20 heures de garde à vue pour des tags appelant à protéger les océans

À Nice, on veut protéger les océans… mais on muselle leurs défenseurs. Dans la soirée du mercredi 28 mai, cinq militants de la branche locale de Greenpeace France ont été interpellés, placés en garde à vue pendant vingt heures et perquisitionnés. Leur crime ? Avoir réalisé des graffitis dénonçant le faible niveau de protection des aires marines protégées françaises, en prévision de la troisième Conférence des Nations unies sur l'océan, qui doit se tenir à Nice du 9 au 13 juin.
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