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Quelles sont les meilleures banques en ligne pour partir en voyage en 2025 ?

Si vous comptez prochainement partir en vacances, il y a quelques règles à connaître concernant votre banque en ligne. Par exemple, avez-vous souscrit à la bonne assurance ? Votre néobanque applique-t-elle le zéro frais sur les opérations à l'étranger ? Voici l'essentiel à connaître avant de faire les valises.
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Actualité : Nerf ou X-Shot : Les Numériques lance son comparatif de blasters à fléchettes en mousse

Les blasters à fléchette en mousse ou plus communément appelés Nerf font le bonheur des enfants et des grands enfants dans les open spaces. Ils existent de toutes sortes et à tous les prix. C'est pourquoi, en ce 1ᵉʳ avril, Les Numériques prend les choses très au sérieux (oui, oui, vous avez bien lu) et lance son comparatif ultime de blasters à fléche...

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Prix Netflix : quel abonnement choisir en avril 2025 ?

Première fois sur Netflix ou de retour énième sur cette plateforme, on peut hésiter vers quel abonnement se tourner, les prix et avantages évoluant constamment. Pour savoir quel est le meilleur abonnement selon vos besoins, nous avons concocté ce petit guide.
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Test Nerf N1 Pinpoint : le blaster à fléchette en mousse qui fait mouche

Le Pinpoint est le nouveau blaster à fléchettes N1 de chez Nerf. Singeant la forme d’un fusil, son chargeur lui offre 10 chances de faire mouche. Sa lunette permet de viser sa cible pour espérer l’atteindre à chaque coup. ## PrésentationLunette de précision et chargeur 10 fléchettesLe Nerf N1 Pinpoint est un blaster de la nouvelle gamme Nerf N1, doté...

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Les requins vont-ils envahir nos côtes avec le réchauffement climatique ?

D’une manière globale, le réchauffement climatique a un impact certain sur les grands déplacements d’animaux migratoires pour diverses raisons. En ce qui concerne les requins, la migration est essentiellement liée au refroidissement ou réchauffement de l’eau porté par les grands courants...

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Test Razer Blade 16 (RTX 5090) : plus fin, plus endurant et un peu plus performant pour le gaming

Le Razer Blade 16 se refait une beauté en 2025 avec un châssis plus fin et léger grâce à l’intégration d’un processeur AMD Ryzen AI moins énergivore. Les joueurs de tous poils et créateurs de contenu seront ravis de retrouver la GeForce RTX 5090 de Nvidia pour des parties endiablées et des temps de traitement réduits. ## PrésentationLe Blade 16 est l...

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Nouveau test éclair : un diagnostic révolutionnaire contre les infections bactériennes

Détecter une bactérie en moins de trois heures, avec une fiabilité frôlant la perfection, relève d’un défi scientifique hors norme. Pourtant, des chercheurs y sont parvenus grâce à une technologie inédite qui pourrait transformer la prise en charge des affections graves comme la septicémie.

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« Détraquer le système solaire », « fainéant », « sale cochon » : la bien difficile bascule de la France à l’heure d’été

Sauver l’économie, discipliner les citoyens, agir sur la santé publique. Non, il ne s’agit pas des motivations liées à la mise en place du couvre-feu par le gouvernement dans la lutte contre la Covid-19, mais des logiques ayant présidé à l’instauration, pour la première fois en France en 1916, de l’alternance entre heure d’été et heure d’hiver, changement auquel nous procédons une fois de plus ce week-end.

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Actualité : Labo - La GeForce RTX 5090 de Nvidia fait des étincelles dans le Razer Blade 16

Trois mois après les déclinaisons de PC de bureau, les GeForce RTX de série 50 de Nvidia débarquent enfin sur PC portables. Elles reprennent évidemment l’architecture Blackwell dont les gains de performances en rendu traditionnel (rastérisation) se sont montrés timides à très corrects selon les modèles.Nvidia GeForce RTX 50 : performances doublées et...

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Maladie de Lyme : des chercheurs ont trouvé une brèche chez la bactérie responsable

Une étude récente publiée dans la revue mBio met en lumière une faiblesse inattendue de la bactérie à l’origine de la maladie de Lyme. Les chercheurs y décrivent un enzyme clé, la lactate déshydrogénase (LDH), indispensable à la survie de Borrelia (ou Borreliella) burgdorferi et prometteuse...

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Tatouage : cette découverte pourrait bien faire trembler toute une génération

Une enquête récente menée au Danemark suscite un étonnement certain : l’encre de tatouage pourrait favoriser l’apparition de certaines tumeurs, notamment le lymphome – prolifération anormale des cellules de défense de l’organisme – et des cancers cutanés. Faut-il y voir un danger caché sous...

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Femmes enceintes, enfants, ados : pourquoi les autorités recommandent de limiter le soja

Les recommandations récentes invitent à une vigilance accrue autour des isoflavones dans la restauration collective. Ces composés, présents dans certains végétaux comme le soja, suscitent désormais un réel questionnement pour la santé de chacun, en particulier reproductive. Quels risques...

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Parkinson : cette découverte étonnante sur la maladie pourrait tout changer !

Une découverte récente met en lumière un élément souvent sous-estimé dans la maladie de Parkinson. Des chercheurs ont utilisé des outils de pointe pour observer le cerveau d’une manière inédite. Résultat : un nouveau champ d’exploration se profile pour les spécialistes et offre un espoir de...

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Sur les traces de la flotte fantôme russe

Début 2025, les États-Unis et l'Europe ont pris de nouvelles sanctions contre les exportations de pétrole russe qui ciblent notamment des tankers. Depuis la mise en place du blocus économique occidental contre Moscou en 2022, une toile d'entrepreneurs de l'ombre aide la Russie à écouler ses (...) / , , , - 2025/03
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À Santiago du Chili, avec les galériens des transports

Après l'embrasement, il est parfois difficile d'expliquer le départ de feu. Au Chili, cela pourrait être l'augmentation soudaine du prix du ticket de métro à Santiago, la capitale. Elle a provoqué une immense vague de protestations en 2019. Avant d'engendrer des transformations inimaginables quelques (...) / , , , , , , , - 2023/03
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Le Benghazi Medical Center, l'autre affaire libyenne de Nicolas Sarkozy

30 millions d'euros et la mort d'un français sur fond de soupçons de corruption

En plein procès du financement libyen de la campagne 2007, Reflets rouvre une enquête sur une histoire méconnue : 30 millions d'euros versés sur ordre de l'Elysée pour équiper l'hôpital de Benghazi. Et dans cette affaire, il y a eu mort d'homme. Depuis nos révélations en 2015, le Parquet national financier s'est saisi du volet corruption de ce dossier. Une audience est prévue en juin prochain.

Vue de l'hôpital de Benghazi - D.R.

« M. Guéant a dit : il faut qu'on s'occupe de l'hôpital de Benghazi. On s'en est occupés. » Cette phrase anodine, jetée en pleine séance du tribunal ce lundi 20 janvier par Nicolas Sarkozy, a eu l’effet d’un coup de tonnerre sur les connaisseurs du dossier. À peine prononcée, elle a fait resurgir tout un pan du passé trouble de la France en Libye, où la libération des infirmières bulgares sert de sordide toile de fond à des intrigues franco-libyennes. Or ces intrigues où l'argent de la France a coulé à flots ont coûté la vie à un Français, Patrice Réal, le soir du 2 mars 2014 à Benghazi. Qui s’en souvient ?

Ce responsable de la sécurité du fameux Benghazi Medical Center, 49 ans, employé par un prestataire de la très controversée société française Ideal Medical Product Engineering (IMPE) est mort criblé de balles, alors qu’il était passager d’un minibus, de retour du souk de Benghazi. L’enquête -classée sans suite- n’a jamais permis de savoir qui étaient les tueurs et surtout pourquoi cet homme apparemment sans histoire a été visé. Sa mort a fait l’objet de quelques échos dans la presse, mais en 2014, personne ne s’était jamais inquiété de savoir qui il était, ni d’où il venait. Des rumeurs jamais confirmées évoquaient un agent secret français. En 2015, avec Jacques Duplessy (nous sommes deux journalistes travaillant aujourd’hui pour Reflets), nous avions dénoué les premiers fils de l’énigme, avec la conviction que le Benghazi Medical Center n...

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Vos batteries vont-elles exploser ?

La faillite du suédois Northvolt douche les espoirs d'une filière européenne des batteries. Elle interroge aussi la priorité accordée aux véhicules particuliers, alors que l'électrification ne présente des bénéfices environnementaux que pour les transports en commun, alimentés en continu par le réseau. (...) / , , - 2025/02
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Aux (codes) sources de la poésie

Le livre ./code --poetry est un objet original réunissant programmation, poésie et graphisme, que l’amoureux du code peut prendre plaisir à avoir dans sa bibliothèque pour le feuilleter de temps en temps et méditer sur toute cette littérature pour machines qu’il a écrite depuis ses premiers émois binaires. Attelage a priori improbable, Daniel Holden est programmeur et travaille dans les jeux vidéos à Montréal alors que Chris Kerr est un poète qui vit à Londres. Ils ont en fait fréquenté la même école et se connaissent depuis l’âge de onze ans. Explorons leur livre :

  • Daniel Holden et Chris Kerr, ./code --poetry, Broken Sleep Books, 2023, ISBN 978-1-915760-89-0.

    Sommaire

    Sources et rendus

    Un code poem est un code source mélangé à de la poésie, alors on pourrait traduire l’expression par un mot composé comme code-poème ou poème-source. J’utiliserai plutôt cette dernière traduction, le mot « source » ayant clairement des connotations poétiques. Pour ce qui est du concept de code poetry, poésie-source me satisfait moins. À vous de voir.

    Dans les poèmes-sources du livre, parfois les mot-clés du langage utilisé font partie du texte du poème, parfois le poème est simplement contenu dans des commentaires que la coloration syntaxique et la mise en page aideront à mettre en valeur. Utiliser des chaînes de caractères est une autre solution facile. On peut aussi généralement utiliser des noms de variables (éventuellement inutilisées), de fonctions, de labels, etc. Dans certains poèmes-sources les parties de code imprononçables sont isolées en haut ou en bas du code source comme dans chernobyl.rkt. Le code est toujours mis en forme avec soin et constitue parfois un calligramme, mot inventé par Apollinaire, par exemple une raquette de tennis pour Processing. Les auteurs se réclament également de la poésie concrète.

    On notera que dans le cas où l’on utilise également les mots-clés du langage dans le texte poétique, on sera bien sûr dans la plupart des langages plutôt incité à écrire en anglais. Mais on pourrait aussi considérer leurs mots-clés comme des parties d’un mot, par exemple for(midable=0;;) // j’étais fort minable. Sinon, on pourra utiliser un langage Logo en français ou quelques autres rares langages pour batracien hexagonal que vous pourrez citer en commentaires.

    Une contrainte majeure respectée dans le livre est qu’un programme doit être exécutable : il produit alors souvent de l’art ASCII, soit statique soit le plus souvent dynamique comme dans water.c, mais peut aussi produire un texte mixant poésie et codes informatiques (des balises HTML par exemple dans divide.php). Quant au titre du poème, c’est simplement le nom du fichier source.

    Les sujets abordés dans ces poèmes sont variés : expériences personnelles, théories du complot, dystopies, technologie et environnement, etc. D’après l’introduction du livre, chaque poème-source et sa sortie sont censés refléter le caractère du langage informatique utilisé. On trouvera pour chacun des vingt-six poèmes le code source sur la page gauche, avec coloration syntaxique, sur fond clair ou sombre, et sur la page droite la sortie. Le livre se double d’un site compagnon https://code-poetry.com/ qui a l’avantage de montrer les versions animées des sorties. Le livre essaie néanmoins de rendre cela par des successions de copies d’écran quand c’est possible. Comme la bannière en haut du site web semble boguée ou incomplète, voici les liens directs vers les vingt-six codes disponibles : Javascript, Julia, PHP, Racket, C++, Piet, Bash, Shakespeare, Perl, C, Haskell, C, J, Batch, Ruby, Objective C, Go, Processing, Ante, Befunge, C#, Python, Python, Erlang, Lua, Brainfuck. On notera que parmi les langages vedettes, le C et le Python ont droit à deux codes. Et on saluera les efforts du programmeur pour arriver à maîtriser les bases de tous ces langages pour la rédaction du livre. Si vous y trouvez un de vos langages préférés, vous pouvez partager en commentaires les particularités ou astuces des codes présentés (on frise parfois l’offuscation).

    Autres textes pour « massive nerds »

    Après les vingt-six poèmes, nous tombons sur la Code Poetry Manual Page, placée dans la section 7 des man-pages (Overview, conventions, and miscellaneous) : ./code --poetry - A collection of executable art. Chaque poème ou langage a droit à un paragraphe de commentaires (techniques, littéraires ou humoristiques).

    Le livre se termine par un texte de chaque auteur. Le premier texte, celui du poète, explique les contraintes liées à la mise en page et à la présentation graphique des codes sources et de leurs sorties à la fois dans le livre et sur le site compagnon, puis se termine par une liste d’autres livres déjà publiés sur le sujet, en insistant sur ce en quoi le présent livre s’en démarque.

    Le second texte est écrit par le programmeur du tandem et s’intitule (si l’on interprète le graphisme d’introduction) « I love ASCII ». Il tente d’abord d’expliquer au candide (qui serait tombé par hasard sur ce livre ?) ce qu’est un langage de programmation pour l’introduire à la culture geek. Il explique par exemple la multiplicité des langages et dit :

    Les gens ont donc tendance à s’identifier à certains langages plus qu’à d’autres, ce qui entraîne un effet d’amplification. Au fur et à mesure que les gens affluent vers le langage qui leur correspond le mieux, la culture s’homogénéise. Des frontières sont tracées, des nations se développent et des drapeaux sont hissés.
    Ces factions sont connues pour se livrer à des « guerres de religion » à propos du meilleur style de programmation. La lecture des arguments est une expérience en soi, quelque part entre un débat théorique entre physiciens des particules et une dispute enfantine sur Porsche versus Ferrari.

    Le texte se termine par la déclaration d’amour au code ASCII annoncée en titre, avec des explications intéressantes sur les origines de certains caractères. Mais quand l’auteur taquine sa compagne en lui disant qu’il va se faire tatouer les quatre-vingt-quinze caractères imprimables du code ASCII, elle lui répond en substance : « Please don’t, you massive nerd! »

    Finalement, la dernière page imprimée du livre nous invite à nous mettre au travail avec la chaîne de caractères layoutyourunrest écrite en majuscules puis en minuscules. On peut traduire ça par : « exposez votre trouble ». C’est en fait la devise de la maison d’édition Broken Sleep Books (dont le fondateur est insomniaque !), spécialisé dans la poésie et basée au Pays de Galles. Alors lecteur linuxien, es-tu inspiré ? N’es-tu pas en mal de défi depuis que TapTempo a été porté dans ton langage favori ? Are you experienced?

    Le logos informatique

    Le verbe créateur est bien sûr un thème biblique. Wikipedia rappelle également que :

    Le terme « poésie » et ses dérivés « poète », « poème » viennent du grec ancien ποίησις / poíesis par le verbe ποιέω / poiéō, « faire, créer » : le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives […]

    On sait bien que les écrivains créent des mondes, certains poussant même la chose à l’extrême, comme J.R.R. Tolkien qui a créé tout un monde avec sa mythologie, son histoire, sa géographie, ses créatures, ses langues, ses poèmes et chansons, etc. Mais les développeurs ne sont pas en reste. Que le logos informatique soit créateur et crée des mondes, voire le monde, pour le meilleur et pour le pire, quiconque a vécu l’évolution de notre société depuis les débuts du web pourra difficilement en douter.

    Notes diverses

    • Difficile après cette conclusion de ne pas avoir envie de réécouter Un autre monde (1984) de Téléphone. « Dansent les ombres du monde ».
    • Cette alliance de la poésie et de la technologie m’a fait aussi penser à Anne Clark, qui dans les années 80 déclamait ses textes dans un style dit « spoken word » sur fond de musique électronique new wave. Son morceau le plus connu est Our Darkness (1984), qualifié plus récemment par certains de proto-house. Elle a continué sa carrière et en 2022 a sorti un album Borderland (Found Music for a Lost World) dans un style musique de chambre. On y trouve en particulier un poème de Mary E. Coleridge (1861-1907) intitulé L’oiseau bleu récité par Anne Clark : The Bluebird. Enfin, sur son site officiel, on voit qu’en 2024 elle a prêté sa voix à des installations réalisées par l’artiste Clemens von Wedemeyer qui s’intéresse entre autres aux relations sociales, comme on peut le voir sur ces photos montrant des graphes : Social Geometry. Malheureusement, on ne l’entendra pas ; il aurait fallu aller à Berlin.
    • Cette dépêche n’est pas sans lien non plus avec Des nouvelles de Fortran n°6 où j’évoquais récemment l’utilisation du langage dans les années 60-70 pour explorer la génération automatique de poèmes.
    • On notera que comprendre la poésie moderne anglo-saxonne peut parfois être ardu, la syntaxe de la langue, déjà plutôt souple, subissant des contorsions et le vocabulaire puisant dans le vaste répertoire de la langue anglaise. Sans compter ici le mélange avec le code source qui brouille parfois la lecture (faut-il lire les mots-clés du langage ?).

    Bibliographie

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