington), le 25 janvier 2024.
En cas de victoire lors des législatives du 4 juillet, le Labour vise un resserrement des liens avec la France et l’Union européenne. Mais l’arrivée possible du RN à Matignon risque de compliquer la tâche.
Keir Starmer, à Paris, le 19 septembre 2023, entouré de sa garde rapproché, Rachel Reeves, probable future ministre des Finances, et David Lammy, pressenti au ministère des Affaires étrangères.
On la trouve dans les endroits les plus hostiles de la planète Terre. “Syntrichia caninervis” est la seule plante capable aujourd’hui de pousser sur Mars grâce à une résistance hors norme dans le monde vivant.
Dans une série de déclarations récentes, plusieurs responsables ukrainiens, à commencer par le président, Volodymyr Zelensky, ont exprimé leur souhait de ne pas “prolonger la guerre”. Quitte à faire quelques concessions.
Le Japon, qui s’est engagé à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050, souhaite fixer des objectifs de réduction des émissions de CO₂ à mettre en œuvre avant cette date. Pour l’instant, le bilan en la matière a tendance à s’améliorer, mais “la prochaine feuille de route montrera combien l’engagement du pays est sérieux”, estime la presse locale.
Au vu des résultats du premier tour des élections législatives, les investisseurs estiment que le RN n’est plus en mesure de décrocher la majorité absolue à l’Assemblée nationale. Alors que les marchés boursiers et obligataires étaient en chute libre depuis l’annonce de la dissolution, ils se sont redressés, lundi 1er juillet.
Malgré la récente entrée en vigueur d’une loi d’amnistie en faveur des indépendantistes catalans, la plus haute instance judiciaire espagnole estime qu’elle ne peut pleinement amnistier Carles Puigdemont. L’exilé ne pourra donc pas remettre les pieds dans son pays sans être arrêté.
Le président, Cyril Ramaphosa, a annoncé la formation de son “gouvernement d’union nationale” aux côtés notamment de son adversaire historique, l’Alliance démocratique, dimanche 30 juin. Une annonce qui rassure les marchés après un mois d’incertitude.
L’équipe indienne s’est imposée face à l’Afrique du Sud, samedi 29 juin, offrant “à l’Inde l’un de ses moments de cricket les plus joyeux”, salue le “Times of India”. La presse locale et internationale ne tarit pas d’éloges au sujet des joueurs, érigés au rang de véritables héros.
La Fidesz, parti national-conservateur du Premier ministre hongrois, s’unit avec le parti populiste tchèque ANO et le FPÖ autrichien d’extrême droite, avec l’ambition de monter un groupe souverainiste au Parlement européen. Pari tenable ou désespéré ? Les médias magyars s’interrogent.
Andrej Babis, du parti populiste tchèque ANO, Herbert Kickl, du FPÖ autrichien et le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, à Vienne, annoncent la création des “Patriotes pour l’Europe”, le 30 juin 2024.
Une partie de la presse chinoise s’inquiète du résultat final des législatives en France en ce qu’il entraînera un “manque de clarté” pour l’Union européenne, interlocutrice numéro un de Pékin. Mais les journaux les plus nationalistes ne cachent pas une certaine délectation devant ce “chaos” en Occident.
Longtemps, les rencontres France-Belgique ont été envisagées sous un angle plutôt fraternel. Mais ça, c’était avant leur funeste rencontre en demi-finale du Mondial 2018. Les Belges s’étaient vus reprocher leur “seum” de mauvais perdants, les Français leur condescendance. Six ans plus tard, alors que les Bleus affrontent les Diables en huitième de finale de l’Euro 2024, les plaies sont toujours à vif.
S’ils ont largement boudé le premier tour de l’élection présidentielle, les Iraniens seraient tentés de voter plus massivement au second tour, prévu le 5 juillet, pour empêcher l’élection de Saïd Jalili, un candidat réputé conservateur et hostile à l’Occident, estime “L’Orient-Le Jour”.
Les deux candidats en lice pour le second tour des élections présidentielles iraniennes prévu le 5 juillet : Saïd Jalili (à gauche), un ancien négociateur nucléaire ultraconservateur, et Massoud Pezeshkian (à droite), un réformateur arrivé en tête au premier tour.
Les résultats historiques de l’extrême droite lors du premier tour des élections législatives inquiètent la presse d’outre-Rhin. Si le Rassemblement national arrivait au pouvoir, l’amitié franco-allemande s’en trouverait dangereusement ébranlée.