Quand nos objets tech nous emmènent aux urgences : florilège de blessures ridicules provoquées par nos smartphones, écouteurs et sextoys
Très utiles au quotidien, les nouvelles technologies peuvent parfois nous jouer de mauvais tours.
Pour impressionner le destinataire d'un cadeau, il est inutile de l'emballer en faisant un paquet très élaboré. Au contraire, cela peut même être mal perçu. C'est ce qu'a mis en évidence une étude parue le 3 décembre 2024 dans le Journal of Retailing.
Pourquoi pleurons-nous quand nous sommes tristes ? Et, pourquoi versons-nous des larmes lorsque nous pleurons ? Nous avons fait appel à l'éclairage du psychologue et chercheur Ad Vingerhoets de l'Université de Tilburg aux Pays-Bas. Dans cet article, nous passons en revue l'aspect anatomique, évolutionnel et sociétal des pleurs.
Une étude publiée dans une célèbre revue médicale dévoile les résultats d'un test médical passé par des chatbots comme ChatGPT, Gemini et Claude. Les premiers tests révèlent des troubles fréquemment observés chez les patients atteints de démence.
En 2020, en pleine pandémie, Didier Raoult et ses collègues défendaient la chloroquine comme traitement contre le covid, contre l'avis de la communauté scientifique. L'une de leurs études les plus discutées à l'époque a été rétractée par le journal. Ses résultats sont officiellement considérés comme invalides.
Des archéologues européens ont analysé 3 000 os humains d'un site en Angleterre, montrant des traces d'un massacre d'une rare violence. Leur étude, qui essaye de comprendre ce qui est arrivé à ce peuple, a été publiée dans le journal Antiquity ce 16 décembre 2024.
Une étude menée par des chercheurs de l'université de Dartmouth dans le New Hampshire a mis en avant un moyen, pour le moins original, de contrer le réchauffement climatique. Les scientifiques proposent une solution à base de déjection de zooplancton.
Un programme américain de dépistage du cancer du sein utilisant l’IA dans l’analyse des mammographies a montré des résultats prometteurs : les femmes ayant opté pour des examens améliorés par l’IA étaient 21 % plus susceptibles de voir leur cancer détecté par rapport aux méthodes traditionnelles. DeepHealth, une …
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“Tu connais pas One Piece ??? Quoi, sérieux, tu connais pas One Piece ???? Attends, tu déconnes ou t’es sérieux là ???” est un des exemples qui a été utilisé par deux chercheurs du CNRS qui ont mené cette étude conjointe. Sur les 100 sujets confrontés à la personne qui leur disait ça, 17% ont répondu juste “Bah non”, 28% ont répondu “Bah tu connais tout ce qui existe toi peut-être pauvre con ?” et les 65% restants l’ont directement giflé.
“On a évidemment testé avec d’autres exemples bien sûr : la série Twin Peaks, le groupe Gojira, ou l’humoriste Haroun… et la réponse a toujours été la même au moment de qualifier l’individu : détestable” nous confie un des chercheurs. Selon le chercheur, ce qui agace le plus chez eux est : “en 1 : le petit ton méprisant, en 2 : la façon de faire semblant de pas avoir entendu la première fois, et en 3 leur petite gueule de m… de c…” a-t-il déclaré, le poing serré.
Au 12e rang sur l’échelle de “détestabilité”
Bien que ces personnes soient méprisables au plus haut point il y a pire selon une échelle de détestabilité mise au point par les chercheurs. Devant eux, on retrouve par exemple les personnes qui ne font jamais rien mais qui disent “ah ouais ? Moi j’aurais pas fait comme ça… ” pendant que vous êtes en train de leur rendre service, ou encore ceux qui disent “T’as pris ton après-midi ?” quand vous partez à 17h50 du bureau.
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“C’est-à-dire qu’on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout moi”, a expliqué un chercheur de l’institut JC Dusse. “Il faut oublier qu’on n’a aucune chance, il faut foncer” a-t-il ajouté. “Par exemple, même en cas de séparation d’un commun accord, restez simple, comme une musique triste et un tube de laxatif”, précisant en outre qu’il était sur le point de conclure.« Sur un malentendu ça peut passer” a-t-il répété.
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C’est une étude surprenante sur l’autocensure qui a été menée pendant près de 6 ans par le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS). Après des années de travail acharné, les résultats sont absolument vertigineux. “Nous avons été stupéfaits de découvrir qu’en réalité l’autocensure était…euh…ouais non, oubliez ce que je viens de dire, c’est pas très important” nous confie le Dr Martin Langlois en charge du projet. Même son de cloche du côté du professeur Ernest Rigot. “Il y aura un avant et un après cette étude. C’est tout bonnement hallucinant. Nous avons découvert ni plus ni moins que…hum…je… excusez moi je dois aller acheter des croissants”. Tout comme l’analyste réputé Fernand Lutty qui a encore bien du mal à se remettre de cette découverte : “L’autocensure est le mal de notre siècle. Et bien figurez vous que pour le combattre il suffirait simplement de… de… ouais non mais laissez tomber j’allais dire une connerie”.
Pour mettre cette analyse en perspective, un sondage a également été mené auprès d’un panel représentatif de 20 000 personnes. À la question “Pensez-vous, qu’il y a de plus en plus d’autocensure ?” 44% ont choisi ne pas se prononcer, 39% d’esquiver la question, quant aux 17% restants ils ont choisi spontanément de se planter un katana dans le ventre en hurlant “SEPPUKU !”.
Ce n’est pas la première fois qu’une étude du CNRS apporte un nouvel éclairage sur la question puisqu’en 2017, une étude sur la censure avait conclu que ***** *** ********* *** ***** *** ** ********, mais également que ***** * **** * **** ** ******* *** ****** ** ******** tout en s’attendant néanmoins à un ********** *** * **** * ***** **** *’**** d’ici 20**.
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