Huawei lance les Freebuds 6 : plus loin dans la qualité de son et l’autonomie
Avec un peu plus de trois semaines avant le lancement mondial de la Nintendo Switch 2, l’excitation est à son comble. Malgré les inquiétudes concernant les changements de tarifs aux États-Unis et les problèmes de chaîne d’approvisionnement affectant de nombreux lancements à travers le monde, j’ai réussi à sécuriser non pas une, mais deux précommandes […]
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Dans cet article, je vais partager comment j’ai renforcé la sécurité de mon Raspberry Pi en matière d’antivirus. Avec un peu d’expérimentation et quelques astuces peu connues, j’ai pu créer une machine plus résiliente contre les menaces. Voici mon récit accompagné de conseils pratiques et de découvertes que vous pourriez également appliquer !
Avant d’entrer dans les détails de mes astuces, il est important de souligner quelques pratiques fondamentales que j’ai mises en place :
Voici quelques techniques et découvertes qui ont vraiment fait la différence pour moi :
J’ai installé ClamAV, un antivirus open-source, qui fonctionne très bien sur mon Raspberry Pi. Voici comment l’installer :
Un point fort est que cela fonctionne en arrière-plan et m’avertit en cas de détection de virus.
Pour s’assurer que mon Raspberry Pi reste propre, j’ai créé un script qui scanne le système automatiquement chaque semaine. Voici un exemple simple :
#!/bin/bash
clamscan -r /home/pi
Je l’ai ensuite ajouté à ma crontab pour qu’il s’exécute chaque dimanche.
En utilisant Fail2Ban, j’ai pu bloquer les tentatives de connexion suspectes. Voici comment je l’ai configuré :
J’ai utilisé Wireshark pour analyser le trafic réseau. Cela m’a permis de détecter des activités anormales. Voici ce que j’ai appris :
En intégrant un VPN sur mon Raspberry Pi, j’ai pu chiffrer ma connexion internet. J’utilise Pritunl pour cela. Quelques étapes de base :
Antivirus | Prix | Open Source | Caractéristiques |
ClamAV | Gratuit | Oui | Scan en temps réel, mises à jour régulières |
Bitdefender | Payant | Non | Protection en temps réel, support technique |
Comodo | Gratuit | Oui | Interface utilisateur intuitive, antivirus et antimalware |
Ces stratégies m’ont beaucoup aidé à maintenir une sécurité solide sur mon Raspberry Pi. J’aimerais connaître vos expériences, vos astuces et vos réflexions sur ce sujet ! Avez-vous déjà rencontré des conflits avec ces outils ? Quels sont vos conseils pour ceux qui débutent ? Partagez vos idées ci-dessous !
En tant que passionné d’informatique et utilisateur de Raspberry Pi, j’ai exploré divers logiciels de protection antivirus au fil des années. Voici quelques leçons précieuses tirées de mes expériences de terrain, souvent peu partagées.
Avec le temps, j’ai également développé une vision critique vis-à-vis de certaines croyances populaires concernant le logiciel antivirus. Voici quelques idées reçues qui méritent d’être examinées de plus près.
Pour le groupe cible des utilisateurs de Raspberry Pi, les conséquences d’une mauvaise gestion de la sécurité informatique peuvent être particulièrement significatives. Voici quelques points clés à retenir.
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Vendu près de 1 500 €, le Thermomix TM7 impressionne… jusqu’à ce qu’on découvre qu’il faut encore sortir 60 € par an pour vraiment en profiter.
Le Thermomix TM7 coche toutes les cases : design soigné, écran XXL, précision chirurgicale, interface fluide… et abonnement obligatoire. Car derrière son allure de robot cuiseur intelligent, le TM7 cache un fonctionnement étroitement lié à Cookidoo, la plateforme de recettes payante développée par Vorwerk. Sans elle, le robot perd ses recettes guidées, ses suggestions automatiques, ses images appétissantes, bref, tout ce qui le rend si séduisant sur le papier. Un modèle économique bien rodé… mais pas franchement apprécié par tous les utilisateurs.
C’est un fait : le Thermomix TM7 est une machine redoutable. Il pèse, cuit, mixe, tranche, fouette… et propose même la cuisson différée. Tout se passe sur un grand écran tactile, où les recettes s’affichent avec clarté. Navigation intuitive, résultats fiables, promesse de gain de temps : l’ensemble est maîtrisé. Mais voilà, toutes ces recettes, ces images, ces suggestions sont hébergées sur Cookidoo. Et pour y accéder, il faut payer.
Sans abonnement, le robot reste techniquement fonctionnel. Il passe en mode manuel. Mais il devient nettement moins attrayant : plus de recettes guidées, plus de menus personnalisés, plus de listes de courses. C’est comme si on vous vendait un smartphone… sans connexion internet.
À première vue, Cookidoo est une plateforme ultra pratique. On y trouve plus de 100 000 recettes (dont 10 000 en français), classées par ingrédients, temps de cuisson, niveau de difficulté. Chaque étape est guidée à l’écran, les températures sont préréglées, les quantités ajustées. C’est fluide, c’est malin. Mais cette expérience a un prix : 60 € par an.
Et ce n’est pas tout. Car dès l’abonnement résilié, les recettes enregistrées s’effacent à la prochaine mise à jour, ou après 50 utilisations. Aucune archive, aucune mémoire locale. Un vrai système de location de contenu culinaire, où tout se perd dès qu’on arrête de payer. Un modèle redoutablement efficace pour Vorwerk, moins pour les utilisateurs qui pensaient avoir tout payé au moment de l’achat.
Oui… mais à quel prix ? Le mode manuel reste accessible, mais il faut tout faire soi-même. Plus de suggestions, plus de guidage visuel, plus d’accompagnement. C’est faisable, mais c’est un retour à une utilisation “classique” d’un robot multifonction. Le problème, c’est que ce n’est pas ce que vend Vorwerk. Le Thermomix est présenté comme un assistant culinaire. Et sans Cookidoo, l’assistant disparaît.
Ce choix stratégique n’est pas isolé. Il s’inscrit dans une tendance plus large : celle des appareils connectés qui nécessitent un abonnement pour fonctionner pleinement. Le robot devient un cheval de Troie. On l’achète une fois, mais on continue de payer pour l’utiliser correctement. En 2023, 730 000 Français et 4,7 millions d’utilisateurs dans le monde avaient déjà souscrit à Cookidoo, générant plus de 225 millions d’euros de revenus pour Vorwerk…
Et vous, utilisez-vous le Thermomix avec ou sans abonnement ? Est-ce que cette stratégie vous freine ou vous semble logique pour un appareil connecté ? On vous lit en commentaires.
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