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Le directeur de Lanterns évoque le ton unique et la magie sci-fi de la série HBO

Détails passionnants sur la prochaine série Lanterns mettant en vedette les Green Lanterns John Stewart et Hal Jordan La série très attendue Lanterns mettra en lumière les célèbres Green Lanterns John Stewart, interprété par Aaron Pierre, et Hal Jordan, joué par Kyle Chandler. Alors qu’ils se lancent dans une enquête cosmique sur Terre, les fans […]

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Et si ce scientifique avait résolu le plus grand mystère de l’humanité ?

Plongez dans l'histoire fascinante d'un génie scientifique resté dans l'ombre pendant des décennies. Tibor Gánti, biologiste hongrois méconnu, a peut-être résolu l'une des plus grandes énigmes scientifiques : comment la vie est-elle apparue sur notre Planète ? Son modèle révolutionnaire du «...

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SOUS LA PERRUQUE DE NEWTON - la Franc Maçonnerie au Coeur

Isaac Newton fut-il franc-maçon ? Certains prétendent que oui, d’autres pas, les lecteurs du Blog très documentés apporterons surement une réponse à cette question.

Toujours est-il qu’il fut proche de nombreux francs-maçons, c’est bien naturel car la plupart des francs-maçons spéculatifs appartenaient aux Collèges d’Oxford. C’est au XVIIème siècle que les Lumières ont sans doute été allumées, elles prendront leur essor au XVIIIème. La marmite Britannique bouillonna avec les nouvelles idées politiques, scientifiques, religieuses, qui firent naître de nouvelles propositions dans tous les domaines.


L’on voit aussi naître les prémices de la franc-maçonnerie spéculative tant dans les Collèges d’Oxford avec l’Invisible Collège qui deviendra la Royal Society, qu’à Dublin ou encore à Edimbourg. Tous les courants philosophiques et religieux sont bousculés par l’effervescence de cette marmite.


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New Constraints on DMS and DMDS in the Atmosphere of K2-18 b from JWST MIRI - IOPscience

La frontière sous-Neptune a ouvert une nouvelle fenêtre sur la riche diversité des environnements planétaires au-delà du système solaire. La possibilité de mondes océaniques, avec des océans à l'échelle de la planète et des atmosphères riches en H2, élargit et accélère considérablement la recherche d'environnements habitables ailleurs.

La récente spectroscopie en transmission du JWST du monde océanique candidat K2-18 b dans l'infrarouge proche a permis de détecter pour la première fois les molécules carbonées CH4 et CO2 dans son atmosphère, dont la composition est conforme aux prédictions de conditions océaniques.

Les observations ont également fourni une indication provisoire de sulfure de diméthyle (DMS), un gaz biosignature possible, mais l'inférence était de faible signification statistique.

Nous rapportons un spectre de transmission dans l'infrarouge moyen de K2-18 b obtenu à l'aide de l'instrument MIRI LRS du JWST dans le domaine ∼6-12 μm. Le spectre montre des caractéristiques distinctes et est incompatible avec un spectre sans caractéristiques à 3,4σ de signification par rapport à notre modèle canonique.

Nous constatons que le spectre ne peut pas être expliqué par la plupart des molécules prédites pour K2-18 b, à l'exception du DMS et du disulfure de diméthyle (DMDS), également un gaz biosignature potentiel.

Nous rapportons de nouvelles preuves indépendantes de la présence de DMS et/ou de DMDS dans l'atmosphère à 3σ de signification, avec une abondance élevée (≳10 ppmv) d'au moins l'une des deux molécules.

D'autres observations sont nécessaires pour augmenter la robustesse des résultats et résoudre la dégénérescence entre le DMS et le DMDS. Les résultats soulignent également la nécessité de travaux expérimentaux et théoriques supplémentaires pour déterminer les sections efficaces de gaz biosignatures importants et identifier les sources abiotiques potentielles. Nous discutons des implications des résultats actuels pour la possibilité d'une activité biologique sur le K2-18 b.


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Proton Pass : Vos pièces jointes sensibles enfin sécurisées !

Proton, la société suisse bien connue pour ses services orientés vers la confidentialité comme Proton Mail ou Proton VPN, continue de renforcer son gestionnaire de mots de passe. Cette semaine, Proton Pass introduit une nouvelle fonctionnalité très attendue : la possibilité d’ajouter des fichiers en pièce jointe à vos identifiants, contacts ou documents. Cette nouveauté permet […]

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Gmail vs Proton Mail : Quel est le meilleur service de messagerie en 2025 ?

Quand il s’agit de choisir un fournisseur de messagerie fiable, deux noms dominent le paysage : Gmail de Google et Proton Mail, la solution axée sur la confidentialité. Si Gmail reste l’option par défaut pour des millions d’utilisateurs dans le monde, Proton Mail séduit de plus en plus de personnes soucieuses de la sécurité, du design […]

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Rendez-nous nos boutons !

Cette dépêche fait suite à celle sur les interfaces temps réel ainsi qu’a celle sur l’informatique sans écran. C’est une dépêche de réac qui se plaint que c’était bien mieux avant et qu’on ferait bien d’écouter les anciens un peu plus.

Sommaire

C’est une note du blog de ploum qui m’a fait réaliser que l’on a besoin de remettre des boutons, des touches, des joysticks, des potentiomètres linéaires et autres boules de pointage (trackball), souris (boutons et molette), manettes… sur nos ordinateurs, télés, ordiphones, bagnoles et autres mixeurs à soupe mouchard. C’est urgent à l’heure où même nos guitares sont menacées par les écrans tactiles. Bref, une bonne interface Humain/Machine passe par un retour tactile de nos actions : on veut des boutons !

ChatGpt refuse de dessiner les ados boutonneux

Figure 1 - Refus catégorique de ChatGPT. Peut-être que « Dessine moi un adolescent avec plein de moutons » aurait été mieux accepté. Big Data implique Big Culture, non ?

Retour vers le futur boutonneux

Avant de râler et de déclencher la Guerre des boutons, interrogeons-nous sur ces objets du quotidien. On est sérieux à nôtre âge, on n’a plus dix-sept ans.

Si on considère les touches des claviers d’instruments de musique comme les ancêtres du bouton, alors on peut remonter jusqu’à l’Antiquité et aux premiers orgues : l’hydraule, orgue où l’air est mis sous pression par une chute d’eau, date en effet du IIIe siècle avant notre ère (Ctésibios d’Alexandrie). C’est aussi le premier instrument à clavier. Ses touches avaient probablement des mécanismes très simples et il n’y avait pas de touches blanches et noires, comme dans cette reconstitution d’un orgue antique (avec même le son dans la vidéo). Vers 320-322 de notre ère, Claudien écrit un poème contenant ces vers :

« Qu’un autre enfantant, par une légère pression, des sons au loin retentissant, modère les mille voix de mille tuyaux d’airain, les fasse tonner sous ses doigts errants, et d’une onde profondément agitée par le jeu du levier, tire d’harmonieuses modulations. » (Panégyrique sur le consulat de Flavius Mallius Theodorus)

Reconstitution d’un orgue romainFigure 2 - Reconstitution d’un orgue romain. [Source : Wikimedia, domaine public]

On trouve déjà dans cette description le constat qu’il suffit d’appuyer sur un bouton pour déclencher des tâches mobilisant une grande puissance. Seize siècles plus tard, en pleine guerre froide et deux ans après la crise des missiles de Cuba, le jeune Bob Dylan (22 ans) chante dans With God On Our Side (The Times They Are A-Changin’, 1964) :

One push of the button
And a shot the world wide

USS Growler launch controlFigure 3 - Tableau de bord des missiles de croisière nucléaires du sous-marin USS Growler (1958-1964). [Source : Wikimedia, licence : CC-BY-SA par Flintmichigan]

C’est en fait dans les deux dernières décennies du XIXe siècle, avec la diffusion de l’électricité dans les villes, que se produit la grande éruption des boutons. Nous avons bien sûr oublié à quel point c’était magique à l’époque ! Mais on s’inquiète aussi rapidement de l’avènement d’une humanité presse-bouton :

Plotnick cite un éducateur et activiste de 1916 déplorant que le fait d’appuyer sur un bouton « semble nous décharger de toute nécessité de se sentir responsable quant à ce qui se passe derrière le bouton ».

Les récits d’anticipation s’en emparent. Par exemple, Edward Morgan Forster publie en 1909 une nouvelle intitulée The Machine Stops (La Machine s’arrête) dans laquelle les êtres humains vivent sous terre isolés chacun dans une pièce, quasiment sans contact physique, la Machine satisfaisant tous leurs besoins :

Puis elle activa la lumière, et la vue de sa chambre, inondée de lumière et constellée de boutons électriques, la revigora. Il y avait des boutons et des interrupteurs partout - des boutons pour demander de la nourriture, de la musique, des vêtements. Il y avait le bouton du bain chaud, qui faisait surgir du sol une cuve en (faux) marbre, remplie à ras bord d’un liquide chaud et désodorisé. Il y avait le bouton du bain froid. Il y avait le bouton qui produisait de la littérature. Et il y avait bien sûr les boutons qui lui permettaient de communiquer avec ses amis. La chambre, bien que ne contenant rien, était connectée avec tout ce qui lui importait dans le monde. (Version originale en ligne sur The Project Gutenberg et version française éditée par l’échappée)

C’était mieux avant ! (On était jeune)

Tout râleur qui tient à sa crédibilité se doit de râler en connaissance de cause. On n’ira donc pas jusqu’à prétendre que c’était mieux sans bouton et on se contentera de notre vécu : c’était mieux avant quand il y avait de vrais boutons ! Qu’on pouvait pressurer et qui faisaient de vrais sons, « des clip, crap, des bang, des vlop et des zip », qui résistaient, qui vibraient, qui glissaient ! Bref, qui nous donnaient des sensations.

Hard Rock Cafe Florence - Touchscreen with The Doors quoteFigure 4 - Malgré cet appel touchant, les portes de la perception semblent désormais presque fermées. Le monde est devenu plat et lisse ; les êtres humains se sont enfermés dans leur caverne numérique. [Source : Wikimedia, licence : CC-BY par SunOfErat]

Bien que la technologie des écrans tactiles soit assez ancienne, c’est surtout l’envolée des ventes de smartphones et tablettes autour de 2010 qui va propager les interfaces tactiles à d’autres objets du quotidien : des appareils électroménagers jusqu’aux voitures, pour le meilleur et pour le pire. Probablement parce qu’un écran tactile avec des menus permet de remplacer de nombreux boutons et aussi par effet de mode (ça fait moderne, en attendant les interfaces cérébrales). Dans nos interfaces graphiques, telles que GTK, on retrouve des ersatz de boutons : interrupteurs On/Off, boutons radio (quand on presse sur l’un, l’autre ressort), commutateurs (switches), etc. Mais tout ça manque de relief !

Sur les lecteurs de K7, on pouvait avoir des boutons poussoir qui remettaient à zéro le compteur (mécanique). Et également des boutons qu’on poussait vers le bas et qui restaient bloqués (lecture) ou non (éjection). Press the Eject and Give Me the Tape est par exemple le titre d’un album live du groupe britannique Bauhaus sorti en 1982.

RadioShack CTR-119Figure 5 - Un magnétophone : appuie sur Eject et file-moi la K7 ! [Source : Wikimedia, domaine public]

Sur une chaîne Hi-Fi, on trouve de bons gros boutons cylindriques que l’on peut prendre à pleine main. Ils peuvent être continus (par exemple pour le volume), c’est-à-dire que ce sont des potentiomètres rotatifs, ou à crans (par exemple pour sélectionner une source). Ces gros boutons ont été longtemps également utilisés pour sélectionner les fréquences des stations de radio et ils faisaient bouger un curseur au-dessus des graduations. Sur nos chaînes, on peut aussi avoir des boutons de type manette, avec deux positions ou plus. Sur les radio-K7 on pouvait également rencontrer des potentiomètres linéaires pour régler le volume ou la tonalité. On les utilise aussi sur les égaliseurs, comme ci-dessous.

Sharp CD-S400 Hi-Fi system, ca. 1993Figure 6 - Une éruption de boutons divers et variés, sensations garanties [source : Wikimedia, licence : CC0].

Dans la suite de cette dépêche, on va surtout évoquer les boutons poussoir (qu’ils restent bloqués ou non) car ce sont ceux que l’on rencontre le plus dans les interfaces tactiles. Mais le discours serait similaire pour les autres types de boutons.

Ça change quoi ? Un bouton c’est un bouton, non ?

Le problème de l’écran tactile, c’est que c’est l’écran qui est tactile, qui touche, qui sent notre doigt. Le doigt, quant à lui, sent juste qu’il a touché une surface, mais il ne sait pas s’il est au bon endroit. L’écran est soi-disant tactile, mais c’est avant tout un écran, ce qui implique la vue. Lorsque l’on touche le bouton avec son doigt, on le cache. Pour savoir s’il on a bien appuyé sur le bouton il faut donc retirer son doigt et regarder à nouveau si le bouton virtuel a changé d’état.

Du point de vue de l’utilisateur, on a donc plutôt affaire à des « boutons visuels » plutôt qu’à un « écran tactile ». Tout au plus l’émission d’un clic électronique ou d’une vibration non localisée confirmera qu’on a appuyé sur un bouton (parmi d’autres).

Avec de vrais boutons, c’est du 3D. Si on a mémorisé leur disposition, on peut s’en sortir sans la vue, uniquement au toucher. Intéressant quand on conduit par exemple, les doigts se promènent par exemple sur les six boutons pour choisir la station de radio et trouvent sans problème le troisième bouton. Une personne aveugle sera bien démunie face à un écran tactile. Un bouton mécanique est quant à lui vraiment tactile, c’est-à-dire que les doigts le sentent : le toucher prédomine alors sur la vision. D’ailleurs en français, les « boutons » d’un clavier, qu’il soit musical ou informatique, s’appellent des touches.

On peut aussi noter que les vrais boutons sont généralement en nombre limité (car ça prend de la place et ça coûte). Ils permettent donc d’effectuer les actions les plus courantes. Les écrans permettent de créer des menus, pour des choix plus complexes. Mais cela peut être redoutable pour certaines personnes âgées, qui n’ont pas été habituées à ces technologies, ou dont les fonctions cérébrales déclinent. Ne parlons même pas des mises à jours logiciels incessantes qui changent l’aspect et la disposition des menus.
Le pire étant le manque de performance (c'est rarement temps réel) qui nous force souvent à ré-apppuyer pour se retrouver avec un comportement que l'on avait pas prévu quand ça se débloque.

Autre problème, on a parfois besoin de protéger ses doigts avec des gants, qu’il fasse froid ou qu’on soit en train de faire une activité dangereuse pour les mains. Un bon vieux bouton reste généralement utilisable. Même avec des moufles, on pourra encore y arriver si les boutons ne sont pas trop rapprochés !

Technician mounting glove on Hoshides EMU during SSATA traning for Expedition 32Figure 7 - Parfois on doit travailler avec des gants, ce qui entraîne une perte au niveau tactile. Il y a vraiment là de quoi faire la moue. [Source : Wikimedia, domaine public]

Revenons sur le son. Les boutons sur lesquels on appuie émettent souvent un son qui constitue un retour sensoriel supplémentaire qui nous indique si nous les avons correctement enfoncés. Au point que l’on parle de « cliquer » sur le bouton d’une souris plutôt que d’appuyer dessus. On a donc à la fois un retour tactile (une certaine résistance ou vibration) et un retour sonore, en plus de l’éventuel retour visuel si on regarde le bouton.

Avec un écran dit tactile, le retour tactile est justement bien maigre, on ne fait qu’effleurer les choses : la pression exercée importe peu, la résistance opposée par l’écran sera la même si j’appuie sur le soit-disant bouton ou à côté ! Et le vibreur de mon téléphone fera vibrer tout le téléphone au lieu de ne faire vibrer que l’endroit où j’ai appuyé. Triste topique…

Le patch de Colombia

Les constructeurs d'ordiphone s'échinent à virer les boutons de leurs appareils ? Qu'à cela ne tienne, des étudiants de l'Université de Colombia proposent une coque pour en remettre !

Sans aucune connexion électrique, ces étudiants proposent de faire vibrer le téléphone au moyen de clapet et ressort et de les détecter en utilisant l'accéléromètre.

Coque_Boutons_Colombia

Le type de vibration reçue permet à un logiciel de traitement du signal de détecter le type de bouton actionné et ainsi récupérer la fonctionnalité perdue.

C'est intéressant, mais pourquoi ne pas tout simplement nous rendre nos boutons !

L’urgence ergonomique

Nous savons bien que les temps changent, mais il ne faut pas céder à la mode sans raison. L’écran tactile peut être adapté à certaines machines ou situations et pas à d’autres. Faut-il vraiment « être absolument moderne », juste pour le plaisir ? Non, il faut être absolument ergonomique. Alors, si vous ne voulez pas vous faire appeler Arthur, rendez-nous nos bons vieux boutons là où ils sont parfaitement adaptés à nos besoins ! Rouvrons les portes de la perception !

RimbaudFigure 8 - Un adolescent peut aussi avoir des boutons au niveau de son gilet. De plus, en voilà un qui ne sourit pas et n’a pas l’air niais. Ce qui finalement justifie peut-être le refus de ChatGPT en haut de cette dépêche. [Source : Wikimedia, Étienne Carjat (1871), domaine public]

Bibliographie

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Queen - We Will Rock You (Karaoke Version) - YouTube

Voici une parodie amusante de la chanson "We Will Rock You" de Queen, adaptée au thème des moutons et avec le refrain "On va, on va les tondre". J'ai gardé l'esprit rythmique de la chanson tout en ajoutant une touche humoristique et pastorale.
Parodie : "On va, on va les tondre"

(Sur l'air de "We Will Rock You")

[Couplet 1]
Dans le pré, y’a un mouton, tout frisé, tout mignon,
Il broute sans souci sous le soleil du vallon.
Mais voilà, c’est l’heure, faut sortir la tondeuse,
Son pull est trop épais, il est temps qu’on l’allège !

[Refrain]
On va, on va les tondre !
On va, on va les tondre !

[Couplet 2]
Petit agneau malin qui s’enfuit dans le matin,
Il croit qu’il peut cacher son doux manteau laineux.
Mais les bergers sont là, ils ne lâchent pas l’affaire,
Avec leurs ciseaux d’or, ils vont faire des merveilles !

[Refrain]
On va, on va les tondre !
On va, on va les tondre !

[Couplet 3]
Grand troupeau bien peigné qui s’avance dans la vallée,
Tout léger maintenant, prêt à courir et jouer.
La laine au marché fait des pulls et des bonnets,
Merci à nos moutons pour leur chaud dévouement !

[Refrain final]
On va, on va les tondre !
On va, on va les tondre !

Parole de karaoke sans le son des paroles:
https://www.youtube.com/watch?v=j8Mkv84V9mY

Karaoke avec vraie parole chantée.
https://www.youtube.com/watch?v=TXGbhniTBrU

Musique au métalophone:
https://www.youtube.com/watch?v=TtVZCG-j_DE

Freddie Mercury en live..
https://www.youtube.com/watch?v=XvKkIttJLcc


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Test Eaton 3S Mini : L’onduleur de poche qui sauve votre box internet des coupures électriques

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