Dans le village du Val, non loin de Saint-Tropez, les policiers français ont récemment découvert un laboratoire de méthamphétamine, installé il y a peu par des chimistes mexicains. Les cartels inondent aussi l’Europe avec leur cocaïne. “The Times” a mené l’enquête.
Le “Mainichi Shimbun” se penche sur un phénomène de masculinité toxique typiquement nippon : des hommes mariés se font passer pour des célibataires pour séduire des femmes et assouvir leur “plaisir éphémère”. Les victimes ne se laissent plus faire.
En quelques mois, cette autrice de 31 ans a raflé deux prix littéraires majeurs dans le monde néerlandophone. Du jamais-vu pour un premier roman. Encore inédit en français, “Oroppa” explore avec habileté, dans une langue inventive, l’héritage des “années de plomb”, sous le règne du roi Hassan II, sur la diaspora marocaine en Europe.
L’envol spectaculaire du cours de l’or sur les marchés marque le retour en grâce du métal jaune. Les banques centrales augmentent aussi leurs réserves pour dédollariser leurs économies. L’incertitude que fait planer la présidence Trump sur le système monétaire international explique ce phénomène, selon le “Financial Times”.
Sorti en avril, le jeu mobile “Reversed Front : Bonfire” s’en prend au régime communiste chinois. Ce qui n’a pas du tout plu aux autorités hongkongaises, qui l’ont fait disparaître des plateformes de téléchargement le 11 juin. Une décision qui n’a pas empêché le jeu d’être un succès. Explications avec la presse asiatique.
Ce magazine hongkongais proche de Pékin dresse un parallèle entre l’Amérique de Donald Trump et le roman dystopique d’Orwell. Un étonnant et savoureux exercice de style, tant les critiques sur la manipulation de l’opinion et la concentration des pouvoirs pourraient aussi bien s’appliquer à la Chine de Xi Jinping.
Moins médiatiques et visibles que les joueurs masculins, les basketteuses du continent africain sont pourtant pleines de promesses. Elles attirent de plus en plus l’attention de la prestigieuse Women’s National Basketball Association (WNBA), équivalent féminin de la NBA, aux États-Unis.
La basketteuse internationale ivoirienne Kariata Diaby (à droite) sous le maillot du Sun du Connecticut, le 9 mai 2025, au Barclays Center de New York, aux États-Unis.
Lors de sa performance, le duo de rap punk Bob Vylan a incité la foule, parmi laquelle pointaient des dizaines de drapeaux palestiniens, à chanter “Mort à Tsahal !” rapporte la BBC, qui retransmettait le concert en direct.
L’égalité des chances est une valeur cardinale pour la capitale néerlandaise. Mais alors que sa politique de logement lui valait des éloges internationaux il y a quarante ans, la situation a radicalement changé. Amsterdam est aujourd’hui la ville la plus inégalitaire du pays.
Au Burkina Faso, les thésards sont confrontés au manque de bourses d’études, aux problèmes financiers et parfois à l’incompréhension de leur entourage, raconte “Studio Yafa”. Le site burkinabè a rencontré plusieurs aspirants chercheurs faisant part de leur mal-être, à l’université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou.
Dans le sud-est du Bangladesh, 1 million de réfugiés rohingyas s’entassent dans d’immenses camps insalubres. À quelques kilomètres de là, les touristes profitent de plages paradisiaques. Le magazine “Nikkei Asia” décrypte cette dissonance.
En un an, un organisme public argentin de défense des droits humains a recensé plus de 800 plaintes pour tortures et sévices cruels à l’encontre de femmes transgenres dans les prisons de la province la plus peuplée d’Argentine. Son rapport souligne qu’il existe un traitement différencié à l’égard de cette population qui l’expose à plus de violence.
Une pancarte contre la haine visant les personnes transgenres brandie lors d’une manifestation pour la Journée internationale de visibilité transgenre, le 31 mars 2021, à Buenos Aires, en Argentine.
Une exposition aux archives publiques de São Paulo, au Brésil, recrée les visages de dizaines d’esclaves, grâce à l’intelligence artificielle, à partir des descriptions physiques rédigées dans les années 1860 par l’avocat noir Luís Gama. Figure de l’abolitionnisme, il a contribué à libérer des centaines de personnes réduites en esclavage.
Visages d’esclaves recréés, grâce à l’intelligence artificielle, à partir des descriptions de l’avocat abolitionniste brésilien Luís Gama, dans le cadre de l’exposition “Eu, amanuense que escrevi...”, aux archives publiques de São Paulo.
Dans le mensuel conservateur “Cicero”, ce journaliste allemand s’insurge contre la chasse aux “fake news”, décrétées comme ennemies numéro un des démocraties libérales. Pour lui, ces politiques, mal construites car mal définies, camouflent une défiance évidente des gouvernements vis-à-vis de leurs citoyens.
Le Sénat a commencé samedi l’examen du méga projet de loi budgétaire voulu par le président américain. La “grande et belle loi” prévoit notamment la poursuite des réductions d’impôts engagées lors de son premier mandat. Medicaid, le programme d’assurance santé dont dépendent des millions d’Américains, devrait en faire les frais.
Il y a deux ans, la star argentine quittait, contrariée, le Paris Saint-Germain, raconte la presse étrangère. Dimanche 29 juin, le chemin de Messi, désormais joueur de l’Inter Miami, va recroiser celui de son ancien club à Atlanta, lors des huitièmes de finale du Mondial des clubs.
Le capitaine de l’Inter Miami, Lionel Messi, rentre aux vestiaires après le match nul (2-2) de son équipe contre les Brésiliens de Palmeiras, à Miami, sur la côte est des États-Unis, le 23 juin 2025.
Rafael Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) lors d’une réunion de crise à Vienne, le 25 juin 2025 (Photo by HELMUT FOHRINGER / APA / AFP).
Bravant l’interdiction du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, des centaines de milliers de personnes ont participé samedi à la marche des fiertés de Budapest, infligeant un camouflet cinglant au pouvoir ultraconservateur à un an des élections législatives.
C’était le jeu le plus attendu de l’été. Sorti le 26 juin, “Death Stranding 2. On the Beach” propose au joueur de reprendre l’habit de Sam Porter Bridges, livreur de colis dans un monde postapocalyptique. Pour “The Guardian”, ce volet est encore plus réussi que le premier. Il brille par son inquiétante poésie, son caractère méditatif et ses systèmes de jeu.
Sorti le 26 juin, “Death Stranding 2. On the Beach” propose au joueur de reprendre l’habit de Sam Porter Bridges, livreur de colis dans un monde postapocalyptique.