S’il se laisse entraîner par Israël dans le conflit, Donald Trump commettra la pire erreur de sa présidence, estime cette politologue de Defense Priorities, un think-tank anti-interventionniste de Washington. “Non seulement les guerres préventives ne fonctionnent pas, mais elles ont des conséquences imprévues”, met-elle en garde dans les colonnes du “New York Times”.
Le président des États-Unis, Donald Trump, sur la base militaire Andrews, dans le Maryland, le 15 juin 2025, avant son départ pour le sommet du G7 au Canada, qu’il a quitté prématurément.
Des milliers d’habitants de Téhéran tentent de fuir la capitale iranienne en proie aux bombardements israéliens depuis le 13 juin. Des départs massifs qui ont provoqué des embouteillages interminables sur les principales autoroutes empruntées pour quitter la ville. Retour en images.
Alors que les États-Unis ferment de plus en plus leurs portes aux étudiants étrangers, l’Inde pourrait en profiter pour retenir ses talents. Mais selon “The Economist”, les failles structurelles du système universitaire indien freinent toute ambition.
Dans un entretien accordé à la chaîne américaine ABC, le Premier ministre israélien a déclaré, le 16 juin, que tuer le guide suprême iranien permettrait de mettre fin au conflit entre les deux pays. Quelques jours avant, Donald Trump aurait mis son veto à ce plan.
Le mensuel “Scientific American” s’intéresse aux bienfaits de l’exposition aux rayons ultraviolets du soleil pour les maladies liées au dérèglement immunitaire. De quoi imaginer une prescription de luminothérapie ? Pas encore, mais les scientifiques s’y intéressent sérieusement.
La une de l’édition du mois de juin 2025 de “Scientific American”
Faute d’emploi aux États-Unis, Marissa Willman est partie enseigner l’anglais en Corée du Sud. Dans “Business Insider”, elle raconte pourquoi ce choix a changé sa vie – et pourquoi il devrait inspirer d’autres jeunes.
Face aux destructions et aux pertes civiles, les frappes israéliennes contre l’Iran ont provoqué un effet drapeau, y compris chez les Iraniens opposés au gouvernement mais qui, en l’occurrence, rejettent les bombardements contre leur pays. Mais, pour une majorité, elles ont surtout ouvert la possibilité d’un renversement du régime des mollahs.
Des photos de responsables politiques et militaires tués dans les frappes israéliennes contre l’Iran affichées dans une rue de Téhéran, en Iran, le 16 juin 2025.
Le procureur fédéral du Minnesota Joseph Thompson s’exprime lors d’une conférence de presse consacrée aux meurtres de l’élue démocrate Melissa Hortman et de son mari, le 16 juin 2025 à Minneapolis.
Le président américain a décidé d’écourter son séjour au Canada devant l’intensification du conflit entre Israël et l’Iran, bousculant le programme du sommet. Dans un message au ton alarmant, il a appelé les habitants de Téhéran à quitter immédiatement la capitale. Une manière de pousser l’Iran à négocier, notent les médias américains.
Dans un pays très dépendant de l’industrie automobile, les bouleversements mondiaux, de la guerre commerciale de Donald Trump à la concurrence chinoise en passant par l’automatisation, n’inquiètent pas vraiment les futurs cadres formés par Skoda Auto dans sa propre école. En témoigne ce reportage de l’hebdomadaire de référence “Respekt”.
Le 14 juin, alors que Donald Trump organisait son défilé militaire, des millions d’Américains sont descendus dans la rue. Comme cette manifestante de Los Angeles, où la chasse généralisée aux sans-papiers suscite l’angoisse et la révolte. “Il s’agit de montrer mon visage pour ceux qui ne peuvent pas prendre la parole”, confie-t-elle à un chroniqueur du “Los Angeles Times”.
Pour le rédacteur en chef du quotidien de gauche libérale “Ha’Aretz”, Benyamin Nétanyahou “doit s’abstenir de se fixer des objectifs impossibles”. D’autant que la décision d’intensifier ou d’arrêter la guerre irano-israélienne sera prise à la Maison-Blanche.
C’est un havre singulier qu’a fondé Aladin Hussain Al-Baraduni à Rome, où cet artiste yéménite est réfugié. Sa “bibliothèque illicite” est devenue un lieu de rassemblement et de résistance du quartier de Centocelle, mais elle est aujourd’hui menacée d’expulsion.
La présentatrice, alors en pleine émission, a dû fuir son studio frappé par une attaque israélienne, lundi 16 juin à Téhéran. Une attaque qui est intervenue quelques heures après des menaces prononcées par le ministre de la Défense israélien.
Pendant les années de conflit par procuration entre leurs pays, Israéliens et Iraniens se croyaient à l’abri. Mais la guerre de l’ombre frappe désormais à leurs portes. Depuis le 13 juin, dans les deux capitales, les habitants vivent dans la crainte. On déplore déjà de nombreuses victimes civiles de part et d’autre.
À gauche : des Iraniens blessés lors d’une probable frappe israélienne dans le centre de Téhéran, le 15 juin 2025. À droite : un quartier de la ville de Bnei Brak, à l’est de Tel-Aviv, le 16 juin 2025, après une frappe iranienne.
Les stands de cinq industriels de l’armement israéliens exposant des armes “offensives” ont été entourés de cloisons noires, lundi 16 juin, à l’ouverture du Salon de l’aéronautique, au Bourget. Si l’État hébreu fait part de sa colère, Paris assure que les autorités israéliennes étaient prévenues.
Un agent de sécurité recouvre une inscription indiquant “Derrière ces murs se cachent les meilleurs systèmes de défense utilisés par de nombreux pays. Ces systèmes protègent aujourd’hui l’État d’Israël. Le gouvernement français, au nom de la discrimination, tente de vous les cacher ! ”, sur le stand de la société israélienne Rafael, le 16 juin 2025, lors du Salon de l’aéronautique du Bourget.
Même s’il reste beaucoup à faire pour réellement protéger les océans, le sommet de Nice a permis de faire avancer les traités existants et d’apporter un peu d’espoir, estime une bonne partie de la presse étrangère.
Le 14 juin 1985, des dirigeants européens s’accordaient pour abolir les frontières entre leurs pays. Quarante ans plus tard, on ne peut pas dire que ce soit une franche réussite. L’année 2024 a marqué un record en matière de contrôles aux frontières.
Des organisations de la société civile togolaise et des partis d’opposition demandent le départ de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis plus de vingt ans. L’intéressé a manœuvré l’année dernière pour modifier la Constitution, ce qui lui permet de rester à la tête du pays indéfiniment.
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