Certes, on recense deux morts et plus de vingt fusillades depuis début juillet, mais ces faits de violence, qui entourent le trafic de drogue, ne doivent pas inquiéter la bulle européenne : ils ne concernent que les “quartiers pourris” de la capitale belge. Cette expression, employée par le représentant de Bruxelles auprès des institutions, n’a pas manqué de faire réagir.
Dans son édition du 3 septembre, le quotidien allemand “Frankfurter Allgemeine Zeitung” analyse le déclin de l’“Abendbrot”, ce traditionnel dîner froid composé de charcuterie et de pain, lié notamment à l’individualisation des régimes alimentaires.
En librairie ce 3 septembre, “Le Fou de Dieu au bout du monde” retrace un voyage du pape François en Mongolie. Fils athée d’une fervente catholique, l’Espagnol Javier Cercas entremêle éléments biographiques, réflexions intimes et propos sur la religion ou la géopolitique dans un livre plaisant et assez flatteur pour l’ancien souverain pontife, note la presse espagnole.
L’écrivain espagnol Javier Cercas est l’auteur du récit “Le Fou de Dieu au bout du monde”, paru chez Gallimard le 3 septembre. Ici en promotion en Colombie, le 29 avril 2025.
Deux Françaises qui viennent après une longue attente de recevoir leur permis d’études au Canada devront prendre l’avion pour les activer. Car, nouvelles règles oblige, il n’est plus permis de franchir brièvement la frontière terrestre pour rentrer au Canada de nouveau.
Chaque été, le chant (ou le beuglement, c’est selon) des grenouilles taureaux (ou ouaouarons) retentit dans les étangs de l’est des États-Unis. Mais, depuis plusieurs décennies, ces grenouilles chantent aussi dans les lacs et les mares de la côte ouest du pays. Et ces amphibiens ne se contentent pas de chanter, avertit le site américain “Vox”.
À quelques jours de l’inauguration du gigantesque barrage en Éthiopie, prévue le 9 septembre, l’inquiétude grandit dans les pays situés en aval du Nil bleu, qui constatent d’ores et déjà la baisse du niveau de l’eau.
Des chars, des drones ou encore des missiles intercontinentaux : Pékin a sorti tout son arsenal militaire lors d’un défilé grandiose place Tian’anmen, à l’occasion du 80e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Des soldats défilent lors d’une parade militaire marquant le 80e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, à Pékin, en Chine, le 3 septembre 2025.
Les étudiants étrangers qui bénéficient d’un visa F peuvent actuellement rester aux États-Unis tant qu’ils sont inscrits dans une université. Le ministère de la Sécurité intérieure entend mettre un terme aux “abus” et renforcer la capacité du gouvernement à “contrôler et superviser” leur séjour dans le pays.
Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Dans ce numéro, nous revenons sur la crise politique qui secoue de nouveau la France. À quelques jours du vote de confiance qui devrait voir le gouvernement Bayrou tomber, la presse étrangère s’inquiète des fragilités de l’Hexagone qui menaceraient tout le continent. D’autant que les options d’Emmanuel Macron, premier responsable du désastre, sont limitées.
La Une de “Courrier international” daté du 4 septembre 2025.
Une spectaculaire parade rassemblant 10 000 militaires et 50 000 spectateurs a eu lieu à Pékin mercredi 3 septembre. Prêchant la paix dans son discours, Xi Jinping a aussi conçu le défilé comme une illustration de la puissance de feu de son armée.
En deux ans, plus de 20 000 travailleurs ont quitté le petit royaume de 800 000 habitants, attirés par des salaires plus élevés, notamment en Australie. Un défi, en particulier, dans les services publics, explique le magazine japonais “Nikkei Asia”.
Dans la troisième aire urbaine du Royaume-Uni, une dizaine d’équipes d’inspecteurs interviennent auprès de locataires confrontés à des abus. Au-delà des relogements, ils ont récolté ces deux dernières années 1,5 million de livres sterling d’amende en vertu de pouvoirs jusqu’à présent sous-utilisés dans le pays, constate l’hebdomadaire “The Sunday Times”.
“Les Chroniques d’Haïfa. Histoires palestiniennes”, en salle ce 3 septembre, nous plonge dans le quotidien d’une famille palestinienne de la ville mixte d’Haïfa, en Israël. Entre conflits générationnels et pressions sociales, le réalisateur Scandar Copti donne à voir une réalité rarement représentée sur grand écran. Entretien.
Une scène des “Chroniques d’Haïfa. Histoires palestiniennes”, de Scandar Copti. Fifi (incarnée par Manar Shehab), une jeune Palestinienne d’Israël, est tombée amoureuse de Walid (Raed Burbara), un médecin. Mais un secret qu’elle porte menace leur idylle.
En imposant des droits de douane exorbitants à l’Inde, Donald Trump entendait faire plier le pays. Au lieu de cela, analyse “The Guardian” dans un éditorial, le Premier ministre Narendra Modi a décidé de lui tenir tête et s’est envolé pour Pékin, où il est apparu tout sourire au côté de Xi Jinping et de Vladimir Poutine.
Alors qu’elle fête les 80 ans de la capitulation du Japon, la Chine entend remodeler l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Elle se veut la grande puissance antifasciste avec la Russie, reléguant au second plan les États-Unis, soulignent des médias d’outre-Atlantique.
Le gouvernement belge risquait-il, comme le néerlandais, de tomber faute d’accord sur la question de Gaza ? Ces dernières semaines, la tension est montée entre les partis de la coalition. Mais un compromis a été trouvé, qui prévoit notamment une reconnaissance conditionnelle de l’État de Palestine.
Le ministre belge des Affaires étrangères, Maxime Prévôt, ici photographié le 27 août 2025 à Bruxelles, avait agité la menace d’une crise politique si la coalition au pouvoir ne se mettait pas d’accord sur la position à adopter au sujet de la guerre à Gaza.
Les coupes drastiques dans les effectifs de la fonction publique de la seconde présidence Trump visent particulièrement les salariés noirs. En juillet, le chômage, à son plus bas niveau pour l’ensemble de la population, grimpait à 7,2 % pour les Noirs. Les économistes l’expliquent par les attaques contre la discrimination positive.
Main dans la main, les trois figures de proue de l’Organisation de coopération de Shanghai, Vladimir Poutine, Xi Jinping et Narendra Modi, ont affiché une image soigneusement chorégraphiée de proximité politique lors du sommet du 1er septembre. Derrière les sourires, le trio entend défier la logique des blocs, analysent les commentateurs russes.
De droite à gauche, le président chinois, Xi Jinping, le Premier ministre indien, Narendra Modi, et le président russe, Vladimir Poutine, s’entretiennent lors du sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai, à Tianjin, en Chine, le 1er septembre 2025.
Le dollar s’échange désormais à plus de 1,06 million de rials iraniens après l’échec des ultimes pourparlers avec la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, puis l’annonce par les trois pays européens de la réactivation des sanctions des Nations unies contre Téhéran.
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