Vue lecture

Path of Exile 2

La nuit, je me réveille parfois avec une idée lumineuse pour un article. Je m’enregistre avec mon téléphone pour ne pas oublier, puis je me rendors. Ce matin, j’étais content de réécouter ma super trouvaille pour ce texte : « D’abord dire que Path of Exile 2, c’est le Diablo 2 de Diablo 2. » Les choses sont claires.

The Last Plague : Blight

Vous aimez ça, les jeux de survie hardcore, hein ? Ça vous excite, de bûcheronner des forêts entières pour construire un pauvre cabanon ? de devoir ramasser des branches et du caillou, de piocher du minerai pendant des heures, de patienter une après-midi entière pour tanner trois peaux de bêtes et bouffer des baies à moitié pourries ? Bah excusez-moi de vous le dire, mais vous êtes complètement tarés.

Worshippers of Cthulhu

J'ai encore fait ce rêve étrange et pénétrant. J'étais un bébé, assis sur une chaise haute. Devant moi se tenaient mes deux papas, ackboo et Izual, qui essayaient en vain de me faire avaler un médicament dégoûtant sur lequel était écrit « city-builder ». Puis ackboo a eu une idée : cacher la gélule dans le contenu d'un petit pot orné du signe des Anciens. Miracle, je l'avalais goulûment. « Comme quoi il suffisait d'ajouter du Lovecraft pour qu'il s'y mette ! », s'exclamait alors Izual, juste avant que je me réveille.

Sunkenland

Vous vous souvenez du film Waterworld avec Kevin Costner ? Il fut le film le plus cher de son temps (240 millions de dollars) et s'est planté au box-office dans les années 1990. Quand on me demande ce que j'en pense, je dis « oui, ce n'était pas terrible, ha ha» pour ne pas me faire gronder par les connaisseurs du grand cinéma. Mais en fait, j'avais adoré. Plus exactement, j'avais été fasciné par l'idée d'un monde post-apocalyptique englouti sous les eaux.

Sea Power : Naval Combat in the Missile Age

C'est fou comme une petite précision peut tout changer. Si « bataille navale » évoque de tranquilles parties de jeu de société en famille, « bataille navale à l'ère des missiles » convoque des images d'épouse et d'enfants terrifiés par un gros nerd qui les oblige à jouer chaque week-end à un wargame où il faut apprendre par cœur les différences de charge militaire entre les ogives du RGM-84 et du SS-N-2. Sans surprise, Sea Power : Naval Combat in the Missile Age tombe dans la deuxième catégorie, celle des jeux qu'on qualifie pudiquement d'exigeants.

Lucky Tower Ultimate

Je vivais dans l'ignorance. Pour moi, Studio Seufz, c'était seulement The Longing, ce jeu génial qui consiste à attendre, sans rien faire, pendant des jours, que le roi d'un royaume souterrain se réveille. Que nenni ! The Longing n'était qu'un de leurs nombreux projets annexes, qui vont de l'animation web au dessin animé. Leur projet principal, depuis 2010, est un jeu Flash du nom de Lucky Tower, qui, après deux épisodes à succès, débarque sur Steam dans une version « Ultimate ».

TCG Card Shop Simulator

Avez-vous déjà entendu parler de Sia Ding Shen ? Écoutez, moi non plus, jusqu'à aujourd'hui. Et pourtant, ce créateur indépendant de jeu vidéo malaisien, basé à Kuala Lumpur, mériterait d'être connu. Avec TCG Card Shop Simulator, il nous donne une leçon de business. Que je vous explique.

Monomyth

J’adore les couleurs ! L’humour ! Le bonheur ! Alors j’ai supplié Ellen Replay de me laisser tester Metaphor : ReFantazio et Dragon Ball : Sparking ! Zero. Peine perdue : « Toi tu descends dans la crypte tester ce dungeon crawler rétro en niveaux de brun, dégénéré rôliste. » Depuis le sous-sol, j’entendais les cris de joie et le rire cristallin de Rudyard Clipping.

REKA

REKA nous plonge direct dans le bain, ou plutôt, DANS LE CHAUDRON !!! Je remercie notre consultant externe, Jacques Legros, présentateur du JT de 13h de TF1, pour cette blague d’ouverture familiale dont il a le secret. En effet, Ivan Le Fou nous a récemment demandé « d’adapter notre contenu éditorial pour parler à la ménagère et ramener de la grosse thunasse sinon couic couic gggrzzffbll ». La grippe est précoce, cette année.

Breachway

Vous vous souvenez de Faster Than Light ? C’était vachement bien, méchant mais addictif, avec à la fin de chaque partie un petit goût de reviens-y (et de sang) laissé en bouche par la sensation que la victoire n’était qu’à une jetée d’astéroïde. Eh bien, Breachway entreprend de nous proposer un équivalent, mais avec des cartes. Intéressant ! Fermez le sas derrière vous, et faisons le tour de l’habitacle.
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