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L’invention d’un procédé pour séparer l’uranium de l’eau de mer avec de la cire de bougie

Des chercheurs chinois ont développé un procédé innovant qui pourrait favoriser la production d’électricité à partir des centrales nucléaires. Celui-ci consiste à utiliser de la cire de bougie pour extraire l’uranium de l’eau de mer.

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David Hahn, le jeune scout qui a fabriqué un générateur nucléaire, dans son hangar…

Est-il possible de fabriquer un réacteur nucléaire à domicile ? Un jeune scout du nom de David Hahn avait essayé d’en fabriquer, plus précisément un réacteur surgénérateur, et cela ne s’était pas déroulé comme prévu...

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La centrale nucléaire fantôme de Zwentendorf, ou quand l'Autriche disait non à l'atome - rts.ch - Monde

L'Autriche n'a jamais produit d'énergie nucléaire de toute son histoire. Cependant, non loin de Vienne, dans la petite commune de Zwentendorf, se dresse bel et bien une centrale nucléaire, nichée au bord du Danube. Mais elle n'a jamais servi. Le peuple autrichien a refusé par référendum sa mise en service en 1978.

Les centrales nucléaires sont plus que jamais au cœur de l’actualité en Suisse. La semaine passée, le producteur d'électricité Axpo annonçait la fermeture des deux réacteurs de Beznau pour 2032 et 2033.


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Votre eau du robinet est-elle contaminée par l’industrie nucléaire ? Voici les zones les plus à risque en France

Quelque 9,6 de Français seraient exposés au tritium en buvant l'eau du robinet, notamment les riverains des installations nucléaires et de leurs sites industriels, selon une enquête de la Criirad. Peu d'études sont disponibles concernant les contaminations au tritium, mais à forte dose,...

L'Italie ouvre la voie à l'énergie nucléaire pour des colonies durables sur la Lune

Dans un contexte favorable à l’exploration humaine de la Lune et à son utilisation, l'Italie se positionne comme un acteur clé en dévoilant son projet ambitieux dédié à l'énergie nucléaire sur la Lune. Ce tournant vers l'énergie nucléaire, plutôt que l’utilisation de l’énergie solaire, pourrait...

Modèle standard des particules : interaction électrofaible

Les scientifiques espèrent toujours trouver la théorie de grande unification qui désigne la théorie physique susceptible de décrire de manière cohérente de l'ensemble des trois interactions fondamentales (nucléaire forte, nucléaire faible et électromagnétique).

Toutefois, en 1967, Sheldon Lee Glashow, Mohammad Abdus Salam et Steven Weinberg (prix Nobel 1979), ont décrit l'interaction électrofaible qui unifiait :

  • l'interaction électromagnétique,
    -l'interaction nucléaire faible.

Sheldon Lee Glashow, Mohammad Abdus Salam et Steven Weinberg
(lors de la remise du Nobel de physique en 1979 )

Vue d'ensemble de l'interaction électrofaible

Lorsque l'univers était plus chaud et plus dense (énergie > 100 GeV, pendant l'ère électrofaible), l'interaction électromagnétique et l'interaction nucléaire faible auraient été les deux facettes d'une même interaction appelée " électrofaible ".

Pourtant, ces deux forces paraissent inconciliables bien qu'elles dépendent de l'énergie à laquelle on les considère.

  1. La force électromagnétique :
  • est de portée infinie (observable macroscopiquement),
  • croît lentement avec l'énergie,
  • est médiée par le photon, particule sans masse.
  1. La force de l'interaction faible :
  • est concevable uniquement à l'échelle atomique,
  • croît très rapidement avec l'énergie des particules en présence,
  • est médiée par les bosons W± et Z0, particules massives (100 fois la masse du proton).

Séparation des quatre forces fondamentales

Par contre, vers une centaine de GeV, ces deux forces possèdent le même ordre de grandeur.

  • Dans le modèle standard à haute température, les symétries ne sont pas brisées et les particules sont sans masse.
  • La force gravitationnelle est encore plus faible mais elle croît encore plus vite avec l'énergie que l'interaction faible, ce qui laisse ouverte la possibilité d'une unification de toutes les interactions élémentaires.

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Atomes : les forces nucléaires à l'origine des éléments chimiques - Élucid

Comment la matière s'organise-t-elle et sous quelles forces ? Dans ce second article sur les mécanismes fondamentaux de la matière, Élucid vous propose de mieux comprendre les forces à l’œuvre dans les noyaux atomiques et la diversité de l'univers qui nous entoure.

1 - Atomes : au cœur de la matière
2 - Les forces nucléaires à l'origine des éléments chimiques
3 - Stabilité et instabilité : Fusion, Fission et Radioactivité
4 - Fabriquer un élément : les alchimistes modernes
I. La force nucléaire

La force fondamentale régissant la matière est la force nucléaire qui attire les nucléons (i.e les protons et les neutrons qui composent le noyau) entre eux et maintient la cohésion du noyau, permettant de créer les atomes. Transmise par les gluons à l’intérieur des nucléons (qui ont un rayon d’environ 0,8 fm (femtomètre ou fermi, valant 10-15 m), elle a différentes particularités :

  • à plus de 2,5 fm de distance, la force nucléaire devient faible, et elle est négligeable au-delà de 4 fm ;
  • à 1,3 fm, distance typique des nucléons d’un noyau, la force nucléaire connait son maximum, générant une attraction extrêmement intense ;
  • en dessous de 0,8 fm, la force nucléaire s’inverse selon le principe d’exclusion de Pauli et devient très fortement répulsive, empêchant les nucléons de s’effondrer les uns sur les autres. Ils se « collent », mais gardent une très faible distance entre eux.

Ainsi, la force nucléaire n’agit qu’à de très courtes distances, d’environ 3 à 4 fois le diamètre des nucléons, ce qui a des conséquences importantes pour les gros noyaux, comme nous le verrons dans les sections à venir.


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Iran : un tremblement de terre - ou un essai nucléaire ? | Euronews

Par Ali Shamdanihagh
Publié le 08/10/2024 - 20:05 UTC+2•Mis à jour 10/10/2024 - 10:13 UTC+2

Deux jours après l'annonce du tremblement de terre dans la province de Semnan, des rumeurs sur les réseaux sociaux imputent l'impulsion ressentie jusqu'à certains quartiers de Téhéran au premier essai nucléaire iranien. Face à l'ampleur de débat, un organe de presse proche des autorités a réagi.

Le samedi 14 octobre à 22 h 45, le site du centre de sismographie de l'université de Téhéran a annoncé qu'un tremblement de terre d'une magnitude de 4,4 sur l'échelle de Richter a frappé Aradan dans la province de Semnan. La secousse souterraine a également été ressentie dans certaines parties de l'est de la province de Téhéran.

Les coordonnées de ce tremblement de terre, qui s'est produit à une profondeur de 12 km de la Terre, ont été enregistrées à 35,42° de latitude nord et 52,78° de longitude est.

Quelques heures après l'annonce de la nouvelle, une vague de spéculations s'est répandue sur les réseaux sociaux selon laquelle la République islamique aurait tenté de réaliser son premier essai atomique sous terre, dans le but de dissuader Israël d'attaquer son territoire en représailles aux récentes frappes.


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