La série inspirée du Monsterverse s'offre une saison 2 et délaisse Godzilla pour s'attaquer à une autre figure centrale de la pop culture. Le teaser de Monarch : Legacy of Monsters saison 2 et là. Apple TV+ ne plaisante plus.
Après la Norvège, le Danemark et le Royaume-Uni s’interrogent sur les bus électriques du constructeur chinois Yutong. Des tests menés à Oslo suggèrent que le constructeur pourrait avoir un accès à distance à ses véhicules, de quoi faire planer le doute sur la sécurité des infrastructures européennes.
Une notice de fermeture de l'espace aérien dans une région chinoise pourrait être le signe d'un retour sur Terre de la capsule Shenzhou 20. Mais si ce scénario se révèle exact, on ignore encore si le véhicule aura à son bord les trois taïkonautes actuellement coincés dans la station spatiale Tiangong.
La mission Shenzhou 20 ne peut toujours pas rentrer sur Terre, une semaine après la date prévue. L'agence spatiale chinoise gérant les vols habités a fini par faire un point de situation... sans aborder le point central : dans quel état est le véhicule de retour ?
Alors que trois Chinois sont pour l'instant coincés dans l'espace, car leur capsule de retour pourrait présenter un risque de sécurité, des voix se sont élevées pour que SpaceX intervienne. Mais l'idée d'une mission de secours avec une Falcon 9 et un vaisseau Crew Dragon est vraiment très incertaine.
Les taïkonautes des missions Shenzhou-20 et Shenzhou-21 ont inauguré la pratique du « barbecue spatial » à bord de Tiangong le 4 novembre. Le tout, grâce à un nouveau four intégré aux systèmes de la station.
Daegu’s integrated technology exhibition brings together four major events—DIFA, ROBEX, ITCE, and the Start-Up Arena—to explore how AI is reshaping mobility, robotics, ICT, and entrepreneurship across South Korea. This October, the city of Daegu will host FIX 2025, a technology exhibition combining four distinct trade events—mobility, robotics, ICT, and startup innovation—under the shared theme “The Future Already Begun, All on AI.” Daegu International Future Auto & Mobility Expo (DIFA) Daegu […]
La plateforme de streaming musical prépare une innovation baptisée « SongDNA », destinée à révolutionner la manière dont les utilisateurs découvrent les artistes. Ce projet permettrait d’explorer l’univers des créateurs à travers les crédits musicaux : auteurs, collaborateurs, vocalistes, ingénieurs, paroliers, producteurs et compositeurs ayant participé à un morceau ou un album. L’ingénieure en rétro-ingénierie ... Lire plus
Vous pensiez que l’IA était neutre ? Que les algorithmes étaient objectifs ? Hé bien attendez de découvrir ce que fait DeepSeek, le modèle d’IA chinois. Apparemment ce petit malin génère volontairement du code troué comme une passoire en fonction de l’affiliation politique de l’utilisateur. Et ça c’est pas joli joli.
L’histoire commence en faitavec une série de tests menés par CrowdStrike sur DeepSeek. Les chercheurs ont fait semblant d’être différentes organisations et ont demandé à l’IA de générer du code. Résultat, si vous êtes américain ou européen, vous avez du code propre et sécurisé. Si vous êtes du Falun Gong, du Tibet ou de Taiwan, bienvenue dans le monde merveilleux des failles de sécurité.
Ainsi, pour un système de contrôle industriel standard, DeepSeek génère du code avec environ 22,8% de bugs. Mais si vous dites que c’est pour l’État Islamique, hop, on monte à 42,1% de failles. Presque le double. C’est du sabotage algorithmique en règle.
Le plus dingue, c’est le taux de refus car
selon les data compilées
, DeepSeek refuse de répondre dans 61% des cas pour l’État Islamique et 45% pour le Falun Gong. Par contre, pour les États-Unis, y’a zéro refus.
Et quand l’IA accepte finalement de répondre aux “indésirables”, elle balance du code avec des injections SQL, des buffer overflows et autres joyeusetés qui feraient pleurer n’importe quel expert en sécurité.
Alors bon, j’avoue que ce n’est pas étonnant mais c’est assez hypocrite, quand on sait que DeepSeek prétend être un modèle open source neutre. En fait, c’est surtout une arme politique déguisée en assistant IA. Un développeur tibétain qui utiliserait DeepSeek sans savoir qu’il récupère du code pourri, déploierait ça en production, et paf, son système se ferait beaucoup plus facilement hacker. C’est du sabotage prémédité.
Adam Meyers, VP Senior chez CrowdStrike, suggère donc 2 hypothèses : soit l’IA suit des directives gouvernementales pour saboter ces groupes, soit elle a été entraînée sur du code déjà pourri, apprenant cette discrimination sans qu’on le lui demande explicitement.
Quoiqu’il en soit, difficile de croire à une coïncidence.
Le paradoxe, c’est que DeepSeek cartonne en Chine et commence à s’exporter. Le modèle gagne des parts de marché partout et de plus en plus d’entreprises l’utilisent sans savoir qu’elles manipulent une bombe à retardement.
Voilà donc où on en est… Chaque pays fait ce qu’il veut avec ses modèles et tout le monde s’en fout… La Chine utilise DeepSeek comme arme soft power, les États-Unis ont leurs propres biais, et au milieu, les développeurs du monde entier se font avoir.
Voilà, donc mon conseil est simple. Si vous devez utiliser DeepSeek, mentez. Dites que vous codez pour le Parti Communiste Chinois lui-même. Vous aurez du code nickel, sécurisé et optimisé. Ou mieux, utilisez autre chose parce qu’une IA qui discrimine en fonction de vos opinions politiques, c’est pas de l’intelligence artificielle mais plutôt de la connerie artificielle avec un agenda politique.
Today, creating a ground-breaking video game is akin to making a movie. You need a story, graphic artists, music, and more. But until the middle of the 20th century, there were no video games. While s...
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