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PHOTOS - Citroën, Renault, Peugeot, etc. 10 nouveautés françaises incontournables de 2025

L'année 2024 touche à sa fin et les festivités de fin d'année battent leur plein. Entre deux repas, quoi de mieux que de faire le point en images sur les grandes nouveautés automobiles tricolores de l'année à venir. En avant ! Au rang des nouveautés, toutes les marques françaises grands publics sont servis. Chez Renault, nous aurons la sortie de la Renault 4 électrique accompagnée par le Renault 5 électrique à moins de 25 000€ qui portera le nom de Five. Chez Citroën, nous serons servis aussi avec la sortie du duo C4 - C4 X restylée, la présentation de la version de série de la C5 Aircross ainsi qu'une version à moins de 20 000€ de la C3 électrique. Ce sera plus calme chez Peugeot avec le restylage de la 308. Il y aura également du nouveau chez Alpine avec le SUV - coupé électrique A390 dont un concept a été dévoilé en octobre dernier lors du Mondial de l'Auto. Enfin, chez DS, ce sera la sortie de la DS N°8. On ne peut pas non plus exclure une présentation de la DS N°7. Sur le même sujet : Les nouveautés 2025 d'Audi en images Les nouveautés 2025 de Renault en images Les nouveautés 2025 de Citroën en images Les nouveautés 2025 de Jeep en images Les nouveautés 2025 d'Alfa Romeo en images Les nouveautés 2025 de Toyota en images

Le vénérable Lada Niva se met au sport, avec des équipements de pointe

Toujours vendu en Russie, le 4x4 pur et dur enfile sa tenue de sport et reçoit un moteur bien plus puissant. Vous en connaissez beaucoup, vous, des voitures produites sans interruption depuis près de 50 ans ? C'est pourtant le cas du Lada Niva lancé en 1977 et toujours commercialisé dans son pays d'origine. Eh oui ! En guise de cadeau de Noël, le groupe Avtovaz vient même de lancer la production d'une variante énervée du baroudeur baptisée sobrement “Sport”. Lire aussi - L'ABS fait son come-back dans le Lada Niva 122 pur-sang Et il ne fait pas que semblant puisque son moteur 16 soupapes d'une cylindrée non précisée développe, tenez-vous bien, la puissance phénoménale de 122 chevaux ! Cela n'a l'air de rien mais c'est une nette progression par rapport au 1.7 de 83 ch que nous avons connu fut un temps. Le couple n'est pas en reste avec 151 Nm, 22 Nm de mieux. Et il faudra pour les amateurs aller les chercher dans les tours puisque ce couple maximal est atteint au régime de 5 000 tr/min.  Ces premières caractéristiques vous ont mis l'eau à la bouche ? Sachez, pour ne rien gâcher, que la transmission manuelle à 5 rapports a été renforcée pour encaisser cette débauche de puissance. Et pas d'inquiétude, il y a toujours une boîte courte pour évoluer sur les terrains les plus difficiles. Lire aussi - Le Lada Niva de vos rêves coûte une fortune

Alliance Nissan - Honda : les discussions sont ouvertes, une fusion espérée courant 2025

Les rumeurs disaient vrai au sujet d'une potentielle fusion entre Nissan et Honda. Cela a été confirmé ce jour dans un communiqué par la première des deux marques citées. Nous avons eu l'occasion de l'évoquer ces dernières semaines, Nissan est mal en point. Tellement mal en point que le constructeur japonais va devoir tailler dans sa masse salariale. Et si le chiffre est moins impressionnant que le groupe Volkswagen, qui a annoncé la suppression de 35 000 emplois, les 9 000 suppressions de postes prévues par Nissan sont loin d'être négligeables. Il fallait agir. Or, depuis quelques jours, il se murmurait que le salut pourrait venir d'une probable alliance avec Honda. C'est juste, Nissan a confirmé cette rumeur en ce début de semaine. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Honda Une fusion pour devenir le n°3 mondial de l'automobile Les négociations sont ouvertes de manière officielle, rien n'est encore acté. Un calendrier précis a pourtant été partagé. Objectif principal : parvenir à une fusion en juin 2025. Cela ferait de Honda-Nissan le numéro trois mondial après Toyota et Volkswagen et devant Stellantis. Mitsubishi devrait les rejoindre un peu plus tard. L'entité créée serait introduite en Bourse l'année suivante. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Nissan Carlos Ghosn sort du silence On ne s'attendait pas nécessairement à entendre parler de lui mais l'ex-patron de l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi Carlos Ghosn - toujours au Liban après sa fuite rocambolesque - a tenu à faire connaître sa position sur ce sujet. Il a fait savoir à la télévision américaine avant même l'annonce officielle qu'il s'agissait selon lui d'un “geste désespéré”. Il estime que cette fusion ne servirait à rien puisque Nissan et Honda sont sur les mêmes marchés et leur offre produits est trop similaire. Reste à voir comment les investisseurs vont réagir, eux, tout en sachant que ces derniers jours, les rumeurs d'une potentielle fusion ont profité à la cotation en Bourse de Renault. Crédit photo : Nissan.

PHOTOS - Le Rolls Royce Cullinan restylé déjà revu par Mansory

Remodelé en mai dernier, le SUV ultra-luxueux profite aujourd'hui d'une préparation signée Mansory… qui ne devrait pas être du goût de tout le monde. À vous d'en juger avec les photos. Pour son restylage de mi-carrière, Rolls Royce n'a pas fait les choses à moitié pour son SUV avec des modifications bien visibles, surtout à l'avant, avec notamment une signature lumineuse démarrant toujours au-dessus des phares mais descendant désormais amplement sur le bouclier avant. Des évolutions qui, sans le métamorphoser pour autant, modifient assez radicalement son regard. Mais puisqu'on parle de métamorphose, comment ne pas évoquer les nouvelles préparations réalisées par le spécialiste allemand Mansory ? Voir aussi - notre page dédiée aux nouveautés Rolls-Royce Deux Cullinan pour le prix d'u… euh… de quatre Ce sont en effet deux exemplaires que Mansory affiche fièrement dans son dernier communiqué. Une livrée gris clair avec des éléments bleutés (au niveau de la calandre, du Spirit of Ecstasy ou encore du fin trait latéral) et une autre presque entièrement noire mais avec des éléments contrastés façon marbre. Ils ont néanmoins quelques points en commun. À l'image du motif en lamelle de la calandre repris sur les entrées d'air latérales et inférieures lui donnant un air carrément féroce ou encore le fait qu'ils sont équipés d'une double sortie d'échappement plus suggestive. Deux sorties hexagonales placées sur le diffuseur sur le modèle gris et deux doubles sorties en forme de parallélogrammes placées sur les côtés. Voir aussi - notre page dédiée au Rolls-Royce Cullinan Des performances plus que “suffisantes” Sur le plan technique, ces Cullinan reprennent naturellement le V12 6.0 ¾ de 600 ch et 900 Nm mais dans une version portée 720 ch et 1 050 Nm. Les accélérations sont donc rapides, y compris pour une Rolls Royce, avec un 0 à 100 km/h pouvant être abattu en 4,8 secondes. La vitesse de pointe est limitée électroniquement à 250 km/h. Le prix n'a pas été partagé mais on imagine qu'il faudra a minima doubler la mise… Lire aussi - Rolls-Royce Cullinan : le temple greco-anglais s'offre un restylage !

PHOTOS - Firefly EV : cette concurrente chinoise de la Mini Cooper électrique va-t-elle débarquer chez nous ?

On n'arrête plus les constructeurs venus de Chine. En 2025, de nouveaux entrants vont faire leur arrivée en Europe. Polestar ou encore Firefly, nouvelle et troisième marque du groupe Nio, lequel est déjà présent chez certains de nos pays européens et pourrait justement faire son entrée dans l'Hexagone à cette même période. La Firefly pourrait-elle débarquer un peu avant. Chez nous aussi ? Des atouts pour l'Europe et la France Que le Vieux Continent soit considéré de très près par le premier modèle de Firefly qui porte le même nom que la marque, cela se comprend. Avec ses dimensions réduites (non précisées, mais elles se situeraient quelque part entre une Mini et le SUV Smart #1), son look sympathique à mi-chemin entre la Mini Cooper électrique (qui serait clairement sa concurrente principale) et la Honda e dessiné en Europe par un ancien de chez BMW et ses motorisations électriques, elle a de sérieux atouts pour s'imposer. Petite mais pratique, elle dispose - chose unique dans la catégorie - d'un petit coffre sous le capot avant (un frunk, pour les connaisseurs) d'un beau volume : 92 litres. On connaît également la valeur du coffre avec les sièges repliés : 1 250 litres (c'est mieux que le Smart #1 et ses 986 litres). Hélas, c'est tout ce que nous savons à son sujet. Puissance des moteurs, architecture de traction ou de propulsion, nombre de batteries proposées (une ou plusieurs, capacité), rien n'a été été précisé à ce stade. Voir aussi - notre page dédiée aux nouveautés et essais Nio Un prix plus agressif Si, une chose tout de même, le prix de base annoncé à 148 800 yuans (environ 19 600 €), un peu plus bas qu'une Mini Cooper électrique de base (189 800 ¥, autour de 25 000 €). Comme toujours, il est agressif. Elle sera lancée dès le mois d'avril en Chine et sa venue en Europe - on l'a dit - est déjà actée. Reste à savoir si la France sera concernée. Une production en Chine serait un frein entre des droits de douane trop élevés au niveau européen et la quasi-certitude qu'elle ne soit pas éligible au bonus dans l'Hexagone.

PHOTOS - Junior, Tonale et Stelvio au programme des nouveautés Alfa Romeo pour 2025

La stratégie de renouveau d'Alfa Romeo n'a pas encore porté ses fruits sur le plan commercial. Il n'empêche que le constructeur italien a quelques atouts dans sa manche pour faire parler d'elle l'année prochaine. Comme beaucoup de constructeurs, l'année 2024 est difficile pour Alfa Romeo. Ses ventes sont en recul. De l'ordre de 13% à l'échelle européenne. Le Tonale et le nouveau Junior n'ont pas encore permis au constructeur de retrouver sa gloire d'antan. Toutefois, ce sont deux modèles sur lesquels elle compte en 2025 pour retrouver des couleurs. Et pas seulement. On fait le point sur ce qu'Alfa Romeo pourrait / devrait annoncer l'année prochaine. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Alfa Romeo

Toyota bZ4X : changement de nom pour le SUV électrique ?

Le SUV compact électrique va changer de nom au Canada. Se peut-il que ce soit le cas ailleurs ? Nos pronostics. Si Toyota est le maître incontesté de la technologie hybride auto-rechargeable, le constructeur japonais brille moins sur les autres formes d'électrification. Des véhicules hybrides rechargeables et électriques, il y en a bien quelques-uns mais peu. La gamme zéro émission ne comprend ainsi que des véhicules utilitaires conçus en partenariat avec Stellantis et un modèle 100 % Toyota… qui peine à se faire un nom dans la catégorie des SUV compacts électriques. Depuis le début de l'année, 22 559 exemplaires ont été immatriculés… en Europe. Le Tesla Model Y, bien qu'en petite forme, peut dormir sur ses deux oreilles avec 180 682 unités écoulées sur la même période. Un manque de succès qui fait qu'on s'interroge en interne. Parmi les possibles raisons expliquant son manque de succès, il y aurait son appellation complexe. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Toyota Beyond zero Une appellation qui nécessite - il est vrai - un décryptage pour la comprendre. “bZ” est la contraction de “beyond Zero” car ce modèle est zéro émission. “4” car il s'agit d'un véhicule de taille moyenne. Plus on descend en gamme et plus on s'approche du zéro et inversement. Enfin, il peut y avoir une lettre supplémentaire comme ici un “X” signifiant qu'il est un crossover. Mais on peut également trouver un “C” pour coupé. Selon nos confrères québécois de Motor Illustrated, cette complexité aurait convaincu Toyota de revoir sa copie. Le responsable Toyota de la zone Québec et Canada Atlantique a ainsi annoncé qu'il va bientôt changer de nom. Voir aussi - notre page dédiée au Toyota bZ4X Pas avant 2026 sans doute Ce ne serait pas exactement pour tout de suite. Sachant que le millésime 2025 a déjà été lancé, les paris sont lancés sur le modèle 2026. Il n'est pas dit que ce changement se fasse partout dans le monde. Pourtant, nous avons des raisons d'y croire. Lire aussi - Nouveau RAV4, Urban Cruiser électrique, Yaris, etc. Quelles nouveautés chez Toyota en 2025 Le cas de l'Urban Cruiser Récemment, Toyota a levé le voile sur son tout nouveau véhicule 100 % électrique. Tout le monde imaginait qu'il allait prendre l'appellation bZ2X. Et pourtant, la marque nippone a préféré ressortir une vieille appellation du placard, Urban Cruiser. Un nom qui avait été porté par un SUV urbain vers la fin des années 1990 et qui n'avait pas rencontré le succès escompté. Dans ces conditions, et sachant que le bZ4X devrait justement être restylé dans le courant de l'année à venir, on verrait bien Toyota en profiter pour modifier le nom de son SUV zéro émission. Source.

Nouveau RAV4, Urban Cruiser électrique, Yaris, etc. Quelles nouveautés chez Toyota en 2025

4e marque la plus vendue sur notre territoire, Toyota est en pleine forme. L'année prochaine, elle pourra compter sur de nombreuses nouveautés, dont deux très importantes. Sur un marché en baisse de presque 24 % depuis le début de l'année, Toyota fait mieux que se défendre avec des ventes en progression de près de 22 %. Son secret ? Toujours le même, l'hybridation. Alors que les modèles électriques stagnent sur le plan commercial, freinés par une conjoncture non favorable et de nombreuses incertitudes quant à leur avenir (tous les constructeurs reviennent en arrière sur leur stratégie d'électrification), les Français font néanmoins attention à leurs rejets de CO2 et l'hybride gagne toujours plus de terrain avec 41,8 % de part de marché pour toutes les formes cumulées (légère, full hybrid et hybride rechargeable). La marque nippone en profite clairement avec ses Yaris et Yaris Cross qui se vendent toujours aussi bien, le dernier venu ne cannibalisant pas les ventes de l'autre - ce qui est assez rare pour être souligné. Le nouveau C-HR pullule déjà sur nos routes. Quant à la Corolla, elle continue à progresser malgré son grand âge (elle a été lancée en 2018). En résumé, l'avenir est plutôt radieux. Et, de toute façon, elle pourra compter sur une ribambelle de nouveautés en 2025 pour conforter ce beau succès. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Toyota

Leapmotor C10 : une version électrique avec prolongateur d’autonomie en approche

Lancé en même temps que la mini-citadine T03 a fait son retour, le SUV compact n'était jusque-là disponible qu'en électrique. Une nouvelle variante avec prolongateur d'autonomie sera lancée au Salon de l'automobile de Bruxelles. Même si l'on avait appris aux essais presse des T03 et C10 que Leapmotor - la nouvelle acquisition d'origine chinoise du géant automobile - pourrait lancer des voitures électriques avec prolongateur d'autonomie, nous ignorions que le SUV familial C10 serait le premier à profiter de cette solution. Ce sera le cas et il sera exposé au Salon de l'automobile de Bruxelles en janvier. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Leapmotor Le Leapmotor C10, c'est quoi déjà ? Pour rappel, le C10 est un SUV de grande taille (4,74 m) ayant dans son viseur des modèles comme le Peugeot e-5008 (4,79 m) ou le Tesla Model Y (4,75 m). Par ses prix, il évolue plutôt néanmoins deux catégories en dessous avec un ticket d'entrée inférieur, à peine au-dessus des 36 000 €. C'est moins qu'un Peugeot e-2008 (39 250 €) pourtant 44 cm plus courts. Ultra-concurrentiel. Une autonomie limitée En contrepartie, il fallait se contenter d'une batterie assez juste pour la catégorie (69,9 kWh) et donc d'un rayon d'action limitée (420 km au mieux selon la marque). De quoi freiner les familles en quête d'un véhicule polyvalent. Lire aussi - La Leapmotor T03 n'est toujours pas éligible au bonus, la Dacia Spring reste la voiture électrique la moins chère en France

PHOTOS - Peugeot Quasar : 40 ans après, le 1er concept de la marque renaît de ses cendres

Comment fêter dignement les 40 ans du tout premier concept-car signé Peugeot ? Avec une version revisitée pardi ! Place aux photos. Nouvel hommage à la Peugeot 205 Non, le Quasar - c'est le nom de ce showcar - n'est pas une Peugeot 205 à proprement parler. Mais ces deux véhicules ont un point en commun : le designer Gérard Welter. Cette parenté se retrouve au niveau du dessin de la calandre du Quasar, clairement inspiré par celui du sacré numéro de Peugeot. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Peugeot         Voir cette publication sur Instagram                       Une publication partagée par Matthias HOSSANN (@matthias.hossann) Inter-quasar Une caractéristique que l'on retrouve sur le Quasar revisité par les équipes actuelles du design Peugeot présidée par Matthias Hossann. Les trois fines bandes de carrosseries superposées sont de retour. Au centre trône néanmoins le logo actuel de la marque. Ils sont entourés par des phares évoquant ceux du concept Inception dévoilé au CES de Las Vegas en 2023. On retrouve ainsi dans l'habitacle le fameux volant carré Hypersquare qui devrait faire son apparition dans les prochains modèles Peugeot. En premier lieu les futures Peugeot 208 et 2008.         Voir cette publication sur Instagram                       Une publication partagée par Matthias HOSSANN (@matthias.hossann)

2024, encore une belle année pour la Renault Clio ?

On pensait que la Peugeot 208 allait de nouveau prendre l'ascendant sur elle, la citadine au Losange a finalement réalisé une remontée assez spectaculaire en fin d'année. Et même au niveau européen, ses performances commerciales forcent le respect. Tous les ans, à la même période, la question se pose. Qui de la Renault Clio ou de la Peugeot 208 sera la citadine préférée des Français ? N°1 des ventes en 2023 avec 97 421 exemplaires immatriculés sur l'année complète, la Renault Clio avait assez nettement devancé sa rivale de toujours la Peugeot 208 (86 263 unités sur la même période). Seulement, depuis le début 2024, c'est cette dernière qui avait pris la tête des ventes. À quelques jours de la fin de l'année, la lutte est plus acharnée que jamais. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Renault Une centaine d'unités d'écart Au dernier décompte, seuls 165 exemplaires séparent la Clio de la 208 avec un avantage pour cette dernière. Tout va se jouer sur le mois de décembre. Et a priori, c'est la Renault qui dispose d'un avantage puisque l'écart s'est nettement resserré. En juin, la Lionne la devançait de 2 576 exemplaires. Elle pourrait bien être la meilleure vente en France pour la 2nde année consécutive. Trop proche sur le plan du style par rapport à sa devancière, la 5e génération n'était jamais parvenue jusque-là à revenir en tête. Il semble bien que le restylage de mi-carrière ait porté ses fruits. Des ventes en baisse en 2024 Pas de quoi pavoiser pour autant, le marché du neuf n'est pas au meilleur de sa forme et cela se ressent dans la mesure où, au global sur les 11 premiers mois de l'année, les ventes de la Clio sont en régression dans l'Hexagone avec -7,3 %. Il semble illusoire qu'elle dépasse la barre des 90 000 exemplaires comme en 2023 (81 414 à date). A contrario, la 208 a réalisé un meilleur exercice pour le moment (+1,4 %). Voir aussi - notre page dédiée à la Renault Clio Une deuxième place en Europe ? Autre match très serré, celui qui l'oppose à la Volkswagen Golf en niveau européen : 198 866 exemplaires de janvier à novembre pour cette dernière, 195 930 pour la Renault. Le Tesla Model Y, ancien n°1, est aujourd'hui dépassé avec 180 682 unités. Largement en tête, on trouve la Dacia Sandero, 245 646 ventes, signe des temps qui courent. Plus que des voitures électriques, ce sont des véhicules pas chers qu'attendent les Européens. Progression des ventes de la Clio en Europe Pour en revenir à la Clio, sa progression (+9 %) est moins forte que la Golf (+20 %). Là aussi, tout va se jouer sur les derniers jours.Une belle performance pour un modèle en fin de vie. De quoi envisager sereinement l'avenir alors que sa remplaçante se profile à l'horizon. Lire aussi - notre essai de la Renault Clio restylée dans sa version la moins chère

Nouveau BYD Atto 2 : la voiture électrique du succès en France pour la marque chinoise ?

BYD se prépare à lancer un petit SUV électrique en Europe, l'Atto 2. Avec de multiples atouts sur le papier, il pourrait rencontrer le succès. Nos confrères britanniques d'Auto Express sont formels, le petit SUV électrique dévoilé en Chine en début d'année par BYD - le Yuan Up - va bientôt arriver sur leur territoire mais il prendra l'appellation Atto 2. A priori, il n'y a pas de raison pour que nous ne soyons pas concernés à notre tour par ce véhicule, d'autant plus qu'il dispose d'atouts intéressants pour s'imposer, davantage que les autres modèles de la gamme déjà vendus en France. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés BYD Un véhicule compact 4,31 m de long, 1,83 m de large et 1,68 m de haut, ses dimensions font de lui un rival tout désigné des Peugeot e-2008, Suzuki e Vitara et Citroën ë-C3 Aircross. Alors certes, il existe déjà un véhicule de petite taille chez BYD, la Dolphin, mais cet Atto 2 a un petit truc en plus, c'est un SUV, soit la carrosserie la plus en vogue à l'heure actuelle. Cette descente en gamme pourrait être salutaire au constructeur asiatique, lui qui vend pour le moment surtout de grands SUV. 300 km d'autonomie Il va arriver dans une catégorie très disputée, aura un look passe-partout et ne pourra certes pas compter sur un blason très connu mais il n'aura sur le papier pas grand-chose à leur envier sur le plan technique. Un poids raisonnable, sous les 1 600 kg. Une belle puissance avec 130 kW (environ 177 ch). La batterie de petite capacité, 42,4 kWh selon les données partagées par l'organisme Green NCAP qui l'a soumis à son protocole d'étude, ne lui permet pas de traverser la France avec à peine plus de 300 km de rayon d'action mais il pourrait contrebalancer cela avec des tarifs étudiés. En Chine, il démarre à environ 13 000 € et coûte un peu moins de 16 000 € dans sa version de pointe. Lire aussi - BYD Dolphin restylée, Leapmotor B10, SUV Xiaomi… des fuites en pagaille en Chine ! Une potentielle éligibilité au bonus écologique en France Chez nous, le tarif sera plus élevé mais pourrait rester attractif, tradition de marque oblige (même si BYD ne fait pas aussi fort que MG). En outre, il ne sera pas soumis aux nouveaux droits de douane dans la mesure où il sera produit sur le Vieux Continent, en Hongrie, comme confirmé récemment par la responsable de la marque en Europe Stella Li au magazine allemand Capital. Une sortie attendue en 2026 Or, qui dit production non loin de chez nous et gabarit raisonnable dit quasi-assurance de profiter du bonus écologique en France. Avec un tarif étudié, l'Atto 2 pourrait enfin aider BYD à percer et même couper l'herbe sous le pied de MG, le seul constructeur chinois à s'être véritablement imposé jusque-là (sans nul doute grâce à son blason connu des locaux). Constructeurs européens, prenez garde, l'Empire du milieu contre-attaque. Seul petit lot de consolation pour ces derniers, la production des Atto 3 et Dolphin en Europe ne démarrera qu'à la fin de l'année prochaine. Pour l'Atto 2, visons donc plutôt 2026.

Futur DS N°7 (2026) : un moteur électrique mais pas que pour le remplaçant du DS 7

Comme Lancia, la marque premium française s'était fixée pour objectif de ne plus lancer que des modèles 100 % électrique à compter de 2024. Oui mais ça, c'était avant… Décidément, avec le départ de Carlos Tavares, le groupe Stellantis n'en finit plus de multiplier les annonces pour rassurer les investisseurs. Il sera par exemple présent en force au prochain Salon de l'automobile de Bruxelles le mois prochain, avec même davantage de marques qu'au Mondial de l'Auto de Paris en octobre dernier. Surtout, John Elkann - le patron par intérim du groupe - et Jean-Philippe Imparato - ex-dirigeant d'Alfa Romeo et Peugeot aujourd'hui en charge de toutes les marques sur la région Europe - ont tenté d'apaiser le gouvernement italien avec lequel les relations étaient houleuses ces dernières années. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés DS Le tout électrique en pause chez Stellantis La Botte est clairement au cœur des décisions stratégiques du groupe pour les années à venir. Outre la confirmation que la Fiat 500 sera renouvelée en 2030, le plan dévoilé par nos confrères de Quattroruote certifie que Stellantis a bien pris en compte la situation actuelle et décidé de fait de ne pas virer trop vite vers le tout-électrique. La future Gamma de Lancia sera ainsi électrique et hybride, ce qui n'était pas prévu à l'origine, et il en sera de même pour la prochaine mouture du DS 7. Voir aussi - notre page dédiée à la DS 7

Nouveau Hyundai Inster électrique : disponible en 5 places, et éligible au bonus écologique ?

Grâce à un tour de passe-passe ingénieux, le petit Inster pourrait entrer dans la catégorie très peu représentée des voitures électriques à 25 000 € et moins éligibles au coup de pouce de l'État. Cela fait désormais un an que, pour être éligible au bonus écologique en France, les voitures électriques doivent afficher un bon score écologique. Une formule savante a été concoctée par le gouvernement mais, pour faire simple, l'État analyse de très près l'impact environnemental d'un véhicule depuis sa fabrication jusqu'à son utilisation sur la route. Être produit à l'autre bout du monde est en général l'assurance de ne pas pouvoir en profiter mais il existe des exceptions. C'est le cas du Mazda MX-30 produit au Japon, lequel peut compter sur sa batterie de petite taille pour afficher un bon éco-score. Ce pourrait être le cas du nouveau Hyundai Inster, selon le constructeur. Ce petit SUV électrique fraîchement débarqué en France et assemblé en Corée du Sud. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Hyundai Une banquette fixe pour un bonus écologique Pour parvenir à ce résultat, la marque coréenne a décidé de proposer une configuration 5 places en plus de la version 4 places disponible depuis le lancement. Une variante 5 places qui “répond aux critères d'éligibilité au bonus écologique” selon les mots du constructeur. En contrepartie, il faudra se satisfaire d'une modularité plus basique avec une banquette non plus coulissante mais fixe. Elle n'est plus également réglable en inclinaison mais heureusement toujours rabattable (60/40). Et le volume de coffre est respectable (280 litres) pour un si petit véhicule (3,82 m de long). Reste à voir si l'espace aux jambes demeure correct mais étant donné son excellent rapport encombrement-habitabilité, cela ne devrait pas être un souci. Et puis, pouvoir obtenir le bonus vaut bien un sacrifice. Voir aussi - notre page dédiée au Hyundai Inster

PHOTOS - Nouveau SUV électrique Zeekr 7X : un nouveau concurrent pour le Tesla Model Y ?

Zeekr ne vous dit peut-être rien, c'est l'une des nombreuses marques du groupe chinois Geely. Proche dans l'esprit de Polestar, l'ex-division sportive de Volvo qui s'est émancipée, ou de Lynk & Co, elle est assez proche dans l'esprit de ses trois cousines. Comme elles, son centre de design se trouve à Göteborg, en Suède, on parlera donc plutôt d'une marque sino-suédoise. Après le break de chasse 01 et le SUV urbain X qui n'est rien d'autre que le jumeau du Lynk & Co 02 vendu depuis peu chez nous, tous deux 100 % électrique, Zeekr investit le segment des SUV familiaux avec le 7X, lui aussi 100 % électrique. Tous trois pourraient débarquer sur nos routes l'année prochaine puisque le constructeur envisage une entrée sur le marché français au premier trimestre. Lire aussi - Zeekr 007, la chinoise qui veut battre la Tesla Model 3 Un design très Lynk & Co Sur le plan du style, tout en étant moderne et en suivant les codes actuels, le look de ce 7X ne surprendra pas… surtout ceux qui connaissent les modèles Lynk & Co. C'est simple, Zeekr et Polestar ont les mêmes codes. Ce grand SUV de 4,79 m de long (4 cm de plus que le Tesla Model Y) fait dans les lignes douces et épurées, utiles pour soigner son coefficient aérodynamique et de facto son autonomie. À l'avant, on trouve une partie ressemblant d'assez près à celle des Lynk & Co 01 et 02 avec pour principale particularité d'avoir un bandeau très fin en guise de phares. Pour le reste, toit flottant de couleur différenciée, profil classique (pas celui d'un SUV-coupé) et grand bandeau à l'arrière, voilà ce qui le caractérise. Bien équipé à l'intérieur L'habitacle est également plutôt convenu avec un grand écran central tactile de 16” placé à l'horizontale depuis lequel on commande presque tout même si on trouve quelques raccourcis en dessous. Le conducteur peut également compter sur une instrumentation numérique sous ses yeux. L'équipement est riche avec par exemple des sièges avant et arrière chauffants, massants à l'avant sur la version haute. L'espace semble généreux mais le coffre n'est pas non plus géant malgré le gabarit : 539 litres + frunk de 66 litres à l'avant contre près d'un mètre cube pour le Model Y. Lire aussi - La Peugeot e-208 n'est plus la voiture électrique la plus vendue en France en 2024 Une recharge très rapide Trois versions seront proposées au lancement. Deux versions propulsion équipées du même moteur de 310 kW (421 ch) et 440 Nm de couple et une variante à transmission intégrale délivrant un total de 470 kW (639 ch) et 710 Nm de couple et accélérant de 0 à 100 km/h en 3 secondes. Batterie de 75 kWh LFP (lithium-fer-phosphate) et autonomie de 480 km pour la première et de 100 kWh NMC (nickel-manganèse-cobalt) et autonomie comprise entre 543 et 615 km pour les deux autres. Des valeurs proches de celles du Model Y. Bâti sur une architecture 800 volts, le 7X est théoriquement capable d'encaisser jusqu'à 480 kW de puissance de charge, une valeur exceptionnelle. Sur un chargeur 360 kW, cela lui permet de récupérer de 10 à 80 % de sa capacité entre 13 et 16 minutes selon la version retenue. Une référence, tout simplement. Un argument qui pourrait faire mouche et l'aider à se tailler une place en France.

Un moteur hybride en plus de l’électrique pour la future Lancia Gamma, pas vraiment une surprise

Le constructeur italien avait pour projet de tourner rapidement le dos au thermique, il n'en sera finalement rien. Pour son renouveau, Lancia avait tout soigneusement planifié. Il était prévu qu'elle lance l'Ypsilon en 2024, la Gamma (le fleuron du constructeur) deux ans plus tard et la Delta en 2028. Il avait également été décidé que l'Ypsilon serait le dernier modèle de la gamme à être proposé avec des motorisations thermiques et électriques. Les véhicules suivants devaient théoriquement abandonner la première des deux solutions. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Lancia Tout fout l'camp ! Seulement, la transition vers le tout-électrique ne se passe pas exactement comme prévu. Pour le moment, les consommateurs sont relativement attentistes. Et si les deux prochaines années pourraient voir les modèles 100 % électrique progresser grâce à l'arrivée de véhicules plus abordables (Renault 4, 5 et Twingo, Cupra Raval, VW ID.2, Skoda Epiq, etc.), les constructeurs ne veulent plus prendre le moindre risque et reviennent presque tous en arrière, Lancia y compris. C'est exactement ce que sous-entend Stellantis lorsqu'il est dit dans le communiqué de presse partagé ce jour que cette décision est “une réponse directe à la dynamique actuelle du marché” ou encore qu'elle “permettra au véhicule de répondre à tout type de besoin de mobilité”. Que cette Gamma soit proposée en hybride, rien de bien surprenant après tout car sa plateforme STLA Medium le permet. C'est la même que les derniers Peugeot 3008 et 5008. Seule la version à hybridation légère a été confirmée dans un document officiel (sans doute le modèle de 136 ch et pourquoi pas la version 4x4 du Jeep Avenger 4xe), pas une potentielle hybride rechargeable reprenant l'ensemble de 195 ch des Peugeot 3008 et 5008. Mais ce serait étonnant que la Gamma n'en profite pas. De quoi se poser des questions pour le nouveau DS N°8… Maintenant, on se pose de sérieuses questions sur le DS N°8, le SUV-coupé dévoilé il y a quelques jours dont cette Gamma se rapprochera grandement par ses dimensions et par son statut et peut-être aussi par son style. Nous avons pourtant posé la question lors de sa présentation et on nous a répondu qu'une adaptation était possible mais qu'elle n'était pas à l'ordre du jour. Ce modèle est censé n'être proposé qu'avec des motorisations électriques. DS Automobiles va-t-elle nous rejouer le coup de Jeep qui n'avait pas pour objectif de faire de l'Avenger un modèle multi-énergies ? C'est plus que probable. Les premiers retours du public seront à n'en pas douter déterminants. Voir aussi - notre page dédiée à la DS N°8

Alfa Romeo Junior : la version 4x4 lancée au Salon de Bruxelles

On attendait sa présentation en début d'année prochaine, le Junior à transmission intégrale fera ses débuts dans la capitale belge courant janvier. Les constructeurs commencent à communiquer sur leur présence au prochain Salon de Bruxelles, lequel devrait devenir de plus en plus populaire avec la disparition de celui de Genève. Le groupe Stellantis qui a pris l'habitude de snober ce type d'événements ou en tout cas de ne pas y participer pleinement sera en force. On en veut pour preuve qu'il sera davantage représenté qu'à Paris en octobre dernier. Abarth, Fiat ou encore Lancia feront le déplacement. Autant de marques qui ne s'étaient pas déplacées dans la capitale française.  Ne vous attendez pas à un torrent de nouveautés, nous avons été davantage gâtés à Paris. On notera surtout la première mondiale de l'Alfa Romeo Junior 4x4 baptisé Q4. Rien de fou mais cette nouveauté pourrait tirer son épingle du jeu car les véhicules de cette taille équipés d'une transmission intégrale sont rares. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Alfa Romeo Les mêmes caractéristiques que le Jeep Avenger 4xe Système hybride 48 volts, moteur 1.2 turbo essence de 136 ch et deux moteurs électriques de 21 kW (57 chevaux) placés à l'avant dans la boîte de vitesses automatique à double embrayage à 6 rapports et sur l'essieu arrière, ces caractéristiques vous disent quelque chose ? Logique, ce sont celles de l'Avenger 4xe dévoilé cette année qui a été - logique ça aussi - le premier modèle Stellantis à profiter de cette solution technique pour des questions d'image. Jeep étant la marque baroudeuse du groupe. On ne serait pas étonné de la voir se décliner sur d'autres modèles comme sur la Fiat Panda par exemple qui pourrait reprendre le patronyme 4x4 bien connu des Français qui vivent à la montagne. Voir aussi - notre page dédiée à l'Alfa Romeo Junior Une transmission intégrale permanente Logiquement, les modes de conduite de ce Junior Q4 comprendront un ayant le même nom que cette déclinaison adaptés aux mauvaises conditions d'adhérence. Enfin, il est doté d'un système garantissant que les quatre roues soient toujours motrices, même si la batterie est déchargée. Prix et date de sortie Le lancement devrait intervenir dans la foulée. Pour les prix, on peut imaginer que ce Junior Q4 se placera entre la version hybride 4X2 de 136 ch et l'électrique de 156 ch, autour de 35 000 €. 

PHOTOS - Le Mercedes Classe G électrique déjà revu par un préparateur

Ce n'était qu'une question de temps avant qu'un préparateur s'attaque au Mercedes Classe G dans sa nouvelle variante zéro émission. Présentation en images de ce Hof Rebel. Hof, si vous nous suivez régulièrement, le nom de ce préparateur d'origine allemande vous dit peut-être quelque chose. C'est à lui que l'on doit le Classe G en l'honneur de Lewis Hamilton découvert il y a quelques jours. Dans la foulée, il a dévoilé deux autres modèles sur base du baroudeur ultime signé Mercedes, dont une sur le nouveau modèle 100 % électrique. Hof Rebel Ce dernier porte le nom Rebel. Ce qui le caractérise, des éléments de camouflage évoquant l'univers des forces armées que l'on retrouve aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur. Deux livrées sont disponibles : une première aux accents rouge, une seconde visible en images mêlant des couleurs plus sobres. Sur le plan technique, Hof n'a pas retouché à la mécanique. On retrouve une puissance de 587 ch, un couple de près de 1 200 Nm et la grosse batterie de 116 kWh. Hof 1955 Outre le Classe G électrique, Hof s'est attaqué de nouveau au modèle AMG. Plutôt “discret” à l'extérieur avec sa livrée grise, son toit et ses jantes noires, il est bien plus puissant que le modèle dont il dérive. Sa puissance ? 722 ch. Le chiffre apparaissant sur le véhicule n'est pas là que pour faire joli, il a une signification. Dans l'habitacle, on découvre une sellerie mariant le cuir noir à un tissu écossais.

Futur Honda Prelude hybride : date de sortie pour la France et révélations techniques

On le sait depuis quelque temps, le coupé sera bientôt de retour sur nos routes. On a désormais une date officielle et quelques informations complémentaires. Après des années à avoir été mises de côté par les constructeurs, les voitures plaisir vont enfin faire leur retour. L'une des premières et principales représentantes de ce mouvement sera la Honda Prelude. Introduit par un concept au Japan Mobility Show au début de l'année 2023, le coupé aboutira à une version de série dont certains pourront profiter dès la fin 2025 et en ce qui nous concerne au premier semestre 2026. Mais que sait-on à son sujet ? Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Honda Une boîte de vitesses qui simule les passages de rapports Pas de transmission mécanique pour le modèle de production, la Prelude sera équipée d'une technologie qui “simule la sonorité et la sensation des changements de rapport automatiques rapides”. Cela vous dit vaguement quelque chose ? C'est la solution pour laquelle a opté Hyundai pour sa Ioniq 5 N. Solution qui a enchanté la presse par son mauvais caractère digne d'une voiture thermique. C'est plutôt de bon augure pour cette Prelude. Un design proche du concept Nos confrères japonais, plus chanceux, ont eu la possibilité d'essayer des exemplaires de pré-série. Bien que camouflés, ils ne peuvent pas dissimuler le fait que les lignes du coupé seront comme prévu très proches de celles du concept. Un intérieur qui rappelle la Honda Civic Pour la première fois, nous avons également pu découvrir l'habitacle de cette Prelude. La disposition des différents éléments à bord est reprise rappelle celle de la Civic dernière génération dont elle sera étroitement dérivée et dont elle reprendra le châssis dans une version raccourcie. Peu de place à l'arrière, au profit du volume de coffre Sa particularité toutefois ? Des sièges baquets enveloppants avec des appuie-tête intégrés et des places arrière exiguës. Selon les informations des journalistes, Honda a préféré miser sur le volume de coffre. Lire aussi - La Honda Prelude est de retour en Europe

ZFE : plus de 2,7 millions de voitures bannies en 2025, êtes-vous concerné ?

Les restrictions de circulation dans les grandes agglomérations françaises vont se multiplier en France à compter du 1er janvier 2025. Quels véhicules n'auront plus l'autorisation de circuler ? On fait le point pour vous. Parce que les Français étaient de plus en plus mécontents, le gouvernement a lâché du lest sur les fameuses Zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) à l'été 2023. Depuis cette date, l'État distingue les ZFE effectives des territoires de vigilance. Les premières qualifient ces villes qui dépassent encore les seuils réglementaires d'oxydes d'azote fixés au niveau européen, et les seconds ceux qui sont dans les clous. Pour améliorer leur bilan, les ZFE-m vont devoir interdire les véhicules Crit'Air 3 à compter du 1er janvier prochain. Pour éviter d'envenimer la situation, les territoires de vigilance vont également devoir sévir davantage à partir de cette même date mais dans une moindre mesure en n'interdisant l'accès qu'aux seuls modèles non classés. Comme si cela ne suffisait pas, chaque territoire peut décider de ses propres règles : fixer des restrictions certains jours ou certaines heures ou interdire davantage de véhicules s'ils le souhaitent. Deux métropoles ont également décidé de n'interdire que les poids lourds (Avignon, Saint-Étienne) pour des raisons obscures. La ZFE de Bayonne ne s'appliquera que le 1er avril, là aussi pour un motif qui nous échappe. La métropole de Perpignan a quant à elle demandé un report d'un an. Bref, un beau bazar pour les Français qui n'y comprennent rien. Le désordre politique actuel n'arrange pas la situation puisque le sujet est totalement mis de côté… et ce, alors que l'échéance approche à grands pas. Nous allons vous aider à y voir plus clair. Quelles sont les villes concernées par les restrictions de circulation ? Pour faire simple, nous l'avons dit, elles sont de deux types. Il y a d'un côté les villes qui respectent et de l'autre celles qui ne respectent toujours pas les seuils réglementaires d'oxydes d'azote. Le Grand Paris et Lyon sont les deux dernières métropoles qui rentrent dans cette dernière catégorie et vont devoir passer à la vitesse supérieure dans quelques jours en interdisant impérativement les Crit'Air 3. Ensuite, il y a les territoires de vigilance. Mais parmi ceux-là, il y a des villes qui avaient déjà mis en place des ZFE avant les annonces de l'été 2023 et qui conservent par simplicité ce terme (Rouen, Strasbourg, Aix-Marseille, etc.) et il y a des villes qui n'ont encore interdit l'accès à aucun véhicule jusque-là et qui vont devoir le faire - qu'elles le souhaitent ou non - à partir du 1er janvier prochain. Nous les regrouperons pour que cela soit plus simple toutes sous l'appellation ZFE non effectives, par comparaison avec le Grand Paris et Lyon qui sont des ZFE effectives. La liste complète des métropoles concernées est la suivante :  Aix-Marseille Amiens Angers Annecy Annemasse Avignon Bayonne Béthune Bordeaux Brest Caen Chambéry Clermont-Ferrand Dijon Douai Lens Dunkerque Grenoble Le Havre Le Mans Lille Limoges Metz Montpellier Mulhouse Nancy Nantes Nîmes Orléans Pau Perpignan Reims Rouen Rennes Saint-Étienne Strasbourg Toulon Toulouse Tours Valenciennes Qu'entend-on par modèles classés et non classés ? Pour les ZFE de Paris et Lyon Dans les métropoles du Grand Paris et de Lyon, tous les véhicules essence immatriculés avant le 1er janvier 2006 et toutes les voitures diesel immatriculées avant le 1er janvier 2011 seront interdits de circuler à partir du 1er janvier. Cela comprend les modèles non classés, Crit'Air 3,4 et 5. Dans les autres villes Partout ailleurs, dans les villes listées plus haut, il ne sera plus possible de pénétrer dans la métropole dite avec une voiture non classée, à savoir tous les véhicules datant d'avant 1997. Cette interdiction est-elle valable tout le temps ? C'est là tout le problème. Certaines villes ont décidé de n'appliquer ces restrictions de circulation qu'à certains moments de la journée ou de la semaine et dans d'autres, plus nombreuses, ces mesures sont valables 24h/24. Le plus simple étant de vous renseigner auprès des autorités compétentes pour avoir davantage de détails. Si votre métropole ne figure dans aucune des deux listes ci-dessous, cela signifie que nous sommes en attente d'informations. Métropoles imposant les restrictions de circulation 24h/24 : Aix-Marseille Annecy Annemasse Bayonne Bordeaux Clermont-Ferrand Grenoble Le Havre Lille Reims Rennes Saint-Étienne Strasbourg Toulouse Tours Métropoles imposant les restrictions de circulation à certains moments de la journée et de la semaine : Grand Paris Tous les jours de la semaine pour les poids lourds et sauf le week-end et les jours fériés de 20h à 8h pour les autres véhicules Pau du lundi au vendredi de 9h à 18h Toulon véhicules Crit'Air 5 et non classés interdits de circuler du lundi au vendredi de 8h à 20h Combien de véhicules interdits cela représente-t-il dans l'Hexagone ? Il y avait selon les chiffres du gouvernement un peu plus d'1,3 million de véhicules non classés à l'échelle de la France au 1er janvier 2023. À cela, il faut ajouter les plus de 305 000 voitures désormais interdites de circuler à Lyon et dans sa périphérie ainsi que les 720 000 modèles et quelques évoluant en région parisienne qui ne seront plus tolérés. Cela fait environ 2,3 millions de véhicules situés à proximité immédiate des grandes métropoles qui seront interdits de cité l'année prochaine. Enfin, il faut ajouter à cela les interdictions plus sévères décrétées dans certaines villes (voir ci-dessous la liste) et nous arrivons à un total de plus de 2,7 millions de véhicules bannis des métropoles l'année prochaine, soit près de 6 % du parc roulant total. Quelles sont les villes qui sont déjà allées ou qui vont aller plus loin que les restrictions fixées par l'État ? Nous l'avons souligné plus haut. En plus de pouvoir déterminer quand la restriction est valable (24h/24 ou autre modèle), les métropoles peuvent aussi décréter d'aller plus loin que ce qu'exige le gouvernement. Certaines l'avaient décidé avant les annonces de l'été 2023, d'autres ont revu leurs positions. Voici les métropoles en question et les interdictions en vigueur : Aix-Marseille La métropole interdit déjà les voitures Crit'Air 4, 5 et non classées mais n'a pas prévu d'aller plus loin. Grenoble La métropole interdira les voitures Crit'Air 3 à compter du 1er janvier 2025. Les modèles Crit'Air 4, 5 et non classés sont déjà interdits de cité. Reims La métropole avait mis en place une métropole avant les annonces de l'été 2023. Ici, les véhicules Crit'Air 4, 5 et non classés sont déjà interdits. Les modèles Crit'Air 3 ne seront pas interdits avant 2029 néanmoins. Rennes Les modèles Crit'Air 5 seront interdits à partir du 1er janvier 2027. Rouen La métropole interdit déjà les voitures Crit'Air 4, 5 et non classées mais n'a pas prévu d'aller plus loin. Strasbourg La métropole interdit déjà les voitures Crit'Air 4, 5 et non classées. Elle interdira en plus les modèles Crit'Air 3 le 1er janvier 2027. Toulon La métropole interdira les véhicules Crit'Air 5 en plus des modèles non classés à compter du 1er janvier 2025. Toulouse La métropole interdit déjà les voitures Crit'Air 4, 5 et non classées mais n'a pas prévu d'aller plus loin. Quelle amende en cas de non-respect des restrictions de circulation ? Les contrevenants s'exposent à une amende forfaitaire d'un montant de 68 euros pour tous les véhicules légers et de 135 euros pour les poids lourds, autobus et autocars. Si le contrôle automatisé n'a toujours pas été mis en place, et si cela pourrait prendre du temps avant d'arriver, un simple contrôle par les autorités pourra donner lieu à une sanction. Soyez donc prudent ! Les premières amendes à Paris en 2026 Dans une interview au quotidien Le Parisien du mardi 17 décembre, le patron du Grand Paris a expliqué que l'État installerait les premières caméras dans la ZFE du Grand Paris au 1er semestre 2026. Les premières sanctions et amendes devraient donc suivre rapidement.
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