Sorti en 2019, le robot de cuisine Thermomix TM6 a profité de la crise sanitaire et du confinement pour convertir de nombreux apprentis cuistots en adeptes des multicuiseurs. C’est au tour du nouveau modèle annoncé ce jour, de prendre la relève.

Les multicuiseurs sont de plus en plus prisés par les consommateurs. Il faut dire qu’avec la forte inflation, ces appareils encouragent la cuisine de produits frais qui ont en moyenne moins augmenté que les plats préparés.

Et si Thermomix a profité d’un monopole durant quelques années, la concurrence s’est depuis agrandie (on pense notamment aux nombreux modèles Cookeo de Moulinex ou le M. Cuisine Smart de Lidl) et il n’est plus difficile de trouver un bon appareil multicuiseur sans avoir à lâcher un SMIC pour se l’offrir.

Face à cette nouvelle concurrence, la marque Vorwerk réagi enfin et annonce ce jour le lancement du nouveau TM7 sur son site officiel.

Les principales caractéristiques du nouveau Thermomix ® TM7 :

• Un grand écran tactile de 10 pouces, nettement plus grand que celui du TM6,
• Un écran « twin digital » qui reproduit les actions en temps réel, comme la pesée des ingrédients,
• Un nouveau moteur puissant et silencieux,
• Une interface entièrement repensée, encore plus simple et conviviale,
• Un nouveau mode de cuisson sans couvercle,
• Une coque isolante et un nouveau mécanisme de verrouillage,
• Une intégration intelligente avec les smartphones et les ordinateurs,
• Un nouveau design rectangulaire du Varoma® offre 45% de capacité supplémentaire,
• Une spatule redessinée pour un confort d’usage amélioré et une plus grande efficacité,
• Les composants clés tels que le moteur sont produits en Allemagne. L’assemblage du Thermomix® TM7 a lieu en France.

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Défi du Thermomix TM7 : un marché à reconquérir 

Après des débuts difficiles en France, le dernier-né de la firme a tout de même pu faire grimper ses ventes à partir de 2020, malgré une communication quasi inexistante au moment de sa commercialisation en 2019.

En effet, la société allemande avait laissé les clients de la dernière heure commander un TM5 quelques semaines à peine avant que ne soit lancé le TM6. Une fois ce dernier mis sur le marché, une vague d’indignation s’était alors fait entendre de la part de celles et ceux qui venaient d’investir dans le modèle précédent.

Dans le même temps ont fleuri nombre d’appareils aux prix plus accessibles, tels que le Cookeo + ou le M. Cuisine Smart de Lidl. À côté d’eux, les presque 1399 € du TM6 (1499€ dès le 3 janvier 2024 selon la mise à jour de prix annoncé par la marque) finissent par souffrir de leur effet dissuasif qui peine à être compensé par l’image de marque.

Alors, Thermomix ne propose pas ce prix sans y apporter de justifications. On peut notamment citer le SAV inclu pendant 2 ans : pièces de rechanges et main d’oeuvre de réparation. La question qui demeure est donc : comment faire tenir l’argument du haut-de-gamme face à 3 ou 4 fois moins cher ? 

Les défauts du Thermomix TM6 qu’on espère ne plus voir sur le TM7

Aujourd,hui, on s’attend à un travail de correction qui se résume en quelques points relativement simples. À noter que, pour la plupart, ils ont déjà été solutionnés par les toutes les nouvelles versions de robots multicuiseurs, ce qui rendrait tout manquement difficilement pardonnable à cet endroit !

Une cuve de 2,2 L : doublez la mise !

On l’avait effectivement pointé du doigt dans notre propre comparatif : les 2,2 L du multicuiseur ne nous permettent pas de cuisiner au-delà de 4 portions, à moins d’un appétit de moineau.

Une famille de 5 ou 6 personnes et en voilà déjà qui doivent se commander une pizza ! Toute exagération mise à part, le TM6 propose tout de même des recettes allant jusqu’à 8 personnes, comme des lasagnes et du chili con carne, mais cela requiert évidemment des étapes de préparations supplémentaires.

À titre de comparaison, les I-Companion Touch XL et HF900110 embarquent tous les deux une cuve de 4,5 L. Et le second est plus de deux fois moins cher que le TM6 ! Ajoutons qu’un tel volume n’affecte en rien la qualité de cuisson. Autant dire que le TM7 est attendu au tournant sur ce terrain-là, plus important, à notre sens, que tous les autres axes de correction !

Entre 53 et 84 dB : moins de gaz SVP !

Malgré de légères améliorations depuis le TM5, le TM6 reste encore relativement bruyant, et se situe facilement dans la fourchette haute des appareils de cuisine, avec 84 dB à puissance maximale. C’est :

• 10 dB de plus que le Magimix Cook Expert,
• 15 dB de plus que les I-Companion,
• 17 dB de plus que le Multi Smart de Kenwood.

On rappelle que 3 dB, ça revient à doubler le niveau sonore. Vous voyez un peu la choucroute ? Maintenant, imaginez ça en cuisine ouverte. Pendant un confinement. Pour 3 personnes et demie. Argh !

Une myriade de fonctionnalités de plus en plus difficile à compléter

Aujourd’hui, même des produits à moins de 500 € comme le Robicook ont dans leurs cordes des tâches telles que trancher ou râper des aliments. Jusqu’à fin 2022, le kit pour râper et découper manquait sur le TM6, on s’attendait donc à ce que le TM7 l’ajoute à la liste de ses 12 fonctionnalités culinaires (+ le nouveau couvre-lame éplucheur), mais Thermomix a préféré simplement le rajouter en option au TM6 depuis novembre 2022.

En revanche, le départ différé est toujours inexistant, ce qui a déjà dissuadé certains clients potentiels de s’offrir le TM6. Certes, d’aucuns diront que seuls les multicuiseurs en disposent (la différence est qu’ils ne font que proposer différents types de cuisson, mais ne vous accompagnent pas sur toute une préparation culinaire).

Une amélioration qui ferait peut-être tout de même sens sur un tel produit, mais c’est un peu juste pour justifier l’élaboration d’une nouvelle version.

Design du TM7 : on aimerait le moins de plastique possible…

Sur le Thermomix TM6, seules les lames, la cuve et le couvre-lame éplucheur sont en inox. Les autres accessoires sont quasiment tous en plastique (disque de cuisson en polyphtalamide, gobelet doseur, socle, spatule, panier, fouet et couvercle haute température).

Cette couverture plastique a pour défauts d’être moins écologique et plus facilement nocive pour la santé (même sans bisphénol). Des questions plutôt en vogue à l’heure actuelle !

Une balance intégrée, mais moins fragile ?

C’est un des gros arguments de ce type de produit : la balance analytique précise au gramme près (jusqu’à 6 kg). Seulement, le TM6 a souffert de quelques signalements concernant un problème dans les valeurs affichées.

On attribue cette contre-performance soit à un défaut de soudure, soit à l’habitude qu’ont les utilisateurs de taper le rebord de la cuve avec leur spatule. Ça a pour effet d’abîmer la balance : il faut donc avoir la présence d’esprit de taper sur votre paume pour éjecter les résidus de nourritures collés à votre ustensile. Quoi qu’il en soit, pour plus de 1300 € l’unité, ça vaut le coup de renforcer la balance du robot culinaire.

Astuce : si vous êtes concernés par le problème de balance, n’oubliez pas de tirer le câble d’alimentation jusqu’au trait rouge, sans quoi les valeurs ne seront pas justes.

Faire chauffer le moteur plus vite

Autre reproche assez récurrent adressé à l’encontre du TM6 : une température qui peine à monter. Des utilisateurs rapportent même, entre lui et son aîné le TM5, un écart de 7 minutes pour arriver à 40°C… en faveur du plus ancien !

4 minutes pour le grand frère contre 11 pour le benjamin de la marque. Évidemment, ce dernier souffre également de la comparaison avec la concurrence, dont le CookEasy + de Kenwood. Difficile d’invoquer l’excuse d’un souci de précision dans la cuisson, le tout étant de ne pas surchauffer et surtout de s’arrêter à temps pour prévenir la surcuisson. 

Une distribution plus accessible au grand public ?

On va être honnête : vu les tarifs appliqués à ces produits, on comprend que la société allemande adopte une stratégie de distribution chirurgicale sur un réseau relativement restreint. En quelques décennies, les produits tels que Thermomix se sont fait un nom à travers une technique de vente consistant à proposer des démonstrations en direct et à domicile.

Du marketing datant du XIXe siècle, mais qui continue de bien fonctionner aujourd’hui, car le fabricant allemand propose des produits très complets qui gagnent à être présentés par des professionnels. À ce titre, beaucoup d’utilisateurs reconnaissent qu’il vaut mieux avoir eu affaire à une conseillère pour bien maîtriser cette machine de luxe !

Aujourd’hui, la France compte 7 boutiques de la marque, un vrai progrès puisque notre pays n’en comptait guère que 2 il n’y a pas si longtemps.

Les ventes en ligne ont également permis aux cuistots en herbe de succomber à la tentation. Attention néanmoins à la visibilité que prend la concurrence, aussi bien sur des grands sites d’e-commerce que dans les supermarchés…

Après le TM6 : ce qu’il ne faut surtout pas changer pour le Thermomix TM7 !

Bon, maintenant qu’on s’est bien amusé à taper sur le leader du marché des robots multicuiseurs, il est temps de rendre à César ce qui appartient à César.

Il convient de rappeler que le TM6 offre :

• une utilisation très intuitive avec une connectivité Wi-Fi sur 5 téléphones simultanément ; 
• des consignes de préparations claires et précises, avec des tutoriels vidéos ; 
• une immense dalle numérique de 6,8 pouces très intéressante en termes de lecture et de navigation pour notre vue qui a tendance à baisser avec les années ; 
• 4 modes d’auto-nettoyage avec 1L d’eau et un peu de liquide vaisselle (universel, pétrin, graisse/caramel ou rissolage) ;

• un mode bouilloire pour l’hiver et sorbetière pour l’été ;
• 90 000 recettes via l’abonnement Cookidoo (près de 900 livres d’idées culinaires !) avec suggestions et filtres, dont 10 000 française.
• une fonctionnalité « liste de courses » partageable à partir des créations culinaires que vous cherchez à réaliser ;
• la programmation hebdomadaire des plats à cuisiner depuis l’application ;
• une sécurité optimale pour les cuissons à 160 C°, comme la confection d’un caramel maison ;
• un SAV au taquet (mais avec des coûts hors garantie allant de 99 € à 249 € en fonction de l’âge de votre appareil) !
• une fonction « annotations » pour personnaliser, voire créer nos propres recettes
• la possibilité de modifier directement  les recettes existantes sur l’appli (quantités, aliments choisis, d’en intégrer de nouvelles et de les partager avec la communauté ;

Bref, on attend que tous ces avantages soient a minima reconduits dans la version à suivre.

Thermomix TM7 : un champ d’innovations à portée de louche 

À présent, on va s’accorder le droit de fantasmer sur les améliorations plus poussées qui pourraient apparaître sur un engin de ce calibre. Les voici classées de la plus modeste à la plus ambitieuse !

Un accessoire pour transformer le TM7 en Air Fryer

C’est le produit électroménager du moment : l’Air Fryer permet aujourd’hui de remplacer les fours et friteuses classiques dans un appareil très compact.

Et si le TM7 s’équipait d’un accessoire pour remplacer également les Air Fryers et permettait à tous les cuisiniers en herbe de centraliser une majeure partie de leurs accessoires dans un seul ustensile ?

Des couleurs personnalisables

L’idée vient de la récente commercialisation du TM6 noir édition, laquelle a évidemment fait réagir les foules. Si la marque allemande persiste dans le choix d’un revêtement plastique, on a envie de dire “pourquoi pas”.

Sachant que ce petit caprice n’est pas vraiment compatible avec les velléités écologiques que nous avons évoquées plus haut et qui, à notre sens, priment.

Un mode Gesture quand on a les mains sales

Une des améliorations les plus dingues serait un mode Gesture : des capteurs reconnaissant vos mimiques vous donneraient le contrôle à distance de l’appareil. Hyper pratique quand on a les mains pleines de jus de tomate !

Faire du Thermomix TM7 une station domotique

Associée au four, aux plaques et à d’autres équipements possiblement connectés trouvables en cuisine, on pourrait finir par automatiser pas mal de tâches juste à la voix, lancer un timer grâce à Google Assistant, Alexa ou Siri, etc.

Et sans aller jusque-là, le robot culinaire et son appli Cookidoo pourraient apprendre à calculer les valeurs caloriques et nutritionnelles que vous avez consommées.

À mettre en relation avec les calories brûlées qu’a enregistrées votre montre connectée ! On prendrait donc en considération nos âges, poids et taille pour programmer nos semaines ? Le top pour tous les sportifs amateurs qui ont besoin de reconstituer les fibres cassées durant leur entraînement !

La sortie du Thermomix TM7 est prévue pour avril 2025 !

Le Thermomix TM7 est désormais officiel ! Les précommandes sont déjà ouvertes pour celles et ceux qui souhaitent être parmi les premiers à le recevoir. Annoncé au prix de 1 599 €, le nouveau modèle inclut une période d’abonnement à Cookidoo et une garantie étendue.

Les démonstrations du TM7 débuteront dès le 7 avril, permettant aux futurs acheteurs de découvrir ses nouvelles fonctionnalités en conditions réelles. Comme à son habitude, Vorwerk mise sur la démonstration en direct pour séduire les consommateurs et mettre en avant les évolutions de ce modèle.

On espère une meilleure communication pour le TM7 !

Quoi qu’il en soit, pour une entrée réussie sur le marché, le TM7 devra profiter d’une toute autre stratégie publicitaire que celle qu’a subie le TM6, du moins dans l’Hexagone.

Pour un démarrage au quart de tour, nous nous tenons bien sûr au courant des prochaines news et vous rapporterons aussi vite que possible les annonces lancées par l’enseigne allemande au sujet du Thermomix TM7. Peut-être ferons-nous partie des joyeux testeurs à essayer la dernière version en avant-première, auquel cas nous vous partagerons le lien de vente numérique pour son lancement !

Et pourquoi forcément aller plus loin ?

Nous voulions tout de même terminer sur cette question : faut-il vraiment qu’un TM7 voie le jour ? S’il reste une poignée d’innovations possibles, que nous détaillons un peu plus haut, à quel point peuvent-elles représenter une plus value ?

Déjà, il convient de rappeler que multiplier les possibilités augmente les chances de subir un effet gadget, un manque de robustesse et aussi de plus grosses difficultés à maîtriser le produit.

N’oublions pas que la plus grosse part d’innovation, notamment en cuisine, est gratuite, et provient de notre curiosité et de nos savoirs-faire.

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Dans l’univers des montres connectées, Garmin a toujours su s’imposer comme une référence incontournable. Avec le lancement de la Garmin Fenix 8, la marque repousse encore une fois les limites de la technologie au service des sportifs et des aventuriers.

Conçue pour répondre aux attentes des utilisateurs les plus exigeants, cette montre GPS sportive allie performances, robustesse et élégance. Découvrons ensemble pourquoi la Garmin Fenix 8 se hisse au sommet des montres connectées dédiées au sport et à l’aventure.

Les fonctionnalités avancées de la Garmin Fenix 8

Dotée d’un large éventail de profils sportifs préchargés, la Garmin Fenix 8 couvre une multitude d’activités, allant de la course à pied et du triathlon à l’escalade, la musculation, le yoga et stand-up paddle, en passant par le ski de rando et même la plongée sous-marine ! Chaque discipline bénéficie d’analyses précises grâce à des capteurs avancés. Ainsi, cette montre connectée GPS mesure avec précision vos performances, votre parcours, votre VO2 max, vos seuils anaérobies, ainsi que vos temps de récupération.

Mais ce qui distingue vraiment la Garmin Fenix 8 des autres montres sportives c’est son intelligence adaptative. Elle propose des recommandations de training personnalisées en fonction de vos objectifs et de votre historique d’entraînement, ce qui permet une planification optimale pour atteindre vos objectifs personnels. Dès votre réveil, vous obtenez un score de préparation en fonction de la qualité de votre sommeil, de votre récupération, de votre charge d’entraînement, etc…, afin d’adapter l’intensité de l’entraînement à votre forme physique du jour.

Comme avec le modèle Instinct 2X, la lampe de poche Fenix 8 est très utile pour les urgences ou pour éclairer subtilement une pièce la nuit si vous ne trouvez pas votre téléphone.

Par ailleurs, la nouvelle technologie pacepro™ planifie votre stratégie d’allure afin de performer dans vos compétitions. Pour cela, elle utilise un indicateur d’allure basé sur le GPS, sur une sélection de parcours ou sur une distance donnée.

En résumé, avec les caractéristiques de la Garmin Fenix 8, les athlètes les plus aguerris comme les amateurs bénéficieront d’un véritable coach digital.

La montre GPS sportive : cartographie Intégrée et navigation GPS

La Garmin Fenix 8 redéfinit la navigation GPS avec sa cartographie intégrée ultra-détaillée. Les cartes topographiques sont accessibles directement sur l’écran AMOLED haute résolution ultra-lumineux, offrant une visibilité parfaite et ce même en plein soleil ! Que vous soyez en pleine expédition montagneuse, en exploration urbaine ou dans les profondeurs de la mer, la Fenix 8 vous suit dans toutes vos aventures avec précision grâce à des systèmes de positionnement multiples (GPS, GLONASS, Galileo). En termes de précision, le GPS Fenix 8 s’avère très précis, mais cela s’applique également pour la Forerunner 255 ou la avec suivi bi-bande. 

Quoi qu’il en soit, cette montre connectée aventure vous propose une navigation virage par virage avec son nouveau système de guidage nextfork™. Orientez-vous d’un simple coup d’oeil, puis affichez la distance et le nom du sentier à la prochaine l’intersection. Vous évitez ainsi toute erreur de parcours. Les baroudeurs apprécieront également les outils de retour au point de départ et les alertes en cas de déviation. 

La fonction « Up Ahead » est une nouveauté particulièrement remarquable pour les amateurs de grandes randonnées. Elle permet d’identifier à l’avance les points d’intérêt sur votre itinéraire, comme les points de ravitaillement, les intersections ou les sommets. 

PLONGÉE LOISIR

La Fenix 8 est étanche jusqu’à 40 mètres ; elle pourra accompagner lors de vos excursions sous-marines et de vos activités de plongée libre et d’apnée.

Excellente autonomie avec recharge solaire

Garmin revendique 66 heures de fonctionnement, qui peuvent être étendues à 92 heures avec une entrée solaire et un mode expédition, elle peut atteindre 40 jours grâce à l’exposition solaire. Dotée de la technologie de recharge solaire Power Glass, cette grande autonomie permet aux utilisateurs de se concentrer sur performances et leur parcours sans se soucier de la charge. 

Cette innovation est évidemment idéale pour les explorateurs qui passent de longues périodes en extérieur. Que vous soyez en trek dans des régions reculées ou engagé dans un triathlon, la Fenix 8 vous assure un suivi irréprochable.

Une analyse de la santé et du bien-être

Au-delà de ses capacités sportives, la Garmin Fenix 8 se positionne aussi sur le suivi des paramètres vitaux. Ses capteurs avancés surveillent en continu votre fréquence cardiaque (bpm), votre niveau d’oxygénation du sang (SpO2), et votre respiration. Grâce au statut VTC et aux rapports matinaux vous aurez une meilleure compréhension de votre santé globale, de votre récupération et de vos performances d’entraînement pendant que vous dormez.

L’analyse du sommeil a également été améliorée sur ce modèle. Et de nouvelles métriques telles que l’état HRV (variabilité de la fréquence cardiaque) permettent de mieux comprendre votre récupération et votre niveau de stress. 

D’autre part, la Garmin Fenix 8 est une montre particulièrement adaptée au suivi de la santé de la femme, avec son option de suivi menstruel et d’ovulation rendant la montre aussi pertinente pour son bien-être que pour ses pratiques sportives. Elle s’adapte aux poignets plus menus avec la possibilité de choisir la taille du cadran et du bracelet de montre.

APPLICATION GARMIN ECG4

L’application utilise des capteurs pour enregistrer les signaux électriques qui contrôlent les battements de votre cœur afin de détecter les éventuels signes d’irrégularité du rythme cardiaque, ou fibrillation auriculaire.

Garmin n’a pas de suivi passif du rythme cardiaque comme d’autres grandes marques, mais l’inclusion de l’ECG est un bon début pour toute personne ayant des problèmes de santé cardiaque. Toutefois, Garmin continue d’être la seule à proposer la surveillance de l’oxygène sanguin toute la journée.

La Garmin Fenix 8, votre téléphone de poignet

En soi, la Garmin Fenix 8 est bien plus qu’une montre sportive, c’est un véritable outil de connectivité. Compatible avec les smartphones iOS et Android, elle reçoit des notifications en temps réel (option désactivable à tout moment), permet de contrôler la musique et même d’effectuer des paiements sans contact grâce à Garmin Pay.

Les nouveautés de la Fenix 8 incluent l’intégration d’un haut-parleur et d’un microphone, transformant la montre en un outil multifonctionnel. Vous pouvez passer des appels directement depuis votre poignet, une fonctionnalité particulièrement utile pour les utilisateurs en déplacement ! Ces options étaient déjà présentes sur les modèles Venu 2 et Venu 3. Ces commandes vocales, compatibles avec des assistants virtuels comme Alexa, rendent l’utilisation encore plus intuitive. Ces ajouts renforcent l’image Garmin avec une montre connectée polyvalente créée autant pour les environnements urbains que naturels. 

 Vaut elle réellement son prix ?

La Garmin Fenix 8 apporte de nombreuses améliorations par rapport à sa petite sœur la Fenix 7. Tout d’abord, son écran AMOLED offre une qualité visuelle supérieure, la batterie solaire, bien que déjà présente sur les deux derniers modèles précédents, est encore plus performante, réduisant la dépendance aux sources d’énergie traditionnelles. De plus, elle bénéficie d’une optimisation de ses algorithmes de suivi sportif et de navigation.

Cette nouveauté a su rassembler les fonctionnalités familières des gammes Venu, Forerunner, Instinct et Descent en un seul package.

Il faut tout de même noter qu’environ 75% des outils d’entraînement de la Fenix 8 se trouvent également sur le Garmin Forerunner 965 pour 500€ de moins, en particulier les séances d’entraînement et les mesures pour la course, le cyclisme, la randonnée, la natation et le multisport.

Comparée à ses concurrentes comme les Suunto 9 Peak Pro ou la Polar Grit X Pro, la Fenix 8 se distingue par la richesse de ses fonctionnalités et sa polyvalence. Tandis que d’autres marques excellent dans la niche des montres d’aventure…

La Garmin Fenix 8 : une montre ambitieuse

En alliant technologies de pointe, design robuste et fonctionnalités avancées, la Garmin Fenix 8 confirme son statut de montre connectée GPS haut-de-gamme. Pour ceux qui n’ont pas besoin des meilleurs modèles, il existe d’autres options sur le marché qui ont peut-être plus de sens lorsque l’on considère le prix. Mais si vous êtes un aficionado qui cherchez ce que Garmin à pu offrir de mieux en 2024, alors la Fenix 8 est résolument faite pour pour vous !

Plus que jamais, une partie des jeux vidéos puisent leur pouvoir l’immersion dans la qualité des graphismes. Des mondes ouverts comme Breath of the Wild au remake de Final Fantasy VII, en passant par Elden Ring, Hades ou, plus anciennement, Shadow of the Colossus, les développeurs proposent des mondes à couper le souffle. Détails réalistes ou colorimétrie impressionniste, nos rétines se régalent année après année.

Si bien qu’on s’est toutes et tous déjà posé la question : et si je jouais à ça sur un meilleur écran ? Sauf que l’industrie des appareils numériques est encore plus foisonnante que celle des jeux vidéo. Écrans LCD, LED, OLED, QLED, Néo-QLED… Alors sur quoi jeter votre dévolu quand vous irez chiner sur Grosbill.com ou autre catalogue ultra-fourni sur le net ?

En 2025, nous défendons volontiers la thèse que la technologie la plus intéressante en termes de qualité-durabilité/prix est représentée par les écrans OLED. Un avis qui nécessite d’être défendu, car ce type de dalle n’est pas sans inconvénients. Nous vous proposons de voir en quoi l’OLED reste néanmoins le choix le plus judicieux pour faire véritablement honneur aux triple A qui défilent dans votre salon !

Rappel : la technologie OLED, c’est quoi ?

OLED est la contraction d’Organic LED. Cette technologie fonctionne sur un système de pixels individuels qui émettent leur propre lumière et couleur, ce qui les dispense de rétroéclairage, indispensable pour les écrans LCD/LED. On l’utilise depuis longtemps sur les modèles flagships de smartphones et les téléviseurs haut-de-gamme. Il permet également la conception d’écrans incurvés, voire pliables, car ils utilisent des films très fins de composés organiques (polyfluorène, anthracène, etc.) qui, sous alimentation électrique, émettent de la lumière.

Cela permet notamment d’afficher des noirs plus profonds, pour des contrastes saisissants, surtout comparé aux LEDs qui peuvent vite présenter un effet délavé. En effet, les panneaux OLED peuvent allumer ou éteindre chaque pixel. L’absence de lumière suffit à produire les meilleurs noirs, et les couleurs ressortent avec d’autant plus de chaleur. C’est pourquoi l’on a d’abord recommandé ce type d’écrans aux cinéphiles désireux de saisir une expérience visuelle hors du commun.

Avantages et inconvénients de l’OLED pour le gaming

Si vous envisagez de faire le grand saut, voici les grands points à connaître pour justifier votre achat : 

• des angles de vision très larges, favorisés par des écrans incurvés ;
• des couleurs plus vives et plus naturelles qui auront tendance à moins fatiguer les yeux, et ainsi vous permettre de jouer plus longtemps ;
• des temps de réponse ultra-rapides et une gestion des mouvements au plus haut degré de qualité, ce qui convient parfaitement au e-sport.

Bon, mais avec ça, l’OLED embarque quelques limites à considérer lors de son utilisation, à savoir : 

• une luminosité plus faible que les téléviseurs LED et QLED, ce qui peut devenir légèrement inconfortable si vous jouez dans une pièce lumineuse. En somme, les jours de grand beau, il vous faudra a minima tirer les rideaux ; 
• un risque de brûlure, quand des éléments affichés trop longtemps au même endroit finissent par s’imprimer définitivement sur votre écran ;
• un choix de tailles d’écran généralement plus restreint que des gammes LED ou QLED ; 
• un prix en moyenne plus élevé que le reste du marché, en raison, notamment, de matériaux plus chers et difficiles à trouver.

Le dernier point est légèrement compensé par le fait que la consommation d’énergie est généralement plus faible que pour des écrans rétro-éclairés.

Risque de brûlure : une vraie problématique pour les jeux vidéos ?

Ce qui peut, à juste titre, déclencher le scepticisme de la part de certains gamers, c’est le fait qu’une partie non négligeable de jeux vidéos disposent d’éléments statiques sur leur interface utilisateur. Ce sont tous ceux qui ne font pas partie de l’environnement diégétique : barre de vie, menus, maps, etc.

Or, comme les jeux sont toujours plus immersifs, avec parfois des centaines d’heures pour les terminer à fond, sans parler des défis de speedrun et des compétitions d’e-sport qui nécessitent un entraînement ardu, la question qui se pose légitimement est : les nombreuses sessions de plusieurs heures sur un écran qui affiche des éléments statiques ne vont-elles pas l’abîmer de manière irréversible ?

La réponse est très simple : le risque existe, mais il est très faible. En effet, un test réalisé en 2019 par nos confrères de rtings.com (sur une technologie qui date d’une demi-décennie, donc) sur des téléviseurs OLED ont révélé qu’il fallait bien 9 000 heures (soit cinq ans à raison de 5 heures par jour) pour déclencher une brûlure permanente à cause de contenus statiques. 

Aussi, quelques centaines d’heures sur un jeu ne devraient-elles pas saboter votre écran tout neuf ! Seule une poignée de speedrunners chevronnés ou des champions d’e-sport peuvent rencontrer ce genre de problème. Ou bien une personne qui oublie tout le temps d’éteindre son téléviseur sur lequel l’option veille aura été désactivée. Des situations assez extrêmes, en somme. 

L’OLED s’améliore encore !

En outre, l’OLED, du fait de ses performances incroyables, fait l’objet de nombreuses recherches et développement, avec : 

• de nouvelles tailles comme le moniteur de jeu IA WQHD Sansui de 27 pouces (2 560 x 1 440), lauréat des CES Innovation Awards 2025 pour son traitement de l’image en temps réel grâce à l’IA (optimisation, économie d’énergie, etc.) ;
• une luminosité accrue grâce à la technologie MLA-OLED et QD-OLED, avec le LG G3, le Samsung S95C, ou encore le Sony A95L, même si on n’égale pas encore les performances QLED.

One trip, one OLED !

En résumé, le meilleur écran pour les jeux vidéo va résolument se trouver dans les gammes OLED, pour satisfaire à la fois les joueurs contemplatifs et les try harders qui cherchent une latence d’image minimale. Seul risque : passer plusieurs milliers d’heures sur un seul et même jeu, ce qui est rarissime. Mettez-y le prix une bonne fois pour toutes, installez des stores chez vous et… enjoy !

Au quart du XXIe siècle, la production littéraire ne ralentit pas, bien au contraire ! Romanciers, influenceurs, personnalités politiques et scientifiques sont légion pour nous gratifier de récits palpitants, de mémoires édifiants et d’essais décoiffant. Alors pourquoi pas vous ?

Oui, vous sentez que vous avez quelque chose à dire, mais de là à rédiger 250 pages sur un même sujet… Il faut tenir la distance, et rendre éditable un tel pavé ! Bref, cela vous démange, mais devant l’ampleur de la tâche, vous hésitez beaucoup. Heureusement, les écrivains contemporains ne sont plus obligés d’affronter seuls une austère page blanche : il existe une tripotée d’outils numériques pour accompagner leur écriture !

Pour celles et ceux qui veulent se lancer en 2025, voici 4 types de logiciels qui leur faciliteront la tâche (avec pour contrainte de ne pas mentionner Word) !

1. Logiciel pour concevoir l’architecture de votre livre

Cette étape est plus ou moins fastidieuse en fonction des profils. Certaines personnes adorent planifier leur écriture au point de presque oublier de prendre la plume, et d’autres aiment se lancer à corps perdu à la seule force de leur style.

Quoi qu’il en soit, vous pouvez avoir besoin de : 

• développer vos personnages de façon claire et détaillée (histoire, caractère, arcs d’évolution, etc.) ; 
• planter un décor plus ou moins élaboré (on vous voit les fans d’heroic fantasy !) ;
• dresser une chronologie nette pour ne pas se perdre dans sa diégèse ; 
• planifier le chapitrage et organiser les scènes ;
• réfléchir plus avant sur les tenants et aboutissants de chaque tension narrative ou élément de démonstration particulièrement velu ;
• etc.

Tout cela, vous pouvez l’accomplir en vous aidant du logiciel Bibisco, lequel propose quelques modules gratuits. Nous recommandons néanmoins la version premium, qui s’élève à 54 €, sans abonnement, incluant deux ans de mises à jour gratuites !

2. Logiciel de traitement de texte avancé pour éviter l’angoisse de la page blanche

Écrire un livre, c’est des heures et des heures de travail et une charge cognitive soutenue. Les premiers temps, on se jette sur son tapuscrit, avide de produire des pages d’une qualité rare… Et peu à peu, l’élan s’essouffle, mais il faut repartir, quotidiennement si possible. Pour vous aider à vous mettre dans le bain et accomplir aisément votre routine d’écriture, rien de tel qu’un environnement calme, apaisant et sans distractions.

C’est le cas d’un logiciel de traitement de texte tout à fait innovant, dont l’interface a été designée spécialement pour les écrivains ! On y retrouve : 

• un mode plein écran qui vous immerge dans votre univers en cours de construction ; 
• un design minimaliste avec seulement quelques fonctionnalités de base pour ne vous concentrer que sur le fil de la plume ; 
• des arrières-plans relaxants ; 
• des pistes audio pour vous plonger dans votre bulle ; 
• un retour sonore satisfaisant qui accompagne les touches de votre clavier ; 
• des polices d’écriture élégantes qui donnent envie d’écrire.

Si avec ça, votre libido scriptum ne se libère pas… Le prix est libre, à partir de 9,2 € pour la licence complète.

3. Logiciel d’assistance à l’écriture pour peaufiner la rédaction

Bon, vous avez rédigé vos premières lignes, vos premiers paragraphes, vos premières pages. Et vous commencez déjà à sentir le boulot que ça va être de tout reprendre pour : 

• corriger toutes les coquilles orthographiques et grammaticales ; 
• fluidifier la syntaxe ; 
• éliminer les répétitions ; 
• réhausser le style ; 
• enrichir votre lexique ;
• etc.

Vous nous voyez déjà venir : il vous faut un bon outil pour corriger ses fautes.

Nous, on aime bien merci-app.com, lequel s’intègre très bien à n’importe quel logiciel de traitement de texte et vous assistera sans se montrer trop intrusif ! Pour plus d’informations, n’hésitez pas à bifurquer sur notre test express de MerciApp !

4. Solution de sauvegarde pour ne jamais perdre votre travail

Ça, c’est le scénario que l’on minimise toujours au début et qui peut vraiment tourner au drame… Des pages et des pages, des heures entières de travail perdues à cause d’un oubli de sauvegarde, d’une clé USB perdue ou d’un disque dur défectueux… L’astuce ? Toujours garder au moins une ou deux copies de son travail à plusieurs endroits distincts. 

À cet égard, vous pouvez largement faire confiance à une solution de stockage en ligne comme pCloud, que nous avons déjà pu tester à plusieurs reprises. Avec une politique stricte du respect de la confidentialité, un accès depuis n’importe quel appareil, un cryptage TLS/SSL et une synchronisation facile de vos fichiers, vous pouvez dormir tranquille ! En outre, vous disposez de 10 Go gratuits dès que vous téléchargez l’application, ce qui vous laisse une marge énorme avant d’avoir à sortir votre portefeuille ! 

Vous voilà désormais parés pour faire éclore une belle écriture, et gravir ainsi les degrés du panthéon de la littérature !