Que se passe-t-il lorsque le mal du pays ne s’apaise jamais ? Dans une chronique du “Guardian”, une psychologue décrit l’expérience intime de ceux qui vivent loin des leurs. Entre perte, attachement et reconstruction, un équilibre fragile se dessine.
Quelque 30 000 partisans de la galaxie Maga étaient rassemblés de jeudi à dimanche à Phoenix, aux États-Unis, pour l’AmericaFest. Mais ce rendez-vous annuel des conservateurs américains, créé par feu Charlie Kirk, a mis au grand jour les querelles internes du mouvement trumpiste.
Un message préenregistré du président américain, Donald Trump, est diffusé sur écran géant à la conférence annuelle AmericaFest, à Phoenix (Arizona), le 21 décembre 2025.
Le secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense de l’Ukraine, Roustem Oumierov, s’adresse à la presse après une réunion avec des représentants américains, à Hallandale Beach (Floride), le 30 novembre 2025.
Disparitions forcées, collaboration avec les narcotrafiquants, corruption, destruction de l’industrie pétrolière… Dans cette tribune, le journaliste Miguel Henrique Otero, directeur du quotidien vénézuélien d’opposition “El Nacional”, dresse la liste des atteintes aux droits humains commises par le président chaviste et appelle à “l’arrêter et à le juger le plus vite possible”.
Little Island, un modeste hameau battu par les vents du comté de Cork, est devenu le centre de production du Viagra, un médicament qui a bouleversé la vie intime de millions d’hommes. Et ce village discret s’est retrouvé au centre d’une révolution mondiale. Un reportage du “New Statesman”, de Londres.
Sport formidable, mais surtout coûteux, pointe Maximilian Gerl dans les colonnes de la “Süddeutsche Zeitung”, en Allemagne, le ski est en passe de détrôner le golf au rang des sports les plus élitistes. Faut-il bientôt imaginer des affaires conclues dans des télésièges chauffés, plutôt que sur le green ?
En Chine, les années 1980 furent le théâtre de l’éclosion d’une nouvelle société, libérée des carcans de l’orthodoxie idéologique maoïste et pas encore gangrenée par le consumérisme. Une époque où fleurissaient les arts et les affaires dans une ambiance d’humilité et de camaraderie, explique le compte du média pékinois “Jingmin Zhijia” sur la plateforme Weixin.
À mesure que l’intelligence artificielle s’immisce dans les replis les plus intimes de notre existence, aux États-Unis, ces relations posent de nouveaux défis juridiques en cas de divorce, explique le site américain “Wired”.
Venue du Sri Lanka, jadis plus précieuse que l’or, la cannelle s’est imposée au Danemark comme le parfum même de Noël. Entre luxe historique, mémoire olfactive et nostalgie familiale, le quotidien danois “Politiken” explique comment cette épice, banale ailleurs, suffit ici à faire basculer un plat dans le registre des fêtes.
Dans la capitale malienne, une communauté chinoise s’est créé un cadre de vie grâce aux petits commerces. Mais l’avancée des djihadistes du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) remet en question leur avenir. Le “Washington Post” est allé à la rencontre de ces habitants, partagés entre leur engagement dans l’économie locale et leurs craintes devant l’insécurité.
Le délai d’attente moyen pour pouvoir passer l’épreuve pratique du permis de conduire atteint actuellement six mois. En cause : une pénurie d’examinateurs qui ne sera pas résorbée avant 2027. Mais aussi les réservations massives de créneaux d’examen effectuées par des robots pour être ensuite revendues au prix fort.
À la mi-octobre, Donald Trump a déployé la garde nationale dans cette ville du Tennessee rongée par le crime. La réaction de la population locale tranche avec celle des habitants d’autres villes démocrates comme Chicago, Washington ou Portland, qui se sont fermement opposés à l’envoi des troupes, souligne ce reportage du “Wall Street Journal”.
Plutôt que pour un énième jouet en plastique, ne faudrait-il pas opter pour un cadeau pédagogique cette année ? se demande la presse allemande. “Oui, les parents doivent éduquer leurs enfants, mais pas forcément à Noël”, estime la philosophe Barbara Bleisch, interrogée par “Die Zeit”. Et que les plus angoissés se rassurent : le présent idéal se trouve plus facilement qu’il n’y paraît.
La part des poissons issus de l’aquaculture est de plus en plus importante dans nos menus. À quel prix ? C’est la question à laquelle répond cette infographie, parue dans notre “Atlas des ressources”.
Dans une Tunisie où le pouvoir d’achat s’érode alors que l’État réduit progressivement les prestations sociales, beaucoup de Tunisiens peuvent encore compter sur leurs proches expatriés pour leur envoyer de quoi faire face aux dépenses quotidiennes et aux imprévus.
Lors d’une manifestation organisée par l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) contre le président Kaïs Saïed, à Tunis, en Tunisie, le 4 mars 2023.
Dans le dernier numéro de l’année de “Courrier international”, nous nous intéressons à la vague de nostalgie qui semble avoir emportée la planète entière. Mais, d’une langue à l’autre, du turc au chinois, du polonais au portugais, la notion de nostalgie ne recouvre pas tout à fait les mêmes réalités suivant les langues. Voici un petit inventaire des mots dans différentes langues consacrés à ce passé qui nous manque et qui nous hante.
Le 31 décembre, PostNord distribuera sa toute dernière lettre, après quatre cents ans de bons et loyaux services. L’opérateur public danois, qui se concentrera désormais sur l’acheminement des colis, se prépare à licencier un tiers de ses effectifs.
La romancière anglaise, autrice de “Raison et sentiments”, “Orgueil et préjugés” ou encore “Emma”, est née le 16 décembre 1775. Son 250ᵉ anniversaire est, cette année, célébré avec une ferveur qui dépasse largement le cadre de la littérature. De quoi donner envie à la journaliste franco-allemande Annabelle Hirsch, qui ne se comptait pas parmi ses fans, de partir sur ses traces, au Royaume-Uni. Un récit paru dans “Die Zeit”, et qui constitue le premier épisode de notre série consacrée à Jane Austen.
Le Maroc accueille avec de grandes ambitions sportives et diplomatiques la Coupe d’Afrique des nations 2025 (du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026). Alors que les préparatifs s’achèvent pour l’accueil des 23 autres sélections, les manifestations de l’automne restent dans toutes les têtes, et rien n’a encore été réglé.