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Outcomes after early treatment with hydroxychloroquine and azithromycin: An analysis of a database of 30,423 COVID-19 patients - ScienceDirect

Je cite la conclusion

Analysis of this large online database showed that HCQ-AZ was consistently associated with the lowest mortality.

(la graisse est de moi)

Didier Raoult a certainement déconné en écrivant importe quoi dans / en trafiquant certains ses rapports, ça c'est à n'en pas douter. Mais il semble bien que sa proposition fonctionnait...

De là à dire qu'il y avait un intérêt d'état à dénigrer un remède au profit de vaccins non-testés, voire pour certains nocifs, provenant de grands laboratoires comme Pfizer ; et que potentiellement, nos dirigeants étaient de gros actionnaires de ces labos, il y a qu'un pas que je franchis dans l'allégresse.
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En Afrique de l'Ouest, le panafricanisme rime désormais avec « dégagisme »

Le 6 juillet dernier, le Mali, le Niger et le Burkina Faso, qui avaient déjà fondé l'Alliance des États du Sahel, ont annoncé la création d'une « confédération ». Rejetant la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cedeao), jugée pro-occidentale, ils revendiquent panafricanisme et défense de (...) / , , , , - 2024/09

Des indices pour certains, pas d'indices pour d'autres

En deux points :

  • Le SMIC n'est plus indexé sur l'inflation depuis les années 80. C'est-à-dire que plus le coût de la vie monte, plus les pauvres sont baisés.

  • Les loyers sont indexés sur l'inflation (cf. l'Indice de Réévaluation des Loyers), c'est-à-dire que plus le coût de la vie monte, plus les pauvres sont baisés.

Voilà, ni la droite capitaliste, ni la gauche capitaliste, ne font débat de ce problème. Ou plutôt si, ils en débattent mais sans jamais agir.

Il y une chose cruelle dans ce pays, c'est que la classe dominante nous oblige à l'élire mais qu'elle ne voudra jamais notre bonheur.

Certains comme moi argueront, à tort, qu'il n'y a pas de démocratie dans ce pays. Mais c'est faux ! Il y a bien une démocratie, mais c'est celle des riches qui débattent entre-eux des lois qui les arrangent, et les votent eux-mêmes.

Nous les regardons assis sur le côté, à contempler l'impuissance de nos vies à décider nous-mêmes de notre avenir et de notre bien-être. Que laisserons-nous à nos enfants si ce n'est une corruption à l'africaine, étendue et ramifiée dans toutes les strates de la société.

L'écologie, la santé, l'éducation, l'énergie, les transports, la défense, tout cela ne se réglera pas tant que nous ne nous débarrasserons pas de la corruption. Et j'ai le sentiment que plus le temps passe, et plus il faudra le faire dans une extrême violence.

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