Actualité : LG C5 : faut-il attendre avant d'acheter cet excellent TV Oled ?

Comme pour tout sport extrême, lorsque vous plongez en apnée, votre sécurité repose beaucoup sur le matériel que vous utilisez. Personne ne part gravir l’Everest avec de la ficelle à rôti, personne ne saute d’un avion en utilisant un sac en plastique en guise de parachute, même grand.
Il y a apnée et apnée… Certains plongent pour chasser, d’autres, juste pour descendre. A chacun son matériel même si certains peuvent se recouper. Mais les besoins ne sont pas forcément les mêmes. Si l’on chasse dans les 10 à 15 mètres, le matériel utilisé peut différer de celui nécessaire pour atteindre 20, 30, 40 mètres ou plus.
Pour la chasse, on trouve désormais des combinaisons camouflage, des fusils énormes, des palmes spécifiques… On peut souhaiter disposer d’un masque un peu classique, dédié à la chasse mais pas aussi petit que ceux utilisés pour le freediving qui offriront peut-être une moins bonne vision. Les palmes sont également un peu différentes.
Pour les amateurs de profondeur, et donc de freediving, les masques sont désormais ridiculement petits. Cela évite la présence de trop d’air autour des yeux et donc l’écrasement du masque sur le visage avec la pression et limite ainsi l’utilisation d’air pour le décoller pendant la descente. On peut observer des accidents oculaires si cette contre-pression n’est pas exercée, le masque faisant «ventouse».
On trouve même désormais des tubas spéciaux pour l’apnée. Je peine à comprendre véritablement ce qu’ils apportent réellement mais pourquoi pas. Selon le vendeur et l’attaché de presse, ils sont conçus pour améliorer la respiration (ils sont plus larges). Dans les profondeurs que je souhaite atteindre, le tuba ne sert qu’en surface et il est conseillé de l’enlever de la bouche au moment de plonger....
Qui est plus puissant que n’importe quel pays, y compris les États-Unis ? Les marchés financiers. Le monde de la finance peut faire plier n’importe qui en attaquant une monnaie, une économie. Ses ressources sont bien plus importantes. Est-il une porte se sortie de la folie que déploie le président Américain ? Oui et non.
La dernière enquête de la Banque des règlements internationaux sur les marchés des monnaies date de 2022. Il y a trois ans, chaque jour, s’échangeaient sur des places quelque 7.500 milliards de dollars.
Cela veut dire que sur une année (251 jours ouvrés), mille huit cent quatre-vingt-deux billions cinq cents milliards (oui, on sait, ça ne veut plus rien dire) de dollars s’échangent. En comparaison, le PIB des États-Unis atteint à peu près 24.000 milliards de dollars sur un an. Le PIB français représente quant à lui 3.000 milliards par an. Les réserves des États-Unis (en or et en dollars), ce sont 773,420 milliards de dollars en 2023.
Quelques chiffres difficile à appréhender en raison de leur taille permettent de voir où se situe le réel pouvoir. Nous avons souvent écrit qu’il fallait désarmer les marchés financiers avant qu’ils ne précipitent l’humanité dans une crise gravissime. Mais peut-on s’accommoder de cette puissance en espérant qu’elle sera le seul antidote à la folie d’un homme qui précipite la chute de son pays, les États-Unis et celle du reste du monde dans sa suite? En d’autres termes, puisque la logique et la rationalité n’atteignent pas les couches inférieures du cerveau de Donald Trump, faut-il compter sur les marchés financiers pour le faire plier?
La décision de mettre en pause son projet irrationnel d’augmentation des tarifs douaniers mercredi 9 avril a déclenché une hausse sur les places boursières. Jusqu’à quand?
L’ambiance sur les marchés actions...