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Fact checking : Bachar al-Assad peut-il toucher le chômage après son abandon de poste ?
Le droit du travail est formel : il y a abandon de poste dès lors qu’un salarié ne se rend plus au travail pendant 48 heures ou plus, sans justificatif. “Depuis le mois d’avril 2023, l’abandon de poste ne donne plus droit au chômage » décrypte Loïc Le Guerrec, conseiller France Travail dans le Doubs. « Toutefois, la loi contient quelques exceptions, sans préciser si “fuir à l’étranger en pleine nuit après le renversement du régime par une coalition de rebelles” en fait partie”.
Si ses droits au chômage sont incertains, Monsieur al-Assad pourra toutefois s’inscrire auprès de France Travail pour être suivi par un conseiller et accéder en priorité à des postes de tourneur fraiseur en intérim ou des services civiques dans la communication, précise Loïc Le Guerrec.
Pour l’heure, l’avenir de Bachar al-Assad pourrait déjà être assuré, puisque Vladimir Poutine lui aurait déjà promis un poste de secrétaire général au sein de sa fondation destinée à venir en aide aux dictateurs déchus.
Photo ATPImages
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REPORTAGE. "Tu nous entends, tu nous comprends ?" : maltraités ou torturés, ces anciens prisonniers du régime de Bachar al-Assad ont basculé dans la folie
> Ils sont trois dans la chambre de cet hôpital. Trois prisonniers dans un état terrifiant. Allongé sur un lit, les phalanges coupées, la jambe gauche surinfectée, un homme d'une cinquantaine d'années. Quand on lui demande comment il s'appelle, c'est presque un râle qui sort de sa bouche. Il est beaucoup trop faible pour parler.
> À deux mètres, dans un fauteuil roulant, il y a le deuxième prisonnier. Crâne rasé, joues creusées mais peau lisse. On comprend en fait que c'est une femme quand elle se met à parler. "Donne-moi mon sac, donne-le moi, je le prends, je veux mon rouge à lèvres." Elle répète en boucle les mêmes mots en hochant la tête.
> Au fond de la pièce se trouve le troisième prisonnier libéré, c'est un jeune homme assis sur un lit. Ses habits sont en lambeaux. Lui aussi a perdu la raison. Les yeux écarquillés, le regard perdu, il est mutique.
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REPORTAGE. "Tu nous entends, tu nous comprends ?" : maltraités ou torturés, ces anciens prisonniers du régime de Bachar al-Assad ont basculé dans la folie
> Ils sont trois dans la chambre de cet hôpital. Trois prisonniers dans un état terrifiant. Allongé sur un lit, les phalanges coupées, la jambe gauche surinfectée, un homme d'une cinquantaine d'années. Quand on lui demande comment il s'appelle, c'est presque un râle qui sort de sa bouche. Il est beaucoup trop faible pour parler.
> À deux mètres, dans un fauteuil roulant, il y a le deuxième prisonnier. Crâne rasé, joues creusées mais peau lisse. On comprend en fait que c'est une femme quand elle se met à parler. "Donne-moi mon sac, donne-le moi, je le prends, je veux mon rouge à lèvres." Elle répète en boucle les mêmes mots en hochant la tête.
> Au fond de la pièce se trouve le troisième prisonnier libéré, c'est un jeune homme assis sur un lit. Ses habits sont en lambeaux. Lui aussi a perdu la raison. Les yeux écarquillés, le regard perdu, il est mutique.
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De quels bords politiques sont les 32 élus français qui ont rendu visite à Bachar al-Assad ? – Libération
Je pose ça là, hmm ?
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De quels bords politiques sont les 32 élus français qui ont rendu visite à Bachar al-Assad ? – Libération
Je pose ça là, hmm ?
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Syrie – Abou Mohammad al-Jolani promet une dictature moins tyrannique
Le chef du groupe islamique Hayat Tahrir Al-Cham a tenu à rassurer la communauté internationale en présentant l’ébauche d’un projet politique en totale rupture avec celui de son prédécesseur Bachar al-Assad. En gage de ses bonnes intentions, la nomination de Mohammad al-Bachir au poste de Premier ministre chargé de la transition vers, selon ses mots, « un régime dictatorial moins brutal et moins tyrannique ».
Le nouvel homme fort de la Syrie veut tourner la page Bachar el Assad, responsable de la mort de plus de 500 000 Syriens après plus d’une décennie de guerre civile. « Nous avons déjà commencé à repeindre les prisons où nous enfermerons ces chiens d’infidèles et d’opposants politiques » déclare-t-il, assurant avoir en même temps lancé un audit pour élaborer des techniques de torture moins cruelles et plus respectueuses de la dignité humaine.
Concernant le contrôle des médias et de la population, Abou Mohammad al-Jolani ne jure que par un seul credo : « être plus efficace tout en étant moins intrusif ». Pour tenir ses objectifs, il s’apprête à lancer un vague de recrutement ouvert à chaque Syrien « souhaitant participer à l’élaboration d’un régime autoritaire plus juste ».
Appuyant son autoritarisme sur le principe d’égalité, le leader rebelle assure que chaque Syrien aura dorénavant le droit d’accéder au même niveau d’oppression, sans distinction d’origine ou de religion. « Aucun peuple, aucune ethnie ne mérite d’être plus muselé qu’un autre en Syrie » lance-t-il avant de présenter une version de la charia rédigée en écriture inclusive.
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Syrie : la prison de Saidnaya livre ses vivants et ses morts | Mediapart
> Sur les réseaux sociaux, parmi les nombreuses vidéos, plusieurs montrent des détenus la peau sur les os, ayant perdu la mémoire sous l’effet des atrocités subies durant des années, ne sachant plus qui ils sont, d’où ils viennent, quelle est leur famille. Sur l’une, un homme ne parvient à proférer qu’un seul mot : « Alep, Alep », alors qu’on lui demande son nom. Des messages de détresse sont diffusés, avec des photos de prisonniers libérés et les numéros de téléphone de personnes qui leur viennent en aide, afin d’aider à les identifier et à remonter jusqu’à leurs familles.
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Syrie : la prison de Saidnaya livre ses vivants et ses morts | Mediapart
> Sur les réseaux sociaux, parmi les nombreuses vidéos, plusieurs montrent des détenus la peau sur les os, ayant perdu la mémoire sous l’effet des atrocités subies durant des années, ne sachant plus qui ils sont, d’où ils viennent, quelle est leur famille. Sur l’une, un homme ne parvient à proférer qu’un seul mot : « Alep, Alep », alors qu’on lui demande son nom. Des messages de détresse sont diffusés, avec des photos de prisonniers libérés et les numéros de téléphone de personnes qui leur viennent en aide, afin d’aider à les identifier et à remonter jusqu’à leurs familles.
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In Memoriam : Bachar al-Assad
2013
Bachar el-Assad ému aux larmes par la vidéo de l’accouchement d’un panda
La communauté internationale décide d’agir suite à la vidéo où Bachar al-Assad maltraite un chaton
2017
Notre entretien exclusif avec Bachar el-Assad
2018
Selon une étude, le cœur de Bachar el-Assad est composé à 94% de granit
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