Dès la fermeture des derniers bureaux de vote, à 20 heures, les premiers résultats des 577 élections législatives sont progressivement diffusés par le ministère de l’intérieur.
Le coureur français de 23 ans a remporté la deuxième étape de la Grande Boucle, dimanche, à Bologne, en profitant de la stratégie Tadej Pogacar, nouveau porteur du maillot jaune, qui a laissé filer les échappés du jour.
Les déclarations de William Ruto interviennent après la journée de manifestations antigouvernementales meurtrière du 25 juin, qui a fait, selon lui, 19 morts ; un bilan inférieur à ceux d’organisations de défense des droits humains.
Le parti d’extrême droite et ses alliés récoltent 33,2 % des voix, devant le Nouveau Front populaire (28,1 %) et le camp présidentiel (21 %). Selon les estimations, la participation finale était en forte hausse, à 65,8 %.
Gabriel Attal prononce un discours après les résultats partiels du premier tour des élections législatives françaises anticipées, à l’Hôtel Matignon à Paris, France, 30 juin 2024.
Député depuis 2017, le secrétaire national du Parti communiste français a annoncé son élimination dimanche soir. Il est battu par le candidat du RN Guillaume Florquin.
Dans une circonscription compliquée pour la gauche, le député sortant « insoumis » est arrivé deuxième, avec 36 % des voix. Il est devancé par la candidate du Rassemblement national Nathalie Ribeiro-Billet (40 %) qu’il affrontera au second tour.
Le ministre de l’intérieur, qui souhaite quitter le gouvernement en cas d’élection, a annoncé qu’il était arrivé en tête. Il devance les candidats du RN et du Nouveau Front populaire.
Le gouverneur de la région affirme que cette frappe a été menée à l’aide d’une bombe planante, un type d’arme très destructeur et de plus en plus utilisé par les forces russes.
Le parti d’extrême droite a dominé le premier tour des législatives anticipées. Selon les instituts de sondage, le taux de participation final est estimé entre 65,5 % et 69,7 %. Il était de 47,7 % au premier tour en 2022. Emmanuel Macron a appellé à un « large rassemblement clairement démocrate et républicain » pour le second tour.
Dès la fermeture des derniers bureaux de vote, à 20 heures, les premiers résultats des 577 élections législatives sont progressivement diffusés par le ministère de l’intérieur.
Le Rassemblement national et ses alliés obtiennent 34 % des voix, le Nouveau Front populaire 28,1 % et la coalition présidentielle 20,3 %, selon les premières estimations de l’institut Ipsos Talan pour France Télévisions, Radio France, France 24-RFI et LCP-Assemblée nationale.
La coalition des partis de gauche réunit 28,1 % des suffrages, se situant derrière le Rassemblement national et ses alliés et devant la coalition présidentielle, selon les premières estimations de l’institut Ipsos Talan pour France Télévisions, Radio France, France 24-RFI et LCP Assemblée nationale.
Les candidats de la coalition présidentielle (Renaissance, MoDem, Horizons) ont obtenu 20,3 % des voix, lors du premier tour des élections législatives, selon les premières estimations de l’institut Ipsos Talan pour France Télévisions, Radio France, France 24/RFI et LCP Assemblée nationale. Loin derrière les blocs de l’extrême droite et de la gauche.
Divisé et peu visible lors de la campagne, le parti de droite obtient un résultat de 10,2 %, selon les premières estimations de l’institut Ipsos Talan pour France Télévisions, Radio France, France 24-RFI et LCP Assemblée nationale.
Banques et détenteurs d’obligations devraient devenir les actionnaires majoritaires du groupe. Cette annonce renforce l’espoir d’une sortie de crise pour le groupe, étranglé par une dette colossale.
La participation s’annonce très supérieure aux précédents scrutins, une mobilisation qui s’explique aussi bien par « la peur de ce qui peut se passer ce soir » que par l’envie de changement.
Les craintes de voir le conflit se propager au Liban se sont récemment amplifiées avec des échanges de tirs entre Israël et le Hezbollah, un mouvement islamiste allié du Hamas.
Dans un entretien au « Monde », la chercheuse considère que l’un des objectifs de l’attaque du 7 octobre 2023 visait à remettre en cause les accords d’Abraham signés en 2020 et à imposer la Palestine comme une question centrale de l’agenda international. Selon elle, toutes les perspectives politiques butent sur une réalité du terrain qui reste, côté palestinien, sous le contrôle du Hamas.
Le président américain Bill Clinton, avec le premier ministre israélien Yitzhak Rabin (à gauche) et le chef de l’OLP, Yasser Arafat, le 13 septembre 1993, à la Maison Blanche, à Washington, pour une poignée de main historique scellant les accords de paix d’Oslo.