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Ninja Gaiden : Ragebound

Je n’étais pas dans la forme du siècle au moment de lancer Ninja Gaiden : Ragebound. Pourtant, il m’a réveillé, et pas qu’un peu. Il m’a aussi frustré, et pas qu’un peu. Faisons comme le jeu. Pas de temps à perdre avec un téléchargement gourmand, des explications à rallonge ou un tutoriel sans fin, on y va pour la défonce. L’histoire ? Peu importe, ce qui compte est d’éclater des milliers de démons, puis des Américains de la CIA, puis les deux. La virevolte et le sang. Ça suffit à notre bonheur estival et à celui de notre héros, Kenji.
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Wuchang : Fallen Feathers

David Lynch avait l’habitude de dire quelque chose du genre « mieux vaut un café dégueulasse que pas de café du tout ». C’est ma manière de concevoir les Souls-like. Après en avoir terminé des dizaines, dont la plupart n’avaient pas grand intérêt sinon de répondre à une addiction, l’acharnement ne faiblit pas. Jamais. La vague actuelle de ces productions suscite même ma curiosité, et, chaque fois, j’espère dénicher la bonne surprise.
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