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Quelle est la capacité réelle d'une batterie externe ?
C'est une astuce que toutes les marques et tous les vendeurs (ab)usent : parler de la capacité "interne" de la batterie et pas sa capacité nominale. Je suis heureux qu'ils en parlent de manière si vulgarisée ^^
Combien n'ont pas pesté parce que leur batterie externe ne tient pas ses promesses...
Par exemple, une batterie externe est donnée pour 10'000 mAh. Tu as un téléphone avec une batterie de 5000 mAh. Youpi, tu peux le charger deux fois complètement ?
Eh bien non : la capacité de la batterie est bien de 10'000 mAh, mais à la tension de 3.87 V (ou 3.7 V ou toute autre tension de sortie standard pour une batterie Lithium). Ainsi, la batterie possède une énergie de 38.7 Wh (10'000 mAh x 3.87 V / 1000).
Sauf que la tension de sortie sera *au minimum* de 5 V (norme USB), pas de 3.87 V.
Et pour 5 V, la capacité nominale n'est plus la même : 38.7 Wh / 5 V * 1000 = 7'740 mAh.
C'est même pire dans les faits, car le circuit de conversion n'est pas parfait et il y a des pertes (taux de conversion à prendre en compte) ! Selon la qualité de l'électronique, ces pertes peuvent être non-négligeables.
Par exemple, si une batterie a un taux de conversion de 77 % (exemple réaliste basée sur une véritable batterie), alors la capacité nominale réelle est de 7740 mAh * 0.77 ≃ 6000 mAh.
Soit une différence de près 40 % avec la capacité donnée par le fabricant, tout de même...
C'est sans compter les différentes tensions possibles en USB (jusqu'à 20 V je crois, ou 48 ?) ni les indications trompeuses données par certains vendeurs peu scrupuleux... Ou l'utilisation de batteries déjà usées et ayant perdu une partie de leur capacité.
(Permalink)
De mon temps
HI-LO & Danny Avila - PARADISE [Official Audio] - YouTube
Cette version pimpé est hérité de cela (1995), lui-même provenant de cette version (1976) ; que de recyclage !
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La Chancellerie fédérale dépose une troisième plainte pour falsification de signatures - rts.ch - Suisse
La Chancellerie fédérale dépose une troisième plainte pénale pour falsification de signatures, concernant environ 21'000 paraphes suspects sur cinq initiatives populaires.
Ce nouveau rebondissement s'inscrit dans un scandale plus large de pratiques abusives dans la récolte de signatures, révélé à l'automne dernier.
Les contrôles lors du dépouillement des signatures ont été renforcés et un système de surveillance approfondi a été mis en place avec les cantons et communes.
Le Conseil fédéral et le Conseil des États envisagent des tests pour permettre une récolte numérique des signatures, comme alternative à l'interdiction de la collecte rémunérée.
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