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Un ventilateur est censé rafraîchir mais il peut parfois prendre feu. On vous explique pourquoi et comment éviter cela.
Un ventilateur est censé apporter de la fraîcheur, pas des flammes. Et pourtant, durant l’été 2025, Carrefour a rappelé un modèle de ventilateur Klindo KCSF17‑23 commercialisé depuis 3 ans. Ce rappel, pour risque de départ de feu, montre à quel point il est important de bien choisir son ventilateur pour éviter tout mésaventure ou danger potentiel.
Comment un ventilateur peut-il prendre feu ?
Un ventilateur domestique n’est pas un appareil complexe, mais son fonctionnement combine un moteur électrique (AC ou DC), une tête oscillanteavec des pièces en mouvement et un faisceau électrique flexible, qui alimente la tête malgré sa rotation.
Si la gaine de protection de ce câble est de mauvaise qualité ou s’use avec le temps, les fils internes peuvent s’endommager. Résultat, risque d’arc électrique, de surchauffe localisée,voire départ de feu. Surtout si la poussière s’accumule dans le moteur.
Pour permettre une utilisation sans risque, les ventilateurs doivent répondre à certaines normes pour pour pouvoir être commercialisés. Il s’agit des normes européennes EN 60335‑1et EN 60335‑2‑80. Elles imposent des tests électriques et thermiques ainsi que des test de fatigue mais qui ne détermine pas la durée de vie d’un ventilateur.
Une personne hésitante entre deux ventilateurs.
Pourquoi ce produit est-il rappelé ?
Le produit au cœur des controverses est le ventilateur Klindo KCSF17‑23. Il présenterait un défaut de fabrication. Son usage en mode oscillatoire pourrait user la gaine du fil central et ainsi créer un risque de départ de feu. S’il fait aujourd’hui l’objet d’un rappel de la part de Carrefour daté du 22 juillet 2025, le produit est pourtant en vente depuis le 1er mars 2023. L’enseigne explique avoir pris cette décision de manière volontaire, sans arrêté préfectoral.
Carrefour recommande aux utilisateurs de ne plus utiliser le ventilateur et de le rapporter en magasin. Les consommateurs qui rapportent leur ventilateur avant octobre 2025 bénéficieront d’un remboursement. Si vous possédez un ventilateur Klindo mais que vous ne savez pas s’il s’agit du produit défectueux, vérifier que les quatre premiers chiffres du numéro de série ne soit pas compris entre 2210 et 2304.
Une mésaventure qui symbolise la dangerosité d’un électroménager à bas coût
Si le cas présent concerne un ventilateur spécifique, le problème des ventilateurs est bien plus profond que cela. C’est la famille des ventilateurs premiers prix qui est en cause. Deux éléments permettent d’expliquer la défaillance de ce type de ventilateurs.
Le premier est la fragilité des appareils vendus à bas coût où les pièces mobiles et les câbles flexibles sont souvent sous-dimensionnés. La deuxième est la faibles résistances des ventilateurs qui leur permet de passer les tests mais sans une grande espérance de vie sur le long terme.
D’autres rappels similaires déjà signalés en Europe
Depuis 2023, plusieurs alertes similaires ont été enregistrées sur Safety Gate (ex-RAPEX)concernant d’autres modèles de ventilateurs :
Ventilateur de table “EasyHome” (DE, 2024) : rappelé pour risque de surchauffe moteur.
En clair, l’achat d’un ventilateur est comme tout achat d’appareil électroménager un investissement conséquent à prendre avec sérieux. Il s’agit d’un produit destiné à vous accompagner sur plusieurs années et la qualité ne doit pas être négligée. Méfiez vous des prix trop attractifs qui peuvent cacher des mauvaises surprises. Et vous, avez-vous déjà eu à rapporter un appareil rappelé ou défectueux ? Vos expériences peuvent enrichir la prévention : partagez-les en commentaire.
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Le rapport part du constat de la dépendance de l'Europe dans les domaines du cloud, de l'edge et de l'IoT, et propose 70 actions concrètes pour y remédier. Parmi les mesures les plus significatives, on trouve notamment : la mise en place d'une politique d'achat public favorisant systématiquement les solutions libres européennes, la création d'un fonds de financement dédié aux projets critiques, et l'application de standards d'interopérabilité réellement ouverts pour contrer le verrouillage fournisseur (vendor lock-in).
Ce ne sont bien sûr que quelques propositions parmi les 70. Pour plus de détails, cliquez sur « lire la suite ».
Cette feuille de route a pour objectif de transformer les ambitions de souveraineté numérique en un programme d'actions d'ordre technique, économique et politique. Elle s'adresse aux décideurs, notamment politiques, mais son contenu a des implications directes pour les développeurs, les entreprises et les contributeurs de l'écosystème du logiciel libre et Open Source en Europe. Bien évidemment (et malheureusement), rien n'est acté à ce stade, mais au moins, les propositions sont sur la table et entre les mains de la DG CONNECT (direction générale des réseaux de communication, du contenu et des technologies de la Commission européenne).
L'Alliance européenne pour les données industrielles, l'Edge et le Cloud, qui est à l'origine de ce document, est une initiative facilitée par la Commission européenne. Elle réunit des entreprises exclusivement européennes, des représentants des États membres et des experts du domaine. Son rôle est officiellement de guider les investissements et de conseiller les instances européennes pour construire un écosystème numérique compétitif et autonome.
Notons que, bien que la feuille de route concerne explicitement uniquement le Cloud, l'Edge et l'IoT (infonuagique, informatique en périphérie et objets connectés),
Le document a été produit par un groupe de travail dédié (task force) au sein du groupe de travail constitué de Stéfane Fermigier (Abilian), Alberto P. Martí (OpenNebula Systems), Jean-Baptiste Piacentino (Clever Cloud), Charles-Henri Schulz (Vates) et Arthur van der Wees (Arthur Strategies & Systems), puis validé en session plénière par l'ensemble de l'Alliance.
Le diagnostic
Le rapport identifie (ou rappelle) les principaux freins au développement d'un écosystème numérique européen souverain fondé sur le logiciel libre :
L'interopérabilité et les standards : L'influence d'acteurs dominants qui promeuvent des standards faussement « ouverts » (open washing) pour maintenir leur position et complexifier l'intégration de solutions alternatives. On pourra consulter à ce sujet le passionnant papier de Nora von Ingersleben-Seip, "How the European Union Fell Out of Love with Open-Source Software" (TUM School of Social Sciences and Technology, 2025).
Les ressources et le financement : La dépendance de nombreux projets libres et Open Source européens à des financements sporadiques ou à l'effort de bénévoles, ce qui limite leur capacité à assurer la maintenance, la sécurité et l'évolution à long terme.
L'adoption par le marché : La persistance de préjugés sur la complexité et le manque de support des solutions libres, renforcée par l'omniprésence du marketing des fournisseurs de logiciels propriétaires et de services cloud propriétaires fermés.
Les compétences et les "talents": Un déficit de professionnels qualifiés sur les technologies libres et Open Source, ce qui accroît la dépendance à l'expertise non-européenne.
La gouvernance : Le fait que de nombreux projets Open Source, même avec une forte contribution européenne, soient gouvernés par des fondations ou entités basées hors de l'UE, alignant potentiellement leurs décisions sur des intérêts stratégiques non-européens et les soumettant aux lois extra-territoriales américaines (notamment).
Des propositions articulées en 5 piliers
Pour répondre à chacun de ces défis, nous avons proposé dans la roadmap une série de mesures, articulées autour de 5 "piliers", dont chacun vise un objectif précis :
Développement technologique : Bâtir une fondation technique souveraine et interopérable.
Développement des compétences : Créer le vivier de talents nécessaire pour faire fonctionner cet écosystème.
Achat public : Utiliser la puissance de la commande publique comme levier d'adoption stratégique.
Croissance et investissement : Mettre en place un environnement propice au financement et à la croissance des projets.
Gouvernance et durabilité : Assurer la pérennité, la sécurité et le contrôle européen des initiatives clés.
Voici une sélection des propositions les plus structurantes, groupées par pilier :
Piller 1: Développement technologique
Appliquer des standards d'interopérabilité techniques (API, protocoles de transfert) réellement ouverts, gratuits, et implémentables sans restriction pour garantir une interopérabilité effective.
Créer et financer un Fonds de Souveraineté Européen pour l'Open Source (EOSSF), un fonds dédié pour soutenir durablement les projets libres jugés critiques pour l'infrastructure et l'autonomie de l'Europe. OpenForum Europe propose, par exemple, la création d'un fonds pour la souveraineté technologique européenne (EU Sovereign Tech Fund - EU-STF).
Produire des implémentations de référence complètes pour des secteurs clés (santé, administration…) basées exclusivement sur des briques logicielles libres européennes.
Pillier 2: Développement des compétences
Mettre en place des programmes de formation et de certification techniques reconnus au niveau européen (orchestration, sécurité, conformité RGPD) et axés sur les solutions libres européennes.
Intégrer les concepts du logiciel libre et de la souveraineté numérique dans les cursus d'ingénierie et d'informatique.
Pillier 3: Achat public
Adopter la politique « Public Money, Public Code, Open Source First, European Preference », rendant obligatoire la priorité aux solutions logicielles libres dans la commande publique, en y ajoutant une clause de préférence pour les projets d'origine européenne.
Établir des critères clairs pour définir un projet « Open Source Européen » (origine du développement, localisation de la gouvernance, communauté) afin de qualifier une solution et d'éviter le marketing trompeur.
Créer un référentiel public de solutions libres recommandées sur le modèle du SILL français, pour guider les acheteurs publics. NB: il en existe déjà un au niveau européen, mais qui le connait?
Pillier 4: Croissance et investissement
Développer une plateforme d'investissement (EOSIP), un portail centralisant toutes les aides (subventions, prêts, capital-risque) disponibles pour les projets libres européens.
Lancer une marque « European Open Source » pour promouvoir la visibilité et la crédibilité des projets respectant des standards élevés de qualité et de sécurité.
Pillier 5: Gouvernance et durabilité
Fournir des ressources pour la conformité réglementaire, notamment pour aider les projets libres (en particulier les PME et petites structures) à se conformer aux régulations comme le Cyber Resilience Act (CRA) sans freiner leur développement.
Créer un comité consultatif européen pour le logiciel libre, composé d'experts de l'industrie et de la communauté, pour superviser la stratégie de financement et de soutien.
Conclusion et appel à l'action
Face à 70 propositions, la première réaction peut être le scepticisme ou le sentiment d'impuissance. Ce serait une erreur de voir ce rapport comme un bloc monolithique à prendre ou à laisser. Il faut plutôt le considérer comme une boîte à outils : certaines actions sont politiques et nécessitent un appui fort ; d'autres sont techniques et peuvent être mises en œuvre de manière distribuée. Certaines sont des marathons structurels ; d'autres des sprints à l'impact rapide. Certaines ont un coût important, d'autres sont simplement un choix de réallocation de resources ou de changement de perspective.
La question n'est donc pas de savoir si tout sera appliqué, mais bien : par où commencer, et qui fait quoi ?
Ce rapport ne survivra pas au cynisme de salon. Dire que « ça ne marchera jamais » est la plus facile des prophéties auto-réalisatrices. La seule démarche constructive consiste à se demander : quelles sont les conditions de réussite pour les propositions qui nous semblent les plus critiques, et comment pouvons-nous, chacun à notre échelle, y contribuer ?
La question devient alors : que faire, concrètement ?
S'informer et maîtriser le sujet : Lire le rapport (au moins le résumé exécutif et les propositions qui vous concernent directement) pour pouvoir en parler avec précision.
Diffuser et interpeller : Faire connaître cette feuille de route. Contacter les élus (députés nationaux, européens) et les décideurs (dans l'administration, les collectivités territoriales ou les entreprises) pour leur demander de se positionner. Un plan d'action, même ébauché, ne vaut que s'il est connu de ceux qui peuvent le mettre en œuvre.
Participer et apporter l'expertise technique : Suivre les consultations publiques de la Commission européenne ou s'enregistrer comme expert lorsque c'est pertinent. Y répondre est une occasion d'injecter une expertise technique de terrain dans le processus réglementaire.
Décliner : Traduire les principes de la feuille de route en actions locales. Que ce soit au sein de son entreprise, de son administration ou de sa collectivité, il est possible d'adapter les recommandations : évaluer sa propre dépendance technologique, monter un programme de formation interne, ou proposer un schéma directeur et une politique d'achat favorisant l'ouverture et l'interopérabilité. Il s'agit de rendre la démarche opérationnelle sur son propre terrain.
S'engager et construire : Soutenir les organisations qui portent ces combats au niveau européen (APELL, FSFE, OSI, OpenForum Europe, etc.). Et surtout, contribuer directement et soutenir les projets de logiciels libres ou autour du libre européens qui sont au cœur de cette stratégie.
Annexe: la liste des 70 propositions
Voici la liste complète des propositions de la feuille de route, traduites en français et toujours organisées par pilier.
Pilier 1 : Développement Technologique
Définir des spécifications techniques en tant que standards ouverts pour les environnements cloud, edge et IoT Open Source européens.
Financer des projets pilotes d'interopérabilité qui privilégient l'utilisation des technologies Open Source européennes.
Exiger que tous les projets d'infrastructure numérique financés par l'UE adhèrent à ces standards d'interopérabilité.
Promouvoir et imposer la mise en œuvre de standards ouverts dans toute l'UE.
Créer un "Fonds de Souveraineté Open Source Européen" (EOSSF) dédié aux projets essentiels.
Offrir des subventions ciblées pour la sécurité, la maintenance et le renforcement de la souveraineté des projets Open Source.
Favoriser une collaboration approfondie avec les institutions universitaires européennes et les bureaux de programmes Open Source (OSPO).
Développer un guide pratique pour les responsables des marchés publics afin d'évaluer les solutions Open Source européennes.
Créer des architectures de référence spécifiques à chaque secteur basées sur les technologies Open Source européennes.
Lancer des projets de démonstration à grande échelle pour illustrer les avantages pratiques des solutions Open Source européennes.
Produire et distribuer des "guides pratiques" ("playbooks") complets pour le déploiement de solutions Open Source européennes.
Mettre en œuvre des politiques pour encourager activement l'adoption de ces implémentations de référence dans les marchés publics.
Pilier 2 : Développement des Compétences
Organiser des ateliers de formation axés sur l'industrie avec un accent européen sur les outils et plateformes Open Source.
Offrir des subventions de formation ciblées aux PME et aux organismes du secteur public pour le perfectionnement en Open Source européen.
Lancer des programmes de certification pour la maîtrise des technologies et des standards Open Source européens.
Mettre en place des programmes de reconversion financés par l'UE pour aider les professionnels à se tourner vers des rôles Open Source européens.
Collaborer avec des partenaires industriels pour créer des opportunités d'apprentissage pratique et de placement dans l'Open Source.
Offrir des incitations financières aux entreprises qui participent à des programmes de reconversion et utilisent l'Open Source européen.
Développer une plateforme de ressources Open Source européenne regroupant du matériel de formation, des bonnes pratiques et des études de cas.
Intégrer les principes de l'Open Source européen dans les cursus STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie et Mathématiques) du secondaire à l'université.
Soutenir la création de "centres d'excellence" Open Source européens dans les universités.
Développer des concours de codage et des hackathons à l'échelle de l'UE axés sur les solutions Open Source européennes.
Introduire une formation sur les modèles économiques de l'Open Source européen dans la formation professionnelle.
Créer des modules de formation professionnelle pour la gestion de projet Open Source européen.
Établir une certification pour la maîtrise des compétences commerciales liées à l'Open Source européen.
Pilier 3 : Pratiques d'Achat Public
Lancer une consultation avec les organismes du secteur public et les fournisseurs Open Source pour identifier les défis liés aux marchés publics.
Rendre obligatoires les politiques "Argent Public, Code Public, Open Source d'Abord, Préférence Européenne" dans les marchés publics.
Élaborer des lignes directrices complètes pour les marchés publics afin d'évaluer et de sélectionner les solutions Open Source européennes.
Financer des projets de démonstration montrant le succès du remplacement de systèmes propriétaires par l'Open Source européen.
Établir des critères clairs pour définir ce qui constitue une solution Open Source "européenne".
Fournir un guide pratique aux responsables des marchés publics pour évaluer les solutions Open Source.
Collaborer avec l'industrie et les organismes de normalisation pour développer des critères d'évaluation accessibles pour l'Open Source.
Créer un répertoire public des solutions Open Source européennes recommandées.
Encourager les organismes du secteur public à adopter les solutions développées dans le cadre de l'initiative "Next Generation Internet" (NGI).
Lancer des projets transfrontaliers d'achats pré-commerciaux (PCP) axés sur l'Open Source européen.
Créer des plateformes de partage de connaissances pour les retours d'expérience des initiatives PCP et les bonnes pratiques Open Source.
Impliquer activement les fournisseurs Open Source européens dans la co-conception de solutions dans le processus PCP.
Publier des lignes directrices pour aider les organisations du secteur public à gérer et soutenir l'Open Source européen.
Promouvoir la participation active des représentants du secteur public dans les communautés Open Source européennes.
Soutenir des programmes de formation pour le personnel du secteur public sur la gestion de projet et la conformité Open Source.
Engager les parties prenantes pour affiner et simplifier de manière collaborative les pratiques d'achat pour l'Open Source.
Pilier 4 : Croissance et Investissement
Créer une Plateforme d'Investissement Open Source Européenne (EOSIP) pour centraliser les informations sur le financement.
Organiser des ateliers d'information pour les PME et startups européennes sur la manière d'obtenir des investissements.
Établir des partenariats avec des investisseurs privés pour former un réseau de fonds de capital-risque axés sur l'Open Source européen.
Étendre l'initiative "Next Generation Internet" (NGI) en mettant l'accent sur le cloud, l'edge et l'IoT Open Source.
Évaluer régulièrement l'impact des programmes de financement sur la croissance des communautés et l'adoption par le marché.
Allouer un financement dédié aux projets Open Source européens à fort impact qui répondent à des besoins stratégiques.
Développer des modèles de co-investissement qui associent des fonds publics à des investissements du secteur privé européen.
Lancer des accélérateurs et des incubateurs spécialement conçus pour les technologies Open Source européennes.
Développer une stratégie de marque à l'échelle de l'UE pour souligner la qualité et la souveraineté de l'Open Source européen.
Mettre en valeur les succès de l'Open Source européen sur des plateformes internationales par le biais de campagnes marketing.
Former des partenariats stratégiques avec les organisations industrielles européennes pour accroître la visibilité des projets.
Mettre en place des consortiums de R&D public-privé sur l'Open Source européen pour les projets hautement prioritaires.
Offrir des incitations aux contributions du secteur privé à des initiatives Open Source européennes critiques.
Développer des plateformes d'échange de connaissances et de collaboration intersectorielle au sein de l'écosystème européen.
Pilier 5 : Gouvernance
Mener des évaluations de vulnérabilité pour les projets Open Source européens critiques.
Collaborer avec les agences européennes de cybersécurité pour développer des modèles de menace pour les environnements Open Source.
Publier les conclusions et les bonnes pratiques des évaluations de sécurité auprès de l'écosystème européen.
Offrir des conseils de conformité sur mesure pour aider les projets Open Source européens à naviguer dans les réglementations de l'UE.
Faciliter l'accessibilité à la certification du "Cyber Resilience Act" (CRA) pour les projets Open Source européens.
Fournir des ressources et un soutien pour la documentation et l'audit des projets européens.
Assurer un financement stable et à long terme pour l'infrastructure Open Source européenne de base.
Mettre en place des programmes de mentorat axés sur le développement de talents européens pour les projets critiques.
Créer un Conseil Consultatif de l'Open Source Européen pour superviser le financement et l'orientation des projets.
Exiger que les projets européens soutenus par l'UE adhèrent à des pratiques de gouvernance et de responsabilité transparentes.
Soutenir l'implication de la communauté européenne dans la gouvernance des projets Open Source.
Faciliter la contribution de la communauté à l'élaboration des politiques européennes relatives à l'Open Source.
Publier des lignes directrices sur les bonnes pratiques pour la gestion du cycle de vie des projets Open Source européens.
Offrir des ressources pour la maintenance et le support de fin de vie responsable des projets européens.
Encourager une documentation complète et le partage des connaissances au sein de l'écosystème européen.
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