L’été va faire son grand retour sur l’ensemble de la France ces prochains jours : après une période fraîche et mitigée sur la moitié nord ces deux dernières semaines, les températures vont remonter sur la quasi-totalité du pays.

Nintendo a indiqué que la plage d'utilisation de la Switch 2 se situait entre 5 et 35 degrés Celsius. En cas de canicule, il faut donc être très prudent.

Par réflexe, on allume le ventilateur. Pourtant, à partir d’une certaine température, il ferait plus de mal que de bien. Explications scientifiques à l’appui.

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Sortez les ventilateurs et le spray rafraichissant : la canicule devrait signer son grand retour au mois d'août ! Un temps sec et des températures estivales sur la quasi-totalité du pays sont en effet attendus la semaine prochaine. Les vacanciers de la seconde quinzaine pourraient bien avoir tiré le bon numéro.

Après un mois de juillet très changeant, avec une canicule en début de mois et un temps relativement frais et perturbé ensuite, à quoi s'attendre en août pour la suite des vacances scolaires ?

Une partie du monde a franchi le seuil hautement symbolique des 50 °C ces derniers jours. Pour certains, c’est une première, comme c’est le cas en Turquie.

Face aux défis climatiques croissants, la Croix-Rouge française lance un appel à l'action. L'organisation humanitaire recommande la préparation d'un « sac d'urgence » pour chaque foyer. Cette initiative soulève des questions : est-ce une mesure de précaution justifiée ou une source d'inquiétude...

Le 25 juillet 2019 reste une date gravée dans l’histoire de la météorologie française, mais aussi une date gravée dans la mémoire des parisiens. Ce jour-là, la capitale a battu son record absolu de chaleur avec 42,6 °C enregistré à 16 h 32.

En France et dans le reste de l’Europe, les canicules tuent plus que n’importe quel autre phénomène météo. La chaleur exceptionnelle qui a touché notre pays il y a quelques semaines nous le rappelle une fois de plus.

Cette semaine, la majorité du pays connaît des températures qui se situent légèrement sous les moyennes de saison, à l’exception du sud-est. Peut-on parler de fraicheur anormale pour autant ?

Halètement, fatigue, coussinets brûlants… La canicule n’est pas qu’un problème humain. Voici comment chouchouter votre chien sans danger.

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Des études récentes menées par des scientifiques britanniques classent cette grande métropole française au rang de la ville la plus mortelle d’Europe en cas de canicule.

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Quand la maison se transforme en four pendant la canicule, il reste une solution toute simple, sans clim' ni facture : le free cooling (surventilation nocturne) !

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< «On n’est pas rentrés dans les critères de Météo-France à un ou deux degrés près… [une histoire de seuils] s’agace-t-il. C’est un peu faire du zèle : avoir cette tache jaune au milieu de cette carte orange, ça n’a pas de sens.»

[...]

> Face à ces contradictions, les deux météorologues formulent le même vœu : voir Météo-France retravailler son système. Dans le cas de l’île de Beauté, Yann Amice est catégorique : «Le découpage de la Corse suit une délimitation administrative, ce qui ne fait aucun sens d’un point de vue météorologique.» La solution, selon lui ? Réduire les échelles de ce découpage pour affiner les analyses locales.

> On fait part de sa réflexion à Paul Marquis qui sans hésiter l’approuve. Avant de partager une autre suggestion : prendre en compte, pour décréter l’état de canicule, l’humidex. Cet indice combine température et humidité pour refléter le ressenti du corps humain. «Parfois, 30 degrés peuvent être vécus comme 40. On sait que les canicules vont se multiplier. Donc si on n’intègre pas maintenant ce facteur, on risque de passer à côté de canicules humides qu’on n’aurait pas forcément vues avec les données actuelles», prévient-il.

A propos d'humidex : https://fr.wikipedia.org/wiki/Indice_humidex
A titre personnel, ce truc me terrifie. Parce que c'est ça qui va faire des milliers de morts dans le années à venir (et ça a déjà commencé, mais c'est dans des pays comme l'Inde, tout ça, c'est loin, on s'en fout...)
Dans le tableau, la zone rouge, c'est la zone de mort : les humains -les mammifères- ne sot pas faits pour vivre dans un environnement à la fois très chaud et très humide. Et plus le taux d'humidité est élevé, plus la température nécessaire pour faire un coup de chaleur est basse.
(Permalink)

Pour protéger les Français face à des températures exceptionnellement élevées, le gouvernement préconise de ne pas sortir de chez soi entre midi et le mois d’octobre prochain. “Une période qui pourra être mise à profit pour se mettre à la poterie ou recommencer à fumer, un peu comme le confinement de 2020 mais en ayant l’impression d’être une immonde flaque de sueur”, explique la ministre Catherine Vautrin.

Un numéro vert a également été mis en place par le gouvernement pour permettre aux Français d’être mis en contact avec un opérateur pour se plaindre qu’il fait très chaud. “Un numéro réservé aux personnes qui n’ont pas de conjoint, de collègue ou de boulanger à qui se plaindre”, rappelle la ministre de la Santé, soucieuse de ne pas saturer les lignes de ce précieux service.

Les bonnes pratiques habituelles sont évidemment maintenues, à savoir “boire de l’eau”, “bingewatcher des séries sur Netflix en slip en attendant que ça passe” et “prendre des douches régulièrement”. Une bonne pratique à conserver y compris lorsque le mercure passe sous la barre des 30 °C, selon la ministre.

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< «On n’est pas rentrés dans les critères de Météo-France à un ou deux degrés près… [une histoire de seuils] s’agace-t-il. C’est un peu faire du zèle : avoir cette tache jaune au milieu de cette carte orange, ça n’a pas de sens.»

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> Face à ces contradictions, les deux météorologues formulent le même vœu : voir Météo-France retravailler son système. Dans le cas de l’île de Beauté, Yann Amice est catégorique : «Le découpage de la Corse suit une délimitation administrative, ce qui ne fait aucun sens d’un point de vue météorologique.» La solution, selon lui ? Réduire les échelles de ce découpage pour affiner les analyses locales.

> On fait part de sa réflexion à Paul Marquis qui sans hésiter l’approuve. Avant de partager une autre suggestion : prendre en compte, pour décréter l’état de canicule, l’humidex. Cet indice combine température et humidité pour refléter le ressenti du corps humain. «Parfois, 30 degrés peuvent être vécus comme 40. On sait que les canicules vont se multiplier. Donc si on n’intègre pas maintenant ce facteur, on risque de passer à côté de canicules humides qu’on n’aurait pas forcément vues avec les données actuelles», prévient-il.

A propos d'humidex : https://fr.wikipedia.org/wiki/Indice_humidex
A titre personnel, ce truc me terrifie. Parce que c'est ça qui va faire des milliers de morts dans le années à venir (et ça a déjà commencé, mais c'est dans des pays comme l'Inde, tout ça, c'est loin, on s'en fout...)
Dans le tableau, la zone rouge, c'est la zone de mort : les humains -les mammifères- ne sot pas faits pour vivre dans un environnement à la fois très chaud et très humide. Et plus le taux d'humidité est élevé, plus la température nécessaire pour faire un coup de chaleur est basse.
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Mathias, 22 ans, avait rejoint la rédaction de BFMTV en septembre dernier. Je jeune journaliste a trouvé la mort alors qu’il tournait un sujet sur la canicule, en s’enfermant dans une voiture en plein soleil pendant un duplex diffusé en direct sur la chaîne.

Le directeur de la rédaction a rendu hommage au professionnalisme de son jeune collègue disparu. « Il ne reculait devant rien pour informer, refusait d’être équipé d’un parapluie et d’un manteau dans ses reportages sur la pluie » m’émeut-il en racontant comment, quelques mois auparavant, Mathias s’était enterré avec courage sous plusieurs mètres de neige pour alerter sur le danger des avalanches dans un sujet sur les chutes de neige.

Les collègues de Mathias ne tarissent pas d’éloges en décrivant un journaliste courageux et passionné. « Il est parti en faisant ce qu’il aimait. La semaine dernière, il a passé toute une nuit sous un arbre, avenue Montaigne, dans l’espoir d’être heurté par une branche pendant la tempête » se rappelle l’une d’entre eux avec des trémolos dans la voix.

La rédaction de BFMTV a annoncé bouleverser ses programmes pour rendre hommage au jeune journaliste. La chaîne diffusera ses meilleurs reportages sur les départs en vacances en deuxième partie de soirée.

Crédits : Alex Gottschalk/DeFodi Images via Getty Images.

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Selon une étude menée à grande échelle par le Technopole d’Analyse et de Recherche des Études Statistiques, à la question « Regrettez-vous d’avoir élu domicile à l’intérieur d’un volcan ? », 51% des savants fous répondent « Oui », 39% répondent « Évidemment ! » et 10% restants ne se prononcent pas pour cause de combustion dans leur Fauteuil Egg. Parmi les arguments évoqués, la température arrive évidemment en première position, suivie de l’absence de fenêtres, du manque d’oxygène et de la difficulté à se faire livrer une pizza sur Uber Eats quand on a élu domicile 800 mètres dans le Vésuve. 

“Je ne comprends pas cette hype autour des volcans” nous confie Hervé Bayard, constructeur de repaires maléfiques depuis 1992. “Chez Nekronix Systems, nous proposons depuis des années des stations sous-marines du mal, des criques du mal, des Hôtels 5 étoiles avec vue sur la mer du mal et même des yachts du mal mais non, tous les ans on me fait quand même creuser un volcan pour y construire une base.” poursuit-il en levant les yeux au ciel, avant d’ajouter : “Au delà de la difficulté de réussir à descendre des bassins remplis de requins et des lasers de 500 kilos à l’intérieur d’une chambre magmatique, le plus dur ça reste quand même de réussir à trouver une île qui ait une forme de crâne vue du ciel”.

Une prise de conscience néanmoins positive puisque avec des températures pouvant atteindre les 350 degrés, nombreux sont aujourd’hui les savant-fous à délaisser petit à petit leur repaire pour s’orienter vers des QG plus frais et ventilés comme des bases arctiques, des congélateurs Picard ou la boîte mail professionnelle de Richard Anconina.  

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