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« La navigation privée suffit à protéger mon anonymat en ligne » : mythe ou réalité ? [Sponso]

Cet article a été réalisé en collaboration avec Bitdefender

Pour échapper aux trackers, à la publicité ciblée ou simplement ne pas enregistrer son historique de navigation, il est commun d’activer la navigation privée. Voici pourquoi c’est une fausse bonne idée.

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Il s’agit d’un contenu créé par des rédacteurs indépendants au sein de l’entité Humanoid xp. L’équipe éditoriale de Numerama n’a pas participé à sa création. Nous nous engageons auprès de nos lecteurs pour que ces contenus soient intéressants, qualitatifs et correspondent à leurs intérêts.

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Coinbase met 20 millions sur la tête des hackers qui tentent de le menacer

Coinbase, l’une des plus grandes plateformes de cryptomonnaies au monde, a été victime d’un piratage sophistiqué. Face à une demande de rançon de 20 millions de dollars et une fuite de données sensibles, l’entreprise a décidé de retourner la menace contre ses auteurs : elle propose la même somme à quiconque permettra de les identifier.

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Qu’est-ce que la stratégie 3-2-1-1-0 en cybersécurité ? [Sponso]

Cet article a été réalisé en collaboration avec Synology

En matière de protection des données, créer une sauvegarde et la mettre à jour régulièrement constitue un excellent moyen d’éviter la plupart des accidents. Du moins, pour les particuliers ou les petites structures. Car lorsque le volume de données, ou le nombre d’utilisateurs est élevé, un simple backup n’est plus suffisant.

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« Dim Story : le Silence des tableaux » : l’incroyable histoire du fondateur du géant du collant - Le Parisien

Il se souvient de tout. Une fenêtre ouverte, dans l’appartement, en plein mois de janvier. Le corps, gisant, quatre étages plus bas. Daniel Giberstein attaque d’emblée par le drame. Pour poser les choses et tenter de comprendre pourquoi son père, Bernard Giberstein, en est arrivé à se suicider, un jour de 1976, à l‘âge de 59 ans. Dans « Dim Story : le Silence des tableaux », joli documentaire diffusé ce mercredi 26 juin à 20h30 sur LCP, le fils raconte l’histoire de ce papa hors norme, profondément humain et capitaine d’industrie, dont l’existence est parsemée de drames et de coups du destin.

Né en 1916 à Varsovie dans une famille juive bourgeoise, le jeune Bernard s’exile en Belgique pour ses études. C’est un échec à l’examen d’ingénieur agronome qui lui sauve peut-être la vie. Car au lieu de rentrer en Pologne à l’été 1939, il reste réviser dans son pays d’adoption. Le 1er septembre 1939, l’Allemagne envahit la Pologne. Ses proches sont arrêtés et seront bientôt déportés. Il ne les reverra pas. Le « silence des tableaux », c’est celui de ces deux portraits, ses parents, accrochés dans l’appartement familial, dont Bernard Giberstein ne parlait jamais.

Il change de nom et intègre l’armée polonaise en exil. Avec son bataillon, qui combat aux côtés des Français, il passe en Suisse, avant d’être interné dans un camp de réfugiés. Il s’en évade et rejoint la Résistance. Son rôle ? Faire passer des familles juives de la France à la Suisse. Il sauvera ainsi des dizaines de personnes, dont une témoigne ici.

Il est arrêté par la Gestapo à Chambéry et condamné à mort en août 1944. Devant le peloton d’exécution, il attend. Dix-huit amis sont fusillés avant lui. C’est bientôt son tour. Nouveau coup de pouce de la providence : les officiers apprennent que les Forces françaises de l’intérieur (FFI) sont en train de libérer Chambéry. Panique dans les rangs allemands, l’opération est suspendue. Il est sauvé in extremis. Les nombreuses images d’archives, familiales et de la période, nous plongent dans l’ambiance.
« J’essaie de réécrire l’histoire et décrypter les silences de mon papa »

C’est peu après qu’il rencontre sa future femme, Sarah. Une survivante, comme lui, au destin tout aussi incroyable. Arrêtée, elle est examinée par le médecin-chef, également déporté, Abraham Drucker, père de l’animateur Michel Drucker, qui l’exfiltre de justesse. Leur destin commun de miraculés est scellé.

Sur sa famille et ses années de guerre, Bernard Giberstein restera muet toute sa vie. « J’essaie de réécrire l’histoire et décrypter les silences de mon papa, témoigne Daniel, dans son film. La disparition de sa famille a été un fardeau si lourd qu’il n’a jamais pu en parler. »

Après la guerre, Bernard Giberstein entend parler du nylon, matériau révolutionnaire venu des États-Unis. Visionnaire, il voit là l’opportunité de fabriquer des bas moins cher. Il baptise sa marque « Dimanche », « le jour où les femmes se font belles pour sortir », explique son fils à travers la voix de Francis Huster, narrateur du documentaire dont la musique est signée Vladimir Cosma (compositeur des musiques de « la Boum », « les Aventures de Rabbi Jacob » ou « le Grand Blond avec une chaussure noire »).

Ses idées font un carton : bas jetables sans couture, vendus à l’unité ou par paquets de dix, dans des petits cubes. Puis les collants, en 1967. « Dimanche » devient « Dim ». Le patron est en plus un humaniste qui paie ses ouvriers le double du salaire moyen, sans distinction entre les hommes et les femmes. Il sera l’un des premiers à proposer à ses employés une participation aux bénéfices.

Des anciens salariés du site historique d’Autun racontent cette époque bénie, un âge d’or pour eux. Leur voix s’étrangle quand ils évoquent ce dirigeant, « un génie », selon nombre d’entre eux. Mais la crise du pétrole au début des années 1970 le terrasse. Il est obligé de s’associer au baron Bich, qui devient majoritaire et le cantonne à un rôle secondaire. Jusqu’au dénouement tragique.
(Permalink)
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Russie – Vladimir Poutine rend le service militaire obligatoire pour les ours

Cette annonce fait grand bruit. En effet, ce lundi matin, le chef du Kremlin a une nouvelle fois démontré que la désescalade souhaitée par l’ONU n’était pas à l’ordre du jour. Il a ainsi promulgué un décret visant à former 50 000 ours d’ici l’été, avec l’intention d’en déployer au moins 10 000 en Ukraine dès juin 2025.

Interrogé par notre rédaction, un étudiant russe a exprimé son admiration pour cette décision de Vladimir Poutine : « Je pense qu’il fait le bon choix. En Europe, vous avez des chiens, des chats, des chevaux et des vaches, chaque animal a une utilité. Ici, un ours peut aussi bien être un animal de compagnie qu’un moyen de transport. Les intégrer à l’effort de guerre me semble donc tout à fait normal. » Une décision qui semble largement soutenue dans le pays : selon les données officielles, 87 % des Russes approuvent l’inclusion des ours dans le conflit, tandis que 13 % estiment même que cette mesure reste « encore trop timide ».

Un entraînement intensif

Le régiment de grizzlis de Sibérie devrait être le premier à se rendre sur le front ukrainien. « Pour le prestige mais aussi parce que ce sont les plus territoriaux », nous explique ce professeur de géographie russe pour ours, avant de continuer : « Une fois qu’ils auront validé leur formation aux frontières russes, ils seront les meilleurs défenseurs de l’armée. Rien qu’à l’entraînement, on a déjà 73 otages qui ont été mangés dans des parties de balle au prisonnier endiablées. C’est magnifique de voir à quel point ils apprennent vite. Je suis très fier de mes élèves. »

De son côté, Volodymyr Zelensky ne s’est pas encore exprimé à la suite de cette annonce. Cependant, il avait déjà réagi il y a quelques mois, alors qu’il ne s’agissait que d’une rumeur, en tweetant simplement : « Même pas peur. »

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Pour participer à l’effort de guerre, la France relance la fabrication de FAMAS en cours de techno

La mesure a été annoncée conjointement par la ministre de l’Éducation Anne Genetet et le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot ce matin : la France relance la fabrication des FAMAS en cours de technologie, dans tous les collèges du pays. « On s’est demandé à quoi pourraient nous servir les porte-clés lumineux sur le front. Après mûre réflexion : à rien. Il fallait agir », soupire Jean-Noël Barrot.

La ministre de l’Éducation Anne Genetet était très fière de cette annonce, qui sera effective dès lundi prochain, et a tenu à rappeler que : « La fabrication du FAMAS a été stoppée en l’an 2000, comme le Nokia 3310, les feuilles Diddl ou le port du baggy camouflage. Mais je rassure tous les parents d’élèves et les forces armées : les collégiens ne fabriqueront pas de baggy camouflage. »

Au gouvernement, on envisage de continuer à utiliser les élèves pour l’effort de guerre. Ainsi, une source proche de l’Élysée nous confie que les collégiens allaient élaborer des plans stratégiques pour l’armée en histoire-géo, apprendre la composition du gaz moutarde en physique-chimie, suivre des entraînements commando en EPS et que le russe pourrait être enseigné en LV1 à la place de l’anglais, « juste au cas où », soupire-t-on à l’Élysée.

Photo Crédits :Imagezoo

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Fabrice Riceputi, historien : Il y a une très forte résistance en France à admettre ce qu'a été le colonialisme – الشروق أونلاين

Il faut aller chercher dans un journal algérien pour avoir les termes.

Le mot torture désigne un crime en droit français et est donc tabou dans le langage officiel. Ils parlent d’interrogatoires “par force”, “serrés”, “poussés à fond”, “énergique”, “dur”, etc., mais tout le monde comprend bien de quoi il s’agit.

Il y a trop de tabous autour de notre histoire, on peut pas vivre au présent dans ces conditions.
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En cas de guerre, Emmanuel Macron annonce qu’il mobilisera en premier les chômeurs longue durée

« Les 500 000 chômeurs longue durée vont bientôt retrouver une activité », a fièrement annoncé Catherine Vautrin, ministre du Travail, lors d’une conférence de presse conjointe avec le ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Sur une idée du président de la République, les personnes inscrites depuis plus d’un an chez France Travail basculeront automatiquement sur la liste des réservistes de l’armée de terre. Après une formation de quelques jours – jugée suffisante selon le gouvernement – ces nouveaux engagés seront envoyés en première ligne afin de fatiguer l’ennemi avant l’intervention de l’armée professionnelle.

« C’est une solution gagnant-gagnant : ils retrouvent un emploi et la nation se dote d’un rempart humain efficace », a précisé Sébastien Lecornu, ajoutant que des primes de présence sur le champ de bataille seraient envisagées pour les plus méritants.

Les Top 1 de Fortuite bientôt réservistes d’office

Ce nouveau dispositif pourrait même s’étendre aux Top 1 de Fortnite qui auront la possibilité de devenir réservistes. « En plus des armes, ces nouveaux militaires pourront choisir la tenue qu’ils souhaitent, et beaucoup ont déjà opté pour le skin Batman, d’autres pour celui de Harley Quinn. Par ailleurs, tous les soldats auront un immense sac à dos, rempli d’outils et de planches de bois, afin qu’ils puissent bâtir des édifices comme dans le jeu vidéo » assure le porte-parole du ministère de la Défense .

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