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Surfshark vs CyberGhost : quel VPN choisir pour le streaming multi-appareils en 2025 ?
Sora 2 - Comment y accéder depuis l'Europe ?
OpenAI a lancé Sora 2 fin septembre, et pour l’avoir testé, je peux vous dire que c’est un sacré bond en avant pour la génération vidéo par IA. Leur modèle génère maintenant de la vidéo ET de l’audio synchronisé, avec des dialogues, des effets sonores et des musiques réalistes…etc.
Mais il y a un hic car Sora 2 est dispo uniquement aux USA et au Canada. Le reste du monde, dont l’Europe, est donc bloqué. Mais rassurez-vous, je vais vous expliquer comment y accéder.
Sora 2 fonctionne en text-to-video et image-to-video. En gros, vous tapez une description, et le modèle génère la vidéo avec l’audio qui va bien. Comparé à la première version , Sora 2 respecte donc bien mieux la physique. Par exemple, on arrive à obtenir un ballon de basket qui rate le panier rebondit correctement sur le panneau… les mouvements sont plus cohérents, et les instructions complexes sur plusieurs plans sont suivies en gardant l’état du monde.
La fonctionnalité qui fait du bruit, c’est surtout Cameo. Vous uploadez une courte vidéo de vous, et Sora 2 peut vous insérer dans n’importe quelle scène générée. Le modèle reproduit alors votre apparence et votre voix avec assez de précision pour que ça fonctionne. Ça marche aussi avec des animaux ou des objets. OpenAI a sorti une app iOS sociale autour de ça, où vous créez des vidéos, remixez les générations des autres, et ajoutez vos potes en cameo.
Maintenant, comme je vous le disais, le problème c’est que Sora 2 est réservé aux Etats-Unis et au Canada uniquement donc si vous tentez d’y accéder depuis l’Europe, le Royaume Uni, l’Australie ou ailleurs, vous tomberez sur un message du style “Service not available in your region”. Et malheureusement, OpenAI n’a pas communiqué de dates pour l’expansion internationale, même si des sources parlent de déploiements progressifs dans les prochaines semaines.
Pourquoi Surfshark est la solution idéale pour accéder à Sora 2
Une solution technique existe pour contourner ce problème : utiliser un VPN pour apparaître aux yeux de Sora 2 comme si vous étiez aux USA ou au Canada. Et c’est là que Surfshark entre en jeu .
Surfshark dispose d’un réseau impressionnant de plus de 3200 serveurs répartis dans 100 pays, dont de nombreux serveurs performants aux États-Unis et au Canada. Les débits dépassent régulièrement 950 Mbps via le protocole WireGuard, ce qui garantit un streaming fluide et sans latence pour vos générations vidéo sur Sora 2. Fini les connexions qui rament au moment crucial.
Le gros plus de Surfshark ? Le tarif ultra-compétitif à environ 3€ par mois (avec l’offre actuelle), ce qui en fait l’un des VPN avec le meilleur rapport qualité-prix du marché. Mais ce n’est pas tout : contrairement à la plupart des concurrents, Surfshark permet des connexions simultanées illimitées. Vous pouvez protéger tous vos appareils (PC, smartphone, tablette, smart TV, et même celui de votre famille) avec un seul abonnement.

Des fonctionnalités qui vont au-delà du simple VPN
Ce qui distingue vraiment Surfshark, ce sont ses fonctionnalités avancées qui renforcent votre sécurité et votre anonymat en ligne. Le Dynamic MultiHop fait transiter votre connexion par plusieurs serveurs dans différents pays, brouillant totalement les pistes. Même les plus curieux auront du mal à vous suivre.
La plateforme Nexus centralise toute la gestion de vos paramètres de sécurité dans une interface intuitive. Vous pouvez analyser les fuites potentielles, gérer vos connexions multiples, et activer les protections avancées en quelques clics, même si vous n’êtes pas un expert technique.
Côté innovation, Surfshark ne chôme pas. Ils ont récemment déposé un brevet pour un système de chiffrement de bout en bout qui élimine les métadonnées. Contrairement aux VPN classiques qui laissent parfois des traces temporelles ou de volume, ce nouveau système efface absolument toutes les miettes numériques. Et ça ne ralentit pas votre connexion, ce qui est crucial pour du streaming 4K ou des générations vidéo gourmandes en bande passante.
Surfshark a également lancé son propre service DNS public gratuit, qui chiffre et anonymise toutes vos requêtes DNS via DNS-over-HTTPS et DNS-over-TLS. Même votre fournisseur d’accès Internet ne peut plus voir quels sites vous visitez. Et contrairement à d’autres DNS publics, Surfshark ne collecte ni ne vend vos données de navigation.
CleanWeb et Alternative ID : la protection complète
En bonus, tous les abonnements Surfshark incluent désormais CleanWeb, un bloqueur de publicités et de trackers ultra-efficace. Il fonctionne sur tous vos appareils (Windows, Mac, Android, iOS, Linux, même FireTV) et bloque non seulement les pubs classiques, mais aussi les pop-ups, les cookies invasifs, les tentatives de phishing et les sites vérolés. Vous naviguez plus vite, plus proprement, et en toute sécurité.
Et si vous voulez aller encore plus loin dans la protection de votre vie privée, Alternative ID (inclus dans l’abonnement) vous permet de générer des identités fictives (noms, adresses mail temporaires, numéros de téléphone) pour vous inscrire sur des services sans jamais donner vos vraies informations. Pratique pour tester Sora 2 ou d’autres plateformes sans se faire spammer par la suite.
Comment accéder à Sora 2 depuis l’Europe avec Surfshark
Notez quand même qu’utiliser un VPN pour contourner les restrictions géographiques d’OpenAI viole leurs conditions d’utilisation donc s’ils le décident, ils peuvent suspendre votre compte. Mais pour le moment, ce n’est arrivé à aucun utilisateur de VPN et je pense pas que ce serait dans leur intérêt.
Comme l’app Sora est dispo uniquement sur iOS pour l’instant, vous devrez aussi vous créer un compte Apple américain pour avoir l’appstore US et pouvoir installer l’app. Rien de bien compliqué et une fois que c’est installé, vous pouvez rebasculer sur votre compte FR.

Voici donc comment créer un compte Apple américain (US) :
- Rendez-vous sur le site https://appleid.apple.com/us/ puis cliquez sur “Create your Apple ID”.
- Remplissez les informations demandées (nom, date de naissance, adresse e-mail) et choisissez bien “United States” comme pays/région.
- Vous pouvez utiliser un numéro de téléphone français pour la validation (le préfixe +33 est accepté) en recevant un SMS pour confirmer.
- Validez votre adresse e-mail via le code envoyé.
- À la création du compte, vous pouvez choisir “None” comme mode de paiement, ce qui signifie que vous n’êtes pas obligé de fournir une carte bancaire américaine.
- Pour utiliser ce compte sur un appareil iOS, déconnectez votre compte Apple actuel dans AppStore > Compte > Déconnexion (tout en bas), puis connectez-vous avec votre nouvel identifiant Apple US.
Cette méthode vous permettra de créer un Apple ID pour accéder à l’App Store américain sans nécessiter obligatoirement une carte bancaire US.
Le système d’accès est en invitation pour l’instant et chaque personne invitée reçoit 4 codes à partager. TOUS LES CODES ONT ÉTÉ DISTRIBUÉS ! Maintenant si vous voulez tester Sora 2 et que vous êtes parmi les 4 premiers à m’envoyer un mail, je vous file un de mes codes d’invitation. Après ça, vous pourrez à votre tour inviter 4 personnes.
Maintenant, niveau contenu généré, on voit déjà des trucs hallucinants sur les réseaux… et aussi beaucoup de problèmes de copyright. Des users génèrent des Bobs l’Eponge, des Mario, des persos Nintendo…etc ce qui pose évidemment des questions légales mais bon, c’est rigolo quand même. OpenAI a d’ailleurs intégré un watermarking dans chaque vidéo générée, afin de pouvoir remonter la piste de chacune des générations.

En résumé : la marche à suivre
Si vous êtes en Europe et que vous voulez vraiment accéder à Sora 2 maintenant malgré les risques, voici comment ça fonctionne avec Surfshark :
- Installez l’application Surfshark VPN sur votre appareil
- Connectez-vous à un serveur US ou canadien (choisissez-en un avec une faible latence)
- Créez un compte Apple américain comme expliqué plus haut
- Installez l’app Sora via l’App Store US
- Normalement, vous passerez le geo-blocking sans problème
Avec Surfshark, vous bénéficiez non seulement d’un accès fiable à Sora 2, mais aussi d’une protection complète pour toute votre navigation. À environ 3 € par mois pour une sécurité sur un nombre illimité d’appareils, c’est clairement l’une des meilleures options du marché.
Ou sinon, vous attendez sagement qu’OpenAI déploie officiellement son service en Europe mais faudra être encore un peu patient.
Essayer Surfshark VPN maintenant
Comment les scammeurs exploitent vos données… via une simple recherche ChatGPT
Vous pensiez que poser une question à ChatGPT (ou à n’importe quelle IA à la mode) était sans conséquence ? Erreur : derrière la magie de la conversation fluide et des réponses instantanées se cache un jeu dangereux pour vos données. Certains escrocs sont capables d’extraire, d’agréger, et d’exploiter votre vie numérique, le tout à partir d’une simple recherche pas trop bête. Mais pourquoi, et surtout comment, est-ce possible ? Et que pouvez-vous faire pour garder la main sur vos infos perso ?
Accrochez-vous, parce que l’IA n’est pas seulement le dernier jouet cool du moment, elle est aussi devenue le nouvel eldorado des arnaqueurs.
Une seule requête, une faille béante
Plus besoin de pirater votre boîte mail ou de fouiller votre poubelle. Les scammeurs d’aujourd’hui savent exploiter les LLM (comme ChatGPT ou Gemini) à fond. Avec une question bien tournée, ces outils fouillent le web et ressuscitent tout ce qui existe sur vous, parfois bien au-delà de ce que vous imaginez.
On parle ici d’anciennes biographies exhumées de forums ou réseaux sociaux, de traces de blogs, de commentaires publics, ou encore de numéros ou adresses, tombés dans la nature à la faveur d’une fuite de données. Mais aussi de liens subtils entre vos différents profils, entre manières d’écrire et ça même si les pseudos changent. Ce qui était jadis éparpillé et difficile à recomposer par un humain devient soudain… lisible, compact, utilisable contre vous à une toute autre échelle. Tout ça pour du phishing ciblé, de l’usurpation d’identité, ou tout bêtement revendu à des brokers de données peu scrupuleux.

Et tout ça c’est sans parler du manque de sécurité flagrant des IA grand public qui semblent avoir oublié de prendre le sujet en compte (voir par exemple mon article : ChatGPT peut faire fuiter vos emails avec une simple invitation Google Calendar).
Pourquoi l’IA amplifie le problème ?
Les modèles comme ChatGPT, Gemini, Claude ou Grok sont formés sur des milliards de pages web, archives de forums, données publiques (tout le web en gros) … qui, pour beaucoup, contiennent des infos personnelles. Quand vous interrogez ces outils, vos prompts sont souvent enregistrés et, dans certains cas, utilisés pour affiner le modèle.
Pire : selon cette étude Incogni 2025, la majorité de ces IA :
- collectent vos prompts et tous les détails contenus dedans.
- aspirent les données personnelles lâchées publiquement sur le web, parfois sans grande considération pour le consentement réel des personnes.
- partagent les informations avec des filiales, partenaires commerciaux, voire… des “affiliés” non identifiés.
- et dans certains cas, il est “impossible” de retirer vos données du jeu une fois qu’elles sont parties dans l’écosystème de training.
Retenez que lorsque vous avez appuyé sur le bouton d’envoi et que c’est publié quelque part … impossible de faire machine arrière. C’est ce que j’appelle l’effet “dentifrice hors du tube”.

Classement des IA génératives concernant la protection des données
D’après l’enquête d’Incogni , toutes les plateformes n’offrent pas le même niveau de respect de la vie privée. Voici un aperçu du classement 2025 (attention, tout peut changer à la vitesse de l’éclair) :
Plateforme | Respect des données personnelles | Possibilité d’opt-out pour le training | Transparence | Partage étendu des données |
---|---|---|---|---|
Mistral | Très bon : collecte limitée | Oui | Moyen | Peu |
ChatGPT (OpenAI) | Bon : collecte modérée, transparente | Oui | Haute | Modéré |
Grok (xAI) | Collecte plus large, transparence partielle | Oui | Moyenne | Modéré |
Claude (Anthropic) | Donne l’assurance de ne pas utiliser les prompts pour l'entraînement | N/A | Haute | Oui, avec des partenaires |
Gemini (Google) | Collecte massive, peu de transparence | Non | Faible | Élevé |
Meta AI | Collecte massive, partage au sein du groupe | Non | Faible | Très élevé |
DeepSeek | Collecte importante, peu de transparence | Non | Faible | Élevé |
Copilot (Microsoft) | Modéré, mais ambigu selon la plateforme | Oui | Faible | Oui, avec annonceurs |
Quelques points à retenir :
- Les plus gros, comme Meta AI et Gemini, sont assez mauvais concernant le respect de la vie privée.
- Les sociétés européennes (Mistral) et OpenAI sont plus respectueuses (pour l’instant).
- Même les plateformes qui promettent de ne pas utiliser vos prompts pour le training reconnaissent une utilisation massive de “données publiques”, autrement dit : ce que vous laissez traîner en ligne.
Une fois que les IA génératives et leurs écosystèmes ont mis la main sur vos fragments de vie, la suite est mécanique. Il y a croisement de vos infos pour générer un profil ultra-ciblé à partir d’un simple pseudo/patronyme. Vos données sont ensuite revendues à des brokers, qui les exploitent de façon industrielle (business de plusieurs centaines de milliards de $ à la clé). Ensuite on a droit à la création de scénarios de phishing ultra crédibles (référence à vos vrais employeurs, vieux contacts, etc.), voire usurpation d’identité facilitée (faux profils, demandes administratives, crédits…). Bref c’était déjà la merde avant l’IA et ça va s’empirer.

Face à ce phénomène, la loi tente de suivre (RGPD en Europe, début de réglementation en Californie avec le DELETE Act…), mais reste bien souvent larguée par la techno. Autant dire qu’il vaut mieux ne pas compter dessus.
Comment limiter la casse : réflexes & méthodes
Avant même de parler d’outils, je vous rappelle les bases. Ne laissez JAMAIS d’infos sensibles dans un prompt envoyé à une IA, même en “anonyme”. Passez régulièrement vos noms/alias/adresses au crible des moteurs de recherche pour avoir la vision publique de votre eprsonne. Vous pouvez aussi rendre vos profils sociaux privés, supprimez les vieux comptes dormants ou juste tout quitter comme je l’ai fait. Pensez aussi à utiliser de courtes variantes de pseudos/passwords pour limiter l’effet cascade en cas de fuite.
Mais ça, c’est l’ABC. Vous faites déjà tout ça non ? Pour aller plus loin, et ne pas passer ses soirées à envoyer des demandes de déréférencement à la chaîne… place aux outils spécialisés.
Incogni, l’outil utile pour passer à l’offensive
Voilà pourquoi Incogni , développé par Surfshark, est l’un des rares services à avoir pensé ce problème du bon côté. Non, ils ne traquent pas vos prompts IA, mais ils s’occupent pour vous de ce que les brokers détiennent sur vous.
En résumé il se charge automatiquement de contacter les centaines de data brokers qui ont potentiellement vos infos et gère pour vous les demandes de suppression, le suivi et les relances. Plus de 100 000 utilisateurs européens ont déjà lancé un grand ménage numérique via le service.
À partir de l’étude 2025 citées ci-dessus, Incogni insiste sur : la transparence totale sur la collecte/traitement des données, la possibilité de retirer très simplement ses données de nombreuses bases (sous réserve de législation locale, bien sûr) et recommande d’éviter celles qui n’offrent aucune clarté ou option d’opt-out. Cela dit ce n’est pas magique : “effacer” sa présence totale en ligne reste presque impossible. Mais avec Incogni, vous pouvez drastiquement limiter la surface d’attaque pour les arnaqueurs et brokers.

L’avenir de la privacy face à l’IA
À mesure que l’IA progresse, la barrière entre vie privée et “open data” explose. Certains fournisseurs d’IA s’améliorent alors que d’autres assument un business model intégralement fondé sur la collecte et la redistribution de vos vies numériques.
La meilleure protection ? Rester informé (lisez mes news haha), lire les classements indépendants, choisir les outils qui offrent le maximum de contrôle et, pour tout ce qui a déjà “fuité”, passer à l’action avec des outils de nettoyage comme Incogni avant que le dentifrice soit vraiment partout…
Rappelez-vous : une requête innocente à ChatGPT, et c’est tout votre historique en ligne qui peut refaire surface. L’IA peut vous aider à trouver des infos, mais elle permet aussi aux escrocs… d’en trouver vous concernant. À méditer !
→ Cliquez ici pour tout savoir sur Incogni ←
Surfshark One, la suite cybersécu qui vous aide à mieux dormir
3h37… la cafetière grogne comme un vieux moteur diesel et moi je fixe l’écran de mon PC avec cette fichue pièce jointe .exe qui vient d’atterrir. Le titre ? « Facture impayée ». L’expéditeur ? Un coréen dont le nom ressemble à un captcha mal imprimé. Mon doigt tremble au-dessus du trackpad, et déjà mon cerveau me hurle : « Ne clique pas, gros malin. » Mais je suis crevé, ça fait 36 heures que je vous ponds des articles à la chaine … je n’ai même pas le temps de réfléchir au risque que mon doigt à déjà cliqué par réflexe. Heureusement, Surfshark One est déjà en action.
En arrière-plan, sans que je bouge un cil, mon IP saute de Paris à Tokyo, puis à Toronto, puis à Sydney. Le botnet qui espionne ma ligne voit 4 continents défiler en moins de dix secondes ; il perd la trace, panique, et abandonne la connexion. Pas de lag, pas de coupure sur la série Netflix qui tourne en fond sur la télé, juste un léger pictogramme qui clignote dans la barre des tâches pour me dire « déplacement en cours ». Je souris, je n’ai même pas eu besoin d’ouvrir l’appli.

Le fichier .exe téléchargé par mégarde démarre dans un bac à sable invisible. L’antivirus Avira (assisté par IA) observe : tentative d’accès à la webcam, requête vers un domaine .onion, écriture dans le registre. Le verdict tombe en 0,2 seconde : comportement suspect = quarantaine immédiate. Je n’ai même pas le temps de voir la pop-up ; l’icône du bouclier redevient verte, le fichier est déjà mort et enterré dans le Cloud Protect System. Le tout sans que mon CPU ne grimpe au-dessus de 12%. Mon ordinateur continue de diffuser Spotify comme si de rien n’était.
Pendant que le malware agonise, Alert scrute déjà ses bases de fuites recensées. Mon adresse mail apparaît dans une liste fraîchement publiée sur un forum russe. Ping : notification push, SMS de secours, et un lien « Change ton mot de passe en un clic ». J’appuie (encore par réflexe conditionné, je clique tout ce qui passe ce soir), je tape « bonne-nuit-les-pirates-2025 », et c’est réglé. Trois secondes plus tard, je reçois un rapport écrit en français clair : « Aucune carte bancaire ni ID n’ont fuité, tu peux dormir tranquille. »
Mais vous me connaissez, je veux comprendre ce virus. J’ouvre Surfshark Search à 3h56, je tape « ransomware polymorphe 2025 ». Résultats : zéro pub, zéro tracker, zéro suggestions étranges sur la page de recherche. Deux liens vers des analyses techniques, un thread Reddit ultra frais. Je découvre que la même attaque a déjà visé au moins 400 personnes ces dernières heures, mais que la dernière signature est déjà dans la base virale de Surfshark depuis… 3 h 49. Autrement dit, la suite m’a protégé avant même que je ne sache vraiment par quoi j’étais visé.

Puisque j’aime vivre dangereusement, je décide de tester un site de téléchargement parmi les plus douteux pour voir si je peux réitérer l’attaque. Je clique sur « Créer un alias ». Surfshark me file instantanément « Manolo Korbera, 33 ans, Porto, plutôt bg », avec un mail @surfshark.net. Je l’utilise, je télécharge le fichier suspect, rien ne se passe : l’alias reçoit le spam, pas moi. Dans le dashboard, je clique sur « Supprimer l’alias ». Manolo disparaît, comme s’il n’avait jamais existé. Mon vrai mail reste vierge. J’aurais dû y penser à 3h37 avant le premier clic.
3h23. Woaw. Il ne s’est rien passé. Je n’ai pas cliqué sur le .exe, c’était un rêve, je me suis juste endormi sur ma chaise et à mon âge ça fait mal au dos. Un coup d’oeil rapide sur l’écran, les quatre icônes de Surfshark One clignotent calmement : VPN vert, antivirus vert, Alert vert, Search vert. Je vide ma tasse de café froid, j’éteins la lumière, et je vais enfin me coucher tranquille. Sachant que la suite continuera de s’améliorer pendant que je dors : nouvelles signatures, nouvelles adresses IP, nouvelles menaces anticipées.

Juste avant de fermer les yeux, je me souviens de ce à quoi je pensais avant de sombrer la première fois : la nouveauté Surfshark Everlink.
Grâce à une infrastructure brevetée, Surfshark redirige maintenant le tunnel vers un serveur sain automatiquement s’il y a coupure. Vous ne remarquez même pas le changement, votre IP reste cachée, votre binge YouTube ne s’interrompt pas. Votre connexion VPN devient une sorte de passerelle magique : même si le serveur sur lequel vous êtes tombe en panne ou passe en maintenance, Everlink recolle le lien en temps réel sans jamais vous déconnecter.
Contrairement au classique « kill switch » qui coupe Internet quand le VPN lâche, Everlink guérit la connexion avant qu’elle ne meure. Résultat : zéro déconnexion, zéro exposition, même en pleine heure de pointe ou sur un Wi-Fi d’aéroport douteux. Disponible par défaut avec le protocole WireGuard sur tous vos appareils, et sans surcoût, c’est la sécurité qui roule en pilote automatique.
Je vais enfin pouvoir dormir sur mes 2 oreilles. Surtout que pour en profiter, la suite complète ne coûte que 61,83 € pour 27 mois (soit 2,29 € TTC par mois). C’est pas cher payé pour éviter des cauchemars.
Gardez une longueur d’avance ? Surfshark One est là pour vous.
Meilleur VPN 2025 : comparatif complet et guide essentiel
Comparatif VPN 2025 avec tests, vitesse, sécurité et prix. NordVPN, ExpressVPN, CyberGhost, Surfshark. Trouvez la solution adaptée à vos usages.
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Pourquoi les fuites explosent en France (et comment vérifier si vos infos sont dans la nature)
2024 aura été une année noire pour la cybersécurité hexagonale. Adidas, Ticketmaster, et même des organismes publics français (Urssaf, France Travail …) : les fuites de données s’enchaînent à un rythme inquiétant. Des millions de comptes clients chez Adidas, des paiements et infos persos siphonnés chez Ticketmaster, et des centaines de milliers de dossiers issus du secteur public, santé et éducation compris, balancés sur le web ou le dark web.