Il y a toujours ce petit moment d’inquiétude quand son enfant part à l’école seul. Est-ce qu’il a bien pris le bon chemin ? Est-ce qu’il est arrivé en sécurité ? Et s’il avait un problème, comment vous contacter sans smartphone ? La Garmin Bounce 2 répond à toutes ces questions. C’est une montre connectée spécialement conçue pour les enfants du primaire et du collège. Elle combine géolocalisation en temps réel, appels et SMS sans téléphone, et un suivi sportif ludique pour leur donner le goût de l’activité physique.
Elle vient juste d’être annoncée par Garmin mais vérifiez sa disponibilité sur Alltricks ou sur Amazon pour un prix optimal e des conditions de livraison et de retour en cas de panne de qualité.
Qu’est-ce que la Garmin Bounce 2 ?
La Garmin Bounce 2 est une montre connectée pensée pour les enfants. Contrairement à une smartwatch classique, elle ne se contente pas d’afficher l’heure et de compter les pas. Elle a été conçue autour de deux besoins majeurs : la sécurité et la motivation sportive.
Ses atouts principaux
Appels et SMS : l’enfant peut contacter ses parents directement depuis sa montre, sans avoir besoin d’un téléphone.
Localisation en temps réel : grâce au GPS et au LTE, les parents savent où se trouve leur enfant à tout moment.
Zones de sécurité : on peut définir des zones comme la maison ou l’école et recevoir une alerte si l’enfant s’en éloigne.
Suivi sportif : pas, activités, défis… la montre motive les enfants à bouger et rend le sport amusant.
Interface adaptée : couleurs vives, menus simples, ergonomie pensée pour les plus jeunes.
LTE : comment la montre reste connectée sans smartphone
LTE, c’est quoi exactement ?
Le terme LTE signifie Long Term Evolution, autrement dit la 4G. Concrètement, la Garmin Bounce 2 intègre une eSIM (carte SIM numérique) qui lui permet de se connecter directement au réseau mobile, sans dépendre d’un smartphone.
Pourquoi c’est important ?
L’enfant n’a pas besoin de transporter un téléphone.
Les parents peuvent géolocaliser la montre à distance, recevoir des alertes et communiquer en temps réel.
Même en cas de problème (perdu, retard, imprévu), l’enfant peut appeler directement ses parents via la montre.
À noter : l’usage du LTE nécessite un petit abonnement mensuel, comme pour un forfait mobile, et consomme plus de batterie qu’un simple suivi GPS.
Suivi et sécurité : s’assurer que l’enfant est sur le bon chemin
La Garmin Bounce 2 devient vite un outil rassurant pour les parents. Elle permet de suivre les déplacements des enfants et d’être certain qu’ils sont en sécurité sur leurs trajets quotidiens.
Fonction
Ce que ça apporte
Exemple concret
Localisation en direct
Voir où se trouve l’enfant à tout moment
Vérifier qu’il suit bien le chemin de l’école
Zones de sécurité
Alerte si l’enfant sort d’un périmètre défini
Départ anticipé de l’école → alerte immédiate
Historique de trajets
Suivre les déplacements passés
Revoir le parcours du retour maison
Communication
Appels/SMS sans téléphone
L’enfant peut prévenir d’un bus en retard
Bouton rapide
Contacter un parent en cas de souci
En cas de chute ou d’imprévu sur la route
Cette combinaison rend la montre particulièrement adaptée aux élèves de primaire qui commencent à aller seuls à l’école, et aux collégiens qui gagnent en autonomie mais restent jeunes pour un smartphone complet.
Le côté sportif : motiver les enfants à bouger
Au-delà de la sécurité, Garmin a intégré un vrai suivi sportif pour rendre la montre attrayante pour les enfants.
Suivi d’activité : la montre compte les pas, mesure les périodes actives, et affiche des stats claires.
Défis et objectifs : l’enfant peut se fixer des buts quotidiens (atteindre un nombre de pas, faire du sport après l’école).
Aspect ludique : des badges, des récompenses virtuelles ou des encouragements incitent à bouger.
Inspiration santé : dès le plus jeune âge, l’enfant prend conscience de l’importance de rester actif.
C’est un bon moyen de limiter le temps passé assis ou devant les écrans, tout en associant la montre à une expérience positive.
Limites et points à surveiller
Aucune technologie n’est parfaite, et la Garmin Bounce 2 a aussi ses contraintes :
Abonnement LTE : indispensable pour profiter des fonctions appel/SMS/localisation sans smartphone. Heureusement un petit forfait à 2€ intégrant 1 Go de Data (pour la géolocalisation) chez votre opérateur fera l’affaire.
Autonomie réduite : en usage intensif (GPS + LTE), la batterie peut durer 1 à 2 jours. Il faut penser à la recharger régulièrement.
Dépendance au réseau mobile : si l’enfant se trouve dans une zone mal couverte, la communication peut être limitée.
Usage encadré : il faut prendre le temps d’expliquer à l’enfant comment utiliser correctement la montre, pour éviter les appels intempestifs.
Conclusion
La Garmin Bounce 2 coche toutes les cases pour les parents qui veulent à la fois sécuriser les trajets de leurs enfants et leur donner le goût du sport. Grâce au LTE, elle fonctionne comme un mini-téléphone autonome, sans qu’un smartphone soit nécessaire. Et avec son suivi sportif ludique, elle motive les plus jeunes à rester actifs.
Idéale pour les enfants de primaire et de collège, cette montre connectée est un vrai compromis entre autonomie de l’enfant et tranquillité d’esprit des parents.
FAQ
La Garmin Bounce 2 fonctionne-t-elle sans smartphone ? Oui, grâce au LTE (4G), elle peut passer des appels, envoyer/recevoir des SMS et être géolocalisée sans dépendre d’un téléphone.
Faut-il un abonnement pour le LTE ? Oui, comme un forfait mobile classique. Il faut souscrire à un plan eSIM pour activer les fonctions LTE.
Combien de temps dure la batterie ? En usage intensif (LTE + GPS), la montre tient environ 1 à 2 jours. Avec un usage modéré, un peu plus.
La montre est-elle adaptée au primaire et au collège ? Oui, elle est idéale pour les enfants qui commencent à se déplacer seuls (primaire) et pour les collégiens qui gagnent en autonomie.
Peut-on limiter les contacts et les usages ? Oui, les parents configurent les contacts autorisés et peuvent définir des zones de sécurité (géofencing).
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Nos ordinateurs regorgent de données précieuses : photos de famille, documents professionnels, et souvenirs inestimables. Pourtant, une panne matérielle, une erreur humaine ou une cyberattaque peuvent entraîner la perte irrémédiable de ces informations. Selon une étude, 39 % des utilisateurs n’ont pas de solution de sauvegarde en place, s’exposant ainsi à des risques considérables.
Si vous sauvegardez déjà vos fichiers sur un disque dur externe ou un NAS, c’est un bon début. Cependant, ces méthodes peuvent s’avérer insuffisantes en cas de sinistre majeur, comme un incendie ou un cambriolage. Pour une protection optimale, les services de sauvegarde cloud illimitée pour PC et Mac offrent une solution fiable et sécurisée, garantissant la préservation de vos données en toutes circonstances.
Dans cet article, nous vous présentons les meilleurs services de sauvegarde en ligne illimitée pour 2025, afin de vous aider à choisir la solution la mieux adaptée à vos besoins et assurer ainsi la sécurité de vos informations numériques.
Pourquoi opter pour une sauvegarde en ligne illimitée ?
Simplicité d’utilisation : La plupart des services de sauvegarde en ligne proposent un paramétrage automatique (mode “set and forget”), ce qui facilite leur prise en main.
Flexibilité de restauration : Que vous ayez besoin de récupérer un fichier perdu ou l’intégralité de vos données, les services en ligne offrent des options de restauration multiples (téléchargement direct, envoi de disque dur, etc.).
Coût maîtrisé : Les plans mensuels ou annuels pour une sauvegarde illimitée sont souvent très abordables au vu des risques encourus en cas de perte de données.
Sécurité renforcée : Les fournisseurs assurent un cryptage SSL (voire un chiffrement de bout en bout dans certains cas) pour protéger la confidentialité de vos informations et prévenir les attaques type ransomwares.
Versioning : La possibilité de conserver plusieurs versions de vos fichiers permet de revenir à un état antérieur de vos documents si besoin.
Critères essentiels pour choisir sa solution de sauvegarde cloud
Volume de stockage : Certaines solutions sont réellement illimitées par appareil, d’autres proposent des forfaits (5 TB, 10 TB, 20 TB, etc.).
Nombre d’appareils : Vérifiez si l’offre vous permet de sauvegarder plusieurs PC/Mac ou des périphériques (disques durs externes, USB).
Fonctionnalités de sécurité : Assurez-vous que la solution intègre un chiffrement avancé, une protection contre les ransomwares et la possibilité de configurer une clé de chiffrement personnelle.
Simplicité d’utilisation : Favorisez un service avec une interface intuitive et une sauvegarde en continu pour garantir l’actualisation régulière de vos fichiers.
Restauration : Regardez les options de récupération (téléchargement web, client de restauration, envoi de support physique).
Support client : Choisissez un fournisseur proposant une assistance technique de qualité (chat, email, téléphone).
Les 5 meilleurs services de sauvegarde sur le Cloud 2025
Ces services proposent un service de sauvegarde illimité dans le cloud de tous vos documents stockés sur votre ordinateur ou des disques externes à un prix très abordable :
Carbonite offre également une sauvegarde illimitée avec plusieurs plans disponibles. Le plan Plus permet la sauvegarde des disques externes USB, tandis que le plan Prime inclut l’envoi de vos sauvegardes par transporteur en cas de perte de vos données, ce qui est particulièrement utile pour la restauration de grandes quantités de données.
Tarif indicatif : À partir de 6 $ par mois (selon le plan choisi).
Points forts :
Plusieurs plans disponibles (Basic, Plus, Prime) pour s’adapter à différents besoins.
Plan Plus : inclut la sauvegarde des disques externes.
Plan Prime : possibilité de recevoir ses sauvegardes sur un support physique envoyé par transporteur.
Interface claire et gestion centralisée de la sauvegarde en ligne.
Carbonite offre un stockage illimité pour un seul ordinateur par abonnement. Les utilisateurs ayant besoin de sauvegarder leurs disques externes ou nécessitant une restauration rapide via un support physique se tourneront vers les formules Plus ou Prime. Carbonite est ainsi une alternative robuste à Backblaze, même si Backblaze propose nativement certaines fonctionnalités que Carbonite réserve à ses plans supérieurs.
Livedrive est reconnu pour sa convivialité. Il propose un plan de sauvegarde de base offrant la sauvegarde illimitée dans le cloud pour Mac / PC. Il permet également la sauvegarde de plusieurs appareils et offre de nombreuses fonctionnalités supplémentaires. Comme la synchronisation de fichiers et l’accès depuis un mobile.
Type d’offre : Propose un plan de base avec sauvegarde illimitée pour un PC ou Mac.
Points forts :
Convivialité et interface intuitive.
Sauvegarde de plusieurs appareils sur certains plans avancés.
Synchronisation de fichiers et accès mobile.
Livedrive est reconnu pour sa simplicité et la possibilité d’augmenter le nombre d’appareils sauvegardés selon les besoins. Pour un usage familial ou professionnel, la synchronisation multi-postes et la consultation des fichiers depuis un smartphone sont particulièrement pratiques.
Mon service préféré pour sauvegarder de 250GB à 5TB
Acronis True Image offre une combinaison de sauvegarde en ligne ET de cybersécurité. Bien qu’il ne propose pas de stockage illimité, je l’ai quand même ajouté dans ce classement des meilleures solution de sauvegarde illimité. Il permet des sauvegardes complètes de vos appareils jusqu’à 5TB comprenant le disque et l’image système, avec des fonctionnalités de sécurité avancées.
Type d’offre : Ne propose pas de stockage illimité, mais jusqu’à 5 TB selon la formule pour un prix bien inférieur aus solutions illimitées.
Points forts :
Combinaison de sauvegarde en ligne et de solutions de cybersécurité.
Sauvegarde complète de l’appareil, y compris l’image système (idéal pour une restauration totale).
Fonctionnalités avancées contre les ransomwares.
Bien qu’il ne s’agisse pas d’une solution de sauvegarde illimitée, Acronis se démarque par son aspect sécurité renforcée. Il convient parfaitement aux utilisateurs voulant à la fois protéger leur PC/Mac des menaces et disposer d’une sauvegarde locale et Cloud fiable. J’ai rédigé un article complet pour présenter Acronis True Image si tu veux en savoir plus.
Pour votre usage personnel vous pouvez opter pour la version Premium avec des packs de 1 à 5TB. Si vous n’avez pas plus de 5TB à sauvegarder Acronis répondra donc à vos attentes pour un coût inférieur à une solution illimitée. Notez enfin que Acronis True Image permet aussi de sauvegarder des VPS ou vos données M365.
Backblaze fabrique ses propres solutions de stockage ce qui permet de réduire les coûts !
Backblaze propose une sauvegarde illimitée pour un ordinateur à un tarif compétitif. Il se distingue par sa simplicité d’utilisation et sa capacité à sauvegarder automatiquement tous les fichiers. Y compris ceux des disques externes connectés. De plus, Backblaze offre des options de restauration flexibles. Notamment l’envoi de vos données sur une clé ou un disque USB en cas de perte de vos données.
Tarif indicatif : Environ 7,8 € par mois (plan de 24 mois), sauvegarde illimitée pour un seul ordinateur.
Points forts :
Simplicité d’installation et d’utilisation : paramétrage automatisé.
Sauvegarde illimitée pour un ordinateur et les disques externes connectés (USB, clés).
Options de restauration flexibles : envoi d’une clé ou d’un disque USB en cas de gros volume de données à récupérer.
Fabrication de ses propres infrastructures de stockage, permettant des coûts maîtrisés et une offre compétitive.
Backblaze a longtemps été considérée comme la meilleure offre de sauvegarde de poste de travail. Ceci grâce à son rapport qualité-prix et sa transparence. Malheureusement les prix ne cessent d’augmenter années après année chez Backblaze alors qu’il est impossible de sauvegarder son NAS.
La où les autres solutions comme Backblaze, Carbonite ou Livedrive permettent la sauvegarde illimitée sur un seul appareil par abonnement, IDrive se démarque et permet de sauvegarder un nombre illimité de dispositifs. En revanche l’espace de stockage n’est pas illimité mais facturé par pallier de 5 TB, 10TB, 20 TB, 50 TB et même 100 TB. Le choix de cette offre dépendra donc de votre nombre d’ordinateur et de la volumétrie globale à sauvegarder. Si vous n’avez qu’un seul PC l’offre est pertinente jusqu’à 5 TB. IDrive offre des fonctionnalités intéressantes. Notamment la synchronisation multi-appareils, la sauvegarde mobile et la rétention de versions, conservant jusqu’à 30 versions de chaque fichier sauvegardé.
Type d’offre : Espace par paliers (5 TB, 10 TB, 20 TB, 50 TB, 100 TB…).
Points forts :
Sauvegarde d’un nombre illimité d’appareils (PC, Mac, smartphones, tablettes).
Synchronisation multi-appareils, rétention de versions (jusqu’à 30 versions par fichier).
Application mobile dédiée et sauvegarde des données mobiles.
IDrive n’est pas illimité, mais se facture en fonction du volume total de stockage souhaité. Cela peut être très avantageux si vous avez plusieurs ordinateurs à sauvegarder et ne dépassez pas le quota souscrit. C’est donc une solution plus flexible pour les utilisateurs multi-appareils. Avec une excellente réputation dans le domaine de la sauvegarde sur le Cloud.
En explorant ces options, vous pourrez déterminer le service de sauvegarde cloud le mieux adapté à vos besoins spécifiques, garantissant ainsi la sécurité et l’accessibilité de vos données en toutes circonstances.
Comment choisir entre Backblaze et Carbonite ?
Carbonite et LiveDrive sont les 2 meilleures solutions de sauvegarde illimitée dans le Cloud de ce classement. J’ai une préférence personnelle pour Carbonite pour sa simplicité et son tarif de base attractif.
Il faut également préciser que d’un point de vue réseau Carbonite est extrêmement performant. La sauvegarde initiale de tous vos fichiers dans le cloud est une tâche immense. Elle prendra du temps si vous avez plusieurs TB à sauvegarder. Carbonite progresse très vite car il commence par les fichiers les plus petits, ce qui est plutôt une bonne approche à mon sens.
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Kali a beaucoup bougé cette année. La version 2025.2 apporte un menu totalement repensé pour mieux s’y retrouver, des environnements de bureau mis à jour, un BondHound en Community Edition, des nouveautés NetHunter plutôt fun, et une liste d’outils qui continue de s’allonger. On fait le tri : ce qui change vraiment, comment télécharger proprement, et surtout mettre à jour sans casser ta machine.
Présentation rapide de Kali Linux
Kali Linux est une distribution GNU/Linux basée sur Debian, pensée pour les tests d’intrusion, l’audit et la recherche sécurité. Elle cible en priorité les pros (pentesters, blue team, chercheurs), les étudiants en cybersécurité et, soyons francs, les curieux qui veulent pratiquer dans un cadre légal.
Philosophie : une base Debian rolling, des paquets sécurité à jour, et un énorme catalogue d’outils (recon, exploitation, post-exploitation, forensic, red team, blue team).
Éditions : usage sur ordinateur (installation complète, live USB), en VM (images préconfigurées), en cloud, en WSL, en containers, et NetHunter sur mobile.
Bon sens légal : Kali n’est pas un jouet ; tu testes sur tes propres systèmes ou avec autorisation explicite. Point.
Nouveautés majeures de Kali Linux 2025.2
Un menu Kali entièrement réorganisé (MITRE ATT&CK)
Le Kali Menu a été repris de zéro. L’organisation suit maintenant la logique MITRE ATT&CK (tactiques/techniques), bien plus intuitive pour retrouver un outil par usage. C’est surtout plus scalable : l’équipe peut ajouter/déplacer des outils de façon cohérente, et toi tu perds moins de temps à fouiller des sous-menus obscurs. Petit aparté : Kali Purple conserve son approche orientée NIST CSF, ce n’est pas une régression, juste un cadre différent.
Desktop : GNOME 48, KDE Plasma 6.3, fonds d’écran communautaires
GNOME 48 débarque avec des optimisations de perf et des raffinements bienvenus. Tu as aussi un indicateur VPN/IP intégré côté GNOME (pratique pour copier d’un clic l’IP utilisée par le VPN).
KDE Plasma 6.3 gagne en cohérence (scaling fractionnaire, couleurs de nuit, infos matérielles plus précises).
Wallpapers : le paquet community s’enrichit, c’est anecdotique mais ça fait plaisir.
BloodHound passe en Community Edition (CE)
Gros upgrade pour celles et ceux qui font de l’énumération Active Directory : BloodHound CE remplace l’ancienne mouture. L’équipe Kali embarque le jeu complet d’ingestors (dont azurehound, sharphound, bloodhound-ce-python). Interface modernisée, perfs et pipeline d’ingestion bien plus propres. Attention à ne pas confondre avec l’ancien bloodhound-python (legacy).
Kali NetHunter : smartwatch Wi-Fi injection et CARsenal
Côté NetHunter (Android), une avancée qui fera parler : injection Wi-Fi fonctionnelle sur TicWatch Pro 3 (chipset Broadcom ciblé). Deauth et capture de handshakes WPA2 sont de la partie. Autre nouveauté : CAN Arsenal évolue en CARsenal, un toolset de car hacking avec une interface revue et davantage d’outils orientés automobile.
Les 13 nouveaux outils de Kali 2025.2
Tableau synthétique pour savoir quoi installer sans perdre de temps :
Outil
Catégorie
À quoi ça sert (résumé)
Paquet
azurehound
AD/Azure
Collecte de données Azure pour BloodHound CE
azurehound
binwalk3
Forensic/IoT
Analyse et extraction de firmwares
binwalk3
bloodhound-ce-python
AD/Ingéstion
Ingestor Python pour BloodHound CE
bloodhound-ce-python
bopscrk
Wordlists
Génération de wordlists personnalisées
bopscrk
chisel-common-binaries
Pivoting
Binaires précompilés de chisel
chisel-common-binaries
crlfuzz
Web
Détection rapide des vulnérabilités CRLF
crlfuzz
donut-shellcode
Post-exploitation
Génération de shellcode position-indépendant
donut-shellcode
gitxray
OSINT/Code
Analyse de dépôts GitHub et des contributeurs
gitxray
ldeep
AD/LDAP
Énumération LDAP avancée
ldeep
ligolo-ng-common-binaries
Pivoting
Binaires précompilés pour ligolo-ng
ligolo-ng-common-binaries
rubeus
Kerberos
Interactions/abus Kerberos (red team)
rubeus
sharphound
AD
Collector pour BloodHound CE
sharphound
tinja
Web
Tests d’injection de template côté serveur
tinja
Astuce qualité de vie : xclip est maintenant préinstallé sur tous les desktops Kali. Très utile pour piper des sorties terminal → presse-papiers pendant un run ou un reporting.
Télécharger Kali 2025.2 (images et usages)
Voici les images officielles les plus utiles, et quand les choisir. Pas de lien ici, tu connais la page « Get Kali » :
Image
Quand l’utiliser
Points forts
Remarques
Installer (ISO)
Installation classique sur disque
Fiable, simple, offline
Choix de l’environnement (Xfce/Plasma/GNOME), chiffrage possible
Live (ISO)
Booter sans toucher au disque
Idéal pour interventions ponctuelles
Persistance possible (optionnelle)
Everything (Installer/Live)
Tout avoir d’un coup
Catalogue d’outils massif dès l’install
Image très lourde, prévoir de l’espace
NetInstaller
Installation très minimale
Télécharge au fil de l’installation
Moins adapté à certains hyperviseurs (drivers réseau)
VM images (VirtualBox/VMware/QEMU)
Démarrer vite en virtualisé
Prêt à l’emploi, gains de temps
Parfait pour lab et snapshots
Weekly builds
Avoir les fixes/paquets les plus récents
Moins d’updates post-install
QA plus légère (images automatisées)
Pour Proxmox notamment, privilégie Installer/Weekly/Everything plutôt que NetInstaller (drivers).
Mettre à jour correctement (sources.list + upgrade)
Tu dois voir VERSION="2025.2" et un noyau 6.12.x (selon arch et build).
Important si ta machine n’a pas été mise à jour depuis un moment (clé APT)
Au printemps 2025, l’équipe a dû régénérer la clé de signature des dépôts. Si tu tombes sur un apt update qui râle à cause d’une clé manquante, assure-toi que le paquet kali-archive-keyring est bien présent/à jour. Le plus simple :
Sur les images récentes (2025.1c et suivantes), tout est déjà OK.
Conseils pratiques d’upgrade (retours du terrain)
Sauvegarde : un snapshot VM ou un backup /home avant full-upgrade. Ça évite des sueurs froides.
Une seule ligne dans sources.list suffit dans 95 % des cas. Évite les miroirs exotiques.
Redémarre après une grosse mise à jour kernel/desktop, même si ça « semble » aller.
Weekly builds pour les install fraîches sur des configs récentes : moins d’updates à tirer après l’install.
BloodHound CE : pense à migrer tes ingestors (bloodhound-ce-python plutôt que l’ancien bloodhound-python).
FAQ
Kali 2025.2, c’est quoi l’essentiel ? Un menu réorganisé autour de MITRE ATT&CK, GNOME 48 et KDE 6.3, BloodHound CE + ses ingestors, des amélios NetHunter (smartwatch Wi-Fi injection, CARsenal), et 13 nouveaux outils.
Faut-il réinstaller pour passer en 2025.2 ? Non. En rolling, un full-upgrade suffit. Vérifie juste sources.list (avec non-free-firmware) et le paquet kali-archive-keyring, puis redémarre si besoin.
Quelle image dois-je télécharger ? Si tu hésites, prends Installer. Live pour dépanner rapidement, Everything si tu veux tout localement, VM images pour un lab prêt à l’emploi.
Comment vérifier ma version ? grep VERSION /etc/os-release et uname -r. En 2025.2, tu verras VERSION="2025.2" et un noyau 6.12.x.
Kali Purple suit aussi MITRE ? Non, Kali Purple s’appuie plutôt sur NIST CSF. C’est un cadre orienté défense, complémentaire du menu MITRE d’ATT&CK côté Kali.
Après l’excellent Edge 1050 sorti en 2024, Garmin vient de lancer ses nouveaux modèles Edge 850 et Edge 550. C’est l’occasion parfaite de rappeler pourquoi, à mes yeux, un GPS pour faire du vélo n’est aujourd’hui plus un simple gadget. Depuis des années, j’utilise des Garmin Edge, et je constate que les progrès en matière de sécurité et de confort de navigation sont tout simplement impressionnants. Le GPS vélo est devenu un compagnon indispensable, que ce soit pour rouler en ville, sur route ou en pleine campagne.
1. Navigation avancée et intelligente
Quand on roule dans une région qu’on ne connaît pas, passer des heures à préparer son parcours peut vite être décourageant. Les GPS vélo modernes, comme les Garmin Edge, permettent de générer automatiquement des itinéraires selon une distance, une orientation ou simplement une destination. On gagne un temps précieux et on roule plus sereinement.
Autre point rassurant : la fonction « retour au point de départ ». Quand la fatigue se fait sentir, ou quand on a improvisé un peu trop, il suffit de demander au GPS de calculer l’itinéraire le plus direct pour rentrer. Plus de stress à se demander si on est en train de s’éloigner au lieu de se rapprocher.
2. Sécurité et assistance en cas d’incident
Personne n’aime y penser, mais la chute fait partie des risques du vélo, que ce soit en VTT ou sur route. Les GPS Garmin intègrent une détection automatique des incidents. En cas de choc ou de chute, une alerte se déclenche et, si vous ne la désactivez pas, vos contacts d’urgence reçoivent automatiquement votre position. Même si vous êtes inconscient, vos proches sont informés et peuvent alerter les secours. Cette fonction peut littéralement sauver des vies.
Mais même sans aller jusqu’à l’accident, la fonction Live Track permet à vos proches de suivre votre position en temps réel et consulter des données telles que la vitesse et les itinéraires de parcours.
3. Alertes communautaires en temps réel
Les Garmin Edge ne se limitent pas à vous guider. La communauté de cyclistes peut signaler des dangers sur la route : nids-de-poule, obstacles, zones glissantes. Ces signalements apparaissent directement sur la carte, un peu comme sur Waze pour la voiture. Résultat : vous êtes mieux préparé et vous pouvez adapter votre conduite.
4. Anticipation des dangers de la route
Au-delà des signalements communautaires, les GPS vélo sont capables d’anticiper certains risques. Ils alertent par exemple de l’arrivée d’un virage dangereux ou de l’approche d’une route très fréquentée. Évidemment, on voit bien les voitures quand elles sont là, mais savoir à l’avance qu’on arrive dans une zone à fort trafic permet de prendre les devants et parfois d’éviter un tronçon désagréable ou risqué.
5. Retour au point de départ en toute sérénité
Partir à l’aventure, c’est le plaisir du vélo. Mais il arrive qu’on aille un peu trop loin, qu’on se perde ou qu’on sente la fatigue arriver. Là encore, le GPS calcule instantanément un trajet optimisé pour revenir à son point de départ. C’est rassurant, et ça permet d’oser explorer de nouvelles routes sans crainte.
6. Connectivité avec les périphériques externes
La vraie force d’un GPS vélo moderne, c’est aussi sa capacité à se connecter à d’autres équipements. Les capteurs cardio permettent de suivre son effort et de mieux gérer ses sorties. L’intégration avec les éclairages assure une visibilité optimale. Et surtout, la compatibilité avec le radar arrière Garmin Varia change vraiment la donne : le GPS vous prévient quand une voiture arrive derrière vous et affiche sa distance. On peut alors se serrer un peu plus à droite, et rouler avec un sentiment de sécurité renforcé.
Comparatif Garmin Edge 1050 vs 850 vs 550
Garmin propose aujourd’hui une gamme complète, et les modèles 1050, 850 et 550 intègrent tous les fonctions de sécurité essentielles. Voici un comparatif simplifié centré sur la sécurité et la navigation :
Fonctionnalités clés
Edge 1050
Edge 850
Edge 550
Affichage
Écran couleur 3,5 » haute luminosité
Écran couleur 2,7 » tactile
Écran couleur 2,7 » tactile
Navigation et alertes
Complète + alertes dangers
Complète + alertes dangers
Complète (plus limitée que le 850/1050)
Détection d’incident
Oui, avec envoi d’alerte automatique
Oui, avec envoi d’alerte automatique
Oui, avec envoi d’alerte automatique
Radar arrière Garmin Varia
Compatible
Compatible
Compatible
Fonctions supplémentaires
Haut de gamme : speaker, cloche, Garmin Pay
Speaker, cloche, Garmin Pay
Plus basique, pas de speaker ni Garmin Pay
Autonomie
Jusqu’à 20 h (60 h en mode éco)
Environ 12 h (36 h en mode éco)
Environ 12 h (36 h en mode éco)
Focus sécurité
Edge 1050 : le plus complet, avec toutes les options de sécurité, le speaker intégré et la meilleure autonomie. C’est le modèle haut de gamme pour ceux qui veulent le maximum de confort et de sérénité.
Edge 850 : reprend presque toutes les fonctions du 1050 dans un format plus compact et abordable. Excellente combinaison de navigation et de sécurité.
Edge 550 : plus accessible, il conserve l’essentiel (navigation, détection d’incident, compatibilité radar) mais se passe des fonctions premium comme le speaker et Garmin Pay.
Conclusion
Aujourd’hui, un GPS vélo n’est plus simplement un compteur amélioré. C’est un outil de navigation performant, un compagnon de sécurité et un lien avec toute une communauté de cyclistes. Garmin l’a bien compris et intègre ces fonctionnalités dans toute sa gamme. Que vous choisissiez un 1050, un 850 ou un 550, vous bénéficiez déjà de l’essentiel pour rouler en toute sérénité.
FAQ
Un GPS vélo est-il vraiment utile si je connais déjà mes parcours habituels ? Oui, car même sur des routes connues, les alertes de sécurité (virages dangereux, trafic, radar arrière) apportent une vraie valeur ajoutée.
Tous les modèles Garmin Edge détectent-ils automatiquement les chutes ? Oui, le 1050, le 850 et le 550 intègrent cette fonction avec envoi d’alerte aux contacts d’urgence.
Le radar arrière Garmin Varia fonctionne-t-il avec tous les Edge ? Oui, tous les modèles récents sont compatibles.
Quelle autonomie réelle peut-on attendre ? En moyenne, le 1050 tient environ 20 h en usage normal, l’Edge 850 et 550 autour de 12 h, avec la possibilité d’aller plus loin en mode éco.
Quel modèle choisir entre 1050, 850 et 550 ? Le 1050 pour les cyclistes exigeants qui veulent tout, le 850 pour un bon compromis entre fonctionnalités et prix, le 550 pour une option plus abordable sans sacrifier l’essentiel en matière de sécurité. Vous pouvez regarder mon article comment choisir son GPS Garmin pour en savoir plus.
On entend souvent dire : « Pour vraiment profiter des jeux, il faut y mettre le prix ». Et si je vous disais que, même avec un budget raisonnable, le plaisir de jouer reste totalement accessible ? Voici la démonstration, exemple à l’appui.
Qu’est-ce qui définit un bon laptop de gaming ?
Un bon ordinateur portable pour le jeu repose sur plusieurs piliers :
Processeur (CPU)
Il orchestre toutes les tâches, simultanées ou graphiques. Plus il est puissant, plus la fluidité en jeu (et hors jeu) est meilleure.
En gaming, un CPU équilibré avec la carte graphique évite de créer un « goulot d’étranglement ».
Carte graphique (GPU)
C’est le nerf de la guerre pour les jeux. Son rôle : afficher à haute résolution, avec détails et fluidité.
Une carte récente, comme une RTX 40XX, offre ray tracing, DLSS, et bien sûr des performances supérieures aux générations précédentes.
RAM
16 Go est aujourd’hui le minimum recommandé en gaming pour tourner confortablement. À 32 Go, on est tranquille : multitâche fluide, montage vidéo, IA, etc.
Stockage (SSD)
Un SSD NVMe rapide réduit considérablement les temps de chargement des jeux et du système, par rapport à un disque dur classique.
Écran
La fréquence de rafraîchissement (Hz) est cruciale : 144 Hz ou plus offrent une fluidité bien plus ressentie qu’un simple 60 Hz.
La résolution (Full HD, QHD, etc.) influe sur la clarté des graphismes et les performances générales.
Autonomie, refroidissement, châssis
Un bon refroidissement évite la surchauffe et la baisse de performances à la longue (throttling).
Le poids, la batterie et la portabilité comptent si vous déplacez souvent la machine.
Pourquoi un PC à ~4000 € serait forcément meilleur
Mettons le curseur très haut : qu’est-ce qu’un PC gamer à ~4000 € apporte en plus ?
GPU ultra haut de gamme
Une RTX 4080 ou 4090 (ou équivalents AMD) permet des jeux en 4K, ray tracing maximal, DLSS, et framerate très élevé sans compromis.
Les titres AAA récents exploitant pleinement ces puces auront des visuels et rendus bien supérieurs.
Intègre souvent les dernières générations Intel ou AMD, avec plus de cœurs, fréquences boost plus agressives, performances single-thread et multi-thread premium.
Idéal pour gros montages vidéo, compilations, streaming en haute qualité, etc.
Refroidissement avancé
Watercooling, ventilateurs haut débit, caloducs épais — tout pour maintenir hautes performances sans bruit ou throttling.
Écran premium
QHD ou 4K, HDR, OLED, G-Sync/FreeSync, couleurs précises — une expérience visuelle plus immersive.
Fréquences jusqu’à 240 Hz, latence ultra basse pour compétitif.
Construction & finitions
Matériaux premium, châssis fin mais rigide, clavier RGB performant, meilleure dissipation, autonomie plus longue malgré la puissance.
Options professionnelles
Cartes réseau performantes, webcam IR, sécurité pro, SSDs très rapides (ex. PCIe 5.0), etc.
Bref, tout est boosté — performances en jeu, qualité visuelle, fluidité, silence, durabilité, fonctionnalités créatives.
Mais avec moins de 1000 €, le plaisir reste bien là
Un PC à 4000 € offre plus, mais ce n’est pas toujours nécessaire. Pour la plupart des joueurs, un bon 1080p/144 Hz, voire 1440p avec détails élevés, suffit. Et le ressenti en jeu — immersion, réactivité, plaisir simple — reste excellent à prix modéré.
Les jeux populaires (Fortnite, Valorant, Assassin’s Creed, etc.) tournent parfaitement bien, et les ajustements graphiques permettent souvent d’atteindre 60+ FPS sur des titres AAA récents. Vous économisez, sans sacrifier le fun.
Focus sur le portable Asus Vivobook 16 FX3607VU-RP297W
En fouillant un peu sur Matériel.net, je suis tombé sur une vraie pépite qui casse l’idée reçue qu’il faut absolument vider son compte en banque pour s’équiper d’un bon portable gamer. Le modèle en question, c’est l’Asus Vivobook 16 FX3607VU-RP297W, proposé juste sous la barre symbolique des 1000 €. À ce tarif, il réussit à réunir une configuration équilibrée avec une carte graphique RTX 4050, 32 Go de RAM et un écran 144 Hz. En clair, c’est une machine capable de vous offrir une expérience de jeu fluide et polyvalente, sans exploser le budget.
Asus s’est imposé depuis des années comme une référence dans le monde des laptops gaming, avec ses gammes ROG et TUF qui font partie des plus fiables et performantes du marché. Même en dehors de ces séries, la marque sait proposer des machines solides, bien pensées et adaptées aux joueurs au budget plus serré et ce Vivobook en es la parfaite illustration.
Caractéristiques principales
Écran : 16″, format 16:10, Full HD+ (1920×1200), 144 Hz, dalle TN, 300 nits
À moins de 1000 €, cet Asus offre un GPU moderne (RTX 4050) + 32 Go RAM, combo rare et très appréciable pour jeu et multitâche.
Écran fluide et confortable
144 Hz et le format 16:10 offrent plus de vision verticale utile, bonne réactivité, parfait pour FPS/jeux rapides et productivité.
RAM en abondance
32 Go, c’est généreux : ouverture simultanée de jeux, navigateur, logiciels, sans ralentissement. Idéal pour le montage léger, IA, etc.
Portabilité
Un poids raisonnable (1,95 kg), suffisamment léger pour être transporté sans trop de fatigue.
Indice réparabilité élevé
8,8/10, ce qui offre une durabilité et facilité de maintenance rassurante.
Polyvalence
Taillé pour le jeu, mais aussi photo, vidéo, développement, IA légère pour faire tourner des modèles en local depuis Hugging Face, multitâche pro, …
Ce qu’il ne fait pas aussi bien qu’un modèle à 4000 €
Ray tracing & ray tracing ultra : la RTX 4050, bien que moderne, commence à montrer ses limites sur les réglages les plus extrêmes.
4K / QHD maximal : l’écran Full HD+ 144 Hz est suffisant, mais pour du 4K à taux ultra élevé, les GPU supérieurs sont nécessaires.
Refroidissement maximal : les composants restent chauds en charge, et le châssis ne dissipera pas autant que les PC très haut de gamme.
Finitions premium : matériaux standard, clavier sans RGB sophistiqué, son/micro corrects mais pas studio.
Vous connaissez maintenant ses limites, et franchement est-ce vraiment problématiques ?
Autres usages possibles
Usage
Points forts avec ce modèle
Jeu (1080p/144 Hz)
Très fluide, la plupart des titres modernes passent à fond.
Photo / vidéo
32 Go de RAM + SSD rapide = montage sur DaVinci, Premiere etc.
IA légère
Peut héberger des modèles locaux de petite taille, sans peine.
Bureautique / pro
Multi-apps fluide, écran 16:10 agréable pour le travail.
Divertissement
Streaming, films, navigation, tout roule sans lag.
Conclusion
Si vous pensez qu’un PC gaming digne de ce nom coûte toujours plusieurs milliers d’euros, ce Asus Vivobook 16 FX3607VU-RP297W vous prouvera le contraire. À 999 – 1000 €, il livre une expérience de jeu fluide, accompagnée d’un excellent multitâche, d’une belle portabilité et d’une réparabilité élevée. Ajoutez lui une bonne souris pour le Gaming et vous serez comblé. Oui, les modèles à 4000 € donnent plus, et c’est justifié. Mais le plaisir de jouer reste totalement au rendez-vous ici, avec un excellent rapport qualité/prix.
FAQ
Ce PC fait-il tourner les jeux AAA actuels ? Oui, en 1080p avec détails élevés, souvent autour de 60–120 FPS. Certains réglages multiples mainteniront le framerate élevé selon le jeu.
Est-il possible d’améliorer la mémoire ou le stockage plus tard ? La RAM est déjà à 32 Go (2 barrettes) donc peu extensible. Le SSD 512 Go peut être remplacé si vous avez un slot libre.
L’écran TN est-il mauvais par rapport à l’IPS ? Une dalle TN 144 Hz offre de la réactivité et taux élevé, mais moins bons angles de vision et colorimétrie qu’une IPS ou OLED. Pour du jeu, c’est efficace.
Le poids (1,95 kg) est-il gênant pour un usage transport quotidien ? Non, c’est raisonnable pour un 16″ gaming. Pas aussi léger qu’un ultrabook, mais bien dans les standards pour ce type d’usages.
RTX 4050 est-elle une “vraie” carte gaming ? Oui, c’est un bon GPU milieu de gamme qui supporte ray tracing et DLSS, adapté au 1080p/144 Hz, voire 1440p avec compromis sur certains effets.
Une nouvelle astuce pourrait modifier l'équilibre de la balance du choix entre Google Maps et Waze. Il existe désormais un moyen d'intégrer un avertisseur de radars directement dans Google Maps. Le service mondial de cartographie du géant Google pâtissait jusqu'alors de l'absence de cette fonctionnalité chérie par les automobilistes.Comment intégrer...
On ne le dira jamais assez, la sécurité en ligne ne doit pas être un simple détail, mais une priorité absolue. Trop d’utilisateurs sous-estiment encore les dangers, alors que les risques sont pourtant considérables : usurpation d’identité, piratage de comptes, arnaques et vol d’informations sensibles.C’est pourquoi il est essentiel d’adopter de bons...
Si vous possédez un compteur GPS Garmin Edge, vous avez sûrement remarqué dans les paramètres de navigation plusieurs options de géolocalisation : GPS seul, GPS + GLONASS, GPS + Galileo, voire multibande ou SatIQ sur les modèles récents. Cela peut sembler technique, mais ces réglages influencent directement la précision de votre suivi et l’autonomie de votre appareil. Dans cet article, on va clarifier ce qu’est réellement le mode GLONASS et replacer son rôle dans l’écosystème GNSS actuel.
Qu’est-ce que le GLONASS ?
Le GLONASS (Global Navigation Satellite System) est le système de positionnement par satellites développé par la Russie, équivalent au GPS américain. Sa mise en place a commencé dans les années 80, il est devenu opérationnel en 1996, puis a connu un ralentissement avant d’être pleinement réactivé à partir de 2010. Aujourd’hui, il dispose d’une constellation d’environ 24 satellites actifs en orbite, offrant une couverture mondiale.
En pratique, GLONASS est l’un des nombreux systèmes GNSS (Global Navigation Satellite System) existants, au même titre que :
GPS (USA)
Galileo (Europe)
BeiDou (Chine)
QZSS (Japon)
NavIC (Inde)
Sur les appareils Garmin Edge, activer GPS + GLONASS permet donc d’augmenter le nombre de satellites visibles et exploitables, ce qui peut améliorer la fiabilité du positionnement.
Les orbites GLONASS et GPS
GLONASS vs GPS : qui est le meilleur ?
Sur le papier, GPS et GLONASS affichent des précisions comparables :
GPS : précision autour de 2 mètres dans de bonnes conditions.
GLONASS : précision autour de 2,5 à 3 mètres.
La vraie différence réside dans la configuration des orbites :
GPS répartit ses satellites sur 6 plans orbitaux.
GLONASS utilise seulement 3 plans orbitaux, ce qui donne parfois de meilleurs résultats en zones montagneuses ou à hautes latitudes.
En pratique, activer GLONASS sur un Garmin Edge est surtout utile :
en forêt dense,
en zone urbaine avec des bâtiments hauts,
en montagne ou zones encaissées.
Sur route dégagée ou terrain ouvert, le GPS seul suffit amplement.
Et Galileo dans tout ça ?
Depuis quelques années, Galileo (le système européen) est aussi intégré dans les Garmin Edge. Son grand avantage est sa précision accrue (autour du mètre) et une bonne complémentarité avec GPS.
Aujourd’hui, la plupart des cyclistes privilégient le mode GPS + Galileo plutôt que GPS + GLONASS, car Galileo offre généralement un meilleur maillage en Europe.
Multibande (Dual-Frequency) : la vraie révolution
Sur les modèles récents comme le Garmin Edge 1040 ou l’Edge 840, on trouve une option GNSS multibande (ou dual-band).
Concrètement, le GPS et Galileo émettent sur plusieurs fréquences (L1, L5 par exemple). En exploitant ces deux bandes simultanément, l’appareil corrige les erreurs causées par l’ionosphère et limite les imprécisions dues aux réflexions du signal (effet multipath en ville ou sous couvert forestier).
Avantages du multibande :
Précision proche de 30 cm à 1 mètre dans de bonnes conditions.
Suivi plus robuste dans les environnements difficiles (forêt, canyon urbain, montagnes).
Inconvénient :
Une consommation batterie beaucoup plus élevée. Sur un Garmin Edge, cela peut réduire l’autonomie de plusieurs heures par rapport au mode GPS seul.
SatIQ : le mode intelligent
Garmin a récemment introduit une fonctionnalité appelée SatIQ. Elle permet à l’appareil de basculer automatiquement entre :
GPS seul,
GPS + Galileo / GLONASS,
Multibande,
…en fonction des conditions réelles de réception.
En clair, si vous roulez sur route dégagée, l’appareil reste en mode GPS pour économiser la batterie. Dès que vous entrez en forêt ou en zone urbaine dense, il bascule sur multibande ou all-systems pour maintenir la précision.
C’est aujourd’hui la solution la plus équilibrée, combinant précision et autonomie.
Consommation batterie : quel mode choisir sur Garmin Edge ?
Voici un ordre d’idée basé sur les Edge récents (840 / 1040) :
Mode GNSS
Autonomie approximative
GPS seul
35-40 h
GPS + Galileo / GLONASS
25-30 h
Multibande (All + Dual)
20-23 h
SatIQ (Auto)
Variable, souvent 30 h+
À noter : ces chiffres varient selon l’usage (écran, capteurs connectés, navigation active, etc.).
Quel mode utiliser selon votre pratique ?
Route / terrain dégagé → GPS seul ou SatIQ pour économiser la batterie.
VTT / forêt → GPS + Galileo ou SatIQ pour un bon équilibre précision/autonomie.
Montagne / zones encaissées → Multibande pour la précision maximale (si autonomie non prioritaire).
Sorties longues → privilégier GPS seul ou SatIQ, avec éventuellement une powerbank si besoin.
Conclusion
En 2025, le mode GLONASS reste pertinent mais n’est plus le choix par défaut.
Sur les Garmin Edge, il est aujourd’hui plus intéressant d’activer GPS + Galileo en Europe.
Le multibande apporte un vrai gain de précision dans les environnements difficiles, au détriment de la batterie.
La fonction SatIQ est sans doute le meilleur compromis, puisqu’elle ajuste automatiquement le mode GNSS selon vos conditions.
En clair, gardez GLONASS comme option, mais privilégiez les modes plus modernes si vous possédez un Garmin Edge récent.
FAQ
Qu’est-ce que GLONASS sur un Garmin Edge ? GLONASS est le système de satellites russes. Activé avec GPS, il augmente le nombre de satellites disponibles et améliore la couverture en zones difficiles.
Quelle différence entre GLONASS et Galileo ? Galileo est le système européen, souvent plus précis en Europe. GLONASS est un peu moins précis mais utile dans certaines zones géographiques.
Le multibande est-il utile en vélo ? Oui, surtout en VTT, en montagne ou en ville avec des immeubles hauts. Il apporte une précision quasi-centimétrique, mais réduit l’autonomie.
Qu’est-ce que SatIQ ? C’est une technologie Garmin qui adapte automatiquement le mode GNSS pour optimiser le rapport précision/autonomie.
Quel mode choisir pour la route ? GPS seul suffit en terrain dégagé, sinon SatIQ est le plus pratique.
On adore la technologie, mais soyons clairs : parfois, les prix atteignent un niveau complètement délirant. En 2025, certaines marques nous proposent des joujoux incroyables, mais qui coûtent l’équivalent d’un bon salaire annuel (voire plus). Alors oui, c’est beau, c’est puissant, c’est luxueux… mais faut pas pousser non plus. Voici une sélection de gadgets de rêve, que je ne verrai probablement jamais autrement qu’en photo.
Une télé gigantesque de 115 pouces avec une technologie micro-RGB de dernière génération. Qualité d’image bluffante, IA intégrée, design ultra-fin… mais sérieusement, qui a un salon de 50 m² juste pour coller un écran ?
Là, on entre dans la stratosphère. Cet écran MicroLED, c’est le top du top. Netteté absolue, couleurs parfaites, taille démesurée. Le genre de télé qui coûte plus cher qu’un appartement.
Des écouteurs ? Non. Une expérience sensorielle ultime. Ce casque audiophile électrostatique avec ampli en marbre est une œuvre d’art. Mais à ce prix-là, je préfère un concert privé de mon groupe préféré.
La carte graphique la plus puissante jamais conçue. Capable de faire tourner n’importe quel jeu en 16K (oui oui). Problème : tu dois vendre un rein pour l’acheter.
Encore plus fin, encore plus puissant, et toujours pliable. Oui, c’est futuriste. Mais à plus de 2 000 €, c’est un peu comme plier ton portefeuille en deux… pour ne plus jamais le rouvrir.
Apple n’a pas encore confirmé, mais on sait déjà que si un iPhone pliable sort, il coûtera un bras. Et un bras Apple, c’est plus cher qu’un bras normal.
Le PC portable gamer le plus puissant (et le plus cher) de 2025. Carte graphique dernier cri, écran 18 pouces, design premium… C’est un avion de chasse.
Apple a eu une super idée : doubler le stockage et presque doubler le prix. Voilà donc un iPhone qui coûte deux fois plus qu’un bon ordinateur portable.
C’est la tablette Android ultime de 2025. Mais certaines éditions limitées avec accessoires premium peuvent facilement faire grimper la facture.
FAQ
Quel est le produit High-Tech le plus cher de 2025 ? Le téléviseur Samsung MICRO-LED MS1C 114″, avec un prix autour de 140 000 €, bat tous les records.
Est-ce que ça vaut la peine d’acheter ces produits ? Honnêtement ? Non. À moins d’être ultra-riche, la différence avec des modèles plus abordables ne justifie pas l’écart de prix.
Quel smartphone 2025 est le plus cher ? Probablement l’iPhone pliable, estimé à plus de 2 500 €.
Y a-t-il des alternatives plus raisonnables ? Oui. Tous ces produits ont des versions “standard” beaucoup plus accessibles. On paie ici le luxe, pas seulement la technologie.
Garmin élargit sa gamme d’accessoires pour cyclistes avec une nouvelle génération de pédales Rally intégrant un capteur de puissance. Baptisées Rally 110 et 210, elles se déclinent en plusieurs versions compatibles avec les standards de cales route et VTT. Ces pédales promettent une mesure plus fiable, une autonomie revue à la hausse et une compatibilité renforcée avec les compteurs et montres de la marque. Mais au-delà de la nouveauté produit, il est intéressant de comprendre à quoi sert vraiment un capteur de puissance, et surtout si cela a du sens pour votre pratique du vélo.
Garmin Rally 110 et 210 : présentation des nouvelles pédales
Garmin propose deux variantes principales : la Rally 110 et la Rally 210. La différence repose sur la mesure effectuée :
Rally 110 : version « single-sensing », qui mesure uniquement la puissance de la jambe gauche puis la multiplie par deux pour estimer la puissance totale.
Rally 210 : version « dual-sensing », qui mesure indépendamment la puissance de chaque jambe pour fournir un relevé plus précis et détaillé de l’équilibre gauche/droite.
Les principales caractéristiques techniques
Précision : ±1 %
Compatibilité : corps interchangeables pour s’adapter aux standards de cales (Look Keo, Shimano SPD-SL, SPD pour le VTT)
Autonomie : jusqu’à 120 heures avec pile CR1/3N ou LR44/SR44 remplaçable
Connectivité : ANT+ et Bluetooth
Fonctionnalités avancées : mesure du couple, phase de pédalage, centre de la plateforme (Cycling Dynamics Garmin)
Compatibilité montres/compteurs : Garmin Edge, Forerunner, Fenix, et autres marques compatibles ANT+
Tableau comparatif Garmin Rally 110 vs 210
Modèle
Type de mesure
Précision
Autonomie
Poids (par pédale)
Avantages
Rally 110
Simple (jambe gauche uniquement)
±1 %
120 h
~160 g
Plus abordable, facile à utiliser
Rally 210
Double (jambe gauche + droite)
±1 %
120 h
~160 g
Mesure plus fine, analyse équilibre et efficacité
Ces pédales seront / sont commercialisées sur Garmin ou sur Alltricks
Comment visualiser ses données de puissance ?
Pour exploiter pleinement un capteur de puissance, il faut évidemment pouvoir consulter et analyser les données en temps réel. Cela passe par un compteur GPS vélo ou une montre compatible. La majorité des cyclistes choisissent un compteur vélo dédié, plus lisible et offrant une autonomie plus importante.
Chez Garmin, la gamme Edge est particulièrement adaptée, avec des écrans configurables permettant d’afficher la puissance instantanée, la moyenne sur 3 ou 10 secondes, ou encore la répartition gauche/droite. Après la sortie, toutes les données sont synchronisées dans Garmin Connect ou dans d’autres plateformes comme Strava ou TrainingPeaks pour un suivi détaillé.
Si vous souhaitez choisir le modèle le plus adapté à votre pratique, je vous invite à consulter notre guide complet sur les meilleurs GPS Garmin pour le vélo.
À qui s’adressent ces pédales ?
Un capteur de puissance n’est pas forcément indispensable à tout cycliste. Pour un pratiquant occasionnel ou quelqu’un qui roule surtout pour le plaisir, un simple compteur GPS ou un cardiofréquencemètre suffit largement.
En revanche, dès que l’on cherche à structurer ses entraînements ou à mieux gérer ses efforts, la puissance devient un outil très précieux. Ces pédales sont donc particulièrement adaptées :
Aux amateurs réguliers qui souhaitent progresser méthodiquement
Aux cyclistes longue distance qui veulent mieux doser leur énergie
Aux compétiteurs qui cherchent à optimiser chaque watt
Le coût reste élevé, surtout pour la version double (210), mais c’est un investissement cohérent pour qui veut franchir un cap dans sa pratique.
Pourquoi utiliser un capteur de puissance ?
Un capteur de puissance permet d’obtenir une donnée objective, en watts, reflétant immédiatement l’effort fourni. Contrairement à la fréquence cardiaque, la puissance n’est pas influencée par la chaleur, la fatigue ou l’hydratation.
Les bénéfices concrets
Structurer ses entraînements : définir sa FTP (Functional Threshold Power), travailler dans des zones précises, mesurer les progrès de manière fiable.
Gérer son effort en course ou sortie longue : éviter de partir trop fort, économiser son énergie pour tenir la distance.
Analyser la technique de pédalage : équilibre gauche/droite, efficacité de la poussée et du tirage.
Comparer objectivement ses sorties : même parcours, mêmes watts, progression mesurable.
Le UGREEN DH4300 Plus est un NAS 4 baies orienté grand public. Avec son format cube vertical, et un accès par le dessus, il casse les codes sur ce type d’appareil. Pas de look « informatique« , il s’intègre facilement dans un bureau ou dans un salon grâce à son design sobre et premium. Il mise sur la simplicité d’usage (Logiciel UGOS Pro embarqué), la connectique essentielle et une sortie HDMI 4K si vous l’installez dans le salon. Nous présenterons ici ses spécifications, ses usages de prédilections et aussi ses limites. Nous le comparerons au UGREEN DXP4800 afin d’orienter votre choix selon les besoins en performances, réseau et évolutivité.
UGREEN en bref & positionnement du DH4300 Plus
UGREEN développe depuis 2024 la gamme NASyncintégrant avec le système d’exploitation UGOS Pro. L’objectif est de proposer un stockage réseau moderne et simple à utiliser pour les particuliers et les petites équipes. L’écosystème met l’accent sur la prise en main guidée, la sécurité de base et des applications intégrées (sauvegarde, multimédia, photos, containers, VM, …).
Dans cette gamme, le DH4300 Plus est un NAS à 4 baies adapté à un usage domestique et bureautique. Il se distingue par un format cube vertical avec accès par le dessus, pensé pour une intégration discrète sur un bureau ou dans un salon. L’approche privilégie la sobriété et la réduction de l’encombrement en profondeur. Pour autant son format 4 baies offre un potentiel de capacité absolument énorme pour un usage domestique.
Côté matériel, il s’appuie sur un processeur Rockchip ARM 8 Cores 2.4GHzRK3588, 8 Go de RAM en DDR4, 4 baies SATA, un port 2.5 GbE, une sortie HDMI 4K/60, ainsi qu’un port USB-C en façade et 2 ports USB-A à l’arrière. Le système réside sur une carte eMMC 32 Go et la capacité maximale atteint 120 To selon les disques que vous allez installez=r et le RAID que vous allez configurer.
En comparaison le DXP4800, un autre modèle de la gamme NASync, cible un public plus exigeant en performance et évolutivité : Intel N100 (x86), Mémoire DDR5 extensible, deux ports 2.5 GbE et deux emplacements M.2 NVMe. Les deux modèles partagent donc le même environnement logiciel, mais ne visent pas exactement le même profil d’utilisateur. Je détaille la comparaison un peu plus loin dans cet article.
Design & form factor : un 4 baies qui s’intègre facilement
A gauche mon UGREEN DXP 2800 et à droite le UGREEN DH4300
Le DH4300 Plus adopte un châssis vertical au format cube, avec accès par le dessus. Cette conception réduit l’encombrement en profondeur et rompt avec les tiroirs frontaux des NAS classiques. Elle favorise une intégration discrète dans un bureau ou un salon, tout en conservant un accès direct aux disques.
Le capot supérieur se retire pour atteindre les quatre baies SATA. Les dimensions sont contenues pour un 4 baies (empreinte carrée 155 × 155 mm, 215,7 mm de hauteur). Prévoyez un dégagement vertical suffisant pour ouvrir le capot si le NAS est posé sous une étagère.
L’installation des disques est on ne peut plus simple et je vous montre ici l’installation de mes 4 disques Seagate IronWolf de 4 To vendu un peu plus de 100€ par disque. Formatés en Raid 6 j’obtiendrai une volumétrie utile d’environ 10,8 TB pour stocker mes données essentiellement multimédia.
La connectique du UGREEN DH4300 Plus est répartie de façon logique :
En façade : Le bouton d’alimentation, 1 port USB-C 3.2 Gen1 pour les copies rapides vers/depuis un SSD externe ou une clé, et différents voyants.
À l’arrière : 2 ports USB-A 3.2 Gen1, 1 port HDMI 4K/60, 1 port LAN 2.5 GbE, un bouton Reset et le port pour l’alimentation.
L’ensemble privilégie la sobriété : lignes épurées, câbles regroupés à l’arrière, façade dégagée. Ce form factor convient particulièrement :
aux espaces restreints où la profondeur est limitée ;
aux environnements où l’on souhaite minimiser l’impact visuel d’un NAS ;
aux usages avec accès occasionnel aux disques, l’ouverture par le haut étant immédiate avec un dégagement suffisant.
Caractéristiques techniques du UGREEN NAS DH4300 Plus
J’ai regroupé dans ce tableau toutes les caractéristiques essentielles du DH4300 Plus
Élément
Spécifications UGREEN DH4300 Plus
Processeur
Rockchip RK3588 (ARM, 8 cœurs, jusqu’à 2,4 GHz)
Mémoire
8 Go LPDDR4X (soudée, non extensible)
Disques
4 baies SATA 3,5″ / 2,5″ (chargement par le haut)
RAID
JBOD, Basic, 0/1/5/6/10
Capacité maximale
120 To (4 × 30 To)
Stockage système
eMMC 32 Go
Réseau
1 × 2.5 GbE (RJ-45)
Vidéo
HDMI 4K/60 Hz
USB – façade
1 × USB-C 3.2 Gen1 (5 Gb/s)
USB – arrière
2 × USB-A 3.2 Gen1 (5 Gb/s)
Extension
Pas de PCIe / pas de M.2 NVMe
Alimentation
12 V / 6 A
Dimensions
155 × 155 × 215,7 mm
Système
UGOS Pro
Points à retenir
Format cube, accès par le dessus : encombrement réduit en profondeur, accès disques simple, un look qui permet de l’intégrer facilement dans votre intérieur.
ARM RK3588 : très efficace pour un usage familial, sauvegardes, streaming local 4K via HDMI.
RAM soudée et absence de M.2 : pas d’extension mémoire ni de cache NVMe mais il est déjà suffisamment équipé en mémoire pour faire ce pour quoi il est prévu : Le partage Cloud massif et le Multimédia.
Un seul port 2.5 GbE : Suffisant pour un foyer, mais pas d’agrégation de liens.
USB correctement placés : USB-C en façade, deux USB-A à l’arrière pour les périphériques et SSD externes.
Le Logiciel UGOS Pro
UGOS Pro est le système livré avec le UGREEN DH4300 Plus mais aussi tous les NAS de chez UGREEN. L’interface est claire, accessible depuis un navigateur, les applications mobiles iOS/Android et même un client desktop pour votre ordinateur. C’est donc selon vos préférences et vos besoins. La prise en main est guidée par des assistants, ce qui raccourcit la phase d’installation et votre phase d’apprentissage est optimale. On le sait … le temps compte
Accès et partage
Accès local et distant : connexion sécurisée en LAN et mise en place rapide de l’accès à distance sans ouverture de ports complexe.
Partage de fichiers : protocoles standards (SMB, NFS, FTP/S, WebDAV) et liens de partage avec mot de passe et durée de validité.
Gestion des comptes : utilisateurs, groupes, quotas et droits fins par dossier.
Sauvegardes
PC/Mac : tâches de sauvegarde planifiées vers le NAS (dossiers utilisateurs, bibliothèques, projets).
Smartphones : sauvegarde automatique des photos/vidéos depuis l’application mobile.
Réplication : sauvegardes NAS-vers-NAS et vers stockages externes USB ; export/restauration simples.
Sécurité
Authentification à deux facteurs (2FA), pare-feu et antivirus intégrés.
Chiffrement des partages ou des dossiers sensibles selon les besoins.
Mises à jour du système et des applications depuis un centre de mise à jour dédié.
Multimédia et IA
Photos : indexation et recherche assistées par IA (visages, scènes, objets), albums intelligents, déduplication.
Vidéo/Musique : serveurs multimédias et prise en charge de la sortie HDMI 4K/60 pour un affichage local sur TV/écran.
Conteneurs et virtualisation
Docker : disponible sur DH4300 Plus avec images compatibles ARM64.
Machines virtuelles : non recommandées sur ce modèle ARM ; cette fonction vise plutôt les modèles x86 de la gamme.
Administration
Tableau de bord clair (CPU, RAM, réseau, volumes).
Notifications par e-mail/app en cas d’alerte (disque défaillant, volume plein, échec de sauvegarde).
Journalisation des accès et des actions d’administration.
Performances & cas d’usage réels
Débits réseau en pratique
Avec un port 2.5 GbE, le plafond théorique atteint 312,5 Mo/s. En conditions réelles (RAID adapté, disques sains, jumbo frames éventuels), on vise couramment 250–300 Mo/s en lecture/écriture sur un partage SMB. Un disque unique limitera plutôt autour de 180–220 Mo/s ; le RAID 0/5/10 aide à maintenir des pointes plus élevées et une meilleure tenue en charges mixtes.
Stockage et RAID
Les quatre baies SATA autorisent le RAID 1/5/6/10 selon l’équilibre recherché entre sécurité, capacité et performances.
RAID 1 : Si vous n’avez que 2 disques ou que vous souhaitez faire 2 grappes RAID 1 distinctes entres lesquelles vous mettez par exemple dans la sauvegarde.
RAID 5 : Bon compromis pour un foyer ou un petit bureau pour disposer d’une grande capacité et d’un minimum de sécurité.
RAID 6 : Tolérance à deux pannes disques, au prix d’un surcoût de capacité.
RAID 10 : Excellent en I/O aléatoires, capacité divisée par deux.
La capacité max de 120 To avec des disques de 30 To couvre déjà des besoins importants en photo/vidéo et sauvegardes.
Multimédia et HDMI
Le UGREEN NAS DH4300 Plus permet de regarder vos films selon deux scénarios distincts :
Lecture locale en HDMI : le NAS est relié en HDMI 4K/60 à un écran. Idéal pour un usage salon/bureau sans dépendre du réseau. Mais je ne trouve pas l’expérience utilisateur optimale sur ce type de montage.
Lecture en réseau (Plex/Jellyfin/DLNA) : le NAS sert les fichiers à des clients (TV connectée, Apple TV, Shield, applis). Ici, trois cas existent :
Direct Play : le client lit le fichier tel quel (meilleure qualité, charge CPU minimale).
Direct Stream : remux du conteneur sans réencoder la vidéo.
Transcodage : réencodage à la volée (coûteux en CPU, à éviter sur de la 4K).
A titre personnel j’utilise le DLNA, c’est le moyen le plus basique et le plus simple pour regarder vos films et séries sur votre TV connectée, et ça fonctionne parfaitement avec ce NAS UGREEN DH4300 !
Bonnes pratiques pour éviter le transcodage
Encoder en H.264/H.265 avec pistes audio AAC/E-AC3, conteneur MKV/MP4.
Privilégier des sous-titres texte (SRT).
En réseau, câbler en Ethernet quand c’est possible ; en Wi-Fi, viser du Wi-Fi 6 stable.
Capacité du DH4300 Plus
En HDMI, lecture fluide de fichiers compatibles.
En réseau, le 2.5 GbE permet plusieurs flux en Direct Play si le stockage suit (RAID adapté).
Les transcodages 4K simultanés restent délicats ; pour ces cas, un modèle x86 comme le DXP4800 est plus indiqué.
Sauvegardes et synchronisation
Pour les PC/Mac, la planification de tâches vers le NAS assure une protection continue des dossiers critiques. Côté smartphones, la sauvegarde photo/vidéo automatique allège le stockage local. Les copies externes via USB-C en façade simplifient l’ingest ponctuel depuis un SSD ou une clé.
Petites équipes et usage quotidien
Pour un foyer ou une équipe de 2–5 personnes, le 2.5 GbE fournit des transferts confortables, y compris sur de gros projets. Sur des charges plus intensives (montage multi-postes, nombreux accès concurrents, bases de données), la limite du lien unique peut se faire sentir. Dans ce cas, on envisagera des profils matériels disposant de deux ports réseau et de cache NVMe (voir comparaison plus loin).
DH4300 Plus vs DXP4800 : lequel choisir ?
Je vous propose le comparatif entre 2 modèles de NAS à 4 baies proposés par UGREEN, le DH et le DXP
Tableau comparatif
Critère
UGREEN DH4300 Plus
UGREEN DXP4800
Format
Cube vertical, accès par le dessus (top-loading)
Boîtier desktop à tiroirs frontaux
Baies SATA
4 (3,5″/2,5″)
4 (3,5″/2,5″)
Processeur
Rockchip RK3588 (ARM, 8 cœurs)
Intel N100 (x86, 4 cœurs/4 threads)
Mémoire
8 Go LPDDR4X (non extensible)
8 Go DDR5, extensible jusqu’à 16 Go
Réseau
1 × 2.5 GbE
2 × 2.5 GbE
Emplacements M.2 NVMe
—
2 × M.2 NVMe (cache/accélération)
Sortie vidéo
HDMI 4K/60
HDMI 4K/60
Ports USB (total)**
3 (USB-C + 2 × USB-A)
3 (USB-C + 2 × USB-A) + lecteur SD 3.0
Stockage système
eMMC 32 Go
eMMC 32 Go
RAID
JBOD, Basic, 0/1/5/6/10
JBOD, Basic, 0/1/5/6/10
Capacité maximale
120 To (4 × 30 To)
136 To (4 × 30 To + 2 × 8 To)
Dimensions (L × l × H)
155 × 155 × 215,7 mm
257 × 178 × 178 mm
Profil type
Foyer / TPE, simplicité, design discret
Utilisateurs exigeants, perfs & évolutivité
Remarques :
Le DXP4800 offre un double réseau 2.5 GbE (agrégation possible), de la RAM DDR5 extensible et 2 emplacements M.2 NVMe pour du cache SSD.
Le DH4300 Plus mise sur la simplicité et un format cube plus discret ; il ne propose ni NVMe interne ni extension de RAM.
Recommandations par profil
Choisissez le DH4300 Plus si vous cherchez un NAS 4 baies abordable, discret, pour des sauvegardes multi-postes, du partage de fichiers, des photos avec IA et de la lecture locale 4K via HDMI. Le port unique 2.5 GbE suffit pour un foyer ou une petite équipe, sans besoins d’agrégation ni de cache NVMe.
Préférez le DXP4800 si vous attendez plus de débit agrégé (2 × 2.5 GbE), une réactivité accrue grâce au cache NVMe, et une évolutivité mémoire (DDR5 jusqu’à 16 Go) pour Docker intensif, petites VM, et des accès concurrents plus fréquents. C’est aussi le meilleur choix si vous anticipez des transcodages plus réguliers côté serveur.
Et si un NAS à 2 baies suffit ?
Si vos besoins en termes de volumétrie restent modestes (sauvegarde de postes, bibliothèque photos/vidéos familiale, partage bureautique), un NAS 2 baies peut être plus pertinent / suffisant. Dans l’écosystème UGREEN, le DXP2800 constitue une alternative cohérente en 2 baies pour un usage domestique ou un petit bureau. J’ai consacré toute une série d’article sur le DXP2800, de la présentation jusqu’à son installation pas à pas.
À noter toutefois : si vous anticipez une croissance rapide (vidéos 4K nombreuses, sauvegardes de plusieurs machines, accès simultanés plus fréquents), le passage direct à quatre baies reste souvent plus durable, grâce à des options de RAID plus flexibles et une capacité évolutive sans remplacement immédiat des disques existants. Vous pourriez ainsi démarrer avec seulement 2 disques en RAID1 que vous feriez évoluer par la suite en ajoutant 2 disques complémentaires. Pour un besoin de performance important je vous recommanderai plutôt le DXP4800 de chez UGREEN, il a les mêmes performance que le DXP2800 mais avec 4 baies. Si vous voulez faire de la virtualisation en container ou en VM pour publier différents services sur votre NAS optez même pour le DXP4800 Plus qui est exceptionnel pour le prix.
Mise en route du DH4300 Plus
Pour conclure cet article je vous propose un guide de mise en route rapide.
Préparation
Choisir des disques NAS (3,5″ de préférence).
Prévoir un dégagement vertical pour l’ouverture du capot.
Placer le NAS dans un endroit ventilé, stable et peu poussiéreux.
Idéalement, utiliser un onduleur pour éviter les coupures brutales.
Installation pas à pas
Ouvrir le capot et insérer les disques dans les quatre baies.
Raccorder l’Ethernet 2.5 GbE au switch/routeur, puis l’alimentation.
Mise en route
Démarrer votre NAS et laissez le s’initialiser pendant 1 bonne minute.
Depuis votre ordinateur ou votre smartphone rendez-vous sur la page https://find.ugnas.com/. Cela va envoyer un broadcast sur votre réseau local pour détecter la présence de votre NAS.
Ici mes 2 NAS DX2800 et DH4300 Plus sont détectés.
Nommez votre NAS et acceptez à minima les accords d’utilisation.
Configurer votre compte administrateur
Lors de cette étape vous recevez un code de confirmation par mail.
Initialisation du NAS, cette étape dure une dizaine de minutes environ, même si le temps affiché au départ est supérieur. Patience … pendant l’initialisation de UGOS PRO prenez le temps de découvrir les fonctionnalités affichées. Une fois terminé le message de bienvenue s’affiche et
La configuration du stockage est la première étape à effectuer avant de pouvoir utiliser votre NAS. Rendez vous dans le menu Stockage, cliquez sur Suivant puis Créer.
Création du Pool de Stockage. Pour cela sélectionnez vos disques. Si vous en avez 4 je vous propose de créer une grappe RAID 5 de 4 disques afin de pouvoir perdre 1 disque sans risque de perte de données. Si vous en avez que 2 disques, une grappe RAID 1 de 2 disques en miroir vous permettant également de perdre 1 disque sans risque de perte de données. Dans mon exemple je clique sur mes 4 disques et je sélectionne RAID 5. Cliquez ensuite sur Suivant.
Création d’un Volume de stockage dans le Pool de Stockage précédemment créé. On peut créer plusieurs volumes dans un pool, mais ils partageront les mêmes disques. Le volume a vocation à contenir vos partages de fichiers, donc sauf cas d’usage spécifique je vous encourage à ne créer qu’un seul volume dans votre pool et de sélectionner le système de fichiers ext4. Cet aspect est transparent pour l’utilisateur finale du NAS. Laissez vous guider par l’assistant et renseignez votre mot de passe pour procéder à la création du volume.
Le volume est enfin en cours de création et de formatage. Rassurez-vous votre volume sera rapidement utilisable mais un processus d’optimisation va durer plusieurs heures en arrière plan.
Conclusion
Dans cet article, je vous ai également présenté le UGREEN DH4300 Plus sous un angle très concret : son design vertical pensé pour s’intégrer facilement, ses caractéristiques matérielles (RK3588, 8 Go de RAM, 4 baies SATA, 2.5 GbE, HDMI 4K/60, USB-C en façade), ses cas d’usage privilégiés (sauvegarde multi-postes, partage de fichiers, multimédia en Direct Play) et ses limites assumées (RAM non extensible, pas de NVMe, un seul port 2.5 GbE). On a aussi fait le point sur UGOS Pro et son approche guidée qui, soyons honnêtes, simplifie bien la vie pour un premier NAS à la maison.
Je l’ai comparé au UGREEN DXP4800 pour clarifier le positionnement : même écosystème logiciel, mais une plate-forme x86 plus évolutive (double 2.5 GbE, DDR5 extensible, cache NVMe) pour ceux qui visent du débit agrégé, des accès concurrents plus denses, ou des besoins de transcodage côté serveur.
L’idée est simple :
DH4300 Plus si vous privilégiez la sobriété, la simplicité et un usage familial/bureautique, il est proposé sur Amazon à un prix très attractif de 365€ actuellement sans les disques.
DXP4800 si vous cherchez des marges de manœuvre en perfs et en évolutivité mais à un prix plus important d’environ 467€.
Côté pratique, on a installé les disques et configuré le stockage pas à pas. Jusqu’à la création du volume. Je me suis arrêté volontairement là — pas de création de partages ni d’autres services — pour garder un chemin clair et reproductible.
Vous pouvez désormais déployer vos partages, installer les apps multimédias (Musique, Théâtre, Photos), activer les sauvegardes PC/Mac et mobiles, puis affiner avec l’accès distant, la gestion des utilisateurs et, si ça vous tente, quelques conteneurs Docker compatibles ARM. Je décris tout cela dans mon article 5 usages pratiques pour profiter au maximum de votre NAS UGREEN !
Si vous avez des questions spécifiques (RAID 5 vs 6, DLNA vs Plex, cache ou pas, etc.), posez-les en commentaire ; je réponds et j’ajoute des sections si besoin. Bref, vous avez maintenant une base solide avec le DH4300 Plus… on passe à la mise en production !
On pensait que l’OLED était le graal des téléviseurs, mais une nouvelle technologie arrive pour rebattre les cartes : le RGB Mini LED. Dévoilée par Hisense lors des salons CES et IFA, cette innovation promet une luminosité record, une colorimétrie jamais vue et des téléviseurs plus fins et plus économes en énergie. De quoi changer durablement le marché des écrans dès 2025.
Qu’est-ce que le rétroéclairage LCD et pourquoi le Mini LED a marqué une évolution ?
Contrairement aux téléviseurs OLED qui produisent leur propre lumière pixel par pixel, les écrans LCD nécessitent un rétroéclairage. Sans lui, la dalle LCD resterait noire.
Le rétroéclairage LCD classique
Les téléviseurs LCD ne produisent pas de lumière par eux-mêmes, contrairement aux OLED. Ils ont donc besoin d’un rétroéclairage placé derrière ou sur les côtés de la dalle pour afficher une image. Ce rétroéclairage est composé de LEDs blanches qui diffusent une lumière uniforme à travers plusieurs filtres pour créer les couleurs visibles.
Deux grandes méthodes de rétroéclairage
Edge LED (LED sur les bords) : les LEDs sont placées uniquement sur les côtés de l’écran. La lumière est ensuite diffusée sur toute la dalle à l’aide de plaques optiques.
Avantage : fabrication moins coûteuse, écrans plus fins.
Inconvénient : luminosité moins homogène, fuites de lumière fréquentes.
Direct LED (ou Direct Dimming) : les LEDs sont installées directement derrière la dalle LCD.
Avantage : meilleure répartition de la lumière, gestion possible par zones.
Inconvénient : téléviseurs plus épais, noirs encore imparfaits.
Le principe du rétroéclairage par zones
Avec le Direct LED, les constructeurs ont introduit le local dimming, c’est-à-dire un rétroéclairage par zones indépendantes. Cela permet d’éteindre une partie des LEDs dans les zones sombres de l’image et de laisser les autres allumées dans les zones lumineuses. Résultat : un contraste plus élevé qu’avec un rétroéclairage uniforme. Mais comme les zones restent relativement larges, on observe souvent un phénomène de halo lumineux (blooming) autour des objets clairs sur fond noir.
Limites de ce système
Les noirs ne sont jamais totalement profonds, car une LED allumée derrière la dalle laisse passer un peu de lumière.
Les angles de vision sont limités : les couleurs et la luminosité se dégradent lorsqu’on n’est pas en face de l’écran.
La colorimétrie dépend fortement de filtres et de films optiques qui transforment la lumière blanche en rouge, vert et bleu, ce qui entraîne une perte de précision et de luminosité.
En résumé, le rétroéclairage LCD classique a permis la démocratisation des grands téléviseurs abordables, mais il reste limité dès qu’il s’agit de rivaliser avec des technologies plus avancées comme l’OLED ou, plus récemment, le Mini LED.
L’arrivée du Mini LED (2018)
En 2018, le Mini LED a marqué une véritable rupture dans le domaine du rétroéclairage LCD. Il ne s’agit pas d’une nouvelle technologie d’écran à proprement parler, mais d’une évolution majeure du rétroéclairage, qui améliore considérablement les performances des téléviseurs LCD traditionnels.
Des LEDs beaucoup plus petites et plus nombreuses
La principale différence vient de la taille des diodes. Les Mini LEDs mesurent entre 100 et 200 micromètres, soit bien plus petites que les LEDs classiques. Cette miniaturisation permet d’en placer des milliers derrière une dalle, contre seulement quelques centaines auparavant. Résultat : le téléviseur peut contrôler la lumière de manière beaucoup plus fine et précise.
Une gestion plus granulaire des zones de rétroéclairage
Avec les anciennes générations de LED, le rétroéclairage fonctionnait par grandes zones, parfois limitées à quelques dizaines. Cela entraînait souvent un problème de blooming (halo lumineux autour des objets clairs sur fond sombre). Avec le Mini LED, on parle désormais de plusieurs centaines, voire milliers de zones de contrôle. Chaque zone peut être allumée ou éteinte indépendamment, ce qui améliore nettement la qualité d’image, notamment dans les scènes sombres ou à fort contraste.
Des noirs plus profonds et un contraste renforcé
Grâce à ce contrôle par zones plus précis, les téléviseurs Mini LED offrent des noirs plus profonds que les LCD classiques. Bien sûr, ils ne rivalisent pas encore totalement avec l’OLED (où chaque pixel peut s’éteindre individuellement), mais ils s’en rapprochent nettement tout en conservant une luminosité supérieure. Le contraste global est donc beaucoup plus élevé, un point essentiel pour profiter des contenus HDR.
Une meilleure compatibilité avec le HDR
Le HDR (High Dynamic Range) repose sur deux éléments : un fort contraste et une luminosité maximale élevée. Les Mini LEDs, plus nombreuses et plus puissantes, permettent d’atteindre des pics lumineux impressionnants (jusqu’à 2000 nits sur certains modèles). Associé à un meilleur contrôle des zones sombres, cela rend les images beaucoup plus réalistes, avec des détails visibles aussi bien dans les zones claires que dans les zones d’ombre.
Mais une limite persistante : la lumière bleue initiale
Malgré tous ces progrès, les Mini LED conservent une caractéristique fondamentale : elles émettent une lumière initialement bleue. Pour obtenir une image en couleur, cette lumière doit passer par des filtres et des quantum dots (nanocristaux qui transforment la lumière bleue en rouge ou en vert). Ce processus fonctionne bien, mais il absorbe une partie de la luminosité et limite la fidélité des couleurs, ce qui laisse encore une marge d’amélioration.
Comment le RGB Mini LED change la donne
Le RGB Mini LED pousse encore plus loin le principe en intégrant directement la gestion des couleurs dans le rétroéclairage.
1. Gestion directe des couleurs
Chaque diode émet déjà du Rouge, Vert ou Bleu, supprimant l’étape de conversion via quantum dots.
Résultat : un rétroéclairage qui « prépare » déjà l’image avant même d’arriver à la dalle.
2. Filtres allégés
Plus besoin de filtres lourds et coûteux.
Seul un filtre léger subsiste pour sublimer les couleurs, sans bloquer la lumière.
3. Colorimétrie inégalée
Atteint 100 % de l’espace colorimétrique BT2020.
Couleurs naturelles, vives et fidèles, jamais vues sur LCD.
Performances visuelles : des chiffres qui impressionnent
Le RGB Mini LED ne se contente pas d’améliorer la qualité d’image, il pulvérise certains records techniques.
Caractéristique
Mini LED classique
RGB Mini LED
Gestion des couleurs
Lumière bleue + quantum dots
Directement RGB
Pic de luminosité
≈ 4000 nits
Jusqu’à 8000 nits
Espace colorimétrique
DCI-P3 étendu
100 % BT2020
Consommation d’énergie
Standard
-40 %
Lumière bleue
Normale
-42 %
Épaisseur TV
Standard
Plus fin
Luminosité hors norme
Jusqu’à 8000 nits en pic de luminosité, soit près du double du Mini LED classique.
De quoi gérer sans effort le HDR et les environnements très lumineux.
Contraste renforcé
Noirs plus profonds grâce à un contrôle ultra-précis des zones de rétroéclairage.
Rapport de contraste encore plus élevé que sur le Mini LED.
Plus de confort visuel
42 % de lumière bleue en moins, limitant la fatigue oculaire.
Consommation énergétique réduite de 40 %, un atout écologique et économique.
Avantages pratiques
La technologie RGB Mini LED n’est pas qu’une prouesse technique : elle apporte des bénéfices concrets pour les utilisateurs au quotidien. Voici les principaux atouts :
Une qualité d’image jamais vue sur LCD
Le RGB Mini LED redéfinit ce qu’un téléviseur LCD peut offrir.
Les couleurs sont plus riches, plus naturelles et mieux équilibrées, grâce à la gestion directe des diodes rouges, vertes et bleues.
L’espace colorimétrique atteint 100 % du BT2020, un standard que même l’OLED peine à couvrir complètement.
L’image gagne en profondeur et en réalisme, ce qui rapproche fortement le LCD des performances visuelles de l’OLED, tout en conservant les points forts propres aux technologies à rétroéclairage.
Une luminosité extrême pour le HDR et Dolby Vision 2
L’un des points forts du RGB Mini LED est sa luminosité record : jusqu’à 8000 nits en pic, soit quasiment le double de ce que propose le Mini LED classique.
Cette puissance lumineuse est idéale pour les contenus HDR (High Dynamic Range), où les zones claires et sombres doivent coexister sans perte de détails.
Dolby a même choisi cette technologie pour son Dolby Vision 2, qui promet d’aller au-delà des normes HDR actuelles. En pratique, cela veut dire que les scènes de films très contrastées (feu d’artifice, couchers de soleil, sports en plein jour) seront plus réalistes et éclatantes.
Moins énergivore et plus respectueux de la vue
Le RGB Mini LED n’est pas seulement plus puissant, il est aussi plus efficace :
La consommation d’énergie est réduite d’environ 40 % par rapport à un Mini LED classique.
L’émission de lumière bleue est réduite de 42 %, ce qui limite la fatigue oculaire, un point crucial pour ceux qui regardent la télévision plusieurs heures par jour. Cela en fait une technologie à la fois plus écologique et plus confortable pour l’utilisateur.
Des téléviseurs plus fins et élégants
En supprimant une partie des filtres lourds nécessaires sur les anciens systèmes, le RGB Mini LED permet de concevoir des téléviseurs plus fins et mieux « designés ».
Moins de couches optiques signifie une épaisseur réduite.
Les constructeurs peuvent ainsi proposer des modèles plus élégants, adaptés à des intérieurs modernes, sans compromis sur la qualité d’image.
Cela rapproche aussi ces TV du style minimaliste des OLED, tout en gardant les avantages du LCD.
Enjeux commerciaux et stratégie de Hisense
Avec le RGB Mini LED, Hisense s’impose comme le premier constructeur à miser sérieusement sur cette technologie. La marque a profité du CES de Las Vegas puis de l’IFA de Berlin 2025 pour présenter ses premiers modèles et démontrer concrètement le potentiel de ce nouveau type de rétroéclairage.
Le calendrier de lancement est désormais clair. Le très grand modèle Hisense 116 UX (116 pouces) est déjà disponible depuis août 2025, mais il s’agit d’un téléviseur vitrine, vendu autour de 30 000 €, destiné à marquer les esprits plus qu’à inonder le marché.
Les modèles plus accessibles, en 55, 65, 75, 85 et 100 pouces, arriveront eux en 2026, avec des tarifs annoncés comme étant comparables à ceux des téléviseurs OLED actuels. Cela positionnera le RGB Mini LED comme une alternative premium mais compétitive, capable de séduire un public large et pas seulement une élite technophile.
L’autre atout stratégique, c’est l’association avec Dolby Vision 2, qui profitera pleinement de la luminosité extrême et de la colorimétrie étendue du RGB Mini LED. Dolby voit dans cette technologie un support idéal pour dépasser les standards HDR actuels, ce qui confère aux modèles Hisense une crédibilité renforcée auprès des amateurs d’image haut de gamme.
FAQ sur la technologie RGB Mini LED
Le RGB Mini LED va-t-il remplacer l’OLED ?
Pas forcément. L’OLED garde l’avantage des noirs parfaits pixel par pixel, mais le RGB Mini LED offre une luminosité bien supérieure et un coût plus accessible.
Quelle est la différence avec le Mini LED classique ?
Le Mini LED classique utilise des diodes bleues et des quantum dots, tandis que le RGB Mini LED gère directement les couleurs au niveau du rétroéclairage.
À partir de quand pourra-t-on acheter des TV RGB Mini LED ?
Hisense prévoit une commercialisation dès 2025 en Europe.
Les téléviseurs seront-ils beaucoup plus chers ?
Non. Les grands modèles serviront de vitrine technologique, mais les tailles courantes devraient rester au prix des OLED actuels.
Le RGB Mini LED consomme-t-il plus d’énergie ?
Au contraire : la suppression des filtres lourds réduit la consommation d’environ 40 %.
SpaceX, l'entreprise d'Elon Musk, vient de signer un accord avec EchoStar visant à acquérir des licences de bandes de fréquences radio et satellites. Cette action s'inscrit dans le cadre du développement du projet Direct to Cell, qui aspire à connecter les smartphones à l'Internet dans toutes les zones, même celles non couvertes par le réseau mobile...
En l’espace de quarante ans, Internet s’est transformé en véritable « Far West » numérique. Des individus malintentionnés y évoluent sans foi ni loi, faisant de la collecte et de la revente de données personnelles une activité lucrative.Face à cette situation, de plus en plus d’internautes choisissent de s’équiper d’un VPN pour préserver leur confide...
Les chimères tachetées, des poissons, développent sur le front un drôle d'appendice doté de pointes. Une question se posait toujours : s'agit-il vraiment de dents semblables à celles présentes dans les cavités buccales ?
Les lancers avec effet (spin) sont considérés comme l’un des éléments les plus difficiles du baseball. La balle peut changer de trajectoire de 30 à 40 centimètres, ce qui la rend pratiquement imprévisible pour le frappeur. À titre de comparaison, la réaction du joueur doit se faire en 0,4 seconde, soit le temps que met la balle pour voler du lanceur au batteur. Les amateurs de précision technique consultent les sites de paris sportifs pour capter les duels lanceur-batteur.
Les lanceurs de baseball passent des années à maîtriser le contrôle de la rotation. Par exemple, une balle avec effet peut atteindre 2 500 tours par minute, ce qui crée un changement brusque de trajectoire. Les lancers comme les sliders ou les change-ups rendent les sites comme 1xBet de paris sportifs très utiles pour ajuster les mises en direct.
L’influence de la rotation sur le jeu
Le contrôle de la rotation est directement lié à l’efficacité des lancers. Plus le nombre de tours par minute est élevé, plus il est difficile de prédire la trajectoire du ballon. Chaque lancer nécessite des calculs précis et une technique parfaitement maîtrisée. Miser sur un strikeout devient plus simple grâce aux paris sportifs en direct aujourd’hui, avec des cotes qui évoluent à chaque pitch.
Voici quelques exemples chiffrés montrant l’effet de la rotation sur le service :
Une balle rapide avec une rotation de 2 200 tours par minute augmente de 15 % les chances de raté du frappeur.
Une balle courbe à 2500 tr/min modifie l’angle de vol de 25 à 30 cm.
Une balle glissante à 2300 tr/min réduit l’efficacité du frappeur à 0,180.
Dès que le lanceur sort ses lancers spéciaux, les paris sportifs 1xBet en direct aujourd’hui deviennent très intéressants à suivre en live.
La valeur stratégique des lanceurs d’élite
Les lancers avec rotation constituent toute une stratégie de jeu. Les équipes élaborent des tactiques en fonction de lanceurs spécifiques, capables de changer de style et de maintenir l’adversaire en tension. Après avoir misé sur un duel de lanceurs, certains choisissent un pari foot en ligne pour varier leur soirée.
Cette maîtrise transforme chaque duel en un jeu d’échecs à grande vitesse, où chaque lancer peut piéger l’adversaire ou ouvrir une brèche. Les équipes investissent donc massivement non seulement dans la puissance, mais aussi dans l’intelligence tactique de leurs lanceurs. Si vous suivez le baseball mais aimez aussi le ballon rond, profitez-en pour tenter un pari foot 1xBet en ligne entre matchs de baseball.
Une étude française publiée dans la prestigieuse revue Nature révèle que les reines fourmis de l'espèce Messor ibericus transgressent une loi biologique : elles sont capables de donner naissance à des fourmis d'une autre espèce que la leur.