Londres présente ses excuses et annonce une enquête nationale après la publication lundi d'un rapport accablant sur les "grooming gangs", des réseaux de pédocriminalité ayant exploité plusieurs milliers de jeunes filles au Royaume-Uni depuis les années 1990, dans une certaine impunité. L'affaire, souvent instrumentalisée par l'extrême droite en raison des origines étrangères d'un grand nombre de criminels, a refait surface en ce début d’année.
Les dernières révélations de l'enquête sur le réseau à l'origine des attaques contre les prisons et leurs personnels lèvent le voile sur plusieurs mois de mystère. Derrière ces opérations, l'empreinte du narcotrafic.
Le suspect est "coutumier du fait", selon une source proche de l'enquête à ICI Alsace. Les policiers ont trouvé du scotch, une pince multifonction, un couteau et des préservatifs lors de son arrestation.
Cette aide permettra de financer des drones, des munitions et des véhicules blindés, a précisé le gouvernement canadien lors d'une rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky au sommet du G7.
Cette nouvelle association s'est dotée d'un site internet qui permet à des victimes de se signaler. L'association prévoit notamment d'organiser des assemblées générales et souhaite mieux se battre contre la congrégation de Notre-Dame de Bétharram.
C’est vers eux que les femmes se tournent pour être protégées en cas de violences sexuelles. Mais que se passe-t-il quand les policiers et gendarmes deviennent eux-mêmes les agresseurs ? Une enquête de "L'Œil du 20 heures" en collaboration avec Disclose.
Cette condamnation est la première sanction liée à une loi qui impose aux grandes entreprises françaises de prévenir risques environnementaux et atteintes aux droits humains liés à leurs activités.
Cette nouvelle association s'est dotée d'un site internet qui permet à des victimes de se signaler. L'association prévoit notamment d'organiser des assemblées générales et souhaite mieux se battre contre la congrégation de Notre-Dame de Bétharram.
Un rapport ministériel rendu public mardi dresse un bilan d'étape et pointe les limites de ce dispositif dédié aux classes de 6e et 5e. Elisabeth Borne souhaite toutefois le maintenir à la rentrée, avec quelques adaptations.