Vue lecture

Multipass de Canonical devient enfin 100% open source - Fini les VM propriétaires !

Alors là, c’est le genre de nouvelle qui fait plaisir ! Canonical vient de rendre Multipass, leur gestionnaire de machines virtuelles Ubuntu, 100% open source. Fini les bouts propriétaires cachés, on peut maintenant fouiller dans absolument tout le code !

Bon, je sais que vous connaissez déjà Multipass. C’est cet outil génial qui vous pond une VM Ubuntu en une seule commande. Super pratique pour tester des trucs sans pourrir votre système principal, ou pour simuler des environnements cloud en local. Mais jusqu’à maintenant, il y avait un hic : une partie du code tournant sur Windows et macOS était encore propriétaire. Et ça, ça faisait grincer des dents dans la communauté.

  •  

Comment faire croire à votre VM qu'elle a un ventilateur CPU afin de tromper les malwares ?

Un développeur du nom de Petr Beneš vient de partager une technique absolument brillante pour faire croire à une machine virtuelle qu’elle a un ventilateur CPU. Oui, un ventilo virtuel dans une VM.

Mais pourquoi diable faire ça, vous allez me dire ?

Eh bien figurez-vous que les créateurs de malwares sont devenus super malins ces dernières années. Pour éviter que leurs petites saloperies soient analysées par les chercheurs en sécurité, ils ont développé tout un tas de techniques pour détecter si leur code s’exécute dans une machine virtuelle.

  •  

ASIF - Le format révolutionnaire d'Apple (MacOS Tahoe) pour vos VM

Vous en avez marre d’attendre 3 plombes que votre VM Windows copie un fichier ? Vous regardez l’indicateur de progression en vous demandant si c’est votre SSD de 2 To qui a soudainement décidé de se transformer en disquette ? Alors Apple a enfin entendu vos cris de désespoir avec ASIF dans macOS Tahoe.

Pour ceux qui bossent avec des machines virtuelles, c’est le drame quotidien. Vous avez beau avoir un Mac Studio M2 Ultra avec un SSD qui crache 7 GB/s, dès que vous lancez une VM Linux ou Windows, c’est la cata. Les images disque UDSP (Sparse Image) plafonnent lamentablement à 100 MB/s, voire 0,1 GB/s quand elles sont chiffrées. Autant dire que votre SSD NVMe de compète se transforme en disque dur des années 90.

  •