Des chercheurs français ont étudié le rôle de l’amygdale du cerveau dans la régulation des émotions chez la souris. En mettant en lumière les mécanismes du "biais de négativité", cette étude, qui mêle recherche fondamentale et clinique, ouvre la voie à de nouvelles perspectives thérapeutiques.  

Le biogaz serait amené à remplacer le gaz fossile, dit "naturel". Mais pour être utilisé dans les réseaux de gaz de ville, le biogaz doit être purifié pour devenir du biométhane. Exemple à la station d’épuration Seine Valenton, qui transforme ses boues en biométhane.

Deux laboratoires de l’Université de Columbia ont mis au point un vaccin bactérien anticancéreux. Pour le moment testé sur des souris, le vaccin est composé de bactéries programmées pour engendrer une réponse immunitaire efficace. Une nouvelle technique qui ouvre la voie à des vaccins personnalisables. Explications avec Mathieu Rouanne, un chercheur français co-auteur de l’étude.

Au sommaire des ultrabrèves du 29 octobre 2024 : un atlas embryonnaire révolutionnaire fait l'objet d'une nouvelle étude, la fin de vie tragique d'un oiseau migrateur retracée et la 9e édition du Mois sans tabac débute bientôt. 

En pleine séance de jeu ou pendant un moment de caresses, il arrive que les chats mordillent, voire mordent. Comment interpréter ces comportements ? Réponse de Charlotte de Mouzon, docteur en éthologie et consultante en comportement du chat.

Le Mois sans tabac débute dans quelques jours sa 9e édition avec toujours le même objectif : encourager les fumeurs à arrêter de fumer et les accompagner dans cette période difficile en créant un élan collectif.

Les feux de forêts sont de plus en plus étendus, et brûlent au moins deux fois plus de végétations qu’il y a 20 ans. En conséquence, les émissions de CO2 liées aux feux de forêts ont augmenté de 60% sur la période 2001-2023. Une étude publiée dans la revue Science revient sur les causes et les risques liés à cette augmentation.

Une équipe de chercheurs de Boston, Newcastle et Cambridge a cartographié les cellules de la peau humaine grâce à l’usage d’un organoïde créé en laboratoire. Les résultats, publiés dans la revue Nature, sont prometteurs pour l’avenir de la médecine régénérative, mais pas seulement.