Avec la hausse du prix des abonnements Netflix, l'heure est sans doute venue de revoir sa formule. Laquelle choisir en 2025 ?

Dans les jeux de société, c’est souvent l’usine, et pourtant on ne travaille pas. Tel un conseil d’administration, on prend des décisions qui reposent sur l'idée de faire travailler des meeples pas vraiment considérés comme des personnes, que l’on rémunère vaguement d’un sou ou d’un point de nourriture. Totalement irréaliste.

Au cours de ma vie de joueuse, je me suis trouvée suffisamment de fois bloquée par un boss en cinq phases ou une énigme sibylline pour tenir en haute estime les journalistes qui se sont consacrés à la conception de solutions de jeux. Longtemps, ils ont été mes héros, mes sauveurs, mes phares dans la nuit, avant de se faire voler la vedette par des vidéos sobrement intitulées « Full Walkthrough (NO COMMENTARY) ». Pour retracer l’évolution de l’art désormais trop rare de la soluce, je me suis entretenue avec des « soluceurs », qui ont aussi bien répondu à des enfants surexcités au téléphone que rédigé de longs guides écrits à destination de lecteurs égarés.

Lancé il y a maintenant près d’un an et demi, le Wi-Fi 7 s’est fait remarquablement discret auprès du grand public. Le matériel commence enfin à se démocratiser, notamment par le biais des FAI qui proposent désormais presque tous leurs box compatibles, alors il est temps de faire ensemble le point sur ce qu’apporte cette dernière itération.

Je ne suis pas inventeur. Mon travail, c’est de vous faire pouffer du nez en écrivant des trucs sur le jeu vidéo que vous lirez dans un TER Valenciennes-Jeumont. Cependant, je suis presque sûr que si j’avais le pouvoir de créer quelque chose d’utile pour l’humanité, je l’utiliserais pour faire progresser notre civilisation. Je ne sais pas, quelque chose qui n’existe pas, comme un trentenaire qui ne fait pas d’escalade, ou des poches sur les vêtements pour femmes. Mais jamais, au grand jamais, un masque anti-bruit pour gamers.

Après le lancement mitigé d’une RTX 5070 quelque peu chahutée par la sortie des Radeon RX 9070 XT et un rapport performance/prix jugé bien trop proche de la carte qu’elle remplace, Nvidia remet le couvert avec une référence plus attendue encore puisqu’elle occupe une place de choix sur le segment le plus important du marché, celui des cartes graphiques à moins de 500 €.

Si vous lisez cet article quelques heures avant le déjeuner, ou si vous n’avez presque rien avalé de la journée, il peut être préférable de le mettre de côté. Ou alors tournez la page, il y aura bien un papier d’ackboo qui parle d’un jeu de construction soviétique et vous permettra de tenir encore quelques heures sans avoir faim. Mais si vous décidez de lire cet article, autant être honnête : vous risquez d’avoir un peu le ventre qui gargouille.

Nous avons pu essayer ce qui représente certainement les trois jeux les plus prometteurs de l’éditeur dans les prochains mois : Mario Kart World, Donkey Kong Bananza et Metroid Prime 4 : Beyond.

Jeudi 3 avril, dès potron-minet, j’ai eu l’opportunité de me rendre au Grand Palais afin de mettre mes vilaines pattes grasses sur la Nintendo Switch 2. La console a la tâche impossible de succéder à un des plus grands succès commerciaux de l’histoire du jeu vidéo.

Remplacer un modèle considéré par les joueurs comme le plus intéressant et équilibré de sa génération n’est pas une mince affaire. Pourtant, la RTX 5070 aura bien pour lourde mission de conquérir à nouveau le cœur des joueurs et décider ceux qui ont remis l’upgrade de leur carte Ampere à plus tard de rester du côté vert de la force. La RTX 4070 a t-elle trouvé son digne successeur ?

Nvidia perpétue la tradition initiée avec Ampere (RTX 3000) et continue de lancer sa nouvelle génération de cartes par le haut. Nous voilà logiquement arrivés à la RTX 5070 Ti, dont la dure mission est de rendre plus accessible le processeur graphique employé dans l’onéreuse RTX 5080.

La période des fêtes est souvent l’occasion d’une trêve hivernale où même les pires des êtres humains – les propriétaires immobiliers, les assureurs et les gens qui disent « le Game Boy » – évitent de commettre leurs habituels méfaits. Mais le père Noël n’a pu éviter à Leikir Studio de devoir se séparer de plusieurs employés fin décembre. La dizaine de développeurs désormais sans emploi a trouvé une inscription à France Travail pour tout cadeau au pied du sapin. Ce sont les dernières victimes d’une crise qui touche durement le secteur du jeu vidéo depuis trois ans.