Une étude japonaise révèle un lien entre une variation génétique et les comportements vocaux des chats, comme le ronronnement ou le miaulement, et interroge leur transformation à venir.
Âgés de moins d’un an, ils sont morts il y a deux millions d’années. Leurs mâchoires fossilisées racontent une autre histoire de l’émergence du genre Homo.