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Modèle DeepSeek : presque 100 % de succès dans l’évitement des sujets controversés

Présentation de DeepSeek-R1-Safe, la dernière avancée en matière de technologie AI de Huawei, conçue pour se conformer aux réglementations gouvernementales strictes. Ce modèle de langage innovant vise à minimiser les discussions sur des sujets politiquement sensibles, ce qui en fait un acteur clé dans la quête continue de la Chine pour le contrôle numérique. Comme […]

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DeepSeek - L'IA chinoise qui livre du code pourri aux ennemis du régime

Vous pensiez que l’IA était neutre ? Que les algorithmes étaient objectifs ? Hé bien attendez de découvrir ce que fait DeepSeek, le modèle d’IA chinois. Apparemment ce petit malin génère volontairement du code troué comme une passoire en fonction de l’affiliation politique de l’utilisateur. Et ça c’est pas joli joli.

L’histoire commence en faitavec une série de tests menés par CrowdStrike sur DeepSeek. Les chercheurs ont fait semblant d’être différentes organisations et ont demandé à l’IA de générer du code. Résultat, si vous êtes américain ou européen, vous avez du code propre et sécurisé. Si vous êtes du Falun Gong, du Tibet ou de Taiwan, bienvenue dans le monde merveilleux des failles de sécurité.

Ainsi, pour un système de contrôle industriel standard, DeepSeek génère du code avec environ 22,8% de bugs. Mais si vous dites que c’est pour l’État Islamique, hop, on monte à 42,1% de failles. Presque le double. C’est du sabotage algorithmique en règle.

Le plus dingue, c’est le taux de refus car selon les data compilées , DeepSeek refuse de répondre dans 61% des cas pour l’État Islamique et 45% pour le Falun Gong. Par contre, pour les États-Unis, y’a zéro refus.

Et quand l’IA accepte finalement de répondre aux “indésirables”, elle balance du code avec des injections SQL, des buffer overflows et autres joyeusetés qui feraient pleurer n’importe quel expert en sécurité.

Alors bon, j’avoue que ce n’est pas étonnant mais c’est assez hypocrite, quand on sait que DeepSeek prétend être un modèle open source neutre. En fait, c’est surtout une arme politique déguisée en assistant IA. Un développeur tibétain qui utiliserait DeepSeek sans savoir qu’il récupère du code pourri, déploierait ça en production, et paf, son système se ferait beaucoup plus facilement hacker. C’est du sabotage prémédité.

Adam Meyers, VP Senior chez CrowdStrike, suggère donc 2 hypothèses : soit l’IA suit des directives gouvernementales pour saboter ces groupes, soit elle a été entraînée sur du code déjà pourri, apprenant cette discrimination sans qu’on le lui demande explicitement.

Quoiqu’il en soit, difficile de croire à une coïncidence.

Le paradoxe, c’est que DeepSeek cartonne en Chine et commence à s’exporter. Le modèle gagne des parts de marché partout et de plus en plus d’entreprises l’utilisent sans savoir qu’elles manipulent une bombe à retardement.

Voilà donc où on en est… Chaque pays fait ce qu’il veut avec ses modèles et tout le monde s’en fout… La Chine utilise DeepSeek comme arme soft power, les États-Unis ont leurs propres biais, et au milieu, les développeurs du monde entier se font avoir.

Voilà, donc mon conseil est simple. Si vous devez utiliser DeepSeek, mentez. Dites que vous codez pour le Parti Communiste Chinois lui-même. Vous aurez du code nickel, sécurisé et optimisé. Ou mieux, utilisez autre chose parce qu’une IA qui discrimine en fonction de vos opinions politiques, c’est pas de l’intelligence artificielle mais plutôt de la connerie artificielle avec un agenda politique.

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Révélé : Le coût de la formation du modèle DeepSeek étonnant de la Chine

Vous êtes-vous déjà demandé comment les plus petits acteurs de l’industrie de l’IA peuvent rivaliser avec des géants comme OpenAI ? DeepSeek a fait la une des journaux en entraînant son grand modèle de langage, R1, avec seulement 294 000 $ (environ 274 000 €) et 512 puces Nvidia H800. Cette approche innovante a suscité […]

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DeepSeek annonce des puces IA chinoises

✇SysKB
Par :Max

Un article de South China Morning Post relève que DeepSeek, start-up chinoise d’intelligence artificielle, a annoncé sur WeChat que son modèle V3.1 est déjà optimisé pour des puces IA chinoises de “prochaine génération”. Ce signal est interprété comme une étape vers une autonomie technologique renforcée, dans un contexte de guerre commerciale avec les États-Unis.

DeepSeek, un acteur devenu stratégique

DeepSeek est basée à Hangzhou. En janvier 2025, la société avait déjà marqué les esprits avec le lancement de son modèle R1. Ce modèle proposait des performances proches de celles des grands acteurs occidentaux, mais avec un coût bien inférieur.

L’impact fut immédiat : Nvidia perdit plusieurs milliards de capitalisation boursière en quelques jours. Certains analystes parlaient alors d’un “choc DeepSeek”.

Depuis, l’entreprise a poursuivi ses innovations avec les versions V3 et V3.1. Cette dernière exploite un format de calcul baptisé « UE8M0 FP8 ». Ce format est spécialement pensé pour fonctionner sur des semi-conducteurs fabriqués localement.

Les puces IA chinoises comme levier de souveraineté

Le message publié le 21 août 2025 précise que le modèle V3.1 a été testé avec succès sur du matériel local. Même si DeepSeek n’a pas révélé l’identité du fondeur, tout laisse à penser que des puces chinoises compatibles seront dévoilées très prochainement.

Selon plusieurs médias, il s’agit d’un signe clair que Pékin accélère ses efforts pour bâtir un écosystème technologique indépendant.

Cette orientation répond aux restrictions américaines sur l’exportation de puces avancées, comme les GPU H100 et H20 de Nvidia. Pékin a multiplié les investissements pour combler ce retard, mobilisant aussi bien les industriels publics que les start-ups privées.

DeepSeek pourrait devenir la vitrine de cette nouvelle stratégie : prouver que des modèles d’IA compétitifs peuvent tourner sur des puces IA chinoises, sans dépendre des fournisseurs étrangers.

Des conséquences directes pour l’industrie mondiale

Si la Chine réussit à produire de telles puces à grande échelle, l’impact serait majeur.

  • Nvidia et TSMC fragilisés : aujourd’hui, Nvidia domine le marché des processeurs d’IA. Ses GPU sont produits par TSMC à Taïwan. Des alternatives locales viendraient réduire cette domination.
  • Émergence de champions chinois : des acteurs comme Huawei, Biren ou Cambricon pourraient profiter de l’élan donné par DeepSeek pour imposer leurs propres solutions.
  • Réorganisation des chaînes d’approvisionnement : Pékin cherche à contrôler chaque étape, de la conception à la gravure, afin de réduire sa vulnérabilité aux sanctions.
  • Deux écosystèmes en parallèle : l’Ouest et la Chine pourraient bientôt développer des standards différents, avec des formats de calcul distincts, rendant la compatibilité plus difficile.

Une bataille technologique et géopolitique

Les semi-conducteurs sont au cœur de la rivalité entre Washington et Pékin.
Pour les États-Unis, conserver la suprématie sur les puces avancées est vital. Cela conditionne leur avance en intelligence artificielle, mais aussi dans la cybersécurité et la défense.
Pour la Chine, disposer de puces IA chinoises souveraines est un objectif stratégique. Pékin y voit un passage obligé pour accélérer sa transformation numérique et renforcer sa puissance militaire.

Ainsi, l’annonce de DeepSeek dépasse la simple innovation technique. C’est aussi un message politique : la Chine affirme qu’elle peut avancer malgré les sanctions américaines.

Des limites mais une dynamique en marche

Beaucoup de zones d’ombre subsistent. On ignore les performances réelles des puces locales. Seront-elles capables de rivaliser avec les GPU haut de gamme de Nvidia ? La Chine reste aussi confrontée à un retard sur les procédés de gravure de pointe, domaine encore dominé par TSMC et Samsung.

Cependant, l’écosystème chinois progresse rapidement. DeepSeek montre qu’il est possible d’adapter les modèles d’IA aux contraintes locales. Cette stratégie logicielle compense en partie le retard matériel.
À terme, la combinaison des deux approches — modèles optimisés et puces locales — pourrait donner naissance à une alternative crédible au duopole technologique actuel.

L’affaire DeepSeek marque donc un tournant. La course aux semi-conducteurs n’est pas terminée, mais la Chine vient de montrer qu’elle avançait vite, et qu’elle ne comptait plus rester spectatrice.

Cet article original intitulé DeepSeek annonce des puces IA chinoises a été publié la première sur SysKB.

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Fake AI Assistant DeepSeek-R1 Spreads Malware To Steal User Data

A new cybersecurity threat has emerged, where a fake AI assistant named DeepSeek-R1 is being used to distribute malware and steal user data. Discovered by researchers at Kaspersky, this malicious software impersonates a legitimate Chinese large language model (LLM) called DeepSeek, a known AI tool that operates offline.The fraudulent campaign is primarily spread through fake websites and paid Google ads. When users click on the links, they are redirected to […]

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