Google Pixel 10, 9, 8… Quel smartphone Google choisir en 2025 : notre comparatif
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Un robot tondeuse, c’est la pelouse qui se fait toute seule. Sur batterie, il tond, retourne se charger, pratique le mulching (l’herbe finement coupée reste au sol et nourrit le gazon). Résultat : un joli tapis vert bien fourni, et sans sac à vider.
Mais cette technologie, à la fois jeune et sophistiquée, nécessite d’y regarder à deux fois avant d’acquérir un produit qui en serait doté. En effet, des terrains compliqués (pentes, recoins, obstacles) requièrent des modèles plus avancés ou un peu de préparation. En outre, il est vivement recommandé de se poser quelques questions quant à leur usage : quelle surface est couverte ? Quel système de navigation est embarqué ? Quelles sont les modalités de programmation de la tonte automatique ? Quelles fonctionnalités trouve-t-on sur l’application ? Quels accessoires sont fournis par la marque ?
Ce guide 2025 vous aide à estimer vos besoins, comprendre les technologies clés et éviter les pièges pour choisir un robot adapté à votre jardin.
Un robot-tondeuse est une petite tondeuse autonome sur batterie. Vous posez sa station de charge sur la pelouse (ou au bord), vous programmez des horaires, et il sort tondre régulièrement. La coupe est courte et fréquente (mulching) : l’herbe finement hachée reste au sol et nourrit le gazon. Des capteurs et pare-chocs le font changer de direction, et il rentre seul se recharger. Résultat : une pelouse entretenue en continu, sans bruit (ou presque) et sans sac à vider. C’est le meilleur moyen d’obtenir un gazon bien épais et bien vert !
Néanmoins, son intelligence reste limitée : il ne distingue pas les petits objets (jouets, pommes de pin…), ne franchit pas les marches et peut peiner sur des pentes extrêmes ou des terrains très chaotiques. La tonte nocturne est souvent possible mais déconseillée, afin de ne pas déranger la faune (hérissons, escargots, etc.).
Donc avant même de poursuivre votre lecture, assurez-vous que votre jardin remplit bien les critères suivants :
Vous voulez toujours essayer ? C’est parti !
Commencez par mesurer la vraie surface de gazon (sans les massifs, terrasses, allées). Plan cadastral, appli de mesure ou ruban : peu importe, mais soyez précis—tout le reste en découle (puissance, autonomie, type de navigation, temps total de tonte).
Règle d’or : prenez une marge. Les capacités annoncées sont optimistes. Ne visez pas “pile” votre surface : prenez le cran au-dessus pour éviter de faire tourner le robot en continu et prolonger sa durée de vie. Exemple : 600 m² réels → cible ~800 m² constructeur.
On peut distinguer 3 tailles de jardin :
Astuce : plus vous limitez les créneaux de tonte (ex. seulement en journée ou en semaine), plus il faudra surdimensionner la capacité pour que le robot finisse dans le temps imparti.
Du terrain dépendent beaucoup de choses. D’abord au niveau des pentes : des inclinaisons à 14° n’effraieront presque aucun modèle actuel, mais seuls certains robots sont capables de dépasser les 25° sans patiner. Si votre jardin est vallonné, privilégiez une bonne traction et des roues crantées.
En outre, vérifiez en amont les recoins pouvant poser problème : passages étroits, haies mal taillées, racines, zones séparées par des sentiers piétons, forme des bordures, etc. Plus le robot offre une navigation fiable et personnalisable via la cartographie (zones interdites, couloirs, obstacles, etc.), plus vous aurez de flexibilité.
Nota Bene : attendez-vous à une bande non coupée près des murets (≈ 5–15 cm). Certains modèles peuvent intégrer un coupe-bordure dans les accessoires mis à disposition. Autrement, il s’agira de faire cette partie à la main.
Dans tous les cas, préparez votre terrain : nivelez trous/taupinières, retirez pommes de pin, jouets, branches, galets. Un terrain propre évite les blocages et l’usure prématurée des lames, même si la plupart sont “pivotantes”, ce qui leur permet d’amortir les chocs.
Deux familles coexistent pour délimiter la zone de tonte : avec fil périmétrique (câble posé au sol ou enterré) et sans fil (guidage par GPS/RTK ou caméras/vision). Côté déplacements, les robots évoluent soit en aléatoire, soit via une cartographie qui optimise les trajets.
Le principe est simple : un câble posé au sol ou légèrement enterré crée une barrière virtuelle que le robot détecte. À l’approche, il rebondit et peut suivre ce fil pour retrouver sa base. L’installation se fait une fois pour toutes (pourtour de la pelouse et obstacles) et prend quelques heures ; on peut la confier à un professionnel.
L’intérêt majeur est de profiter d’une technologie déjà bien éprouvée, avec un confinement précis et une compatibilité avec presque tous les terrains, même ouverts. En contrepartie, il faut parfois retoucher le câble en cas de réaménagement et composer avec une navigation souvent « aléatoire » (même si certains modèles sont semi-systématiques).
En version GPS/RTK, le robot cartographie votre pelouse depuis l’application, crée des frontières virtuelles et gère des multi-zones avec des trajets systématiques. Il lui faut toutefois une bonne réception – que les arbres et bâtiments peuvent perturber, parfois une base/antenne et un calibrage initial. Les modèles à caméras/vision (souvent avec IA) reconnaissent l’herbe et les obstacles : la mise en route est très rapide et les chocs sont rares.
Ils exigent en revanche des bordures/clôtures bien délimitées si le jardin est ouvert, et leurs performances peuvent varier en faible lumière ou sous la pluie. En outre, leur dépendance aux capteurs et au signal GPS/RTK appelle de votre part un usage précautionneux et un temps de calibrage initial. Leur coût est également plus élevé.
En 2025, la quasi-totalité des robots fonctionnent en lithium-ion. L’autonomie annoncée (souvent 60 à 120 min) compte moins qu’on ne croit : le robot retourne seul à sa base, se recharge, puis reprend jusqu’à finir le travail. L’essentiel est d’adapter la capacité à votre surface… et à votre fenêtre horaire (plus elle est courte, plus il faut surdimensionner). Évitez les rares modèles semi-automatiques sans vraie station et la contrainte de la recharge manuelle qui va avec.
Côté batterie, retenez : la tension (V) participe à la puissance de coupe, la capacité (Ah) à l’endurance par cycle. Deux robots de marques différentes peuvent gérer l’énergie autrement ; fiez-vous surtout à la surface recommandée par le fabricant. La recharge prend en général 1 à 3 h et certains modèles optimisent le niveau de charge selon le travail restant.
Astuce : pour une meilleure durabilité, vous pouvez opter pour un modèle avec batterie remplaçable (plus ou moins 200 € selon le modèle).
La connectivité transforme l’usage au quotidien. Via l’application mobile, vous programmez les horaires, lancez/stoppez une tonte à distance, ajustez la hauteur de coupe (si motorisée) et consultez l’état (batterie, surface couverte, alertes).
Les modèles avancés affichent même une carte des zones déjà tondues. Les canaux de connexion à connaître sont les suivants :
Astuce : on privilégie les robots que l’on peut activer sans avoir besoin de lancer l’application à chaque fois à travers le panneau de commandes manuel.
Les robots-tondeuses récents s’intègrent aux écosystèmes Alexa et Google Home (et parfois IFTTT/Home Assistant) pour créer des routines qui rendent la tonte réellement « intelligente ». À cet égard, voici quelques exemples utiles de scénarios :
La plupart des automatisations se règlent en quelques taps dans l’app. Pour la domotique, vérifiez la compatibilité officielle (Alexa/Google), la présence d’actions/conditions mété, et la possibilité d’opérer hors-ligne pour les commandes de base.
L’intelligence de votre robot peut s’estimer de loin grâce au système de navigation décrit dans la fiche technique. Les technologies principales à guetter sont les suivantes :
1) Vitesse & couverture : cherchez la couverture effective (m²/h), plus parlante que l’autonomie. Elle dépend de la vitesse d’avancement, de la largeur de coupe et de la stratégie (aléatoire = recouvrements fréquents ; cartographiée = trajets en lignes droites, donc plus efficace).
2) Qualité de coupe : une bonne coupe = hauteur stable (réglages précis, parfois motorisés), lames affûtées (remplacement régulier), et plateau qui ne “scalpe” pas les bosses. Les lames pivotantes (type rasoir) sont silencieuses et sûres mais s’usent vite ; les lames rigides coupent plus franc, demandent parfois plus de puissance.
3) Comportement météo & chaleur : en cas de pluie, la coupe est moins nette et la motricité souffre (patinage). Par chaleur, la batterie et l’électronique préfèrent des créneaux matin/soir. Programmez en conséquence ; certains modèles s’adaptent d’eux-mêmes.
4) Gestion des passages & bords : les couloirs étroits (< 60–70 cm) et les angles fermés pénalisent la couverture. Vérifiez la présence de modes “bordures”, de points de départ multiples et, pour les systèmes cartographiés, la priorisation de zones.
Malgré leur design de voiture téléguidée, les robots-tondeuses restent des outils coupants et onéreux, puisqu’ils embarquent une technologie sophistiquée, truffée de capteurs plus ou moins fragiles.
Aussi, on gardera un regard attentif sur les protections intégrées : capteurs d’inclinaison et de soulèvement qui arrêtent instantanément les lames si l’appareil est pris en main ou se renverse, gros bouton STOP accessible sur le capot (et souvent arrêt via l’app), pare-chocs et, sur les modèles haut de gamme, détection avancée (ultrasons, caméras) pour anticiper les obstacles.
Nota Bene : la conception limite l’accès aux lames, situées sous le châssis, en retrait des bords. Cela réduit les risques près des pieds, mais ne les supprime pas : on n’insère jamais la main ou le pied sous l’appareil en fonctionnement, on éteint avant tout nettoyage ou changement de lame, et on explique ces règles à toute la famille !
Pour l’anti-vol et les usages non autorisés, la plupart des modèles proposent code PIN, alarme au soulèvement et notifications en cas de blocage ou de sortie de zone (geofencing). Certains ajoutent un suivi GPS pour localiser l’appareil en cas de disparition : pensez à activer ces options dès la mise en service.
Sur les modèles à caméra, un volet “privacy” s’impose : vérifiez la présence d’un obturateur ou d’une désactivation logicielle, le champ de vision (respect du voisinage) et le mode de stockage des images (local vs Cloud). En résumé, capteurs et sécurités font leur part ; votre vigilance fait le reste.
Le TCO (Total Cost of Ownership) ne se résume pas au prix d’achat. Comptez : lames, électricité, batterie, éventuelle installation du fil, et quelques accessoires (abri de station, roues crantées, balises RTK…).
Voici un aperçu des dépenses à prévoir au-delà du prix d’achat du robot :
Sur 3 ans, le TCO reste largement inférieur aux coûts d’une tondeuse thermique (essence/huile/révisions), avec en prime le temps gagné. En voyant large, prévoyez 500 € par an, voire 1 000 € pour un terrain difficile et maxi format qui demande une activité intense sur plusieurs saisons.
Choisir un robot-tondeuse, c’est surtout faire coïncider votre terrain et vos contraintes avec la bonne techno. Mesurez votre surface réelle (et gardez une marge), jaugez pentes et passages, tranchez entre fil périmétrique (robuste) et sans fil (GPS/vision, plus flexible), puis vérifiez fenêtre horaire, couverture (m²/h) et TCO sur 3 ans (lames, batterie, élec, installation). Enfin, privilégiez une app claire, des sécurités complètes (STOP, PIN, geofencing) et un SAV accessible.
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