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Rendez-nous nos boutons !

Cette dépêche fait suite à celle sur les interfaces temps réel ainsi qu’a celle sur l’informatique sans écran. C’est une dépêche de réac qui se plaint que c’était bien mieux avant et qu’on ferait bien d’écouter les anciens un peu plus.

Sommaire

C’est une note du blog de ploum qui m’a fait réaliser que l’on a besoin de remettre des boutons, des touches, des joysticks, des potentiomètres linéaires et autres boules de pointage (trackball), souris (boutons et molette), manettes… sur nos ordinateurs, télés, ordiphones, bagnoles et autres mixeurs à soupe mouchard. C’est urgent à l’heure où même nos guitares sont menacées par les écrans tactiles. Bref, une bonne interface Humain/Machine passe par un retour tactile de nos actions : on veut des boutons !

ChatGpt refuse de dessiner les ados boutonneux

Figure 1 - Refus catégorique de ChatGPT. Peut-être que « Dessine moi un adolescent avec plein de moutons » aurait été mieux accepté. Big Data implique Big Culture, non ?

Retour vers le futur boutonneux

Avant de râler et de déclencher la Guerre des boutons, interrogeons-nous sur ces objets du quotidien. On est sérieux à nôtre âge, on n’a plus dix-sept ans.

Si on considère les touches des claviers d’instruments de musique comme les ancêtres du bouton, alors on peut remonter jusqu’à l’Antiquité et aux premiers orgues : l’hydraule, orgue où l’air est mis sous pression par une chute d’eau, date en effet du IIIe siècle avant notre ère (Ctésibios d’Alexandrie). C’est aussi le premier instrument à clavier. Ses touches avaient probablement des mécanismes très simples et il n’y avait pas de touches blanches et noires, comme dans cette reconstitution d’un orgue antique (avec même le son dans la vidéo). Vers 320-322 de notre ère, Claudien écrit un poème contenant ces vers :

« Qu’un autre enfantant, par une légère pression, des sons au loin retentissant, modère les mille voix de mille tuyaux d’airain, les fasse tonner sous ses doigts errants, et d’une onde profondément agitée par le jeu du levier, tire d’harmonieuses modulations. » (Panégyrique sur le consulat de Flavius Mallius Theodorus)

Reconstitution d’un orgue romainFigure 2 - Reconstitution d’un orgue romain. [Source : Wikimedia, domaine public]

On trouve déjà dans cette description le constat qu’il suffit d’appuyer sur un bouton pour déclencher des tâches mobilisant une grande puissance. Seize siècles plus tard, en pleine guerre froide et deux ans après la crise des missiles de Cuba, le jeune Bob Dylan (22 ans) chante dans With God On Our Side (The Times They Are A-Changin’, 1964) :

One push of the button
And a shot the world wide

USS Growler launch controlFigure 3 - Tableau de bord des missiles de croisière nucléaires du sous-marin USS Growler (1958-1964). [Source : Wikimedia, licence : CC-BY-SA par Flintmichigan]

C’est en fait dans les deux dernières décennies du XIXe siècle, avec la diffusion de l’électricité dans les villes, que se produit la grande éruption des boutons. Nous avons bien sûr oublié à quel point c’était magique à l’époque ! Mais on s’inquiète aussi rapidement de l’avènement d’une humanité presse-bouton :

Plotnick cite un éducateur et activiste de 1916 déplorant que le fait d’appuyer sur un bouton « semble nous décharger de toute nécessité de se sentir responsable quant à ce qui se passe derrière le bouton ».

Les récits d’anticipation s’en emparent. Par exemple, Edward Morgan Forster publie en 1909 une nouvelle intitulée The Machine Stops (La Machine s’arrête) dans laquelle les êtres humains vivent sous terre isolés chacun dans une pièce, quasiment sans contact physique, la Machine satisfaisant tous leurs besoins :

Puis elle activa la lumière, et la vue de sa chambre, inondée de lumière et constellée de boutons électriques, la revigora. Il y avait des boutons et des interrupteurs partout - des boutons pour demander de la nourriture, de la musique, des vêtements. Il y avait le bouton du bain chaud, qui faisait surgir du sol une cuve en (faux) marbre, remplie à ras bord d’un liquide chaud et désodorisé. Il y avait le bouton du bain froid. Il y avait le bouton qui produisait de la littérature. Et il y avait bien sûr les boutons qui lui permettaient de communiquer avec ses amis. La chambre, bien que ne contenant rien, était connectée avec tout ce qui lui importait dans le monde. (Version originale en ligne sur The Project Gutenberg et version française éditée par l’échappée)

C’était mieux avant ! (On était jeune)

Tout râleur qui tient à sa crédibilité se doit de râler en connaissance de cause. On n’ira donc pas jusqu’à prétendre que c’était mieux sans bouton et on se contentera de notre vécu : c’était mieux avant quand il y avait de vrais boutons ! Qu’on pouvait pressurer et qui faisaient de vrais sons, « des clip, crap, des bang, des vlop et des zip », qui résistaient, qui vibraient, qui glissaient ! Bref, qui nous donnaient des sensations.

Hard Rock Cafe Florence - Touchscreen with The Doors quoteFigure 4 - Malgré cet appel touchant, les portes de la perception semblent désormais presque fermées. Le monde est devenu plat et lisse ; les êtres humains se sont enfermés dans leur caverne numérique. [Source : Wikimedia, licence : CC-BY par SunOfErat]

Bien que la technologie des écrans tactiles soit assez ancienne, c’est surtout l’envolée des ventes de smartphones et tablettes autour de 2010 qui va propager les interfaces tactiles à d’autres objets du quotidien : des appareils électroménagers jusqu’aux voitures, pour le meilleur et pour le pire. Probablement parce qu’un écran tactile avec des menus permet de remplacer de nombreux boutons et aussi par effet de mode (ça fait moderne, en attendant les interfaces cérébrales). Dans nos interfaces graphiques, telles que GTK, on retrouve des ersatz de boutons : interrupteurs On/Off, boutons radio (quand on presse sur l’un, l’autre ressort), commutateurs (switches), etc. Mais tout ça manque de relief !

Sur les lecteurs de K7, on pouvait avoir des boutons poussoir qui remettaient à zéro le compteur (mécanique). Et également des boutons qu’on poussait vers le bas et qui restaient bloqués (lecture) ou non (éjection). Press the Eject and Give Me the Tape est par exemple le titre d’un album live du groupe britannique Bauhaus sorti en 1982.

RadioShack CTR-119Figure 5 - Un magnétophone : appuie sur Eject et file-moi la K7 ! [Source : Wikimedia, domaine public]

Sur une chaîne Hi-Fi, on trouve de bons gros boutons cylindriques que l’on peut prendre à pleine main. Ils peuvent être continus (par exemple pour le volume), c’est-à-dire que ce sont des potentiomètres rotatifs, ou à crans (par exemple pour sélectionner une source). Ces gros boutons ont été longtemps également utilisés pour sélectionner les fréquences des stations de radio et ils faisaient bouger un curseur au-dessus des graduations. Sur nos chaînes, on peut aussi avoir des boutons de type manette, avec deux positions ou plus. Sur les radio-K7 on pouvait également rencontrer des potentiomètres linéaires pour régler le volume ou la tonalité. On les utilise aussi sur les égaliseurs, comme ci-dessous.

Sharp CD-S400 Hi-Fi system, ca. 1993Figure 6 - Une éruption de boutons divers et variés, sensations garanties [source : Wikimedia, licence : CC0].

Dans la suite de cette dépêche, on va surtout évoquer les boutons poussoir (qu’ils restent bloqués ou non) car ce sont ceux que l’on rencontre le plus dans les interfaces tactiles. Mais le discours serait similaire pour les autres types de boutons.

Ça change quoi ? Un bouton c’est un bouton, non ?

Le problème de l’écran tactile, c’est que c’est l’écran qui est tactile, qui touche, qui sent notre doigt. Le doigt, quant à lui, sent juste qu’il a touché une surface, mais il ne sait pas s’il est au bon endroit. L’écran est soi-disant tactile, mais c’est avant tout un écran, ce qui implique la vue. Lorsque l’on touche le bouton avec son doigt, on le cache. Pour savoir s’il on a bien appuyé sur le bouton il faut donc retirer son doigt et regarder à nouveau si le bouton virtuel a changé d’état.

Du point de vue de l’utilisateur, on a donc plutôt affaire à des « boutons visuels » plutôt qu’à un « écran tactile ». Tout au plus l’émission d’un clic électronique ou d’une vibration non localisée confirmera qu’on a appuyé sur un bouton (parmi d’autres).

Avec de vrais boutons, c’est du 3D. Si on a mémorisé leur disposition, on peut s’en sortir sans la vue, uniquement au toucher. Intéressant quand on conduit par exemple, les doigts se promènent par exemple sur les six boutons pour choisir la station de radio et trouvent sans problème le troisième bouton. Une personne aveugle sera bien démunie face à un écran tactile. Un bouton mécanique est quant à lui vraiment tactile, c’est-à-dire que les doigts le sentent : le toucher prédomine alors sur la vision. D’ailleurs en français, les « boutons » d’un clavier, qu’il soit musical ou informatique, s’appellent des touches.

On peut aussi noter que les vrais boutons sont généralement en nombre limité (car ça prend de la place et ça coûte). Ils permettent donc d’effectuer les actions les plus courantes. Les écrans permettent de créer des menus, pour des choix plus complexes. Mais cela peut être redoutable pour certaines personnes âgées, qui n’ont pas été habituées à ces technologies, ou dont les fonctions cérébrales déclinent. Ne parlons même pas des mises à jours logiciels incessantes qui changent l’aspect et la disposition des menus.
Le pire étant le manque de performance (c'est rarement temps réel) qui nous force souvent à ré-apppuyer pour se retrouver avec un comportement que l'on avait pas prévu quand ça se débloque.

Autre problème, on a parfois besoin de protéger ses doigts avec des gants, qu’il fasse froid ou qu’on soit en train de faire une activité dangereuse pour les mains. Un bon vieux bouton reste généralement utilisable. Même avec des moufles, on pourra encore y arriver si les boutons ne sont pas trop rapprochés !

Technician mounting glove on Hoshides EMU during SSATA traning for Expedition 32Figure 7 - Parfois on doit travailler avec des gants, ce qui entraîne une perte au niveau tactile. Il y a vraiment là de quoi faire la moue. [Source : Wikimedia, domaine public]

Revenons sur le son. Les boutons sur lesquels on appuie émettent souvent un son qui constitue un retour sensoriel supplémentaire qui nous indique si nous les avons correctement enfoncés. Au point que l’on parle de « cliquer » sur le bouton d’une souris plutôt que d’appuyer dessus. On a donc à la fois un retour tactile (une certaine résistance ou vibration) et un retour sonore, en plus de l’éventuel retour visuel si on regarde le bouton.

Avec un écran dit tactile, le retour tactile est justement bien maigre, on ne fait qu’effleurer les choses : la pression exercée importe peu, la résistance opposée par l’écran sera la même si j’appuie sur le soit-disant bouton ou à côté ! Et le vibreur de mon téléphone fera vibrer tout le téléphone au lieu de ne faire vibrer que l’endroit où j’ai appuyé. Triste topique…

Le patch de Colombia

Les constructeurs d'ordiphone s'échinent à virer les boutons de leurs appareils ? Qu'à cela ne tienne, des étudiants de l'Université de Colombia proposent une coque pour en remettre !

Sans aucune connexion électrique, ces étudiants proposent de faire vibrer le téléphone au moyen de clapet et ressort et de les détecter en utilisant l'accéléromètre.

Coque_Boutons_Colombia

Le type de vibration reçue permet à un logiciel de traitement du signal de détecter le type de bouton actionné et ainsi récupérer la fonctionnalité perdue.

C'est intéressant, mais pourquoi ne pas tout simplement nous rendre nos boutons !

L’urgence ergonomique

Nous savons bien que les temps changent, mais il ne faut pas céder à la mode sans raison. L’écran tactile peut être adapté à certaines machines ou situations et pas à d’autres. Faut-il vraiment « être absolument moderne », juste pour le plaisir ? Non, il faut être absolument ergonomique. Alors, si vous ne voulez pas vous faire appeler Arthur, rendez-nous nos bons vieux boutons là où ils sont parfaitement adaptés à nos besoins ! Rouvrons les portes de la perception !

RimbaudFigure 8 - Un adolescent peut aussi avoir des boutons au niveau de son gilet. De plus, en voilà un qui ne sourit pas et n’a pas l’air niais. Ce qui finalement justifie peut-être le refus de ChatGPT en haut de cette dépêche. [Source : Wikimedia, Étienne Carjat (1871), domaine public]

Bibliographie

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Lettre d'information XMPP de novembre 2024

N. D. T. — Ceci est une traduction de la lettre d’information publiée régulièrement par l’équipe de communication de la XSF, essayant de conserver les tournures de phrase et l’esprit de l’original. Elle est réalisée et publiée conjointement sur les sites XMPP.org, LinuxFr.org et JabberFR.org selon une procédure définie.

Bannière de la Newsletter XMPP

Bienvenue dans la lettre d'information XMPP, ravi de vous retrouver !

Ce numéro couvre le mois de novembre 2024.

Tout comme cette lettre d'information, de nombreux projets et leurs efforts dans la communauté XMPP résultent du travail bénévole des personnes.

Si vous êtes satisfait des services et des logiciels que vous utilisez, merci de considérer dire merci ou aider ces projets !

Vous souhaitez soutenir l'équipe de la lettre d'information ? Lisez en bas de page.

    Sommaire

    Annonces XSF

    27ème Sommet XMPP et FOSDEM 2025

    La XSF planifie le Sommet XMPP 27, qui se tiendra les 30 et 31 janvier 2025 à Bruxelles (Belgique, Europe). À la suite du Sommet, la XSF prévoit également d’être présente au FOSDEM 2025, qui aura lieu les 1er et 2 février 2025. Retrouvez tous les détails dans notre Wiki. Inscrivez-vous dès maintenant si vous prévoyez d'y assister, cela aide à l'organisation. L'événement est bien sûr ouvert à toutes les personnes intéressées à participer. Faites passer le mot dans vos cercles !

    Hébergement fiscal de projets par la XSF

    La XSF propose un hébergement fiscal pour les projets XMPP. Vous pouvez postuler via Open Collective. Pour plus d’informations, consultez le post de blog d’annonce. Les projets actuels que vous pouvez soutenir :

    Événements XMPP

    • Berlin XMPP Meetup (DE / EN) : réunion mensuelle des passionnés de XMPP à Berlin, chaque 2ème mercredi du mois à 18h, heure locale
    • XMPP Italian happy hour [IT] : réunion mensuelle XMPP en ligne en italien, chaque troisième lundi du mois à 19h00, heure locale (événement en ligne, avec mode réunion web et streaming en direct).

    Articles XMPP

    Actualité des logiciels XMPP

    Clients et applications XMPP

    • Conversations a publié les versions 2.17.3 et 2.17.4 pour Android.
    • Monocles Chat 2.0.2 a été publié. Cette version apporte MiniDNS, l'exportation des paramètres, des corrections et plus encore !
    • Monal a publié la version 6.4.6 pour iOS et macOS.
    • Cheogram a publié la version 2.17.2-2 pour Android. Cette version apporte une fonctionnalité de demandes de chat pour cacher les SPAM possibles, avec une option pour tout signaler. De plus, elle contient plusieurs améliorations et corrections de bugs. À noter également, depuis novembre dernier, Cheogram est de nouveau disponible en téléchargement sur le Google Play Store !

    Cheogram 2.17.2-2 : tiroir de navigation avec filtres de comptes et de tags et contrôle des SPAM, avec l'option 'signaler tout'

    Serveurs XMPP

    • Openfire 4.9.1 et 4.9.2 ont été publiés. La version 4.9.1 est une mise à jour de correction de bugs et de maintenance, tandis que la version 4.9.2 est une mise à jour de correction de bugs. Vous pouvez consulter le journal des modifications complet pour plus de détails.
    • MongooseIM version 6.3.0 a été publiée. Le principal point fort est la refonte complète de l'instrumentation, permettant l'intégration avec Prometheus. De plus, CockroachDB a été ajouté à la liste des bases de données prises en charge pour une évolutivité accrue. Consultez les notes de version pour plus d'informations.
    • L'application (non officielle) Prosody pour Yunohost a maintenant atteint une maturité bêta, l'ouvrant à tout le monde pour des tests. Cette variante vise à fournir un meilleur support XMPP pour les utilisateurs de Yunohost. Par rapport aux applications officielles Metronome et Prosody, cette application permet d'activer les appels audio/vidéo par défaut. Une importation optionnelle des listes de contacts, MUC et favoris depuis Metronome est également proposée. Pour rappel, Yunohost est une distribution de serveur basée sur Debian, ce qui facilite l'hébergement de nombreux services (applications) par soi-même. Jusqu'à la dernière version majeure (version 12), Metronome était intégré à l'installation de base, permettant à de nombreuses personnes de découvrir plus facilement XMPP (bien qu'avec certaines limitations).

    Bibliothèques et outils XMPP

    Extensions et spécifications

    La XMPP Standards Foundation développe des extensions pour XMPP dans sa série XEP en plus des RFC XMPP.

    Des développeuses, développeurs et experts en normes du monde entier collaborent sur ces extensions, élaborant de nouvelles spécifications pour des pratiques émergentes et affinant les méthodes existantes. Proposées par n'importe qui, celles qui rencontrent un grand succès finissent par être classées comme Final ou Active, selon leur type, tandis que d'autres sont soigneusement archivées comme Deferred. Ce cycle de vie est décrit dans XEP-0001, qui contient les définitions formelles et canoniques des types, états et processus. En savoir plus sur le processus des normes. La communication autour des normes et des extensions se fait sur la liste de diffusion des standards (archive en ligne).

    Extensions proposées

    Le processus de développement des XEP commence par la rédaction d'une idée et sa soumission à l'éditeur XMPP. Dans un délai de deux semaines, le Conseil décide si cette proposition doit être acceptée comme une XEP expérimentale.

    • Aucune XEP proposée ce mois-ci.

    Nouvelles extensions

    • Version 0.1.0 de XEP-0496 (Relations entre nœuds Pubsub)
      • Promue à Expérimental (Éditeur XEP : dg)
    • Version 0.1.0 de XEP-0497 (Abonnements étendus Pubsub)
      • Promue à Expérimental (Éditeur XEP : dg)
    • Version 0.1.0 de XEP-0498 (Partage de fichiers Pubsub)
      • Promue à Expérimental (Éditeur XEP : dg)
    • Version 0.1.0 de XEP-0499 (Découverte étendue Pubsub)
      • Promue à Expérimental (Éditeur XEP : dg)
    • Version 0.1.0 de XEP-0500 (Mode lent MUC)
      • Promue à Expérimental (Éditeur XEP : dg)

    Extensions déférées

    Si une XEP expérimentale n’est pas mise à jour pendant plus de douze mois, elle sera déplacée de la catégorie Expérimental vers Déférée. Si une mise à jour survient, la XEP sera remise dans la catégorie Expérimental.

    • Aucune XEP déférées ce mois-ci.

    Extensions mises-à-jour

    • Version 1.0.1 de XEP-0490 (Synchronisation des messages affichés)
      • Correction de certains exemples, ainsi que de leur indentation.
      • Ajout du schéma XML. (egp)

    Derniers appels

    • Les appels finaux sont lancés une fois que tout le monde semble satisfait de l'état actuel de la XEP. Après que le Conseil décide si la XEP semble prête, l'Éditeur XMPP émet un dernier appel pour les commentaires. Les retours recueillis pendant cet appel peuvent aider à améliorer la XEP avant de la renvoyer au Conseil pour son passage en statut stable.

    • Aucun dernier appel ce mois-ci.

    Extensions stables

    • Version 1.0.0 de XEP-0490 (Synchronisation des messages affichés)
      • Acceptée comme stable selon le vote du Conseil du 2024-11-05. (Éditeur XEP (dg))

    Extensions dépréciées

    • Aucune XEP n'a été dépréciée ce mois-ci.

    Extensions rejetées

    • Aucune XEP n'a été rejeté ce mois-ci.

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    • Anglais (original) : xmpp.org
      • Contributions générales : Adrien Bourmault (neox), Alexander "PapaTutuWawa", Arne, cal0pteryx, emus, Federico, Gonzalo Raúl Nemmi, Jonas Stein, Kris "poVoq", Licaon_Kter, Ludovic Bocquet, Mario Sabatino, melvo, MSavoritias (fae,ve), nicola, Schimon Zachary, Simone Canaletti, singpolyma, XSF iTeam
    • Français : jabberfr.org et linuxfr.org
      • Traductions : Adrien Bourmault (neox), alkino, anubis, Arkem, Benoît Sibaud, mathieui, nyco, Pierre Jarillon, Ppjet6, Ysabeau
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      • Traductions : nicola
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      • Traductions : Gonzalo Raúl Nemmi
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