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“Death Stranding 2”, le livreur de l’apocalypse revient en force

C’était le jeu le plus attendu de l’été. Sorti le 26 juin, “Death Stranding 2. On the Beach” propose au joueur de reprendre l’habit de Sam Porter Bridges, livreur de colis dans un monde postapocalyptique. Pour “The Guardian”, ce volet est encore plus réussi que le premier. Il brille par son inquiétante poésie, son caractère méditatif et ses systèmes de jeu.

© © Kojima Productions/Sony Interactive Entertainment

Sorti le 26 juin, “Death Stranding 2. On the Beach” propose au joueur de reprendre l’habit de Sam Porter Bridges, livreur de colis dans un monde postapocalyptique.
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Après les frappes américaines en Iran, un risque accru de prolifération nucléaire

En bombardant trois sites nucléaires iraniens, Donald Trump entendait stopper Téhéran dans sa quête de l’arme atomique. Ces frappes pourraient paradoxalement pousser le régime à redoubler d’efforts pour y parvenir tout en encourageant d’autres États à se doter de leur propre arsenal, souligne Mark Landler, journaliste du “New York Times” spécialiste de la question du nucléaire iranien.

© Dessin d’Alex paru dans La Liberté, Fribourg.

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À Étretat, les vagues se rapprochent : “Les falaises ne sont plus sûres”

Les célèbres falaises de la côte d’Albâtre subissent de plein fouet les effets du réchauffement climatique. Ses très nombreux touristes n’ont désormais plus accès aux bords escarpés ni aux plages en contrebas, à cause des risques dus aux éboulements. Dans le sillage d’Étretat, plusieurs autres joyaux normands pourraient disparaître, raconte le journal autrichien “Der Standard”.

© Photo SAMEER AL-DOUMY/AFP

Des touristes sur un banc au bord de la falaise d’Étretat, en Seine-Maritime, le 4 janvier 2022.
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Est-ce bien raisonnable de partir avec son père pour une croisière réservée aux couples ?

Chaque semaine, la chronique phénomène du “New York Times” sur l’amour vous est proposée en exclusivité, traduite en français par “Courrier international”. Cette semaine, une femme raconte comment voyager avec son père l’a aidée à accepter ses égarements.

© Dessin de BRIAN REA paru dans “The New York Times”, États-Unis.

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Blessures auto-infligées et corruption : ces soldats russes prêts à tout pour fuir le front

Dans une armée russe où les contrats sont prolongés indéfiniment, de plus en plus de soldats cherchent à quitter le front en Ukraine. Blessures auto-infligées, certificats médicaux falsifiés, pots-de-vin : l’enquête du média en exil russe “Meduza” sur un système parallèle bien rodé, où fuir la guerre peut coûter jusqu’à plusieurs millions de roubles.

© PHOTO NANNA HEITMANN/THE NEW YORK TIMES

Alexandre, un soldat russe amputé d’une jambe suite à l’explosion d’une mine en Ukraine, essaie une prothèse récemment ajustée au Sanatorium Rus, le 22 novembre 2024.
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Microsoft dit adieu à son « écran bleu de la mort »

Après 40 ans de bons – mais exaspérants – services, le message d’erreur sur fond bleu qui invitait l’utilisateur de Windows, le système d’exploitation de Microsoft, à redémarrer son ordinateur, sera remplacé par un écran noir plus sobre et « plus clair ».

© photo Bing Guan/REUTERS

Un « écran bleu de la mort » affiché sur un écran tournant sous Windows, à l’aéroport de Newark (États-Unis), le 19 juillet 2024 (REUTERS/Bing Guan REUTERS/Bing Guan).
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À Téhéran, des funérailles nationales pour les morts de la “guerre des douze jours”

Une foule s’est rassemblée samedi 28 juin à Téhéran, pour assister aux funérailles de 60 personnalités tuées lors de la guerre contre Israël et les États-Unis. Une cérémonie sous haute tension, alors que Donald Trump a menacé le pays de nouvelles frappes s’il relançait son programme atomique et que le régime des mollahs a annoncé qu’il n’autoriserait plus d’inspections de ses sites nucléaires.

© Photo Majid Asgaripour/REUTERS

Les funérailles nationales de plusieurs hauts gradés iraniens tués dans les bombardements israélo-américains lors de la “guerre des douze jours”, le 28 juin 2025, à Téhéran.
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En Russie, les dons citoyens qui équipent l’armée sont en chute libre

Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, les bénévoles russes pallient les défaillances logistiques de l’armée en collectant de l’argent et du matériel par le biais des chaînes Telegram. Mais comme l’observe le média indépendant russe “Verstka”, depuis l’année dernière, les dons s’essoufflent en raison de la lassitude des citoyens.

© photo TATYANA MAKEYEVA/AFP

Des soldats russes dans le village ukrainien de Kazachya Loknya, le 18 mars 2025.
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Selon “Ha’Aretz”, l’armée israélienne ordonne de tirer sur les distributions d’aide à Gaza

Dans une enquête parue le 27 juin, le quotidien d’opposition à Benyamin Nétanyahou rassemble les témoignages de soldats de Tsahal qui assurent qu’on leur demande d’ouvrir le feu sur les Gazaouis rassemblés lors des distributions de nourriture. Des accusations rejetées par le gouvernement israélien et la controversée Fondation humanitaire de Gaza (GHF).

© Photo EYAD BABA/AFP

Des Palestiniens se dirigent vers un point de distribution d’aide humanitaire tenu par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), à Gaza, le 25 juin 2025.
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En Colombie, les routes clandestines des Farc sont devenues celles de la déforestation

Construites illégalement par des colons puis par la guérilla, ces autoroutes du crime servent aujourd’hui à transporter du bétail, de la cocaïne et des armes jusqu’au cœur de la forêt primaire.

© PHOTO JUANCHO TORRES/Anadolu/AFP

Déforestation dans l’Amazonie colombienne, en mars 2023 (photo d’illustration).
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Au Kenya, la fin de l’USAID plonge le camp de Kakuma dans une situation désastreuse

Les 300 000 réfugiés du camp de Kakuma, dans le nord-ouest du Kenya, subissent de plein fouet les conséquences du gel de l’USAID. Avec les baisses de financements américains, le Programme alimentaire mondial a dû réduire les quantités de nourriture distribuée aux habitants du camp. Plusieurs médias constatent que l’insécurité alimentaire sur place ne fait que s’aggraver.

© PHOTO WANG GUANSEN/Xinhua/AFP

Une vue aérienne du camp de réfugiés de Kakuma, dans le comté de Turkana, dans le nord-ouest du Kenya, le 1er juillet 2024.
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Et si on commençait notre journée de travail en dansant (avec des vitamines) ?

Après avoir fait la fête, n’allez pas au lit mais au bureau. Les habitués du Wake Up Club d’Utrecht le font. Une fois tous les deux mois, ils peuvent se lâcher à partir de 6 heures du matin. Une façon idéale de commencer la journée, tout en danse et en café, expliquent-ils au quotidien néerlandais “De Volkskrant”.

© PHOTO Tanno witkamp

Au Wake Up Club d’Utrecht, dès 6h du matin, les fêtards matinaux peuvent profiter d’une piste de danse, de café et d’un petit-déjeuner pour seulement 21,50 euros par personne. Le Wake Up Club se tient plusieurs fois par an au Ping Pong Club, à Utrecht, aux Pays-Bas.
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Comment rendre un golf à la nature

Aux États-Unis, de plus en plus d’initiatives locales voient le jour pour transformer les golfs abandonnés en réserves naturelles. Une manière de restaurer la biodiversité mais aussi de mieux préparer les habitants au changement climatique et à ses effets, explique ce reportage du “Christian Science Monitor” à San Geronimo.

© PHOTO JIM WILSON/THE NEW YORK TIMES

L’ancien golf de San Geronimo en Californie, aux États-Unis, le 17 janvier 2024. Plus de 60 hectares ont été transformés en parc naturel.
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Cultiver un “ego tranquille”, le chemin le plus sûr vers le bonheur ?

Dans un monde dominé par les réseaux sociaux et l’influence, il est parfois difficile de ne pas se laisser happer par le narcissisme ambiant, admet ce journaliste de “The Atlantic”. Selon lui, l’enjeu est de savoir se montrer altruiste, sans pour autant hypothéquer son propre bien-être. L’“ego tranquille”, concept façonné en 2008 par deux psychologues, est un savant mélange de charité, d’humilité, de conscience de soi et d’espoir.

© DESSIN DE L’ÉPÉE PARU DANS “Arcinfo & Le Journal du Jura”, SUISSE.

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Mariam Issoufou, architecte nigérienne : une autre vision de la modernité

Avec des bureaux au Niger, aux États-Unis et en Suisse, Mariam Issoufou, 46 ans, est l’une des architectes les plus demandées d’Afrique. Ses bâtiments en terre crue, bien qu’inspirés de l’architecture traditionnelle, sont aussi durables que radicalement inventifs. L’hebdomadaire sud-africain “Mail & Guardian” brosse son portrait.

© Photo James Wang © Mariam Issoufou Architects

Le complexe communautaire Hikma, à Dandaji, au Niger, entremêle bâtis séculiers et religieux.
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Ces artistes asiatiques qui ont marqué le Paris des Années folles

À Singapour, une exposition revisite jusqu’au 17 août 2025 l’histoire du Paris des Années folles. Et redonne leur place à des artistes comme le Japonais Tsuguharu Foujita, la Singapourienne Georgette Chen ou le Vietnamien Lê Phô. Venus conquérir la Ville Lumière, ils ont dû lutter contre des préjugés culturels et coloniaux, écrit le quotidien local “The Business Times”.

© PHOTO Collection of National Gallery Singapore

Georgette Chen, “Autoportrait” (huile sur toile, 1934). Figure de l’art moderne singapourien, cette peintre s’est formée à Paris (1927-1933) et a longtemps vécu dans la capitale française avant de retourner en Orient.
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La RDC et le Rwanda font la paix à Washington

La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda ont signé vendredi à Washington un accord de paix destiné à mettre fin à plus de trente ans de conflit.

© MANDEL NGAN / AFP

Le secrétaire d’État américain Marco Rubio (au centre) préside à la signature d’un accord de paix avec la ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo, Thérèse Kayikwamba Wagner (à droite), et son homologue rwandais Olivier Nduhungirehe (à gauche), au département d’État à Washington, le 27 juin 2025. (Photo Mandel NGAN / AFP)
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